#bourreaux
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Auguste Neel, the only man to be guillotined in North America.
Truly one of a kind, murderer Auguste Neel occupies a singular place in criminal history. The islands of St. Pierre and Miquelon, though sited close to the Canadian territory of Newfoundland, remain a French colony to this day. While Canada hanged its civilian criminals and shot its soldiers for capital crimes, France used its dreaded guillotine even if it had to import one for the occasion. For…
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#Auguste Neel#bourreau#bourreaux#Canada#crime and punishment#death penalty#Diebler#France#guillotine#History#les bourreaux#Martinique#Newfoundland#St Pierre et Miquelon#true crime
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What are your insights on Jean-Louis Sanson?
Okay, I would use Desmorest's dictionary because it's what I have access to right now.
He was executioner of Reims were he was relatively skilled, and he also was executioner in a list of small towns around it. He lived from 1749 to 1794, making him 45 years old at time of death.
He never obtained provision letters, but worked as executioner since 1770, at 21 years old. He lost his job in 1793 with the supression of his office and he was unable to gain the departemental one. He died a year later, annoyed and sadened at his loss.
Now...Nicolas-Charles-Gabriel was a bit more...openly revolutionary, and in a way perhaps cynical, but he was never, to my knowledge, as corrupt as his nephew Louis-Charles-Martin.
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it's conveyed in the 2024 film when Edmond contemplates letting himself get killed if he's not allowed to exact his revenge, but the book really makes you get it properly very early on that the thought of getting his revenge is genuinely an absolutely essential motivator to Dantès not taking his own life in prison
#once he's shown the mere possibility to do justice for himself it really fuels him#'Avant que je meure j'oubliais que j'ai mes bourreaux à punir et peut-être bien aussi qui sait ? Quelques amis à récompenser'#love that thought ! very dark meowmeow of him !#bee tries to talk#the count of monte cristo#le comte de monte cristo#lit
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RDC/ Présidentielle 2023 : "Un peuple qui applaudit ses bourreaux est complice de son esclavage et devrait en assumer les conséquences..." (Dénis Mukwege)
Compté parmi les grands challengers du candidat n° 20 à la présidentielle du 20 décembre dernier, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, le Docteur Denis Mukwege est resté aphone depuis l’annonce des résultats provisoires de ce scrutin par la CENI-Commission Électorale Nationale Indépendante-. D’aucuns se demandent à quoi rime ce silence ? Aux dernières nouvelles, l’on apprend que ce dernier s’est…
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#DENIS MUKWEGE#RDC/ Présidentielle 2023 : "Un peuple qui applaudit ses bourreaux est complice de son esclavage et devrait en assumer les conséquences.
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Il existe encore quelques Français qui sont français comme il ne faudrait déjà plus l’être. À ces êtres en souffrance pour qui la France n’est plus qu’une sorte de Thoiry mental, je dis “courage” ! Face à eux, cachés derrière la grande digue du nombre, les progressistes, les gauchistes, la bourgeoisie rentière, les barons du capital, les écolos, les wokistes et toute l’engeance produite par la pourriture révolutionnaire, prospère plus et mieux que jamais. Comme l’exigeaient Rousseau et Robespierre, ils ont fait fi du legs de leurs aïeux, ils se sont imaginés en hommes nouveaux : nouveau peuple, nouvel ordre, nouveaux bourreaux. Leur descendance, les lointains arrières petits enfants de ces crapules arrivistes et de ces cocus braillards, militent sans conviction, cultivent l’ignorance, demeurent volontairement aveugle et odieusement complice des crimes infinis de ce qui est finalement devenu un marxisme global.
