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In the Troops' Quarters outside Paris by Anton von Werner
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Château de Brunoy, southern suburbs of Paris
French vintage postcard
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L’Essonne : bien mieux qu’une banlieue…
Comme chaque trimestre, « Propriétaires » vous propose de partir à la découverte d’une région ou d’un département, à travers son marché immobilier, bien sûr, mais aussi, et peut-être surtout, en nous attardant sans la moindre prétention d’exhaustivité sur ce qui fait son charme : spécialités gastronomiques, centres d’intérêt, sites remarquables… Dans ce numéro, gros plan sur l’Essonne avec trois guides occasionnels : Denis Clavel, ancien pr��sident du réseau implanté à Chilly-Mazarin et Palaiseau, Laurence Vene, basée à Gif-sur-Yvette et Briis-sous-Forges, et Romain Galbes, sociétaire à Draveil et Vigneux.
L’IMMOBILIER : UNE EXPLOSION DE LA DEMANDE !
A l’image de toute l’Ile-de-France, l’Essonne profite de plusieurs facteurs : flambée des prix parisiens, proximité avec la capitale, bientôt renforcée par les aménagements du Grand Paris, autant dire que le marché y est tendu. « Si vous rentrez un bien à son prix, vous pouvez le vendre dans la semaine, confirme Denis Clavel. Pour ce qui est du volume d’affaires, le marché se porte donc très bien, même si les biens mis en vente ont tendance à se raréfier. Les prix, curieusement, n’augmentent pas tant que cela. Les acheteurs sont, en effet, toujours plus connaisseurs du marché et de plus en plus raisonnables. La crise sanitaire n’y a rien changé. Tous les dossiers signés avant le confinement ont été finalisés et nous n’avons pas reçu de demande de baisse de prix. Au contraire, j’ai même l’impression que l’immobilier est, plus que jamais la valeur refuge. »
A Draveil et Vigneux aussi, s’il existe un « effet Covid », il est plutôt positif. « Nous nous situons sur un marché moins urbain, essentiellement ancien et pavillonnaire, confie Romain Galbes. Les prix s’y échelonnent entre 150 000 et 250 000 € pour les appartements, 250 000 et 400 000 € pour les maisons, qui augmentent assez nettement depuis un an ou deux. La proximité de la gare de Juvisy rend, par ailleurs, le secteur attractif et dynamique. L’activité est donc soutenue. Mes seules inquiétudes pour les mois à venir résident dans l’évolution du marché de l’emploi et dans celle des taux d’intérêt, qui pourraient casser la dynamique, à l’image de cet acheteur, qui venait d’apprendre son licenciement, dont j’ai enregistré ce matin la renonciation.»
Avec des agences à Gif-sur-Yvette et Briis-sous-Forge, Laurence Vene réalise un peu la synthèse de ses deux confrères. « A Gif, il y a beaucoup d’acquéreurs mais peu de mandats, même si la situation est en train de se décanter. Quant aux prix, ils ont augmenté l’an dernier d’environ 4 % sur les appartements et 2 % sur les maisons. Cependant, les taux de crédit ont permis le retour des primo-accédants ainsi qu’une recrudescence de l’investissement locatif. Le confinement nous a, bien sûr, ralentis. Mais depuis le 11 mai, nous sommes véritablement submergés par les demandes d’acquéreurs. A Briis, le marché est moins actif, plus rural. Les prix sont plus bas et la clientèle différente, avec davantage de catégories socio-professionnelles plus modestes. »
LA QUALITE DE VIE : PLUS ATTIRANTE QUE JAMAIS
« L’Essonne est le département le plus peuplé de France et l’un des plus actifs sur le plan économique, souligne Denis Clavel. Et puis, au sud de la Francilienne, se trouvent encore de vastes zones agricoles et forestières. Nous conjuguons donc un dynamisme économique hors norme et une proximité avec la nature. Par ailleurs, où que vous soyez, dans un rayon de 10 km autour de vous, vous pouvez pratiquer toutes les activités physiques, ludiques ou culturelles. Au point qu’il n’est plus nécessaire de se rendre à Paris pour mener une vie intense et agréable. L’Essonne est en train de quitter son statut de département dortoir pour devenir un véritable lieu de vie. »
« Nous nous situons en lisière de forêt de Sénart, avec de nombreux parcs et de multiples commerces de proximité en centre-ville, se réjouit Romain Galbes. C’est rare, aujourd’hui, de trouver en banlieue des bouchers, des poissonniers, des fromagers, de nombreux restaurants… C’est une banlieue qui ressemble un peu à la province. Bref, il fait bon vivre ici. »
« La proximité du RER renforce l’attractivité de Gif-sur-Yvette, observe Laurence Vene, d’autant que c’est une ville agréable, avec de nombreuses associations, un petit cinéma, une salle de spectacles, de jolis parcs, un environnement verdoyant et très calme, préservé des nuisances sonores. Quant à Briis-sous-Forge, c’est carrément la campagne, avec une petite commune très agréable, entourée de hameaux. »
Et les trois sociétaires se rejoignent pour constater que le confinement mal vécu par de nombreux Parisiens a rendu l’Essonne plus attirante que jamais. « La semaine dernière, nous avons vendu trois maisons à des personnes qui venaient de Courbevoie, Levallois et Paris », confie Romain Galbes.
