#beaux bijoux
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Platinum, aquamarine and diamond bracelet by Robert Procop - Parisian Collection - Paris, FRANCE
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Jane Birkin trying on jewelry at the Boucheron jeweler for the 'Les plus Beaux Bijoux du Monde' exhibition on December 6, 1969 in Paris, France🌷🌱🌷
Via @isabelfutre on Instagram🌱
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Rayonnez et vous serez irrésistible! C'est en vous remplissant de belles choses que vous serez attirant. Croyez-moi, la bonté et la bienveillance brillent plus que les bijoux les plus beaux! Ce que vous êtes à l'intérieur se voit à l'extérieur. … Un samedi rayonnant et aux mille parfums du bonheur chers amis
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Chaque matin est un nouvel espoir. Rayonnez et vous serez irrésistible! C'est en vous remplissant de belles choses que vous serez attirant(e). Croyez-moi, la bonté et la bienveillance brillent plus que les bijoux les plus beaux! Ce que vous êtes à l'intérieur se voit à l'extérieur.
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"Ensemble de Bijoux" Art Nouveau de Geor(circa 1900) dans les collections permanentes du Petit Palais, Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, juin 2024.
#expos#inspirations bijoux#bijoux de tête#végétal#papillon#ArtNouveau#email#perle#corne#ecaille#Fouquet#MuseePetitPalais#MuseeBeauxArts
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Oui un nouveau drama !!!!!!!!!!!!!! Et c'est partit pour la fiche :
Titre: Love game in Eastern Fantasy
Drama Chinois de 32 épisodes x 45minutes de novembre 2024.
Genre: Fantasy (esprits et démons), Romance, Comédie, Monde virtuel historique et fantaisiste.
Acteurs:
Histoire:
Tout débute lorsque la jeune femme Ling Miao Miao entre littéralement via son ordinateur dans le système de mission du roman Monster Hunting et devient un personnage secondaire méchant (elle fait partie maintenant d'un roman en ligne qu'elle a lu).
Pour retourner dans le monde réel, elle doit accomplir les différentes tâches du système sans mourir (une fois la période d'essai terminé :)) et notamment conquérir le jeune homme mystérieux et tordu, Mu Sheng.
Mu Sheng (cachant un secret) fait partie d'une équipe de chasseurs de démons avec Mu Yao (dernière rescapée d'une illustre famille de chasseur) et Liu Fu Yi, (un chasseur de démons en mission secrète).
Ensemble, ils vont faire équipe et combattre des monstres, les faisant grandir et leur faisant douter progressivement sur l'animosité entre les humains et les démons.
Pourront il réécrire la fin fatale du roman et sauver le monde ?
Avis: un drama de plus qui ajoute la dimension de monde parallèle via un système de jeu vidéo, ils ont bien compris que cela marchait ! C'est cliché mais perso j'adore ! Il y a de l'action, de bons acteurs, de jolis costumes (les vêtements et les bijoux sont trop beaux!), bons effets spéciaux et l'héroïne est comique !
Pour le voir, il y a l'embarras du choix!
Pour les abonnés: Netflix Viki WeTV
Gratuit: Dramacool
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US Vogue December 15, 1938
Revillon Cape stole in sable-dyed marten, dark and luxuriously deep, which hangs to the hips at the back; the front is cut into two full stoles which are a modern revival of charm. the rounded tippet that your grandmother wore with such effect. This dark, shimmering fur is definitely on the formal side, for late afternoons or big nights out with your best jewelry.
Étole cape en martre teinte en zibeline, sombre et luxueusement profonde, qui pend jusqu'aux hanches à l'arrière ; le devant est découpé en deux étoles pleines qui sont une renaissance moderne du charme. la pélerine arrondi que portait votre grand-mère avec tant d'effet. Cette fourrure sombre et scintillante est définitivement du côté formel, pour les fins d'après-midi ou les grandes soirées avec vos plus beaux bijoux.
Model/Modéle : Helen Bennett Photo Horst P. Horst vogue archive
#us vogue#decembre 1938#fashion 30s#1938-39#revillon#stole#marten#sable#zibeline#helen bennett#horst p. horst
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Emilia Castañeda Martínez.
A une mendiante rousse
Blanche fille aux cheveux roux, Dont la robe par ses trous Laisse voir la pauvreté Et la beauté,
Pour moi, poète chétif, Ton jeune corps maladif, Plein de taches de rousseur, A sa douceur.
Tu portes plus galamment Qu'une reine de roman Ses cothurnes de velours Tes sabots lourds.
