#avant que l'ombre
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Rêver, Avant que l'ombre Live, Mylène Farmer (2006)
#My funeral song#Song of a lifetime#og inspiration#the emotion#Mylène Farmer#Rêver#Avant que l'ombre#je l'aime si fort ♥#Youtube
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Mylène Farmer - Désenchantée (Live from Avant que l'ombre... à Bercy) - HD
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#drag race france#drag race belgique#paloma#I love the Mylène avant que l'ombre à bercy inspired hair❤️
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Mylène Farmer - Avant que l'ombre...
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Fun BSD French translation details and choices - Episode 21 (by someone who does not understand Japanese but thinks the differences with the English translation/subtitles are fun)
General notes: (get comfortable, Stuff Happens and blorbo is here)
A lot of weird little things today. Kouyou said she was delivering Dazai's message to Mori "to thank the ADA for their hospitality". Mori talks like he's mistaking Dazai's tan coat for the coat he gave him years ago and is delighted Dazai still wears it. Dazai says he only recently learned about the thinkers Mori mentions. Stuff like that, that shifts time or intent slightly.
Dazai's final jab to Mori was "les monstres ont tendance à croire que les autres sont des monstres également" (monsters tend to think others are also monsters).
Soukoku's name in French in the anime is "Double Noir", literally "Double Black" (though 'noir' can mean both 'black' and 'dark'). Fun fact: on the French wiki, they are also listed as "les jumeaux de l'ombre" (twins from the shadows).
After nullifying Steinbeck's ability, Dazai says "Oh, le salopard!~" (Oh, that bastard!~), as if he's sarcastically replying to Steinbeck's shock at Dazai's ability, instead of complaining about having to deal with Chuuya.
When Chuuya asks Dazai if he knows was a Pétrus is, Dazai actually answers and says yes he knows, it's an extremely pricey bordeaux (Oui, c'est un vin de bordeaux extrêmement coûteux).
Dazai call Q "the sleeping princess waiting to be saved" (la princesse endormie qui attend d'être sauvée). Chuuya sneers "yeah, talk about a sleeping princess" (ouais, tu parles d'une princesse endormie).
"Écoute, tant que Q sera en vie, vous aurez besoin de mon pouvoir pour désamorcer le sien; je vous serai des plus précieux, et la Mafia veilleras sur moi comme une tendre mère poule" (Listen, so long as Q is alive, you will need my ability to disarm hers*; I will be invaluable, and the Mafia will watch over me like a sweet mother hen.) (*Q is a girl in the French dub)
Skk's plans are called "Remords et crapaud" (Remorse and Toad), "Pluie derrière le treillis" (Rain Behind the Trellis), "Mensonges d'une fleur décorative" (Lies of a Decorative/Fake Flower) (side note: they all sound like one of them has to hide and/or cause a diversion...)
"Listen Chuuya... I have one last thing to ask you before I die..." (Écoute Chuuya... j'ai une dernière chose à te demander avant de mourir...)
Chuuya refers to using Corruption like it's a strategy name like the other 3 were just before. It's also called Pollution, which is the same word in both English and French. It sounds less cool than Corruption (which would also be the same word in French), but it does fit the tainted+ vibe. Dazai does later refer to it as "Chuuya's corrupted form".
Ô, pourvoyeurs de pollution noire, Autorise-nous à lui fermer les yeux à tout jamais. (O , purveyors of dark pollution, Allow us to forever close their* eyes.) (*singular, unspecified gender pronoun in French)
Today's quotes:
VF: Alors c'est quoi ce tentacule? Un caprice de la nature? (So what's that tentacle then? A freak of nature?) Eng: If it's not an ability, then what is it?
Dazai: Le choix te reviens, mon vieil ami. (The choice is yours, my old friend.) Chuuya: Le choix me revient, le choix me revient... c'est facile à dire ça. En plus, je sais que quand tu prononces ces paroles, c'est que nous n'avons justement plus d'autres choix. (The choice is mine, the choice is mine... that's easy to say. Plus, I know that when you say those words, it's because we don't have any other choices left.) Eng: I'll let you choose. // You'll let me choose? Whenever you say that, I never actually have another choice.
Chuuya: Je me suis servi de ce pouvoir parce que je te faisais confiance, et toi...! Tu as intérêt à me ramener à la base, si tu veux que je... te pardonne un jour... (I used that power because I trusted you, and you...! You better bring be back to base, if you want me to... one day forgive you...) Dazai: Tu peux compter sur moi, coéquipier. (You can count on me, teammate/partner.) Eng: I used Corruption because I trusted you. You... better take me... to the extraction point... // You got it, buddy.
#bsdrewatch2023#bsd french dub adventures#bsd#bungou stray dogs#apparently i talk sometimes#THAT TOOK FOREVER#that's fine it's because i have things to share
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Ils m' appellent sorcière... Parce que je perçois ce qui les effraie tant... Je ne lis pas en eux comme dans un livre ouvert... Mais je sens la noirceur de leur âme... J'ai connu la mort avant la vie... Je n'ai cependant aucun don... Tout au plus maudite par mes ancêtres... Je n'ai pas de maître, ni d' adorateurs... Je suis un électron libre qui cherche sa place... Un voile me sépare de la réalité... J' aperçois les ténèbres tapies dans l'ombre... Cette sensation de ne pas être humaine... Ou justement trop... Je ne sais plus avec le temps... Si ma folie grandit ou si les autres deviennent fous... Je l'avoue... Mon regard est étrange... Ma peau souffre sous la chaleur du soleil... Pourtant les nuits d'été je reviens à la vie... Et je rêve de mourir à nouveau... Dans des bras pâles... Bercée par une voix d'outretombe... Autre que la mienne... Je parle parfois aux morts... Aucune réponse... C'est juste mes pensées qui dépassent mon imagination et mes désirs... Je voudrais juste une fois toucher l' irréel... Entendre sa voix... Me damner pour qu'elle revienne... Passer n'importe quel pacte pour revoir son sourire... Me rappeler ce qu'est le véritable amour... Comment vivre avec son fantôme qui me hante... Ce reflet qui lui ressemble...
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LES NEWS (recherche de staff & discord)
Hello hello, Déjà avant toute chose, vous êtes désormais plus de 70 à suivre le tumblr du projet, c'est juste incroyable. En lançant mon idée en l'air, je ne m'attendais pas du tout à ça. Merci à tous.tes pour votre engouement <3 RECHERCHE DE STAFF Comme vous le savez, je suis actuellement seule à porter le projet (et je remercie d'ailleurs toutes les petites aides de l'ombre en terme de brainstorming). Cependant, porter le forum à moi seule ne sera pas viable sur le long terme et il n'ouvrira pas ses portes sans des petits bras solides pour m'aider. Si le concept vous plaît, que vous êtes chaud.e patate, vous trouverez toutes les infos et le formulaire juste ici SERVEUR DISCORD
Pour les plus aventureux.ses, vous êtes le.a bienvenue pour rejoindre le serveur discord du projet. Il vous permettra de peaufiner vos idées, prendre vos marques, faire connaissances, mais aussi avoir quelques news et spoilers en avant-première. (NB: le serveur discord est voué à devenir secondaire une fois le forum ouvert, tout sera centralisé sur le forum, y compris pour les questions & recherches de liens. Il ne sera là que pour faire office de chatbox. Vu que ça peut faire peur, c'est toujours mieux de le préciser) AVANCEMENT - Toutes les annexes créatures (jouables ou non) sont prêtes. Si vous avez loupé l'info, vous disposez d'un aperçu des créatures jouables juste ici. - Il y aura un total de 4 à 5 organisations qui permettront de magouiller en douce. Les annexes sont en cours de rédaction, tout comme les infos sur le système de jeu. - Niveau visuels, le codage avance très bien également (à savoir que toute la structure du forum est déjà prête aussi).
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À la Mémoire de JEAN BENJAMIN
Repose en Paix
Nous adressons nos plus sincères condoléances à la famille, aux amis et aux admirateurs de Jean Jacques Benjamin, un musicien de l'ombre dont la lumière a brillé intensément dans les domaines de la musique et de la culture haïtienne. Né le 14 septembre 1931, Jean Benjamin n'était pas seulement un chanteur, mais aussi un pianiste et compositeur profond. Son décès le 2 mai 2024 nous a laissé un vide qui ne pourra jamais être comblé, mais son héritage résonnera à jamais à travers sa musique et les vies qu'il a touchées.
