#architecture des rêves
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[Description d'image : Les toilettes dans les rêves be like. Image de trois toilettes sans portes dans le jeu vidéo Robocop. Sous-titre : "Pas mal, ces chiottes ouvertes où tout le monde peut te regarder chier !" Fin de la description.]
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Imaginez une maison où chaque réveil est une invitation à la contemplation. Située au 7ème Km, cette spacieuse villa F4 de 215 m² se dresse fièrement sur un terrain de 10,24 ares, offrant une vue panoramique à couper le souffle.
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Avantages de choisir Maisons de Rêve
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Blaise Drummind, b. Liverpool, 1967. Gewaltige Raume Unerschlossenen Landes [Immensité des territoires inexplorés], 2007. Huile et collage sur toile
Blaise Drummond peint un symbole réalisé par le Corbusier 'Unité d'habitation de Marseille, dans un espace vierge et blanc avec au sol des tâches de couleurs. Une phrase en anglais rythme la façade: [Parfois je fais ce rêve où nous découvrons des pièces supplémentaires dans notre maison, comme une aile secrète. Elles sont presque d'élabrées mais ont un grand potentiel pour un projet d'extension et de restauration Un nuage beige, fait d'un morceau de couverture, surplombe le bâtiment et semble perturber la quiétude du paysage. Cette ceuvre est l'illustration parfaite des préoccupations de cet artiste anglais installé en Irlande, sur la rupture entre habitat et nature, l'homme et son milieu. En reprenant les emblèmes iconiques de l'architecture moderne, Drummond traite de la contradiction entre l'utopie moderniste, son industrialisation et les nouvelles conditions de vie assujerties.
Blaise Drummond paints a symbol made by Le Corbusier, "Habitation Unit of Marseille", in a blank white space with colored spots on the ground. A sentence in English punctuates the the facade: "Sometimes I have a dream where we discover these extra rooms in our house, like a secret wing. They are pretty dilapidated but have good potential for a sort of restoration extension project." A beige cloud, made from a piece of blanket, hangs over the building and seems to disturb the peacefulness of the scene. This work is a perfect illustration of the concerns of the English artist based in Ireland, of the rupture between habitat and nature, humankind and their surroundings. By reclaiming the iconic emblems of modern architecture, Drummond addresses the contradiction between modernist utopia, its industrialisation, and the new conditions of life subject to it.
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L'architecture tout un art !
Du 13 au 15 octobre ont lieu les journées de l’architecture. Elles visent à mettre en lumière l’importance de l’architecture dans la vie de tous les jours, mais aussi comme témoin du passé et tremplin vers le futur.
L’architecture entre art et réalité
J’ai entendu à la radio un truc qui m’a fait tiquer, dit Gaétan. Le journaliste a déclaré que le gouvernement veut faire naître des vocations au cours des journées de l’architecture.
Qu’est-ce que ça a de choquant ? demande Inès.
Moi, « une journée de » est l’occasion de mettre en lumière les enjeux et spécificités d’un domaine, d’une pathologie, d’une pratique culturelle et sportive. C’est aussi mon point de vue dit Inès, mais je ne vois pas bien en quoi cela gêne la naissance d’un intérêt pour un zp sais, vocation est un terme positif qui renvoie cette à une notion de travail, mais en corrélation avec le plaisir et le sentiment d’être à sa place. Je trouve ça plutôt heureux, moi.
C’est vrai que je ne l’avais pas vu sous cet angle. Je pense que je suis trop dans l’idéalisation et que le mot architecture renvoie systématiquement chez moi à l’amour des vieilles pierres.
L’architecture, une séparation illusoire
- Architecture et amour des vieilles pierres sont évidemment intimement liés et nombre de nos contemporains séparent l’architecture artistique ou culturelle liée à des constructions anciennes et l’architecture moderne dont le seul but serait de construire des pavillons et des supermarchés. La réalité est comme souvent bien plus complexe que cela. Le métier d’architecte est toujours aussi riche et peut-être même encore plus.
- Que veux-tu dire par là, Inès ? la questionne Gaëtan.
