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Retromobile 2015 : la 40Ăšme Ă©dition.
Retromobile 2015
#accessoires#automobile#belle voiture#retromobile#salon de l&039;automobile#voiture ancienne#voiture au enchĂšre
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Journal
Le mariage est passĂ© et la pression qui l'entourait aussi. Me voilĂ avec un nouveau nom et pas mal de paperasse Ă faire. Cette journĂ©e de samedi 07 septembre restera dans ma mĂ©moire. MĂȘme si mon mariage Ă©tait petit, il Ă©tait Ă mon image. Pourtant, je n'y suis pas pour grand chose, ce sont mes enfants et en particulier ma belle-fille et ma fille qui se sont occupĂ©es de tout. Ma fille m'a coiffĂ© et elle m'a rendu plus jolie et plus sĂ»re de moi dans ma robe champĂȘtre. Mon mari quand Ă lui, Ă©tait tellement paniquĂ© Ă l'idĂ©e de ne pas porter de veste sur sa chemise, qu'il est allĂ© en achetĂ© une 1 heure avant la cĂ©rĂ©monie. Il a aussi prit une autre chemise, celle que nous avions choisit Ă©tant trop cool pour ĂȘtre portĂ© avec une veste de costume. Nous avons rejoins nos invitĂ©s sur le parking de la mairie et tous mon complimentĂ© sur ma robe, pourtant simple et peu cher (achetĂ© sur Temu, c'est dire ! ) mais qui m'allait Ă ravir et me correspondait tout Ă fait. Nous avions demandĂ© aux invitĂ©s de ne pas s'habiller exprĂšs mais les tĂ©moins Ă©taient magnifiques. Mes fils en chemise rose pale et nĆud papillon bleu et ma fille et ma belle-fille en robe longue rose. Avant que la cĂ©rĂ©monie ne commence, je me suis renseignĂ©e sur un point avec l'adjointe au maire qui me regarde et me dit : Mais ce n'est pas vous la mariĂ©e ? ... Pour elle, une mariĂ©e doit forcĂ©ment porter une robe blanche et ĂȘtre ĂągĂ©e de moins de 50 ans, je prĂ©sume. Ensuite, elle s'est trompĂ©e dans le prĂ©nom du mariĂ©e et elle n'a pas vu que les 4 tĂ©moins n'ont pas tous signĂ©s sur les documents. Mais elle nous a fait une belle photo avec mes 12 invitĂ©s alors, je lui pardonne ! Nous sommes allĂ©s boire un cafĂ© et faire des photos avant d'aller au restaurant Ă midi. Les enfants avaient prĂ©parĂ© une voiture ballait, celle qui ferme le cortĂšge, avec des plumeaux colorĂ©s sur les rĂ©troviseurs et un dĂ©ambulateur gonflable sur le coffre ! AprĂšs un dĂ©licieux dĂ©jeuner, nous Ă©tions tous invitĂ©s chez mon fils et ma belle-fille pour manger les gĂąteaux prĂ©parĂ© par ma belle-fille. Mon mari a fait durĂ© le plaisir en passant en voiture dans le centre ville, tout en klaxonnant. Les autres ont suivit. Un petit cortĂšge mais un cortĂšge bruyant tout de mĂȘme . Chez mes enfants, le salon avait Ă©tĂ© merveilleusement dĂ©corĂ©, dans les tons rose et or. Il y avait des ballons partout, une table avec des gĂąteaux dont une pavlova en forme de cĆur, un livre d'Or, deux mariĂ©es en rĂ©sine (encore plus vieux que nous), un coin photo avec des accessoires pour se dĂ©guiser et un fond musicale annĂ©e 80. C'Ă©tait vraiment gĂ©nial et l'ambiance Ă©tait super. Ma tant redoutĂ© belle-mĂšre, la femme de mon pĂšre, m'a mĂȘme dit s'ĂȘtre plus amusĂ©e Ă mon mariage qu'Ă celui de sa petite-fille, quelques semaines auparavant. Ce fut un mariage tout simple, Ă notre image, entourĂ© des gens que nous aimons, mĂȘme si tous n'ont pas pu ĂȘtre prĂ©sent, car nous vivons trĂšs loin de ma famille. Mais mes enfants Ă©taient lĂ , mon petit fils aussi, mon pĂšre avait Ă©galement fait le dĂ©placement ainsi que la sĆur de mon mari et tous ont contribuĂ©s Ă faire de ce jour une belle rĂ©ussite que nous garderons Ă jamais dans nos cĆurs.
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Je ne me sens pas Ă ma place Dans ce monde qui me dĂ©passe, Parfois, je ne comprends pas Les gens autour de moi, Ils pensent matĂ©riel, Rien que le paraĂźtre, Aucune Ă©motion, Tout est contre façon, Chacun est dans sa bulle, Ă vivre le superflu, Belle maison, belle voiture Que part cela, ils ne jurent, OĂč sont les vraies valeurs, Celles du bonheur, Les faux semblant, Tout est transparent, Je veux juste du vrai, Quelque chose qui me ressemblerait, Pas du toc, de la pacotille, Pourquoi le monde, est si hostile, Ă chaque fois que je fais un pas, Je m'Ă©loigne de ce monde qui me déçoit.
Les Ecrits dâIsabelle
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De l'autre cÎté du miroir
Aujourdâhui, je voulais vous parler dâune scĂšne en particulier de la sĂ©rie Pluto (2024), mais avant une petite mise en contexte.
Ai-oon se fait passer pour sa jumelle, Ob-oom, auprĂšs de May, sa petite amie secrĂšte et aveugle afin de dĂ©couvrir si elle a un lien avec lâaccident de voiture qui a laissĂ© sa sĆur dans le coma le soir de ses noces avec un autre homme.
MĂȘme si May est mise hors de cause, Ai-oon continue de se faire passer pour sa sĆur, car elle a dĂ©veloppĂ© de forts sentiments pour elle.
Dans lâĂ©pisode 7, Lors dâun Ă©vĂšnement, lâex petite amie de de May, Ploy, confie Ă Ai-oon que May ne lâa jamais vraiment aimĂ©, car elle nâa jamais pu oublier la premiĂšre personne dont elle est tombĂ©e amoureuse. A ce moment-lĂ de lâhistoire, nous, nous savons que May sait que ce nâest pas Ob-oom qui partage sa vie ces derniĂšres semaines et quâil sâagit de Ai-oon. Un flashback au dĂ©but de lâĂ©pisode nous dĂ©voilait que May a rencontrĂ© son premier amour au planĂ©tarium, une adolescente venue Ă son secours portant un uniforme au nom de Ob-oom, mais dĂ©jĂ Ă lâĂ©poque il sâagissait de Ai-oon se faisant passer pour sa sĆur (on ne va pas aborder le schĂ©ma qui se dessine).
Bien Ă©videmment, Ai-oon nâa aucun souvenir de cette rencontre. Pour elle, leur premiĂšre rencontre remonte Ă quelques semaines oĂč elle a commencĂ© Ă se faire passer pour sa sĆur. Rencontre oĂč elles ont Ă©changĂ© un baiser passionnĂ©, le seul jusquâĂ prĂ©sent, baiser qui fera naitre les sentiments qui ne cessent de grandir dâAi-oon pour May.
Petite note avant de continuer parce que câest important pour la suite, en ThaĂŻlandais, lorsquâon parle, on nomme souvent les personnes, mĂȘme soi-mĂȘme. Plus clairement, au lieu de dire « je tâaime », Ai-oon dirait « Ai-oon aime May ».
Ploy explique Ă Ai-oon,  quâelle appelle Ob-oom (oui parce que tout le monde est censĂ© la prendre pour sa sĆur jumelle) : « May a montrĂ© Ă tout le monde que câest Ob-oom quâelle aime. » Une Ob-oom quâelle dĂ©crit comme belle, Ă©lĂ©gante et courageuse.
A savoir quâAi-oon sâest toujours considĂ©rĂ©e comme la mauvaise jumelle, elle a grandi dans lâombre de sa sĆur plus belle, plus intelligente, plus courageuse. Alors, quand Ploy lui dit cela, elle voudrait pouvoir y croire, mais ne peut prendre ces attributs pour elle.
Ai-oon observe son reflet dans un grand miroir, ce quâelle y voit dâabord, câest sa sĆur, parce quâelle joue son rĂŽle, porte des vĂȘtements quâelle porterait, aime sa petite amie. Elle se souvient que tous les mots d'amour, toutes les marques d'affections de May ne sont pas pour elle, mais pour Ob-oom.
