#battle danse hip hop | Explore Tumblr posts and blogs

the-foxhole-clutter · 4 years ago

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I know nothing about ice skating, this is inspired by this post- https://linecrosser.tumblr.com/post/190820167616/figure-skating-au-with-kevin-and-aaron-for

This is almost definitely not how skating works but here's what I think the Foxes dance styles would be like. Someone who knows more about it than I do please correct me if I'm wrong about anything.

Neil- does really fast dances, very intricate moves, details, likes learning new tricks, fastest skater obviously

Andrew--lots of slow breathtakingly beautiful dances, but sometimes more up beat, casual stuff, manages to make it look easy. Thinks Kevin's dances are pretentious but has to admit he's good

Arron-- slow contempery, but with a bit of ballet kinda thing in there

Nicky-pop, hip hop, the cheesiest songs, his dances are mainly feel good, but also does some emotionaly packed ones sometimes.

Kevin-graceful, classical basically ballet on ice, when he gets more comfortable being with the Foxes and having a control over his life he does some contemporary stuff, but still mainly sticks to classics.

Dan- up beat, dances like it's her freedom, which it was before she joined the Foxes

Matt-did one to jazz once just because he felt like it

Seth-this is hard because I can't imagine him dancing really? Hip hop or r and b? Can u even do that on ice?

Allison-dances to Beyonce, goes overboard on the costume, her dances a feirce and bold, after all its a fuck you to her parents that she even skates very showy

Renne-simplistic but full of technicaly really hard moves, can also hip hop really well which surprises everyone

Jean-elegant and graceful, similar to Kevin, somehow manages to make his tall lanky frame look graceful. Classical until he learns with the trojans and learns new dance styles the ravens didn't consider proper dance

Jeremy-anything really but he of course enjoys really happy ones. Does more serious ones when Jean joins because he's sad that Jean seams constantly sad

People do figure skating in pairs right? So I guess they sometimes pair up... Matt and Dan obviously, their styles slightly overlap anyway so they work really well together, solid partnership right there.

Maybe Renee and Andrew do some dances together before people find out about Neil and Andrew, their dances are probably amazing, very technical (I say this like I know what I'm talking about--I do not)

That brings me onto Andrew and Neil, if you thought matt and Dan would be a great power couple on ice just wait for these two, they're amazing together, they probably create some controversy 'cause danse is like that, but they can still do lifts and everything because they're both small and Andrews strong

Jean and Jeremy would be a great pair. They can do beautifull feel good dances which help Jean learn to smile again and really moving dances too

I just had a thought.... Figure skating dance battles between the Foxes and the ravens!! Is that possible? I don't know. Also sorry to any actual figure skaters because I think I've just completely butchered ur sport here.

#aftg #all for the game #andrew minyard #kevin day #neil josten #aaron minyard #Nicky klose #dan wilds #matt boyd #alison reynolds #renee walker #seth gordon #jean moreau #jeremy knox #the foxes #the trojans #figure skating #andriel #I know nothing about sports

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loveyourlocalgirlgang · 3 years ago

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☽ INTERVIEW DJ - PUNKY ROSE ☾

Septième portrait de la série dédiée aux femmes DJ’S sur le site de Support Your Local Girl Gang …. Punky Roz, French alternative Artist /DJane/Dancer/Cosplay/ModelTransgender/LGBT/Feminist a répondu à notre interview Girl Gang !

Et vous a concocté une mixtape avec de la PsyTrance, du Hardstyle et du Hardcore, toujours mélangé avec les gros classiques Rock et Punk de l'époque, à écouter ici :

SupportYourLocalGirlGang · PUNKY ROZ - MIXTAPE for Support Your Local Girl Gang

Peux-tu nous raconter ton parcours et tes activités artistiques ? J'ai débuté le mix en 2007 lors de battle de danse sur Montpellier. Puis je me suis lancée dans la production en 2009 dans divers styles musicaux (Electro-Rock, Hardstyle et Psytrance principalement). J'ai fait plusieurs DJs contests dans la région montpelliéraine, mon préféré restera à jamais celui réalisé à La Villa Rouge qui était considérée comme une des plus grandes boîtes LGBT du sud de la France. J'ai également mixé dans des campings, bars musicaux et webradios, ainsi que dans plusieurs soirées caricatives (Secours Populaire, associations LGBT, centres d'hébergement pour SDF, Unis Cité, etc) En 2020, lors du confinement, j'ai pris quelques cours de mix auprès de la DJ NJ (anciennement Angie Coxx). Je suis également modèle photo et cosplayeuse.

