#bernard blistène
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Georg Baselitz (né en 1938)
Impressionnante, cette grande rétrospective de l'artiste allemand Georg Baselitz au Centre Pompidou. L'oeuvre de Baselitz est à la fois forte et puissante et s'impose au regardeur dans ce parcours didactique
Georg Baselitz“Des jambes , des jambes de femme, des jambes dansant la ronde (…) ” Georg Baselitz, face au Louvre avec cette sculpture : “Zero Dom”, 2021 – Bronze 9 X 4,1 X 4,1 m. Courtesy Galerie Thaddaeus Ropac . Cette sculpture est installée sur le parvis de l’Institut de France à l’occasion de son installation sous la coupole au fauteuil de membre associé étranger de l’Académie des…
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Denise Grey.
Filmografía
Cine
1913 : Mademoiselle Etchiko
1914 : En famille, de Georges Monca
1914 : Madame Rigadin, modiste, de Georges Monca
1914 : Mademoiselle Etchiko, de André Hugon
1914 : Le Voyage de Corbillon, de Georges Monca
1916 : Document secret, de René Navarre
1916 : Nemrod et Cie, de Maurice Mariaud
1916 : Rigadin professeur de danse, de Georges Monca
1917 : Les Bleus de l'amour, de Henri Desfontaines
1917 : Honneur d'artiste, de Jean Kemm
1935 : Jeunes Filles à marier, de Jean Vallée
1936 : La Dame de Vittel, de Roger Goupillières
1937 : Trois artilleurs au pensionnat, de René Pujol
1938 : Trois artilleurs à l'opéra, de André Chotin
1938 : Serge Panine, de Paul Schiller y Charles Méré
1940 : Monsieur Hector, de Maurice Cammage
1941 : Boléro, de Jean Boyer
1941 : Montmartre-sur-Seine, de Georges Lacombe
1942 : Romance à trois, de Roger Richebé
1942 : Le Voile bleu, de Jean Stelli
1942 : Des jeunes filles dans la nuit, de René Le Hénaff
1942 : Retour de flamme, de Henri Fescourt
1942 : L'Honorable Catherine, de Marcel L'Herbier
1943 : Adieu Léonard, de Pierre Prévert
1943 : Vingt-cinq ans de bonheur, de René Jayet
1943 : L'aventure est au coin de la rue, de Jacques Daniel-Norman
1944 : Les Caves du Majestic, de Richard Pottier
1945 : On demande un ménage, de Maurice Cam
1945 : Madame et son flirt de Jean de Marguenat
1945 : L'Insaisissable Frédéric, de Richard Pottier
1945 : L'Extravagante Mission, de Henri Calef
1946 : Étrange Destin, de Louis Cuny
1946 : Le Couple idéal, de Bernard Roland y Raymond Rouleau
1946 : Six heures à perdre, de Alex Joffé y Jean Lévitte
1946 : Coïncidences, de Serge Debecque
1946 : Le Diable au corps, de Claude Autant-Lara
1947 : Et dix de der, de Robert Hennion
1947 : Carré de valets, de André Berthomieu
1948 : Une femme par jour, de Jean Boyer
1948 : Bonheur en location, de Jean Wall
1949 : La Ronde des heures, de Alexandre Ryder
1949 : Tête blonde, de Maurice Cam
1949 : Mon ami Sainfoin, de Marc-Gilbert Sauvajon
1949 : Pas de week-end pour notre amour, de Pierre Montazel
1950 : Rome-Express, de Christian Stengel
1950 : Les Petites Cardinal, de Gilles Grangier
1950 : Demain nous divorçons, de Louis Cuny
1952 : Allô... je t'aime.
1952 : La Tournée des grands ducs, de André Pellenc
1953 : Art. 519 Codice Penale, de Leonardo Cortese
1953 : Il Seduttore, de Franco Rossi
1953 : Raspoutine, de Georges Combret
1953 : Dortoir des grandes, de Henri Decoin
1953 : Les Corsaires du bois de Boulogne, de Norbert Carbonnaux
1953 : Julietta, de Marc Allégret
1953 : Le Père de Mademoiselle, de Marcel L'Herbier
1954 : Escalier de service, de Carlo Rim, sketch Les Béchard
1954 : Le Printemps, l'automne et l'amour, de Gilles Grangier
1954 : Fantaisie d'un jour, de Pierre Cardinal
1954 : Le Mouton à cinq pattes, de Henri Verneuil
1954 : Poisson d'avril, de Gilles Grangier
1955 : La Villa Sans-Souci, de Maurice Labro
1955 : La Rue des bouches peintes, de Robert Vernay
1956 : Sylviane de mes nuits, de Marcel Blistène
1956 : L'Auberge fleurie, de Pierre Chevalier
1956 : Une nuit aux Baléares, de Paul Mesnier
1956 : Mitsou, de Jacqueline Audry
1957 : À pied, à cheval et en voiture, de Maurice Delbez
1957 : Carve Her Name with Pride, de Lewis Gilbert
1957 : La Peau de l'ours, de Claude Boissol
1957 : Le Tombeur, de René Delacroix
1957 : Police judiciaire, de Maurice de Canonge
1957 : Mimi Pinson, de Robert Darène
1957 : C'est la faute d'Adam, de Jacqueline Audry
1958 : À pied, à cheval et en spoutnik, de Jean Dréville
1959 : Bomben im Monte-Carlo, de Georg Jacoby
1959 : Le Confident de ces dames, de Jean Boyer
1960 : Le Panier à crabes, de Joseph Lisbona
1960 : La Française et l'Amour, de Christian-Jaque, sketch Le Divorce
1963 : La Bonne Soupe, de Robert Thomas
1965 : Pas de caviar pour tante Olga, de Jean Becker
1969 : La Maison de campagne, de Jean Girault
1970 : Hello-Goodbye, de Jean Negulesco
1970 : Los Aristogatos, de The Walt Disney Company
1971 : Mais qui donc m'a fait ce bébé ?, de Michel Gérard
1980 : La Boum, de Claude Pinoteau
1982 : La Boum 2, de Claude Pinoteau
1982 : N'oublie pas ton père au vestiaire..., de Richard Balducci
1982 : En cas de guerre mondiale, je file à l'étranger, de Jacques Ardouin
1983 : Le Voleur de feuilles, de Pierre Trabaud
1985 : Le Gaffeur, de Serge Pénard
1988 : Les Saisons du plaisir, de Jean-Pierre Mocky
1991 : Tchin tchin, de Gene Saks.
Televisión
1960 : Rouge, de André Leroux
1962 : Chéri
1967 : Le Chevalier Tempête, de Yannick Andréi
1969 : Tout pour le mieux
1971 : Une autre vie
1972 : Les Rois maudits, de Marcel Jullian y Claude Barma
1977 y 1982 : Cinéma 16
1978 : Un ours pas comme les autres
1979 : Les Moyens du bord
1979 : Les Dames de la côte, de Nina Companeez
1980 : L'Esprit de famille
1983 : Merci Sylvestre
1985 : Les temps difficiles.