La voix de Jean était un phare d'inspiration et de joie pour un groupe élite de mélomanes, portant la riche histoire et l'esprit vibrant d'Haïti à travers les générations et les frontières. En tant que chanteur principal pour l'Orchestre Riviera Hotel sous la direction du Maestro Edner Guignard dans les années 1950, aux côtés de légendes telles que le regretté Guy Durosier, Jean Benjamin a mis en avant l'essence de la musique Big Band haïtienne, captivant les cœurs et les âmes avec des standards de Boléro haïtien jazzy et des compositions originales.
Ses mélodies, de la poignante: "Gisèle" dédiée à sa première épouse à l'émouvante: "L'amour", sont des trésors intemporels qui continuent d'inspirer et d'élever. L'art de Jean était un pont, reliant le passé au présent, la tradition à l'innovation. Sa musique, immortalisée par des enregistrements et des performances, reste un témoignage de son talent extraordinaire et de sa passion inébranlable pour son art.
Nous sommes reconnaissants pour les souvenirs, la musique et l'héritage que Jean Jacques Benjamin laisse derrière lui.
À son frère—Dr Rodrigue Benjamin et Famille
À ses enfants—Ylder Benjamin, Esmeralda Benjamin Laraque, Claudette Benjamin, Jean Jacques junior Benjamin, Grevy Benjamin, Esther Benjamin.
Aux petits-enfants—Marcus Benjamin, Laurent Laraque, Sebastian Laraque, Christopher C. Raymonvil ; et un arrière-petit-fils ;
À ses neveux et nièces—Jean René Foureau et famile; Hervé et Ketly Foureau Dorsinville; Marlene Benjamin et famille; Caroline Benjamin Fleurimont et famille;
Franklyn Benjamin Jr et famille; Frankline Benjamin et famille; Nadine Benjamin et famille; Gregoire Benjamin et famille; Sandra Benjamin et famille; Patrice Benjamin et famille
À — Gilbert Laraque, Robert-Charlot Raymonvil et toute la famille élargie
Aux amis proches —Serge Morel, Leopold Molière aka Yoyo,
nos pensées vous accompagnent en cette période difficile. Puissiez-vous trouver du réconfort dans le fait que l'esprit de Jean continue de vivre à travers sa musique et les innombrables vies qu'il a touchées. Sa vie a été bien vécue, et ses contributions à la musique et à la culture continueront d'être célébrées pour les générations à venir.
Repose en paix, Jean Benjamin, une véritable légende dont les mélodies résonneront à jamais dans le cœur de ceux qui ont eu le privilège de vivre votre art.
#SGLmt
#Haitilegends
__________________
In Loving Memory of JEAN BENJAMIN
Rest in Peace
We extend our deepest condolences to the family, friends, and admirers of Jean Jacques Benjamin, an unsung music man whose light shone brightly in the realms of Haitian music and culture. Born on September 14, 1931, Jean Benjamin was not just a singer, but a profound pianist and composer. His passing on May 2, 2024, has left us with a void that can never be filled, but his legacy will forever resonate through his music and the lives he touched.
Jean's voice was a beacon of inspiration and joy for an elite group of melomanes, carrying the rich history and vibrant spirit of Haiti across generations and borders. As a premier vocalist for Orchestra Riviera Hotel under the direction of Maestro Edner Guignard in the 1950s, alongside legends like the late Guy Durosier, Jean Benjamin brought the essence of Haitian Big Band music to the forefront, captivating hearts and souls with jazzy Haitian Bolero Standards and original compositions.
His melodies, from the poignant "Gisèle" dedicated to his first wife to the stirring "L'amour," are timeless treasures that continue to inspire and uplift. Jean's artistry was a bridge, connecting the past with the present, tradition with innovation. His music, immortalized by recordings and performances, remains a testament to his extraordinary talent and his unwavering passion for his craft.
We are grateful for the memories, the music, and the legacy Jean Jacques Benjamin leaves behind.
To his brother—Dr Rodrigue Benjamin et Famille
To his children—Ylder Benjamin, Esmeralda Benjamin Laraque, Claudette Benjamin, Jean Jacques junior Benjamin, Grevy Benjamin, Esther Benjamin.
His grandchildren—Marcus Benjamin, Laurent Laraque, Sebastian Laraque, Christopher C. Raymonvil; and one great-grandchild.
To his nephews and nieces—Jean René Foureau et famile; Hervé et Ketly Foureau Dorsinville; Marlene Benjamin et famille; Caroline Benjamin Fleurimont et famille;
Franklyn Benjamin Jr et famille; Frankline Benjamin et famille; Nadine Benjamin et famille; Gregoire Benjamin et famille; Sandra Benjamin et famille; Patrice Benjamin et famille
To —Gilbert Laraque, Robert-Charlot Raymonvil and the entire extended family.
To his close friends:—Serge Morel, Leopold Molière aka Yoyo,
our thoughts are with you during this difficult time. May you find comfort in the knowledge that Jean's spirit lives on through his music and the countless lives he touched. His was a life well-lived, and his contributions to music and culture will continue to be celebrated for generations to come.
Rest in peace, Jean Benjamin, a true legend whose melodies will forever echo in the hearts of those who had the privilege to experience your artistry.
Sandra Gabriel Lmt
#SGLmt
#Haitilegends
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From Jean Benjamin with Love!
https://on.soundcloud.com/iTeJGcL9F1EzMMS16
Voici quelques musiques supplémentaires.
Grevy Newton Benjamin
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Explore # 👈🏾
#JeanBenjamin
#JeanJacquesBenjamin
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𝟿𝔱𝔥 𝔪𝔬𝔬𝔫 𝔰𝔢𝔞𝔯𝔠𝔥𝔦𝔫𝔤
Instant pub, les ami·es. Car 9th moon, c'est la maison, un forum rpg med-fan cosy à la commu a-do-rable. Des inspirations à la frontière entre the witcher, bottero, lotr, the fitz and the fool. On attend plus que v o u s. Je vous présente ici quelques recherches, magnifiées par les icons de memory card VIII.
🗨️ 𝔴𝔢 𝔴𝔢𝔯𝔢 𝔞 𝔣𝔞𝔪𝔦𝔩𝑦. ( Lil, 1f )
attendue par Nelis et Jasper Aurdoza.
Rêveuse, elle en avait le caractère avant d'embrasser le pouvoir de l'imagination et du dessin. [...] Elle a disparu depuis ce début d'année, sans qu'on sache si c'est un enlèvement.
🔥 𝔡 𝔦 𝔳 𝔦 𝔫 𝔢 𝔬𝔯𝔭𝔥𝔞𝔫𝔰. ( m ; f ; n ; 1 / 5 )
KEYWORDS. orphan, gosses comme des armes, chaos, f i m j i r, sorcellerie, sacrifices, flames. attendu·es par Elio, Nithya, Morwen et Ashara.
L'orphelinat d i v i n e, murs éclatés aux froideurs noctambules, le brasier toujours avivé aux abords du jardin, les cris des gamins qui se sont tus. Il y a là quête d'une armée, gosses récupéré·es sur les bords de la route, esseulé·es, éperdu·es, qui finissent par se vautrer dans le silence et la peur, avant les ardeurs de la mort.
🌙 𝔪𝔬𝔬𝔫 𝔞𝔫𝔡 𝔰𝔱𝔞𝔯. ( 2f )
(en cours) KEYWORDS. famille, troubled peace, soldats, gathering storm, équilibre attendues par Beren Azantys.
The Moon. f 50yo+ ;; Elle est la glace, il est le feu. Elle est son phare dans la tempête, celle qui le raccroche aux choses essentielles. Il doute parfois, Beren. Elle, jamais. The Star. f 25yo ;; Tempérament flamboyant, petite fille devenue jeune femme. Son père éprouve des difficultés à la laisser voler de ses propres ailes. Il veut la protéger, elle le défie.
🏴 𝔭𝔬𝔲𝔡𝔯𝔢 𝔫𝔬𝔦𝔯𝔢. ( m ; f ; n )
KEYWORDS. dark flames, cœur de lion, homme de l'ombre, secret lies. attendu·e pa Ringer Bellona.
Il garde le corps et les cœurs, ombre parmi les ombres, la plus loyale de toutes, celle qui a tout vu, tout compris, tout acquis, sans pour autant avoir pris parti. Le laëris est connu pour son goût prononcé pour les secrets et la droiture.
🗯️ 𝔲𝔫𝔠𝔥𝔬𝔬𝔰𝔢𝔫 𝔣𝔞𝔪𝔦𝔩𝑦. ( 2m )
KEYWORDS. famille dysfonctionnelle, laeris, politique, riche, âmes en peine, rage, docilité attendu·es par Iris Dragan.