Quand es-tu tombé.e dans la musique ? J'ai commencé à avoir une passion pour la musique dès l'enfance, il m'arrivait de me donner en spectacle dans le tramway en reprenant des chansons de Frédéric François et d'autres variétés françaises. J'avais également un oncle qui était technicien son et lumière qui m'amenait régulièrement dans les concerts dont il gérait la régie. Au collège, durant ma période rap, j'écrivais souvent des textes sentimentaux ou de problèmes sociétaires (harcèlement scolaire, dépression, absence parentale, etc). Au lycée, j'ai joué de la basse pendant quelques mois, et je me lancée dans la danse avec le hip-hop, la tecktonik et le shuffle que je pratique encore à l'heure actuelle. J'ai commencé à mixer d'abord pour ces battles de danse, et j'ai fait quelques productions également.

Tu te souviens de tes premiers.mp3 ? J'écoutais beaucoup de rap tel que Eminem, 50 Cent, IAM et Sniper lorsque j'étais au collège, puis je suis passée à un tournant plus Punk/Emo au lycée avec du Green Day, Linkin Park, Avril Lavigne et Tokio Hotel, et durant une période la Tecktonik.

Y a-t-il des artistes qui ont compté et t'ont donné envie de mixer ? J'ai eu de nombreuses influences au niveau musical. En DJs il y a eu Cut Killer, DJ Abdel, Daft Punk, David Guetta, Skrillex, DJ Furax et plus récemment The Chainsmokers. En chanteurs et chanteuses, j'adore Lady Gaga, David Bowie, Marilyn Manson, Andy Black et le groupe Kiss.

On parle souvent de la misogynie et LGBTQ+phobies dans la musique . Te sens tu investi.e d’un rôle par rapport à ça ? En tant que femme transgenre et lesbienne assumée, j'essaie d'exposer au maximum notre communauté à travers mes shootings photos, mes mixs, mes paroles et prochainement mes projets de clips. Je souhaite également collaborer avec des chanteuses engagées dans la cause féministe et LGBT. La scène féminine et LGBTQ+ a bien évolué en quelques années. Comment perçois-tu cette nouvelle vague qui secoue un peu les choses ? Grâce à des artistes telles que Hoshi, Suzanne, Angèle et bien d'autres, certains sujets sociétaires ont été dénoncés à travers les chansons, et cela a permis à certaines personnes de mieux s'assumer et revendiquer leurs droits. Tes artistes préféré.e.s du moment ? Mes artistes du moments sont Suzanne, Hoshi, Lady Gaga, Pomme, Angèle et Lil Nas X.

Avec quel artiste/dj aimerais-tu jouer? J'adorerais avoir l'occasion de mixer aux côtés du duo Pairplex (NJ et Jordan Patural). Ce sont deux DJs producteurs français qui m'ont énormément apporté de conseils. Sinon bien évidemment le must serait de collaborer avec les chanteuses que j'ai cité plus haut car leurs thématiques se rapprochent des sujets que je veux exposer à travers mon univers artistique.

Ton artiste queer préférée ? À l'heure actuelle, j'adore Lil Nas X, chacun de ses clips est un véritable chef d'oeuvre, ses textes sont assez provoc' et son look extravagant est très inspirant.