Leur armée se compose de millions de fantassins débarqués de chaloupes incertaines, à l’assaut d’un monde sans foi seulement guidé par le profit et la jouissance. Ils ont un coran dans la poche gauche, un schlass dans la droite, et une carte téléphonique dans leur famélique portefeuille. Ils sont comme des spermatozoïdes en route par le Grand Ovule, au mépris des marigots acides et des douchettes cataclysmiques. Ils tortillent de la flagelle frénétiquement, sont prêts à tout pour gagner leur journée et souvent, livrent leur repas caricatural aux indigènes crétins. Les plus naïfs parmi ces derniers leur lâchent un billet de 5 en pourliche, joignent les mains et baissent la tête en signe de déférence, de confraternité ou de pure soumission – c’est selon. Ainsi ces tristes sires sont-ils contents et soulagés à la fois. Leur conscience est propre comme l’entrecuisse d’une communiante d’antan.
Français qui souffrez, dans votre chair et votre esprit, du spectacle de ce suicide non seulement consenti, mais savamment organisé, méticuleusement planifié et brillamment réalisé, abandonnez tout espoir de révolte collective et solidaire. Aucun de vos contemporains, ceux que vous croisez sur votre palier, dans votre rue, sur le quai de la gare, celui du métro ou l’escalator d’un aérogare, au bureau, chez le boulanger, au supermarché, à la station-service... aucun d’entre eux ne souhaite se sacrifier pour faire cesser tout cela. Votre sort, qui est aussi le leur, les indiffère. C’est ainsi, il suffit de les observer pour le constater. Ce peuple est prêt à disparaître en tant que tel. Ne subsisteront que les vrais résistants, ceux que la conviction d’être des héritiers maintiendra en alerte haute et permanente, ceux qui éduqueront leurs enfants, ceux qui prendront soin de la terre qui les nourrira, au propre comme au figuré. Inutile de verser dans la caricature du crâne rasé et du regard bleu... quelle que soit l’allure de votre gueule, ce qui compte, c’est votre détermination à survivre, coûte que coûte. Et il vous en coûtera, soyez-en convaincus.
J.-M. M.
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"Il y a peu de manières de mériter sa vie. L'une d'elles est de ne pas rejoindre le club des bourreaux. Une autre est d'épauler plus faible que soi."
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Nouvelle vidéo (English subtiles available) Je sais même pas quoi vous dire tellement ça m'a vidé de tous mes mots de faire cette vidéo. J'espère qu'elle vous touchera d'une manière ou d'une autre et que vous comprendrez ce que j'ai voulu dire malgré toutes mes maladresses. Je compte sur votre éternelle bienveillance et sur vos partages ♡ (et je n'ai qu'une peur c'est qu'un de mes anciens bourreaux tombe la-dessus ou que je me prenne un torrent d'insultes dans la figure pour la deuxième partie de cette vidéo)
#photo#picture#harcèlement#expérience#video#youtube#anti harassment#french#solitude#pardon#peur#Youtube
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"Aussi longtemps que subsistera la race douloureuse des enfants d’Adam, il y aura des hommes affamés de Beau et d’Infini, comme on est affamé de pain. Ils seront en petit nombre, c’est bien possible. On les persécutera, c’est infiniment probable. Nomades éplorés du grand Rêve, ils vagueront comme des Caïns sur la face de la terre et seront peut-être forcés de compagnonner avec les fauves pour ne pas rester sans asile. Traqués ainsi que des incendiaires ou des empoisonneurs de fontaines, abhorrés des femmes aux yeux charnels, qui ne verront en eux que la guenille, invectivés par les enfants et les chiens, épaves affreuses de la Joie de soixante siècles roulés par le flot de toutes les boues de ce dernier âge, ils agoniseront à la fin, - aussi confortablement qu’il leur sera donné de le faire, - dans des excavations tellement fétides que les scolopendres et les scarabées de la mort n’oseront pas y visiter leurs cadavres ! Mais, quand même, ils subsisteront, pour désespérer leurs bourreaux et, comme la nature est indestructible et inviolable, il pourrait très bien arriver qu’un jour, - par l’occasion de quelques surprenant baiser du soleil ou l’influence climatérique d’un astre inconnu, - une exceptionnelle portée de ces vagabonds, inondant la terre, submergeât à jamais, dans des ondes de ravissement, cette avortonne société de sages fripouilles qui pensaient avoir exterminé l’aristocratie du genre humain !"
