#boites de sardines
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Exposition personnelle SOUL BOXES du 20 au 28 Janvier 2024 Galerie Le Pré au 6 6, rue du pré au Clercs 75007 Paris
#exposition#art#dessin#décoration#âme#boite#boites d'âme#boites de sardines#ensemble#récupération#création#créature#écologie#responsable#ecoresponsable
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“Le contraire de la “gauche caviar”, la “droite sardine à l'huile” 🐟 , n'existe pas.”
Jean-François Kahn
Gif Giphy
#gif animé#giphy#humour#poissons#sardine#quotes#jean françois kahn#funny pics#boite de sardines#fish#fidjie fidjie
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Ah mais qu'est ce qu'on est serré, au fond de cette boite. Chante les sardines chante les sardines-
Fiona Bates Ceramics
#french#we loves sardines#because#why you all put 6 fishes so tightly in one box#just cause it fits doesn't mean it should lmaoo
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Le désir et le tableau. Histoire d'une boite de sardines. L'écran. Le mimétisme. L'organe. Jamais tu ne me regardes là où je te vois. Je glisse un ticket de la STM dans la fente de la page à l'endroit des annonces lapidaires que fait Lacan au début du chapitre *La ligne et la lumière*. J'ai une sardine tatouée sous une clavicule, elle est le début d'une histoire et sa trace. Je lis Lacan à pas lent qui n'est jamais vraiment là où il s'annonce. Tout glisse, le regard autant que les surfaces.
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Cette merveilleuse maquette a été créée pour le tournoi de babyfoot La Mondialette, organisée au bar Le Nautic (Redon) en novembre prochain.
Les joueurs sont en résine peinte à la peinture acrylique, et tous les autres éléments sont recyclés à partir d'une boite de sardines, de rayons à vélo, et de touilettes à café.
#art#artists on tumblr#sculpture#baby-foot#par contre je n'ai pas réussi à trouver un moyen de pouvoir jouer avec :(
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ACT216
lundi dialogue avec une fourchette mardi avec une boite de sardines mercredi à voix haute cri d'une fritte jeudi soir libération de trois maquereaux vendredi midi assiette rouge à lèvres samedi nuit dormir avec son opinel dimanche balade avec l'arbre chauve
prous
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mon sac d'urgence
On commence par la nourriture (et tient dans un petit cabas) partant du haut à gauche :
un sachet de flocons d'avoine,
2 paquets de nouilles instantanées
1 boite avec du sucre en poudre
1 boite de sardines
1 paquet de crackers aux graines
1 ziplock contenant des dosettes de café au lait et une plaque de chocolat
4 compotes
1 ziplock contenant des barres de céréales
C'est clairement insuffisant et il faudrait que je complète de petites conserves et d'une fiole d'huile d'olive.
Dans le sac principal :
des pochettes
2 couvertures de survie (le sac d'une d'entre elles contient une torche et ses piles)
une tasse métal à anse pliable dans laquelle il y a une serviette microfibre (il nous en faudrait 2 + 1 popote)
un grand foulard multiusages et un grand mouchoir en coton
La pochette verte contient :
1 sous vêtement + 1 paire de chaussettes pour chacun
des boules Quiès
des produits d'hygiène féminine
des mini serviettes compactes à mouiller pour qu'elles se déplient
La pochette rouge contient une plus petite pochette avec :
des compresses, des pansements, des Stéri-strips
une paire de ciseaux médicaux
du paracétamol + du paracétamol codéiné
un thermomètre frontal
des pastilles de purification de l'eau (1 pastille = 1 litre)
Directement dans la pochette rouge :
du tulle gras
des lingettes désinfectantes
1 tube d'aspirine
1 brosse à dent pliante (il m'en manque 1) et un dentifrice solide dans une boite métal
1 savon de marseille
1 bande médicale
1 mini kit couture
du sérum phy
du gel antibactérien
2 sacs poubelles
1 fourchette + 1 cuillère
1 ziplock contenant des lunettes de vues, 1 carnet + stylo du PQ en feuilles
Toujours dans la pochette rouge (on ne le voit pas mais j'ai y aussi accroché un sifflet sur la fermeture éclair) dans un ziplock :
des allumettes + 2 briquets
2 bougies chauffe palt
1 cable USB
du fil de fer
1 boussole
1 radio à manivelle qui se charge également avec un mini panneau solaire, pourvue d'une sortie pour alimenter en USB un téléphone + 1 une torche
100 € en cash
Ces 2 petits sacs peuvent être mis dans un vrai sac à dos 40 litres qui est au même endroit et dans lequel il faut ajouter :
nos ponchos de pluie
les lentilles de l'Homme
mon Levothyrox
nos portefeuilles
ma pochette de tous les jours qui contient notamment mon couteau suissie
un change de vêtement car je trouve difficile d'avoir ce qui convient à la saison tout le temps sans se surcharger.
nos gourdes remplies.
