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Kristin Scott Thomas as Iva Delusi in Looking For Hortense (Cherchez Hontense) | directed by Pascal Bonitzer | 2012 | France
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Cherchez Hortense [Looking for Hortense] (Pascal Bonitzer - 2012)
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Cherchez Hortense (Pascal Bonitzer - 2012)
Un dernier souvenir de Claude Rich (1929-2017)
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Première étape
1. Écoutez la conversation entre Bénédicte et Hortense, Quel est le sujet ?
☐ Aller au cinéma ☐ Faire des photos ☐ Organiser une fête ☐ Fêter la Saint Valentin
https://www.youtube.com/watch?v=J24wdZM9sio
2. Après avoir écouté la conversation. Remplissez l’information qui correspond.
Où se trouve le grand plat bleu ?
Bénédicte, va-t-elle poser le bouquet sur quelle table ?
Hortense a mises les bougies où ?
Il est où Felix ?
Felix arrivera à la fête avec qui?
3. Cochez le vocabulaire évoqué dans la conversation :
le placard verres Le salon La Nourriture
Le tiroir les Amis Faire-part assiettes
Cadeaux Surprise L'étagère magasin
vase Saint Valentin Famille Florence
Entraînez-vous !
Vous voulez organiser une fête surprise à un/e ami/e, vous envoyez des faire-part. Vous cherchez sur internet des modèles de drôle de faire-part pour votre soirée. Vous créez un faire-part en utilisant une app.
Observez les liens pour avoir des idées pour vos faire-part.
https://www.popcarte.com/invitation-anniversaire-humoristique
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6 MARS 2019
Programme martial.
Mise en route (5 minutes) : Une phrase à ressentir ! « Le monde est vaste et on n’a qu’une heure ». (Rituel de Fabienne Sintès dans son émission sur France-Inter)
Le monde est vaste, et on n’a qu’une heure… Alors il faut choisir sa destination ? Moi, j’ai la flemme, mon petit monde intérieur me suffit, et il est extensible. Je peux le remplir avec tout ce que j’entends, tout ce que je vois, tout ce que je lis. Je vais lire pendant une heure. puis je ferai la sieste.
Jeu (10-15 minutes) : Le retour des Ironèmes délibérés. « Vivre au sommeil pour avoir plus chaud » : fabriquer de petites phrases dans lesquelles une homophonie sur un seul mot entraîne une belle aberration logique, puis continuer une mini histoire. Exemple : « Quand le chat n’est pas là, les souris pensent, mais à quoi pensent-elles ? … Et l’histoire continuerait sur quelques lignes. »
On fera deux essais, sur les séries suivantes, dans lesquelles on déformera un mot de deux syllabes, en modifiant légèrement ses lettres, en conservant sa sonorité principale, puis en écrivant un court texte (entre 5 et 10 lignes) où la surprise proviendra d’un glissement inattendu du sens : 1°) sonorité finale [oté]. 2°) sonorité finale [able].
La grande misère des aristocrates les conduit parfois à des crimes inavoués. C’est alors que l’invention littéraire les démasque, sous couvert d’histoires fantastiques ou de contes pour enfants. Saviez-vous que ce nobliau de province a vraiment existé ? Saviez-vous que ses appétits l’ont un jour poussé à des nourritures que réprouve la morale ? Ce marquis évoqué par Perrault, n’ayant plus rien au garde-manger, commanda à son cuisinier qu’on lui servît, en dernière extrémité, son chat sauté en cocotte.
S’enrichir par le mariage, et prolonger le bon état de son épouse afin qu’elle serve le plus longtemps possible, c’est un idéal masculin vieux comme le patriarcat. Le mariage est une longue marche à deux par les chemins de la vie, qui ne sont pas toujours bien carrossés, et l’on y use ses semelles autant que ses mollets, et plus encore si l’on n’accorde pas son rythme aux pas de son conjoint. Voilà l’origine du dicton bien connu : il ne faut épouser qu’une fille bien bottée.
