#camp d'extermination
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Une petite fille près de sa mère morte dans le camp de concentration d'Azarychy (Ozarichi) – Biélorussie – Mars 1944
Le camp de concentration d'Azarychy, composé de 3 enclos entourés de fils barbelés et surveillés par des miradors ne comprenaient pas de bâtiments. Les prisonniers n'avaient ni eau ni nourriture et dormaient à même le sol gelé...
#WWII#camps de concentration#concentration camp#camp d'extermination#extermination camp#victimes civiles#civilians victims#azarychy#ozarichi#biélorussie#belarus#03/1944#1944
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Un frémissement, une lueur peut-être, à l'horizon...
L'être humain est ainsi fait (est-ce pour cela qu'on le disait ''à l'image de Dieu'', à l'époque où on pensait encore ?) qu'il ne peut s'empêcher d'espérer... et dans les cas (heureusement peu nombreux, mais la Gauche, dans sa quête pour rendre ''normal'' tout ce qui est mauvais pour l'Homme, rêve de rendre licite, légale, organisée, structurée cette non-issue, pour la banaliser) où il perd ou croit perdre tout espoir, il n'entrevoit plus que la mort pour se libérer d'un poids qu'il croit trop lourd pour lui. La vraie ''norme'' est donc l'espérance –on sait ça depuis toujours et il faut la déroute morale qu'est notre époque pour remettre en question une vérité de définition. Et c'est tant mieux !
Les récits de tous les pauvres gens qui sont tombés sous la folie des régimes ''à Gauche'', du communisme soviétique au ''Nationalsozialismus'' en passant par toutes les variantes possibles de ces deux maladies, du Goulag aux camps de concentration et d'extermination et au laogaï, mais ont pu échapper à ces horreurs sœurs bien qu'antagonistes, sont autant de preuves irréfutables de l'existence de cette fenêtre, toujours entr'ouverte et comme invincible : l'appel de et à la Vie ! Contre cette constatation, la passivité du peuple français et sa capacité à refuser de voir de qui crève les yeux doivent être un sujet d'étonnement, pour ne pas dire d'inquiétude.
Car en ce qui concerne le terrorisme islamique (ou ''-iste'', pour ceux qui persistent à mâchouiller l'inacceptable), la France a déjà pas mal donné : des journalistes, des dessinateurs, des policiers, des jeunes, des vieux, des hommes, des femmes, des militaires, des enfants, des juifs, des prêtres, des gens attablés ou assistant à un concert, des professeurs, des gens qui se promenaient sur ''la Prom'', à Nice... et tant d'autres... en ont été les innocentes victimes, ces dernières années. Et à chaque fois, le rituel est le même, pitoyable, dérisoire, triste à en mourir : des marches blanches, des fleurs déposées, les Invalides parfois, des discours percutants (Ah ! Que ça peut être beau, un discours écrit par un professionnel de la comm' pour un squatter de nos palais nationaux ! On en pleurerait... si seulement on écoutait leur baratin !), et l'oubli des foules, très vite...
Je suis donc assez surpris –en bien, pour une fois !'-- par le nombre de messages que je reçois, qui me parlent de ''prise de conscience'', de ''réveil'', ''d'yeux qui s'ouvrent'', voire ''de voile qui se déchire'' : les premiers jours, l'horreur des scènes en provenance d'Israël était telle que, effectivement, hommes politiques progressistes (sauf les Méchenconistes, dont le cas ressortit des hôpitaux et des asiles !), journalistes de gauche (pardon pour la redondance), belles âmes en rupture de raison et braves gens décérébrés par les programmes d'une Education prétendue nationale, ont laissé parler leur cœur. Hélas, très vite, ils ont ressorti leurs habits roses et leur ''survêt' '' modèle ''doxa-woke'', style ''pas d'amalgame et vive les migrants tchétchènes''.
L'assassinat d'un gentil professeur, agrégé des Lettres, et ou mais courageux, a rouvert la plaie des enseignants qui ont soudain réalisé que si, pour leur plus grande malchance, tout ce pourquoi ils ont manifesté et tout ce qui a sous tendu tous leurs cours magistraux depuis 30 ou 40 ans se faisait, ils seraient, comme le répétaient tous ceux qui ''voient ce qu'ils voient'' (le mot, superbe, est de Charles Péguy), les toutes premières victimes de ce ''nettoyage par le vide'' qu'impose toute culture autre que d'essence chrétienne.