Son reflet dans le miroir change, Ai-oon sây voit, mĂ©diocre dans sa tenue de tous les jours, une personne quâelle ne pense pas ĂȘtre Ă la hauteur de lâamour de May. MalgrĂ© tout, Ai-oon ne peut pas renoncer Ă ce quâelle vit avec May, parce que cet amour, mĂȘme sâil nâest pas pour elle, la porte. Elle se sent plus forte, plus importante, plus aimer que jamais lorsquâelle est auprĂšs dâelle.
Nous arrivons Ă la scĂšne dont je voulais vous parler.
Plus tard, May et Ai-oon sont dans la salle de bain de l'hĂŽtel oĂč elles sĂ©journent. May se rend compte quâAi-oon a ramenĂ© des bougies parfumĂ©es parce qu'elle sait que la chaleur et l'odeur lui permettent de s'orienter dans la piĂšce (et ça c'est trop mignon). Elle lui dit que grĂące Ă elle, elle a l'impression de voir de nouveau et Ă Ai-oon de rĂ©pondre qu'elle se sent une meilleure personne en sa prĂ©sence.
May continue en disant "Voici mon Ob-oom, belle, brillante et courageuse." Ai-oon n'en dit rien, mais on voit sur son visage que c'est dur Ă entendre pour elle.
Elles se rapprochent, la camĂ©ra recule et se dĂ©cale, elle ne filme plus directement Ai-oon et May, mais leur reflet dans le miroir. Ce que nous montre la mise en scĂšne, ce n'est pas une scĂšne d'amour entre May et Ob-oom, mais une scĂšne d'amour entre May et Ai-oon. Alors qu'elles s'enlacent, Ai-oon hĂ©site, est-ce vraiment une bonne idĂ©e ? May est tout ce qu'elle a toujours voulu, elle remplit son cĆur, mais May ne lui appartient pas, elle est la petite amie de sa sĆur.
Ai-oon dit "J'aime May". On notera quâelle ne se nomme pas parce quâelle ne parle pas en tant quâOb-oom, elle dĂ©voile ce qu'il y a de plus sincĂšre en elle. Lorsque May commence Ă rĂ©pondre « May aimeâŠÂ », Ai-oon lâembrasse sans lui laisser le temps de finir sa dĂ©claration, parce quâelle ne veut pas entendre le prĂ©nom de sa sĆur Ă cet instant. (Je pense quâelle aurait pu dire « May aime Ai-oon », je le rappelle, elle sait qui elle tient dans ses bras et Ă ce moment prĂ©cis, on ne voit que le reflet dans le miroir).
Quand Ai-oon et May sâembrassent pour la premiĂšre fois depuis le baiser quâelles ont Ă©changĂ© Ă leur rencontre. Ai-oon porte May et la fait sâasseoir sur le meuble, dos au miroir. Ce qui fait qu'on voit Ă la fois le couple Ai-oon/May et le couple May/Ob-oom avec May comme pont entre les deux facettes de Ai-oon qui se font face.
Ai-oon demande Ă May pourquoi elle l'aime, toujours sans se nommer, alors que le cadre se resserre sur May et Ob-oom, la rĂ©alitĂ© pour Ai-oon et non le reflet quâelle habite.
May : "j'aime Ob-oom... Tu es mon premier amour, Ob-oom. May est tombée amoureuse de Ob-oom au premier regard."
Câest un Ă©lectrochoc pour Ai-oon puisque pour elle, May Ă©tait dĂ©jĂ aveugle lors de leur rencontre, câest bien Ob-oom quâelle aime.
Elle repousse May, la caméra s'éloigne, on voit à nouveau le couple et leur reflet dans le miroir. May essaie de retenir Ai-oon, mais elle se défait de son étreinte.
May "Ob-oom ?"
Ai-oon "Je suis désolée May"
Le cadre change une nouvelle fois, on voit le reflet de Ai-oon, le reflet du dos de May, la May rĂ©elle, mais Ob-oom nâest plus dans le cadre. Ai-oon dit quâelle a besoin de prendre lâair et elle sâen va.
Peut-ĂȘtre que jâextrapole, mais je trouve que cette scĂšne retranscrit trĂšs bien toute la dissonance qui se joue pour Ai-oon et la complexitĂ© de la situation dans laquelle elle ne fait que sâenfoncer au fur et Ă mesure des Ă©pisodes.
#pluto the series#namtanfilm#namtan tipnaree#ai oon#ob oom#film rachanun#neen suwanamas#aioon x may#gl drama#thai drama#girl rules#girl rules the series#pluto
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M. Mouton et sa belle voiture Ă©lectrique.
Monsieur Mouton est joyeux. Il a écouté les écolos sur les terribles dangers de la voiture thermique sur le climat et il a compris. Il lui faut une voiture électrique. D'ailleurs, Monsieur Mouton est un bon européen. Et il a entendu sa bonne fée Ursula qui lui a dit qu'à partir de 2035, il n'y aurait plus de voiture à moteur thermique neuve à la vente. Alors Monsieur Mouton est tout joyeux parce qu'il vient de recevoir sa nouvelle voiture électrique et il se sent une ùme écolo.
Bon, en fait, non. Il espÚre surtout faire une grosse économie sur le coût de ses trajets habituels, en ne payant plus cette essence au prix exorbitant.
Certes, sa belle voiture va lui coûter un bras, mais Monsieur Mouton espÚre s'y retrouver avec le temps. Et puis, au moins il profite encore de « la prime à la conversion » offerte sur les voitures électriques. S'il avait attendu que cette prime soit supprimée, c'est-à -dire, au 1er janvier 2025, son achat lui aurait coûté deux bras.
Sa voiture flambant neuve est lĂ , en bas de son appartement, sur le parking de sa rĂ©sidence. Monsieur Mouton est trĂšs fier de son acquisition. Bon, Ă©videmment, pour la recharge de sa belle voiture Ă©lectrique, c'est un peu compliquĂ©. Il n'y a pas de borne de recharge sur le parking de sa rĂ©sidence. Et ses voisins du dessous lui ont fait comprendre qu'ils n'aimaient pas trop voir pendre sa rallonge Ă©lectrique de 80 mĂštres devant leurs fenĂȘtres. MĂȘme son voisin du rez-de-jardin lui a dit que cette rallonge traĂźnant dans son jardinet le gĂȘnait quand il tondait sa pelouse... Faut dire que ses voisins sont vraiment des mauvais coucheurs!
Monsieur Mouton va donc recharger sa belle voiture en centre-ville, à 5 mn de son domicile. 5 mn en voiture, un quart d'heure à pied. Et il prend rapidement l'habitude d'aller la recharger le soir, quand il rentre du travail. Enfin... quand il peut. Parce que souvent, il n'y a pas de place disponible sur l'emplacement de recharge, déjà occupée par Monsieur Pigeon, un autre amateur de voiture électrique. Ou par quelqu'un d'autre. Donc, dans ce cas, Monsieur Mouton revient chez lui. Il retournera voir si la place est libre, plus tard en soirée, vers 22 heures. Ou vers 23 heures, aprÚs le film à la télé qui est entrecoupé de pubs qui lui disent comme c'est formidable d'avoir une voiture électrique. ....
Ne vous privez pas de lire la suite : https://saucisson-pinard.blogspot.com/ du jeudi 12 décembre 2024....
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La CitroeÌn DS : la plus belle voiture du monde
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CâĂ©tait pour un trajet jusquâĂ Paris
Je ne voulais pas prendre la route tout seul.
Et puis, avec le prix des Ă©nergies, cela devient du luxe de voyager seul en voiture.
Je lâai prise Ă lâheure de rendez-vous, quasiment Ă la minute prĂšs.
Une belle femme, tant mieux, câest toujours plus agrĂ©able, pour moi, quâun gros barbu ventru et transpirant.
Quelques petites banalitĂ©s dans notre discussion, sur un ton trĂšs sympathique, presque Ă parler de la pluie et du beau temps et de lâinflation.
Elle avait une jupe, un chemisier blanc et un gilet. En arrivant, elle portait Ă©galement une sorte dâimper quâelle a posĂ© sur le siĂšge arriĂšre.
Ătant prudent sur la route, et aussi par respect, jâai surtout regardĂ© la route devant moi, et me suis retournĂ© trĂšs rarement vers elleâŠ
JusquâĂ ce stop, Ă ce carrefour, oĂč il fallait que je mâassure quâil nây avait pas vĂ©hicule arrivant de la gauche, puis de la droiteâŠ
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La CitroeÌn DS : la plus belle voiture du monde. - source Victor Dos Santos.
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saga: Soumission & Domination 331
Noël 2014 : " belle famille ", Emma
Pour cette fĂȘte de fin d'annĂ©e, Emma nous invite tous pour le dĂ©jeuner. Ce qui fait que je ne peux refuser de passer le rĂ©veillon dans la famille de Ludovic !