Épuisé par une matinée harassante et des collègues infernaux, Lucien se rendit à la cantine où il s’abîma dans la contemplation du menu. Ça ne sortait guère de l’ordinaire, et les odeurs de sauce tomate masquaient mal les relents de chou-fleur. Quelle sorte de viande allait-il trouver aujourd’hui ? Il se décida pour le lapin prétendument chasseur, laissa le serveur lui étaler une couche de champignons en conserve dans la sauce trop liquide, et s’assit dans un coin de la cantine. Mais quand son chef de bureau vint s’asseoir et lui demanda comment il prévoyait l’organisation de l’après-midi, il ne put se retenir. C’est ce jour-là qu’on le flanqua dehors pour avoir pété un râble.
Le dragueur obsessionnel marchait derrière une jeune femme, juste derrière. Son approche fut directe et complimenteuse : la belle démarche, les beaux vêtements, les cheveux, ah ! Etc. La femme restait stoïque et silencieuse, attendant le moment pour bien lui river son clou. Après avoir enduré d’autres remarques, puis les questions auxquelles elle ne répondait que par monosyllabes décourageantes, il fallut bien en finir. « Monsieur, je ne sais pas ce que vous cherchez, mais si vous continuez je n’hésiterai pas à vous noter les fesses. Et vous le sentirez passer. »
Menteur ! Mythomane ! C’est impossible à supporter cette manie de réécrire la vérité comme tu le fais. Tu deviens insupportable, on ne peut pas manger en paix et tu commences à me couper l’appétit. Je me demande vraiment pourquoi je t’ai invité à fable !
Carlos n’en revenait pas. Trois mois pour rien, ou pour si peu. Il ne méritait pas cet acharnement, tant médiatique que judiciaire. On lui cherchait des poux dans la tignasse, et jusque dans les sourcils, qu’il avait fournis et froncés. Et ça risquait de lui coûter très cher, ses économies y passeraient, parce que les avocats… ce n’est pas donné. Et son entreprise ? Celle à laquelle il s’était si bien identifié ? Elle risquait de périr, et juste parce qu’une erreur avait été commise, au tout début : il n’aurait jamais fallu la laisser fauter en bourse.
Le Guide Gourmand vient de sortir. Des cuisiniers se défenestrent, les gourmets modifient leurs carnets d’adresses, et les marmitons attendent les lettres de licenciement. Impavide, le triple étoilé affûte ses couteaux pour un hara-kiri prochain : ses employés ont tout rangé, déménagé le mobilier, vidé les frigos, empilé les assiettes et la grande salle ressemble à un chantier de démolition. On dirait presque qu’un bûcher se prépare. Solennellement, le chef tire sur la cordelette passée entre les pieds des chaises et des fauteuils entassés devant lui, et c’est tout un château de tables qui s’écroule. Il peut mourir, maintenant.
Titrerie expérimentale (10 minutes) (Idée de Pierre Ménard) : Texticules de titres. On composera un court texte poétique à partir d’une récolte mémorielle de livres dont on ne gardera que le titre. Si l’on produit plusieurs titreries, on ne réutilisera pas deux fois un même ouvrage. Exemple proposé par Laurent d’Ursel (Au diable les écrivains heureux, La cinquième couche, 2005) : « Ah ! les femmes, la solitude du coureur de fond, l’angoisse du gardien de but au moment du penalty, les seins de Blanche-Neige… Les femmes s’en balancent : elles se rendent pas compte ».
Quelques titres sont proposés par l’animateur pour mettre en route la réflexion.