- L’architecture moderne a pour mission de construire des bâtiments publics, des maisons individuelles, des immeubles et des centres commerciaux, entre autres points. On lui demande en outre de prendre en considération des contraintes environnementales et de s’adapter à de nouveaux matériaux de construction. L’architecte peut être amené à concevoir un édifice qui prend corps au sein d’un édifice plus ancien qui crée un pont entre deux édifices existants. Si je te comprends bien, l’architecture est à la fois un métier et un art. Elle doit s’adapter sans cesse à de nouvelles normes et contraintes et en même temps traduire des réalités en langage universel.
- Tu essaies d’expliquer des choses simples avec un langage alambiqué. Je rêve, s’exclame Inès.
L’architecture, un témoignage du passé
- Excuse-moi, j’ai dit les choses telles qu’elles me venaient.
- Ouais, mais fait le tri la prochaine fois.
- Ce que j’ai voulu dire, c’est que l’architecture est comme un pont historique qui s’ancre dans le passé pour nous ouvrir la porte de l’avenir.
- C’est joliment dit et c’est une partie de la vérité. L’architecture est une discipline complexe qui a beaucoup d'impacts sur notre vie quotidienne. Elle structure nos villes et nos maisons, traduit l’identité culturelle d’un pays ou d’une région (Longère en Normandie ou maison à colombages en Alsace). Elle est aussi utilisée pour fluidifier les déplacements et améliorer le confort. Certaines initiatives s’en servent pour améliorer les liens sociaux.
- Tout ça méritait bien des journées, s’enthousiasme Gaëtan.
Et toi pour ces journées, tu vises plutôt l’architecture historique ou la version plus moderne ? Réponse souhaitée en commentaire. Merci.
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J'aime la France, tout simplement.
Harcelés par les bêtises et les mensonges du discours officiel, nous avons perdu de vue la différence qui existe entre “la République”, ce lieu imaginaire dans lequel vivent, en vase clos, nos élites… et “la France”, notre “Mère-Patrie”, dont ils ont égaré l'adresse dans le désordre de leur pensée aussi bobo-clonée que gaucho-normalisée. Il n'y a rien à redire contre une république (qui gagnerait tout de même à être plus amicale, moins dogmatique et moins liberticide …), à la seule condition qu'elle sache rester à la place qui devrait être la sienne : un régime politique au service de la France et des français, pas un rêve insurpassable...ce qu'elle n'est pas.
L'enfant de la guerre que j'ai été a appris à aimer la France plus qu’il ne m’est possible de le dire. D''un amour passionné et raisonné tout-à-la-fois, qui puise ses raisons d'être dans “la légende des siècles” autant que dans leur vérité historique. J'aime tout : sa langue, sa culture, son histoire, ses habitudes, ses us et ses coutumes, ses habitants lorsqu'ils le méritent, ses réussites et même ses échecs quand elle en a (un peu moins fort, peut-être). Et s'il faut vraiment choisir... je garde tout.
J’aime ses architectures traditionnelles si différentes, la diversité de ses paysages, son climat, ses campagnes, ses accents régionaux menacés par une unification aussi appauvrissante que télé-fabriquée, ses mers et ses montagnes, ses plaines et ses lacs, son unité dans sa diversité, ses traditions (NDLR - Au premier rang desquelles, en cette Chandeleur où on les ''démonte'', nos crèches… si jolies qu'elles en deviennent dangereuses aux yeux de soi-disant “libres penseurs” qui ne sont, évidemment, ni libres ni -surtout- penseurs !), ses beffrois carillonnants, ses clochers graciles et ses cathédrales puissantes, les milliers de petits calvaires perdus au creux des chemins, témoins si émouvants de la foi de nos ancêtres depuis son baptême chrétien en l'an de grâce 496, son histoire, les valeurs millénaires qui ont structuré sa belle œuvre coloniale si abîmée dans et par des mensonges à dormir debout, ses révoltes parfois et ses “coups de gueule”, souvent… et –je l'ai dit, je le répète-- ses habitants, avec leurs qualités profondes et tous leurs défauts, soulignés avec complaisance par ceux qui ne veulent voir que ce qui est un peu moins beau… tout, j'aime tout !