Ăa Ă©tĂ© le deal pour pouvoir emmener Ludovic le lendemain. La soirĂ©e prĂ©vue c'est : diner de fĂȘte, messe de minuit Ă 22h et cadeaux au retour autour d'un dessert au champagne ! Cela va me rappeler ma jeunesse, enfin quand j'Ă©tais petit. Car j'ai dĂ» cesser d'aller Ă la messe de minuit vers mes 14ans. On n'Ă©tait pas trĂšs portĂ© sur la religion Ă la maison. Je propose d'apporter le champagne. J'aime bien le Roederer !
Le diner est parfait. L'ambiance est dĂ©tendue surtout aprĂšs quelques verres de vin. Pour eux c'est aussi une premiĂšre puisque jusqu'Ă prĂ©sent il n'y avait pas encore eu d'invitĂ© Ă cette fĂȘte familiale. La dinde Ă©tant pour le 25, nous dĂźnons de bouchĂ©es Ă la reine, d'un succulent brochet au beurre blanc avant de s'arrĂȘter sur les fromages. Messe de minuit que je passe Ă serrer contre moi mon Ludovic, profitant de la forte affluence qui remplit l'Ă©glise (nous Ă©tions debout tellement il y avait de monde !). Je n'ai pas Ă©coutĂ© grand-chose de la messe. Je crois que quand je bande, ça me bouche les oreilles !! Plusieurs fois CĂŽme m'a fait les gros yeux alors que mes mains s'Ă©garaient sur la braguette de Ludovic.
Retour à la propriété vers les 23h30, un peu longue la messe !
Alors que madame va chercher le dessert et que j'aide monsieur à ouvrir le champagne, les fils apportent les cadeaux. Je vais vite à la voiture chercher les miens. Ils sont effarés quand je reviens avec un paquet pour chacun. Madame s'exclame qu'il ne fallait pas, monsieur dit que ce n'était pas nécessaire et je fais taire tout le monde en leur disant que ça me fait plaisir. Nous attendons d'avoir fini nos parts de gùteau pour distribuer et ouvrir nos paquets.
Madame commence par le mien pour m'honorer. Je ne me suis pas embĂȘtĂ©, j'ai lui ai pris un carrĂ© de soie de chez HermĂšs. Dans ce milieu-lĂ , j'Ă©tais sĂ»r de ne pas me tromper. Et je crois qu'effectivement elle a Ă©tĂ© touchĂ©e car pour la premiĂšre fois elle m'a spontanĂ©ment embrassĂ© sur la joue. A CĂŽme et Enguerrand, j'ai pris un bracelet Kyoto en cuir et or de chez HermĂšs aussi. Ils sont beaux et discrets quand mĂȘme. Enguerrand me saute au cou et me dit qu'il ne quittera plus son poignet. Il reste juste un peu trop longtemps accrochĂ© Ă moi pour que son pĂšre le regarde bizarrement. Pour le pĂšre, j'ai osĂ© un carrĂ© de soie pour homme, toujours de chez HermĂšs. J'avais notĂ© qu'il portait une vieille Ă©charpe un peu pourrie lorsque je l'avais accompagnĂ© Ă la chasse. Dans un premier temps il est surpris et dubitatif devant le paquet. Puis quand Ludovic le dĂ©plie et lui passe autour du cou, il est conquis. Le motif " imprimeur Fou Quadricube " en rouge est trĂšs masculin. Pour mon amour Ă moi, c'est un jonc en or de la place VendĂŽme. Ses parents allaient pour faire une remarque quand ils ont lu le nom sur l'Ă©crin. Sur la face interne j'ai fait enchĂąsser des pierres prĂ©cieuses et semi prĂ©cieuses aux couleurs de l'arc en ciel. Il est le seul Ă le remarquer.  Pour la premiĂšre fois j'ai droit Ă une pelle devant tout le monde. Sifflets d'Enguerrand qui se fait engueuler par son pĂšre qui lui dit de ne pas en rajouter.
Les frĂšres se sont groupĂ©s pour m'offrir une veste de chasse en cuir, plus solide que celle que j'avais trouvĂ©e. En me serrant contre lui, Ludovic me dit que j'aurais demain mon vrai cadeau. Celui-lĂ c'Ă©tait l'officiel parce qu'il y avait ses parents. De leur part j'ai droit Ă une Ă©charpe Burberrys. Remerciement croisĂ©s et au lit, Ă©videmment en chambre sĂ©parĂ©e !! Du moins pour commencer. 10minutes aprĂšs que je me sois coulĂ© entre les draps, mon Ludovic est venu me rejoindre. TrĂšs excitant que de faire l'amour alors que c'est " interdit " ! Il se rĂ©veille tĂŽt pour regagner sa chambre. Au petit dĂ©jeuner, il se met Ă cĂŽtĂ© de moi et me dit qu'il s'est fait choper par sa mĂšre en sortant de ma chambre et comme il Ă©tait en caleçon... Je lui demande s'il s'est fait engueuler. Il me dit que non, cela l'avait mĂȘme surpris mais elle lui avait fait un clin d'oeil et Ă©tait partie de son cĂŽtĂ©. Ouf !!
J'accĂ©lĂšre un peu, je voudrais passer au blockhaus avant d'aller chez Emma. On se remercie tous encore une fois et ils nous lĂąchent enfin. On retrouve tous les autres. PH et Ernesto se fichent de nous, faisant une imitation de madame mĂšre recevant son cadeau de ma part et de monsieur dĂ©couvrant son propre carrĂ© HermĂšs. Ludovic s'Ă©croule de rire. Je demande Ă PH s'ils se sont bien envoyĂ©s en l'air hier soir. Pour m'Ă©nerver, il me dĂ©crit par le dĂ©tail le diner que Samir et Ammed avaient prĂ©parĂ© avant de passer Ă leur nuit. MĂȘme si j'ai passĂ© une nuit trĂšs excitante, je suis un peu jaloux de ce qui s'est passĂ© entre eux. Je crois bien que c'est la premiĂšre fois qu'ils ont fait l'amour sans moi. Ăa me fait un peu mal jusqu'Ă ce que je me dise qu'ils n'ont pas Ă©tĂ© des moines pendant mon indisponibilitĂ© aprĂšs l'accident !
On se change. Chez Emma le dĂ©jeuner de NoĂ«l se passe en smoking. On s'entasse tous dans la 300C, HervĂ© nous ayant quittĂ© pour aller dĂ©jeuner chez ses parents. Pablo nous ouvre, lui aussi est en smoking. Le jour de noĂ«l, il est le seul des employĂ©s d'Emma Ă rester et dĂ©jeune avec nous tous. A force de persuasion, elle a enfin dĂ©cidĂ© ses deux vieux employĂ©s Ă rentrer dans leur propre famille. Du coup, nous les jeunes ont fait le service sous la tutelle de Pablo. Cette annĂ©e il a fait lui-mĂȘme le foie gras. Pour un coup d'essai c'est un coup de maĂźtre. Il est dĂ©licieux, bien mi-cuit et onctueux, on se rĂ©gale tous. Il a laissĂ© tomber la dinde pour un chapon aux champignons et fruits secs comme on fait en catalogne. La cuisson est lĂ aussi parfaite et la viande est fondante sur la langue. Ludovic nous dit ĂȘtre trĂšs heureux d'avoir Ă©vitĂ© la sempiternelle dinde trop sĂšche de chez lui. Emma le gronde que ce n'est pas gentil de nous dire cela. Il se dĂ©fend que sa mĂšre n'est pas une mauvaise cuisiniĂšre mais avec la dinde ça ne fonctionne pas. Le dessert est du mĂȘme niveau et c'est au cafĂ© que se fait l'Ă©change de cadeaux.
Emma a dĂ©cidĂ© que nous aurions tous le mĂȘme prĂ©sent (Pablo compris) avec la date gravĂ©e dessus.   Avec la complicitĂ© de Marc, elle nous a fait rĂ©aliser pour chacun la mĂȘme chevaliĂšre en or dont le plateau est un grenat DemantoĂŻde d'un vert trĂšs profond gravĂ© en intaille d'une vision moderne d'Hercule terrassant le lion de NĂ©mĂ©e d'aprĂšs une gravure originale de Nicolas Salagnac. Elles sont superbes on les passes toutes Ă nos doigts. J'adore l'idĂ©e " clan " qu'elles sous entendent. Le motif gravĂ© montre donc un Hercule trĂšs musclĂ© et bien montĂ© (mĂȘme s'il ne bande pas) Ă©tranglant un lion majestueux. Elle confie un Ă©crin Ă Ernesto pour HervĂ©. Il la remercie chaleureusement qu'elle ait pensĂ© Ă lui.Â
C'est l'année des bijoux puisque j'ai étendu mon idée du bracelet que j'ai offert à Ludovic aux autres participants du déjeuner. Ils sont tous rigoureusement identiques. La simplicité de leurs surfaces externes lisses ne trouble pollue pas l'effet de l'intaille. Ernesto remarque la succession des couleurs  de la face interne et tout le monde trouve ça amusant. Marc me remercie que cela soit discret et personnel.