Dans un monde idéal, j'y ajouterai :
un couteau scie
1 tarp
de la paracorde
1 mini canne à pêche toute équipée
1 mini pelle pliante
2 sacs de couchage
1 sac à eau de 10 litres
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JE TESTE UN KIT DE SURVIE À 20 EUROS ! (en boite de sardine)
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Sports divers
Fils et petits-enfants australiens de T-Bear sont repartis hier mardi 17 janvier 2023 en Australie. Après le froid et la neige de l’hiver québécois ils vont retrouver à l’autre bout du monde l’été en Australe. Passer de -10°C à +40° ce n’est pas évident mais au moins ils auront un peu plus de 20h de boite à sardine volante comme trait de transition. Bon retour chers australiens… Évidemment…
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Intérieur de la boîte en tissu marbré Dos de la boîte en métal peint puis marbré
Fond de la boite en papier marbré Dos de la boîte en métal peint puis marbré
Boite avant ouverture
Série SOUL BOXES
Boites de sardines, peinture, carton plume découpé, dessin au feutre très fin. Exposées à l'atelier les 10 et 11 Juin 2023, dans le carte des portes ouvertes des Lézarts de la Bièvre, chers artistes du 5è et du 13è arr.
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Nature morte — gouache, 30 mai 2020
#2020#sardines#sardines a l'huile#nature morte#gouache#food#poisson#trio#huile#emballage#boite de conserve
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nature morte au cendrier
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Boite de Sardines, Photo by Daniel Masclet, 1928
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Sirène
Les glaçons s’entrechoquaient dans mon verre de whisky. Je regardai un film à la con tout en dégustant ce cadeau apporté d’Écosse par ma sœur. D’habitude, je préférai le bourbon, ça me donnait un air détective américain. Cependant, ce whisky pur malt était un régal. Devant, la télévision, je commençai à m’emmerder des programmes lorsque le téléphone sonna. Mon patron parla avant même que je puisse prononcer le moindre mot, les siens étaient mâchouillés en même temps que son cigare : « …Reportage pour toi, coco…sors…doigts du cul…au port…sirène…aperçue…fissa un article pour demain…bureau. »
Il raccrocha avant que je dise « OK, boss ». Toutefois, je pris le temps de finir mon verre. Je partis peu après vers les quais en espérant en savoir plus sur cette fameuse sirène. Peut-être venait-elle du Mississippi ou d’ailleurs ? Je me posais de nombreuses questions sur son physique. Je l’imaginai à moitié poisson. Mais, en réfléchissant, les sirènes grecques étaient ailées avec un corps plus proche de l’oiseau que du maquereau. Le trajet fut long et pénible surtout avec ma vieille PEUGEOT qui tombe en panne dès que j’allume le clignotant. Toutefois, j’arrivai au port sans prompt renfort. Il faut dire que je partis seul et non pas cinq cents.
Les quelques marins rencontrés ne démentirent pas leur réputation. Ils affichèrent une apparence bougonne, préférant parler avec une bière à la main qu’avec un étranger journaliste. Ils montrèrent une certaine austérité à mon égard, jusqu’à ce que je sorte les biffetons. Alors là, pour parler ils ont parlé. Je n’avais jamais vu autant de pêcheurs venant de Marseille que sur les quais ce jour. Ils avaient tous vu la sirène. Pour certain, elle était grande magnifique avec des cheveux si longs qu’elle cachait son opulente poitrine. Pour d’autres, elle était petite, aussi grande qu’une sardine dans une boite de conserve. Elle ne montrait rien puisqu’elle n’avait rien à montrer. Je demeurai sceptique jusqu’à ce que celui qu’on appelle le « vieux » approchât en ricanant.