Teatro
1916 : Six Hommes, une femme et un singe, de Pierre Veber y Yves Mirande, Théâtre Michel
1921 : Comédienne, de Jacques Bousquet y Paul Armont, Théâtre des Nouveautés
1922 : La Femme de mon ami, Théâtre de l'Athénée
1922 : Atout... Cœur !, de Félix Gandéra, Théâtre de l'Athénée
1924 : Si je voulais..., de Paul Géraldy y Robert Spitzer, Théâtre du Gymnase Marie-Bell
1926 : Passionnément, de Maurice Hennequin y Albert Willemetz, Théâtre de la Michodière
1936 : Europe, de Maurice Rostand, Théâtre Pigalle
1938 : Le Valet maître, de Paul Armont y Léopold Marchand, escenografía de Pierre Fresnay, Théâtre de la Michodière
1948 : Les Enfants d'Edouard, de Frederic Jackson y Roland Bottomley, adaptación de Marc-Gilbert Sauvajon, escenografía de Jean Wall, Théâtre Édouard VII
1949 : Les Enfants d'Edouard, de Frederic Jackson y Roland Bottomley, adaptación de Marc-Gilbert Sauvajon, escenografía de Jean Wall, Théâtre des Célestins
1950 : George et Margaret, de Marc-Gilbert Sauvajon y Jean Wall, escenografía de Jean Wall, Théâtre Daunou
1950 : Il faut marier maman, de Marc-Cab y Serge Veber, escenografía de Pierre Dux, Théâtre de Paris
1953 : Faites-moi confiance, de Michel Duran, escenografía de Jean Meyer, Théâtre du Gymnase Marie-Bell
1955 : Les Enfants d'Edouard, de Frederic Jackson y Roland Bottomley, adaptación de Marc-Gilbert Sauvajon, escenografía de Jean Wall, Théâtre des Célestins
1956 : La Femme du siècle, de Claude Schnerb, escenografía de Jacques-Henri Duval, Théâtre des Célestins, giras Georges Herbert
1959 : Bon Week-End Mr. Bennett, de Paule de Beaumont a partir de Arthur Watkyn, escenografía de Michel Vitold, Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
1961 : Ocho mujeres, de Robert Thomas escenografía de Jean Le Poulai.
1962 : Ocho mujeres, de Robert Thomas, escenografía de Jean Le Poulain, Théâtre des Bouffes-Parisiens
1963 : Vénus de Milo, de Jacques Deval, escenografía de Pierre Mondy, Théâtre des Célestins
1965 : Assassins associés, de Robert Thomas, escenografía de Jean Piat, Théâtre Antoine y Théâtre du Palais-Royal
1966 : J'y suis, j'y reste, de Jean Valmy y Raymond Vincy, escenografía de Jean Valmy, Théâtre Marigny
1966 : La Fin du monde, de Sacha Guitry, escenografía de Jean-Pierre Delage, Théâtre de la Madeleine
1967 : Quarante Carats, de Pierre Barillet y Jean-Pierre Gredy, escenografía de Jacques Charon, Théâtre de la Madeleine
1971 : Le Train de l'aube, de Tennessee Williams, escenografía de Jean-Pierre Laruy, Théâtre Édouard VII
1972 : En avant... toute !, de Michel André, escenografía de Michel Roux, Théâtre Édouard VII
1972 : La Bonne Adresse, de Marc Camoletti, escenografía de Christian-Gérard, Théâtre Michel
1973 : La Royale Performance, de Marcel Mithois, escenografía de Jean-Pierre Delage, Théâtre des Bouffes-Parisiens
1974 : Le Tube, de Françoise Dorin, escenografía de François Périer, Théâtre Antoine
1976 : Le Jardin de craie, de Enid Bagnold, escenografía de Raymond Gérôme, Théâtre Hébertot
1977 : Bichon, de Jean de Létraz, escenografía de Jacques Valois, Théâtre de Charleville-Mézières
1978 : Crime à la clef, de Alain Bernier y Roger Maridat, escenografía de Jean-Paul Cisife, Théâtre Tristan-Bernard
1981 : La vie est trop courte, de André Roussin, escenografía de Michel Fagadau, Théâtre Daunou
1983 : La vie est trop courte, de André Roussin, escenografía de Michel Fagadau, Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
1984-1985 : Les Temps difficiles, de Édouard Bourdet, escenografía de Pierre Dux, Théâtre des Variétés
1985 : Harold et Maude, de Colin Higgins, escenografía de Jean-Luc Tardieu, Espace 44 Nantes
1987 : Harold et Maude, de Colin Higgins, escenografía de Jean-Luc Tardieu, Théâtre Antoine
1989 : Arsénico y encaje antiguo, de Joseph Kesselring, escenografía de Jean-Luc Tardieu, gira
1991 : La sopera, de Robert Lamoureux, escenografía de François Joffo.
Operetas
1919 : Nelly, de Marcel Lattès, con Félix Oudart (Théâtre de la Gaîté)
1950 : Il faut marier maman, de Guy Lafarge, Théâtre de Paris, con Roland Armontel.
Créditos: Tomado de Wikipedia
https://es.wikipedia.org/wiki/Denise_Grey
#HONDURASQUEDATEENCASA
#ELCINELATELEYMICKYANDONIE
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Video
vimeo
Ant Farm, Media Burn, 1975
Le collectif Ant Farm a été créé en 1968 par les architectes Chip Lord et Doug Michels. Rassemblés par la contre-culture à San Francisco, les membres du collectif ont fait preuve d’une « non-conformité vigoureuse (1) ». Jusqu’en 1978, le collectif œuvre à une architecture alternative et expérimentale, et à des performances radicales donnant lieu à des œuvres vidéo. Le nom du collectif, qui se traduit en français par fourmillière, fait référence à sa pratique dite « underground (2) » (sous-terrain), un terme qui s’emploie en anglais à des actions subversives et clandestines.
Dans la vidéo Media Burn, Ant Farm s’en prend à l’emprise du capitalisme et des médias de masse sur la société américaine. Le jour de l’indépendance américaine 1975, une Cadillac customisée par le collectif s’accélère vers un mur de téléviseurs, qu’elle traverse et fait effondrer en une boule de feu. Des journalistes de divers organismes de médias, invités par les artistes, diffusent l’événement en direct, leurs reportages étant repris dans la vidéo. Le spectacle est précédé d’un discours énoncé par le défunt président Kennedy, joué par Michels, qui dénonce les « monopoles des médias de masse [qui] contrôlent des gens grâce à leur contrôle de l’information. (3) »
Dans Media burn, les organismes de médias sont rendus complices de leur propre dénonciation. Comme Doug Michels s’en rappellera plus tard, « nous utilisions la télévision pour détruire la télévision. (4) » Selon Bernard Blistène, ce geste décidément transgressif fait preuve de la volonté d’Ant Farm de « retourner le système contre lui-même et revendiquer une pensée du refus et de l’instabilité nécessaire. (5) »
« Lusty nonconformity » ; Michael Sorkin, « Sex, Drugs, Rock and Roll, Cars, Dolphins and Architecture », dans Constance Lewallen et Steve Seid, Ant Farm 1968 — 1978, Berkeley, University of California Press, Berkeley Art Museum et Pacific Film Archive, 2004, p. 9.