Une punchline / devise ? «Ils te jugeront de toute façon, alors laisse-les au moins te juger pour qui tu es réellement» Des endroits que tu recommanderais pour faire la fête (hors Covid)? Si vous passez du côté de Montélimar, n'hésitez pas à venir au club Les Voiles (lorsqu'elle aura réouvert), il y a de très bons DJs qui y sont passés tels que JC Nitro et Maddy Jay, qui savent vraiment mettre le feu à chacune de leurs prestations.

Tes prochaines actus ? Vous pouvez me retrouver actuellement tous les dimanches soirs de 23h à minuit sur la webradio Millenium FM. Je compte sortir un single durant l'automne 2021, j'ai déjà rédigé les paroles, mais il faut que je finalise l'instru et que je trouve un chanteur ou une chanteuse par la suite.

Que penses-tu de Support your Local Girl Gang ? Les médias et collectifs LGBT féministes sont encore trop peu nombreux en France, même si actuellement grâce à certains artistes ces sujets deviennent de plus en plus d'actualité, il est important d'exposer ces thèmes et s'investir pour revendiquer nos droits. Merci à vous pour cette interview, j'espère prochainement organiser des soirées au sein de votre collectif dès la reprise.

PUNKY ROZ DANS TES RESEAUX : FACEBOOK - INSTAGRAM

#transgender #queer #queer artist #djane #dj #supportyourlocalgirlgang

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caltropspress · 4 years ago

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FEEDBACK LOOP #1: Armand Hammer’s “Flavor Flav”

What are the Black purposes of space travel?

��Amiri Baraka, “Technology & Ethos”

Black futurism is a temporally troubled matrix Black futurism is a temporally troubled matrix that thrives on opposites and oppositions, flowing lines and nonlinearity, conflict resolution and asymmetrical warfare. It prefers the mad dash on shifting sands while in pursuit of higher ground and safe havens.

—Greg Tate, “Kalahari Hopscotch, or Notes Toward a 20 Volume History of Black Science and Afrofuturism”

Welcome aboard our spaceship, it’s so nice to have you here. —Newcleus, “Space is the Place”

Who, constructing the house of himself or herself, not for a day but for all times, sees races, eras, dates, generations, The past, the future, dwelling there, like space, inseparable together. —Walt Whitman

I’m so tired of being forced to promote the myth of white supremacy by performing works by old white men like Whitman who said blacks...didn’t have a place in the future of America. —Timothy McNair

Today is the shadow of tomorrow, today is the future present of yesterday, yesterday is the shadow of today. —Sun Ra, “Secrets of the Sun”

This highly allusive track from billy woods and ELUCID toys with itself—that is, allusions are a figurative means of collapsing time in and of themselves. Past and present history & culture don’t contend so much as support one another. A set of stilts to do the Dance of Death on, if you will. “Start downhill running.” The Seventh Seal hilltop silhouette danse macabre steez, though. The whooshing, metal-creaking beat—with all its haunted psithurism charm—is the backdrop for this sleeper Shrines track.

The name “Flavor Flav” is used metonymically here to mean time. This isn’t a braggadocio, low-key threat in the spirit of OC’s “Time’s Up.” This isn’t a Grandmaster Flashian “You Know What Time It Is” (though the hands on the clock tower do spin clockwise and counter-). Neither is this a Kool Moe Dee-esque rhetorical “Do You Know What Time It Is?” Armand Hammer are frustrated by time, by the “ideals and dreams that don’t work.” woods laments his “time machine [that] don’t go backwards.” This no-good lemon of a H.G. Wells contraption he’s steering. This isn’t some Christopher Lloyd-cum-El-Producto Delorean. There’s no Great Scotting going on, just stubbornness.

