#changement d'affectation
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Underground - Basement An illustration of a medium-sized modern basement with a medium-toned wood floor, black walls, and no fireplace.
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Underground - Basement An illustration of a medium-sized modern basement with a medium-toned wood floor, black walls, and no fireplace.
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Bilan de cette relation:
Elle devait prendre fin initialement le 30 juin, date à laquelle je déménagerais, rendrais définitivement mes clefs et me consacrerais à ma vie nouvelle future. Or, j'ai bien fait les deux premiers mais le troisième est resté en suspend. En effet, ne sachant pas où je serais au mois de septembre, nous nous sommes dit que nous pourrions nous permettre de nous voir encore cet été. Cela fait déjà quelques jours que je suis rentrée chez mes parents, j'ai redouté ce moment pour moultes raisons dont une un peu fleur bleue. J'avais peur qu'il me manque. Passer de dormir tous les soirs avec quelqu'un, le voir bien 5 fois par semaine, aller au cinéma, faire l'amour, à , dormir seule, bosser, habiter chez mes parents, ne pas faire l'amour semblaient être des changements plutôt brutaux. Ne voyant pas de réelles attaches émotionnelles se créer, seulement affectives, j'ai quand même tenu à rester sur mes gardes. Le déni n'est jamais loin. Je ne vis pas mal le fait de ne pas le voir, en réalité, je ne crois pas qu'il me manque. En revanche, j'apprécie recevoir des messages de sa part et je garde le peu de batterie sociale que j'ai pour y répondre. C'est donc un signe, qu'en un sens, je le priorise par rapport aux autres. Je pense que cette relation n'est jamais que pour combler le manque affectif et de chaleur humaine que je peux ressentir. Sur cet aspect, il est excellent, sur les autres, moins. En 4 mois, j'ai eu un mal fou à obtenir des conversations avec ne serait-ce que quelques centimètres de profondeur. D'un point de vue intellectuel, il ne me stimule pas. C'est ce que j'apprécie pour une relation sur le court terme comme celle là , je ne réfléchis pas. Cela viendrait à me déplaire voire me contrarier si je vivais ça sur une plus longue période, ou si j'avais developper quelconques sentiments à son égard. Car cela soulignerait seulement que je peux être assez superficielle pour ne succomber qu'à un charme purement physique. C'est le point qui me rassure ici. Je reste donc convaincue que pour moi, ce qui me plaît le plus, c'est bien l'esprit d'une personne, davantage que son physique, aussi charmant et gracieux soit-il. Ce qui m'inquiète, c'est que je vais dans un endroit que je condamne, à savoir le non positionnement relationnel et émotionnel. J'ai toujours trouvé ça trop facile dans notre génération, cette capacité qu'on a à entamer les choses et lorsque cela se complexifie, juste arrêter net. Le manque d'effort aura marqué si ce n'est paramétré nos façons de faire/de penser. Ne prendre part à rien d'important au sein d'une relation. Si tout le monde faisait comme moi, et ce n'est pas loin d'être le cas, alors ce serait désastreux. Car ce que je fais là , c'est accepter de donner assez à quelqu'un pour recevoir assez le temps que cela cale nos appétits voraces et mutuels d'affection. En d'autres termes, nous nous gardons mutuellement sous le coude. Nous trouvons la relation assez avantageuse pour juger de ne pas la faire évoluer. Mais ce sont des avantages de lâches bien évidemment, des avantages de personnes bourrées d'ego, détruites par leurs histoires antérieues, qui ne croient en rien sauf en eux et qui ne s'en cachent pas. En un sens, on ne pourra retenir que l'honnêteté et la lucidité presque effrayantes de ces liens tissés grâce aux fils d'une crainte palpable de l'autre. Préférer ne pas se correspondre suffisamment pour être certains de ne jamais tenir assez à l'autre plutôt que se correspondre et risquer de se déchirer. Deux personnes absolument veules et dégoûtées par leur solitude émotionnelle de ces derniers mois. Rattraper le temps perdu avec la mauvaise personne et en avoir réciproquement pleine conscience. Je dois dire que c'est tout aussi agréable que parfaitement répugnant.
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L'amour c'est: la permanence du sentiment d'attachement, d'affection dans les changements de l'autre, dans les mutations et les remous de sa vie, quand on cherche comment ses courbes suivent les nĂ´tres
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Les Emplois transitoires utiles garanties, en moins de 2 mois*
*Dans la limite des stocks illimités disponibles
Introduction
Mis à part les multiples avantages déjà cités. j'ai découvert récemment que cela permet de réduire au maximum le taux d'inactivité sans créer de pénurie de la demande sur les postes permanant. En lisant ce qui précède vous pouvez comprendre que le chômeur est utile. Il est en fait indispensable à l'échelle mondiale. Si il n'y a plus de chômeurs, il n'y a plus beaucoup de main d'œuvre disponible... il y a toujours les étudiants, mais actuellement ils n'ont pas vraiment le temps. Effectivement un Revenu de Base Dégressif Linéaire semble une bonne idée complémentaire ! Et c'est plus que moins chère ! Quand tu l'fais bien**** ...
****Il n'y a pas de demandes à traiter, puisque le calcul est automatisé et c'est mieux calculé. Pas de plancher, le montant diminue de 33 centimes par euro déclaré/perçu (possibilité de déclarer un changement (une baisse de revenus) par avance, avec régulation en cas d'erreur) => Le revenu mensuel augmente de 66 centimes par euro gagné supplémentaire. N'est pas financé par l'impôt sur les revenus. Du moins pas intégralement. Les contrôles sont automatisés à 99%. Les donnés sont généralement puisées à la source, limitant au maximum les risques d'erreurs (Déclaration de revenus...)
Pas besoins d'attendre que le bénéficiaire trouve. On lui apporte un emplois, avec un préavis de départ réduit, qu'il est libre d'accepter...
Cela peut s'avérer utile pour les entreprises privées également. Et ne remplace pas intégralement l'Intérim.
Tu demande et tu reçois une offre en moins de deux mois. Si l'offre ne convient pas, tu redemande... En plus tu cotise quand tu travails ... Et consomme de la TVA ...
Rappel du principe
CLE NEWS — Combien ça coute, Combien ça coute ? (tumblr.com)
Les emplois transitoires consistent principalement à effectuer des tâches de soutien (Dans les domaines de l'entretient et rénovation de la voierie, Grands chantiers** et production d'H2 principalement, Intérim sur certains poste non qualifier également).
Il est probable que des postes peu rémunérateurs viennent s'y ajouter. (Offres non couvertes)
Un vivier suffisant de candidats permet d'assurer une main d'Ĺ“uvre continue
Des personnes placées sur des postes d'entretien et rénovation de la voierie dits "Non Urgents" pourraient permettre des changements d'affectation rapides. Mettre en place des agents professionnels de remplacement semble complexe mais permettrait d'amener le temps de prise en charge d'une rupture de contrat "spontanée" à 24H. En claire les chômeurs peuvent rénover (et entretenir) le patrimoine. Via des équipes à effectif variable. Le temps de trouver un emplois transitoire plus utile encore ou un emplois permanant. Cela réduisant le versement d'aides sociales... L'Etat peut financer les emplois des collectivités. Les équipes constituent des soutiens (gratuits pour les collectivités, hors cout du ou des Manager) aux Services Municipaux.
**Grands Chantiers
Gains de terres commercialisables par nivèlement, chantiers ponctuels de rénovation des berges (financés et réduisant les risques d'inondation) etc. Un vivier suffisant de candidats permet d'assurer une main d'œuvre continue, l'évolution vers des postes permanant reste envisageable. Seul des postes non qualifiés sont proposés. (formation sur poste inférieure à un mois)
L'H2, l'O2, l'énergie verte illimitée, les terres viabilisées etc. Tout cela se vend. D'autres postes sont envisageables.
Les postes proposés se trouvent systématiquement à une distance demandée par le bénéficiaire.
rappel : Durant une période d'emploi transitoire. Vous touchez l'intégralité du salaire correspondant au poste, plus un complément amenant votre salaire au niveau de votre dernier salaire "permanant", jusqu'à épuisement de votre portefeuille chômage. Qui s'épuise donc moins vite qu'en cas d'inactivité totale.
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développons davantage les différences entre le lifting du visage et la blépharoplastie, en expliquant chaque aspect en détail.
1. DĂ©finition et objectif
Lifting du visage (rhytidectomie) :
Description : C'est une intervention chirurgicale qui vise à rajeunir l’apparence du visage en corrigeant le relâchement cutané et en réduisant les rides. Cette opération peut améliorer la définition des contours du visage et redonner du volume aux zones affaissées, telles que les joues et le cou.