Au lieu d'un haillon trop court, Qu'un superbe habit de cour Traîne à plis bruyants et longs Sur tes talons ;
En place de bas troués, Que pour les yeux des roués Sur ta jambe un poignard d'or Reluise encor ;
Que des nœuds mal attachés Dévoilent pour nos péchés Tes deux beaux seins, radieux Comme des yeux ;
Que pour te déshabiller Tes bras se fassent prier Et chassent à coups mutins Les doigts lutins,
Perles de la plus belle eau, Sonnets de maître Belleau Par tes galants mis aux fers Sans cesse offerts,
Valetaille de rimeurs Te dédiant leurs primeurs Et contemplant ton soulier Sous l'escalier,
Maint page épris du hasard, Maint seigneur et maint Ronsard Épieraient pour le déduit Ton frais réduit !
Tu compterais dans tes lits Plus de baisers que de lis Et rangerais sous tes lois Plus d'un Valois !
- Cependant tu vas gueusant Quelque vieux débris gisant Au seuil de quelque Véfour De carrefour ;
Tu vas lorgnant en dessous Des bijoux de vingt-neuf sous Dont je ne puis, oh ! pardon ! Te faire don.
Va donc ! sans autre ornement, Parfum, perles, diamant, Que ta maigre nudité, Ô ma beauté !
Charles Baudelaire - "Tableaux parisiens, les Fleurs du mal"
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Ce que cache un masque
Nul ne se souvient de ces dieux vénérés par les anciens. Peut-être leurs légendes étaient-elles les ancêtres de nos mythologies grecques, égyptiennes ou indous ? A cette époque, ils côtoyaient les géants, les monstres des abysses. Ils vivaient sur les montagnes les plus hautes ou dans les profondeurs des enfers. Ils combattaient les astres et régnaient sur l’univers.
A cette époque, l’homme n’était qu’un simple mortel méprisable, jouet soumis à ces dieux. Il les vénérait parce qu’il les craignait. Il craignait leur courroux, les cataclysmes engendrés par leur colère. Car ces dieux étaient capables de provoquer les tremblements de terre, d’inonder les récoltes, de noyer l’humanité sous des éruptions volcaniques ou juste de foudroyer n’importe quel mortel.
Ofnadwy était une de ces grandes déesses. Elle était la mère de la beauté, de l’éclat, la déesse des déesses et la mère du soleil. Elle aimait regarder les hommes la prier. Parfois, elle entrait dans ses temples et s’amusait des prêtresses invoquant son nom devant l’autel. Il n’y avait rien de plus jubilatoire que d’écouter ces petits êtres chanter ses louanges.
Il arrivait souvent qu’elle s’intéresse à un homme beau et fort. Dès lors, elle descendait de la montagne des dieux et, prenant l’apparence d’une belle femme, elle aguichait sa proie pour se délecter de lui à la tombée de la nuit. Car Ofnadwy était aussi la déesse de la luxure, la mère de toutes les putains. Et aucun homme ne lui résista.
Un matin, après avoir quitté la couche de son amant, la déesse croisa le regard d’un inconnu. Elle suivit discrètement le jeune homme parti chasser dans les bois. Elle se cacha d’arbre en arbre afin d’admirer sa musculature et son visage magnifique. Le jeune homme s’arrêta et visa de son arc un chevreuil. La flèche partit sans toucher sa cible. Dès lors, il ne put que regarder l’animal fuir.
Qui es-tu jeune et beau garçon ? demanda Ofnadwy en se présentant.
Je m’appelle Didwill, fils de Dewr.
La déesse, de plus en plus émerveillée par Didwill, tourna autour de lui en usant de ses charmes. Elle caressa son doux visage mais il ferma les yeux. Elle comprit qu’il resterait insensible à ses avances.
Si tu acceptes de passer la nuit et de t’offrir à moi, susurra-t-elle au creux de son oreille, je ferai de toi le plus grand des chasseurs. Tu sais que j’en ai le pouvoir.
Il inspira profondément avant de défier du regard Ofnadwy.
Ta proposition m’honore belle et grande Déesse. Mais je ne peux t’offrir ce qui ne m’appartient plus. Car j’ai déjà donné mon amour à Lleuada.
Surprise par ce refus inhabituel, Ofnadwy s’éloigna du chasseur. Cependant, la colère envahit son esprit et elle décida de retourner dans la cité pour rencontrer la fameuse Lleuada. Elle traversa la ville et n’entendit que du bien de sa rivale. Elle était décrite comme une très belle femme aux cheveux noirs, à la peau de lait. Son corps aux courbes parfaites, ses yeux de biche déstabiliseraient n’importe quel héros. Et effectivement, lorsque la déesse remarqua la jeune femme, elle fut stupéfaite de voir que sa beauté était comparable à celle d’une déesse. Elle remonta dans la montagne des dieux, déçue qu’un homme se soit refusé mais surtout, furieuse qu’il préféra une mortelle à sa place.