Progress isn’t made. Time stagnates. Like the “list of ill-fated quick licks under ’frigerator magnets.” And that “school trip permission slip”—likely a bus ride to a museum: a carefully curated collection of artifacts, most notable for its colonial muscling. The question remains: What is left out? What is excluded? What is ignored, discarded, or co-opted so as to not withstand the test of time? woods’ short-i assonance speeds the delivery up only to slow it down:

billy woods, son of a revolutionary, redefines Afrofuturism (re-re-re-defines��its brilliance is in how it remakes itself unconditionally). Afrofuturism becomes about birthing the next generation of Black revolutionaries, so he subverts the line and expectations when “big hand captured” refers to the clock, but “little man [not hand] chasin’” refers to a youngin. (Try to keep up.) Put the faith in the youth when our “ideals and dreams” stall out—when the days, months, years are fleeting and forceful (“It do tick faster / The hour coming rough”). The spliff that’s “[skinned] like an onion” turns the cypher into Perrault fairy tale “pumpkin,” Cinderella style.

“Don’t come ’round with that ‘Go slow’” is in conversation with Nina Simone’s “Mississippi Goddam,” of course. It’s Nina who said “[she] can’t stand the pressure much longer,” who objected to those who “keep on saying ‘Go slow,” who had her band ironically chanting Do it slow. billy woods, like Nina Simone, decries reformism, incrementalism. Don’t do things gradually. We’re at the point where Nina stands up from her piano bench and shouts That’s it!

Forego the telephoto lenses, he insists, this is the “Battle of Algiers with the GoPro.” Urban guerrilla warfare uploaded and disseminated via YouTube. Again, time collapses. The struggle to decolonize continues. Watch for the This video is no longer available dead-end.

billy woods’ Nietzschean “loathing and fear” reverses the hallucinogenic time-warp of Thompson’s (and, in filmic relation, Gilliam’s) Fear and Loathing in Las Vegas. “History is hard to know,” Thompson writes, “because of all the hired bullshit, but even without being sure of ‘history’ it seems entirely reasonable to think that every now and then the energy of a whole generation comes to a head in a long fine flash.” That flash will reappear in ELUCID’s verse.

If “all roads lead to Rome,” we’re settling into the inevitability of our moves. It’s a fatalistic shrug, but homophonically, all roads lead to roam—that is, the journey is prolonged interminably. It’s nomadic. Much static. So, naturally, you’re going to “[shake] the hourglass like a snowglobe,” distort time, and splurge on the “JC Penny Timex,” which is appropriately “flooded with rhinestones.” Flooded, because no more water: the fire next time. Don’t “lose track” and don’t “get trapped in the future.”

The chorus quotes the Rolling Stones’ “Time is On My Side,” but it ain’t that simple, no. The history is as messy as we’ve come to expect amerikan music to be. “Time is On My Side” was originally penned by Norman Meade (Jerry Ragovoy), and trombonist Kai Winding first recorded it. Jimmy Norman, a Black songwriter, fleshed out the lyrics significantly, and Irma Thomas recorded that version in the same year as the Stones. The song followed a path similar to that of “Strange Fruit”—a composition written by a white Jewish man under a pseudonym (Abel Meeropol as Lewis Allan) but popularized by a Black female jazz singer (Billie Holiday). As author Jess Row has said about jazz—hip-hop applies, too—it is “by its very nature multi-racial, intermingled, and collaborative across color lines.” But this cognizance must always be contextualized with views of Black artists like that of Art Blakey: “the only way the Caucasian musician can swing is from a rope.” Hip-hop has always had its Paul Cs and Rick Rubins, but the racial heterogeneity of a genre, or even a single recording, can’t cloak the power dynamics still in play. The Stones’ version of “Time is On My Side”—undoubtedly the most popular version—is a rip-off of Irma Thomas’ version. Mick Jagger even jacks Thomas’ ad-libs, which is to say, her rawness and spontaneity. Even the band’s shadowed faces on the cover of 12 x 5, the album on which the track appears, suggest the racial problematics, the minstrelsy heist. Armand Hammer mock the British Invasion blues filchers by adding “they” to the chorus line: “They said time is on my side.” They being white institutions (especially within music publishing, production, and recording industries) who promised enough airtime for everyone. They who urged patience. (Go slow!) But, as history shows, the profits only lined certain pockets.