Léon Bloy, « Les Eunuques du Grand Sérail » 1888.
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Conter Fleurette ... ou Compter Fleurette
L’histoire littéraire est peuplée de personnages romantiques. Parmi ceux-là, certains ont davantage marqué le paysage, au point de devenir de véritables références. Ainsi, lorsqu’on parle de séduction, de galanterie, de conquêtes amoureuses, on pense à Valmont, à Julien Sorel, ou, plus populaires encore, à Casanova (terme passé dans le langage courant pour désigner un tombeur) ou Don Juan (qui a donné naissance à l’adjectif donjuanesque). Le point commun entre tous ces bourreaux du cœur ? Ils maîtrisent à la perfection l’art de « conter fleurette ». Bel endroit pour conter fleurette... d'ou le mot fleureter...etc...
Une autre hypothèse est que cette expression fait référence au premier amour d’Henri IV, Fleurette de Nérac. Etienne de Jouy nous raconte l’anecdote suivante : Nous sommes en 1571 et Henri IV a douze ans. Pour s’exercer au tir à l’arc, le jeune prince emprunte une fleur à une jeune villageoise et, après avoir réussi à viser en plein milieu, la lui rend. Cette jolie demoiselle se dénomme Fleurette de Nérac. De ce premier échange sont nés les premiers émois amoureux du futur roi de France. Fleurette de Nérac serait la seule maîtresse d’Henri IV qui l’aurait aimé d’un amour pur et sincère.
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« Dans un passé pas si lointain, le courage à la guerre était une valeur sacrée. Rappelons-nous Léonidas et ses trois cents Spartiates mourant à Thermopyles pour obéir aux lois de Sparte. Le sacrifice de la vieille garde à Waterloo. Le sacrifice du roi Lazare face aux Ottomans. Ou encore le courage des défenseurs de Stalingrad.
C'est ce que l'on appelait l'honneur. Le mot figure sur les drapeaux de la République en France. (…)
Aujourd'hui les disciples de l'OTAN professent le même mépris, chargé de peur et de haine, contre ceux qui contestent leur droit à l'hégémonie. Le racisme est simplement remplacé par l'idéologie des Droits de l'Homme, dans la version exclusive des généraux Westmoreland, Powell et Clark, bourreaux des peuples du Viêt-nam, d'Irak et de Serbie. Le procédé n'est pas nouveau. C'est toujours au nom d'un idéal détourné que les conquérants justifient leurs agressions et leur sauvagerie. … Aujourd'hui c'est au nom des Droits de l'Homme qu'on tue les civils dans les Balkans, qu'on affame les enfants en Irak et qu'on fait refleurir le pavot en Afghanistan. »
Maître Jacques Vergès - L'apartheid judiciaire.
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Il s’agit avant tout d’arrêter de répéter la langue de l’adversaire, cesser de reprendre les termes, les expressions, les mots du persécuteur…
L’analyse appliquée à la politique, comme celle du philologue, ne peut que rejoindre l'observation de l’évolution de la langue par Victor Klemperer (LTI, La langue du IIIe Reich) qui lui permet de détecter avec une acuité particulière ce qui distingue par exemple le Nazisme d'une tyrannie ordinaire ou d'une dictature brutale. Il perçoit dans le détail la «différence totalitaire» du régime nazi lorsqu'il s'avère que celui-ci dispose de la faculté non seulement de maltraiter et d'abattre ses ennemis (réels ou imaginaires), mais aussi d'embourber la parole et la pensée de ses victimes dans la fange de son jargon et de sa propagande. Observateur tout à la fois horrifié et impitoyable, Klemperer évoque fréquemment ces Juifs traqués qui ne cessent de se couler dans la langue du persécuteur, ces braves gens dont les manifestations de compassion véhiculent le venin de l'idéologie et font saigner le cœur de ceux auxquels elles s'adressent non moins que les violences et les insultes des bourreaux.
