#cheikhats
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queerafricans · 2 years ago
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In Morocco, gender-challenging artists take to the stage
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themichigangayly · 3 years ago
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“Sexuality is not political in itself. It’s okay if sexuality motivates people to engage in politics, but sexuality itself comes directly out of nature; it cannot be pushed in one direction or another.” - Ghassan El Hakim
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Who is Ghassan El Hakim?
• Aqueer Moroccan lead singer and founder of Kabareh Cheikhats, a performing arts group about men who wanted to become shaykhāts or (شيخات): female entertainers who would perform folk songs and dances at weddings and other events.
• He aims is to rehabilitate this noble place for Cheikhats in Moroccan culture, restoring them to a glory they held before their reputation was defiled by the imperial French regime.
•The band seeks to identify the ways in which rigid conceptions of gender are harmful to individuals and society. Kabareh Cheikhats believe that in Morocco, but also in every culture around the world, people are pressured into accepting unnaturally narrow concepts of how we should act, what we should wear, and how we should express ourselves.
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sizarus-blog · 5 years ago
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Kabareh Cheikhats: The all-male musical troupe who dress up as women A group of men in Morocco have been exploring their femininity at night, paying tribute to the country’s female folk singers.
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destin-dhymen-blog · 5 years ago
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#10 - Ode au Marais.
J’interromps mes recherches poussées sur les meilleures façons de se défoncer avec de la noix de muscade Ducros afin d’écrire cette chronique. Elle porte sur les choses merveilleuses qui se produisent quand on arrête d’attendre qu’un homme médiocre réponde à un message et qu’on s’adonne à des activités saphiques en boîte gay.
Mardi soir dans l’appartement au 5ème étage rue Keller. J’effectue ma villégiature parisienne après des concours qui ont failli me coûter ma santé mentale une énième fois, et comme chaque fois que je suis dans la capitale, je ne suis ni sobre ni responsable. La soirée s’annonce casanière, en perspective un kiki avec deux sœurs. On boit et on parle, activités pour lesquelles nous sommes incroyablement qualifiées. Dernier groupe de pop libanaise découvert, cheikhates, plan pour détruire le patriarcat, dysphorie de genre, dernier émoi pathétique, tous les sujets sont bons pour nos gosiers que nous veillons à ne jamais laisser s’assécher.
Y est inquiète quant à sa vie de femme, je m’apitoie face à l’absence de réponse à une missive numérique, et N refuse totalement que trois individus aussi glamoureux passe un mardi soir peu mémorable à tourner le couteau dans des plaies peu agréables. « On sort. » Mais avant, on se prépare. Body en dentelle, béret en velours, manteau en cachemire. Aucune matière n’est superflue pour camoufler notre morosité. Une fois d��valés les 5 étages, exercice périlleux au vu de notre niveau d’hydratation, on se décide à faire de ce monde notre serviteur, lui qui a si pernicieusement essayé de nous réduire au statut de pleureuses de soir de semaine.
Les Souffleurs. Personne. Trois carafes de punch plus tard, on nous propose gentiment de quitter les lieux, et l’escouade déprimée mais néanmoins dégourdie se dirige vers une boîte gay dont le nom est condamné à m’échapper. N n’y avait pas remis les pieds depuis que son prof de français l’y avait entrainé, dans l’espoir de lui y déclarer une fois de plus, du haut de sa quarantaine dégarnie et de son statut d’expatrié méprisable, sa misérable flamme. Sur place, des personnages des plus curieux :
-          Un groupe de collègues venus fêter le départ de l’un les leurs. Ils sirotent nerveusement leurs gins to en se demandant ce qu’ils foutent là. Alors que je les observe, j’espère de tout mon cœur que mon hétérosexualité ne me trahit pas autant que la leur. Parmi eux, une jeune femme philippine, imbibée et joyeuse, essaye de jouer les entremetteuses.
-          Deux twinks américains, fraichement débarqués d’un Etat où la peine de mort est sans doute toujours appliquée, qui nous expliquent tout en tirant sur leurs Juuls goût mangue et fruit de la passion qu’ils ont quitté Paris pour Berlin, refroidis par l’amour germanique du cuir et de la techno.
-          Une espèce de militant écologiste breton qui soulageait son envie manifestement très forte de faire l’amour à Nicolas Hulot en le critiquant sur sa possession de voitures trop gourmandes en essence et en le traitant toutes les trois minutes de « faux écologiste vendu ». Il portait bien évidemment une marinière.
-          Un lourdaud classique, dont rien n’expliquait la présence, puisqu’il n’était en apparence ni homosexuel, ni accompagné. Ce mystère s’éluciderait pour moi quelques heures plus tard.
La musique est bonne, du moins je le pense, je ne m’en souviens pas. Mais je sais qu’on danse et se frotte à tout et à tout le monde. J’apprécie l’opportunité qui m’est offerte de danser avec des hommes sans sentir une mi-molle peu ragoutante pointer contre mes fesses ou mes cuisses après quelques minutes de collé-serré.