ELUCID begins at the “golden hour,” which is both the photogenic beauty of the sky after sunrise and before sunset—a beauty too good to behold. It’s the sun glare shining in your face on the winter commute from work. It’s your high-speed accident and then the golden hour is the paramedics and doctors trying to salvage your corporeal existence. ELUCID’s verse is a hypnagogic jerk, gasping for breath as he takes a “portal to Orangeburg, ’68.” It’s a reference to the campus shooting of young people in protest—South Carolina State University. Unlike Kent State, which came afterwards, Orangeburg didn’t get the attention keening white women in Pulitzer Prize-winning photographs do, despite “live ammunition,” three dead, 28 injured, and “nine acquitted assassins.” Unnoticed. Black invisibility. Not that H.G. Wells type of invisibility—the Ralph Ellison kind.

We’re told what this is: it’s the aggregate stress (“the load of the allostatic”) of Black life. It’s one’s personal Extinction Agenda, the “post-traumatic” of the gunfire “flashes” that double as flashbacks. The pain, stress, the brain that can’t rest, the pressure on the chest.

“The center won’t hold” lets us know this isn’t all PTSD reverie—it’s a rebel poem: surely some revolution is at hand. ELUCID channels Achebe channeling Yeats. Things might fall apart but not without struggle. The “Flavor Flav clock spins centrifugal,” as a gyre, as an apocalyptic (91…) voice. Turning and returning. The words have an air of insurrection, proclamation.

He misses “watching how a flat circle fold”—it won’t budge, won’t wrinkle. We’ve been here before: on “Hunter,” on Paraffin, when billy woods was on that “time is a flat circle” shit. That Nietzsche eternal recurrence shit:

What, if some day or night a demon were to steal after you into your loneliest loneliness and say to you: “This life as you now live it and have lived it, you will have to live once more and innumerable times more; and there will be nothing new in it, but every pain…will return to you. […] The eternal hourglass of existence is turned upside down again and again, and you with it, speck of dust!

“Can you find the level of difficulty in this?” suggests game playing, arcades. Calls to mind more Walter Benjamin’s Arcades, though. billy woods and ELUCID are gleaners and magpies of cultural cadavers in Benjamin’s way. Their bars are play and critique both. We’re left with a modicum of optimism at the song’s end. Even “only [moving] the pen six inches” is something, is struggle. The “pale faces beyond the fire” are ever-present, though. The “flinching, panic, [and] confusion” are committed to continue.

Is it the fool or the insurgent who thinks time is on their side? We want the life we live to be “more brilliant than a sunbeam.” That’s to say, we don’t want to wait for the golden hour or the golden years. We want what they say we can’t have. We want what they say we shouldn’t imagine. But Armand Hammer helps us take solace in the “drum skin stretched”—the rhythm, the rebel. The oft-quoted Douglass gem, If there is no struggle, there is no progress, is played out for a reason. The reason is because it needs to be played again, and again. Like a mantra, like a song.

Images:

Sun Ra’s Space is the Place (screenshot) | Flavor Flav (detail), courtesy of archivist Sean Stewart | Grandmaster Flash “You Know What Time It Is” music video (screenshot) | Kool Moe Dee “Do You Know What Time It Is?” single cover | Nina Simone live at Antibes Juan-les-Pins Jazz Festival 1965 (screenshot) | The Battle of Algiers (screenshot) | The Rolling Stones 12 x 5 album cover | Flavor Flav, courtesy of Stewart

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capitanogiorgio · 5 years ago

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Les gars je viens de retrouver un CD que j’avais gravé avec des musiques quand j’étais en CM1 et lmao the JOURNEY. Si vous êtes intéressé.es par cette mixtape cervocosmik c’est en dessous.