Ainsi parlait Zarathoustra du fond de l’abîme : Mais n'te promène donc pas toute nue tandis que j’agonise ! Occupe-toi d’Amélie ! Demain il fera jour ! À l’ouest rien de nouveau : le roi s’amuse sous les yeux d’occident, va jouer avec cette poussière. À quoi rêvent les jeunes filles en mouchant la chandelle ? L’homme qui ne savait pas dire non aux fontaines du désir ? On est toujours trop bon avec les femmes sous le soleil de minuit. À quoi rêvent les jeunes filles, rue des Boutiques obscures ? Combien de fois je t’aime ? L’Homme qui ne savait pas dire non ? L’Amour sans le faire, c’est tout. Après la bataille aux fontaines du désir, en famille, en ménage, nous autres français, nous étions des génies sous l’œil des barbares ! Au château d’Argol, avant que le coq chante, coule la Seine. Au-delà de cette limite votre ticket n'est plus valable. Aux champs, c’est Mozart qu’on assassine avant que le coq chante, et on tuera tous les affreux chiens perdus sans collier en attendant Godot au pays des Tarahumaras. Avant la tempête, la marquise sortit à cinq heures, rue des boutiques obscures : tout est bien qui finit bien. Ceci n’est pas un conte Dans les années sordides il ne faut jurer de rien : la nuit est le manteau des pauvres sans famille. De mémoire d’homme, au pays des Tarahumaras, il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée quand sort la recluse. De mémoire d’homme, de l’angélus de l’aube à l’angélus du soir, je suis une légende entre terre et mer. Comme le temps passe ! Envoyez les couleurs : sur l’eau les ombres grandissent au crépuscule. Est-il bon ? Est-il méchant ? On ne réveille pas un chien endormi sous la table. Hortense, couche-toi, c’est tout. Il est plus tard que tu ne penses ! Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée au-dessus de la mêlée : on achève bien les chevaux quand on est quelqu’un. Il y a quelque chose de pourri au rendez-vous allemand. Êtes-vous fous ? On n’est pas des bœufs. Ils m’ont menti. J’ai réussi à rester en vie au cœur du monde, je suis de mon temps : j’irai cracher sur vos tombes par-delà le bien et le mal. Je me souviens comment j’ai écrit certains de mes livres, en mouchant la chandelle au pays des Tarahumaras. Je me souviens du fond de l’abîme. Il y a quelque chose de pourri après la bataille. Je vous écris d’un pays lointain avant la tempête : que ma joie demeure si le grain ne meurt par les champs et les grèves. Je vous écris d’un pays lointain. Là-bas la cause était belle. La gloire n’est plus de ce temps. Que la paix soit avec vous quand vient la fin. L’Année terrible, le miroir se brisa : beaucoup de bruit pour rien ! Pourquoi moi ? Je ne suis pas coupable. Tout est bien qui finit bien. La cause était belle : nous deux encore ! Je voudrais que cela ne finisse jamais puisque je l’aime dans la ville en feu. La gloire n’est plus de ce temps : du fond de l’abîme j’ai déjà donné quand les colombes disparurent sous le soleil de Satan : il reste la poussière. La mort n’est pas une fin : j’irai cracher sur vos tombes après la bataille. Et vous trouvez ça drôle ? La petite marchande de prose ne pardonne jamais avant que le coq chante au-dessous du volcan, faut qu’ça saigne dans la ville en feu ! La vie est un songe : il est plus tard que tu ne penses, la guerre de Troie n’aura pas lieu à rebours, là-bas. Le major parlait trop : un meurtre sera commis le Cinq-Mars, la nuit de mai, dans un mois, dans un an… On ne saurait penser à tout. Le progrès fait rage : on ne badine pas avec l’amour au bonheur des dames, autant en emporte le vent. Le roi se meurt quand sort la recluse, les morts ont tous la même peau et on tuera tous les affreux en attendant Godot. Les connaissez-vous ? La petite fêlée aux allumettes, l’homme qui venait du passé ? Ils m’ont menti. Claudine s’en va. Elle et lui, en ménage, tandis que j’agonise ! Je ne suis pas coupable ! Comme le temps passe… Il reste la poussière, le prix à payer, c’est tout. Ça ira, puisque je l’aime. Les poètes morts n’écrivent pas de romans policiers, nous les vivants, nous les modernes, en rade… Mon petit doigt m’a dit ce