Constance Lewallen, ed., « Interview with Ant Farm », dans ibid., p. 41.
« Mass media monopolies control people by their control of information. » ; Ant Farm, Media burn, 1975, 11:18.
« We were using TV to destroy TV. » ; propos rapportés dans Constance Lewallen, loc. cit., p. 72.
Propos rapportés dans Marie-Ange Brayer, et al., Ant Farm, Orléans, Éditions Hyx, 2007, p. 63.
T.R.
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A 20-Year Legacy of Support for French Artists
A show at the Pompidou Center highlights the work of Kapwani Kiwanga, winner of the Marcel Duchamp Prize, and those who won before her.
Kapwani Kiwanga’s “Flowers for Africa” is a series of installations that consist of elaborately arranged fresh flowers. © Dmitry Kostyukov for The New York Times
PARIS — The conceptual artist Kapwani Kiwanga, whose latest exhibition here recreates elaborate floral arrangements from archival photographs to capture a moment in time, was awarded the Prix Marcel Duchamp on Monday in a celebration that also marked the 20th anniversary of the prize.
The award, viewed as France’s answer to Britain’s Turner Prize, is named after one of France’s most influential 20th-century artists and is given to an artist born or working in France. Ms. Kiwanga, a native of Canada, works in Paris.
The winner was announced by Bernard Blistène, director of the Musée National d’Art Moderne at the Pompidou Center.
“At a time of rising nationalism around the world, it is important to emphasize that this is not a ��nationalistic’ prize, but the recognition of an international artist who is part of the French art scene,” said Mr. Blistène, who also presides over the seven-person jury. Members include Gitte Orskou, director of the Moderna Museet in Stockholm, and Marie-Cécile Zinsou, president of the Zinsou Foundation in Benin, in West Africa.
The award ceremony at the museum went ahead despite the pandemic that forced the cancellation of the annual International Contemporary Art Fair, or FIAC. The fair, which would have opened on Thursday, is usually the focal point of a buoyant week of art-filled events in the French capital. This year, the ceremony was held against a background of global travel restrictions compounded by a local nighttime curfew in place in Paris.
“It isn’t because we are going through a terrible period that this public institution should not stand for hope for the future,” Mr. Blistène said.
After studying anthropology and comparative religion at McGill University in Montreal, Ms. Kiwanga attended the École des Beaux-Arts in Paris. © Manuel Braun
With the prize Ms. Kiwanga was awarded 35,000 euros (about $41,000). The other nominees were Alice Anderson, Hicham Berrada and Enrique Ramírez, selected by a committee of the Association for the International Diffusion of French Art, a group of about 400 art collectors that created the prize.
The appropriation of history is the subject of “Flowers for Africa,” a series of installations by Ms. Kiwanga that consist of elaborately arranged fresh flowers, suspended as a garland from the ceiling or set in bouquets on pedestals. Each is a “reconstruction” of a floral arrangement the artist has gleaned from an archival photograph of an official ceremony marking the independence of an African country.
“The flowers wilt and dry over time and must be replaced according to a protocol,” said Ms. Kiwanga, who is 42. “They capture a moment in history.”
Sophie Duplaix, the chief curator at the Pompidou Center, where works by the nominees will be displayed through early January, said that “all four artists have touched on the notion of time and its impact on the individual and society.”
“That common thread helped us bring harmony to a show that we hope will resonate with the public, especially in a period when we are all reconsidering our own relationship with time,” she said.
In “Flowers for Africa,” Ms. Kiwanga examines that connection by confronting history and botany. History is retold through the life cycle of flowers left to wilt for the duration of the exhibition. Her reconstruction of ceremonial bouquets underscores the shortcomings of capturing history.
“The project was born out of my own frustration at looking at images that seemed always to depict political leaders present at independence ceremonies,” she said. “I wanted to look beyond those central figures and focus on the flower arrangements, which were witnesses on the sidelines of those historical events.”
After studying anthropology and comparative religion at McGill University in Montreal, Ms. Kiwanga attended the École des Beaux-Arts in Paris.
Hicham Berrada’s “Présage, SiO2” is a 12-minute video showing the reaction that occurs when he pours silicon dioxide to activate a controlled chemical reaction in a glass tank filled with a mixture of acid and water. © By Dmitry Kostyukov For The New York Times
This year is also the 20th anniversary of the Duchamp prize, and to mark this milestone, a six-month exhibition at the museum honors previous winners.
“I believe in French art for its spirit, its elegance and its joie de vivre,” said Gilles Fuchs, a collector and president of the association.
“This prize recognizes an artist whose innovative practice is representative of a generation and reflects the creativity of the French art scene,” he added. “The 20th-anniversary show is evidence of our continued support of the artists.”
Mr. Blistène said the award “is not driven by ‘market’ interests.” He added that the association collectors “are not motivated by commercial interests nor by mundane or ‘domestic’ considerations like whether they can hang the art in their living rooms.�� Among the other nominees, Mr. Berrada’s artistic practice sits at the junction of science and nature. His installation, “Présage, SiO2,” is a 12-minute video showing the reaction that occurs when he pours silicon dioxide, a component used in making concrete, to activate a controlled chemical reaction in a glass tank filled with a mixture of acid and water. A mesmerizing landscape of moving shapes is captured in the video, projected onto a large screen. Mr. Berrada, 34, a native of Morocco, lives and works in Paris and Roubaix, in northern France.
Alice Anderson’s work is made up of drawings, dance movements and totemic sculptures constructed from everyday objects wrapped in copper thread. © Dmitry Kostyukov for The New York Times
The French-born Alice Anderson, 47, reflects on memory in a presentation made up of drawings, dance movements and totemic sculptures constructed from “recorded” everyday objects — like a computer mouse or a mobile phone — wrapped in copper thread, that connect man to technology.
“Technology is driving a change of civilization,” Ms. Anderson said. “These objects are mummified to be preserved.”
On a wall in the space dedicated to Mr. Ramírez, 41, a Chilean multimedia artist who lives and works in Paris and Santiago, are the words: “The future always repeats itself inseparable from the past.” The sentiment ties together several pieces that touch on issues of migration and history.
At the center, a video depicts a man entangled in the twisted fabric of a sail floating in the sea, in what could be interpreted as either a slow struggle for survival or a metaphor for a return to the fetal state inside a womb.
“The sea and the sail evoke both freedom and failure,” Mr. Ramírez said. “My work is less about politics and more about poetry.”
Enrique Ramírez’s work at the Pompidou Center includes a video of a man entangled in the twisted fabric of a sail floating in the sea. © Dmitry Kostyukov for The New York Times
Mr. Fuchs said the ADIAF (it is referred to with its French abbreviation) was founded in 1994 to promote the nation’s art. At the time, French artists were at a low point, their work was being purchased only by the state, and there were few private French art collections.
“Matisse had not been dead very long, yet the French art scene was completed discredited to the point that some even referred to Marcel Duchamp as an American painter,” Mr. Fuchs said.
“But thanks to the support of the Centre Pompidou from Day 1 and our own efforts, this prize has gained the prestige it has today,” he said.