« Tu veux voir la sirène ? » marmonna-t-il dans sa barbe grisonnante. Son œil gauche restait fermé pendant que le droit reluquait le décolleté de la prostituée qui me faisait du pied. Celle-là avait vite compris que j’avais plus d’argent que les autres. Dommage qu’elle sentait la pisse des hommes qui pleurent sur les femmes infidèles. Elle partit quand elle comprit que je n’avais pas de pièce en or à offrir contre sa vertu. Pendant ce temps, mon vieux marin raclait sa gorge pour me parler de la célèbre sirène. Il parlait tellement bien que je n’ai rien compris. Alors, je lui ai demandé de me montrer l’endroit où elle se trouvait.
A cause de sa jambe de bois, nous marchâmes deux bonnes heures quittant même le port pour faire les trois kilomètres de distance. Il refusa de monter dans ma caisse, sous prétexte que cela lui donne le mal de terre. Pourtant, elle roule bien ma voiture, sauf quand je fais marcher le clignotant. A ce moment, elle s’arrête nette et je dois attendre qu’elle décide de redémarrer. Mais revenons-en au fait ! Nous traversâmes une ruelle isolée et arrivâmes sur un boulevard lorsqu’il s’arrêta et dit en montrant ses chicots : « La v’là, ta sirène, p’tit gars. ». Face à moi se trouvait la caserne des pompiers. « Tu te fous de moi ? » m’exclamai-je. Dès lors, le marin interpela un homme en uniforme bleu marine qui sortait du bâtiment. Il répondit : « oui, bien sûr, nous avons une sirène pour nous prévenir en cas d’intervention. » Je me suis dit qu’il allait être pourri mon article.
J’abandonnai ce vieux con et son sourire ravageur en comprenant que cette histoire de sirène n’irait pas loin. Sur la route du retour, la circulation devint lente au point d’être carrément pénible. Elle s’arrêta me laissant au milieu des pots d’échappement excités qui voulaient dégazer à vive allure. Ce n’était pas normal et je pensai à un accident lorsque je vis un homme marcher entre les voitures stationnées sur la route. Il était totalement habillé de rouge. Son pantalon, son manteau, son chapeau folklorique et même ses bottes étaient d’un rouge si vif que je devinai qu’il s’allumait la nuit. Seule sa barbe blanche colorait ce gugusse apparemment paumé. Au moment de croiser mon regard, il s’approcha et toqua à la vitre.
« Mon attelage s’est enfui me laissant en rade. Tu n’aurais pas vu six rennes passer ? ». Je sortis et remarquai alors au loin l’origine de l’embouteillage : un traineau. « Mais, on n’est pas Noël !dis-je. Et les pubs commencent après Halloween. On est seulement en mars ». L’ancêtre éclata de rire avant de raconter qu’il devait commencer tôt pour distribuer les jouets par millier. Et si je me foutais de sa gueule, il oubliera mon petit soulier. Dès lors, j’acceptai de l’aider à retrouver ses rennes. « Combien sont-ils déjà ? » « Six » répondit-il. « Six rennes, pensai-je. La journée va être très longue ! … et mon article bien pourri !»
Nous parcourûmes la ville de fond en comble, retrouvant les uns après les autres les rennes. Ils avaient tous des prénoms particuliers. « Lundi, Mardi, Mercredi qui broutait l’herbe du parc le plus proche. Jeudi partit sur les quais regarder les poissons dans l’eau. Vendredi et Samedi qui se promenaient amoureusement cherchant un buisson. Heureusement que Dimanche n’était pas présent, c’était le pire de tous. Mais aujourd’hui, c’était son jour de repos. Une fois avoir aidé le vieux Noel avec qui je sympathisai (D’ailleurs, il me proposa de passer à la maison faire un coucou le soir du 24 décembre à condition que je lui serve un verre de lait et des cookies. Et surtout, que je ne le laisse pas attendre dehors trop longtemps car à cause de moi, il aura si froid), je partis au bureau après avoir téléphoné au patron pour lui expliquer qu’il n’y avait pas de sirène mais six rennes perdus en ville. Il me rappela de suite : « Qu’est-ce que tu racontes ? Je n’ai pas parlé de sirène ni de six rennes du père Noël mais de six reines qui passent leurs vacances sur un yacht près de la Marina. Je veux que tu fasses un article sur elles, les six reines. Il y a la reine d’Angleterre, la reine d’Espagne, la reine des Pays-Bas, celle de Suède et les deux autres moins intéressantes. Et grouille-toi, bordel ! ».