La question est donc : devant la multiplication des horreurs en cours, la culture chrétienne qui, individualiste et seule au monde à l'être, se révolte et refuse en bloc tout le fatras des idées perverses qui ont pignon sur rue mais ne peuvent mener nulle part, doit-elle être dévoyée et instrumentalisée, au nom de faux bons sentiments qui ne mènent qu'à la mort ? Je ne crains pas de le répéter : le Christ est le seul à avoir posé ''l'autre'' en principe fondamental, comme base de notre amour, de notre respect, de toute organisation sociale, de comportements... altruistes. Et qu'il n'ait pas toujours été suivi et obéi est un autre problème. Mais quelle autre religion ou philosophie a posé ''Aimez-vous les uns les autres, comme moi, je vous aime'', comme règle presque unique de comportement ?
On a tous complètement perdu de vue que tous les principes dits ''laïcs'', toutes les valeurs dites ''républicaines'' , la morale profane et les règles qui gèrent et commandent les comportements athées ou ''libérés de Dieu''.. ne sont, comme le disait si bien Chesterton (cf. notre édito du 16 Juin 2023) ''des vertus chrétiennes devenues folles''. Et tous les faux professeurs de fausse morale, les pseudo-''experts du 20 heures'', les donneurs de leçons à ne pas suivre., etc... sont tous tellement marqués en profondeur par nos 2000 ans de christianisme qu'ils ne savent même plus voir où est la paille et où, la poutre : ils attribuent aux autres des sentiments des sensibilités et des réactions qu'ils sont les seuls –sauf exceptions-- à pouvoir avoir, éprouver, comprendre... Ils ont ''tout faux'' !
Et c'est là que le bât blesse : aussitôt l'horreur d'hier banalisée par le relativisme ambiant, les vieilles chimères refont surface et s'imposent aux esprits les moins résistants : on se dépêche de remettre sur pied d'égalité le coupeur de têtes de bébés, le violeur en série, l'éventreur, et le maniaque de la Kalachnikov ou du couteau de boucher, avec le représentant de l'ordre dont la seule mission, belle entre toutes, est de remettre à sa place, la première, le ''Plus jamais ça''. Comment les mêmes, qui hurlent ''pas d'amalgame'', ''protégez les civils palestiniens'' et ''arrêtez la punition'', entre autres phrases entendues depuis hier, ont-ils pu applaudir des deux mains aux bombardement de Dresde et de Hambourg ou aux bombes A d'Hiroshima et de Nagasaki... ou aux comédies ''à la sauce Hollande'' du ridicule : Je suis, tu es, nous sommes... tous ''Charlie'', en hurlant, dans d'inutiles ''marches blanches'' ''Plus jamais ça'' ou, comme notre première ministresse, ce matin : ''’Jamais la barbarie ne l’emportera face au savoir". ? Vraiment ? Et comment, s'il vous plaît ? En leur expliquant calmement que ce qu'ils font, ''c'est pas gentil'' ?
Alors... peut-on parler d'un réveil, d'une prise de conscience, d'une capacité accrue de voir la lumière en plein midi ? Malgré les réserves que me force à avoir le retour actuel des anciennes stupidités issues de la gauche, je vais dire oui : comme tout le monde, j'aimerais tellement que s'ouvrent pour de vrai les yeux de nos contemporains, que les décisions prises soient –pour une fois-- les bonnes (c'est-à-dire celles qu'il fallait prendre depuis longtemps)... et qu'un virage soit enfin pris (amorcé, déjà, me comblerait !) pour nous sortir du carcan des mauvaises idées que la Gauche a fait croire bonnes, normales, souhaitables... quant elles ne sont que létales, absurdes et sans espoir. Plus vite nous sortirons de cet énorme piège mortifère, plus vite nous pourrons espérer retrouver équilibre, santé mentale... et joie de vivre !
H-Cl.
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Il n'y pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre ! En ces temps de honte universelle, 80 ans après la libération des camps d'extermination.
He even tucks the thumb

oh boy


Welcome to the Fourth Reich dickheads. This is what you wanted. This is what you get.