The prize is less a launchpad for young artists than a spotlight on a body of work by more established names like Kader Attia, the 2016 winner, who went on to receive both the Joan Miró Prize and the Yanghyun Prize the next year. For many past winners, the prize has been a genuine boost to their careers, particularly thanks to the three-month show at the Pompidou.
“All prizes and encouragements are welcome in the life of an artist,” Thomas Hirschhorn, a Swiss artist who was awarded the first prize, wrote in a statement to the French press ahead of this year’s announcement.
“As an artist, I need my work to be shown, talked about and critiqued,” he wrote. “What is concrete about this prize and what really mattered to me were the prize money, the funding I received from ADIAF for a new piece, and my show at the Centre Pompidou.”
Laurent Grasso, a French multimedia artist who won in 2008, noted the attention the prize brought him. “Some 45,000 visitors came to my show at the museum,” he said. “This prize generates a lot of positive energy around the work of an artist.”
Upstairs, in the main galleries of the museum, works by all 19 past winners are displayed among pieces from the museum’s permanent collections.
“The dialogue with our historical pieces shows how more recent works fit into an ongoing artistic tradition,” said Nicolas Liucci-Goutnikov, the curator of the show.
“Some people consider contemporary artists to be engaged in a perpetual reinvention of art,” Mr. Liucci-Goutnikov said. “But this show demonstrates that art is a heritage being constantly renewed.”
[Source]
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Recherche théorique 03 - Artiste: Christian Boltanski
Christian Boltanski est un artiste né en 1944 en France,il aborde dans la majorité de son travail la mémoire et la fragilité de l’être humain à travers l’autofiction.
« Archéologue de sa propre histoire comme de celle de tout un chacun » Bernard Blistène, directeur du musée national d'art moderne, Centre Pompidou Commissaire de l'exposition. Dans Code couleur n°35, septembre-décembre 2019, p. 20-23
Christian Boltanski, Grandes Véroniques (1996)
Christian Boltanski, Album de photos de la famille D., 1939-1964 (1971)
Christian Boltanski, Réserve des Suisses Morts (1991)
J’ai pu écouter une interview très intéressante de Christian Boltanski dans laquelle il donne sa vision de la mémoire et de l’être humain. Il est question de souvenir, de disparition et de leur relativité selon chaque individu.
Sa vision est très pertinente, il déclare que tout individu qui à plus de 60 ans devrait avoir un musée qui retrace sa vie. Il conçoit donc que chaque individu à une histoire, une mémoire qui vaut la peine d’être racontée.
“ La grande chose de l’art c’est que l’on ne peut parler que de soit mais que chacun qui regarde ce que l’on fait, pense que c’est fait pour lui.”
“On ne peut vivre que parcequ’on oublie constamment.”
Source : « Christian Boltanski : l’art et la mémoire » Christian Boltanski interrogé par Guillaume Erner dans L'Invité des Matins de Guillaume Erner - émission du 14 novembre 2019 https://www.youtube.com/watch?v=fqNnYqWi830
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REPORTAGE - Emmanuel Macron a inauguré mardi ce lieu dédié à l’art moderne et contemporain. Il a mis l’accent sur le rôle de la culture pour rapprocher la France et la Chine.
Envoyée spéciale à Shanghaï
«C’est la première fois qu’un grand musée international ouvre ses portes ici, en Chine, et donne à voir parmi les plus belles œuvres du XXe siècle», s’est félicité mardi le président Macron. Son tonique discours inaugural a ravi les représentants des «plus de dix mille Français qui font vivre l’amitié franco-chinoise à Shanghaï ». Cet enthousiasme dépasse la communauté francophone: de Magda Danysz, la galeriste qui relie Paris à Shanghaï depuis dix ans, au pionnier du marché de l’art sur le continent chinois, le Suisse Lorenz Helbling (sa galerie ShanghArt est pile en face du Centre Pompidou × West Bund). C’est un vieux rêve qui date de la fin des années Chirac et du 30e anniversaire de Beaubourg. Ce symbole parisien incarne «une vitrine culturelle d’excellence qui fascine encore la Chine, mais elle apprend vite!», souligne avec réalisme un des membres de la délégation officielle.
Dix ans de négociations
Après dix ans de négociations avancées, puis interrompues, puis reprises, puis vacillantes, voici ce projet franco-chinois qui prend enfin racine, avalisé par un dialogue au plus haut niveau entre les présidents Xi Jinping et Emmanuel Macron. Il prend place dans l’austère bâtiment de 25.000 m2 conçu, avant tout accord, par l’architecte britannique David Chipperfield. Carré et gris côté avenue, ouvert et lumineux côté fleuve, le Centre Pompidou × West Bund est officiellement né mardi 5 novembre, sur cette partie nouvelle de Shanghaï qui longe le fleuve vers l’ouest et se développe comme un «couloir culturel», narguant la spéculation immobilière qui fait pousser des tours partout ailleurs. Ce «couloir culturel» existe déjà en pointillé, il se rêve en «Museum Mile» à l’américaine.
Au coin de la rue plantée de jeunes arbres, voici le Yuz Museum du milliardaire indonésien Budit Tek, qui a fait l’événement en janvier 2016 avec «la plus grande exposition Giacometti au monde et la première en Chine». Juste à côté du Centre Pompidou × West Bund, voici le Tank, le centre d’art ouvert en mars par le Pékinois Qiao Zhibing, le roi de l’«entertainment» (karaokés à la chaîne), qui a transformé les cinq citernes du premier aéroport militaire de Chine en un ensemble design à l’architecture spatiale. C’est là qu’a eu lieu mardi le déjeuner présidentiel réunissant, autour d’Emmanuel et Brigitte Macron, un petit comité d’artistes chinois. Ceux de Paris comme Shen Yuan, la veuve de l’artiste Huang Yong Ping récemment disparu, et Yan Pei-Ming, peintre d’histoire né dans un Shanghaï pauvre, où il a désormais un royal atelier. Ceux de Chine, le peintre Zeng Fanzhi, installé à Pékin, ou Zhang Huan, figure de la performance, qui a transformé une usine à deux heures de Shanghaï en cité de l’art avec jardins.
Des prêts importants
Jusqu’à ce 5 novembre, peu avait filtré sur le contenu d’un Centre Pompidou en mission culturelle hors sol, dont le programme est forcément lié à la politique. Beaubourg doit répondre à une succession d’impératifs délicats. La soif chinoise de chefs-d’œuvre de l’art moderne (ils sont là, de Brancusi à Picasso). Le tact qui contourne avec brio les interdits (l’art vidéo contemporain de Bruce Nauman ou Tony Oursler s’y prête bien). Et l’exemple d’un modèle qui sait relire ses collections avec esprit et pédagogie. Ce partenariat inédit laisse la direction du lieu à l’opérateur chinois représentant le West Bund. Il engage Paris pour cinq ans à des prêts importants qui se succéderont en trois vagues. Les Français ont joué le jeu, qui ont prêté un de leurs deux Mondrian, un de leurs deux Jackson Pollock, pour «The Shape of Time», qui raconte avec talent l’art moderne et ses révolutions plastiques.