Et plus que tout, j’aime ce que fut la France, MA France admirée et respectée, car admirable et respectable… même s'il m'arrive de plus en plus souvent de regretter qu'elle soit devenue… ce qu’elle est : un peu moins de tout ce qui la définissait et la rendait aimable, au point de risquer en permanence de perdre son âme, à jamais… Et au premier chef, ce qui fut, jusque il y a peu de temps encore, la plus belle langue du monde. Tout ce que chacun de nous peut penser ne peut s'exprimer que parce que nous partageons cette langue merveilleuse que l’on nous a enseignée, avec et dans un système clair et précis de références historiques et de valeurs structurées. Chacun de nous n’est que le produit de tout ce qui vient d’elle : idées, réflexes, opinions, jugements, pensées, musiques, souvenirs, sens esthétique, goûts, culture, notre “esprit gaulois”, nos raffinements culinaires… et jusqu'à notre penchant parfois exagéré pour la critique… et, ces derniers temps, pour la repentance, surtout lorsqu'elle est sans sujet et sans objet...
C’est cette certitude calme et réfléchie que j’appelle “patriotisme”, avec tout ce que ce mot comporte de bon et de beau a mes yeux, et de moins bon, paraît-il, aux yeux de ces gens qui se sentent intelligents uniquement parce qu’ils pensent ''contre'' plutôt que ''avec'', et disent tous les mêmes contre-vérités au même moment, entre eux : la preuve est faite qu'ils n'ont à offrir que désordre, utopies mortifères, désolation, violence, repentance imméritée, multiculturalisme chimérique, communautarisme létal et rejet du beau, du bon, du juste, du vrai… en un mot, cette sinistrose qui est le seul “bien” (un bien vraiment très mauvais !) que le fisc nous permette de garder encore.
’‘Attaché a ma patrie par une tradition familiale déjà longue, nourri de son héritage spirituel et de son histoire, incapable en vérité d’en concevoir une autre ou je puisse respirer a l’aise, je l’ai beaucoup aimée et servie de toutes mes forces’’ . C’est de Marc Bloch, que l'on ne citera jamais assez. Dans une dernière lettre a ses parents, il ajoutait : “Vous m’avez appris à mettre certaines choses au dessus de la vie même”, écrivant ces mots pendant les drames sans nom de la guerre et de la folie des hommes… où, seulement parce qu’il s’appelait Bloch, il allait quitter cette vie moins valable à ses yeux que son amour pour sa Patrie… fidèle perinde ac cadaver, comme disait Ignace de Loyola (voulant dire : jusqu'à la mort). Prémonition, ou beauté d'une âme ?
Le très républicain Ernest Lavisse écrivait, dans la préface de son “Histoire de France” : “Tu dois aimer la France parce que la nature l’a faite belle, et parce que son histoire l’a faite grande”… Les modes changent, pas comme il faudrait, hélas. Mais comme j’ai honte des fausses pudeurs et des repentances compulsives actuelles, toutes à contre-vérité, toutes perverses et nocives, réinventées et déconnectées de toute vérité autre que “la doxa officielle” –qui ne sont que partisanes... je reste , en bon républicain et contre vents et marées, à contre-rythme de tout le mal que se donnent ceux qui, au prétexte de la faire aimer, ne savent que la rendre haïssable au point de mettre ''vent debout'' tous les braves gens du pays, tous les deux ou trois ans...
Car la France, après seulement 325 ans ''avec'', contre plus de 1500 ans ''sans'', se proclame et se répète républicaine… au point qu'il semble obligatoire à ses leaders de répéter cette particularité à chacun de leurs discours, ce qui est tout-à-fait redondant et quelque peu ridicule : imagine-t-on tous les royaumes du monde chanter à la fin de chaque prise de parole les mérites de la royauté, à temps et à contre-temps ? La République, chez nous, n'est plus en danger, et depuis fort longtemps. Arrêtons ce faux culte qui force ses promoteurs et ses thuriféraires à renier tout autre culte responsable de son ''être'' et de son ''avoir été'' –au profit, même pas reconnu comme tel, d'une soumission aveugle à des rites qui ne sont inscrits ni dans nos gênes, ni dans notre Histoire, ni sous nos climats, ni dans les attentes de nos citoyens contraints d'en accepter les conséquences dont, massivement et avec juste raison, ils ne veulent pas... Alors… “Vive la France”, un point, c'est tout ! Et s'il faut –comme le disent certains-- s'appuyer sur l'Europe... faisons-le, dans des limites où le rôle principal ne perd pas ses prérogatives au profit d'un ''second rôle''.