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PROPOS HORS-PROPOS
Stade Pierre Mauroy
A l'Affiche Lille-Lens
Le derby du Nord
Victoire 1-0 des Dogues Lillois
A une tribune banderole déployée
18h48
Quai numéro 8
Terminis
Tout le monde descend
Guerre un ciel changeant
Il est pour les résistants
Les cheminots peuvent arrrêter
Les convois de déportation
Mais Europe
On ne peut stopper
Les camps improvisés d'extermination
Notamment en Europe centrale et de l'est
France Marseille
Vidée de sa population
Drancy lieu de transit
Les trains n'arrivant pas à partir
On fusille en masse
Le grand effacement
Par rapport à tout ça
Mai en Titans la mémoire nous revenant
Jeudi 3 avril 2025
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Billet spécial n°6 - Les familles juives du 4ème arrondissement de Paris
Le quatrième arrondissement de Paris (75004), situé sur la rive nord de la Seine, qui comprend notamment le quartier du Marais, présente une forte identité culturelle juive. En effet, avant d'être souvent associé à l'un des hauts lieux de la culture LGBT parisienne, ce secteur de Paris ainsi que ses alentours (dont une partie sera dénommée le Pletzel) ont historiquement accueilli une importante communauté juive, comme en témoignent certains anciens noms de rue (dont la rue Ferdinand Duval et la rue de la Cité, respectivement connues autrefois sous le nom de rue aux Juifs et rue de la Juiverie).
Dès le Moyen-Âge au XIème siècle, une population juive s'y développe, ouvrant des des écoles talmudiques, et des synagogues, ainsi que de nombreux commerces. L'histoire de cette communauté reste mouvementée, au rythme des persécutions des Juifs qui surviennent au cours de l'histoire de France. Toutefois, après la Révolution française, plusieurs vagues d'immigration successive renforcent l'implantation juive dans le Marais : d'abord principalement issue d'Alsace-Lorraine, cette immigration s'ouvre ensuite à l'Europe centrale (en particulier la Pologne et la Roumanie). L'activité y est florissante : les commerces y sont prospères, la culture juive s'épanouit avec des journaux publiés en yiddish et des théâtres proposant des pièces d'écrivains juifs, et les synagogues y maintiennent une implantation. De nombreuses personnalités influentes de la communauté juive française sont nées et/ou ont vécu à cet endroit, comme le rabbin Jacob Kaplan.
En raison de cette identité, le Marais est largement pris pour cible lors de la Seconde Guerre mondiale, en particulier pendant l'Occupation. De nombreuses familles juives résidant dans le quatrième arrondissement de Paris sont arrêtées et déportées vers les camps de concentration et d'extermination (dont lors de la rafle du Vélodrome d'Hiver), et seule une poignée survivra à la guerre. La mémoire de plusieurs de ces familles est aujourd'hui honorée par plusieurs plaques commémoratives, dont certaines sont présentées ici. On trouve également dans le même quartier un mémorial de la Shoah (situé rue Geoffroy l'Asnier).
Malgré la dévastation infligée par la Shoah, la communauté juive du quatrième arrondissement parvient à se reconstituer partiellement à l'époque moderne. Aujourd'hui encore, le Marais reste un haut lieu du patrimoine juif parisien. On y trouve ainsi encore des synagogues, des librairies juives et des restaurants typiques. Cela en fait parfois la cible de l'antisémitisme, par exemple en lien avec le contexte géopolitique lié au conflit israélo-palestinien : en 1982, le quartier est ainsi endeuillé par l'attentat de la rue des Rosiers, perpétré par des terroristes associés à des groupements extrémistes palestiniens.



La famille Zajdner était une famille d'origine polonaise, arrivée à Paris en 1934. Le père de famille, Elias, tenait une boutique d'antiquités. Il est arrêté et déporté au camp d'Auschwitz en même temps que ses enfants. Ses trois fils Albert, Salomon et Bernard et lui seront torturés lors d'expérimentations illégales et y trouveront la mort, mais sa fille Sarah survivra à la guerre. Texte de la plaque (2 rue Eginhard, installée en 1994) : ICI ONT VECU Monsieur ELIAS ZAJDNER, Mort pour la France à l'âge de 41 ans. Ancien Résistant déporté à Auschwitz par les nazis en Mai 1944 avec ses trois Fils, ALBERT âgé de 21 ans, SALOMON et BERNARD âgés de 15 ans. Morts dans le bloc des expériences. Nous n'oublierons jamais.