Pendant plusieurs jours, Ofnadwy ne put retirer de sa mémoire ce couple qu’elle imaginait en train de faire l’amour. La jalousie grossit en elle si bien qu’elle réfléchit à une vengeance.
Si tu t’es refusé à moi, alors tu la refuseras, Grommela-t-elle.
Elle partit rejoindre Copradur le dieu des forges. Ce dernier travaillait dans son atelier au sommet d’un volcan. Sa poigne battait le fer comme jamais. Il avait inventé des armes flamboyantes, des coffres impossibles à forcer, des ornements d’une pure beauté et les plus beaux bijoux que l’homme n’a jamais créés. Copradur était en train de forger une épée lorsque la déesse l’interpela.
Ô Copradur, mon frère ! Je souhaite que tu me construises un objet qui détruirait la beauté de mes ennemies.
Sans poser de question et sans attendre, le forgeron laissa ses domestiques finir l’arme et utilisa toute sa force pour frapper un métal magique. Il tapa constamment la matière rougie par le feu afin qu’elle reste modulable. Il frappa si fort qu’on entendait plus le volcan gronder. Il frappa pendant une semaine et un matin, il présenta son œuvre à sa sœur.
Voici un masque qui répond à tes attentes. Fais porter ce masque à ton ennemie et tu seras comblée, annonça-t-il avant de retourner à sa forge.
Dès lors, Ofnadwy redescendit parmi les hommes. Elle entra dans son temple et invita la belle Lleuada. La jeune femme ne pouvait refuser la convocation apportée par une prêtresse. Devant le lieu sacré, deux rangées de religieux formèrent un couloir. Elle embrassa Didwill qui l’accompagnait. Les amants entrèrent dans le temple. Lleuada et Didwill furent éblouis par la richesse et les trésors décorant les murs. Ils admirèrent les dessins sur les tapisseries qui racontaient l’histoire des Dieux. On proposa au couple d’approcher d’une table couvert de victuailles. Ils mangèrent les mets les plus succulents et délicats. Pour remercier la déesse, ils posèrent aux pieds de sa statue quelques feuilles de lauriers recouvertes d’un peu de leur sang, car telle était la tradition. A ce moment, à leur grande surprise, Ofnadwy se présenta.
Gardez vos pathétiques offrandes, cria-t-elle. Je ne veux que ta beauté Lleuada.
A peine avait-elle fini sa phrase, qu’un groupe de malabars agrippèrent le couple. Les uns pour empêcher Didwill d’intervenir, les autres pour retenir Lleuada. La déesse approcha de la jeune mortelle, sortit le masque de métal magique, et le posa sur la tête de la jeune femme.
Didwill ne put retenir ses larmes en entendant hurler Lleuada. Il essaya de réagir, de se débattre en vain. Cela dura une petite minute, une éternité.
Lorsqu’Ofnadwy retira le masque, elle fut ravie. Didwill pleura suppliant de la sauver, les prêtres et prêtresses demeurèrent choqués mais aussi heureux de voir que leur déesse était capable de telle prouesse. En effet, le masque avait retiré le visage de la belle femme. Il ne restait qu’une surface lisse, blanche et brillante à la place de son nez de sa bouche et de ses yeux. L’ensemble était collé au fond du masque.
La déesse partit en gardant le masque et son contenu comme trophée. On relâcha Didwill qui se précipita vers le corps inerte de Lleuada. Elle était morte, il ne pouvait rien faire. Dès lors, il s’enfuit et nul ne sait où. Certains diront qu’il chercha l’entrée de la montagne des Dieux pour se venger. D’autres, qu’il s’est saoulé avant de se jeter du haut d’une falaise.
En découvrant son acte, Copradur se sentit trahi par la demande d’Ofnadwy. Jamais il n’avait pensé qu’elle utiliserait ce masque contre une innocente mortelle. Il se sentit aussi coupable de cette tragédie. Pendant la nuit, il descendit de son volcan, entra dans le temple pour récupérer le corps de Lleuada et l’emporta avec lui.
Parce que tu as été belle, tu as subi la cruauté des dieux. Alors, je t’élève au rang de celle qui t’as tuée. Désormais, tu règneras la nuit et tout le monde pourra découvrir que tu restes encore belle.