Reprendre la langue de l’adversaire, ne serait-ce que partiellement, c’est nourrir son discours de sens et lui donner continuité de subsIstance…
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Ph . la bouquiniste
George Pichard a repris "étrangement" cette dernière illustration de M. Van Maele pour sa Marie -Gabrielle de sainte-Eutrope(?)...
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"Bien loin que la foudre infernale l' épuisât, la fit languissante, elle se releva redoutable et les yeux étincelants. La lune, qui, chastement, s'était un monent voilée, eut peur en la revoyant. Epouvantablement gonflée de la vapeur infernale, de feu, de fureur et (chose nouvelle) de je ne sais quel désir, elle fut un moment énorme par cet excès de plénitude et d' une beauté horrible. Elle regarda tout autour… Et la nature était changée. Les arbres avaient une langue, contaient les choses passées. Les herbes étaient des simples. Telles plantes qu'hier elle foulait comme du foin, c'étaient maintenant des personnes qui causaient de médecine.
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L'unique médecin du peuple, pendant mille ans, fut la Sorcière. Les empereurs, les rois, les papes, les plus riches barons, avaient quelques docteurs de Salerne, des Maures, des Juifs, mais la masse de tout état, et l'on peut dire le monde, ne consultait que la Saga ou Sage-femme. Si elle ne guérissait, on l'injuriait, on l'appelait sorcière. Mais généralement, par un respect mêlé de crainte, on la nommait Bonne dame ou Belle dame (bella donna), du nom même qu'on donnait aux fées.
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La femme n’a d’amis que ses songes, ne cause qu’avec ses bêtes ou l’arbre de la forêt. Ils lui parlent ; nous savons de quoi. Ils réveillent en elle les choses que lui disait sa mère, sa grand-mère, choses antiques, qui pendant des siècles ont passé de femme en femme. C’est l’innocent souvenir des vieux esprits de la contrée, touchante religion de famille, qui, dans l’habitation commune et son bruyant pèle-mêle eut peu de force sans doute mais qui revient et hante la cabane solitaire.
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Le grand et puissant docteur de la Renaissance, Paracelse, en brûlant les livres savants de toute l'ancienne médecine, les grecs, les juifs et les arabes, déclare n'avoir rien appris que de la médecine populaire, des "bonnes femmes", des bergers et des bourreaux; ceux-ci étaient souvent d'habiles chirurgiens (rebouteurs d'os cassés, démis) et de bons vétérinaires. Je ne doute pas que son livre admirable et plein de génie sur les "Maladies des femmes", le premier qu'on ait écrit sur ce grand sujet, si profond, si attendrissant, ne soit sorti spécialement de l'expérience des femmes même, de celles à qui les autres demandaient secours : j'entend par là les sorcières qui, partout, étaient sages-femmes. Jamais, dans ces temps, la femme n'eût admis un médecin mâle, ne se fût confiée à lui, ne lui eût dit ses secrets. Les sorcières observaient seules et furent, pour la femme surtout, le seul et unique médecin.
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Leur juge qui les brûle est pourtant charmé d’elles : « Quand on les voit, dit-il, passer, les cheveux au vent et sur leurs épaules, elles vont, dans cette belle chevelure, si parées et si bien armées, que, le soleil y passant comme à travers une nuée, l’éclat en est violent et forme d’ardents éclairs… De là, la fascination de leurs yeux, dangereux en amour, autant qu’en sortilège.
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What are your insights on Nicolas Charles Gabriel I and Nicolas Charles Gabriel II?
I've already talked to you about Nicolas Charles Gabriel Sanson II, the hard-core alcoholic who was a torturer for a stint.
Nicolas-Charles-Gabriel Sanson, first of the name, was the son of Charles Sanson II and of Anne-Marthe Dubut. He was born in arond 1721 and died in 1794, around the age of 73, after having buried his son.