«Dialogue», «partage», «compréhension», «temps long», «amitié», les trois discours successifs - l’opérateur chinois, le président du Centre Pompidou, Serge Lasvignes, et le président de la République - ont chacun manié le «positive thinking», la métaphore et la litote en ce jour d’exception. L’art est rarement de tout repos lorsqu’il bouleverse l’histoire des idées. La preuve par les avant-gardes russes ou Marcel Duchamp!
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Un duo pour propulser un centre culturel à Bruxelles
Un duo pour propulser un centre culturel à Bruxelles
Le conseil d’administration de Kanal-Centre Pompidou à Bruxelles vient de se choisir deux collaborateurs aux talents multiples. Tout d’abord Kasia Redzisz qui a obtenu le poste de directrice artistique. D’origine polonaise, elle a été, entre autres, senior curator à la Tate Liverpool. Le second poste a été attribué au Français Bernard Blistène, un homme brillant qui a été à la pointe du…
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elpais.com/cultura/2020/09/25/babelia/ Christian Boltanski:.. “ Ser artista es hacer preguntas sin respuesta, pero también aportar un ápice de emoción. Nunca basta solo con suscitar esa emoción, pero tampoco basta solo con hacer preguntas…
elpais. Christian Boltanski: foto_gal_10
animitas\ christian boltanski - Fundación Mar Adentrofundacionmaradentro.cl › 2016/08 › boltanski-dp-web
PDF... el medio ambiente y las diferentes culturas de nuestro país a través del arte. UNA HISTORIA EN ATACAMA\ MADELINE HURTADO. CHRISTIAN BOLTANSKI.
https://fundacionmaradentro.cl/wp-content/uploads/2016/08/boltanski-dp-web.pdf
Christian Boltanski y la memoria de los objetos grademagrana
Christian Boltanski, à l'épreuve du temps
Vaste déambulation en forme de méditation, la rétrospective « Faire son temps », présentée du 13 novembre 2019 au 10 mars 2020, proposait un regard singulier sur l’une des plus grandes figures de la création de notre temps. Conjuguant mémoire individuelle et collective à une réflexion approfondie sur les rites et les codes sociaux, Boltanski développe depuis un demi-siècle une œuvre sensible et corrosive. Morceaux choisis d’une conversation entre l’artiste et Bernard Blistène, directeur du Musée national d'art moderne.
centrepompidou.fr/fr/magazine/article/christian-boltanski-a-lepreuve-du-temps
centrepompidou.fr/fr/recherche?terms=Christian+Boltanski
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The Desire Project, Grada Kilomba al loop barcelona
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«qui pot parlar?», «¿De què podem parlar?» i «què passa quan parlem?».
En la seva videoinstal·lació The Desire Project, Grada Kilomba utilitza la paraula escrita com a únic element visual, acompanyat del redoble rítmic d’un tambor que fa alhora de veu metafòrica, indicant l’aparició d’un parlar que s’ha vist històricament callat pels relats colonials.
L’obra es compon de tres vídeos que representen tres moments cronològics: While I Walk, While I Speak i While I Write. A cada vídeo, un text en blanc apareix contra un fons negre, acompanyat pel redoble rítmic d’un tambor, obra de l’compositor Moses Leo. El tambor substitueix a l’habitual veu en off, convertint-se en un tipus de narració evocadora de la tradició dels contacontes africans.
Kilomba ressalta sobretot la importància de l’escriptura en la seva obra que, segons explica, és «gairebé una obligació de trobar-me a mi mateixa». Segons Gabi Ngcobo, «En la seva obra visual, Kilomba abandona el format del llibre a l’estirar les pàgines, vessant-les i estenent-les cap al camp de visió». En aquest text impactant, Kilomba juga amb la noció de memòria com a teoria de l’oblit: «un no pot simplement oblidar, i un no pot evitar recordar», escriu. Per entrar a la videoinstal·lació cal passar davant d’un altar dedicat a la avantpassada Anastácia, una esclava africana lliberta la boca ha estat segellada per generar una sensació de terror i de mutisme. Segons Kilomba, Anastácia no solament encarna el conflictiu triangle Àfrica-Europa-Amèrica, sinó que també planteja les qüestions rellevants de «qui pot parlar?», «¿De què podem parlar?» i «què passa quan parlem?».
Aquesta obra va ser comissionada per a la 32 biennal de São Paulo – Incertesa viva, 2016
http://loop-barcelona.com/ca/artist-video/the-desire-project-cat/
DESITJAR
en relació
http://www.isabelbanalx.com/c_hos.html
https://www.laie.es/es/libro/hospital-106-4t-1a-el-lugar-y-el-tiempo/9788460987703/774510
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Discover the Art Museum in Nantes - France.
Since its reopening almost three years ago, the Nantes Museum of Arts offers a broad panorama of the creation of ancient and contemporary art in three buildings whose architecture reflects the respective periods.
Reopened in June 2017 after six years of work, the Nantes Museum of Arts, now the largest art museum in the West of France with 30% more exhibition space, is above all a shining example of architecture with three buildings. The Palace, a majestic building that respects the principles of 19th century museums, with a building organised around a central courtyard and patio covered by a glass roof with zenithal lighting, the latter giving access via a monumental staircase to a double circuit of galleries that surround it on the ground and first floors. The chapel located in the Place de l'Oratoire, built in the 17th century, houses temporary exhibitions. Finally, the cube, inaugurated in 2017, is the link between past and present. Entirely dedicated to contemporary art, it presents a large part of the museum's collections on more than 2,000 m², spread over 4 levels connected to the palace by a suspended corridor.
From ancient to contemporary art
The museum and the architectural tour are thus perfectly coherent and at the service of art. It invites you to take a pleasant stroll through the museum's rich collections, in the midst of a remarkable variety of architectural spaces for a visit to the history of art from the 13th to the 21st centuries. In fact, since its creation in 1801, the museum has constantly enriched its collections by acquiring works by living artists such as Delacroix, Ingres and Courbet. After 1900, the collections have continued to grow and now house numerous masterpieces by Monet, Le Pérugin, Watteau, Soulages, Viola..., a total of over 900. Thus, in the old art we can see Le Songe de Joseph de Georges de La Tour or Diane chasseresse de Orazio Gentileschi; in the art of the 19th century, we can see Le Songe de Joseph de Georges de La Tour, or Diane chasseresse de Orazio Gentileschi; in the art of the 20th century, we can see the works of the great artists of the 20th century. In 19th century art, the extraordinary portrait of Madame de Senonnes de Ingres or Les Cribleuses de blé de Courbet; in modern art, Nu jaune de Sonia Delaunay and Trame noire de Kandinsky; in contemporary art, La Belle Mauve de Martial Raysse, but also the flea market lady de Duane Hanson.
Jeff Koons, described by Bernard Blistène, director of the National Museum of Modern Art, as "the last of the pop", is one of the most famous, but also most controversial artists to emerge in the 1980s. From the very beginning of his career, Koons had the theme that would guide him in all his works: the use of everyday objects as works of art. Thus he explores the meaning of art and action in a media-saturated epoch, while at the same time emphasizing consumer culture in its aesthetics. Koons is a unique case in art, as his works are sought after by rich collectors and attract museums. This convergence is almost unique in art history, especially since it is global. This is why the most appreciated artist on the art market is also the most popular.