1- Ola | Y-Zit

2- Dragon Ball | Ariane Brodier

3- Le Sud | Nino Ferrer

4- Dragon Ball Z | Ariane Brodier

5- Zelda’s Lullaby | Orchestra

6- Goodbye Marilou | Christophe Willem

7- Invencible Soy (Pokemon Advanced Battle) | David Moreno

8- This Dream (Pokemon Advanced Challenge | David Rolfe

9- Power Rangers Lost Galaxy (Instrumental) | Lior Rosner

10- Power Rangers Mystic Force | Chacka Blackmon

11- Redwall Opening | Jack Procher & Daniel Fernandez

12- K. K. Western (Animal Crossing) | Kazumi Totaka

13- Mon Essentiel (Le Roi Soleil) | Emmanuel Moire

14- Temperature | Sean Paul (si vous n’avez jamais vu de numéro de hip-hop/danse lors d’une kermesse de primaire et bien c’est fort triste)

15- Feel | Robbie Williams

16- Tortues Ninjas (Version Longue) | Peter Lorne

17- Dan Dan Kokoro Hikareteku (Dragon Ball GT) | Field of View

18- De Retour | M. Pokora

19- Olive et Tom | Jean-Claude Corbel

20- Olive et Tom, Le Retour | Mathieu Ouaki

21- Power Rangers In Space (Instrumental) | Shuki Levy

22- Go Green Ranger | Ron Wasserman

23- Angel | Robbie Williams

Voilà, playlist en or, ne me remerciez pas

#about me #cette playlist est grandiose mdr #Mixtape Tag

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urbanxreporterz · 2 years ago

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F . O . S battle dimanche 28 mai 2022 sur Marseille Jam party battle 1vs1 HIPHOP 1vs1 Popping 1vs1 bboying 2vs2 All styles Infos : @F.O.S.comcept F.O.S FREEDOM of the ORIGINAL STYLES Pour les valeurs et la culture HIP HOP #f.o.s.comcept #battle #marseille #danse #F_O_S_comcept #F_O_S #hiphop #dance #rap #music #gaff #graphiti #humanbeatbox #dj #djing #b.boy #bboy #break #breakdanse #popping #locking #urbanXreporterz #Freedomoftheoriginalstyles #FOScomcept #urbanXreporterz #pedagogHIPHOP #associationLEcollectifSOUTHpopper #southpopper #MRbenoitD #MRbenoitDevents (à Marseille, France) https://www.instagram.com/p/Co-hlj0Lh5v/?igshid=NGJjMDIxMWI=

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sakara-new-blog · 5 years ago

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Nael Omar, alias Naeboss, est un jeune danseur comorien qui a récemment gagné le concours Océan Indien Ye Mze Ndo dans sa catégorie, le Krump, mais aussi dans la Battle finale qui oppose les vainqueur de chaque discipline, à savoir le Krump, le Biboy et le New Style.

Son amour de la danse lui est venu alors qu’il était encore un enfant qui copiait les danses de Michael Jackson ou encore le coupé décalé. Dès lors où il est arrivé dans l’univers de la danse hip-hop, il n’a cessé de se tâter dans ses diverses disciplines avant de finalement trouver l’inspiration dans le Krump.

« Le Krump me permet de libérer mes émotions, aussi bien positives que négatives. L’instant d’une danse, j’oublie tous les soucis de ma vie quotidienne ».

Bien que participant à énormément de Battle de danse, son rêve serait de pouvoir partager et améliorer sa danse au contact d’autres danseurs de tout horizon.