Père. m 50yo+ ;; Homme riche, statut élevé, il a pourtant fait un mariage d'amour. Sa femme, c'était son joyaux, sa lumière. [...] Retrouvailles... Elle, libre et lui, ivre de rage qu'elle soit partie. Jumeau. m 31yo ;; Iris et lui étaient proche, fusionnels. Et puis, elle l'a abandonné. Juste une note dans son lit pour lui dire au revoir. Parce que ça aurait été trop dur pour eux deux. Elle ne sait pas s'il lui en veut, aujourd'hui. Peut-être. Il en aurait le droit.
#forum rpg#projet forum rpg#forum francophone#jdr#med-fan#pub rpg#recherche de pré-liens#forum rpg francophone
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Épisode 9
Le lendemain, Gabin se tenait devant la fenêtre du salon, sa cigarette lui brûlait les doigts, il restait immobile, l'air absent de toutes pensées.
Il s'assit sur le canapé, puis vérifia son sac de voyage remplit de ses dernières emplettes. Gabin vérifia encore une fois ses papiers d'identité. Tout était en ordre , il était prêt à partir, il n'avait plus qu'à poser les charges d'explosif, bien réparties il ne resterait plus grand chose de cet appartement. Il était content de son dernier repas , il l'avait dégusté avec ferveur, il savait que c'etait sa dernière tranche de foie avant de tout faire péter.
Gabin se souvint soudainement du soir où ils avaient fait l'amour sous une porte cochère, c'était à l'initiative d'Amelie, il avait cèdé volontiers à ses désirs. Ils avaient beaucoup rit en aperçevant les caméras au-dessus de leurs têtes.
En pensant à cette soirée, il plaçait tranquillement ses charges explosives , il en plaça deux sur le congélateur où se trouvait le corps d'Amelie.
Il se servit un verre de vodka.
- nous-y voilà ! une page de tournée ! grogna t-il
- à l'avenir ! dit-il en levant un verre à nouveau remplit
C'était en novembre denier, ils avaient loué une maison pour quelques jours, arrivés là-bas, trempés par la pluie, Gabin se souvient que le maquillage d'Amelie coulait sur ses joues ce qui lui donnait un air sauvage. Gabin se souvient très bien qu'il s'était demandé si elle allait lui arracher ses vêtements, le gifler, le fouetter, ses phantasmes tournaient en boucle à cet instant là.
Amelie l'avait plaqué contre un mur et dit:
- je t'aime
Sans qu'il comprenne comment il se retrouva Allongé avec son amie au-dessus de lui , elle avait jouit en criant, il s'en souvenait très bien.
Ils étaient restés l'un contre l'autre, haletant, il lui avait caressé les cheveux en lui murmurant des mots doux à l'oreille.
- Tu es heureuse ? avait-il demandé
- Hum ! ouï peut-être
- ne me dit pas non ! ...
Amelie sourit en écartant une mèche de son oeil
- idiot ! rétorqua t-elle
C'est pendant ce séjour qu'il avait pris la décision de l'empoisonner quand ils reviendraient. Il n'était pas sûr d'elle et il savait qu'il manquait de confiance en lui. Il ne voulait plus être quitté, alors il agirait.
Je vais te montrer une de mes vidéos que j'ai apporté lui avait dit Gabin avant de l'embrasser.
Elle s'était enveloppée dans une couverture et s'était installée devant le poste.
Gabin l'avait trouvé très belle, il avait préparé un plateau pour eux deux. Il expliqua rapidement que c'était l'histoire du dragon, de la femme du dragon avec une tête de vampire.
Sur l'écran, la ville apparue toute illuminée, la musique étrange annonçait le dragon arrivant de loin, il se dirigea vers la cathédrale, il dépassa un grand pilier puis traversa une esplanade pour entrer dans l'édifice. Le monument est tellement haut qu'il donne l'impression de toucher le ciel.
Un homme surgit de l'ombre , il grimpa sur le dragon puis il lui transperça le dos en lui assenant des coups d'épée.
Le dragon dans un sursaut le fit tomber.
A ce moment là, Gabin pensa à sa mère, étant sûr que le dragon c'était elle. Petit il sentait les muscles de sa mère quand elle le serrait très fort. Elle lui transmettait certainement ses désirs, son amour. Il se rappelle qu'il étouffait dans ses bras là . il aurait aimé être à la place de l'homme sortit de l'ombre mais à l'époque il était trop petit.
Un autre personnage assistait au loin à la scène mais on le distinguait très mal.
La vidéo avait connu un succès d'estime , elle était virale sur le net. Grâce à ce court métrage, Gabin eût une certaine reconnaissance.
Ils restèrent affalés devant la télé.
- le tatouage du dragon ça vient de là ? demanda Amelie
- Oui...
Et il avait rajouté :
- ça me rapporte du fric et j'y tiens c'est sentimental
- j'ai aimé ton film dit Amelie
Gabin se souvint qu'il était parti dans ses pensées.
Il ne voulait pas être quitté, il tenait à elle comme à la prunelle de ses yeux , tout mais pas cela alors quand ils reviendraient il l'endormirait pour toujours.
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" Oasis "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Desert King Sir Crocodile.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Crocodile était puissant dans tous les sens du terme, que ce soit de part le fruit du démon, le Suna Suna no Mi, qu'il avait mangé lui conférant ainsi les pouvoirs d'un homme sable ou son charisme et intelligence qui lui permirent de créer une organisation criminelle redoutée de tous, le Grand Corsaire s'en sortait à merveille. Il gérait son entreprise d'une main de fer, veillant à ce que son nom ne soit que rarement cité ainsi que ceux de ses employés. Certains ne furent même jamais découverts. Mister 1 n'était pas l'unique exemple, de même pour Mister 2, il existait tant d'autres agents qui agissaient dans l'ombre, et, sans surprise, Crocodile avait ses favoris. Ceux-ci se faisaient d'autant plus discrets. L'un d'entre eux n'avait jamais vraiment fait parler d'elle, si Crocodile aurait dû la décrire utiliser l'adjectif : agent fantôme aurait été le plus approprié. Et pour cause, grâce à ses attributs physiques, elle ne laissait jamais rien sur son passage, son efficacité n'avait aucun égal. Et, aux yeux du Grand Corsaire -qui n'étaient peut-être pas aussi objectifs qu'il l'aurait cru- sa présence lui était indispensable.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟒,𝟓𝟖𝟗.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Rain Dinners, comme à son habitude, prospérait. Malgré l'heure tardive, la lune brillant haut dans le ciel, les clients provenant des quatre coins du nouveau monde affluaient avec une vigueur consternante. Les temps n'étaient pas aux problèmes financiers et psychologiques mais plutôt à l'amusement et à l'argent, il était question de jouer à en avoir des ampoules au bout des doigts, à boire quitte à se mettre trembler et chuter, de draguer et de fanfaronner. Ça, les habitants et vacanciers de Rainbase l'avaient bien compris. Voilà pourquoi, au lieu de rester chez eux et de jouir de leurs biens déjà acquis, ils s'étaient tous réfugiés dans cette pyramide à l'aspect alléchante et perdus parmi des montagnes de jetons et de machines.
Le bruit incessants de ceux-ci brisait les tympans des employés, pourtant habitués à ce boucan infernal, beaucoup étaient étourdis, la vue trouble et le corps couvert de sueur. Ils restèrent professionnels. Le lieu était réputé non seulement pour ses divertissements inégalables, mais aussi son service irréprochable.
Malgré l'absence du patron dans la salle principale, les employés ne purent souffler, sentant les quatre coins du casino les écouter et épier leurs moindres mouvements. Ils se résolurent à afficher leur plus joli sourire et à obéir au doigt et à l'œil des consommateurs. Ils guidaient des clients perdus, rendaient services en en rafraichissant certain ou s'occupait de superviser des parties de poker.
Et si le Grand Corsaire manquait à l'appel, c'était tout simplement parce qu'il était occupé ailleurs, vagabondant dans les couloirs souterrains du QG de son organisation secrète. Crocodile était seul, livré à lui-même.