Dans le fumoir, je fais la rencontre de Nadia. Comme il en coutume entre deux femmes saoules, on se complimente pendant de longues minutes, avant que N ne me signifie que ce que je pensais être de la franche camaraderie féminine était en réalité hautement saphique. Ressentant le besoin de me sentir désirée, d’exprimer mon amour éternel pour le corps féminin, et de vérifier si le Seigneur a répondu à mes prières hebdomadaires pour me libérer de mon attirance des hommes, je ne rechigne pas quand N me pousse contre Nadia en quittant la pièce, geste accompagné d’un « Oups » sonore. Les baisers des femmes sont toujours si délicats. Je regrette toujours qu’à leur contact mon cœur ne s’emballe pas et que mon ventre ne se torde pas, alors que ces effets se produisent quand ce sont des lèvres d’hommes qui se déposent dans mon cou.
Quelques heures plus tard, retour dans le fumoir, je rencontre une femme qui me murmure son prénom, que je n’entends pas, à l’oreille. Je passe un quart d’heure à lui parler en observant du coin de l’œil N qui embrasse goulument le seul homme qui m’intéressait de la soirée, m’indiquant une fois de plus que peu importe le contexte, les hommes trouvent toujours un moyen de s’avérer décevants. La jeune femme blonde attire mon attention en me montrant ses tatouages, qui se démarquent particulièrement contre sa peau diaphane. Alors qu’elle finit d’étaler le rouge à lèvre que je venais de remettre sur mon visage, le lourdaud décrit précédemment nous interrompt, ressentant à son tour le besoin de nous expliquer qu’il nous trouvait très excitantes et qu’il aimerait finir la soirée avec nous. Tandis qu’on essaye de l’ignorer et qu’il tente de voler des baisers dans nos échanges, je m’interroge sur ce qui pousse les hommes à se sentir aussi bienvenus dans tous les milieux et tous les contextes, et je me demande si l’on peut synthétiser une molécule et la diffuser dans des chemtrails afin de neutraliser ce sentiment.
Je me rends aussi compte que, blonde ou brune, les moments charnels passés en compagnie des femmes me sont agréables mais jamais satisfaisants, je maudis Dieu et je retourne danser. Le mélodrame refait irruption quand N m’indique que ma polygamie nocturne a heurté Nadia. Consciente de la vexation extrême ressentie par une brune quand on la délaisse pour une blonde, je la rejoins, et nous sommes presque immédiatement interrompue par l’éternel lourdaud, qui s’immisce encore et toujours, suivant son raisonnement implacable selon lequel deux femmes qui s’embrassent sont sans doute à la recherche d’un homme. Bientôt une main me tire pour pouvoir attraper le dernier noctilien et je quitte Nadia.
Sur le trajet du retour, je me remémore tant que je le peux encore la succession des évènements dans leurs détails, et me rappelle soudain du premier domino qui a enclenché cette suite, ce message qui n’obtenait pas de réponse, je ris. Le reste du trajet est flou, je ne me souviens que du goût des pâtes au pesto mélangé à celui de l’eau micellaire.
Mercredi matin dans l’appartement au 5ème étage rue Keller. On continue de parler, reprenant les mêmes sujets que la veille comme si ces heures ne s’étaient jamais produite. Le soleil commence à percer, signe qu’il est l’heure d’aller se coucher.
Je ne sais pas pourquoi cette soirée fait l’objet d’une chronique, peut-être parce que ça me manque de faire n’importe quoi dehors un mardi soir, peut-être parce que N m’a menacée pour écrire dessus. Je vous laisse élucider ce mystère à votre tour, je retourne à mes recherches sur la noix de muscade et ses propriétés hallucinogènes.
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lollipoplollipopoh · 5 years ago
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Kabareh Cheikhats: The all-male musical troupe who dress up as women - BBC News by BBC News A group of men in Morocco have been exploring their femininity at night, paying tribute to the country’s female folk singers. They are challenging gender stereotypes through music and dance, with Kabareh Cheikhat. It comes as a survey carried out by the Arab Barometer for BBC News Arabic indicates that 65% of young Moroccan men believe it is important or very important to conform to media ideals of the male body. This has an impact on how men feel they should behave, and ideas about masculinity also impact how children are brought up. Please subscribe HERE http://bit.ly/1rbfUog
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channelhour · 5 years ago
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Kabareh Cheikhats: The all-male musical troupe who dress up as women
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pinktheoristcollector · 5 years ago
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worldnewsage · 5 years ago
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worldwidetrendingnow · 5 years ago
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queerafricans · 2 years ago
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A group of men in Morocco have been exploring their femininity at night, paying tribute to the country’s female folk singers.
They are challenging gender stereotypes through music and dance, with Kabareh Cheikhat.
It comes as a survey carried out by the Arab Barometer for BBC News Arabic indicates that 65% of young Moroccan men believe it is important or very important to conform to media ideals of the male body.
This has an impact on how men feel they should behave, and ideas about masculinity also impact how children are brought up.
Kabareh Cheikhats: The all-male musical troupe who dress up as women
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pleasantlyfulldetective · 5 years ago
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topnewsfromtheworld · 5 years ago
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hulusan · 5 years ago
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cheeksandshortscreeps · 5 years ago
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channelhour · 5 years ago
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