Obligé de faire demi-tour, je profitai d’une voiture de police sirène en action qui venait pour arrêter un fou dangereux en habit de père Noël qui kidnappe les rennes du zoo pour participer à un casting d’une célèbre marque de cola. Enfin, j’arrivai devant les quais bondés de mes collègues. Je réussis à passer entre les épaules collés les unes aux autres et ne vis rien de ces majestés et de leur suite tellement il y avait de gardes. Je reconnus les gardes du corps d’un peu trop près, les gardes républicains en colère de protéger des reines, les gardes barrières pour contrer la pandémie, les gardes suisses multi usage, pratiques pour déboucher une bouteille de vin, les gardes chasses en pleine discussion sur le prochain lâcher de pétasses sur les quais, les gardes champêtres qui avaient peur de l’eau et bien sûr les gardes impériaux qui ne bougeaient pas attendant la sonnerie de Big-Ben pour changer de côté.
Avec tout ce monde, je ne pus travailler correctement. Alors, je repartis et me dirigeai vers la plage pour souffler et regretter mon petit whisky écossais. Je m’assis sur le sable, le vent dans les cheveux si j’en avais et regardai à l’horizon. J’étais déçu et persuadé que je perdrais mon job avant la fin de la journée. Je commençai à réfléchir sur une reconversion quand j’entendis crier au loin. Une femme en détresse appelait à l’aide. Elle bougeait les bras, elle se noyait. Un mousse courut, se jeta à l’eau et partit la sauver. Il revint tout sec comme s’il n’était jamais entré dans la mer. Il tenait la jeune femme dans ses bras. Elle faillit s’évanouir en soufflant : « Vous m’avez sauvé la vie, mon héros ». Dès lors, il la ranima d’un langoureux baiser. Le marin me regarda, un éclat jaillit de son sourire. Je lui dis en montrant la queue en écailles de la fille: « Je crois qu’elle se moque de vous. Elle sait nager, c’est une sirène » « Et, alors répondit-il ! Je ne suis pas sectaire, faut toujours apprécier sa prise ! ». Puis, il partit avec elle vers l’hôtel le plus proche. Mais au bout de cinq minutes, ils revinrent l’air déçu et en colère d’avoir été refusés parce qu’ils n’acceptaient pas les sirènes, à cause de l’odeur de poisson. Il jeta la fille dans l’eau. Elle nagea, l’attendant gentiment. Puis il plongea et tous deux s’éloignèrent là où ils seraient acceptés pour ce qu’ils sont.
Quand il lut mon rapport, le patron me dévisagea. Il regarda aussi la photo du couple avant de dire «mwouais, tu fatigues coco, tu fatigues ! »
Alex@r60 – août 2020
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🎶 "Ha ! Qu’est-ce qu’on est serré, au fond de cette boite,
Chantent les sardines, chantent les sardines..."🎶
Patrick Sébastien
Gif de Percolate Galactic, collage Mermaid
#gif animé#percolacte galactic#mermaid#sardines#quotes#patrick sébastien#humour#funny pics#fidjie fidjie
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NOSTALGIE
Je suis ici, je suis ailleurs. Je suis ailleurs quand je suis sur Zoom, quand je suis dans ma chambre étudiante... Je cherche à m'évader mais je ne peux pas. J'essaie de me concentrer sur mon travail mais tout me ramène à ces moments où j'étais là bas, où j'étais bien.
La brioche vendéenne me manque, je crois qu'il n'y a rien de plus réconfortant au monde. Savez-vous qu'à l'origine on la préparait pour les fêtes de Pâques ou pour les noces ? C'était un gâteau de fête. Cela fait il me semble une éternité qu'il n'y a pas eu de fêtes comme on l'imagine, avec une tonne de monde rassemblé au même endroit, dans la joie et la bonne humeur. En ce moment le seul endroit où les gens se rassemblent c'est dans les centres commerciaux.