Objectifs :
Réduire l’apparence des rides autour du nez, de la bouche et du cou.
Resserre la peau et les muscles, en éliminant l’excès de peau.
RĂ©tablir un contour facial plus jeune et plus harmonieux.
Blépharoplastie (chirurgie des paupières) :
Description : La blépharoplastie est une intervention ciblée sur les paupières qui vise à corriger les imperfections liées à l’âge ou à la génétique, comme les poches sous les yeux, l’excès de peau sur les paupières supérieures ou inférieures.
Objectifs :
Éliminer les poches de graisse qui peuvent donner un aspect fatigué.
Retirer l’excès de peau et de muscles qui peuvent gêner la vision ou donner un aspect tombant.
Rajeunir le regard en apportant une meilleure définition et une apparence plus éveillée.
2. Technique
Lifting du visage :
Incisions : Les incisions sont généralement réalisées autour des oreilles et peuvent s'étendre dans le cuir chevelu. Cela permet de cacher les cicatrices.
Manipulation des tissus : Le chirurgien soulève et resserre les muscles du visage et du cou, élimine l’excès de peau et redrappe les tissus pour obtenir une apparence plus lisse.
Techniques avancées : Des techniques modernes comme le lifting endoscopique utilisent des instruments moins invasifs pour réduire le temps de récupération et les cicatrices.
Blépharoplastie :
Incisions : Les incisions sont réalisées dans le pli naturel des paupières supérieures ou juste en dessous des cils pour les paupières inférieures, ce qui minimise les cicatrices visibles.
Procédure : Le chirurgien retire l’excès de peau, graisse ou muscle. Dans le cas des paupières inférieures, des techniques de repositionnement peuvent être utilisées pour éviter une apparence creuse.
Type de blépharoplastie : Elle peut être supérieure, inférieure, ou les deux (combinées) selon les besoins esthétiques du patient.
3. Récupération
Lifting du visage :
Temps de récupération : Les patients peuvent ressentir un gonflement et des ecchymoses importants qui peuvent durer jusqu’à 2 semaines. L’activité physique intense est généralement déconseillée pendant un mois.
Suivi post-opératoire : Des visites de suivi sont nécessaires pour surveiller la guérison et vérifier que tout se passe bien.
Blépharoplastie :
Temps de récupération : La plupart des patients constatent que le gonflement et les ecchymoses diminuent généralement après une semaine, et beaucoup peuvent retourner à des activités légères après 5 à 7 jours.
Suites : Des gouttes oculaires peuvent être prescrites pour soulager toute irritation, et des soins spécifiques peuvent être nécessaires pour la cicatrisation.
4. RĂ©sultats
Lifting du visage :
Apparence : Les résultats sont souvent spectaculaires et peuvent donner un aspect visiblement rajeuni, en restaurant les contours naturels du visage. Cependant, le vieillissement continu affectera progressivement l'apparence.
Durabilité : Les effets peuvent durer entre 5 à 10 ans, mais cela varie en fonction de l’âge, de la génétique, des soins de la peau et du mode de vie.
Blépharoplastie :
Apparence : La chirurgie peut donner un regard plus jeune, éveillé et rafraîchi. Elle ne modifie pas la structure générale du visage, mais améliore l’apparence des yeux.
Durabilité : Les résultats peuvent durer de 5 à 7 ans. Cependant, comme pour le lifting du visage, les changements liés à l’âge continueront d'affecter l'apparence.
5. Risques et complications
Lifting du visage :
Risques : Comme pour toute chirurgie, il existe des risques tels que des infections, des hématomes, une réaction à l’anesthésie, des cicatrices visibles ou une asymétrie.
Complications : Des complications plus rares incluent des engourdissements persistants ou des changements de la sensibilité cutanée.
Blépharoplastie :
Risques : Les complications peuvent inclure des infections, des problèmes de cicatrisation, une sécheresse oculaire, ou des yeux qui peuvent apparaître trop "ronds" ou asymétriques si le trop de tissu est enlevé.
Complications : Bien que rares, il peut y avoir des problèmes de vision temporaires ou des douleurs prolongées.
6. Candidats
Lifting du visage :
Profil : Idéal pour les personnes présentant des signes visibles de vieillissement, telles que le relâchement cutané, des rides profondes, et un excès de peau au niveau du cou. Les patients sont généralement âgés de 40 à 70 ans.
Attentes : Il est essentiel que les candidats aient des attentes réalistes et comprennent que le lifting du visage ne prévient pas le vieillissement futur.
Blépharoplastie :
Profil : Elle peut être effectuée sur des patients plus jeunes qui présentent des problèmes d’aspect liés aux paupières ou des signes de vieillissement prématuré. Elle est également courante chez les personnes âgées.
Attentes : Les patients doivent comprendre que la blépharoplastie améliore l'apparence des yeux, mais ne traite pas d'autres signes de vieillissement du visage.
Conclusion
Le choix entre un lifting du visage et une blépharoplastie dépend largement des préoccupations esthétiques spécifiques de chaque patient et de la zone du visage qu'ils souhaitent traiter. Une consultation avec un chirurgien plasticien expérimenté est essentielle pour évaluer les besoins individuels, discuter des options, des risques, et définir un plan de traitement approprié. Chacune de ces procédures peut améliorer l’apparence du visage et contribuer à une meilleure confiance en soi, mais il est crucial de s'assurer que le patient a des attentes réalistes et est bien informé sur ce qui peut être accompli par chaque type d'intervention.
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1. Le Concept de la "Sous France"
La photographie est bien plus qu'un art pour moi; c'est une thérapie puissante qui m'a aidé à surmonter des états émotionnels fragiles et à combattre la xénophobie. Mon projet photographique, intitulé Sous-France, reflète à la fois mes souffrances personnelles et les réalités sociales de mon quartier populaire.
Définition et résonance : Le terme "Sous-France" résonne profondément, évoquant les réalités complexes et douloureuses des quartiers populaires. Il symbolise les souffrances et défis socio-économiques vécus par certains citoyens, souvent marginalisées et souvent confrontées à des discriminations systémiques ancrées dans les structures sociales et institutionnelles qui perpétuent les inégalités. Impact personnel: Pour vous, la "Sous-France" est plus qu'un concept ; c'est une réalité vécue. La douleur du racisme et des injustices subies a éveillé en vous une passion pour la photographie, transformant les cicatrices de votre enfance en une forme d'expression artistique à l'âge adulte.
Clarification de l'appellation: Il est crucial de noter que cette appellation n'est pas une critique de la France, ce n'est pas de l'anti France, mais plutôt une reconnaissance sincère des défis réels et à renforcer les valeurs universelles. 2. La Charge Raciale et mon travail photographique Charge Racial: "La charge raciale", comme décrite par Douce Dibondo, implique des efforts constants pour se conformer aux attentes de la société majoritaire, fréquemment au détriment de l'identité personnelle. Vos photographies capturent cette tension entre l'authenticité et les difficultés pour être accepté. Exploration authentique: Mes œuvres photographiques explorent cette "Sous-France" de l'enfance. Chaque photo est un acte de résilience, documentant la diversité et les richesses culturelles des quartiers populaires, et offrant une fenêtre sur les réalités quotidiennes des habitants. 3. La Psychogénéalogie et mon Histoire Psychogénéalogie & traumas transgénérationnels: La psychogénéalogie explore comment les traumatismes non résolus et les secrets familiaux sont transmis de génération en génération. Les descendants portent les conséquences émotionnelles et psychologiques des événements historiques vécus par leurs ancêtres. Lien avec la Guerre d'Algérie et la colonisation : La guerre d'Algérie est un traumatisme majeur dont les répercussions se font encore sentir aujourd'hui. Les non-dits et les souffrances non exprimées continuent d'affecter les descendants colonisés. À travers mon travail photographique, j'ai pu évacuer ses traces silencieuses de cette guerre, de la colonisation, révélant des blessures intergénérationnelles invisibles, mais profondément enracinées. Cette souffrance, c'est vivre sous le poids de la "charge raciale" et des héritages psychogénéalogiques et des traumas transgénérationnels. Objectifs de Vos oeuvres: Mes photos célèbrent la résilience et la diversité, tout en soulignant l'importance de la compréhension et de l'empathie pour surmonter les peurs et promouvoir la tolérance. Combat contre l'extrémisme : J'utilise cet art pour combattre les peurs, résister à la normalisation de l'extrême droite, et rejeter l'extrémisme religieux. Mes images sont des outils pour sensibiliser et éduquer, favorisant une société plus inclusive et tolérante. Mon travail photographique est une exploration poignante et authentique de cette "Sous-France". En capturant les réalités vécues avec des héritages historiques, j'utilise l'art comme moyen de résilience personnelle et de dialogue social. Mes œuvres encouragent la compréhension, l'empathie, et la tolérance, tout en résistant aux forces de l'extrémisme. Ce parallèle entre la charge raciale, la psychogénéalogie, les traumatismes transgénérationnels et le travail photographique démontre comment l'histoire personnelle et collective peut être transformée en une force pour le changement et la cohésion nationale.