Notre patrimoine est là… reprenons notre destin en mains ! “N’ayez pas peur”, recommandait Jean-Paul II… Tout est ouvert, tout est prêt à renaître… Le futur sera ce que nous en ferons… espérons-le différent de tout ce qu'ils ont fait de notre présent. Et aujourd'hui, alors que la France est diaboliquement menacée dans son essence autant que dans son existence, et que les ultimes patriotes tentent une dernière fois de la sauver des miasmes mortifères de Bruxelles, j'avais envie de partager tout ça…
H-Cl
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J’sais pas trop pourquoi j’fais ce texte. J’ai envie ?
Parce que l’art c’est ma came et ma dr**ue et c’est ce qui me fait triper. Alors tiens, voilà un texte random qui sort de nulle part et que tu peux éviter, si ça te chante. peut-être qu'il sera temporaire et s'auto-détruira prochainement. Qui sait.
Si t’as du temps à me consacrer. C’est comme tu veux, t’es libre, petit piou.
Parfois je passe des heures sur Pinterest. Je contemple des affiches de cinéma - J’ADORE LE CINÉMA - mon regard capte un truc dans la rue et je me gorge de ce que je vois et ce j’apprends. Je peux passer des heures à regarder tous les détails d'une carte de tarot ou les briques d'une architecture gothique. (neuroA power) Je dévore des oeuvres d’art. Je jauge d’un oeil critique les miniatures des affiches de streaming, souvent en soupirant parce que je rêve de voir quelque chose d’original, qui surpasse le classique et le commun. Je vois des artistes indépendant-e-s même pas payé-e-s faire 50 fois mieux et je me demande si on regarde ces gens-là avec le même regard que le miens. Je suis exigeante et parfois ça se retourne contre moi. Mon monde et mon quotidien, c’est ça qui nourrit mon imaginaire et mon ambition parfois vraiment éclatée au sol. J’en ai besoin pour créer. J’ai pas envie de diffuser du générique, de copier inconsciemment le-a voisin-e pour me dire « merde, j’ai jumelé le boulot d’un-e autre » plus tard. Parce que ça arrive, parce que c’est humain. Parce qu’on s’inspire tous et que c’est inévitable. Surtout quand on a une baisse fatale d’inspiration. Faut pas se leurrer. Mais tu sais quoi ? Du moment que ce méli-mélo d’images enregistrées dans mon crâne donne quelque chose de personnel, que je continue d’entendre « J’ai reconnu ton style tout de suite avant même de savoir que c’était toi », alors ça va. J’irai bien dans ma créativité. Et si je dérape et qu’on me reconnaît plus, j’appuierai sur le gros bouton rouge pour dire stop, prendre du recul et retourner jauger mon monde pour y puiser mes ressources.
Du coup parfois je disparais pendant quatre ans pour revenir comme une fleur. Littéralement. C'est ce que j'ai fait, for true.
Voilà, c'est tout.
Un jour je vous montrerai peut-être mon devianart.
À plus,
Swan
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Il n’y a pas d’Autre de l’Autre
«C’est même le principe de la relation intersubjective comme telle, c’est que cet Autre comme lieu de parole nous est immédiatement et effectivement donné comme sujet, c’est-à-dire comme sujet qui nous pense nous-même comme son Autre.
C’est là le principe de toute stratégie : quand vous jouez au jeu d’échecs avec quelqu’un,
vous lui attribuez autant de calculs que vous en faites.» Lacan - Les formations de l’inconscient
Ce qui s'appelle l’Autre avec un grand A (le grand Autre de la psychanalyse), c'est l'instance convoquée par le sujet - qu’il le veuille ou non - du fait même d’être parlant, qui donne un sens (ou pas) à ce qu’il dit, y compris (et même surtout) lorsqu’il se parle à lui-même.
Le grand Autre donne son architecture subtile à la "substance sociale", les significations explicites et implicites, le sens et le non-sens, de chacune des paroles et des actes qui signifient le sujet.
Le paranoïaque ne croit pas au grand Autre, raison pour laquelle il s'imagine toujours un autre derrière l'Autre en ramenant le grand Autre à la dimension d'un petit autre (le semblable) qui manipule et tire les ficelles, ce qui revient in fine à nier l'Autre en tant que tel, c'est à dire l’altérité radicale du lieu de la parole, la forme langagière en tant que telle qui conditionne l’accès au langage…
Moi est le je de l’Autre.