Les Flanneries par exemple, on peut rester là bas toute la journée il y a tout : divertissements, vêtements, cafés... A proximité le cinéma, les restaurants, d'autres grands magasins... Quand on a rien à faire on va aux Flanneries comme ça on ne fait rien, mais aux Flanneries, c'est déjà mieux.
Mais les centres commerciaux, on s'en lasse vite, c'est vite anxiogène. Souvent je me demande, quand la crise sera finie et qu'on pourra à nouveau circuler librement, qu'est ce que je ferais ?
J'irais au Puy du Fou ! Tellement de folklores et d'Histoire rassemblé en un seul lieu. En voilà un lieu à ambiance festive ! Le Puy du Fou est une vraie fête. La fête, la chaleur humaine, voir les gens qui s'amusent, voilà ce qui me manque le plus en vrai.
J'irais à Saint-Gilles-Croix-de-Vie après. Un port de pêche paisible où se promener, c'est très bien après l'agitation du Puy du Fou. Peut-être que j'apprendrais à pêcher la sardine. Prendre du bon temps à la station balnéaire, le nez au vent ( ce qui aujourd'hui veut dire sans masque ). Saviez-vous que Saint-Gilles-Croix-de-Vie est situé de part et d'autre de l'embouchure d'un fleuve qui s'appelle la Vie ? La Vie ! Quand la pandémie sera finie je naviguerais en toute liberté sur le fleuve de la Vie, jusqu'à 20H !
Puis j'irais aux Sables-d'Olonne, je visiterais le château de la Chaume, je monterais tout en haut du phare de l'Armandèche, j'irais voir les marais d'Olonne sur Mer, puis je me promènerais sur le Port Olona, l'un des tout premier port de la côte Atlantique qui accueille de nombreux évènements nautiques comme le Vendée Globe.
Et quoi de mieux que le Vendée Globe pour s'évader ? Prendre le large en voilier, quoi de mieux après l'enferment du covid ? En vrai je ne sais pas si je ferais le Vendée Globe, mais partir en bateau pendant quelques jours, ou quelques semaines j'aimerais bien.
Nostalgie, c’est tout ce qui me reste en cette période. Une période où je me retrouve prisonnier de mes pensées, mes envies. Le pire pour moi c’est de savoir que je suis loin de mon pays, le Bénin. Avec ses villages lacustres.
Ganvié est un village particulier construit sur le lac Nokoué, à une heure au nord de la ville de Cotonou, la capitale administrative et la plus grande ville de la République du Bénin, un pays en Afrique de l’Ouest. Le village entier se dresse sur des pilotis dans le milieu du lac. Il est probablement le plus grand village sur un lac en Afrique et en tant que tel est très populaire auprès des touristes. Les populations mènent toutes leurs activité sur l’eu et y vivent. Comme cette dame en image, on voit des vendeurs ambulants qui circulent avec leur pirogue. Je rêve d’y être en train de partager une calebasse de ma bière préférée, tchakpalo.
Le Tchakpalo est une boisson locale faite à base maïs fermenté : il s'agit d'une bière, légèrement sucrée, que l'on retrouve principalement dans les régions du Sud Benin. Il faut l’avoir une fois bue pour comprendre le sens de ma nostalgie.
Le Bénin, c’est aussi, et avant tout le Vodou. Il est pour le Bénin, ce que le christianisme représente pour l’Europe. On ne peut donc parle de ce pays sans abordé cette thématique mais je vais pas m’aventurer sur ce sujet qui risquerait de prendre des heures… Le vodou, au delà de sa dimension spirituelle et culturelle, c’est aussi des danses et spectacles. Mon préféré est celui des Egoungoun.
Encore appelé ‘’ Egoun’’, le Egoungoun est le symbole de l’esprit de la mort, supposé revenu d’entre les morts, pour se manifester aux vivants. Vous vous posez certainement la question de savoir si cela est vrai. Il faut être initié pour avoir de réponse à cette question. De toute façon, le Egoun ne sort que pour des événements précis (naissance, décès, fêtes traditionnelles, etc.) du clan auquel il appartient et avant sa sortie, il est important voire obligatoire de faire au préalable des rituels dont la consultation du « Fâ ». Au delà de sa fonction principale, résoudre les problèmes de sa communauté, il est aussi source de joie à chaque fois qu’il fait son apparition. Aller au bénin sans voir les Egoungouns, c’est comme visiter Paris sans passer par la tour Eiffel. L’histoire de Vodou, c’est aussi en partie l’histoire de Ouidah, berceau de plusieurs divinités avec ses multiples temples. Le plus visité est celui des pythons.