La famille Matykanski était une famille d'origine lituanienne. Fuyant les pogroms qui se multiplient en Europe de l'Est, ils s'installèrent à Paris (où vivaient déjà des proches de Dora, la mère de famille) et subvinrent à leurs besoins en effectuant des travaux textiles : le père, Baruch, est tailleur, et Dora est couturière. Ils sont arrêtés, avec leur fille Esther, et déportés au camp d'Auschwitz, où ils trouvent la mort. Texte de la plaque (27 rue des Rosiers, installée en 2018) : Ici vivaient Baruch et Dora Matykanski, leur fille Esther (9 ans), déportés en 1942 par les nazis avec la complicité active du gouvernement de Vichy, et exterminés au camp d'Auschwitz parce que nés juifs. En leur mémoire.
La famille Engros était une famille d'origine égyptienne (par le père, Isaac) et russe (par la mère, Rosalie). Contrairement aux deux autres familles présentées ci-dessus, les hommes de la famille Engros n'étaient pas de simples civils : les trois fils Marcel, Lucien et André étaient également des militants des Jeunesses communistes et, à ce titre, s'opposèrent directement à l'Occupation et s'associèrent à la Résistance. Les trois fils furent arrêtés et fusillés (Marcel et Lucien en 1942, André en 1943), tandis que leurs parents moururent en déportation à Auschwitz. Texte de la plaque (18 rue des Ecouffes) : Ici vécurent avec leur mère, torturée à mort par la Gestapo, les patriotes Marcel, Lucien et André Engros, fusillés par les occupants hitlériens
Une autre plaque mentionne plusieurs familles à propos desquelles il n'a pas été possible de trouver d'informations plus précises, notamment les familles Lewkovicz, Merkier et Wajncwaig. Texte de la plaque (16 rue des Rosiers) : A la mémoire de Rosette (12 ans) et son père Hersz Lewkovicz, Esther et Henri Merkier, Esther Ita Sokol, Paulette (1 mois) et Victor (2 ans) et leur mère Rykwa Wajncwaig. Déportés de 1942 à 1944 par les nazis, parce que nés juifs, avec la complicité active du gouvernement de Vichy et exterminés dans les camps de la mort
#special#collectif#famille#residence#seconde guerre mondiale#resistance#france#ile de france#paris#datee
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E.Branca: ''L'URSS a libéré les camps d'extermination; le reste, c'est d...
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VIDEO. Auschwitz : face à des selfies inappropriés, le Mémorial demande le respect de la mémoire des victimes
Près de 80 ans après sa libération, le camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, transformé en musée et lieu de mémoire, fait le plein de visiteurs. Malgré le poids de l'histoire, certains agissent de manière inappropriée.
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1e diffusion juillet 18 (lien en commentaire (Fb) ou ici). Rien n'a depuis été dit dans la presse sur le statut (migrant ou non) des ordures.
Ces faits sont PERMANENTS dans de nombreux pays occidentaux depuis TRES longtemps. Les gouvernements sont payés pour ces invasions barbares, notamment par l'UE et la fondation Open Society (Georges Schwarz aka Soros, juif), qui a soutenu la propagande indep catalane - le mouvement Aliança Catalana croit que ce seraient les "Castillans" (Espagnols non catalans) qui ont créé cette invasion en Catalogne, "pour attaquer les Catalans", alors que les indeps sauf Aliança sont des collaborationnistes maousse.
C'est une amie proche qui dirige AC, Alejandro m'a demandé de m'exprimer sur le caractère délirant de l'accusation de Silvia, je ne le fais pas, pour elle, mais "ça serait sympa" qu'elle arrête...
BP.
P.S : Soros n'est pas pédo-sataniste. Ca faisait partie du fake, j'ai diffusé ce machin pendant environ un an, contre ma volonté.
En Catalogne, Open Society a comme relai indep gauchiste Omnium.
L'insensibilité psychopathique du gauchiste à la barbarie raciste contre nos peuples s'explique par de nombreux critères dont l'ego et la puissance du "virtue signaling" multipliée parfois par des...millions par internet.