Pas de Nico Robin en vue, pas de membre de Baroque Works traînant dans les parages, l'endroit était désert. Seul le bruit des Banana-crocos flottant sur sa droite, sa gauche, sous ses pieds ainsi qu'au dessus de sa tête rythmait le bruit de ses pas. Crocodile ne les regardait pas. Leur taille était pourtant impressionnante, un seul coup d'œil aurait suffit à pétrifier une armée entière. Leur couleur verte marais contrastait avec le bleuté de l'eau dans lequel ils résidaient. Les Banana-crocos imitaient Crocodile, néanmoins, pas pour les mêmes raisons. Car tandis que le Grand Corsaire les ignorait par pure lassitude, les créatures marines, quant à elles, cherchaient à l'éviter le plus possible. Non pas en se reculant de lui et en le fuyant ⸺cela aurait attisé sa colère⸺ mais en détournant constamment le regard et en faisant mine de ne pas l'avoir remarqué.
Cet accord durait depuis déjà un an.
Crocodile les nourrissait, faisait nettoyer et leur eau quotidiennement, tout ça pour qu'en retour, ils lui servent de décoration. Et les créatures ⸺pourtant à la force physique monumentale et à l'appétit monstrueux⸺ s'en réjouissaient.
Crocodile continua donc d'avancer. Il ne regarda rien d'autre que le bout du couloir, accompagné par le son de ses mocassins encontrant le sol marbré. L'échos résonnait profondément contre le verre, il semblait sans fin, s'éloignant mais ne disparaissant point. Sa silhouette camouflée sous son épais manteau de fourrure paraissait immense. Son torse l'était tout autant. Crocodile n'était pas seulement imposant, il était aussi grand. À marcher ainsi dans le couloir souterrain, l'aura qui se dégageait de lui fut écrasante. Son expression dure n'aidait pas, elle accentuait le tout, formant un lot effrayant chassant quiconque aurait eu l'audace de s'approcher de lui.
Lorsque l'échos d'un rire cristallin parvint à ses oreilles cela changea du tout au tout. Crocodile fronça les sourcils. Il serra les dents et zieuta la grande porte boisée présentée devant lui.
Autour de lui, des plantes et tableaux servaient de décoration. Cette partie du couloir, c'est-à-dire sa fin, étaient composée de murs, d'un sol et d'un véritable toit. La séparation entre verre et construction solide n'était pas caché derrière de quelconques artifices, elle était bel et bien visible juste derrière lui. Crocodile ne s'y attarda point. Il zieutait les décorations le temps de se préparer mentalement, prenant compte de l'assèchement d'une quelques verdures, avant de poser sa main sur la poignée. Il l'abaissa et ouvrit la porte.
Un éclat de lumière l'aveugla. Puis, le même rire cristallin se fraya un chemin jusqu'à ses oreilles.
Le Grand Corsaire referma la porte derrière lui le temps d'habituer ses yeux meurtris. Il grogna dans sa barbe, les yeux plissés et le corps rigide.
« Je t'avais bien dit que tu n'allais pas aimer, Hector. Pourquoi tu ne m'écoutes donc jamais ? »
Le ton joueur de la voix résonnait dans la pièce immense et vide. En réponse, le grognement d'une bête s'éleva, et, un troisième rire survint.
« Tu es têtu ! Non, je t'en redonne pas ! »
Lorsque Crocodile rouvrit les yeux, il la vit. La langue pendue, les paupières fermées et la peau brillante. Ce fut la première chose qu'il remarqua.
La sirène se tenait devant un immense banana-croco, défiant la créature avec malice. Auprès de ses clavicules nues, elle serrait un panier d'algues odorantes et raffermit sa prise dessus en entendant la créature geindre. Le monstre était si gigantesque qu'il la surplombait et lui faisait de l'ombre. Cependant, elle ne semblait pas le moins du monde effrayée. Au contraire.
Le sourire gravé sur ses jolies lèvres pulpeuses en était le témoin.
La pièce était ronde. Au plafond, des plaques de lumière illuminaient l'endroit. Peut-être un peu trop d'ailleurs, en vue du temps de réaction qu'il fallut au Grand Corsaire pour s'y habituer. Les lumières n'étaient pas tamisées. Elles étaient d'un blanc pur, se mariant avec les murs de la même couleur, décorés par des éclats de dorure et des reliefs de style royal. Le sol en marbre clair reflétait les lumières qui rebondissaient déjà sur les murs. Le tout était parfaitement harmonieux, majestueux. La pièce était grande, avec au milieu, un bassin menant à la demeure des Banana-crocos, et, sur ses contours, quelques meubles, fauteuils, plantes et bibliothèques comblaient le vide. Il n'y avait ni salle de bain, ni cuisine ou chambre, l'endroit n'existait que pour la satisfaction personnelle du Grand Corsaire.
Et il n'y avait aussi pas d'autre porte.
La pièce était sans issue outre celle derrière le pirate, le bassin était effectivement une option, mais ne menant pas vraiment quelque part -outre l'aquarium des Banana-crocos-, la question ne se posait pas.
Satisfait par sa petite observation, Crocodile contourna le bassin pour rejoindre la sirène assise sur le bord à gauche. Sa queue était plongée sous l'eau, mais son bassin était assis. Elle posa son panier à côté d'elle et éclaboussa gentiment la créature devant elle.
Le banana-croco prenait presque toute la place dans le bassin, sans parler de son immense taille qui lui faisait entrer en contact avec le plafond. Sans sa peau d'écailles aussi dure que du métal, son épiderme aurait brûlé depuis longtemps. Aucun d'entre eux ne remarqua la présence du Grand Corsaire. Les deux amis continuèrent de chahuter ⸺l'un grognant et l'autre riant⸺ jusqu'à ce que le bruit des pas du pirate furent suffisamment proche pour se faire remarquer.
La sirène ne le comprit pas immédiatement, bien trop prise dans son fou-rire, cependant, le banana-croco, lui, ne fut pas aussi chanceux.
Croisant le regard las du Grand Corsaire, l'animal se pétrifia sur place. Ses yeux s'écarquillèrent. Sa gueule s'ouvrit, laissant un bruit mixé entre la terreur et l'appréhension lui échapper. Crocodile s'arrêta alors de marcher, à trois mètres d'eux, et fit un rapide geste de la main en direction du bassin. Le banana-croco fut incapable de réagir. Son cœur battait à la chamade. Malgré le fait que cela soit physiquement impossible, il suait même à grosses gouttes. Il fut incapable de comprendre ce que cherchait à dire le noiraud, soudain devenu comme sourd. Ses grosses pattes furent prises de secousses. Et, au moment où le Grand Corsaire prit la parole, son corps sursauta.
« Disparais. »
Le Banana-croco prit ses jambes à son cou. Il fuit, se cognant la tête contre le plafond de lumières au passage, et éclaboussant la jolie sirène. Le bassin fut pris de secousses, de l'eau atterrit sur ses contours et le bruit que cela provoque sortit la demoiselle de sa transe. Étourdie, elle regarda autour d'elle.
« Oh ! C'est vous ! »
Crocodile s'accroupit devant elle.
Il posa son crochet sur son genoux et la dévisagea avec intrigue.
« Qu'est-ce que tu fais à converser toute seule, hein ? »
La sirène arqua un sourcil. Elle se rapprocha de lui tandis qu'il levait sa main dans sa direction. Le Grand Corsaire replaça une mèche de ses cheveux trempé derrière son oreille, celle-ci ayant été secouée par le Banana-croco qui l'avait trempée. La sirène frissonna au contact de sa peau rugueuse et chaude. Elle poussa un doux soupir d'aise et ferma les yeux.
« Je n'étais pas seule. »
Sa contestation affirmée, elle les rouvrit.
« J'étais avec mon ami Herbert. »
« Et qu'est-ce qu'il te voulait ? »
« Mon repas.. » elle avoua dans une mine renfrognée.
« C'est fâcheux, ça. »
« N'est-ce pas ! Ce sont mes algues... »
La sirène argumenta ses propos en plongeant une de ses mains dans son panier posé au sol et en en saisissant une ferme poignée. Elle la fourra vigoureusement entre ses lèvres. Une fois sa bouchée avalée, elle plissa les yeux. Elle affirma un air déterminé sur les jolis traits de son visage, les sourcils froncés et la bouche tirée en une grimace.
Quelques gouttes provenant de son repas étaient coincées entre ses lèvres. Celles-ci perlèrent le long de son visage jusqu'à atterrir entre ses seins. Ceux-ci aucunement habillés ⸺outre les écailles gravées à la place de ses tétons⸺, se retrouvèrent trempés. Les perles salées roulèrent jusqu'à toucher sa queue et se mêler parmi ces mêmes écailles de couleur vert pâle.
Crocodile se chargea de passer son pouce sur son menton, récoltant le jus et l'apportant à ses propres lèvres. Il ignora son cigare fumant et grimaça.