Marc et HervĂ©, eux, ont rapportĂ© d'orient des olisbos en jade. A la vue de leurs tailles, Emma nous dit qu'ils doivent durement ĂȘtre dĂ©coratifs. MĂȘme si nous n'avons pas beaucoup de secret pour elle, personne ne lui dit que cela nous arrive d'utiliser des godes de ces tailles. PH s'est mis avec Ernesto et Ludovic pour m'offrir une perle en or ciselĂ©e pour mon oreille. Je les engueule de dĂ©penser l'argent pour ça mais je tombe quand mĂȘme dans leurs bras pour les remercier.
Nous offrons Ă notre hĂŽtesse un tatouage de son choix chez mon tatoueur. Elle a eu beau me trouver fou d'avoir fait graver dans ma peau cet Ă©norme dragon qui me mange le tĂ©ton, Ă chaque fois que nous faisons l'amour, je la surprends Ă caresser la bĂȘte !
Evidemment ce sont des cris de surprise et de refus qui arrivent en premier. Je la pousse une peu dans ses retranchement pour qu'elle admette que cela la tente mais qu'elle ne comptait pas le faire. Tout le monde y va de son commentaire. PH lui dit que c'est effectivement une idée trop étrange pour elle. Il ajoute qu'en tant que femme qui porte de beaux et profonds décolletés, il trouve difficile de trouver une place adéquate. Marc lui dit de ne pas tenir compte de moi, j'étais fou et voulait que tous autour de moi le soient. J'argumente que cela lui apporterais une certaine originalité parmi ses " amies " bien pensantes. De plus elle n'est pas obligée d'en faire faire un aussi gros que le mien ! Elle finit par avouer que le mien lui plaisait beaucoup.
LĂ , c'est moi qui la mets en garde. La façon dont il passe de mon dos Ă mon pec par-dessus l'Ă©paule droite l'empĂȘcherait de porter ses robes lĂ©gĂšres l'Ă©tĂ© sauf en privĂ©.  C'est elle qui me dit qu'en faisant passer le dragon sous son bras plutĂŽt qu'au-dessus, un simple maillot 1 piĂšce ferait l'affaire. Je crois bien qu'elle va le faire. Moi, j'avais plutĂŽt pensĂ© qu'elle ferait comme Marc une version rĂ©duite de ma bĂȘte et plutĂŽt sur une fesse de façon Ă ce que ce soit vraiment " privĂ© ". Je lui en fais part. Elle Ă©clate de rire et me dit qu'alors il ne servirait Ă rien Ă cet endroit-lĂ . Ernesto et PH se joignent Ă moi pour la raisonner. C'est peine perdue !
Ăa m'apprendra Ă offrir des trucs aussi bizarres. Mais que peut-on offrir Ă une femme qui a dĂ©jĂ tout !
Comme j'ai prĂ©vu de ne pas la laisser seule ce soir de noĂ«l et que PH, Ernesto et Ludovic vont rester avec moi, j'ai demandĂ© Ă mes deux vietnamiens, qui ne fĂȘtent pas ce jour chrĂ©tien, de se mettre Ă disposition de Marc et HervĂ©. Ils refusent que je leur paye cette prestation. Ils me disent que c'est pour la colocation qu'ils ont intĂ©grĂ© Ă leur tour.
Nous passons la soirĂ©e Ă faire l'amour Ă Emma. Ernesto, PH, Ludovic et moi, rĂ©ussissons Ă la maintenir en Ă©tat de jouissance oĂč trĂšs proche plus d'une heure et demi durant. Nous la laissons dĂ©vastĂ©e. Elle a juste la force de soulever ses paupiĂšres pour nous voir jouir tous les quatre de nos corps de mĂąles. On sait exactement ce qui fait rĂ©agir l'autre et nous en profitons. Ludovic en est encore au stade de la dĂ©couverte et c'est nous qui en profitons pour l'emmener au 7Ăšme ciel en premier. Je profite de la belle queue d'Ernesto. Elle me laboure l'anus en profondeur et c'est trop bon, surtout avec PH en 69 qui me suce la bite. Nous nous " nourrissons " de concert alors qu'Ernesto se vide en moi.  Pendant que c'est notre tour de rĂ©cupĂ©rer, elle part enfiler un maillot de bain une piĂšce assez Ă©chancrĂ© pour me prouver ses dires concernant mon cadeau. Elle ajoute qu'elle ne portera de 2 piĂšces qu'avec ses amies auprĂšs desquelles elle le voudra. Ernesto la fait tourner et effectivement, si le corps du dragon contourne par sa taille, elle pourra le dissimuler.
Nous passons la nuit avec et sur elle. Elle doit nous réveiller deux fois car nous l'étouffons en nous couchant sur elle. 4 corps entre 80 et 90 Kg c'est sûr que c'est un peu lourd quand ils ne bougent pas pour lui donner du plaisir !
Quand nous débarquons au blockhaus, nous croisons Lùm et Khang qui en partent. Ils nous disent comprendre pourquoi nous sommes avec Marc et Hervé. Ils n'ont quasiment pas dormis de la nuit avec nos deux hommes.
Nous les trouvons encore en boxer, avec des petits yeux. PH leur demande comment ils font quand ils sont lĂ -bas. S'ils ont ces tĂȘtes avec leurs clients, ils doivent recevoir des rĂ©flexions.
Nous passons la fin de matinée dans l'eau au second. La chaleur y est plus forte et nous en avons bien besoin pour détendre nos muscles un peu trop sollicités derniÚrement.
Samir et Ammed nous appellent pour le dĂ©jeuner si on ne veut pas manger brulĂ©. Ce serait dommage vu les plats qu'ils nous ont concoctĂ©s.    Le reste du 26 est calme. Nos cadeaux nous plaisent et chacun les porte. Il faut dire que je m'Ă©tais offert le mĂȘme bracelet que ceux que j'avais offerts. Les parents de PH sont partis en voyage au soleil et nous ne les verrons qu'aprĂšs le nouvel an.
J'ai reçu les derniĂšres rĂ©ponses pour la touze du 31 dĂ©cembre depuis dĂ©jĂ plus d'un mois. Heureusement que le blockhaus est grand car il va ĂȘtre plein. C'est le fait que l'annĂ©e derniĂšre j'avais dĂ» l'annuler Ă cause de mon accident. De plus contrairement aux autres annĂ©es, tous mes escorts ont refusĂ© de prendre un engagement pour cette soirĂ©e afin d'y participer aussi. MĂȘme les derniers, poussĂ©s par les autres ont dĂ©clinĂ© des propositions de prestations pourtant payĂ©es en honoraire de jour fĂ©riĂ© ! Â
Ils sont dĂ©jĂ 25 ! Plus tous les amis qui se sont dĂ©brouillĂ©s pour ĂȘtre libre (je pense Ă mes deux motards de la gendarmerie), nous serons au bas mot 80 !! Pour la bouffe ce n'est pas un problĂšme, entre Samir et Ammed et Julien notre charcutier traiteur et nĂ©anmoins amant de Second, la chambre froide sera pleine de ce qu'il faudra. Pour la baise, lĂ non plus pas de soucis, on n'est pas du genre Ă ne le faire que dans un lit. Ăa va plutĂŽt ĂȘtre pour dormir que ça va ĂȘtre chaud. Heureusement que la surface de tatami a Ă©tĂ© augmentĂ©e derniĂšrement. Et puis comme il rĂšgne une chaleur qui nous permet de vivre quasiment Ă poil, la terrasse pourra aussi accueillir des dormeurs. Par contre le donjon, s'il va surement servir ce soir lĂ aussi, n'es pas Ă©quipĂ© pour le sommeil !
Marc et Hervé me traient de fou. Je pense que c'est effectivement la plus grosse partouze que j'aurai jamais encore organisée. Au moins le double des fois derniÚres. San compter que bon nombre d'invité vont faire le pont et rester jusqu'à dimanche soir. Soit 4 jours complets de débauches en tout genre, enfin homo !
Du site du " roi de la capote ", je reçois plusieurs centaines de prĂ©servatifs indispensables. De toute sortes avec et sans latex pour les allergiques, phosphorescents, avec des goĂ»ts fruitĂ©s. Bien sĂ»r il y a une bonne quantitĂ© de XL et XXL j'en ai trouvĂ© de 220m x 60/69, ce qu'il faut pour l'Ă©quipe du club hippique, Ăric et mĂȘme JoĂŁo et SosthĂšne ! Le tout est accompagnĂ© de quelques litres de gel lubrifiant et quelques pots de crĂšme Ă fist pour les plus aguerris. En effet, je ne dois pas compter une par Ă©jaculation car je pense que les bites seront passĂ©es par plusieurs culs avant que leurs couilles se vident !