C’est ainsi que Lleuada devint la lune. C’est ainsi que les hommes continuent d’admirer sa beauté même si son visage est caché dans un masque. On dit que la nuit, elle s’élève à la recherche de son visage. Mais chaque fois, Ofnadwy, toujours jalouse, fait apparaitre le soleil pour l’empêcher de le retrouver. Jusqu’à ce qu’elle soit dans les bras d’un de ses amants, alors, la lune réapparait pour chercher encore son visage tout en montrant aux hommes qu’elle reste belle sans.
Alex@r60 – août 2023
Photo : Barbara Steele dans le masque du Démon (1960)
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C A R T I E R
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Une chanson que j'adore…❤️🎶🎵🎶
Moi, si j'étais un homme, je serais capitaine
D'un bateau vert et blanc
D'une élégance rare et plus fort que l'ébène
Pour les trop mauvais temps
Je t'emmènerais en voyage
Dans les plus beaux pays du monde
Te ferais l'amour sur la plage
En savourant chaque seconde
Où mon corps engourdi s'enflamme
Jusqu'à s'endormir dans tes bras
Je suis femme et quand on est femme
On ne dit pas ces choses-là
Je t'offrirais de beaux bijoux
Des fleurs pour ton appartement
Des parfums à vous rendre fou
Et juste à côté de Milan
Dans une ville qu'on appelle Bergame
Je te ferais construire une villa
Je suis femme et quand on est femme
On n'achète pas ces choses-là
Il faut dire que les temps ont changé
De nos jours, c'est chacun pour soi
Ces histoires d'amour démodées
N'arrivent qu'au cinéma
On devient économe
C'est dommage, moi j'aurais bien aimé
Un peu plus d'humour et de tendresse
Si les hommes n'étaient pas si pressés
De prendre maîtresse
Ah, si j'étais un homme
Je t'appellerais tous les jours
Rien que pour entendre ta voix
Je t'appellerais "mon amour"
Insisterais pour qu'on se voit
Et t'inventerais un programme
À l'allure d'un soir de gala
Je suis femme et quand on est femme
Ces choses-là ne se font pas
Il faut dire que les temps ont changé
De nos jours, c'est chacun pour soi
Ces histoires d'amour démodées
N'arrivent qu'au cinéma
On devient économe
C'est dommage, moi j'aurais bien aimé
Oui, un peu plus d'humour et de tendresse
Si les hommes n'étaient pas si pressés
De prendre maîtresse
Ah, si j'étais un homme
Je serais romantique
Source : Musixmatch
Compositeurs : Diane Tell
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Bien le bonjour mes vaillants compagnons ! Je suis fort heureuse de vous annoncer que j'ai survécu à cette nuit dans la tempête, même pas froid. Et la voiture est étanche, c'est une bonne nouvelle.
Cette journée du 3 juin se passera avec une météo sacrément meilleure que celle d'hier ! (Bon, je ne mets pas la barre bien haut, certes, mais ça fait quand même plaisir !). J'aime bien la photo du dessous parcequ'elle résume pas mal les paysages des Catlins : de la mer, de la forêt, et des moutons ! (Sisi, au bout de la péninsule, ça fait travailler vos yeux)
Je commence donc la journée par un Martin pêcheur surprise, puis une petite balade sur la plage, où je trouve un magnifique Paua 🥰🥰 c'est comme les nacres de Villefranche, mais de la taille de ma main... Ils font beaucoup de bijoux à partir de ce coquillage ici d'ailleurs !
Ensuite, je fais plein de cascades, la plus belle étant sans conteste celle de McLean !
Celle ci avait un petit air de Brocéliande (pi les mêmes températures qu'en Bretagne en plein hiver tiens)
Ensuite, direction les wetlands, ça changeait totalement d'ambiance ! Pas le droit de quitter le chemin pour protéger les plantes ... Et de toute façon, j'ai l'impression que je m'y serais enfoncée jusqu'aux chevilles, pas de hors sentier pour la Touille aujourd'hui !
Je fais aussi un petit crochet par la forêt fossilisée de Curio Bay ! Je m'attendais à un truc sacrément impressionnant, mais à défaut d'arbres géants en pierre, l'histoire est super intéressante : des pluies énormes ont dévalé les pentes d'un volcan, se chargeant de silice, avant de traverser la forêt comme un raz de marée. La forêt est détruite, mais l'eau s'infiltre dans les cellules, chargeant de minéraux tout ce beau monde, et pouf ! Ça fait des chocapics fossiles pour la postérité 🤗
Là du coup, c'est un ancien tronc d'arbre en tranche horizontale ! Bon, les plus beaux spécimens sont conservés dans le musée à côté, les touristes ayant eu la fâcheuse tendance de casser des petits bouts pour les ramener chez eux ... Elle montait à un mètre de haut il y a une trentaine d'année apparemment cette forêt !