From Duchamp to Warhol
Your influences? Alongside Salvador Dalí, whom he met, Koons illustrates the encounter between Marcel Duchamp's conceptual art and the power of Andy Warhol's popular and media imaginary. Firstly, the Ready-Made invented by Marcel Duchamp, who transformed a urinal into a work of art according to the principle that an object exposed as a work of art became a work of art. On the other hand, Pop Art, this movement theorized by Andy Warhol with the use of mass production, the principle of advertising, the replacement of religious figures by the stars of popular culture. This is how Jeff Koons established himself. For 35 years he has been exploring new approaches to "readymade" and appropriation, playing on the borderline between elite and mass culture, shifting the boundaries of industrial production and shifting the relationship of artists to celebrity worship and market rules.
Absolute value
Art, according to Jeff Koons, should not be used to convey a message or denounce injustice, but to liberate, to move forward. Thus, the exhibition "Absolute Value," a reference to the sums paid for the purchase of his works, sheds light on Koons' career from the 1980s to the present by presenting more than three decades of Jeff Koons' work. Curated by Doron Rabina, chief curator of the Tel Aviv Art Museum, the exhibition offers an insight into the diversity of Koons' means and techniques from the perspective of collectors Marie and Jose Mugrabi. In 2013, Mugrabi set a record for the most expensive work by a living artist when he won a bid at an auction at Christie's.
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Artist: STURTEVANT
Venue: Air de Paris, Romainville
Exhibition Title: ça va aller
Date: January 12 – March 14, 2020
Click here to view slideshow
Full gallery of images, press release and link available after the jump.
Images:
Video:
STURTEVANT at Air de Paris, Installation, 01:32
Images courtesy of Sturtevant Estate and Air de Paris, Romainville. Photos by Marc Domage.
Press Release:
1998
ça va aller (it will be ok) (June 5 – July 25, 1998) is a key exhibition in Sturtevant’s work. It takes place at the same time as the Football World Cup (June 10 – July 12, 1998), whose finale in Paris sees the French team victorious. In an almost religious fervor the whole country celebrates «Les Bleus» led by Zidane. This sport, which is also known for the violence of its hooligans and the indecent amounts paid on the players’ transfers, is a good example of the pornography of the world that Sturtevant points out in her work.
For the first time, she works with images from television : commercials, interviews with Zidane… Projections, videos, a techno soundtrack composed by DJ La Doublure (Michael Amzalag, one of the M from the famous duet MM Paris), the installation integrates a drawing contest for the neighborhood’s young inhabitants, a prize being awarded to them by a jury composed by professionals from the contemporary art world: Bernard Blistène, Michel Bourrel, Nicolas Bourriaud and Jean-Yves Jouannais, led by the artist, all disguised as clones of the Blues Brothers treating very seriously their roles in this crazy and creaky farce…
Ça va aller went on to become the signature of the artist’s first videos, before the switch to Cut & Run Porn Productions in 2006 …
2020
The two Zidane films will be shown back to back at the entrance to the exhibition at Air de Paris. Next come six works planned for six flat screens scattered around a single room. That way the hubbub of the images will be accentuated by the hubbub of sound. Three of these videos «stammer» images from American television game shows and commercials, and point up the power of the dollar (whence the witty title The Greening of America). The other three are very brief loops featuring soft toys and ridiculous little mechanical animals, edgy and garishly coloured. I Love Arlette, without doubt the most winsome and joyful of these works is a double-edged tribute to Arlette Laguiller, who got 5.72% of the vote at the French presidential election in 2007. Each of these works – like their simultaneous presentation – offers a near-nauseating portrait of the mindless products of the entertainment industry and their derivatives. The slogan-like titles of the works and the name of the artist or the production house are overlaid like brands on the same plane as the images: the credits and the works intermingle seamlessly.
The exhibition comes with an intro by Elisa Schaar and tributes by Muzzey, Bruce Hainley, Anne Dressen and Stéphanie Moisdon.
Sturtevant (1924, Lakewood, Ohio – 2014, Paris) was awarded the Golden Lion for lifetime achievement at the 54th Venice Biennale in 2011, and her pioneering work has been featured in numerous exhibitions, including at The Abertina Museum, Wien (2015); Hamburger Bahnhof Museum für Gegenwart, Berlin (2015); The Museum of Modern Art, New York (2014); Serpentine Galleries, London (2013); Kunsthalle, Zurich (2012); Moderna Museet, Stockholm (2012); Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris (2010) and the Museum für Moderne Kunst, Frankfurt am Main (2004 and 2014).
Link: STURTEVANT at Air de Paris
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CHRISTIAN BOLTANSKI, FAIRE SON TEMPS
EXPOSITION. «Christian Boltanski, faire son temps»
Au Centre Pompidou, à Paris. Commissaire de l'exposition : Bernard Blistène, directeur du Musée national d'art moderne (du Centre Pompidou). Architecte scénographe : Jasmin Oezcebi.
Riche de quelque cinquante œuvres et s’étendant sur 2 000 mètres carrés, cette exposition est consacrée à - et a été conçue par - Christian Boltanski (né en 1944 à Paris), qui est considéré comme l'un des principaux artistes contemporains français. Pour Bernard Blistène, commissaire de l’exposition, c’est même «l’une des plus grandes figures de la création de notre temps». C’est en 1957 que Boltanski a commencé à peindre des tableaux - «un nombre inimaginable» de tableaux, pendant une dizaine d’années. Une grande partie a été détruite, précise-t-il. Il dit aussi que, entre 12 et 20 ans, sa vie était - comme celle de sa famille - «pathologique». < J’étais psychologiquement fragile. Si je n’avais pas été artiste, j’aurais été fou. > Il ajoute que, d’une certaine façon, l’art l’a sauvé de la folie, car, avec l’art, «on se sert d’une chose négative en soi pour en faire une chose positive», dit-il. Vers la fin des années 1960, et même si Boltanski se définit toujours lui-même comme peintre, il a abandonné la peinture comme moyen d’expression et s’est orienté vers le cinéma : entre 1969 et 1971, il a ainsi créé plusieurs films, dans lesquels il se mettait en scène - par exemple «L’Homme qui tousse» (1969), éprouvant film de trois minutes le montrant toussant convulsivement et crachant du sang.