qui plaît aux dames : le club du mardi continue. Ça ira, ce qui fut sera : on est toujours trop bon avec les femmes. Mort, où est ta victoire ? La mort n’est pas une fin : le ciel se trouve sur terre, l’avenir est dans les œufs. N’éteins pas la lumière ! Ne pardonne jamais ! Surveille tes arrières ! Tu étais si gentil quand tu étais petit. Repose-toi sur moi. Ne réveillez pas Madame, la petite fêlée aux allumettes : la nuit est le manteau des pauvres sous les étoiles d’automne. Quand vient la fin sur les falaises de marbre, on ne peut jamais dire pour qui sonne le glas. Rendez-vous à Bagdad, où mènent les mauvais chemins. Les connaissez-vous ? Rendez-vous avec la mort de Goupil à Margot, aux champs : c’est Mozart qu’on assassine. Le crime est notre affaire. Rendez-vous avec la mort ! La police est dans l'escalier, n’éteins pas la lumière, repose-toi sur moi : je suis une légende. Ça ira. Surveille tes arrières ! Si j’étais vous, si le soleil ne revenait pas, je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part. Sur la route, les chiens enterrés ne mordent pas la petite fêlée aux allumettes. Tels des loups affamés seuls les morts ne rêvent pas sous le soleil de minuit, et vous trouvez ça drôle ? Tout est sous contrôle : l’espoir fait vivre ; le prix à payer ? Il faut tuer Lewis Winter, l’homme qui venait du passé comme dans un miroir. Un homme se penche sur son passé : pourquoi j’ai mangé mon père ? Puisque je l’aime, c’est tout. On ne saurait penser à tout après la bataille : on achève bien les chevaux au château d’Argol ! Voulez-vous jouer avec moâ au château d’Argol en attendant Godot ? Envoyez les couleurs avant que le coq chante. Voulez-vous jouer avec moâ chez Krull, sous les étoiles d’automne, comme il vous plaira ?
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Benjamin Peret a écrit, dans son recueil "De derrière les fagots", un poème entièrement constitué de titres de films, dont voici un extrait : L’escalier aux cent marches L’aigle bleu et le démon des steppes dans le dernier fiacre de Berlin Légitime défense des âmes errantes le moulin rouge à l’école des mendiants attend l’étudiant pauvre Avec la bonne Chasseurs sachez chasser un jour de paie Chasseurs sachez chasser comme papa spécule avec le sourire (…)
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De l’extérieur à l’intérieur (10-15 minutes) : Lucien Suel descripteur, et vous ? À partir de la description partielle d’une sortie de la médiathèque d’Armentières, trouvée dans Tours et détours en bibliothèque : carnet de voyage, 2012, on intériorisera un ou deux états d’âme des personnages qui s’y trouvent. « Vu de l’extérieur : Trois personnages qui sortent, blousons marron et orange, grands sacs plastique à la main (dedans, des livres, peut-être des CD, des DVD) suivis par une adolescente en jeans et boots, trois-quarts à capuche, qui examine son téléphone. »
J’en ai eu pour cher, mais ça valait la peine de venir avec Michel et Jacques, pour une fois qu’ils ont une belle idée de sortie, ça m’a changé du ciné ou du café. Tous ces rayonnages, tout de même, ce monde que je ne savais pas accessible, c’est impressionnant, mais ils ont été de bon conseil et j’ai pu ajouter l’agréable à l’utile. Je ne le regretterai pas quand je pourrai regarder tout mon saoul le dernier Clint Eastwood, celui qui n’est jamais passé et ne passera jamais dans notre minable salle municipale. Et puis, ces romanciers inconnus, c’est s��rement un bon dépaysement qui m’attend. Ce qui est moins drôle, c’est qu’il m’a fallu traîner Marion avec nous, elle qui déteste les bouquins, elle va m’en faire baver quelque temps, rien que pour se venger. Elle n’a pas cessé d’envoyer et recevoir des textos, elle traîne les pieds à trois pas derrière nous, comme si elle voulait esquinter les boots que j’ai dû lui acheter il y a quinze jours. Je parie qu’elle est en train de changer d’amoureux. Et les Annales du bac que je lui ai trouvées pour réviser sa philo, ce ne sera pas le bon cadeau… Qu’est-ce que c’est casse-pieds, ces gardes alternées, quand c’est moi qui dois me charger du côté éducatif…