#miloud kerzazi#fuji x100#chatellerault#france#portrait#fuji#freedom#racism#sous france#street#streetphoto#streetphotography#sousfrance
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France
Les Inrockuptibles, 11/6/97
hallelujah
par Jean-Daniel Beauvallet
On n'oubliera jamais la première fois où l'on a entendu Jeff Buckley, il y a trois ans : à l'évidence, on assistait à la naissance fulgurante d'un artiste majeur. Surdoué à la fragilité impressionnante, il faisait immédiatement don d'un album appelé à devenir un classique et promettait d'aussi belles choses à venir. Elles ne viendront pas.
On avait très bien connu son père. Pour s'être trop souvent perdus dans la débauche de se "Happy time", de ses "Happy sad", on savait déjà que cette famille était infréquentable pour qui voulait gérer, à la baguette, ses émotions. Trop de liberté pour nos organismes habitués à la climatisation, trop d'espace pour nos oreilles domptées : on peut dire que la découvert de Tim Buckley nous fit gagner du terrain, mais aussi perdre les pédales. Pour la première fois, vague à l'âme s'écrivait divague à l'âme. Pour la première fois, un musicien portait son sexe, gigantesque, au milieu du front et n'avait pas l'air ridicule - un rien Jumbo l'éléphant - de Jim Morrison. Toutes les chansons de Tim Buckley dégoulinaient de sexe et donc de mort.
On n'a jamais été particulièrement à l'affût des dynasties, des Monaco aux Lennon, ces histoires de mauvais sang et de cuillers d'argent - même le fils de Leonard Cohen devra, on y veillera sévèrement, passer son examen de passage comme les autres. Mais lorsque débarquèrent les quatre titres de "live at Sin-é", le premier maxi de Jeff Buckley, enregistré au coeur de l'intelligentsia bohème de New York, on se prit immédiatement d'affection pour cette voix voltigeuse qui psalmodiait l'insensé, pendant qu'une guitare étranglée mais brutale s'offrait de spectaculaires torsades. Jeff Buckley y révélait déjà un goût prononcé pour le papillon en milieu hostile, prenant tous les risques de noyade sur des reprises gonflées de Piaf ou Van Morrison. On sentait déjà Jeff Buckley largement au-delà de la peur du ridicule, de la chute - il faut se détester pour se mettre à ce point sur la selette, pour s'exposer en première ligne aux balles. On connaît peu de premiers singles possédant une telle ferveur, un tel panache : il y avait là de quoi, déjà , haïr ou adorer Jeff Buckley ? Lui avait visiblement choisi son camp : se détester. Trop beau, Jeff Buckley ne parlait pourtant de son corps qu'avec dégoût, s'amusant constamment à s'enlaidir. Là où tout autre artiste aurait tenté de tuer le père - ce cher étranger dont, malgré les ordres stricts de sa maison de siques aux journalistes, il parlait d'autant plus volontiers qu'il ne le connaissait presque pas - , lui décida de se tuer. A 13 ans. "Pour l'état civil", nous confiait-il, "je suis Scott Moorehead. Mais ce nom appartenait au passé : c'était celui de mon beau-père. Et puis ce prénom, Scott, j'en avait assez de l'entendre chargé de reproches : "Scott, fais pas ci, Scott, fais pas ça." Il me fallait une nouvelle identité pour me détacher de cette première vie, un changement radical, devenir quelqu'un d'autre, devenir quelqu'un, tout simplement. Je n'étais rien. C'est là que je suis devenu Jeff Buckley."
Sur les premières photos de presse - il fallait alors supplier les labels pour obtenir les photos de Buckley, o tempora o mores - on reconnut, stupéfait, le portrait appris par coeur au dos des pochettes de "Greetings from LA" ou "Starsailor" : ce regard plein de morgue et de tristesse scellera, plus que tout test génétique, la filiation entre les deux hommes à la beauté énervante. Ainsi parlait alors Buckley junior : "Je me fiche d'être un chanteur de gospel ou un gospel de blues, mais il y a quelque chose dans ma musique qui ouvre les portes de mon subconscient. Quand je chante, c'est comme si un mystérieux individu s'insinuait en moi."
Sur le moment, on ne se posa pas la question : qui s'introduisait ainsi en Jeff Buckley ? Le père, le diable, ou le Saint-Esprit ? A l'époque uniquement distribué par le petit label Big Cat, ce maxi dormira longtemps dans les placards de la major Sony, qui avait entre-temlps hérité de l'enfant chéri des bas-fonds chic de Manhattan. Décente ou plus vraisemblablement ignorante, sa major américaine n'utilisera jamais les écoeurantes mauvaises manières du marketing pour "créer le buzz", "lancer le produit" : on évitera ainsi les stickers "Vous avez aimé le père ?Vous adorerez le fils" ou, plus élégant dans la dégueulasserie, "Jeff Buckley tue le père". Au début de l'été 94, sa filiale française distribuera, à tout hasard (personne ne pouvait alors imaginer que cet album exigeant obtiendrait un disque d'or ici même), quelques cassettes aux plus pressants quémandeurs. Pendant des semaines, on détesta "Grace". Mais avec cette suspicion admirative que l'on réserve à ceux dont on sait qu'ils nous domineront un jour, sans rémission.
Pendant ces quelques semaines d'été où "Grace" ne fut qu'une cassette, on s'amusa à résister à cette musique à la liberté affolante, bien décidé à ne pas céder à ses caresses griffantes, à faire monter le plaisir dans un prélude à l'érotisme déstabilisant. "Trop doux et enivrant, je me sens en déséquilibre" susurrait "Lilac Wine", première grande victoire de cet album qui allait infliger à nos réticences de lourdes pertes. Car tour à tour, chacune des chansons de "Grace" devint notre favorite, se vengeant sauvagement de ces quelques semaines où on leur avait fermé la porte, brisant toute paix intérieure, mettant les pieds sur nos convictions, humiliant nos discothèques. Curieusement, le même mois sortait "Dummy", l'album de Portishead. Si un jour on vous demande à quoi ressemblait la musique la plus belle et la plus capricieuse écritre dans les années 90, vous n'aurez qu'à répondre "Au mois de septembre 94." Lui aussi asservi par ce disque obsédant, Gilles Tordjman écrit, dans la chronique de cet album du mois des "Inrockuptibles" : "Pas besoin de trente-six écoutes pour deviner que ce Prométhée stupéfait ira aussi loin que sa course à l'abîme le lui permettra.Il est de ceux qu'André Suarès nommait "les grands vivants" : ceux pour qui la sensation d'exister ne se goûte que sur fond de risque permanent. Il est de ceux qui vont trop loin. Tout son disque proclame une logique de l'outrepassement, où le beau et le laid, le bien et le mal n'ont plus cours. Jeff Buckley est au-delà du goût. (...) La transe n'est pas prosélyte : on peut choisir de ne pas y entrer, pour goûter ailleurs des plaisirs plus raisonnables. Il est dès lors parfaitement concevable de ne pas entrer chez Jeff Buckley comme on se refuse, pour certains, à entrer chez Albert Ayler ou chez Oum Kalsoum. Mais il faut alors savoir ce que l'on perd : une certaine qualité du vertige sauvage, une cruauté de la joie, une algèbre des extrèmes."