S’approprier une «enfance normale», que l’on n’a pas eue
Par la suite, il a commencé à utiliser des photographies anciennes, notamment tirées d’albums de familles anonymes. Boltanski est ainsi devenu «le raconteur de l’histoire des autres», observe Blistène. < À l’époque, il y avait un refus de parler de moi >, confie Boltanski, qui ajoute que, jusque vers 1985, il essayait de se fondre dans une espèce de normalité collective et, en particulier, de s’approprier une «enfance normale», que, selon lui, il n’avait pas eue. Boltanski s’est ensuite engagé à la fois dans une tentative de créer de nouveaux mythes («désir sans doute impossible», admet-il), ainsi que dans des installations - par exemple, en Patagonie - qui n’avaient pas besoin d’être vues pour être comprises : il suffisait de «savoir qu’elles existaient», dit-il. Rétrospective d’une carrière artistique de plus de soixante ans, l’exposition du Centre Pompidou met en évidence des thèmes persistants dans le travail de Boltanski : par exemple, l’enfance, le vieillissement, la fragilité de la vie, la mort ou encore les traces que laisse un être humain disparu. Beaucoup de ses œuvres comportent des photographies un peu floues, encadrées de fer-blanc et éclairées par de petites lampes - et Boltanski affectionne tout particulièrement les vieilles ampoules à filament, jaunâtres. Entre autres œuvres marquantes de l’exposition, nous avons apprécié : «Terril Grand-Hornu», haut tas circulaire de vêtements noirs de mineurs de charbon ; «Prendre la parole», manteaux noirs d’où sortent, dès que s’approche un visiteur, des questions comme, par exemple : «Dis-moi, as-tu eu peur ?». Nous avons également bien aimé : «Les Regards», vaste et impressionnante installation composée de voiles transparents sur lesquels sont imprimés des visages d’inconnues ; «Réserve : Les Suisses Morts», sorte de ville constituée de tours de boîtes métalliques rouillées, chaque boîte portant la photographie d’un mort ; «Animitas blanc», vidéo d’une installation réalisée par Boltanski dans un désert et constituée de clochettes accrochées à de longues tiges et que le vent fait sonner.
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Paul Meurisse.
Filmografía
1941 : Ne bougez plus - dir. Pierre Caron
1941 : Montmartre-sur-Seine - dir. Georges Lacombe
1942 : Défense d'aimer - dir. Richard Pottier
1942 : Mariage d'amour - dir. Henri Decoin
1943 : La Ferme aux loups - dir. Richard Pottier
1945 : Vingt-quatre heures de perm - dir. Maurice Cloche
1945 : Marie la Misère - dir. Jacques de Baroncelli
1946 : L'Insaisissable Frédéric - dir. Richard Pottier
1946 : Macadam - dir. Marcel Blistène
1947 : La Fleur de l'âge - dir. Marcel Carné (incompleta)
1947 : Inspecteur Sergil - dir. Jacques Daroy
1947 : Monsieur Chasse . dir. Willy Rozier
1947 : Bethsabée - dir. Léonide Moguy
1948 : La Dame d'onze heures - dir. Jean-Devaivre
1948 : Manù il contrabbandiere - dir. Lucio De Caro
1948 : Le Colonel Durand - dir. René Chanas
1948 : Le Dessous des cartes - dir. André Cayatte
1948 : Sergil et le dictateur - dir. Jacques Daroy
1948 : Impasse des Deux-Anges - dir. Maurice Tourneur
1948 : Scandale - dir. René Le Hénaff
1949 : L'Ange rouge - dir. Jacques Daniel-Norman
1949 : Dernière heure, édition spéciale - dir. Maurice de Canonge
1950 : Agnès de rien - dir. Pierre Billon
1951 : Maria du bout du monde - dir. Jean Stelli
1951 : Ma femme est formidable - dir. André Hunebelle
1951 : Vedettes sans maquillage - dir. Jacques Guillon (documental)
1952 : Sérénade au bourreau - dir. Jean Stelli
1952 : Sergil chez les filles - dir. Jacques Daroy
1953 : Je suis un mouchard - dir. René Chanas
1955 : Les Diaboliques (Las diabólicas) - dir. Henri-Georges Clouzot
1955 : Fortune carrée - dir. Bernard Borderie
1955 : La Castiglione - dir. Georges Combret
1955 : L'Affaire des poisons - dir. Henri Decoin
1957 : Jusqu'au dernier - dir. Pierre Billon
1957 : L'Inspecteur aime la bagarre - dir. Jean-Devaivre
1958 : Les Violents - dir. Henri Calef
1958 : Échec au porteur - dir. Gilles Grangier
1958 : Le Septième Ciel - dir. Raymond Bernard
1959 : Simenon - dir. Jean-François Hauduroy (documental - narrador)
1959 : Guinguette - dir. Jean Delannoy
1959 : La Tête contre les murs (La cabeza contra el muro) - dir. Georges Franju
1959 : Marie-Octobre (Cena de acusados) - dir. Julien Duvivier
1959 : Le Déjeuner sur l'herbe - dir. Jean Renoir.
1960 : La Française et l'Amour - dir. Henri Verneuil
1960 : La Vérité - dir. Henri-Georges Clouzot
1961 : Le Jeu de la vérité - dir. Robert Hossein
1961 : Les Nouveaux aristocrates - dir. Francis Rigaud
1961 : Le Monocle noir - dir. Georges Lautner
1962 : Du mouron pour les petits oiseaux - dir. Marcel Carné
1962 : Carillons sans joie - dir. Charles Brabant
1962 : L'Œil du Monocle - dir. Georges Lautner
1963 : Méfiez-vous, mesdames - dir. André Hunebelle
1963 : L'assassin connaît la musique... - dir. Pierre Chenal
1963 : Les Tontons flingueurs - dir. Georges Lautner
1964 : Le Monocle rit jaune - dir. Georges Lautner
1965 : Quand passent les faisans - dir. Édouard Molinaro
1965 : La Grosse Caisse - dir. Alex Joffé
1965 : Le Majordome - dir. Jean Delannoy
1966 : Le congrès s'amuse - dir. Géza von Radványi
1966 : Moi et les hommes de quarante ans - dir. Jacques Pinoteau
1966 : Hasta el último aliento - dir. Jean-Pierre Melville
1969 : El ejército de las sombras - dir. Jean-Pierre Melville
1970 : Le Cri du cormoran le soir au-dessus des jonques - dir. Michel Audiard
1971 : Doucement les basses (La dulce hembra) - dir. Jacques Deray
1973 : Les Voraces - dir. Sergio Gobbi
1973 : Un flic hors la loi - dir. Stefano Vanzina
1974 : Les Suspects - dir. Michel Wyn
1975 : L'Éducation amoureuse de Valentin - dir.Jean L'Hôte
1975 : Le Gitan (Alias el gitano) - dir. José Giovanni.
Créditos: Tomado de Wikipedia
https://es.wikipedia.org/wiki/Paul_Meurisse
#HONDURASQUEDATEENCASA
#ELCINELATELEYMICKYANDONIE
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Fruit d’un partenariat entre le centre culturel parisien Beaubourg et la région Bruxelles-Capitale, le lieu d'art contemporain Kanal-Centre Pompidou a ouvert ses portes le 5 mai dans la capitale belge.
C'est parti pour Kanal-Centre Pompidou à Bruxelles. Françoise Nyssen, la ministre française de la Culture et Bernard Blistène, directeur du Musée national d’Art moderne de Paris, ont inauguré le 4 mai à Bruxelles, en l’absence de ministres bruxellois, "un lieu symbolique de l’Europe qui se construit".
Le nouveau lieu dédié à l’art contemporain est installé dans un ancien garage et hall d’exposition André Citröen. Cet immense bâtiment industriel des années 1930, vestige du rêve automobile, semblait voué à la disparition. Mais ces 38 000 m2, installés le long du canal de Willebroek, non loin de la commune de Molenbeek, offrent finalement un écrin inattendu à l’art moderne.