Dans la «communication», chacun ne fait que recevoir de l'Autre son propre message sous sa forme inversée.
L'inconscient c'est le discours de l'Autre, le désir c'est le désir de l'Autre, l'Autre c'est le nom donné à la vérité présupposée qui fait structure de tout discours, la vérité à laquelle nous avons à nous référer implicitement, d'autant plus lorsque nous nous mentons à nous-mêmes.
L'Autre est l'ordre des règles non-écrites qui régit nos paroles et nos actes, la garantie ultime qu'il y a bien une vérité sur laquelle peuvent s'appuyer nos mensonges...
Il ne suffit pas de savoir qu'on est manipulé, encore faut-il savoir qu'il n'y a personne à la place du manipulateur.
Voilà ce que veut dire: l'Autre barré de la psychanalyse (le primat du signifiant sur le sujet).
La manipulation suprême — bien qu’il n’y ait personne à la place du manipulateur — est celle qui nous conduit cependant à penser que nous sommes victimes de forces occultes toutes puissantes.
Mais le "monde", qu’est-ce donc si ce n’est notre fantasme qui se soutient d'un certain type de pensée?
Se délivrer de l’empire de l'opinion constitue un premier pas hors du fond de la caverne.
Depuis sa posture de victime innocente, impassible et indignée, la Belle Âme qui dénonce la corruption du monde y participe pleinement, en donnant consistance, persistance et réalité, à cette corruption du monde qu'elle dénonce.
La fausseté de la position subjective de la Belle Âme réside dans son refus de voir que son éternelle posture de victime indignée face aux cruelles circonstances masque la collusion et la complicité que sa participation implique, qu'elle le veuille ou non.
La leçon de la psychanalyse n'est pas: "renoncez à vos rêves et à vos désirs dénués de sens, la vie est cruelle, acceptez-la telle qu'elle est..." mais plutôt: "vos jérémiades et gémissements ne sont qu'hypocrisie car ils sont le paravent derrière lequel vous vous adaptez à cette réalité faite de manipulation et d'exploitation."
«Je ne prétends pas être un martyr. Ni même une victime de la société. Non, je ne suis pas une victime, je suis un membre de la société...»
K. rejette le rôle de victime, dans ses conclusions, il finit par déclarer que si l'on peut parler de conspiration, c'est seulement dans la mesure où la fonction essentielle du "pouvoir" est de persuader les sujets qu'ils sont les victimes de forces irrationnelles absurdes, que le monde est fou, dépourvu de sens et dangereux.
Voilà le travail de l'idéologie au quotidien, dont nous n’avons qu’une vague impression car nous sommes immergé dans le discours dominant, dont la fonction est de nous mettre dans les conditions de théâtraliser notre indignation, en finissant par dire «je ne suis pas d’accord» ou «je suis d’accord», après avoir ravalé la complexité de chaque position du sujet dans le monde au système préformaté par l’opinion.
Plus le sujet est narcissique, plus il a besoin de l’Autre pour y faire porter ses reproches et sa plainte, et plus il accroît sa dépendance à son égard.
Plus les politiciens sont corrompus, plus ils ont besoin de l'ordre des apparences, des médias en tant qu'ils jouent le rôle de l'Autre "supposé-croire", même si c'est pour les critiquer, les moquer, les vilipender, le plus important c'est que soit maintenue mordicus la croyance de "l'opinion" dans le jeu de fausses oppositions qui leur a valu — et continuent à leur valoir — l’accession au pouvoir...
Lorsque K. quitte la Cathédrale, deux policiers en civil l'attendent pour l'emmener dans un immeuble abandonné et l'exécuter.
Dans la version d'Orson Welles, la raison pour laquelle K. se fait liquider est l'exact contraire de celle invoquée dans le roman (il représente une menace car il a découvert la fiction fondatrice à partir de laquelle le pouvoir existant étend son empire).