Le gauchard, véritable ordure, se voit comme un surhomme car adoubé par une masse aussi atroce que lui, alors que c'est l'héritier du kapo (le prisonnier qui aidait les Nazis en camps de concentration et d'extermination - Wiki en commentaire 2 (Fb) ou ici).
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Post originel, contenu :
Espérons que ce ne soient pas des nouveaux arrivants, sinon Pedro Sánchez doit dégager immédiatement. Et y a encore un autre truc grave qui s'est passé, j'en parlerai dans les jours suivants. A demain.
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"Les faits se sont produits vendredi 20 juillet vers 4 heures du matin dans la commune de San Pedro del Pinatar (province de Murcie), à seulement quelques kilomètres de Pilar de la Horadada, sur une aire de loisirs, d’après la Garde civile.
La victime présumée était accompagnée de sa cousine, majeure, lorsque deux hommes, «apparemment d’origine marocaine, l’ont abordée avant de l’agresser sexuellement et de la pénétrer», a-t-elle raconté aux enquêteurs."
Basile Pesso, Land of Somewhere, 18 septembre 2 024 (Fb) Article de Yabiladi : "Espagne : Arrestation d'un Marocain pour viol présumé sur mineure"
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Comment l'Ukraine devient un camp d'extermination pour son propre peuple
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Comment l'Ukraine devient un camp d'extermination pour son propre peuple
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Une Semaine d'Expériences avec Dieu(SED N°292024)
Dimanche, 25 août 2024
"Vois, je mets aujourd'hui devant toi la vie et le bien, la mort et le mal[...] Choisis la vie, afin que tu vives[...]"
Deutéronome 30,15&19C(LSG)
Primo Levi versus Sam Braun
Primo Levi, Juif Italien, était un chimiste et un écrivain né à Turin le 31 janvier 1919. Au cours de l'année 1944, il a été déporté et emprisonné dans le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Monowitz. Plus tard, après sa libération, il a dit parlant du pardon face au crime nazi: "[...]Je n’ai pas tendance à pardonner, je n’ai jamais pardonné à aucun de mes ennemis d’alors, pas plus que je ne me sens disposé à pardonner à leurs imitateurs[...], parce que je ne connais pas d’actes humains qui puissent effacer une faute[...]. Le verbe, pardonner, ne fait pas partie de mon vocabulaire[...] Je suis prêt à acquitter un homme qui a prouvé par ses actes qu'il n'est plus celui qu'il a été, et qui, pour cela n'a pas attendu trop longtemps[...] Comme je ne suis pas croyant, je ne sais pas vraiment ce qu'est le pardon. C'est un concept qui ne fait pas partie de mon monde.» Le 11 avril 1987, Primo Levi fut retrouvé mort dans son immeuble et le médecin légiste conclut à un suicide.
Sam Braun, Juif Français, était un médecin né à Paris le 25 août 1927. Le 12 novembre 1943, alors qu'il venait d'avoir 16 ans, il fut arrêté en compagnie de son père, sa mère et sa petite sœur de 10 ans et demi. Il fut déporté à Auschwitz par le convoi n°64. Plus tard, après sa libération, lorsqu'il a été interrogé sur la question du pardon à ses bourreaux, il a répondu, d'abord en citant Jacques Derrida: "s’il y a des choses impardonnables, ce sont elles qu’il faut pardonner car que serait le pardon si on ne pardonnait que le pardonnable ?" Puis il ajoute: "le Pardon est un cadeau que l’on fait à soi-même[...]Enfin, il faut pardonner pour vivre[...]" Sam Braun est mort le 1er juillet 2011.
Primo et Sam sont tous deux des rescapés de la pire catastrophe qui est arrivée aux Juifs lors de la seconde guerre mondiale. Toutefois, ils n'ont pas eu la même réaction vis-à-vis de leurs bourreaux. Pour Primo, il n'est pas question de pardonner à l'ennemi, à moins que ce dernier ait démontré dans les faits qu'il a changé, et ce dans un bref délai. Pour Sam au contraire, ce sont des offenses qui paraissent impardonnables qu'on doit pardonner, autrement, le mot pardon n'aura plus son sens. Pour lui, le pardon est gage de vie, qui l'offre se fait lui-même un cadeau.