Pour Ă©viter tous mĂ©langes qui se rĂ©vĂšleraient nĂ©faste pour certains estomacs, il n'y aura que du champagne, en apĂ©ritif, aux buffets et mĂȘme aprĂšs. Le caviste m'en livre 400 bouteilles ce qui restera ne sera pas perdu. Comme il veut me faire un cadeau, je refuse ses bouchons temporaires, les bouteilles n'auront aucune chance de rester Ă moitiĂ© vide, par contre j'accepte qu'il m'offre une 10aine de sceaux Ă glace. C'est plus pour les maintenir autour des 8-10° optimums que pour les frapper. On ne " gĂšle " que les champagnes de petite qualitĂ©. Je passe par la mĂšre de Julien pour savoir combien je vais lui coĂ»ter. Le connaissant, il va me donner un chiffre fantaisiste bien en deçà de la rĂ©alitĂ© et je ne tiens pas Ă ce qu'il soit de sa poche pour ce qu'il me fournit.
Il y a plusieurs semaines dĂ©jĂ , avec mes acolytes, nous avons rĂ©flĂ©chis au petit souvenir que nous pourrions offrir Ă tous les participants. MĂȘme si ça va ĂȘtre une dĂ©bauche de sexe phĂ©nomĂ©nale, pas question de tomber dans le graveleux. Pas de savon bite ou de mug cul, il nous faut viser plus haut. Ludovic propose un truc qui fait que l'on saurait tout de suite qui faisait partie de cette fĂȘte, donc quelque chose de visible comme les bagues universitaires amĂ©ricaines. L'idĂ©e est lĂ mais une bague de plus... On se fixe sur un simple anneau en or gravĂ© de " Blockhaus 15 " pour 2015. Pour mes Escorts j'ai l'information dont nous avons besoin pour leurs rĂ©alisations. Tous les autres ont Ă©tĂ© priĂ©s de me donner la taille de leur auriculaire. Pour la matiĂšre nous optons pour de l'or rose, on est Pd ou pas ?!
Evidemment, ils vont se douter qu'ils vont recevoir un anneau mais pas celui-lĂ !
Jardinier
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Candaulisme
ScĂšne de vie dâun candaulisme ordinaire...
               â « ChĂ©ri...ChĂ©ri... ! «Â
               â « Oui mon Amour... ? »
â « ChĂ©ri, tu es oĂč ? Viens, je suis dans le garage...Il faut changer lâampoule du clignotant de ma voiture... »
â « Comment ça...Comment ça, il ne marche plus ?  Tu tâen es aperçue comment... ? »
â « Oui, câest Ă lâarriĂšre droit...Je ne pouvais pas le voir...Mais je me suis faite arrĂȘter par la gendarmerie, les motards...Si je ne change pas lâampoule et que je ne me prĂ©sente pas dans les 48 heures pour faire voir que je lâai faite changer je devrais payer 150 francs dâamende »
â « Ah oui...Ok je dois en avoir dans ma voiture ou dans une boite de secours de la tienne...Tu as regardĂ©Â ? »
â « ChĂ©ri...Tu ne me connais pas encore...Moi, changer une ampoule... ? » sâesclaffa-telle... !
Oui, il fallait le reconnaitre, le bricolage nâĂ©tait pas tout Ă fait la qualitĂ© premiĂšre pour laquelle je lâavais Ă©pousĂ©e non plus, alors...
               â « Mais je veux bien tâaider si tu veux...ou si tu as besoin, mon amour... » me fit-elle en dĂ©posant un baiser bien sonore sur mon front tandis que je mâagenouillais prĂšs de sa voiture pour regarder comment se dĂ©montait le clignotant de sa Mini...
Elle portait ce jour une robe courte dont elle avait un goĂ»t si sĂ»r Ă les choisir et en consĂ©quence affoler les hommes quâelle pouvait croiser.
Une fente sur le cĂŽtĂ© Ă faire douter de Dieu tous les Ă©vĂȘques et missionnaires dâun sĂ©minaire apostolique ajoutait une touche « so sexy... ! »...
               â « Quoique...me dit-elle, il faut aussi que je me refasse une beautĂ©...Je vais retourner Ă la gendarmerie dĂšs que tu auras effectuĂ© la rĂ©paration...Merci mon amour... » me fit-elle en me tournant le dos prĂ©cipitamment...
â « Eh...Eh... »
Je la connaissais par cĆur ma petite femme dâamour...
â « Pourquoi te refaire une beautĂ©...Tu es magnifique mon Amour... ! »
â « Oui... ? Merci...mon amour...Câest vrai...mais je ne tâai pas tout racontĂ©... VoilĂ , en fait, je me suis faite arrĂȘter par  des motards qui Ă©taient derriĂšre moi...JusquâĂ lĂ rien de particulier...Ils mâont fait me garer sur une aire de bus et lâun dâeux est venu vers moi...SĂ»re de moi, je nâavais rien Ă me reprocher, je souriais en ouvrant la vitre... »
â « Alors, ma petite dame...On ne met pas son clignotant pour tourner... ? »
â « Euh... Si, si...Je lâai mis... Monsieur lâagent...Je vous jure, je lâai mis !»
â « Ok, on va voir...Gendarmerie Nationale, veuillez arrĂȘter le moteur du vĂ©hicule, retirez votre ceinture de sĂ©curitĂ© et montrez-moi vos papiers...carte grise, carte dâassurance, papiers dâidentitĂ©... Vous mettrez le clignotant et vous descendrez vĂ©rifier avec moi... »
â « Au ton, je savais que je nâĂ©tais pas tombĂ©e sur Louis de FunĂ©s, pas du tout le genre comique, aussi je mâexĂ©cutais...Mais la voix...Waoooua, tu me connais chĂ©ri comment jây suis sensible...Une voix... ! »
Oui, je savais lâĂ©motions et mĂȘme les Ă©motions (je vous raconterais plus tard un jour Ă lâOpĂ©ra oĂč elle en avait trempĂ© sa culotte et plus encore son siĂšge...) que pouvaient lui procurer une voix...
Une voix de ténor...Une voix profonde...
Cela lâa transportĂ© toujours et rĂ©sonnait, vibrait si incroyablement en elle comme pouvait le faire le plus performant des sextoys...
Je crois Ă©galement, car je possĂ©dais aussi cet organe, que câest avant tout et au quotidien ce qui lâattirait ou lâavait attirĂ© chez moi en premier...
Je me demandais pourquoi, car dâun physique normal et banal, jâavais lâincroyable chance de vivre aux cĂŽtĂ©s dâune si belle femme, et mĂȘme que cela dure, mais je crois que ma voix Ă©tait une grande partie de la rĂ©ponse.
Je nây Ă©tais pour rien mais en savourais et bĂ©nissais parfaitement la chance.
Elle sâĂ©tait rapprochĂ©e de moi telle une chatte affectueuse et rĂȘveuse...
En chaleur diraient dâautres...
LĂ , maintenant prĂšs de moi, son visage juste au-dessus de moi qui commençais les opĂ©rations de dĂ©montage du feu clignotant de sa Mini, elle revivait clairement lâinstant et je ne vis que les yeux qui sâĂ©taient fermĂ©s en tournant littĂ©ralement sur eux-mĂȘmes et ce petit rictus ou pincement de la lĂšvre supĂ©rieure toujours prĂ©misses dâinstants dâabandon ou de proche abandon...
               â « ChĂ©rie...ChĂ©rie... ! »
â « Ah oui, je te disais... » me fit-elle en se rapprochant de moi pour me dĂ©poser un baiser souriant, taquin et coquin comme elle savait que je les aimais.
Je dois avouer que jâen profitais Ă©galement pour plonger de mes yeux comme toujours conquis dans son sublime dĂ©colletĂ© et moi aussi mâextraire un instant de la tĂąche imprĂ©vue consistant Ă changer lâampoule de son clignotant...
               â « Oh...toi... ! » lui dis-je tout en posant ma joue sur sa poitrine gĂ©nĂ©reuse et chaude oĂč dardaient dĂ©jĂ les magnifiques pointes perçant le tissu lĂ©ger de sa si belle robe...
Elle passa sa main dans mes cheveux...