La manière dont Welles lit Le Procès transcende les deux approches dominantes de Kafka: l'obscurantiste-religieuse tout autant que la naïve-humaniste, K. est effectivement coupable, mais ce qui le fait coupable, c'est précisément sa protestation d'innocence, le fait qu'il argue avec autant d'arrogance de son innocence, en plaçant toute sa confiance dans une argumentation naïve-rationnelle.
Dans l'univers de K. tu dois d'abord prouver ta culpabilité, les innocents ne pouvant en aucun cas être pardonnés.
L’erreur de bonne foi est, de toutes, la plus impardonnable, dira Lacan…
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NORMAN FOSTER - Rétrospective au Centre Pompidou
Un planeur en suspension. Une voiture de collection. Un camping-car aérodynamique. Un dôme géodésique. Des sculptures de Brancusi. Un bronze de Boccioni… Non, ce n’est pas une chanson de Boris Vian. C’est le cœur de l’exposition Norman Foster », une exposition d’architecture qui excède largement les frontières du genre.
C’est la première fois que la discipline qu’on appelle « mère de tous les arts » a les honneurs de la Galerie 1, l’espace le plus prestigieux de l’institution parisienne.
Patron d’une agence de 1 800 salariés dont il n’est pas exagéré de dire qu’elle a remodelé, en quelques décennies, la face de notre monde et reconfiguré la manière dont on y vit, Norman Foster est présenté ici comme un démiurge qui n’aurait jamais renoncé à ses rêves d’enfant et qui aurait même mis toute sa puissance au service de leur réalisation.
Un garçon issu d’un milieu modeste, fils d’un comptable et d’une caissière, qui s’est hissé au firmament des architectes (il a reçu le prix Pritzker en 1999), a été anobli par la reine Elizabeth II (en 1999 également), qui collectionne les voitures prototypiques et pilote des avions dès qu’il en a l’occasion (il en aurait essayé soixante-quinze types différents, du planeur à l’avion de ligne).
L’entrée dans l’espace principal de l’exposition dévoile une diversité de maquettes et de manière de les faire que les étudiants en architecture apprécieront certainement. En filigrane de ces immenses modèles réduits qui côtoient des détails à l’échelle 1, c’est l’histoire professionnelle de l’architecte britannique qui se donne à lire : ses rencontres, particulièrement celle avec Buckminster Fuller, et sa principale rupture, celle avec la Team Four et Richard Rogers en 1963, point de départ de l’agence Foster + Partners.
Norman Foster se défend, dans une interview accordée au commissaire de l’exposition Frédéric Migayrou d’une «architecture intemporelle». Il semble surtout se servir de cette exposition pour réécrire son histoire de concepteur. Car cet événement, le starchitecte en est à l’origine : il l’a conçue et financée, en partenariat avec sa propre fondation, la Norman Foster Foundation, et des partenaires privés, Bloomberg, J.P. Morgan et JCDecaux.
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Je suis partie ce week end à Stuttgart.
J'ai pu voir de beaux monuments, une architecture complètement différente de celle française, visiter des parcs et jardins, manger dans de bons restaurants. En une journée plus de 20 kms effectués.
J'ai aussi pu sortir le soir et danser. Combien d'années je n'avais pas danser ? Je ne serai dire. Mais une sensation de liberté m'a traversé en suivant le rythme de la musique.
Ce soir, je suis sur le retour et le retour à la réalité est plus dur que je ne le pensais.
Toutes sortes de questions ruminent :
- Depuis combien de temps tu te restreints à cause d'un mec ou de la famille ?
- Ton boulot est parfois lourd, est ce vraiment ça que tu veux faire ?
- où sont mes rêves ? Ceux que je devais réaliser depuis fort longtemps ?
- où est mon âme d'enfant et la good vibes?
Toutes ces questions ne servent peut être à rien mais, une chose est sûre, je suis épuisée.
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Un hémisphère dans une chevelure
Laisse-moi respirer longtemps, longtemps, l'odeur de tes cheveux, y plonger tout mon visage, comme un homme altéré dans l'eau d'une source, et les agiter avec ma main comme un mouchoir odorant, pour secouer des souvenirs dans l'air.
Si tu pouvais savoir tout ce que je vois ! tout ce que je sens ! tout ce que j'entends dans tes cheveux ! Mon âme voyage sur le parfum comme l'âme des autres hommes sur la musique.