Notes de bas de page (10-15 minutes) : Un beau texte à saccager. On surchargera d’une dizaine de notes explicatives ou de commentaires ce court texte d’un grand auteur, afin de mieux le faire comprendre aux lecteurs novices. Ou afin de le rendre encore plus embrouillé ? À vous de choisir. Texte imposé :
« Quelquefois, comme Ève naquit d’une côte d’Adam, une femme naissait pendant mon sommeil d’une fausse position de ma cuisse. Formée du plaisir que j’étais sur le point de goûter, je m’imaginais que c’était elle qui me l’offrait. Mon corps qui sentait dans le sien ma propre chaleur voulait s’y rejoindre, je m’éveillais. Le reste des humains m’apparaissait comme bien lointain auprès de cette femme que j’avais quittée, il y avait quelques moments à peine ; ma joue était chaude encore de son baiser, mon corps courbaturé par le poids de sa taille. Si, comme il arrivait quelquefois, elle avait les traits d’une femme que j’avais connue dans la vie, j’allais me donner tout entier à ce but : la retrouver, comme ceux qui partent en voyage pour voir de leurs yeux une cité désirée et s’imaginent qu’on peut goûter dans une réalité le charme du songe. Peu à peu son souvenir s’évanouissait, j’avais oublié la fille de mon rêve. » Marcel Proust, Du Côté de Chez Swann - Première partie, 1913.
Côte : cette côte n’est ni flottante ni fausse ni sternale, mais biblique et personne n’a jamais su la situer anatomiquement. Voilà bien la faiblesse de ces romanciers modernes. Sommeil : un bon athlète doit particulièrement veiller à dormir au moins huit heures par nuit, et dans le calme. Cuisse : c’est là que les crampes sont les plus douloureuses, les footballeurs le savent bien. Corps : un corps sain, c’est préférable à une âme intellectuelle, tous les entraîneurs vous le diront. Chaleur : contrairement à une idée répandue, c’est le froid qui est le plus indiqué pour faire passer une crampe. Baiser : fortement déconseillé la veille d’une épreuve, cela risque de faire baisser l’influx nerveux et perdre de la vitalité. Courbaturé : un matelas inadapté est souvent à l’origine de troubles musculo-squelettiques, et il faut savoir investir dans son confort si l’on veut réussir. Poids : c’est l’ennemi, ou du moins le surpoids est l’ennemi, sauf peut-être dans les mêlées ouvertes, ou au lancer du marteau. Cependant, on ne saurait assez recommander une stricte hygiène alimentaire et un équilibre rigoureux entre la taille et le poids. Taille : voir la note précédente. But : le footballeur ne doit penser qu’à cela, au lieu de faire des rêves érotiques comme ce Marcel Proust.
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— Jewish Film Fests (@JewishFilmFests) December 4, 2019
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Cherchez Hortense, 2012, Pascal Bonitzer
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Kristen Scott Thomas Saturday - Only God Forgives & Cherchez Hortense
Usually you can rely on Kristen Scott Thomas like clock work. Admittedly some of her films are on the edge of a head fuck but that’s not necessarily a bad thing. If you take away the theme of this movie Saturday then it wasn’t really Kristen Scott Thomas that disappointed but the films themselves.
Only God Forgives helmed the same director as Drive, namely Nicolas Winding Refn and he used his handsome star vehicle Ryan Gosling to stare through this thai production which had as many lyrics as it had words spoken. I believe the main character though was Vithaya Pansringarm’s Chang. Chang was escorted by either two police officers or personal security guards and made it his life mission to kill off all the bad guys that hurt hookers or parents that force their daughters into the trade. I am not entirely sure what he tried to achieve with this single minded mission, maybe he hoped to abolish the prostitution system by the time his 8 year old daughter would be a grown up… it was all very unclear and hazy…
Refn used plenty of Godfather references and the highlight was the replicated restaurant scene, it almost felt like a tribute to Francis Ford Coppola.