Le temple des Pythons est un sanctuaire vaudou situé à Ouidah, dans un lieu où l'existence d'un culte du Serpent est attestée depuis la fin du XVIIᵉ siècle ; une forme particulière du vaudou. Ses pythons sacrés vivants constituent l'une des attractions touristiques majeures de la ville. La légende raconte que la population de cette ville a une histoire, je l’ignore, avec le python. Elles portent, jusqu’à ce jour, des traits de scarifications au visage, communément appelées ‘’deux fois cinq’’, qui seraient des marques présentes sur la tête des Pythons.
Je suis surprise de voir/ à quel point cet endroit me manque, un an après y être allée.J’étais assise sur mon lit, en train de contempler le bracelet que j’avais ramené de Thailande. Je touchais du bout des doigts les clochettes qui l’ornait, et je n’ai pas pu m’empêcher de repenser au temple que j’avais visité à Krabi, le temple du Tigre. En Thailande, deux religions co-existent : l’islam, et le bouddhisme. Je n’ai pu que visiter les temples bouddhistes et la première chose qui m’a marqué la bas, c’est l’état de séréinité, de spiritualité, que je ne retrouvais pas en France, mais aussi la beauté du décor, des structures ornées de dorures et de pierres. La légende raconte qu’il y a très longtemps, un tigre géant serait apparu au sein de ce temple, et aurait cohabité avec les moines qui l’auraient dompté. Je me rappelle avoir été très intriguée par ce qui se trouvait derrière ce portail doré,// mais ma question est restée à mon grand regret sans réponse, car il s’agissait d’un lieu réservé aux moines initiés, interdit au grand public. En parlant de ce temple, je me demande bien encore comment j’ai pu gravir 1237 marches. Il s’agissait apparemment d’un parcours d’initiation pour les moines, qui en montant tout en haut de la montagne, se rapprocherait du ciel. Il faisait une chaleur de plomb, les marches étaient abruptes; c’était un véritable parcours du combattant, à tel point que j’ai encore l’impression de ressentir la douleur de l’effort dans mes jambes; et pourtant je n’aurais voulu être nul part ailleurs. Arrivée là-bas, j’avais l’impression de toucher le ciel, comme les initiés devaient avant moi le ressentir. J’avais une impression de grandeur, de plénitude, comme quelque chose d’accompli, qu’aujourd’hui je ne ressens plus vraiment, enfermée au même endroit toute la journée devant l’écran de mon ordinateur. Ce qui me manque finalement c’est les grands espaces// comme cette plage des îles Similan près de Phuket. J’y avais ramassé quelques coquillages, que je peux encore voir exposés dans la boite posée dans mon bureau. Nous avions dû escalader les rochers pour pouvoir prendre cette photo. Elle offre une vie imprenable sur l’île, et surtout sur l’eau cristalline de la mer ou l’on pouvait explorer les fonds marins et les coraux. Si je pouvais me téléporter à un endroit là maintenant, ça serait probablement sur cette pirogue thai. Ça a longtemps été mon fond d’écran d’ailleurs. Je me souviens encore des belles couleurs des colliers de fleurs qui l’ornaient, et qui contrastaient avec le bleu de l’océan. J’ai souvent vu ce type d’image sur Instagram avant de pouvoir le voir de mes propres yeux, mais la réalité était encore plus belle. Nous nous dirigions vers Monkey Beach, une plage habitée uniquement par des singes, un endroit qui aujourd’hui est marqué par le tourisme, mais qu’on tente de plus en plus de conserver. Le restaurant après la plage, voila quelque chose qui je pense manque à l’ensemble d’entre nous. C’est en scrollant sur mon téléphone toutes les photos de mon voyage que je suis tombée sur celle ci, celle d’un plat Thai traditionnel, le Ananas Bowl. Il s’agissait d’un mélange de riz frit, de poivrons le tout dans un ananas, agrémenté de quelques touches de piment. C’était à la fois un moment de découverte, et de convivialité, et c’est cela qui me manque vraiment.
https://youtu.be/NEBOSjdsN2M
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