â « ChĂ©ri, ce ne serait pas raisonnable...Pas maintenant. Allez, je te laisse je vais me prĂ©parer...Appelles-moi quand câest prĂȘt...Il faut que je retourne Ă la gendarmerie au plus tĂŽt montrer et prouver que jâai changĂ© lâampoule...Sinon, 150 francs...Tu ne voudrais pas dĂ©penser 150 francs inutilement quand mĂȘme ...MĂȘme pour ta femme adorĂ©e...Non ? »
Les femmes ont ce don de vous ramener à la réalité...
Aussi, je poursuivais mon travail.
Mais en fait, elle ne sâĂ©loignait pas...
â« Aussi, dit-elle en restent prĂšs de moi et poursuivant son rĂ©cit, je me suis penchĂ©e vers la boite Ă gant et comme de plus, il Ă©tait grand et surplombait largement la portiĂšre, je suppose que lorsque je me suis penchĂ©e, il a dĂ» voir mon cul, ah oui aujourdâhui chĂ©ri, je nâavais pas envie de mettre de dessous, et comme je me suis vraiment penchĂ©e pour aller chercher les papiers qui Ă©taient tout au fond, je pense quâil a vraiment dĂ» bien se rĂ©galer Ă mĂąter mon cul...Â
Bien entendu, je rĂąlais un peu car je nâarrivais pas Ă les attraper ces foutus papiers... Et je mis un certain temps...
â « Rien de grave, ma petite dame...Prenez tout votre temps me fit -il de sa si belle voix grave et chaude...Tu sais, combien je les aime, ces voix et ce quâelles me font... »
Oui, je le savais et me doutais mĂȘme un peu de la suite de son histoire...
Vingt ans de vie commune dont 19 ans de libertinage, de candaulisme, de pratique de « couple libre » et maintenant plutĂŽt un style de vie «stag-vixen... » sans aucun remord ni regret et mĂȘme et surtout dâimmenses satisfactions et plaisirs...
Oui, je mâattendais un peu Ă la suite de lâhistoire...
â « ...Ne vous inquiĂ©tez pas...Tout va sâarranger... Je suis sĂ»r que vous nâavez pas tout oubliĂ©... !»
â « Comment ça tout oubliĂ©... ? » lui rĂ©pondis ma femme  en se retournant promptement
- « De mon point de vue et sans vous connaĂźtre plus que ça, il vous arrive sĂ»rement parfois dâoublier des choses... Je dis ça, je ne dis rien... » lui fit-il dans avec un sourire ravageur et toujours cette voix si suave...
_ « Je dois tâavouer mon chĂ©ri que cela mâa mis dans un Ă©tat, câest dâailleurs pour cela que je dois aller me refaire une beautĂ©, enfin, me rafraĂźchir si tu vois ce que je veux dire...mais aussi que cela mâa tellement dĂ©contractĂ©...Je lui passais alors les papiers enfin trouvĂ©s en toute dĂ©contraction, en attardant longuement mon regard sur ses menottes collĂ©es Ă sa taille, hummm les menottes, il y a longtemps quâon a pas jouĂ© avec des menottes mon chĂ©ri, sa matraque, ses bottes en cuir et son cul si bombĂ©, bien formĂ© et mis en valeur par son pantalon de motard assez serrĂ©...Oui, je ne pensais plus beaucoup au clignotant, tu me connais mon amour et câest aussi pour ça que tu mâaimes, non ?... »
Oh oui je la connaissais ...Oh oui je lâaimais !
Câest dâailleurs comme ça et pour ça que je lâaimais...Joueuse, dynamique, ingĂ©nue tout en sachant ce quâelle voulait et oĂč elle allait, belle, rebelle, optimiste, gaie, retombant toujours parfaitement sur ses pieds, rĂȘveuse et attentionnĂ©e, curieuse, libertine, libre et libĂ©rĂ©e avec un appĂ©tit de la vie et surtout quoiquâil arrive vouloir vivre, aimer, cĂ©lĂ©brer la vie, les gens et lâamour ...
Alors quâelle me tournait le dos, jâeus juste le temps de lui claquer une main sur les fesses, non pas, elle aurait dĂ©testĂ©, en macho de base mais en homme Ă©pris de sa femme et lui signifiant par ce geste, non sa possession ou sa domination, non, mais bien une promesse, un intĂ©rĂȘt fougueux et clairement sexuel de lâinstant complice, une envie, un dĂ©sir de lâhonorer, lĂ , maintenant, sur le champ, et aussi manifestant une certaine frustration de ne pouvoir rĂ©ellement le faire car la connaissant parfaitement, elle, ses dĂ©sirs, ses envies, ses besoins, ses habitudes...
Plus tard, ce serait plus tard...
Elle en avait clairement envie...mais faisait, toujours aussi joueuse, lucide, gourmande et gourgandine, taquine, durer lâinstant pour plus tard en extraire les pleines saveurs et abondances...
â « Plus tard mon chĂ©ri...je te connais, rires, tu me connais...Plus tard, tu auras ta part plus tard...La plus belle part.âŠJe reviens... »
Je la laissais partir certes Ă regret mais aussi sĂ»r dâelle et de sa promesse...
La confiance et lâamour ayant toujours tout emportĂ© chez moi, je la regardais partir, fou amoureux comme au premier jour et me remis au travail.
               « ChĂ©rie... ? Câest bon, câest rĂ©parĂ©, câest prĂȘt ! «Â
Sa voix derriĂšre moi me surpris...Elle sâĂ©tait effectivement dĂ©pĂȘchĂ©e. Elle ne sâĂ©tait en apparence pas changĂ©e juste sĂ»rement rafraĂźchie mais objectivement pour moi toujours aussi belle et sexy...
Peut- ĂȘtre mĂȘme plus belle encore, nimbĂ©e dâun je ne sais quoi et dâune aura sexuelle si perceptible qui Ă©manait dâelle en cette instant me doutant de ce quâelle allait rĂ©ellement mâannoncer ....
Belle, sexy, conquĂ©rante...IrrĂ©sistible... Je lâaimais tant ainsi...
               â « A tout Ă lâheure ChĂ©ri...Je tâaime. Merci...Je tâappelle pour te tenir au courant...Il se peut que je rentre tard...me nargua-t-elle de maniĂšre si complice et de son sourire adamantin...Je tâaime tellement pour tout ce que tu mâoffres et me permets...Je te raconterai... ».
Telle Ă©tait ma femme...
Tel était notre façon de vivre...
Sa façon dâĂȘtre et de vivre notre Candaulisme...
Elle Ă©tait une Hot-Wife, ma Hot-Wife...JâĂ©tais un cerf...Son cerf...Nous nous aimions ainsi.
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ScĂšne 1 "Une femme mure sur la plage"
DĂ©jĂ presque une annĂ©e Ă©coulĂ©e depuis ces vacances passĂ©es chez mes parents dans le sud-ouest de la France. CâĂ©tait en pleine saison au mois d'aoĂ»t, je me souviens encore des senteurs et sensations dâaller courir chaque matin avant dâaller piquer une tĂȘte dans lâocĂ©an pour conclure cette activitĂ© de remise en forme. Ces sensations qui restent dans la mĂ©moire comme des moments marquants de la vie oĂč tout est calme, oĂč on ressent la sĂ©rĂ©nitĂ© du prĂ©sent, oĂč la vie semble sans contraintes.Â
Jâavais passĂ© lâĂąge de passer des vacances chez mes parents mais cette annĂ©e lĂ les voyages Ă©taient encore limitĂ©s et jâavais Ă coeur de voir mes parents aprĂšs cette pĂ©riode surrĂ©aliste oĂč la moitiĂ© de la planĂšte avait passĂ© plusieurs mois confinĂ©e. Ce virus COVID-19 qui a touchĂ© tous les pays du monde et cette mise en quarantaine qui nous a coupĂ© de nos proches pendant plusieurs semaines et tant de victimes. Comme la plupart des gens, les vacances dâĂ©tĂ© se rĂ©duisaient Ă des distances accessibles en train ou en voiture, les vols Ă lâautre bout de bout monde encore dĂ©conseillĂ©s.