« Infect.. » il maugréa.
La sirène apporta soudain ses poings sous son menton et questionna du regard le pirate. Elle lui fit plutôt les yeux doux, mais cela passa inaperçu.
« Qu'est-ce qui vous amène ici, monsieur Crocodile ? »
« J'aimerais que tu me rendes un service. »
La demoiselle hocha vigoureusement la tête.
« Entendu, tout ce que vous voudrez. » s'empressa-t-elle de répondre.
Crocodile relâcha le visage de la jolie créature pour extirper un bout de papier de son costume. Plié et coincé entre son index et majeur, il le lui tendit. La sirène le réceptionna et vérifia son contenu pendant que le pirate reprit la parole.
« Miss Father's Day et Mister six se chargeront de te fournir la bombe une fois arrivée à destination. »
Elle leva les yeux dans sa direction.
« Je dois faire sauter un navire ? »
« Tu comprends vite. »
La sirène rangea le morceau de papier auprès de ses algues, presque immédiatement, celui-ci se retrouva gorgé de jus. À présent, il était illisible. La demoiselle ne s'en préoccupa point, elle était bien trop intéressée par l'homme devant elle pour jeter son dévolu sur de simples écritures qu'elle avait déjà mémorisé dans son esprit. Depuis sa venue, son sourire n'avait pas fané, il était rêveur, enjôleur, transpirant l'amour et l'intérêt qu'elle lui portait. Crocodile n'y était pas immunisé, malgré son air indifférent, le fait qu'il reste aussi proche d'elle et qu'il se permette de la toucher en disait beaucoup.
« Le roi Cobra a demandé à un royaume voisin de les épauler, tu comprends bien qu'on peut pas se le permettre. » argumenta le Grand Corsaire. « Ça serait dommage que nos efforts soient réduits à néant après tout ce temps. »
« Oui, je comprends. »
« Je n'en attendais pas moins de toi. »
« Est-ce que.. »
D'un ton hésitant, la sirène frappa le bord de l'eau de sa nageoire. Ce geste nerveux fit arquer un sourcil au pirate. Elle chercha à le fuir du regard, mais elle se retrouva immédiatement tirée de nouveau dans sa direction. Elle n'était pas en mesure de lui résister. Elle serra les poings sur sa nageoire, plissa ses lèvres en une fine ligne et déglutit. La question lui brûlait les lèvres. Voilà des jours qu'elle y réfléchissait, voilà des mois qu'elle hésitait. Plus que tout au monde elle le désirait, néanmoins, face à lui, elle perdait tous ses moyens. Incapable de soutenir l'intensité de son regard, écrasée par son aura imposante, elle sentit son organe vital s'emballer. Des papillons se mirent à virevolter dans son bas ventre et en réponse, sa queue s'excita davantage. De l'eau éclaboussa la tempe de Crocodile, la sirène regretta immédiatement.
« Qu'est-ce que tu as ? » demanda-t-il.
« Je me demandais si... »
Sa main s'agrippa à son avant-bras. La sirène planta d'un geste désespérément ses ongles couvert d'un vert métallisé dans sa chemise et se rapprocha de lui.
« Si vous accepteriez de voir un coucher de soleil avec moi. »
Crocodile fronça les sourcils. Sa confusion se traduisit par de la contrariété aux yeux de la demoiselle. Celle-ci commença alors à paniquer.
« Pas aujourd'hui, bien évidemment ! Ma mission est de la plus haute importance, j'en suis consciente ! » affirma-t-elle. « Mais je me disais, pourquoi pas après ? Je sais que vous êtes un homme prit et demandé, mais ce serait juste pour un soir.. Un seul. »
« Tu veux.. »
Crocodile posa sa main sur la sienne.
« Tu me fais du rentre-dedans ? » s'étonna-t-il.
« Quoi ? »
La mine de ma sirène s'illumina sous la confusion. Elle contempla le Grand Corsaire avec pure intrigue, comme si ses paroles étaient dans une autre langue.
« Non. Je.. Juste... »
Elle inspira profondément, cherchant à ignorer le contact physique entre leur main. Ses efforts furent en vain. Il lui était impossible de passer outre son eau de cologne et de la chaleur provenant de sa main déposée sur la sienne. C'était bien trop divin. Ses pupilles perdues dans ses yeux, leur corps si proche, la sirène n'était pas en position de feindre l'indifférence.
« Je sais que c'est contre l'organisation, je sais que mes sentiments ne sont peut-être pas réciproques. Oh, il est tout autant possible que mon aveux causera ma perte, mais je mourrais sans regret. »
La sirène sandwicha la main du noiraud entre les siennes et l'apporta entre ses seins. Sa peau humide contrastait avec la sienne sèche. Elle était rugueuse et puissante, tout le contraire de la sienne. Ses doigts fins et délicats s'entremêlèrent aux siens. La sirène tentait le tout pour le tout, persuadée qu'après cet acte suicidaire, Crocodile ne lui offrirait pas une seconde fois la même opportunité.
« Mon cœur bat pour vous, monsieur. »
Crocodile grogna contre son cigare. De sa main libre, il le saisit et expira un nuage de fumée entre leur visage.
« Je doute que ce soit de l'amour. »
« Oh ? »
Face à l'air consterné de la sirène, il retroussa son nez et mordit l'extrémité de son cigare, le fourrant de nouveau entre ses dents.
« Tu es juste effrayée. » observa-t-il. « Tu confonds ces battements paniqués par de l'amour, mais, en vérité, tu me crains. »
Vigoureusement, la sirène contesta.
« Je sais faire la différence. » elle affirma.
« Peux-tu ? »
« Ne ressentez-vous donc pas la même chose ? Lorsque je vous aperçois, c'est un sentiment bien plus agréable que la terreur qui m'emporte. J'aime être auprès de vous. Je ferai n'importe quoi pour vous satisfaire. »
Sur ce point là, Crocodile fut incapable de la contredire.
Depuis qu'il l'avait recrutée, la sirène s'était montrée irréprochable. Elle n'avait pas hésité à trahir ses compagnons, punir les traîtres et les peureux qui, au bout de quelques jours, avaient cherché à fuir l'organisation. Elle exécutait ses missions avec un professionnalisme déconcertant, comme si sa propre vie en dépendait. Et peut-être que c'était le cas. Pas une seule fois ne l'avait-elle déçu ou avait-elle osé lui manquer de respect. Même en cet instant, alors qu'elle le contemplait avec amour et admiration, Crocodile se sentait incapable de trouver quoique ce soit à redire. Elle était d'ailleurs bien trop divine pour cela soit le cas. Un couteau à la main, tachée de sang, il l'aurait sûrement tout autant défendue. L'éclat pétillant dans son regard suffisait à l'innocenter, que ce soit auprès des autorités que de lui.
Crocodile reprit ses esprits en sentant la sirène presser sa main un peu plus profondément dans sa poitrine. Ce geste désespéré fut accompagnée par son expression du visage tiraillé par l'appréhension.
« Vous ai-je contrarié ? » elle chuchota.
Crocodile secoua la tête.
« Qu'est-ce que tu trouves de si intéressant dans un coucher de soleil ? » il marmonna, les sourcils froncés.
« Oh ! »
Presque immédiatement, son dos se redressa et son regard se mit à briller.
« Tout ! Absolument tout ! » s'exclama-t-elle. « Depuis que je suis enfant, ma mère m'a toujours interdit d'aller à la surface pour l'admirer. Elle me disait que de méchants humains risquaient de m'enlever et de me vendre. Alors, j'ai obéi et je suis restée cachée en bas, loin de votre monde. »
Plus elle parlait, et plus sa prise sur sa main se raffermit. Crocodile ne l'entendait pas que dans le ton de sa voix, mais aussi dans ses yeux, ce grain et éclat d'excitation lui faisaient beaucoup d'effet. Crocodile se sentait submergé par un flot de sentiments inconnus, une agréable chaleur s'empara de son organe vital, il ne put y échapper.
« Je l'ai déjà vu une centaine de fois. » avoua-t-elle. « Je ne m'en lasse jamais. »
« Alors pourquoi me demander de t'accompagner ? C'est une perte de temps. »
« Parce que... »
Elle se racla la gorge. La demoiselle détourna un petit instant le regard, fébrile et perplexe. Elle se reprit en sentant les doigts de Crocodile se crisper. Ils bougèrent finement, cela suffit à attirer son attention et à la faire le regarder de nouveau.
« Parce que j'aimerais passer ce moment à vos côtés. »
Son aveux fut accompagné par les battements affolés de son cœur. Sa peau en palpitait presque, notamment l'endroit où sa jugulaire se trouvait.