LE(S) SITE(S) ATTRACTIFS
Avec un quart de son territoire occupé par des milieux naturels, l’Essonne recèle une biodiversité à la richesse et à la variété incomparables. Chère à Romain Galbes, la forêt de Sénart, par exemple, l’une des plus anciennes de France, autrefois zone de chasse royale, aujourd’hui sillonnée de sentiers et de pistes cyclables, offre plus de 3 000 hectares de chênes, charmes, châtaigniers, bouleaux et pins sylvestres, peuplés de chevreuils, sangliers, renards, lièvres ou écureuils.
De multiples et diverses célébrités ont vécu dans le département et leur anciennes demeurent se visitent. Ainsi, à Bièvres, le domaine des Roches où Victor Hugo séjourna plusieurs étés est devenu une maison littéraire où sont exposés documents et manuscrits du célèbre écrivain. A Draveil, la maison d’Alphonse Daudet est aujourd'hui un lieu de rencontres artistiques et culturelles. A Milly-la-Forêt, la maison de Jean Cocteau, ancienne dépendance du château de la Bonde, propose aux visiteurs une plongée dans l'univers mythologique et baroque du poète, graphiste, dessinateur, dramaturge et cinéaste. A Dannemois enfin, le Moulin où Claude François vécut une quinzaine d’années jusqu’à sa mort est devenu un musée, que les fans visitent avant d’aller se recueillir sur la tombe du chanteur, dans le petit cimetière du village.
Les passionnés d’aéronautique ancienne ne manqueront pas le musée volant Salis, à Cerny, petit aérodrome du sud du département. Près de 70 avions de collection sont aujourd'hui basés sur le site et présentés régulièrement en vol, en particulier pour la grande fête annuelle de Pentecôte. Les plus téméraires pourront même s’offrir un baptême de l’air sur avion rétro !
Changement de millénaire au musée numérique de Brunoy, où un écran géant et quinze tablettes numériques, rendent accessible une collection de 500 œuvres numérisées issues de douze institutions culturelles parmi lesquelles le Louvre, le château de Versailles, le musée Picasso, le musée du Quai Branly, l’Institut du monde arabe, l’Opéra-Bastille et la Philharmonie de Paris.
Enfin, avec plus de 25 000 objets, un million de photographies, une bibliothèque et un fonds documentaire technique unique, le musée français de la photographie de Bièvres rassemble une des plus importantes collections sur le plan international.
LES EVENEMENTS
Habituellement prévues en mars, les fêtes vénitiennes d’Etampes importent chaque année les fastes et la gaieté de l’un des plus célèbres carnavals, aux sons et aux rythmes joyeux des compositeurs vénitiens ou des musiciens qui s’en sont inspirés : Monteverdi, Vivaldi, Rossini, Campra, Gounod, Hahn… Au même moment, mais dans un tout autre registre, Marcoussis et son festival Elfondurock prouvent depuis près d’un quart de siècle que le rock s’accorde aussi au féminin.