J'aimais me lever tĂŽt pour aller courir, profiter de la fraĂźcheur matinale et du calme avant le trafic des vacanciers qui abondaient sur les plages et les coins touristiques.Â
Depuis quelques jours jâavais remarquĂ© cette femme venant profiter de la plage, comme moi elle semblait prĂ©fĂ©rer la tranquillitĂ© avant l'arrivĂ©e de la foule. La 1Ăšre fois que je lâavais aperçu, Ă©tant seul sur la plage avec elle, je me disais quâelle m'avait obligatoirement remarquĂ©. Je me souviens comme si câĂ©tait hier, je voulais me rafraichir aprĂšs mon footing matinal, je nâavais pas rĂ©sistĂ© Ă l'envie de rester sur la plage alors que je n'avais ni serviette ni affaires de rechange. J'Ă©tais Ă©tonnĂ© de voir cette femme seule Ă cette heure, comme si elle commençait sa journĂ©e de plage, installĂ©e sur sa serviette, en maillot de bain avec un petit haut couvrant son buste de la fraĂźcheur
Elle lisait et avait tournĂ© la tĂȘte en me voyant passer pour aller me baigner. J'avais posĂ© mes runing, mon short et mon tee-shirt au bord de l'eau avant de plonger dans la mer encore fraĂźche. Je lui tournais le dos, elle Ă©tait installĂ© Ă une 20aine de mĂštre plus haut sur la plage, je n'avais pas osĂ© me retourner mais bien qu'Ă©tant allongĂ©e sur le ventre, tournant le dos Ă la mer, jâavais imaginĂ© quâelle avait tournĂ© la tĂȘte pour me regarder me dĂ©vĂȘtir avant de plonger en boxer dans lâeau calme comme si la mer accueillait son 1er baigneur de la journĂ©e. Quand je revenais vers le bord, elle avait changĂ© de position, assise sur sa serviette, le regard plongĂ© dans son livre mais elle s'Ă©tait retournĂ©e, peut-ĂȘtre pour profiter de l'ocĂ©an et me regarder nager. Je trouvais cet instant troublant et la situation presque intime.
Depuis ce jour lĂ , je revenais tous les matins, Ă la mĂȘme heure, espĂ©rant retrouver cette femme qui lisait sur la plage. Avait-elle remarquĂ© que je la regardais ? Pensait-elle que je venais dans l'espoir de l'aborder, la draguer ? Raisonnablement je n'y croyais pas trop, j'Ă©tais beaucoup plus jeune qu'elle, et visiblement ce n'Ă©tait pas le genre de femme quâon aborde facilement. C'Ă©tait l'impression qu'elle me donnait.Â
Une belle femme mure, qui devait avoir 55 ans bien sonnĂ©s, des formes matures, des cuisses charnues, un belle peau soignĂ©e. MalgrĂ© le soleil estival, sa peau Ă peine hĂąlĂ©e, encore assez blanche me laissait imaginer qu'elle avait dĂ» arriver depuis peu. Un dĂ©tail avait captĂ© mon attention plus particuliĂšrement, cette femme aux airs et attitudes un peu « bourgeoises » semblait prendre soin dâelle, elle nâĂ©tait pas grosse mais des formes qui sâarrondissent avec les annĂ©es de maniĂšre plus ou moins harmonieuses mais pleines de charme. Un visage assez fin encore mais quand elle sâĂ©tait levĂ©e pour aller se baigner, son fessier mâavait captivĂ©, il Ă©tait large, charnu et marquĂ© par les annĂ©es tout en Ă©tant trĂšs agrĂ©able au regard. Un cul assez gros pour dire les choses de maniĂšre trivial mais un cul comme je les aimais et qui me faisait rĂȘver surtout chez une femme mure. J'avais remarquĂ© cette femme il y a 3 jours, depuis je suis repassĂ© le matin Ă la mĂȘme heure, elle Ă©tait lĂ au mĂȘme endroit. Depuis je m'Ă©tais calĂ© sur son horaire pour venir profiter de la plage et de sa prĂ©sence qui agrĂ©mentait mes sorties footing et ma baignade matinale
Est-ce qu'elle se demandait ou se doutait qu'elle me faisait fantasmer ? moi un jeune homme de 27 ans qui venait tous les matins en mĂȘme temps qu'elle, toujours au mĂȘme endroit, un peu en retrait Ă quelques 10aines de mĂštre d'elle. Suffisamment en retrait pour ne pas l'agresser, comme si je voulais faire parti de son dĂ©cors, l'habituer Ă ma prĂ©sence pour me donner le droit de lui dire « bonjour ! », de lui parler comme un habituĂ© de la mĂȘme plage, Ă la mĂȘme heure. Comme pour partager cette discrĂšte complicitĂ© et la rassurer de ma prĂ©sence Ă quelques mĂštres d'elle. Pour vivre ce moment, Ă la surprise de mes parents, jâavais pris cette habitude de me lever tĂŽt tous les matins, pour profiter de ce moment privilĂ©giĂ© qui devenait onirique et alimentait mon fantasme pour les femmes mures.
Chaque matins elle allait se baigner, faire quelques brasses et revenait sur sa serviette en profitant de lâocĂ©an calme avant de se replonger dans son livre le temps que les 1er touristes arrivent bruyamment sur la plage. Je n'avais pas encore osĂ© aller me baigner en mĂȘme temps, lui parler ne serait-ce que lui dire bonjour comme si elle devait forcement me reconnaitre. Je ne savais pas combien de temps elle resterait mais elle Ă©tait en vacances et j'avais la sensation que j'avais le temps, qu'elle resterait indĂ©finiment le temps de mes vacances. Je sentais qu'elle s'habituait Ă ma prĂ©sence, que je faisais parti de ce moment qu'elle s'octroyait tous les matins, avant que les vacanciers viennent encombrer la plage.
Depuis 3 matins elle Ă©tait lĂ , entre 7h30 et 7h45, l'heure oĂč les gens dormaient encore, oĂč l'eau est encore froide et chaque matin depuis 3 jours j'Ă©tais lĂ en espĂ©rant la retrouver Ă la mĂȘme place sans personnes aux alentours. Je ne savais pas comment l'aborder Ă part un simple bonjour mais elle Ă©tait trop loin pour lui parler et je nâosais pas aller lâaborder et pour quelle raison dâailleurs ! je voulais pas qu'elle se sente agressĂ©e. Je mâencourageais en me disant que je devrais aller me baigner en mĂȘme temps qu'elle, ça serait plus facile de discuter, lui parler de la tempĂ©rature de l'eau, du calme, de l'heure matinale ... des choses banales, anodines qui me permettraient de crĂ©er un contact, d'entendre sa voix et sentir si elle Ă©tait ouverte Ă la discussion. "Demain je le ferai" me disais-je ! comme un dĂ©fi Ă relever mais ça faisait 2 jours que j'essayais d'imaginer un moyen de l'aborder et que je finissais par me convaincre que ce serait mieux le lendemain. Comme si j'espĂ©rais que lâinitiative vienne dâelle, considĂ©rant que mon Ăąge ne me permettait pas dâaborder cette femme devenant de plus en plus inaccessible.
Je la regardais du coin de l'oeil, elle se levait pour aller se baigner, j'hĂ©sitais Ă me lever, attendre un moment pour la rejoindre mais je craignais de casser la magie de ce moment matinal qui agrĂ©mentait mes vacances et j'avoue aussi mes soirĂ©es. JâĂ©tais troublĂ© en pensant Ă elle le soir en me couchant. J'imaginais des situations qui finissaient par rĂ©veiller mon sexe au point de me caresser en Ă©chafaudent des plans que je savais pertinemment irrĂ©alisables mais ces rĂȘves Ă©rotiques Ă©taient des plus agrĂ©ables. Jâessayais de lâimaginer, telle que je lâavais vu, je me remĂ©morais rĂ©guliĂšrement ce moment qui mâavait marquĂ© et Ă©mu : son cul qui ondulait quand elle se dirigeait vers la mer pour aller nager.Â
Ce matin encore en la voyant nager, je me rĂ©signais, me promettant que demain j'irai me baigner en mĂȘme temps qu'elle, que je l'aborderai. Je me dĂ©tendais en gagnant ce nouveau dĂ©lais. Elle nageait Ă quelques mĂštres du bord, je la regardais, elle avait l'air sereine, douce, sensuelle, comme si elle savourait l'instant, je me rĂ©jouissais et me consolait en me disant que je faisais parti de ce moment, de ce dĂ©cors qu'elle garderait en tĂȘte comme ses bons moments de vacances.
Ces moments matinaux alimentaient de plus en plus mes fantasmes nocturnes et mes pensĂ©es en journĂ©e. Je retournais parfois sur la plage pour tenter de la retrouver mais depuis que jâĂ©tais arrivĂ© je n'avais pas encore eu l'occasion de la voir ou la croiser ailleurs que sur la plage le matin tĂŽt. Il m'arrivait de parcourir les lieux oĂč les touristes se promenaient, jâavais mĂȘme fait le tour du marchĂ© en matinĂ©e, espĂ©rant la croiser, me demandant qui elle Ă©tait, si elle Ă©tait seule, en couple, avec sa famille, des amis mais Ă©tant seule chaque matin je lâimaginais seule.Â
Toutes ces questions occupaient maintenant mon esprit et une bonne partie de mon temps. J'avais envie de savoir, de dĂ©couvrir cette femme qui nourrissait mes fantasmes depuis que je lâavais vu ce 1er matin sur la plage.