Ensuite, je passe par le point le plus au sud de toute la nouvelle Zélande ! Mesdames et messieurs, après ça, c'est l'Antarctique !! (Bon, techniquement, il y a quelques îles entre, mais chuuuut)
Et petite surprise alors que je suis au phare de Waipapa : des lions de mer !!
"Mais alors Touille", me demanderez vous, "comment fais tu la différence entre une otarie à fourrure et un lion de mer ?". Alors. J'avais un doute jusqu'à voir ces spécimens, mais la reponse est assez simple finalement. Si votre réflexe naturel est de faire "Ooooooow" en voulant le caresser, c'est une otarie, si c'est de vous reculer de trois (dizaines de) pas en vous disant qu'il va vous croquer la tête, c'est un lion de mer 😎 (fin de la leçon). C'est grand ces bestiaux en fait, ça monte jusqu'à plus d'une demie tonne ...
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Broches Celtiques
Les cultures celtiques anciennes et médiévales ont produit de nombreuses formes de bijoux, dont une catégorie distinctive est celle des broches, des fibules et des épingles. En l'absence de fermetures éclair et de boutons, les broches servaient à fermer les vêtements, à créer un arrangement de plis agréable ou à la mode, elles étaient portées comme des amulettes, ou elles étaient simplement présentées comme une décoration agréable, tant par les hommes que par les femmes. Certains modèles anciens, notamment la broche pénannulaire, sont restés populaires dans l'Europe du haut Moyen Âge. Deux des plus beaux exemples sont la broche de Tara et la broche de Hunterston qui, redécouvertes au 19e siècle, ont provoqué une nouvelle vague de popularité dans la conception de bijoux celtiques.
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Rayonnez et vous serez irrésistible! C'est en vous remplissant de belles choses que vous serez attirant. Croyez-moi, la bonté et la bienveillance brillent plus que les bijoux les plus beaux! Ce que vous êtes à l'intérieur se voit à l'extérieur. ... Un dimanche rayonnant et aux mille parfums du bonheur chers amis
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“Parure de Bijoux de Scène" ayant appartenu à Sarah Bernhardt et "Pagne et Pectoral pour Cléopâtre" en métal doré et strass (circa 1890) présentés à l'exposition “Sarah Bernhardt. Et la Femme Créa la Star” au Petit Palais, Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, juillet 2023.
#expos#inspirations bijoux#bijoux de tête#snake#hippocampe#strass#turquoise#Cleopatre#Pharaon#Bernhardt#MuseePetitPalais#MuseeBeauxArts
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« Les Fleurs du mal ont été lues par tout le monde. Il convient de ranger le livre au nombre de ces recueils prédestinés qui accompagnent les voyageurs inquiets jusqu'au terme de leur existence. Jamais personne n'a fait monter, dans une amère solitude, tant d'évocations nostalgiques. La nuit, la douce nuit s'approche. A côté des saisons blafardes, des fins d'automne, des hivers et des printemps boueux, surgissent les images du luxe et du puissant bonheur. Les chevelures grisantes et somptueuses, les parfums exotiques venus de lointains rivages sont des pièges voluptueux où la douleur elle-même se prend et s'endort. La contemplation des femmes détraquées aux yeux longs, les bijoux étincelant sur la chair nue, les regards noirs et verts où se marque une heure immobile versent au poète une anesthésie dont la fause plénitude laisse prévoir les sueurs du réveil. Frère de ces grands oiseaux souverains égarés sur la terre, Baudelaire subit la hantise des lieux inaccessibles, situés n'importe où hors du monde. Nul n'avait ressenti comme lui l'appel lancinant du voyage. Les ports remplis de beaux navires impatients, les tresses où se construit un hémisphère sous les tropiques, les esclave nus, le soleil sur la mer et les richesses luxuriantes de la nature le font rêver de paradis où rien ne viendrait plus le séparer des chères indolentes. Mais il reste là, perdu dans la foule, seul avec sa sombre détresse, assailli par l'horreur d'un sommeil traqué de mauvais rêves, enterrant de jeunes et belles mortes dans des cercueils parfumés de toutes les senteurs de l'Inde. Alors, il prête l'oreille au langage muet des étoffes, des fleurs, du ciel et du soleil couchant. Il appelle l'ivresse et le vertige qui lui feront oublier la terrible, constante et fugitive présence du temps; il appelle aussi la poésie. »
Kléber Haedens - Une histoire de la littérature française
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