Tes cheveux contiennent tout un rêve, plein de voitures et de mâtures ; ils contiennent de grandes mers dont les moussons me portent vers de charmants climats, où l'espace est plus bleu et plus profond, où l'atmosphère est parfumée par les fruits, par les feuilles et par la peau humaine.
Dans l'océan de ta chevelure, j'entrevois un port fourmillant de chants mélancoliques, d'hommes vigoureux de toutes nations et de navires de toutes formes découpant leurs architectures fines et compliquées sur un ciel immense où se prélasse l'éternelle chaleur.
Dans les caresses de ta chevelure, je retrouve les langueurs des longues heures passées sur un divan, dans la chambre d'un beau navire, bercées par le roulis imperceptible du port, entre les pots de fleurs et les gargoulettes rafraîchissantes.
Dans l'ardent foyer de ta chevelure, je respire l'odeur du tabac mêlé à l'opium et au sucre ;
dans la nuit de ta chevelure, je vois resplendir l'infini de l'azur tropical ; sur les rivages duvetés de ta chevelure je m'enivre des odeurs combinées du goudron, du musc et de l'huile de coco.
Laisse-moi mordre longtemps tes tresses lourdes et noires. Quand je mordille tes cheveux élastiques et rebelles, il me semble que je mange des souvenirs.
Charles BAUDELAIRE, Petits poèmes en prose, Les Paradis artificiels
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#dreams#dreams memes#dream meme#clocks#funny#my silly memes#fun fact: you can lucid dream if you recognize this kind of clock bullshit bc usually it only happens in dreams#reality checks#architecture des rêves
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حلم بحبة عنب (2) -2016 ** Rêve d'un grain de raisin (2) 80/80 cm Technique mixte sur toile / 2016 ** Sogno di un acino d'uva (2) 80/80 cm Tecnica mista su tela / 2016 **(2) Dream of a grape mixed media on canvas 80/80 cm / 2016 #art #artist #drawing #artwork #painting #artistsoninstagram #illustration #digitalart #design #arte #dessiner #portrait #instadaily #instaart #travel #art contemporain #handmade #photographer #creative #artgallery #instalike #sketchbook #photoshoot #architecture #peinture #abstractart #dessins #art #artist #drawing #artwork #painting #artistsoninstagram #illustration #digitalart #design #arte #dessiner #portrait #instadaily #instaart #travel #art contemporain #handmade #photographer #creative #artgallery #instalike #sketchbook #photoshoot #architecture #peinture #abstractart #dessins https://www.instagram.com/p/CpZOpgxIJ7w/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Réalisez votre maison de rêve avec des professionnels de confiance
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Basilique Sainte-Marie-Majeure, la construction a débuté au 5e siècle et c'est fini au XVIIIe siècle. Seul basilique de Rome à avoir conservé sa structure paléochrétienne primitive. Mélange de style paléochrétien et baroque dû à des enrichissements tout au long de l'histoire. La basilique en elle-même possède une histoire et une origine qui parfois s'approche de la légende. La nuit du 4 au 5 août 356, la Vierge apparut en rêve au pape Libère, ainsi qu'à un riche Romain nommé Jean. Elle demandera à ses deux hommes d'ériger un sanctuaire sur un lieu qui devait être déterminé. Ce n'est qu'au matin, lorsque constatant une neige en plein mois d'août sur une zone précise, que le Pape et Jean décidèrent d'ériger la Basilique qui sera nommée "Liberiana de Santa Maria Ad Nives (Sainte-Marie-aux-Neiges) à l'endroit où se trouve la surface ayant été enneigée. Toutefois, cette légende n'est signalée qu'après l'an 1000 pour la première fois.
L'Architecture Paléochrétienne est la plus ancienne des architectures en lien avec le Christianisme et les constructions qui vont avec. Ses débuts du IIe siècle à 313 seront modestes et elle ne se développera pas à cause de la persécution chrétienne en vigueur dans l'empire romain à cette époque. Cette architecture est ainsi l'héritière directe de la tradition architecturale de la Rome classique. Ne créant aucun vocabulaire nouveau, mais donnant aux éléments qu'elle a autour un nouveau sens pour pouvoir assembler les fidèles tout en permettant de magnifier les lieux saints, rendre un culte aux martyrs et honorer les morts. Elle connaître un renouveau au VIe siècle autour de Constantinople tandis que la chute de l'Empire romain d'Occident en 476 mènera aux architectures mérovingienne puis carolingiennes et ottoniennes.