On rencontra Jeff Buckley pour la première fois à Atlanta, la lugubre capitale d'un Etat - la Georgie - qui, partout ailleurs, n'est que beauté sur terre. Parfaitement inconnu en Amérique, où son nom est maudit, Jeff Buckley joue ce soir-là dans un chouette petit club tout noir du quartier latin de Little Five Points. On ressortira dans la nuit douce de Georgie passablement secoué : la température avait mystérieusement dégringolé de dizaines de degrés en moins d'une heure, la ville avait changé, la vie avait changé. Pas une de ces conversations débonnaires d'après-concert, aucune envie d'aller s'en jeter un dernier : Jeff Buckley nous avait donné de quoi tourmenter l'esprit pendant de longues heures. Car rarement jusqu'alors s'était-on pris un concert dans les tripes avec une telle violence : ce qu'on vit sur scène était insensé, proprement inhumain. La guitare priait, la voix faisait des ronds de fumée, la batterie était tour à tout caressée et massacrée, la basse fouettait, claquait. On y vit un Jeff Buckley tellement habité par ses chansons que ses yeux se révulsèrent, préférant fermer les volets que de tenter d'apprivoiser la tempête qu'il venait de semer. Quand il rouvrit les yeux, l'orage momentanément éloigné, on sentit qu'il était allé très loin - son air hagard en diasit long sur son jet-lag. On y commpris ce que les anciens appelaient transe, quand la musique devient ce poison complexe qui attaque les sens, se fraie un passage vers les zones les moins fréquentables du cerveau et tire les ficelles. "Pour moi, la transe, c'est la parfaite unité entre ce corps et cet esprit. Il n'y a plus la moindre séparation entre ce que je dis et ce que je ressens. C'est comme le sexe : il arrive un moment où on ne peut plus intervenir."
Jeff Buckley, ce soir-là , avait totalement perdu le contrôle, comme le chantait Joy Division. C'était fascinant mais aussi très inquiétant, car on savait qu'il ferait forcément de mauvaises rencontres sur la face cachée de sa cervelle. Impression confirmée lors d'un entretien difficile, où l'on sentit Jeff Buckley déjà un peu largué, un peu absent, plus Foudre Bénie que rock-star gérant sa carrière à l'économie. On écrivit alors "S'il résiste aux démons familiaux - mal vivre, drogues et excès - , Jeff Buckley faussera à jamais compagnie au père castrateur." Car l'entretien confirma, sans la moindre esbroufe de rigueur anglaise, sans le moindre goût pour le spectaculaire, que Jeff Buckley était prêt à tout, ennemi de toute idée de raison, sa musique et sa vie marchant précisément main dans la main sur la même corde raide : "Depuis ma plus tendre enfance, j'ai toujours détesté le confort. J'étais un casse-cou qui refusait la stabilité." Ou, quand on lui demande s'il existe des moyens artificiels d'atteindre l'extase qui irradie son visage sur scène : "J'aime prendre de la drogue. Il n'y a rien de mal à ça, elle ouvre de nouvelles voies. Le danger, c'est de tout mettre sur le dos de la drogue, de ne plus accepter ses responsabilités en faisant porter le chapeau à l'héroïne. Là , on devient comme un aveugle qui ne peut plus sortir sans son chien. Et le chien ne sait pas forcément où traverser la route, comment éviter de se faire écraser. Je pourrais m'en passer mais entre elle et moi, c'est une vieille histoire qui remonte à l'enfance." Horriblement attachant, il saura traduire en quelques mots - ces mots simples que l'on cherchait, depuis des semaines, du mauvais côté du dictionnaire, vers la poésie - ce qui faisait de son disque une expérience aussi étrange, aussi perturbante : sa féminité. "Ma mère était magnifiquement tolérante, on passait de la joie de Sly and The Family Stone à Judy Garland sans se poser de questions. L'éclectisme, c'est une vraie qualité de femmes.Les garçons sont tellement sectaires." Il nous le confirmera un an plus tard : "Moi, je n'arrive pas à chanter comme un enfant : je chante comme une femme." A Atlanta, on avait cru au miracle, on s'était sentis les témoins privilégiés d'un concert qui dépassait totalement le frêle Buckley, qui l'avait submergé, doublé sur la bande d'arrêt d'urgence. Quelques semaines plus tard, au Passage de Nord-Ouest parisien, il rééditera le même exploit - effrayer, terrasser, séduire et brûler - avec un concert totalement différent mais tout aussi vital. Beaucoup y pensent encore quand on évoque, au nom de la musique, la liberté d'expression.
Son album à peine sorti, Jeff Buckley s'interroge déjà sur ses rapports avec une industrie qu'il sait inadaptée à ses besoins.à ses envies de durer comme ça, à son petit niveau, sans progresser, sans objectif autre que de survivre de sa musique. Car les choses sont immédiatement claires : il est la plus belle star que l'on ait rencontrée depuis des années mais, exactement comme Beck, se passerait volontiers de ce charisme - cette malédiction, ce boulet. Il a beau affirmer n'être là que pour la musique, se dégoûter lui-même physiquement et mépriser les gazettes de la mode, on sait déjà qu'une telle personnalité ne jouera pas éternellement pour les étudiants new yorkais du café Sin-é. Triste milieu, avec sa dictature du plan de carrière, où l'on est condamné à triompher ou à échouer mais jamais à simplement vivre son petit bonhomme de chemin - heureux Miossec ou Nick Cave, préservés de cette course au maillot vert de meilleur sprinter par leurs labels indépendants, ravis même quand ils arrivent dixième de l'étape, pourvu qu'il arrivent dix ans de suite dixième de l'étape.
En quelques mois, on revit souvent Jeff Buckley, devenu star en France, où son romantisme déglingué allait trouver son plus beau refuge sur terre. Il offrit ainsi, au Bataclan, un concert phénoménal, à la tension presque intolérable physiquement. La tournée "Grace", débutée en 94, durera deux ans - un des plus scandaleux pressage de citron jamais vu de l'histoire de la musique récente. Car Jeff Buckley n'est pas ce surhomme auquel, à longueur d'épuisantes tournées américaines, de faire le beau à la radio, puis de signer quelques albums chez le disquaire local avant d'affronter le mépris, l'hostilité ou, pire, l'indifférence de publics pour qui il est, trop souvent, la simple première partie, la bande-son des Budweiser d'avant-concert.
C'est à cette époque que l'on revit Jeff Buckley à Cleveland. Epuisé, recroquevillé, coincé dans une machine standardisée - celle à fabriquer les tubes, en pressant les hommes -, il ne parle plus en phrases, mais en murmures monotones. En moins de vingt mois, il a vieilli de dix ans, se sent pris au piège. Son regard est spectaculairement absent, fixant pendant toute l'interview un point de la pièce - on regarda après son départ : juste un mur, tout blanc.Lui qui ignorait jusqu'alors tout de la langue de bois se rend compte qu'au pays de Kurt Cobain, il vaut parfois mieux être économe de son soufre, radin d'une inadaptation que l'on a vite fait de transformer en argument promotionnel. Bref, Jeff Buckley TM échappe un tantinet à Jeff Buckley. "Tant de conneries sont racontées sur les morts mythiques du rock - et je suis bien placé pour en parler. Tant de lâches ont besoin d'artistes pour vivre, par procuration, le danger... Des gens, autour de moi, me poussent aux excès et ont l'impression de les vivre à travers moi. C'est si romantique et si confortable d'envoyer les autres au casse-pipe à sa place."/FONT>
Ce soir-là , en première partie humiliante de Juliana Hartfield, à l'Agora, triste hangar à musiques de Cleveland, on trouva Buckley le geste morne, le chant absent, le désir maltraité. Sa musique, autrefois faite d'étincelles et d'inouï, rentrait dans la norme, dans sa coquille, dans la routine.A aucun moment Jeff Buckley ne sembla traversé, transpercé comme à ses débuts, par ses propres chansons. Il les évite, les étire sans joie, les aligne comme autant de petites défaites contre lui-même. Lui que l'on avait trouvé guitariste ahurissant - alors qu'on ne regarde pas ces choses-là d'habitude - traite son instrument comme l'impose le rock : sans grande imagination, parce qu'il faut bien faire du bruit. Riend e cet amoureux, qui quelques mois avant nous confiait : "Pour moi, la musique est intimement liée à la guitare, il est normal que je cherche à en explorer toutes les possibilités." Comme si, après avoir épuisé le Kama-Sutra sonique, il n'accordait plus à sa guitare que quelques paresseuses baises en missionnaire."Depuis un an, je n'ai pas été capable d'écrire une chanson. Toujours en tournée, pas moyen de prendre la moindre distance. Mes muscles se sont atrophiés, la frustration devient physique. Je me sens cheap et inutile.Il faut que je me remette à écrire. Quand je me vois, j'ai honte : je ne suis qu'un pantin traîné de salle en salle."