#Krump

#ComoresDanse

#YeMzeNdo

#CreditPhotoTheInoLullaby

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meechdefrance · 2 years ago

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THS Night présents : Ghôst Flo Nation - Thème : Egypt to Caribbean Ground // 3 DECEMBRE 2022 📣📍 Venez découvrir 2 jour de plongeons artistiques dans les mondes du Ghôst Flow à l'occasion du Ancient Ground Battle organisé par le Too High Spirit https://too-high-spirit.assoconnect.com/collect/description/275180-x-ths-night-presents-ghost-flo-nation-theme-egypt-to-caribbean-ground-3-decembre-2022 Information > Programme complet : Au détail : VENDREDI 2 DECEMBRE 2022 Sortie Spectacle Sublime Avec la Compagnie Michel ONOMO @salle daniel fery , Nanterre 20h SAMEDI 3 DECEMBRE 2022 Ancient Ground Battle : special House dance Gwokâ et Hustle (disco) 14H 19H JURY Daneshiro DJS Prophet Rudy Foxx Battle costumé pour kidz Théme Egypt to Caraibes All Style Battle Hip Hop House Babacar Maui Serge Martina Eva +guests + surprise Hustle Dance Prix et surprise à gagner Special Prix pour le meilleur costume de l'apres midi Spectacle Afro- Caraïbeen : Groupe Gwada Kâ Danse et Chant Gwo Kâ SHOWCASE DAY THS Kidz THS Jr Ghôst Flo Nation Hicham dance Project Projet 8.0 Ayilé & April Speaker Meech Infos : ou email : [email protected] +33 627689766 Entrée 3 eu pour les adhérents 5 eu pour les non- adhérents (Faire le point en arrivant à l’entrée ) (à Too High Spirit) https://www.instagram.com/p/ClofnyDNePh/?igshid=NGJjMDIxMWI=

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tontonroseblog · 5 years ago

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ABOUT THE FLOW

Mais qu’est que c’est ?

Non je vous l’accorde il n’est jamais bien facile d’attribuer dans notre bien-aimé jargon français un terme qui défit aussi bien les mots anglais que les mots anglais eux-mêmes. On leur cherche des traductions qui ne veulent au final vraiment rien dire. Or, nous pouvons bien-évidemment leurs donner des noms simples et efficaces, je cite ; « ABOUT THE FLOW ».

Bon pour commencer, ABOUT THE FLOW c’est un événement qui a eu lieux à Lille le 2 juin dernier. Un battle de danse (jamais une), centré sur le flow, le groove et le côté freestyle du danseur. Il a regroupé 4 catégories de la danse Hip-hop (Break, House, Popping, Hip-hop), pour le plus grand bonheur de la communauté danse du Nord. Cette première édition c'est traduite par une belle réussite, pour ce concept on va dire très bien trouvé.

Événement organisé par le collectif Flow’Hers, composé pour l'occasion de 4 fabuleuses femmes citons ; Sarah Bidaw, Loutchy, Narimane et Cyss. Dans le cadre des Rendez-vous Hip-hop initiés au niveau national, par le ministère de la culture et à l'échelle de la région coordonné par le FLOW (Centre Européen des Cultures Urbaines).

About The Flow est une réponse à un appel à projet du FLOW auquel Loutchy a pris l'initiative de répondre. Le collectif Flow'hers fut retenu, les 4 artistes se sont ensuite réunis et ont lancer le projet qui se veut dans l'état d'esprit Flow'Hers 100% féminin et 100% FLOW.

Rebondissons sur le côté "100% féminin"

Les personnes hors milieu et étant dans le milieu ont cette tendance à penser que tout est fermé et que tout et dédié à un sexe majoritairement masculin. Les Flow’Hers elles, comme nous avons pu le constater, restent dans une optique très ouverte sur le fait que l’équité est peut-être la clé pour enlever ses stigmates constamment présents dans la culture urbaine. Un événement organisé par une team féminine n’a pas forcément besoin de fermer la porte aux hommes et vice-versa.

Il est juste en vérité très normal de mettre une extension de soi sous la lumière quand il ou elle ne l’est pas forcément souvent.

Le concept ABOUT THE FLOW, est par une finalité une redéfinition de l’art, que l’on transmet. Peu importe le sexe, l’originalité où le style. Il crée dans une continuité une ouverture à l’international par son nom choisi judicieusement mais également l'ouverture de l’esprit concernant un choix de Dj, juges, invitées et MC qui reste totalement spéciale. Entendons donc, expérimentées.

Pour conclure ce long discours sur l’importance de la qualité d’un événement par ses choix et son organisation, finissons sur cette magnifique pluralité qui a finalement donné un événement que nous ne manquerons surement pas, si le collectif Flow'hers réitère l'aventure et se décide de nouveau à nous partager leurs univers.

FLOW'HERS pour ET GIRL ❤️

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