« Je suis consciente que c'est déplacé, mais⸺ Je... Je le veux. Du plus profond de mon cœur. »
Crocodile ne répondit point. Il retira sa main de son emprise et se redressa tranquillement. La sirène le dévisagea avec angoisse. Elle pressa ses mains contre sa poitrine et déglutit. Le pirate agissait avec une désinvolture terrifiante. Il semblait indifférent à sa confession, comme habitué. Comme si le fait qu'une femme se jette à ses pieds n'était pas nouveau. Cette pensée chagrina immensément la jolie créature.
« Monsieur..? »
Crocodile marcha en direction des deux grandes portes de la pièce. Dos à la sirène, il ne se retourna point.
La demoiselle baissa alors la tête.
Son cœur se brisa en mille morceaux, les éclats tombèrent dans son bas ventre, blessant les papillons qui s'y étaient précédemment tenus. Elle passa ses bras autour de son estomac, les yeux larmoyants, sa lèvre inférieure avait commencé à trembler. La sirène se laissa glisser dans le bassin, ravagée par un sentiment d'embarras profond qu'elle chercha désespérément à fuir à travers la noyade. Elle y tomba de manière à avoir la moitié de son corps englouti, jusqu'à son décolleté. Ses mains saisirent le panier à algues que l'ont lui avait servi, elle l'emporta avec elle le regard fuyant, incapable de regarder son employeur plus longtemps. Toutefois, lorsque celui-ci reprit la parole, toujours dos à elle, sa tête fit volte-face dans sa direction.
« Reviens me voir une fois ta mission terminée. »
Crocodile poussa les deux portes. Il les ouvrit avec nonchalance.
« Je connais un endroit où tu pourras admirer un lever de soleil qui en vaut la peine. »
La sirène hoqueta.
« Mon⸺ Monsieur ? »
Son cœur se gonfla d'amour. Ses yeux s'étaient ouvert en grand, et ses lèvres s'étaient séparées dans une grimace. La sirène ne sut trouver une réponse suffisamment convaincante à lui donner, elle était bien trop surprise par ses paroles. Le ton de sa voix grave paraissait toujours aussi lasse et détachée, mais ses propos l'avaient touché en pleine poitrine. C'était comme si une flèche l'avait transpercée. Elle en avait mal. Elle souffrait monstrueusement, ce nouveau sentiment logé au centre de son être l'avait propulsée haut dans les nuages, et à présent, elle se sentait incapable d'en redescendre. Elle ne le voulait pas.
Crocodile la rappela à l'ordre en prononçant son nom de code.
« Je me suis fais comprendre ? »
Immédiatement, la sirène plaqua sa main contre son front, à l'instar d'un salut militaire, et s'exclama :
« Oui, monsieur. Je ne vous décevrai pas ! »
Le pirate esquissa un sourire satisfait avant de quitter la pièce. Il ne dit rien de plus, laissant les portes se refermer derrière lui et ainsi plonger la pièce dans un lourd silence pesant. La sirène attendit une poignée de secondes. Elle eût serré le panier si fort contre sa poitrine qu'il s'était plié en d'eux, à peine sur le point de se briser, elle le lança dans les airs et plongea dans le bassin. Elle rejoignit l'immense aquarium du Rain Dinners, à la recherche de Banana-crocos.
« Herbert ! Mon Dieu, Herbert, tu ne vas jamais croire ce qu'il vient de se passer ! »
La demoiselle laissa le panier tomber à l'eau et sombrer dans les tréfonds de l'endroit. Elle ne lui jeta pas même un seul regard coupable. Celui-ci fut rapidement avalé par un banana-croco flottant aux alentours, les algues furent incapables de fuir, tout comme le petit morceau de papier avec. Toute trace de la culpabilité de la jeune femme disparut avec. Celle-ci n'était, en cet instant, pas un membre précieux de l'organisation de Baroque Works, mais plutôt une simple créature maritime amoureuse. Follement éprise d'un homme à l'allure bienveillante.
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Mon livre de la nature
Aujourd'hui, j'ai décidé d'ouvrir une nouvelle page de mon livre de la nature et de vous en offrir quelques lignes. Enfant, je passais des heures en forêt, à jouer à cache-cache, à construire des cabanes avec mes amis, entouré par la magie des arbres et du chant du vent. Aujourd'hui, ce lien profond avec la nature me rappelle à elle. Je me suis promis de rouvrir cet ouvrage ancien et d'en partager les secrets avec vous.
Le jour s’annonce radieux, baigné par une douce lumière dorée. Mon affût est installé à quelques centaines de mètres d'un point d’eau où les animaux sauvages viennent souvent se désaltérer. Depuis plusieurs semaines, je parcours cette forêt avec une curiosité presque enfantine, tentant de décrypter les traces laissées par ses habitants : empreintes furtives, souilles humides, écorces grattées... Je ne suis qu'un humble observateur, un apprenti face aux mystères de ce royaume, mais peu à peu, je me fonds dans leur monde, apprenant à respecter leurs lois silencieuses.
Le vent souffle dans la bonne direction, me protégeant de leur flair redoutable. Une biche ou un cerf pourraient me percevoir à plus de 300 mètres si je ne fais pas attention. Pas de parfum, pas de faux pas, juste la discrétion absolue. Les minutes passent, puis soudain, le silence se brise : le brame majestueux du cerf résonne dans l'air. Ils sont deux, quelque part entre les arbres. Je perçois le craquement des branches sous leurs sabots, mais aucun d'eux ne se montre.
La pluie, douce et imprévisible, fait son apparition, devançant l’ami qui devait me rejoindre. Deux heures que je guette, immobile. Mon compagnon finit par arriver, et ensemble, nous partageons ce moment sous les larmes du ciel. Le brame s'estompe, laissant place à une inquiétude silencieuse. Malgré nos vêtements trempés, notre patience nous habite encore, car la forêt enseigne à attendre.
Nous décidons de changer d’endroit avant que la nuit ne vienne tout effacer. Et puis, dans un souffle, l’espoir renaît : un chevreuil et un brocard surgissent, espiègles et gracieux, jouant dans l'ombre des arbres. Mais toujours pas de roi en vue. Derrière nous, des biches profitent des jeunes pousses, reprenant des forces pour les jours à venir.
Je ne veux pas refermer cette page du 8 septembre sans avoir vu le roi de la forêt. Notre détermination finit par être récompensée. Une biche apparaît enfin, et dans son sillage, il est là... majestueux, fier, guidé par l'instinct qui le pousse à suivre sa future reine. Nos cœurs battent à l’unisson, comme ceux d'enfants fascinés par ce spectacle offert par la nature.
Nous les observons s’enfoncer dans le bois, préservant leur mystère, leur liberté. Ce royaume n'est pas le nôtre, et nous respectons le rythme de la forêt, son souffle, ses sonorités, ses joutes et ses jeux. Nous quittons les lieux en silence, reconnaissants pour cette parenthèse d’émerveillement qui, dans quelques mois, portera de nouveaux fruits.
Merci, à toi, nature et Tony Tranel
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13 août
de retour sur mon île, cette fois j'ai pris le petit-déjeuner, pas le temps de déjeuner à la maison, je voulais arriver le plus tôt possible pour éviter la chaleur. hier après-midi en remontant le rivage du treptower park j'ai pris le soleil sans m'en rendre compte et j'ai du m'assoir sur le petit banc en bois devant le centre d'informations parce que j'avais la tête lourde et remplie de magma. la femme qui travaillait au centre était française. j'avais envie qu'elle me parle. je portais mon tshirt céline sciamma. je me demandais comment elle avait atterri là et pourquoi. je me suis imaginé qu'on devenait amies mais je suis repartie avant d'en avoir eu l'occasion. en rentrant à l'appart, pendant que je me passais de l'après-soleil sur le visage j'ai entendu d. j. et leurs cinq amis rentrer et j'osais plus sortir de ma chambre. ça faisait quatre jours que j'avais parlé à personne alors sept personnes d'un coup c'était trop. au bout d'un moment je me suis quand même dit lara t'as 33 ans t'es chez toi t'as le droit d'aller te faire un sandwich à la tomate dans la cuisine arrête de te faire souffrir tout le temps bordel alors j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai ouvert la porte de la cuisine, ils étaient tous les sept assis autour de la table avec leurs gros sacs à dos qui prenaient toute la place, sales et fatigués et détendus, contrairement à moi. j'ai fait coucou vite fait, encore ensuquée par le soleil, je me suis fait mon sandwich avec mon thsirt pyjama croppé qui me glissait sur l'épaule (sexy) et je suis repartie me terrer dans ma chambre pour regarder un épisode de bored to death.
