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📣 C’est le grand retour d’Aya ! Aya de Yopougon vol.7 Marguerite Abouet et Clément Oubrerie @gallimardbd disponible au rayon BD de la @librairie_mollat #ayadeyoupougon @abouetmarguerite #clementoubrerie #librairie #mollat #bordeaux (à librairie mollat) https://www.instagram.com/p/CjBCkrVDS2z/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Critique du long métrage Aya de Yopougon de Marguerite Abouet & Clément Oubrerie
Le long métrage de notre marraine scénariste-réalisatrice Marguerite Abouet et du dessinateur Clément Oubrerie nous plonge dans une Afrique dynamique, vivante et moderne... et cela sur tous les points. L’émerveillement se trouve, entre autre, dans le texte, qui regroupe les deux premiers tomes de la bande dessinée. En effet, Marguerite Abouet dépeint avec un optimiste débordant le quotidien de la ville de Yopougon, alias « Yop City pour faire comme dans les films américains ». C’est précisément le quotidien de trois drôles jeunes filles : Bintou, qui préfère aller gazer au « Ca va chauffer », Adjoua, qui se prépare pour « une série C : Coiffure, Couture, Chasse au mari » et Aya, qui se retrouve à être l’intermédiaire pour arranger les soucis de ses deux meilleures amies et désire être médecin malgré le désaccord de son père… Elles ont 19 ans, toutes leurs dents et des caractères bien trempés comme les bananes plantins que l’on frit pour faire le claclos ! Marguerite Abouet n’approche d’aucune façon les stéréotypes de l’Afrique que l’on peut retrouver dans les médias tels que la guerre, le sida,… Au contraire, certaines répliques sont cinglantes avec un humour dévorant tout comme le vocabulaire ivoirien qui parcourt tout le film. Il faut se mettre à jour dans les expressions : « gazer », « dêh », « décaler ». Alors les parigots, commencez dès maintenant par vous appeler « go » et «môgô »…
Les dessins de Clément Oubrerie contribuent au charme de ce film. Ce dessinateur, qui fait parti du trio d’Autochenille Production avec Joann Sfar et Antoine Delescaux, connus et reconnus pour l’excellent Chat du rabbin, reste fidèle à son style de coup de crayon dans les 6 tomes de la bande dessinée. Les dessins sont fins, simples et drôles, particulièrement dans les démarches à la fois lentes et langoureuses des personnages. Plus les « tabassas » bougent, plus on rit ! L’univers de la bande dessinée est parfaitement retranscrit et cela grâce à la scénariste qui s’est inspirée de sa propre gestuelle pour donner une base aux animateurs. On ne peut parler des dessins sans nommer les couleurs. C’est un spectacle visuel, elles font pétiller les yeux. D’autant que l’histoire se déroule en 1978, année marquée par l'arrivée de la télévision. Les publicités vintages en prises réelles font partie intégrante du décor et tapissent les murs blancs des habitations de Yopougon. Il y en a tout au long du film et on apprend alors que la bière est bonne pour la santé ! A bon entendeur… Le mélange des publicités et des dessins se fond à merveille avec l’ambiance générale.
Tout en parlant d’ambiance, on ne peut passer à côté du son. La musicalité se retrouve dans les voix des personnages, interprétés par Marguerite Abouet (Fanta) elle-même mais aussi Aissa Maïga (Aya), Tella Kpomahou (Bintou) ou encore Jacky Ido (Ignasse, Hervé, Moussa,...). Même si les comédiens ne sont pas tous ivoiriens, cela n’enlève rien au charme du film mais souligne au contraire sa dimension cosmopolite. Tout comme la bande son qui rythme les nombreuses péripéties des protagonistes. Les musiques sont à la fois mélancoliques et entrainantes, se mariant très bien aux couleurs et au vocabulaire ivoirien, haut en couleur lui aussi! Elles peaufinent en beauté l’univers dans lequel nous plonge Marguerite Abouet. Nous ne pouvons alors que nous trémousser, ou encore nous « décaler » sur des sons afro-cubains, de chachacha, ou de crooners ivoiriens. La plupart des musiques du film sont des souvenirs qui ont marqué l'enfance de l'auteur, symboles d'une époque où la liberté était plus grande, plus vaste, plus accessible...
Alors, à partir du 17 juillet, venez-vous enjailler au cinéma pour ce film qui nous fait entrer dans les seventies. Si vous ne partez pas en vacances, c’est une bonne occasion de voyager durant une heure et demie. En sortant vous n’aurez qu’une envie : aller manger des allocos dans un maquis de Yopcity… Si vous voulez prolonger ce délicieux voyage, vous pouvez toujours lire les 6 tomes de bande dessinée. Pour les plus motivés, ils ont été traduits dans 15 langues différentes… A vous de voir !
Sur le site Croq’Anim.
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Spotted dans le dernier Forbes : Prési 🙌😍 cc @elprofessorxavier #margueriteabouet #forbes #deslivrespourtous #ayadeyoupougon #akissi #starsystem
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Comment: mllekeys said "No words . #aissamaiga #ayadeyoupougon #senegal #afrique #blackisbeautiful #actrice"
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