Qui Ă©tait cette femme mure sur la plage, venant seule tous les matins vers 7h30 et repartait avant l'arrivĂ©e des touristes. Jusque lĂ , je nâavais pas osĂ© quitter la plage en mĂȘme temps qu'elle, je ne voulais pas lui paraitre entreprenant ou passer Ă ses yeux pour un dragueur de plage en quĂȘte dâaventure sans lendemain. Je ne savais pas si elle venait Ă pied, Ă vĂ©lo ou  en voiture mais je commençais Ă Ă©chafauder des plans pour en savoir plus.
Peut-ĂȘtre venir un peu avant 7h30 pour voir d'oĂč elle venait ? peut-ĂȘtre attendre d'ĂȘtre hors de vu et la suivre de loin pour en savoir plus, savoir ou elle habitait. Ces plans tenaient en haleine mon esprit une partie de la journĂ©e mais je ne faisais que repousser la moindre initiative pour l'aborder. D'abord en savoir plus et aller me baigner en mĂȘme temps qu'elle. Je me sentais presque rassurĂ© dâobtenir ce dĂ©lais tout en redoutant quâelle ne vienne plus et disparaisse Ă jamais sans avoir rien tentĂ© ni entendu le son de sa voix.
Le lendemain Ă©tait un samedi, un jour de turn-over pour les touristes. Jâangoissais presque en imaginant qu'elle risquait de disparaitre, que je n'en saurai pas plus sur elle et que j'aurai ratĂ© l'occasion de l'aborder. Je m'arrĂȘtais un moment, j'hĂ©sitais entre me changer les idĂ©es en allant voir un copain et continuer Ă errer dans les alentours de la plage en espĂ©rant la croiser. Je me sentais comme un dĂ©tective privĂ© Ă la recherche d'informations sur une femme sur laquelle je menais une enquĂȘte.
Ces moments excitaient ma curiosité, je finissais par décider de retourner sur la plage en scrutant les environs mais il y avait tellement de monde à cette heure que mon espoir de la retrouver dans cette foule s'estompait vite. Pourtant je restais un moment à scruter du regard la foule peuplant cette plage si tranquille le matin. Je décidais d'aller voir un copain en projetant de repasser en début de soirée quand la foule aurait quitté les lieux.
A suivre ... (ScĂšne 2 le 21 mars 2024 Ă 06h00)
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Toutes proportions gardĂ©es, ce matin, moi aussi j'ai dĂ©jeunĂ© au soleil. Sur mon minuscule balcon, avec la chaise Ă cheval entre dedans et dehors. Avec vue sur le square et les voitures qui passent derriĂšre. Et sans autre chose qu'un cafĂ©. Mais j'avais le ciel bleu tout de mĂȘme ! Elle est pas belle la vie ?
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Grammar practice: articles
Rappel :
1. Articles définis :
le (masculin singulier) : le livre
la (féminin singulier) : la table
les (pluriel pour les deux genres) : les enfants
l' (devant une voyelle ou un "h" muet) : l'arbre, l'hĂŽtel
2. Articles indéfinis :
un (masculin singulier) : un chien
une (féminin singulier) : une fleur
des (pluriel pour les deux genres) : des amis
3. Articles partitifs (pour une partie de quelque chose ou une quantité indéfinie) :
du (masculin singulier) : du pain
de la (féminin singulier) : de la soupe
de l' (devant une voyelle ou un "h" muet) : de l'eau, de l'huile
des (pluriel) : des fruits
Exercice :
The (male) cat is sleeping on the couch.
I have a beautiful flower in my garden.
Do you have any friends in Paris?
We need three eggs for the recipe.
She wants to buy a new car.
Have you seen the movie that won an award?
He is reading a book about history.
They live in a small house by the river.
My brother has been playing the guitar for ten years.
I bought some delicious strawberries at the market.
Le chat dort sur le canapé.
J'ai une belle fleur dans mon jardin.
As-tu des amis Ă Paris ?
Nous avons besoin de trois Ćufs pour la recette.
Elle veut acheter une nouvelle voiture.
As-tu vu le film qui a remporté un prix ?
Il lit un livre sur l'histoire.
Ils habitent dans une petite maison prĂšs de la riviĂšre.
Mon frĂšre joue de la guitare depuis dix ans.
J'ai acheté de délicieuses fraises au marché.
Fanmail - masterlist (2016-) - archives - hire me - reviews (2020-) - Drive
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elyas est super content de ses cadeaux jâai jouĂ© Ă merveille mon rĂŽle de belle sĆur ce soir comme dâhabitude hihi mais je lui ai fait Ă©couter un groupe qui lui fait penser Ă gwendoline et je sais quâil adore ce groupe mais le gars qui mâa trauma lâhiver dernier Ă©tait aussi fan de gwendoline on lâavait Ă©coutĂ© dans sa voiture avant le drame mdr et peut-ĂȘtre pendant je sais plus et aprĂšs il voulait que je vienne avec lui dans cette mĂȘme voiture les voir en bretagne mais entre temps il avait eu le temps de me trauma du coup bref du coup jây pense et jâaime pas
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Petites news du WE:
- samedi on a eu une soirĂ©e, un copain Ă mon mec fĂȘtait son anniv et c'Ă©tait toute une organisation pour s'y rendre. En plus j'avais pas tellement envie de voir mon mec. Bref. J'arrive Ă la soirĂ©e, fallait ĂȘtre bien sappĂ©, petite robe noire, talon de 10 cm, je surplombais la city. Je commence Ă dire bonjour et un peu dĂ©biter et lĂ , ya une meuf qui me dit "ta voix est incroyable, on dirait un peu une voix de femme charismatique ou qui joue des grands rĂŽles". J'Ă©tais flattĂ©e mĂȘme si j'avais du mal Ă faire les liens qu'elle a fait pour la voix. Et du coup, jdis bien fort que ENFIN un compliment quoi, c'est pas dans cette relation que je vais en avoir. Je taille un peu mon mec Ă chaque occas. Je suis devenue un peu toxique j'avoue. Ă la fin de la soirĂ©e, on veut rentrer pour pas dormir sur place, il est trĂšs dĂ©marrĂ© et moi moins, donc j'ai dĂ» conduire. Donc notez bien que ma premiĂšre conduite avec le permis c'Ă©tait Ă 5h du tam, avec un peu d'alcool dans le sang et surtout avec la voiture de sa daronne ptn. Bref on rentre sain et sauf et un peu dĂ©marrĂ©s, je me dĂ©maquille et lĂ , il fait tomber un flacon dun produit qui s'explose par terre. Nul besoin d'indiquer le prix du produit, c'Ă©tait presque assez cher pour le quitter dans la foulĂ©e. J'ai mĂȘme pas eu le temps de longuement soupirer qu'il s'est excusĂ© (c'est rare) et j'ai eu droit Ă un long monologue d'excuses pour son comportement pitoyable qui sĂ©vit 6/7j depuis au moins 4 mois (c'est rare, en fait c'Ă©tait jamais arrivĂ©). Je me suis radoucie et on a passĂ© une belle fin de soirĂ©e.
- on devait aller graille chez ma mamie et mon pĂšre me dit "aller c oit qui conduit" (oui je leur ai finalement annoncĂ© ma permification rĂ©cente) et j'Ă©tais en mode "hm t'es sĂ»r ? J'ai jamais conduit ta voiture car tu m'as tej de l'assurance pour la conduite supervisĂ©e quand mĂȘme, jsp si c'est bon pour notre santĂ© mentale que je conduise". Il m'a dit que si c'Ă©tait bon blabla. Donc je conduis. Ătonnamment -mĂȘme si Ă chaque mĂštre tournait dans ma tĂȘte la phrase "prends pas la conf meuf Ă tout moment tu renverses une tripotĂ©e de gosses sans faire attention"- j'ai bien conduit. Tellement bien que mon pĂšre Ă©tait chockar. Du coup j'Ă©tais contente.
- j'ai appris que la soeur de mon ancien chef a la mairie est psychomotricienne et qu'elle travaille en structure donc avec des psy, il va la joindre, j'espĂšre fort que ça va donner qqc. Et demain je dois joindre deux autres Ă©tablissements. On pourra officiellement fĂȘter les 75 candidatures demain. Aller on essaie de garder le smile parce que c'est dur d'avoir galĂ©rĂ© pour avoir une licence de bio, m'ĂȘtre rĂ©orientĂ©e en psycho en sautant la premiĂšre annĂ©e et me dire que tout pourrait s'arrĂȘter lĂ , ne pas avoir de master Ă cause de ce stage de merde.
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Lors d'une balade en voiture... c'est l'heure pour faire une pause ... on boit un thĂ©... car câest Ă lâautomne que la nature montre ses plus belles couleurs...
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