L'Architecture Baroque, elle apparaît au début du XVIIe siècle en Italie et ira rapidement se propager dans toute l'Europe. Elle est une redécouverte et une réinterprétation par la renaissance d'architecture antique et sera employé d'une manière qui sera nouveaux, plus rhétorique, théâtre et ostensible. Cette architecture a pour but de servir le projet de l'absolutisme triomphal de l'Église et des États catholique tout en se caractérisant par un usage opulent et de façon tourmenté des matières, des couleurs, des jeux d'ombre et de lumière tout en mettant un accent visible sur le mouvement et les impressions. Née à Rome, l'Architecture Baroque sera dans un premier temps une tentative de retrouver la grandeur Romaine de la part des premiers architectes, et cela, au travers d'une architecture sévère, mais possédant une grandiosité et une rigourosité propre à cette époque. Elle se laissera toutefois progressivement par la couleur, le goût des courbes avant de donner naissance au XVIIIe siècle à une architecture exubérante, riche en détails et dont l'éloquence sera l'expression principale.
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Jour 21
Un jour dédié au triomphe du sourire cosmétique
Jour de pluie. J'en profite pour laver mes frusques. Tiens, et si je déclenchais la télévision. En surgit des séries russes pour nous inconnues mais avec des ressorts similaires: une enquêtrice pugnace, un couple en proie au pathos, des pelletées de cellules criminelles et des documentaires sur la valeureuse force de l'armée russe contre les nazis. Je m'arrête sur une chaine musicale. Y abonde des dames posters ondulant leurs croupes de sequins tout en secouant leurs chevelures et se plaquant contre le chanteur quelconque voire contre sa voiture lustrée. Là, le paradis déverse ses gluantes embrassades familiales, les facéties des bandes de potes et la vastitude des appartements. Le bonheur se compte au nombre de dents que les lèvres tranchées présentes. Tout y est propre et sans accros.
Le soleil revient. Je m'enferme dans le musée dédié aux soeurs Aslamzian. Je suis fortement attiré par une grande toile jubilant de couleur. Elle date de 1946. Que de vie! Un troupeau de belles paysannes heureuses offrent des victuailles aux joyeux commissaires soviétiques chargés de soutenir l'effort de guerre.
Sur la place centrale je m'arrête devant un imposant cheval qui se cabre. Il emmène au plus haut un roi triomphant. D'une main il brandit une épée. De l'autre une croix chrétienne. C'est grace à lui que l'Arménie a préservé sa chrétienté face aux perses. Je m'interroge. Mais depuis quand il est là lui? On me répond depuis 2008. Mais avant, quelle autre statue-mythe a servi de rampe de soutien pour garder le cap vers le futur radieux et sublimer le dur présent? A cela, personne ne sut me répondre.
Car l'époque soviétique a déversé en tout lieu des statues héroïques indiquant l'idéal à suivre. Il n'en reste que celles non lié aux personnages du pouvoir de l'époque. Donc aujourd'hui on continue de rencontrer des corps stylisés de muscle en pleine santé. Ou bien de rencontrer des émanations du futur visionnaire. Comme celle située dans un axe paumé, aux abords d'une route défoncée, qui, du temps soviétique était bien asphaltée. Là, on y déposa un vaisseau spatial. Pour l'instant un monsieur chargé de courses boitille sous la pluie face à l'utopie intergalactique.
Et si j'allais visiter le monastère à 10 bornes d'ici? Les églises arméniennes impressionnent de par leur architecture mais aussi de par le lieu où elles furent érigées. Bon là surgit les dents commerciales d'une dame vampiresque que j'arrive à éviter. J'entre en paysage. La colline rugueuse descend vers une rivière. De l'autre coté de la rive, des humains construisent un nouveau rêve: un glamping. Le vide de la steppe se recouvre de divers habitats dédiés au bien-être et à la cloche du prends soin de toi. Prochainement, là, on pourra se réveiller zen face aux ruines ancestrales. Et alors, surement, les lèvres se dézipperont pour offrir au ciel l'email de ses multiples dents respirant le bonheur du présent idéal.
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