Le bâtiment doit être reconverti par les trois cabinets d’architecte : noAarchitecten (Bruxelles), EM2N (Zürich) et Sergison-Bates (Londres), pour un investissement de 125 millions d'euros de la région Bruxelles-Capitale. Les travaux devraient débuter à l'automne 2019, mais d’ici là, c'est un "Kanal brut", que doivent investir les créateurs.
Un lieu qui "tient en respect"
Dès l'entrée, le ton est donné: une immense rue accueille une sculpture de Tinguely. Puis le visiteur découvre une version adaptée à la "belgitude" de l'Usine de Films Amateurs conçue par Michel Gondry : des décors emblématiques de Bruxelles – café, l'Atomium de l'exposition universelle de 1958…. prêts à l'emploi pour les cinéastes en herbe.
Sans surprise, l'ancien atelier de tôlerie abrite un florilège de sculptures métalliques, de César à Donald Judd ou Pevsner. Une pièce de Thomas Goeritz voisine avec un pont-levant, une autre de Dewasne semble toujours avoir été là.
Pour Bernard Blistène, commissaire général chargé de la programmation, "le bâtiment restera toujours le fil rouge. Il fallait trouver des œuvres en résonance avec ce lieu qui a quelque chose d'essentiel". "Ce bâtiment vous tient en respect. Il faut la puissance des collections pour lui répondre", a renchéri le président du Centre Pompidou Serge Lasvignes, qui a affirmé son souhait de "travailler avec tous les acteurs de la scène bruxelloise".
Réalisation finale prévue pour 2022
L'accord entre le Centre Pompidou, la région et la Fondation Kanal a été conclu pour dix ans. Selon la convention signée par les partenaires, Kanal-Centre Pompidou accueillera fin 2022 un musée d'art moderne et contemporain dont les collections permanentes et temporaires (deux par an) seront conçues par Beaubourg à partir de ses collections (près de 120 000 œuvres). Le Centre conseillera également Kanal pour sa programmation et la constitution de sa propre collection.
La deuxième implantation du Centre Pompidou hors de France après celle de Malaga en mars 2015 et avant celle de Shanghaï au printemps 2019. La municipalité andalouse et Beaubourg ont renouvelé en février leur partenariat pour cinq ans, forts du succès public de cette installation qui a accueilli 500 000 visiteurs depuis son ouverture.
Le Centre Pompidou a également conclu un accord pour cinq ans renouvelable avec le West Bund Group, un groupe public chinois, en vue de son installation à Shanghaï dans un édifice de près de 25 000 m2 conçu par l'architecte britannique David Chipperfield.
Avec AFP
France24 Culture
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FIAC 2017 / INTERNATIONAL ART FAIR
For its 44th edition from 19 to 22 October 2017 in Paris, FIAC will host a carefully balanced selection of leading international galleries in the iconic Grand Palais. FIAC consolidates the presence of major galleries working in the field of modern and contemporary art and confirms its support of the emerging generation, notably via the Lafayette Sector organized in partnership with our official sponsor, the Galeries Lafayette Group. Fresh, eclectic and edgy, this year’s selection is sure to attract wide-spread attention from connaisseurs and amateurs alike. Keen interest from exhibitors in all sectors of the market confirms Paris’s growing appeal.
Increasingly FIAC appears as a must in the autumn calendar.
Launched in 2016, On Site presents sculptures and installations in locations in and around the prestigious Petit Palais: the exhibition spaces, the garden, the esplanade, as well as the Avenue Winston Churchill which will be transformed into a pedestrian zone for the duration of FIAC. On Site is organized in collaboration with Christophe Leribault, (Director and curator of the Petit Palais) and Eva Wittocx (Senior Curator, M-Museum Leuven), associate curator for 2017. The list of participating galleries will be announced shortly.
FIAC reaffirms its strong cultural mission through the Hors Les Murs programme. A program of artworks - unrivalled in scope in the landscape of international art fairs - will be presented in emblematic Parisian sites: the Jardin des Tuileries, the Musée National Eugène Delacroix, and the Place Vendôme. The selection committee for the Jardin des Tuileries, presided by Vincent Pomarède (Curator in Chief, Director of Mediation and Cultural Programming), includes curators from the Musée du Louvre together with Bernard Blistène (Director of the Centre Pompidou, Paris), and Jean de Loisy (President of the Palais de Tokyo, Paris). FIAC will also present the performance festival Parades for FIAC, as well as a series of conferences and screenings of artists’ films. The full programme will be announced soon.
FIAC presents around 193 galleries exhibiting at the Grand Palais, shared between the General Sector and the Lafayette Sector, dedicated to young and emerging galleries.
The On Site sector, launched in 2016, presents in the exceptional exhibitions spaces of the Petit Palais and on the Avenue Winston Churchill, sculptural works and installations.
Hors les Murs programme enables French and international galleries and artists to present sculptures, installations, performances, films, or sound works within public space.
http://www.fiac.com/
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Colloque « La valeur de l'art », Beaux-Arts de Paris, 26 et 27 avril 2017
Avec la participation de : (liste non exhaustive) Bernard Bazile, artiste ; Cécile Bernard, directrice de Sotheby’s France ; Bernard Blistène, directeur du Musée National d’Art moderne ; Frère Marc Chauveau (dominicain), historien de l’art et commissaire ; Catherine David, directrice adjointe du Musée national d’art moderne ; Andrei Erofeev, critique d’art ; Zheng Guogu, artiste ; Geoffroy de Lagasnerie, philosophe et sociologue ; Monte Laster, artiste ; Matthieu Laurette, artiste ; Steven H. Madoff, écrivain et critique d'art ; Otobong Nkanga, artiste et performeuse ; Brian O’Doherty, artiste ; Denys Riout, professeur honoraire d’histoire de l’art moderne et contemporain.
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Sven Augustijnen, laureate of the Evens Arts Prize 2011
The Evens Arts Prize supports artistic initiatives that help rethink contemporary European realities and envison new perspectives for shaping our common world.
The public presentation of the award took place in October 2011 at the Centre Pompidou and premièred in Paris the award-winner’s new film, Spectres. The screening was followed by a discussion with Sven Augustijnen, Bernard Blistène, Director of the Department of Cultural Development of the Centre Pompidou and philosopher Dork Zabunyan.
A special screening of Spectres was held at the Tate Modern, in November 2011.
The 2011 edition of the Evens Arts Prize was directed by Anne Davidian.
Sven Augustijnen’s work expands and undermines the traditional codes of documentary practice and questions the narratives underlying current political and social practices. The artist was selected as the recipient of the award by an independent jury which chose from a list of 20 internationally acclaimed artists, nominated by representatives of major European art institutions.
In 2011, solo shows of the artist took place at Wiels Center for Contemporary Art in Brussels, Kunst Halle Sankt Gallen, Kunsthalle Bern and de Appel Amsterdam. The Spectres was selected among 12 best projects of the 2012 by Artforum magazine, and the film was purchased by the French national collections (CNAP).
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