On se mit alors en colère contre sa maison de disque américaine, esclavagiste sans foi ni loi qui mettait ainsi en péril ce que Buckley - scandaleusement gâché à faire le VRP de ses chansons - possédait de plus précieux : écrire et jouer. Son dernier concert parisien eut lieu quelques semaines après, dans un Olympia à la religiosité rare. Depuis, on ne communiqua plus avec Buckley que par dépêches : il était en studio, avait enregistré avec Pati Smith (son rêve d'enfant), avec Tom Verlaine, avec John Cale. On a attendu, attendu, mais la bonne nouvelle n'est jamais venue. Des sources incertaines nous affirmèrent qu'un album avait été achevé mais repoussé par sa maison de disques, à laquelle il fallait désormais du concret, de l'or massif. Il y a un mois à peine, son management nous téléphonait : Jeff Buckley, désormais trentenaire, pourrait nous recevoir cet été, sur le mixage d'un album qui devait sortir début 98. Il était, depuis février, en studio à Memphis.
Le jeudi 29 mai, il partit se promener au bord du Mississipi, avec son ghetto-blaster et sa guitare. Selon ses amis, il aurait été emporté, alors qu'il jouait sur les bords du fleuve malgré une pluie battante, par la vague provoquée par un navire. Une autre personne affirme pourtant l'avoir vu faisant la planche sur le dos, tout habillé, dans les mêmes eaux boueuses du Mississipi. Il chantait à tue-tête. Une de ses chansons disait : "Mon temps s'écoulé, je n'ai pas peur de mourir. La pluie tombe et je sais que mon heure est arrivée. Elle me rappelle le chagrin que je laisserai peut-être derrière moi. Et je les sens noyer mon nom."
#jeff buckley#jeffbuckley#France#Les Inrockuptibles#11/6/97#hallelujah#Jean-Daniel Beauvallet#french tribute
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Et la place de l'homme aujourd'hui
Vendredi soir j'organisais un dîner intimiste chez moi avec quelques amis et une personne que j'avais mal jugé.
Tous de sexe masculin.
Passé le traditionnel "Alors Marie, on en est où côté coeur?"
Suivi d'un souffle exaspéré de ma part "Nulpart! Et je fais une pause, les mecs traumatisés par leur ex je commence à saturer un peu là "
Le ton de la conversation est léger, nos verres remplis de vin, et la discussion s'en va bon train sur nos aventures respectives.
"Moi franchement, j'ai du mal à me positionner et savoir où est notre place pour nous les hommes aujourd'hui auprès de vous" me confesse l'un de mes amis
Je comprends que leur place ait évolué en même temps que les codes de notre société, lentement mais sûrement...
Du ressenti général, au fil de nos échanges, le féminisme ambiant, les "Me Too" et l'ouverture de la déclaration des genres ont l'air d'avoir laissé les hommes hétérosexuels complètement dubitatifs quant au rôle et aux actions qu'ils peuvent ou non prendre auprès de nous.
De mon point de vue, je trouve que cette interrogation est positive.
Elle montre un certain changement de considération et de respect de nos frontières féminines et de la façon dont elles doivent être appréhendées pour inclure notre dimension complexe d'être humain, de femme, de mère mais aussi de membres carriéristes à part entière de notre société moderne.
Un ensemble de rĂ´les qu'il ne tient qu'Ă nous de prendre ou pas et plus Ă une cohorte d'hommes en guinguette.
Pour être clairs, je trouve en ce qui me concerne que nous sommes encore bien loins d'une belle égalité tant convoitée entre nos amis masculins et nous-mêmes.
Ne serait-ce qu'en nous intéressant d'un peu plus près à la différence de salaire de 20% en moyenne pour un poste / compétences égal, ou au manque d'intérêt pour la recherche médicale/ le gouvernement d'affections purement féminines comme l'endométriose.
Ne nous mentons pas, sans partir dans le cliché, nous aurions déjà trouvé une solution à ces messieurs si le problème avait touché leurs attributs virils plutôt que les nôtres.
Bref - tout ça pour dire que NON, nous n'y sommes pas encore.
Cependant je conçois tout à fait qu'un homme qui veuille faire les choses correctement avec une femme de nos jours, doute de son champs des possibles en matière d'initiative, qu'il s'agisse de payer le restaurant ou d'initier le premier baiser.
A ce niveau là nous sommes toutes différentes et j'ai envie de dire qu'il faut savoir repérer les signes et les valeurs de la personne en face.
Personnellement je ne fréquente que des gentlemen, éduqués à "l'ancienne" par des mères intransigeantes qui leur ont inculqué qu'une femme ça se respecte avec une sorte de vénération.
Le genre qui te demande si tu aurais quelques heures à lui accorder autour d'un bon dîner, qui passe te chercher ou qui t'attend devant la porte même si tu as plus de 30min de retard...
Ceux qui se placent entre toi et la foule instinctivement pour que tu ne te fasses pas bousculer en soirée, qui te proposent leur veste si tu as froid, qui t'écrivent à peine après t'avoir quitté pour te remercier de ce moment que tu leur as accordés, ceux qui te montrent qu'ils te considèrent en écoutant et en s'impliquant sur ce que tu peux leur partager.
Ils ne sont pas parfaits, personne ne l'est, mais ils valorisent ton temps et ton attention, et les miens (tout comme ceux de n'importe quelle personne ayant pris conscience de sa valeur) sont tout bonnement trop précieux pour être distribués à la volée à des personnes qui ne se conduisent pas avec ce niveau de respect, considération et droiture.
Quant à : "Oui mais qui paye au restaurant/au bar?" j'ai envie de vous dire qu'un principe d'égalité présage toujours de bons augures, mais que la galanterie inciterait un homme qui invite une femme à un rendez-vous de l'inviter en premier pour lui montrer par ce geste qu'il a les épaules pour prendre soin d'elle même si elle est parfaitement capable de le faire seule.
Je paye toujours la deuxième tournée, le deuxième repas, pour montrer à mon tours que la relation n'est pas intéressée, que j'apprécie le geste mais que nous sommes égaux.
Tout comme je veille toujours à mon apparence, (mais encore une fois ceci ne concerne que moi) quand on m'invite à l'extérieur.
Je prends beaucoup de fierté à ce que tous les regards soient fixés sur mon prétendant et moi-même, à voir ses yeux briller d'admiration quand il me voit arriver, et de reconnaissance quand il voit ceux des autres rivés vers nous, d'avoir la chance d'être celui à qui j'ai dit oui.
De manière générale, j'aime également prendre mon temps physiquement parlant, et n'accorder que peu de rapprochements avant le troisième date (ma dernière expérience et exception ne fait que me confirmer que c'est le bon chemin pour moi), juste le temps qu'il faut pour instaurer un début de confiance et d'intimité qui ne soient pas basés que sur le physique - quand bien même je n'aurais aucune attente de relation à long terme par la suite.
C'est plus une question d'intimité et de qui je choisis de faire rentrer dans la mienne.
Pour revenir à nos moutons, vous l'aurez compris, ici il ne s'agit que de mon mode de fonctionnement personnel et chaque femme est différente.
Tout comme il n'y a pas que des hommes honnêtes et sincères, la même vérité arpente la légion de femmes célibataire actuelle.
Savoir juger l'autre et ne pas trop lui donner sans avoir vu de réel investissement mutuel réside de l'art martial que seuls les sages parviennent à maîtriser.
La prise d'initiative doit se faire en fonction des signaux, regards, gestes, atmosphère, et globalement de mon côté j'ai pris le parti de toujours initier le premier rapprochement quand je l'ai décidé, dans le sens où j'aime "chasser" et j'aime également le respect et la peur qui vont derrière un homme hésitant.
Cependant une fois ou deux, après des heures de discussion et une bonne bouteille de vin, voir mon date se lancer et partir à l'assaut de mes lèvres avec énormément de déférence sans plus pouvoir se retenir, je dois bien avouer que je trouve ça exquis.
Voilà pour les notions de considération de base, qui ne font pas tout bien évidemment, et ne garantissent aucunement de l'authenticité et de la sincérité d'un homme qui vous courtise avec envie.
Ils sont toutefois de bons indicateurs de comment vous pouvez vous attendre à être traitée par la suite.