He became executioner of Reims in 1745, around the age of 24, right after marriying Martine Hébert. It was in all likelyhood a mariage of politics, since it allowed him to conclude an agreement with her brother Louis Hébert, that should one of them die first, the other would get the position of executioner of Reims. Of his mariage, he would have three children, two of whom survived: Marguerite Louise Julie and Jean-Louis. Louis Hébert appearently didn't live too long after the deal was over. He was responsable in 1757 for the execution of Damien, since Jean-Baptiste called him in for urgent help. He became a widower in 1765. He retired around 1770, leaving his son on the job and taking a somewhat well-deserved retirement. He was later kind of supportive of the Revolution (with how gruesome Damien's execution was...I understand he asked his previous letters of provisions to be burned to ash when he no longer needed them).
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Les lieux privés
Ces lieux sont dissimulés au regard de tous et toutes. Pour pouvoir y entrer, il faudra payer le prix ou réunir les conditions ; il est aussi possible que l’accès à l’un de ces lieux soit offert en récompense lors d’évènements. Le country club et le bar underground servent à créer des communautés dans la communauté, ou contre la communauté. Ils rassemblent des personnages proches, qui se distinguent du reste des habitants, et qui peuvent alors sociabiliser entre eux. Les mines sont surtout là pour celles et ceux qui ont envie de se créer des frayeurs. Chaque lieu secret aura un sous-forum de flood dans lequel les membres pourront sociabiliser, discuter de sujets éventuels, de liens, etc. Les membres ayant accès à ces lieux pourront aussi choisir d’y tenir des mini-évènements pour se rassembler. Ces lieux ne sont pas inamovibles. Si l’un d’eux n’intéresse personne, il sera tout simplement débloqué et converti en forum standard. Un lieu pourra aussi être fermé définitivement ou temporairement à la suite d’un évènement qui se produit in-game (un incendie par exemple). Et bien sûr, d’autres pourront être ajoutés en fonction de la demande des membres. (note : je réfléchis à ajouter 1 ou 2 autres lieux parce que je me demande si ces trois-là sont suffisants. Je n’ai pas encore fait de choix ; s’il vous vient une idée ou une envie, n’hésitez pas à m’en faire part, et pensez à me communiquer un nom ou pseudo que je puisse ajouter aux crédits.)
Le country club L’entre-soi est nécessaire, parce que l’enfer c’est les autres. Nécessaire à la survie de la caste des notables. Elle se terre dans des lotissements clos et se réunit loin des regards. Leur terrain de jeu favori : le Catasauqua Country Club, rebaptisé mesquinement le Catastrophe Cuntry Club par ses indésirables. Là, on se retrouve entre gens bien. On se régale de mets délicats dans une ambiance feutrée avant une partie de golf. L’été on profite de la piscine. Les frais d’adhésion sont exorbitants, c’est le prix de la tranquillité, de l’exclusivité. N’entre pas ici qui veut parce qu’il faut préserver le statut, et les secrets qui viennent avec. Ce qui s’y passe, ce qui s’y dit, ne quitte jamais les murs de l’établissement. Les employés du lieu sont à la fois complices et victimes de leurs bourreaux, terrifiés par la perspective de perdre leur gagne-pain. La direction joue le jeu, trop contente de glaner chèques et secrets pour se priver d’une telle manne.
Note de jeu : l’accès au CCC est débloqué en dépensant des points seulement s‘il est cohérent que votre personnage y soit accepté. Le staff du CCC et la direction n’auront pas besoin de débourser des points pour accéder au lieu. Il est possible qu’un évènement public ait lieu au CCC, auquel cas tous les membres pourront y accéder de manière temporaire.
Les mines Les longs tunnels désertés des anciennes mines de fer plongent dans le flanc de la montagne. De tous les lieux du coin, c’est l’un des plus maudits. Le traumatisme de la fermeture brutale de l’industrie sidérurgique dans les années 80 survit encore comme un cancer en ville. Les symptômes de cette maladie sont nombreux. Des légendes. Des mineurs disparus s’y trouveraient encore, guettant l’arrivée d’intrus qu’ils attaqueraient violemment. On y trouverait des fantômes et des démons. Certains disent même qu’en s’enfonçant trop loin dans les mines, on finirait sa route en enfer.