j'ai rêvé de r. il était à moitié allongé sur moi, je sais plus dans quel contexte. il avait la tête cachée sous un drap et je le découvrais doucement. je crois que je lui caressais les cheveux, même si c'était interdit. les filles et les garçons que j'ai envie de toucher sont toujours des territoires interdits, même si on m'a jamais explicitement interdit de toucher quoique ce soit.
l'hydrogéologue de l'expo l'autre jour disait qu'elle aimait pas trop anthropomorphiser l'eau et je la suis là-dessus, mais je note quand même que l'eau est un peu longue à la détente dans son temps de réaction aux évènements extérieurs, comme le passage d'un bateau par exemple. elle commence à s'agiter avec quelques instants de retard et elle met beaucoup de temps à se calmer, longtemps après que le bateau soit passé. à la soirée de spoken word une poétesse disait que l'eau prenait les coups sans rien dire. on jette une pierre dans la rivière. elle avale la douleur et elle souffre en silence. l'eau est un sujet très à la mode. l'anthropomorphisation aussi. on l'utilise beaucoup je veux dire. moi aussi je le fais. mais pour donner une voix à la nature on est bien un peu obligé de le faire non?
j'ai presque frais à l'ombre de mon saule pleureur qui ne pleure pas. il fait tremper la pointe de ses branches dans la rivière. ça me donne envie de me mettre dessous pour me faire caresser. mon fantasme écosexuel numéro un: le poulpe, numéro deux: le saule pleureur. on dirait les lanières-serpillère du carwash qui s'agitent dans tous les sens. n. m'a parlé d'un poète qu'elle suit sur ig qui a fait des expéditions de poète en arctique et en antarctique. sa bio dit artist-on-boat. peut être que je pourrais me faire envoyer en antarctique pour écrire un recueil de poèmes écosexuels de la banquise? est-ce que je peux fantasmer sur un iceberg? je parie que oui. c'est les fleurs de nénuphar qui se font effleurer à ma place par les branches du saule, petites veinardes. c'est toujours quelqu'un d'autre qui se fait toucher à ma place de toute façon.
14 août
j'ai rêvé de oleg, l'hydrogéologue de la fête dans le jardin. j'étais à l'école mais c'était le soir, le prof un peu spécial et mystérieux nous avait conviés à une espèce de soirée et tout le monde était odieux avec moi, y compris le prof. c'était comme en 7e, y avait même quelques personnes de ma classe de 7e, mais en cent fois pire. on me faisait remarque sur remarque méchante, on se moquait de moi, on me traitait de nulle, tout ce que je faisais était critiqué, on me trouvait répugnante on me disait de pas m'assoir là et on me disait de fermer ma gueule. et puis mon téléphone a sonné et c'était oleg. il était resté chez lui pour faire des traductions latines. il me parlait d'une phrase avec une araignée et j'essayais de me rappeler comment on disait araignée en latin. je suis sortie de la salle pour être au calme mais j'arrivais pas à comprendre ce qu'il me racontait parce qu'il disait des choses trop intelligentes et j'avais l'impression d'être trop bête pour le comprendre. mon cerveau était tout embrouillardé. mais j'étais contente de discuter avec lui et j'avais très envie de lui proposer de passer jeter un oeil à ses traductions. mais je me suis réveillée avant d'en avoir eu l'occasion. à un moment m. voulait que je lui montre le chou que j'avais accroché à la porte de ma chambre, mais quand je le lui ai fièrement montré, il était mort. elle m'a montré comment le faire revenir à la vie mais il était trop mort. c'est la deuxième fois de ma vie que je rêve d'un chou mort.
de retour au treptower park avec ma serviette, un pique-nique, mon kindle et un litre d'eau. il m'aura fallu du temps pour y arriver mais ça y est. on m'a volé mon spot sous le saule pleureur alors je me suis mise sous un autre arbre non identifié parce que je suis nulle en arbres. je les aime mais je retiens pas leurs noms. je suis allongée en face du cimetière sur la presqu'île. hier après-midi comme j'avais pas envie de rentrer de peur qu'y ait encore les amis de j. et d. à l'appart (ils ont l'air gentils mais j'ai du mal à me refaire à la vie sociale après quatre jours de solitude intense, presque six maintenant vu que je continue à voir personne) j'ai entrepris l'exploration de l'autre rive. je me suis arrêtée au supermarché pour me ravitailler en pain (edeka font les meilleurs petits pains de supermarché, j'adore surtout leurs laugenbrötchen briochés salés qui sont légèrement élastiques à la mâche) et au bout d'une marche trop longue sous l'écrasante chaleur je suis tombée sur un cimetière au bord de l'eau avec beaucoup de fleurs, des petites colonnes de pierres empilées sur les tombes dont j'ignore la signification mais j'aime bien, le joli clocher qui me donne l'heure depuis l'autre rive et que j'entends sonner toutes les demies heures et une petite allée de saules pleureurs dont les branches ondulaient sous la brise. je me suis mise dessous pour qu'elles m'effleurent mais j'étais plus dans le mood. c'était un peu décevant. peut être que c'était tout simplement pas le bon saule, chaque arbre est son propre individu, comme les humains, ça peut pas matcher ave tout le monde. et puis on fait pas l'amour dans un cimetière. enfin j'en sais rien, si, pourquoi pas, qu'est-ce qu'ils en ont à foutre les morts, ils sont morts. n. elle aime pas les cimetières et elle aime pas les hôpitaux. je crois qu'on a un rapport à la mort très différent. moi je me sens plus à l'aise au cimetière ou à l'hôpital que dans un club. la mort c'est sur le dancefloor que je le vois. comme rebeka warrior. (je vois la mort ELLE DANSE SUR LE DANCEFLOOR)
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Mylène Farmer - Avant que l'ombre... à Bercy
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Espèces Jouables sur End Of Days
Humains; Emplie de morales qui se contredisent, vu comme faible par beaucoup de créatures, les humains sont pourtant l’espèce dominante de notre monde. Si beaucoup ignorent l’existence du surnaturel, ou tentent de se convaincre autrement, certain.e.s savent que des créatures existent, prêtes à les détruire, à se nourrir de leur sang. Toutefois, même empli de désespoir, les humains se battent. Ainsi les chasseurs d’origine totalement humaine existent. Sans pouvoir, seules leurs connaissances comme armes, ces personnes se battent pour leur survie et celle de leur espèce.
Des humains peuvent parfois développer des facultés étranges: visions, télékinésie et tant d’autres. Si ces cas sont rares, ils existent et les causes sont diverses - mutation, possession ou une proximité à la bouche de l’enfer éveillant quelque chose en elleux, chaque cas est différent du précédent.
Des humains font partie du Conseil des Observateurs: ces individus s’occupent de l'entraînement de la Tueuse et des Potentielles, mais combattent également le mal à leur façon. Plus d’infos à venir.
Tueuses et Potentielles; La prophétie le dit: à chaque génération, il y a une élue. Seule elle devra affronter les vampires, les démons et les forces de l'ombre. Elle est la Tueuse. Doté de facultés surhumaines, cette fille - car elle est bien souvent une gamine, une adolescente, une innocente - est notre salut. Du moins, jusqu’à sa mort qui activera la prochaine élue. Cette dernière est choisie parmi les Potentielles: des jeunes filles qui ont la chance - ou la malchance - de devenir la prochaine Tueuse. Un destin morbide attend toujours l’exécutrice, les menant à vivre de courtes vies.
Les Potentielles pourront être jouées sur le forum. Toutefois, jouer une Potentielle vous met à risque de devenir la prochaine Tueuse, choisie au hasard lors de la mort de la Tueuse actuelle.
La Tueuse, comme les Potentielles, a un observateur - une personne, généralement un homme, qui l'entraîne à combattre les forces du mal, pour accomplir son destin. Toutefois, certaines ne se font pas trouver avant d’être activées et ne connaissent donc rien du surnaturel.
Les Potentielles n’ont pas vraiment de capacités spéciales, avant leur activation en tant que Tueuses mais ont souvent une sorte d’intuition leur permettant d’avoir de meilleures chances de survie.