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Le changement d'affectation des bâtiments peut constituer une infraction aux règles du PLU
Un changement d’affectation de constructions régulièrement édifiées, passant d’un usage industriel à une activité artisanale, peut constituer une infraction aux règles du PLU, au sens de l’article L. 610-1 du Code de l’urbanisme. Deux sociétés acquièrent des parcelles supportant des immeubles préexistants, situées dans l’enceinte d’un ancien site industriel, et y développent une activité…
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10 signes qu'une personne ne vous aime pas ou plus
Dans la complexité des relations humaines, discerner les sentiments réels d'autrui peut s'avérer une tâche ardue. Cependant, certains signes non-verbaux et comportements peuvent indiquer un changement dans la perception ou les émotions d'une personne à votre égard. Reconnaître ces signes peut vous aider à comprendre vos relations et à agir en conséquence. Diminution de la communication L'un des premiers indicateurs qu'une personne ne vous porte plus d'affection est la réduction notable de la communication. Si les appels, les messages, et les interactions en personne deviennent rares ou superficiels, cela peut signifier un désintérêt croissant. Évitement physique et visuel Le langage corporel est extrêmement révélateur. Une personne qui ne vous aime pas ou plus aura tendance à éviter le contact visuel et à maintenir une distance physique. L'évitement de votre présence, même dans des situations où l'interaction serait normale, est un signe évident. Absence d'efforts dans la relation Lorsqu'une personne cesse d'investir du temps et de l'énergie dans une relation, cela peut indiquer un manque d'affection. L'absence d'efforts pour planifier des rencontres ou pour participer à des conversations significatives révèle souvent un désintérêt. Changements dans le langage corporel Les changements subtils dans le langage corporel peuvent aussi être révélateurs. Les bras croisés, les postures fermées, et un manque de proximité sont des signes d'un changement d'attitude. Critiques et commentaires négatifs Une augmentation des critiques et des commentaires négatifs, souvent sans raison apparente, peut signaler une animosité croissante ou un manque de respect. Indifférence à vos besoins et sentiments L'indifférence manifeste à vos besoins, vos sentiments, ou vos accomplissements est un signe clair que l'affection a diminué. L'absence de soutien dans vos moments difficiles ou de joie dans vos moments de succès est particulièrement révélatrice. Priorisation constante d'autres personnes ou activités Quand une personne vous aime moins, elle a tendance à prioriser systématiquement d'autres personnes ou activités sur vous. Votre présence devient moins importante, et vos invitations sont souvent déclinées sans raisons valables. Manque de confiance et de confidences La diminution des confidences et le manque de confiance partagée sont des indicateurs que la relation n'est plus aussi intime ou importante. Si vous constatez que vous n'êtes plus la personne vers qui se tourner en cas de besoin, l'affection pourrait avoir diminué. A lire : Love coaching : pour faire évoluer votre vie affective Irritation ou agacement facile Une irritation ou un agacement facile lors de vos interactions peut être un signe que la personne ne vous apprécie plus autant. Les petites habitudes qui étaient auparavant ignorées ou trouvées charmantes peuvent soudainement devenir des sources de conflit. Changements dans les plans d'avenir Enfin, des changements notables dans les plans d'avenir qui vous excluent peuvent indiquer une affection diminuée. Si vous n'êtes plus inclus dans les projets futurs ou si vos objectifs communs semblent s'évanouir, cela peut signifier que les sentiments ont changé. Identifier ces signes est crucial pour comprendre les dynamiques relationnelles et prendre les mesures appropriées. Que ce soit pour engager une conversation honnête, pour tenter de réparer la relation, ou pour accepter la situation et avancer, reconnaître l'évolution des sentiments d'une personne à votre égard est la première étape vers une résolution. La clarté et la compréhension sont essentielles pour naviguer dans le labyrinthe des relations humaines. Read the full article
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La riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024. Depuis 2012, le Sénégal a connu une transformation ni figue ni raisin dans le secteur de la riziculture. Et pourtant cette période a été marquée par une série d'initiatives gouvernementales visant à atteindre l'autosuffisance en riz, un aliment de base pour la population sénégalaise. Quel Bilan de 2012 à 2024 de l'évolution de la riziculture au Sénégal ? Quelles sot les innovations technologiques dans la riziculture sénégalaise ? Quel Impact des politiques agricoles sur la production rizicole au Sénégal ? Quel est le rôle de la riziculture dans l'économie sénégalaise : Une analyse sur douze ans ? Riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024 Riziculture dans la région de Kolda À Tonguia, les femmes ne « riz » plus ! En 2012, le gouvernement a lancé le Programme d'Autosuffisance en Riz (PASR), avec l'objectif de réduire les importations coûteuses et de stimuler la production nationale. Ce programme a mis l'accent sur l'amélioration des infrastructures d'irrigation, l'introduction de variétés de riz à haut rendement et la formation des agriculteurs aux techniques agricoles modernes. L'évolution de la riziculture au Sénégal : Bilan de 2012 à 2024 Drame à la cité Nouvel Horizon Un enfant de 12 ans emporté par les inondations 1 Au fil des ans, ces efforts ont porté leurs fruits mais qui restent en deçà des attentes de la population. En 2024, le Sénégal n'a non seulement pas atteint ni dépassé son objectif d'autosuffisance. La production de riz a quadruplé, passant de 500 000 tonnes en 2012 à plus de 2 millions de tonnes en 2024. Suspension des exportations de riz par l'Inde Une augmentation des prix attendue au Maroc →A lire aussi À Diender, L’Agriculture Biologique Prend Ses Marques Cette augmentation est attribuable à l'expansion des surfaces cultivées, notamment dans la vallée du fleuve Sénégal et dans la région de Casamance, ainsi qu'à l'amélioration des rendements agricoles. Les innovations technologiques dans la riziculture sénégalaise Riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024 L'impact économique de cette croissance est indéniable. Les agriculteurs bénéficient désormais d'un revenu plus stable et peuvent investir davantage dans leurs exploitations. De plus, le Sénégal est en passe de devenir un exportateur de riz, ce qui pourrait transformer l'économie rurale et réduire la pauvreté dans les zones agricoles. Impact des politiques agricoles sur la production rizicole au Sénégal Chercheur Montre La Voie De L’Autosuffisance En Riz Cependant, cette réussite ne va pas sans défis. Le changement climatique continue d'affecter la riziculture avec des périodes de sécheresse plus fréquentes et des inondations imprévisibles. De plus, il reste essentiel de maintenir les investissements dans la recherche agronomique pour développer des variétés résistantes aux maladies et aux stress environnementaux. Le rôle de la riziculture dans l'économie sénégalaise : Une analyse sur douze ans riziculture-37-milliards-de-francs-de-tokyo-pour-booster-la-productivite-dans-la-vallee L'analyse de la riziculture au Sénégal de 2012 à 2024 révèle une évolution significative dans les méthodes de culture et la production. En 2012, le Sénégal faisait face à une dépendance importante sur les importations de riz. Cependant, grâce à l'initiative du gouvernement 'La Grande Offensive pour la Nourriture et l'Abondance' (GOANA), des efforts ont été faits pour augmenter la production nationale. Au fil des ans, avec l'introduction de nouvelles technologies et pratiques agricoles, comme l'utilisation de semences améliorées et la mécanisation, la production de riz a considérablement augmenté. Les agriculteurs ont également bénéficié de formations et d'un meilleur accès aux financements, ce qui a permis d'élargir les surfaces cultivées et d'améliorer les rendements. Riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024 →A lire aussi Tokyo Veut Aider Dakar À Tirer Profit Des Potentialités Offertes Par Les Drones en Agriculture Et Santé
En 2024, le Sénégal peine non seulement à atteindre l'autosuffisance en riz mais est toujours un exportateur dans la région, équation qui l'empêche de renforcer ainsi sa sécurité alimentaire et son économie. Ce tableau noir et sombre est le résultat d'une politique agricole bien planifiée et d'une collaboration non efficace entre le gouvernement, les agriculteurs et les partenaires internationaux. En conclusion, la riziculture au Sénégal entre 2012 et 2024 illustre comment une politique agricole ciblée et mal soutenue peut mener à une médiocre transformation économique significative. Il reste à voir comment le secteur s'adaptera aux défis futurs pour maintenir sa trajectoire ascendante.