Note de jeu : l’accès aux mines est débloqué en dépensant des points. Y poster un sujet comporte des risques car chaque sujet sera visité une fois par le maitre du jeu qui y postera un effet aléatoire. En raison des risques, poster un sujet dans les mines rapportera 2x plus de points qu’ailleurs.
Le bar underground Ici, on vient parce qu’on n’a nulle part où aller. On rejoint les rangs grandissants des alternatifs en tout genre, celles et ceux qui n’ont pas voulu ou réussi à se tailler une existence selon le code de conduite calibré de la vie en banlieue. Le volume de la musique est trop élevé, la bière y est bon marché mais fade, les standards d’hygiène n’y sont qu’occasionnellement respectés. Pour son public, le Fat Felix est un lieu de villégiature nocturne où on peut laisser tomber le fardeau du regard des autres le temps d’une nuit. Mais certain.es le sentent : la pollution a gagné l’écosystème. Les prédateurs ont flairé l’opportunité, car dans ce lieu de liberté relative, on peut se fondre dans la masse avec aisance.
Note de jeu : on peut débloquer l’accès au Fat Felix en dépensant des points de rp ou sur invitation d’un.e autre membre y ayant déjà accès (qui devra alors dépenser ses propres points). Le maitre du jeu pourra aussi offrir l’accès au lieu à des personnages qui pourraient y trouver leur bonheur.
Un dernier mot pour la suite Bravo à vous, vous n’avez fait que des bons choix. J’espère que vous serez un peu moins perspicaces avec les intrigues… Le reste du contenu reste caché pour le moment 😉 Je posterai un autre messages pour la fin de semaine avec quelques questions pour vous, notamment concernant une éventuelle date d’ouverture.
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Du plus loin que je me souvienne, dès mon enfance dans les années 80', j'ai toujours entendu parler du "conflit israëlo-palestinien".
Pendant ma scolarité on me fait comprendre que les deux peuples se tapent dessus pour des raisons de religion et que personne ne veut désarmer. Une simplification extrême qui je l'apprendrais des années plus tard, place les victimes au même niveau que leurs bourreaux.
Mon grand père maternel à été déporté à Dachau durant la WW2. Il avait 18 ans. Il en a 98 aujourd'hui et continue de faire porter sa voix de survivant, une des dernières. Des années en arrière, pendant que je l'écoutais raconter l'enfer des camps, jamais je n'aurais imaginé qu'après la Shoah, Israël soit un état colonisateur et génocidaire qui considère les palestiniens comme moins que des humains, moins que des animaux...
Aujourd'hui Rafah est la dernière parcelle de ce qu'il restait de la Palestine et Netanyahu la bombarde, tuant des milliers d'innocents. Les palestiniens n'ont nulle part ou s'enfuir. Le Hamas à proposé un cessez le feu, la majorité des juifs'ves dans le monde et des israëliens'nes sur place manifestent pour un cessez le feu. Rien n'y fait.
C'est un génocide. Plus de 34 735 Palestinien'nes mort'es dont plus de 14 000 enfants, et 78 000 blessés. Sans compter la famine orchestré par Netanyahu.
Depuis octobre je partage et compile les contenus des autres -plus renseigné, plus pertinent- sur mes réseaux sociaux, me disant que je ne peux rien dessiner, que je serais forcément à côté de la plaque.
Aujourd'hui, même si ce n'est rien, je ne peux plus me contenter de repartager.
On ne dois pas oublier la Palestine. On ne doit pas la laisser disparaitre.
#all eyes on rafah#palestine#free palestine#save rafah#free rafah#rafah under attack#ethnic cleansing#genocide#war crimes#this is a genocide
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