The rest of the film however, was a diluted mix of muted actors and bursts of extraordinary violence that made the elevator scene in Drive pale in comparison. Ryan Gosling had as many lines and his gazes were as captivating, but the confusing mixture of flashbacks and present timelines weren’t clear to let you into his characters full story. Whereas his silent communication in Drive would fill in the story lines, in Only God Forgives it just posed more and more unanswered questions.The whole camera operation had something poetic about it which was fascinating but there was no satisfying climax at the end that made it all worth it.
All wasn’t lost though because when Gosling’s onscreen mother appeared, she took some of the confusion away. Kristen Scott Thomas’ Crystal was the exact opposite of the entire film production, brash, loud and as her name implies, she was crystal clear in naming things directly, especially situations or people she didn’t care for much.
“I take care of the yellow nigger. It’s clearly too much for you. Now get up and kiss your mother.” is just one of the highlights of her dialogues. She was walking and talking white trash and she looked the part. Compared with the recent French films I have seen her in, this new get up was incredible and she was utterly convincing and just proved how versatile she is as an actress! I may not approve much of the film overall, but her performance deserves recognition! She provided much needed release from the confusing script and gave us some straight if not evil clarity on her own selfish plans to save her drug business. I am still not sure why the film is called Only God Forgives but an alternate title could be Mommy Dearest.
We chose Cherchez Hortense as the second film and this being a French production were anticipating something along the lines of Dans La Maison, which was brilliant.
Unfortunately we were let down again and Cherchez Hortense felt more like a better made-for-TV movie. It was very confusing in the beginning and although I don’t normally think about titles, I wondered if I missed Hortense and that would make it all clear. Again, Kristin Scott Thomas’ was very convincing in her character but she wasn’t the main one. As much as I felt for Jean-Pierre Bacri’s Damien Hauer and his dysfunctional relationship with his father, I just didn’t believe his romantic inclinations with Aurore. There were no real sparks despite Isabelle Carre’s eyes being amazing! Also their son was a little shit! I said it in the beginning on first encountering him, but he just continued to be one and I had no sympathy for him. So my engagement with this film was lukewarm.
I still think we picked the better choices out of all the options. Otherwise we would’ve had to put up with Percy Jackson and The Smurfs 2.
#Only God Forgives#Cherchez Hortense#Ryan Gosling#Drive#Kristen Scott Thomas#review#movie#film#cinema
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#Cherchez Hortense#Looking for Hortense#Pascal Bonitzer#Jean-Pierre Bacri#Kristin Scott Thomas#Isabelle Carre#2012
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Cherchez Hortense [Looking for Hortense] (Pascal Bonitzer - 2012)
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#Kristin Scott Thomas#Cherchez Hortense#mine#m:film#uGH#this hairstyle#THIS FAYCE#why does the rest of the world even bother
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Kristin Scott Thomas
#The english patient#only god forgives#bel ami#The Invisible Woman#Cherchez Hortense#Ne le dis à personne#kristin scott thomas#blonde
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CHERCHEZ HORTENSE qu'ils ont dit? Cherchez plutôt Bacri, qui fait semblant de chercher Hortense pour Isabelle, qui fait semblant d'être une serbe malgré son accent parfaitement français...
On avait adoré le couple Bacri-Isabelle Carré dans Les Sentiments (de Lvovski), personne n'a oublié leur coup de foudre et leur passion qui crevait l'écran et les cœurs... On s'en rappelle d'autant qu'ils nous déçoivent tellement sur ce coup là!
Ils nous sont reviendus, tout vieillis, grimaçant leur rôles vides de toute émotion, pleurant des fausses larmes et analysant des faux rires en chinois puisqu'il faut faire semblant d'être branchés et exotiques et humanistes aussi et...