Pour sa 5ème édition, en juin, le festival m’IMPROvise avait vu grand : pour la première fois, Melody Gardot, Manu Katché, Kyle Eastwood, -M- & Ibrahim Maalouf devait être réunis sur la même scène pour une création spéciale. Le rendez-vous a, malheureusement, dû être annulé cette année au vu de la situation sanitaire exceptionnelle.
Tous les ans, le dernier weekend de septembre, les amateurs de jardins et d’horticulture se donnent rendez-vous à Saint-Jean de Beauregard. Pour sa 35ème édition, la fête des plantes d’automne permettra de rencontrer les meilleurs pépiniéristes producteurs européens, récolter leurs précieux conseils et acquérir leurs plus beaux végétaux : arbres, arbustes, bulbeuses, graminées, grimpantes, rosiers et vivaces rares, mais aussi mobilier, objets de décoration, accessoires, vêtements, artisanat… Espérons que, cette année, la fête pourra être maintenue et battre son plein…
CUISINE ET DEPENDANCES
Toutes les spécialités franciliennes se retrouvent sur les tables du département. Mais l’Essonne, notamment dans sa partie Sud, possède aussi des spécialités traditionnelles qui lui sont propres : pâté d’alouettes, où des morceaux de lapin, de foie de volaille,… farcissent les alouettes désossées et enrobées d’une pâte brisée ; terrine de pigeonneau aux gousses d’ail confites…
Plus légère, la soupe au cresson rappelle que le département est le premier producteur de cette salade en France. Terre de chasse et de rivières, la cuisine de l’Essonne propose également de nombreuses recettes à base de gibier, de poisson ou d’écrevisse. Citons, par exemple, l’étuvée de lapin à la menthe, le lapereau au basilic ou la truite au cresson. Quant aux saucisses du Gâtinais, mélange en quantités égales de purée de pomme de terre et de pâte à choux, roulées en quenelles, elles séduisent même les végétariens ! Côté légumes, d’ailleurs, la région ne manque pas de choix : tomates de Montlhéry, haricots, choux-fleurs et poireaux d'Arpajon, haricots plats de Massy, choux de Nozay, asperges de Brières, échalotes d’Etampes, oignons de Corbeil, ail du Hurepoix, chicorée de Crosne, cèpes, morilles, coulemelles, girolles et autres champignons des bois,…
Enfin, quoi de mieux que de bons fruits pour terminer le repas ? Fraises, pommes, poires, framboises, groseilles, cassis ou prunes font la fierté de la région. Moins diététiques, les roussettes, pâte frite parfumée au cognac et à la fleur d’oranger et enrobée de sucre glace, sont malgré tout bien tentantes !
L’ESSONNE EN QUELQUES CHIFFRES
23 agences à l’enseigne du réseau l’Adresse
91 : le numéro minéralogique
194 communes
1804 km²
59,2 % de propriétaires
508 206 résidences principales
8267 résidences secondaires
34 062 logements vacants
1.287.330 habitants
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Jean Casanova - Espèces menacées. Que faire ?
Jean Casanova – Espèces menacées. Que faire ?
(Siège de la Revue Alauda – 4, rue du Petit Château – Brunoy – Essonne —– 16 Février 2017)
–—–Jean Casanova
–
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——-Adieu, pandas, cacatoès, tigres et ours polaires ? De nombreux scientifiques impliqués dans la défense de la biodiversité estiment qu’il faut cesser de concentrer nos efforts pour la préservation des espèces en voie de disparition les plus emblématiques, pour se préoccuper d’autres…
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Château de Soulins in Brunoy, southeastern suburbs of Paris
French vintage postcard
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Château de Soulins in Brunoy, southeastern suburbs of Paris
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Jean Casanova - Espèces menacées. Que faire ?
Jean Casanova – Espèces menacées. Que faire ?
(Siège de la Revue Alauda – 4, rue du Petit Château – Brunoy – Essonne —– 16 Février 2017)
–—–Jean Casanova
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——-Adieu, pandas, cacatoès, tigres et ours polaires ? De nombreux scientifiques impliqués dans la défense de la biodiversité estiment qu’il faut cesser de concentrer nos efforts pour la préservation des espèces en voie de disparition les plus emblématiques, pour se préoccuper d’autres…
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