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La riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024. Depuis 2012, le Sénégal a connu une transformation ni figue ni raisin dans le secteur de la riziculture. Et pourtant cette période a été marquée par une série d'initiatives gouvernementales visant à atteindre l'autosuffisance en riz, un aliment de base pour la population sénégalaise. Quel Bilan de 2012 à 2024 de l'évolution de la riziculture au Sénégal ? Quelles sot les innovations technologiques dans la riziculture sénégalaise ? Quel Impact des politiques agricoles sur la production rizicole au Sénégal ? Quel est le rôle de la riziculture dans l'économie sénégalaise : Une analyse sur douze ans ? Riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024 Riziculture dans la région de Kolda À Tonguia, les femmes ne « riz » plus ! En 2012, le gouvernement a lancé le Programme d'Autosuffisance en Riz (PASR), avec l'objectif de réduire les importations coûteuses et de stimuler la production nationale. Ce programme a mis l'accent sur l'amélioration des infrastructures d'irrigation, l'introduction de variétés de riz à haut rendement et la formation des agriculteurs aux techniques agricoles modernes. L'évolution de la riziculture au Sénégal : Bilan de 2012 à 2024 Drame à la cité Nouvel Horizon Un enfant de 12 ans emporté par les inondations 1 Au fil des ans, ces efforts ont porté leurs fruits mais qui restent en deçà des attentes de la population. En 2024, le Sénégal n'a non seulement pas atteint ni dépassé son objectif d'autosuffisance. La production de riz a quadruplé, passant de 500 000 tonnes en 2012 à plus de 2 millions de tonnes en 2024. Suspension des exportations de riz par l'Inde Une augmentation des prix attendue au Maroc →A lire aussi À Diender, L’Agriculture Biologique Prend Ses Marques Cette augmentation est attribuable à l'expansion des surfaces cultivées, notamment dans la vallée du fleuve Sénégal et dans la région de Casamance, ainsi qu'à l'amélioration des rendements agricoles. Les innovations technologiques dans la riziculture sénégalaise Riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024 L'impact économique de cette croissance est indéniable. Les agriculteurs bénéficient désormais d'un revenu plus stable et peuvent investir davantage dans leurs exploitations. De plus, le Sénégal est en passe de devenir un exportateur de riz, ce qui pourrait transformer l'économie rurale et réduire la pauvreté dans les zones agricoles. Impact des politiques agricoles sur la production rizicole au Sénégal Chercheur Montre La Voie De L’Autosuffisance En Riz Cependant, cette réussite ne va pas sans défis. Le changement climatique continue d'affecter la riziculture avec des périodes de sécheresse plus fréquentes et des inondations imprévisibles. De plus, il reste essentiel de maintenir les investissements dans la recherche agronomique pour développer des variétés résistantes aux maladies et aux stress environnementaux. Le rôle de la riziculture dans l'économie sénégalaise : Une analyse sur douze ans riziculture-37-milliards-de-francs-de-tokyo-pour-booster-la-productivite-dans-la-vallee L'analyse de la riziculture au Sénégal de 2012 à 2024 révèle une évolution significative dans les méthodes de culture et la production. En 2012, le Sénégal faisait face à une dépendance importante sur les importations de riz. Cependant, grâce à l'initiative du gouvernement 'La Grande Offensive pour la Nourriture et l'Abondance' (GOANA), des efforts ont été faits pour augmenter la production nationale. Au fil des ans, avec l'introduction de nouvelles technologies et pratiques agricoles, comme l'utilisation de semences améliorées et la mécanisation, la production de riz a considérablement augmenté. Les agriculteurs ont également bénéficié de formations et d'un meilleur accès aux financements, ce qui a permis d'élargir les surfaces cultivées et d'améliorer les rendements. Riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024 →A lire aussi Tokyo Veut Aider Dakar À Tirer Profit Des Potentialités Offertes Par Les Drones en Agriculture Et Santé
En 2024, le Sénégal peine non seulement à atteindre l'autosuffisance en riz mais est toujours un exportateur dans la région, équation qui l'empêche de renforcer ainsi sa sécurité alimentaire et son économie. Ce tableau noir et sombre est le résultat d'une politique agricole bien planifiée et d'une collaboration non efficace entre le gouvernement, les agriculteurs et les partenaires internationaux. En conclusion, la riziculture au Sénégal entre 2012 et 2024 illustre comment une politique agricole ciblée et mal soutenue peut mener à une médiocre transformation économique significative. Il reste à voir comment le secteur s'adaptera aux défis futurs pour maintenir sa trajectoire ascendante.
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La riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024. Depuis 2012, le Sénégal a connu une transformation ni figue ni raisin dans le secteur de la riziculture. Et pourtant cette période a été marquée par une série d'initiatives gouvernementales visant à atteindre l'autosuffisance en riz, un aliment de base pour la population sénégalaise. Quel Bilan de 2012 à 2024 de l'évolution de la riziculture au Sénégal ? Quelles sot les innovations technologiques dans la riziculture sénégalaise ? Quel Impact des politiques agricoles sur la production rizicole au Sénégal ? Quel est le rôle de la riziculture dans l'économie sénégalaise : Une analyse sur douze ans ? Riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024 Riziculture dans la région de Kolda À Tonguia, les femmes ne « riz » plus ! En 2012, le gouvernement a lancé le Programme d'Autosuffisance en Riz (PASR), avec l'objectif de réduire les importations coûteuses et de stimuler la production nationale. Ce programme a mis l'accent sur l'amélioration des infrastructures d'irrigation, l'introduction de variétés de riz à haut rendement et la formation des agriculteurs aux techniques agricoles modernes. L'évolution de la riziculture au Sénégal : Bilan de 2012 à 2024 Drame à la cité Nouvel Horizon Un enfant de 12 ans emporté par les inondations 1 Au fil des ans, ces efforts ont porté leurs fruits mais qui restent en deçà des attentes de la population. En 2024, le Sénégal n'a non seulement pas atteint ni dépassé son objectif d'autosuffisance. La production de riz a quadruplé, passant de 500 000 tonnes en 2012 à plus de 2 millions de tonnes en 2024. Suspension des exportations de riz par l'Inde Une augmentation des prix attendue au Maroc →A lire aussi À Diender, L’Agriculture Biologique Prend Ses Marques Cette augmentation est attribuable à l'expansion des surfaces cultivées, notamment dans la vallée du fleuve Sénégal et dans la région de Casamance, ainsi qu'à l'amélioration des rendements agricoles. Les innovations technologiques dans la riziculture sénégalaise Riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024 L'impact économique de cette croissance est indéniable. Les agriculteurs bénéficient désormais d'un revenu plus stable et peuvent investir davantage dans leurs exploitations. De plus, le Sénégal est en passe de devenir un exportateur de riz, ce qui pourrait transformer l'économie rurale et réduire la pauvreté dans les zones agricoles. Impact des politiques agricoles sur la production rizicole au Sénégal Chercheur Montre La Voie De L’Autosuffisance En Riz Cependant, cette réussite ne va pas sans défis. Le changement climatique continue d'affecter la riziculture avec des périodes de sécheresse plus fréquentes et des inondations imprévisibles. De plus, il reste essentiel de maintenir les investissements dans la recherche agronomique pour développer des variétés résistantes aux maladies et aux stress environnementaux. Le rôle de la riziculture dans l'économie sénégalaise : Une analyse sur douze ans riziculture-37-milliards-de-francs-de-tokyo-pour-booster-la-productivite-dans-la-vallee L'analyse de la riziculture au Sénégal de 2012 à 2024 révèle une évolution significative dans les méthodes de culture et la production. En 2012, le Sénégal faisait face à une dépendance importante sur les importations de riz. Cependant, grâce à l'initiative du gouvernement 'La Grande Offensive pour la Nourriture et l'Abondance' (GOANA), des efforts ont été faits pour augmenter la production nationale. Au fil des ans, avec l'introduction de nouvelles technologies et pratiques agricoles, comme l'utilisation de semences améliorées et la mécanisation, la production de riz a considérablement augmenté. Les agriculteurs ont également bénéficié de formations et d'un meilleur accès aux financements, ce qui a permis d'élargir les surfaces cultivées et d'améliorer les rendements. Riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024 →A lire aussi Tokyo Veut Aider Dakar À Tirer Profit Des Potentialités Offertes Par Les Drones en Agriculture Et Santé
En 2024, le Sénégal peine non seulement à atteindre l'autosuffisance en riz mais est toujours un exportateur dans la région, équation qui l'empêche de renforcer ainsi sa sécurité alimentaire et son économie. Ce tableau noir et sombre est le résultat d'une politique agricole bien planifiée et d'une collaboration non efficace entre le gouvernement, les agriculteurs et les partenaires internationaux. En conclusion, la riziculture au Sénégal entre 2012 et 2024 illustre comment une politique agricole ciblée et mal soutenue peut mener à une médiocre transformation économique significative. Il reste à voir comment le secteur s'adaptera aux défis futurs pour maintenir sa trajectoire ascendante.