Ah oui! Bacri a un problème avec un père écrasant, en même temps, il est lui même tellement chiant qu'on a presque pas pitié...
Et il a aussi un problème avec sa femme avec laquelle il ne se passe plus rien, mais ce n'est pas Nicole Garcia comme dans Kennedy et moi, c'est juste Kristin Scott Thomas qui s'ennuie à mourir dans un rôle beaucoup trop étriqué pour elle...
Agnès Jaoui? Ils ont divorcé ou pas? On aimerait bien le savoir cela nous occuperait un peu pendant les longueurs de ce film-pour-ne-rien-dire qu'on ne sait déjà. En tous cas, elle ne nous manque pas; Bacri fait son cirque habituel pour eux deux, et il parait qu'elle occupe la France bienpensante qui s'aime à retomber dans les niaiseries de son enfance avec Du Vent des les Mollets.
Mais je me perds! Où en étais-je? Ne cherchez pas Hortense, il est nulle part; vous ne trouverez pas dans "le dernier Bacri" ce que nous avons tous tant aimé dans tous ses films; mais seulement des résidus bien usés et surfaits de son jeu qui a pris bien plus de rides que lui.
NOTE 9/10 - Ne passera pas l'hiver
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Cherchez Hortense
Pas mal de bons plans de la semaine à repérer dans ce film …
J’éviterai les faux raccords (yaourt et veste) parce que c’est facile.
Je garderai mon premier choix, ma première bonne impression :
Bacri, il vient de se prendre une bonne veste par Kristin Scott Thomas et il est un peu dans le yaourt. Alors il décide de faire un tour dehors.
Alors je ne sais pas si c’est la façon de filmer, d’éclairer, de tourner la caméra, de se placer à hauteur d’épaule, mais on retrouve notre Bacri sortant de son appartement parisien, quasi sur le perron. La caméra à côté de lui comme un bon copain.
Il fait nuit, il est 4h du mat. La caméra tournoie, et permet de découvrir les environs. Et là, qu’est-ce que je vois ?
Mais je connais cet endroit ; j’y suis passé de temps en temps… C’est devant l’église St Vincent de Paul, après la station de métro Poissonnière. Quand je me paumais souvent en passant devant cette station en vélo, après il fallait remonter une grande rue avec plein de voitures souvent embouteillée pour repartir direction Gare du Nord… C’était sportif. Et souvent, devant cette monumentale église, de l’autre côté de la rue, il y a un mini carrefour avec des menus commerces et il y avait toujours des personnes bizarres ici, toujours des actions bizarres, un lieu un peu foufou. Sans que je ne sache dire pourquoi, ce sentier m’intriguait. Je ne savais qu’en faire, je ne savais le classer, tout ce que je sais c’est qu’il fallait envoyer du braquet et qu’il y avait toujours quelque chose pour me distraire ici !!
Alors ce bon plan de la semaine ? Et bien, c’est un bien fou à ce moment du film, où Bacri sort prendre l’air à ce lieu là-même à 4 heure du matin. A l’écran on perçoit la fraicheur de la nuit, on perçoit les quelques voitures nocturnes. On voit même un vélo passer de gauche à droite sur cette route ! La lumière est celle de Paris la nuit : des noirs bouchés et des lampadaires distillant leur lumière jaunâtre-orangés, des enseignes parasites vertes ou roses, les feux tricolores. Il fait frais, l’air est réconfortant, le son n’est pas épuisant. 4h : C’est une belle heure pour sortir prendre l’air à Paris.
Alors moi je suis bien dans ce bon plan de la semaine. Avec mon copain Bacri, on toise l’environnement de l’église St Vincent de Paul. On se dégourdit le cerveau. On est ailleurs, on est là, on est frais. On est bien...
Il suffit d’un plan. Un plan souvenir, un plan réconfort, un plan parenthèse. On remonte sur col de veste et on remercie Pascal Bonitzer !
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