Sorcières; Notre monde est empli d’énergie mystique. La manipulation de cette énergie se fait depuis la nuit des temps, les sorcières, ou sorciers, étant capable de la plier à leur volonté pour modifier leur environnement. Potions, rituels, artéfacts - ceci ne sont que quelques éléments utilisés pour faire de la magie. Si certaines se spécialisent dans certains éléments, comme la conjuration ou la guérison, par exemple, d’autres seront capables de faire un peu de tout, sans toutefois être maîtres dans une discipline précise. Attention, toutefois - la magie doit être pratiquée avec soin et retenue. En abuser peut mener à des symptômes de fatigue extrême, voire à des saignements de nez, des brûlures à travers le corps en entier ou un épuisement pouvant même mener à la mort, en cas de rituels énergivores ou volatiles.
Si certaines sorcières sont dites “naturelles”, ayant des facultés magiques provenant de leurs ancêtres, d’autres le développent par expérimentation. Aucune n’est plus forte que l’autre - c’est l’expérience qui permet d’augmenter en puissance, tout comme la façon dont on utilise la magie.
Certaines sorcières développent des pouvoirs personnels, souvent provenant de leur naissance, parfois en gagnant en expérience: lecture de l’aura, pressentir le futur, télékinésie - tant de possibilités selon la personne.
La magie, ce n’est pas qu’une affaire de sorcières - humains, vampires et même démons peuvent user de sorts, gris-gris et potions pour user de cette énergie. Les rituels plus complexes ne sont pas autant accessibles et risque de foirer, si une sorcière d’expérience n’est pas présente.
Loup-Garou; Humain se transformant en boule de poils sanguinaire au clair de lune lorsque celle-ci est pleine, s’attaquant aux humains, se nourrissant de leur chair. La légende est belle et bien vraie, à la seule différence près que les loups prennent leur forme de lycanthrope la soirée de l’avant et d’après pleine lune, en plus de cette soirée de panséléne. Être un loup, c’est une infection - on se fait mordre puis au prochain cycle de pleine lune à lieu la première transformation; c’est la seule façon de le devenir. Alors autant vous armer d'objets en argent, pour vous protéger - peut-être aurez-vous la chance de ne pas vous transformer à votre tour.
Les lycanthropes auront toujours une vision différente de leur situation: une malédiction ou une bénédiction. Ceci orientera le type de meute rejoint - une meute qui se laisse aller aux instincts sauvages du loup, ou peut-être un autre qui tentera de le contrôler ? Ça, c’est si le lycanthrope décide de se joindre à une meute…
Certains loups arrivent à dompter leur loup-garou et ne plus se transformer, sauf sous le coup d’émotions très fortes. Ceci reste plutôt rare et il faut user d’un mélange d’herbes, d’enchantements et de méditation pour y arriver.
Lors des premières transformations, le loup ne se souvient pas de ses actions. Avec le temps, et surtout en réalisant sa nouvelle nature lupine, les souvenirs reviendront à l’humain.e une fois sous sa forme originelle. Toutefois, le loup ne se souviendra pas de sa nature humaine - bien que quelques mots, noms et visages peuvent les faire réagir, généralement très négativement.
Vampires; Loin de ressembler aux beautés vu dans les écrits de Bram Stoker, les vampires sont des créatures immortels qui s’abreuvent de sang humain. Engendrer après avoir été mené aux portes du trépas, sans pour autant l’avoir passée, l’humain doit ensuite s’être abreuvé du sang du vampire pour pouvoir revenir comme l’un de ces immortels, suivant sa mort causée par la perte de sang. Vivant surtout la nuit, les vampires cherchent principalement à survivre, bien que certains auront des objectifs un peu plus grandioses - comme de faire de leur espèce la suprématie du monde humain.
Pas tous les vampires sont nécessairement des créatures malfaisantes. Certain.e.s peuvent tenter de combattre leur nature et s’abreuver de sang animal dans le but de vivre parmi les humains - ceci reste tout de même difficile à faire, surtout sans le support d’autres personnes, en plus d’être mal vu par les autres vampires.
Dans de cas plus rares, certains vampires sont dotés d’une âme, résultat d’une malédiction ou d’une série d’épreuves menées pour l’obtenir de nouveau. Ces vampires seront bien souvent torturés par leurs mauvaises actions passées, leur âme agissant comme une conscience leur remémorant leurs pires moments.
Certains vampires vivent en groupe pour leur survie, prôner par un leader ou un maître vampirique. D’autres restent plutôt en solo ou avec un vampire ou deux, préférablement avec la personne l’ayant engendré.
Démons; Créatures infernales, hors des normes humaines, ce sont elles qui dirigeaient notre dimension, autrefois, dans les temps Primordiaux. Ces démons purs furent chassés ou exterminés par la toute première Tueuse, laissant derrière eux une descendance perdant en puissance - bien que ces créatures restent tout de même dangereuses à ce jour. Chacune de ces créatures démoniaques auront leurs propres caractéristiques, autant au niveau de leurs facultés occultes que leur physique - certaines n’auront pas l’air humaine et devront user de magie ou de possession pour avoir l’air humain, alors que d’autres auront une forme humaine et démoniaque interchangeable au besoin. Pouvant se ranger dans n’importe quel camp, parce que n’est pas maléfique qui est démon, de nombreuses créatures se retrouvent à contribuer à la société humaine à leur façon.
Cette catégorie inclut toutes les créatures qui n'entrent pas dans les autres catégories. Voici quelques exemples de créatures qui pourraient s’y trouver: démons, démons primordiaux, demi-démon, djinn, divinités, kitsunes, etc. Vous pouvez vraiment vous inspirer de mythologies et autres sources pour créer votre monstruosité.
Un humain peut devenir un démon par plusieurs moyens: un rituel, nommé le rituel de l’ascension qui change sa forme, une malédiction, une Puissance Supérieure changeant la forme - bien des choses sont possibles.
L’hybridation entre un démon et un humain peut se faire - la progéniture variera également. Peut-être aura-t-elle des éléments du parent démoniaque, comme des cornes, une peau verdâtre ou des yeux étranges ? Ou ce sera peut-être une forme démoniaque changeante selon la volonté ou même une apparence totalement humaine avec, toutefois, des pouvoirs surnaturels. Nous sommes pas mal sur l’hybridité - sauf pour les vampires qui restent une chose très rare à voir.
Morts-vivants; Réanimation magique, infection démoniaque, connexion au plan mortel - toutes ces raisons sont valides pour qu’une personne reste sur terre suivant sa mort. Si une personne peut rester sous une forme spectacle, tel un fantôme ou un poltergeist, une personne peut également être un zombie ou une réanimation magique. En gros, un mort-vivant est une personne dont le corps est techniquement mort mais qui reste rattaché à notre dimension, sans pouvoir passer vers l’au-delà.
Différents types d’esprits existent: des fantômes, des poltergeists, des esprits vengeurs, des apparitions ainsi que des esprits manifestés. Chacun de ces types possède ses propres pouvoirs mais nous sommes assez ouvert.e.s sur ce point.
Ce n’est pas tout le monde qui peut voir les esprits. La plupart des fantômes ne peuvent être perçus que par des créatures surnaturelles, des sorcières et des médiums. La Tueuse peut également arriver à les voir, dû à son origine mystique.
Les revenants sont également jouables sous la forme de zombie: morsures les infectants, malédiction les transformants ou sorts les ayants fait revenir, ces créatures pourraient être joué et auront la chance, et la malchance, de transformer d’autres gens en zombies, en plus d’être difficilement tuables.
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Samedi 25 Novembre 2023
Ce matin, tout était gelé ! C'est la première fois depuis l'hiver dernier, en Normandie. Cette photo a été prise un peu avant midi. Il faisait 5 degrés et dans les endroits à l'ombre, l'herbe était encore blanche. Mais sinon la journée est ensoleillée et c'est une première, après des semaines de pluie et de vent. Du coup, mon moral est bien meilleur.
De la fenêtre de ma cuisine, j'ai aperçu ce couple de Goéland, loin de la mer, qui tapaient des pattes sur le sol humide pour faire remonter les vers de terre. Je les avait déjà vu la vieille. Je me demande si elles ce sont installées dans le coin.
Et pendant ce temps, mon chat Max, observe depuis son poste préféré, la cafetière électrique. Max a 3 ans. Je l'ai trouvé quand il avait 1 mois, je l'ai nourris au biberon. Ses grandes passions ce sont les cartons, se percher n'importe où et le chien, Spritz !
J'ai déjeuné seule, comme souvent. Enfin seule... Avec Max, comme vous pouvez le deviner sur la photo. J'ai terminé la barquette de perles de mer car j'en raffole ! Et pas un repas sans pain et fromage, en bonne petite française que je suis ! 😉
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