Qu'est-ce qu'alors le pardon ? "Le pardon consiste à renoncer à la réponse naturelle négative(la réaction au mal par le mal) et à choisir une réponse délibérément positive(l'action pour le bien)." (Source: 17 faits scientifiques peu connus au sujet du pardon, Melissa Dahl, New York Magazine, 9 mars 2015). Le pardon est d'abord bénéfique pour qui l'accorde avant de l'être pour qui il est accordé. Il libère l'offensé du poison de la colère et du ressentiment qui réduit l'espérance de vie. Le pardon améliore la santé cardio-vasculaire, l'immunité, la qualité de vie, etc.
Mon ami(e), quelqu'un t'a-t-il offensé ? Tu as là "devant toi la vie et le bien[le pardon], la mort et le mal[la colère et le ressentiment ]...Choisis la vie[le pardon], afin que tu vives..."(Versets du jour)
Amen !!!
Merci d'être fidèle !
Kwami Pétro
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28 janvier : Les Néerlandais commémorent la Shoah
Auschwitz, le camp de la mort nazi, a été libéré le 27 avril (1945) et c’est la date retenue par la plupart des pays concernés par le devoir de mémoire de la Shoah. Mais, aux Pays-Bas, chaque année, c’est le dernier dimanche de janvier que l’on marque la Journée de libération d'Auschwitz (Auschwitzherdenking), soit cette année, le 28 janvier. La journée n’a toujours pas obtenu le statut de commémoration officielle, mais elle est célébrée de manière assidue depuis les années 1970. Les Pays-Bas sont en effet concernés au premier chef par la Shoah : sur les 140 000 Juifs vivant aux Pays-Bas en 1940, 102 000 n’ont pas survécu à la guerre, soit 71% d’entre eux (contre 50% en Allemagne, 28% en France).
Aujourd’hui, cela fait 79 ans que les Pays-Bas ont été libérés et que le camp d'extermination d'Auschwitz, symbole international de l'Holocauste, a été libéré. Ce 28 janvier 2024, c’est le Comité néerlandais pour Auschwitz qui organise la commémoration nationale de la Shoah au monument « Plus jamais d'Auschwitz » dans le parc Wertheim à Amsterdam. Rendez-vous à 10h à l'hôtel de ville d'Amsterdam. La procession silencieuse commence à 11h. Elle se termine dans le parc Wertheim où se trouve le mémorial conçu en 1977 par l'écrivain et plasticien Jan Wolkers.
La cérémonie débute à 11h30 avec la récitation de Yizkor et du Kaddish, suivi de dépôt de gerbes. La musique est assurée par des Roms et des Sintis, eux aussi victimes des nazis et déportés massivement à Auschwitz. Le site du Comité néerlandais d'Auschwitz.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde, 27 janvier 2024
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"Sobibor : anatomie d’un camp d'extermination" sur ARTE mardi 23 janvier 2024
http://dlvr.it/T1jDFM
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"4 ans et seule en enfer" : la survie glaçante de la petite Sara dans le camp d'extermination de Majdanek
Sarah Perry est née sous le règne nazi et la peur en Pologne, et alors qu’elle n’avait que 4 ans, elle a été laissée seule au monde dans le camp d’extermination. À travers un souvenir dans le salon, elle raconte l’histoire choquante de sa vie – une histoire de courage et de lumière au milieu d’une grande obscurité De l’obscurité à la lumière : Sarah Perry est née en 1939 dans la ville de Lublin…

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Plaque en hommage à : Erna Dem
Type : Lieu de résidence
Adresse : 272 boulevard Raspail, 75014 Paris, France
Date de pose : 2015 ou 2016 [Street View]
Texte : Ici vécut de 1920 à 1942 l'Artiste Céramiste Sculpteur DEM Ernestine DAVIDOFF épouse WOLFSON. Arrêtée le 16 juillet 1942, elle disparut à Auschwitz
Quelques précisions : Erna Dem (1890-1942), de son vrai nom Ernestine "Erna" Davidoff, est une artiste française. Elle est principalement connue pour sa production de sculptures en terre cuite, dont plusieurs sont actuellement conservées au musée d'Art et d'Histoire du judaïsme. Elle est arrêtée avec son mari en 1942 en raison de son ascendance juive. Déportée à Auschwitz, elle trouve la mort dans les camps d'extermination nazis.
#individuel#femmes#residence#artistes#sculpteurs#seconde guerre mondiale#france#ile de france#paris#erna dem#datee
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