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La riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024. Depuis 2012, le Sénégal a connu une transformation ni figue ni raisin dans le secteur de la riziculture. Et pourtant cette période a été marquée par une série d'initiatives gouvernementales visant à atteindre l'autosuffisance en riz, un aliment de base pour la population sénégalaise. Quel Bilan de 2012 à 2024 de l'évolution de la riziculture au Sénégal ? Quelles sot les innovations technologiques dans la riziculture sénégalaise ? Quel Impact des politiques agricoles sur la production rizicole au Sénégal ? Quel est le rôle de la riziculture dans l'économie sénégalaise : Une analyse sur douze ans ? Riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024 Riziculture dans la région de Kolda À Tonguia, les femmes ne « riz �� plus ! En 2012, le gouvernement a lancé le Programme d'Autosuffisance en Riz (PASR), avec l'objectif de réduire les importations coûteuses et de stimuler la production nationale. Ce programme a mis l'accent sur l'amélioration des infrastructures d'irrigation, l'introduction de variétés de riz à haut rendement et la formation des agriculteurs aux techniques agricoles modernes. L'évolution de la riziculture au Sénégal : Bilan de 2012 à 2024 Drame à la cité Nouvel Horizon Un enfant de 12 ans emporté par les inondations 1 Au fil des ans, ces efforts ont porté leurs fruits mais qui restent en deçà des attentes de la population. En 2024, le Sénégal n'a non seulement pas atteint ni dépassé son objectif d'autosuffisance. La production de riz a quadruplé, passant de 500 000 tonnes en 2012 à plus de 2 millions de tonnes en 2024. Suspension des exportations de riz par l'Inde Une augmentation des prix attendue au Maroc →A lire aussi À Diender, L’Agriculture Biologique Prend Ses Marques Cette augmentation est attribuable à l'expansion des surfaces cultivées, notamment dans la vallée du fleuve Sénégal et dans la région de Casamance, ainsi qu'à l'amélioration des rendements agricoles. Les innovations technologiques dans la riziculture sénégalaise Riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024 L'impact économique de cette croissance est indéniable. Les agriculteurs bénéficient désormais d'un revenu plus stable et peuvent investir davantage dans leurs exploitations. De plus, le Sénégal est en passe de devenir un exportateur de riz, ce qui pourrait transformer l'économie rurale et réduire la pauvreté dans les zones agricoles. Impact des politiques agricoles sur la production rizicole au Sénégal Chercheur Montre La Voie De L’Autosuffisance En Riz Cependant, cette réussite ne va pas sans défis. Le changement climatique continue d'affecter la riziculture avec des périodes de sécheresse plus fréquentes et des inondations imprévisibles. De plus, il reste essentiel de maintenir les investissements dans la recherche agronomique pour développer des variétés résistantes aux maladies et aux stress environnementaux. Le rôle de la riziculture dans l'économie sénégalaise : Une analyse sur douze ans riziculture-37-milliards-de-francs-de-tokyo-pour-booster-la-productivite-dans-la-vallee L'analyse de la riziculture au Sénégal de 2012 à 2024 révèle une évolution significative dans les méthodes de culture et la production. En 2012, le Sénégal faisait face à une dépendance importante sur les importations de riz. Cependant, grâce à l'initiative du gouvernement 'La Grande Offensive pour la Nourriture et l'Abondance' (GOANA), des efforts ont été faits pour augmenter la production nationale. Au fil des ans, avec l'introduction de nouvelles technologies et pratiques agricoles, comme l'utilisation de semences améliorées et la mécanisation, la production de riz a considérablement augmenté. Les agriculteurs ont également bénéficié de formations et d'un meilleur accès aux financements, ce qui a permis d'élargir les surfaces cultivées et d'améliorer les rendements. Riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024 →A lire aussi Tokyo Veut Aider Dakar À Tirer Profit Des Potentialités Offertes Par Les Drones en Agriculture Et Santé
En 2024, le Sénégal peine non seulement à atteindre l'autosuffisance en riz mais est toujours un exportateur dans la région, équation qui l'empêche de renforcer ainsi sa sécurité alimentaire et son économie. Ce tableau noir et sombre est le résultat d'une politique agricole bien planifiée et d'une collaboration non efficace entre le gouvernement, les agriculteurs et les partenaires internationaux. En conclusion, la riziculture au Sénégal entre 2012 et 2024 illustre comment une politique agricole ciblée et mal soutenue peut mener à une médiocre transformation économique significative. Il reste à voir comment le secteur s'adaptera aux défis futurs pour maintenir sa trajectoire ascendante.
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La riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024. Depuis 2012, le Sénégal a connu une transformation ni figue ni raisin dans le secteur de la riziculture. Et pourtant cette période a été marquée par une série d'initiatives gouvernementales visant à atteindre l'autosuffisance en riz, un aliment de base pour la population sénégalaise. Quel Bilan de 2012 à 2024 de l'évolution de la riziculture au Sénégal ? Quelles sot les innovations technologiques dans la riziculture sénégalaise ? Quel Impact des politiques agricoles sur la production rizicole au Sénégal ? Quel est le rôle de la riziculture dans l'économie sénégalaise : Une analyse sur douze ans ? Riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024 Riziculture dans la région de Kolda À Tonguia, les femmes ne « riz » plus ! En 2012, le gouvernement a lancé le Programme d'Autosuffisance en Riz (PASR), avec l'objectif de réduire les importations coûteuses et de stimuler la production nationale. Ce programme a mis l'accent sur l'amélioration des infrastructures d'irrigation, l'introduction de variétés de riz à haut rendement et la formation des agriculteurs aux techniques agricoles modernes. L'évolution de la riziculture au Sénégal : Bilan de 2012 à 2024 Drame à la cité Nouvel Horizon Un enfant de 12 ans emporté par les inondations 1 Au fil des ans, ces efforts ont porté leurs fruits mais qui restent en deçà des attentes de la population. En 2024, le Sénégal n'a non seulement pas atteint ni dépassé son objectif d'autosuffisance. La production de riz a quadruplé, passant de 500 000 tonnes en 2012 à plus de 2 millions de tonnes en 2024. Suspension des exportations de riz par l'Inde Une augmentation des prix attendue au Maroc →A lire aussi À Diender, L’Agriculture Biologique Prend Ses Marques Cette augmentation est attribuable à l'expansion des surfaces cultivées, notamment dans la vallée du fleuve Sénégal et dans la région de Casamance, ainsi qu'à l'amélioration des rendements agricoles. Les innovations technologiques dans la riziculture sénégalaise Riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024 L'impact économique de cette croissance est indéniable. Les agriculteurs bénéficient désormais d'un revenu plus stable et peuvent investir davantage dans leurs exploitations. De plus, le Sénégal est en passe de devenir un exportateur de riz, ce qui pourrait transformer l'économie rurale et réduire la pauvreté dans les zones agricoles. Impact des politiques agricoles sur la production rizicole au Sénégal Chercheur Montre La Voie De L’Autosuffisance En Riz Cependant, cette réussite ne va pas sans défis. Le changement climatique continue d'affecter la riziculture avec des périodes de sécheresse plus fréquentes et des inondations imprévisibles. De plus, il reste essentiel de maintenir les investissements dans la recherche agronomique pour développer des variétés résistantes aux maladies et aux stress environnementaux. Le rôle de la riziculture dans l'économie sénégalaise : Une analyse sur douze ans riziculture-37-milliards-de-francs-de-tokyo-pour-booster-la-productivite-dans-la-vallee L'analyse de la riziculture au Sénégal de 2012 à 2024 révèle une évolution significative dans les méthodes de culture et la production. En 2012, le Sénégal faisait face à une dépendance importante sur les importations de riz. Cependant, grâce à l'initiative du gouvernement 'La Grande Offensive pour la Nourriture et l'Abondance' (GOANA), des efforts ont été faits pour augmenter la production nationale. Au fil des ans, avec l'introduction de nouvelles technologies et pratiques agricoles, comme l'utilisation de semences améliorées et la mécanisation, la production de riz a considérablement augmenté. Les agriculteurs ont également bénéficié de formations et d'un meilleur accès aux financements, ce qui a permis d'élargir les surfaces cultivées et d'améliorer les rendements. Riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024 →A lire aussi Tokyo Veut Aider Dakar À Tirer Profit Des Potentialités Offertes Par Les Drones en Agriculture Et Santé
En 2024, le Sénégal peine non seulement à atteindre l'autosuffisance en riz mais est toujours un exportateur dans la région, équation qui l'empêche de renforcer ainsi sa sécurité alimentaire et son économie. Ce tableau noir et sombre est le résultat d'une politique agricole bien planifiée et d'une collaboration non efficace entre le gouvernement, les agriculteurs et les partenaires internationaux. En conclusion, la riziculture au Sénégal entre 2012 et 2024 illustre comment une politique agricole ciblée et mal soutenue peut mener à une médiocre transformation économique significative. Il reste à voir comment le secteur s'adaptera aux défis futurs pour maintenir sa trajectoire ascendante.
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