#appellations végétales
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Steaks végétaux : la fin d’une interdiction controversée
Les appellations carnées pour les alternatives végétales, interdites depuis 2022, viennent d’être restaurées. Découvrez pourquoi cette décision fait date.
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Comment Générer des Revenus Stables Grâce à l'Affiliation
Comment Générer des Revenus Stables Grâce à l'Affiliation
Si vous cherchez à obtenir des revenus passifs de manière continue, le marketing d'affiliation pourrait être la solution idéale pour vous. Ce modèle commercial est en plein essor et donne la possibilité à de nombreuses personnes de gagner leur vie en recommandant des produits et des services dans lesquels elles croient. Mais comment maximiser vos gains dans ce secteur compétitif ? Dans cet article, nous allons explorer en profondeur les stratégies clés que vous pouvez adopter pour générer des revenus stables grâce à l'affiliation.
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Une Plongée dans l'Univers de l'Affiliation
L'affiliation repose sur un principe simple : vous devenez affilié et partagez des liens spécifiques vers les produits que vous aimez. Chaque fois qu'un utilisateur clique sur votre lien et réalise un achat, vous percevez une commission. Les programmes tels qu’Amazon Associates ou Rakuten Marketing sont parmi les plus populaires. Saviez-vous que vous pouvez gagner jusqu'à 10 % de commission sur les produits Amazon ? Ce modèle offre une flexibilité et une liberté d'action incomparables, sans le stress de la gestion d'inventaire. Vous pouvez travailler de n'importe où dans le monde, tant que vous avez une connexion Internet.
Sélectionner la Niche Gagnante
Avant de plonger dans l'affiliation, il est impératif de choisir une niche pertinente. La niche est un segment de marché spécifique, et le choix de la bonne niche est souvent la clé du succès. Évitez d'opter pour une niche saturée ; privilégiez les marchés à forte demande mais avec une faible concurrence.
Quelles sont les niches rentables ?
Santé et Bien-être : Avec un marché en constante expansion, il existe d'innombrables produits à promouvoir, allant des suppléments nutritionnels aux applications de fitness.
Technologies émergentes : L'essor des objets connectés et des nouvelles technologies offre des opportunités intéressantes.
Nutrition végétale : Cette tendance en plein essor attire de plus en plus de consommateurs soucieux de leur santé.
Utilisez des outils comme Google Trends pour analyser les tendances émergentes et les besoins du marché. Cela vous permettra de vous positionner sur des sujets qui vous apportent réellement du trafic.
Créer un Contenu qui Convertit
Vous avez choisi votre niche ? Super ! La prochaine étape cruciale consiste à créer un contenu attrayant qui incite à l'achat. En effet, le contenu de qualité est roi dans le marketing d'affiliation.
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Comment créer un contenu convaincant ?
Rédiger des articles de blog détaillés : Proposez des articles informatifs et utiles. Par exemple, si vous parlez des bienfaits d'un produit, faites des revues approfondies et incluez des témoignages de clients.
Utilisez des visuels : L’intégration de vidéos, d’images et d’infographies peut significativement augmenter vos taux de conversion. En effet, les articles incluant des éléments visuels génèrent 94 % de vues supplémentaires.
Incorporer des liens d'affiliation : Placez-les naturellement dans votre contenu. Un appel à l'action bien placé peut faire toute la différence.
Tenez un blog régulier : Mettez à jour votre contenu régulièrement pour le garder pertinent et efficace. Cela aidera également à l'optimisation pour les moteurs de recherche (SEO).
Exploiter la Puissance des Réseaux Sociaux
Les réseaux sociaux sont des outils puissants pour les affiliés. En intégrant votre stratégie d'affiliation à vos comptes sur des plateformes comme Instagram, Facebook, et TikTok, vous pouvez toucher une audience beaucoup plus large.
Stratégies efficaces sur les réseaux sociaux
Partagez des démonstrations de produits : Montrez à votre audience comment utiliser un produit. Les vidéos de démonstration créent de l’engagement.
Créez des épingles sur Pinterest : Ce réseau sous-utilisé par de nombreux affiliés permet de générer un trafic organique continu. Chaque épingle a le potentiel de circuler pendant des mois !
Engagez avec votre communauté : Répondez aux commentaires et interagissez avec vos abonnés. Cela humanise votre marque et encourage la fidélité.
En apportant une touche personnelle à vos publications, vous boosterez non seulement le trafic vers vos liens d'affiliation, mais également l'engagement de votre communauté.
Analyse et Optimisation : Les Clés du Succès
N’oubliez pas, le succès dans le marketing d'affiliation repose sur l’analyse et l’optimisation.
Quelles données suivre ?
Utilisez Google Analytics : Cet outil vous permet de suivre le comportement de vos visiteurs. Quel contenu génère le plus de trafic ? Quels produits se vendent le mieux ?
A/B Testing : Testez différentes versions de vos articles ou de vos appels à l'action pour identifier ce qui fonctionne le mieux. Faites des ajustements basés sur vos résultats.
Analysez trimestriellement vos performances : Examinez vos chiffres au moins une fois tous les trois mois. Cela vous aidera à adapter vos stratégies en fonction des évolutions du marché.
Meilleures pratiques pour l'optimisation
Mettez à jour le contenu ancien : Ne laissez pas les articles démodés. Actualisez-les régulièrement pour qu'ils restent pertinents.
Optimisez pour le SEO : Intégrez des mots-clés stratégiques dans vos articles pour augmenter votre visibilité sur les moteurs de recherche.
Variez votre contenu : Proposez des articles, des vidéos et des podcasts pour capturer différentes audiences.
L’optimisation est un processus itératif qui nécessite temps et patience, mais elle peut transformer votre approche d'affiliation et maximiser vos revenus.
En définitive, le marketing d'affiliation représente une opportunité d'affaire fascinante pour quiconque est prêt à investir du temps et des efforts. En choisissant la bonne niche, en créant du contenu captivant, en utilisant efficacement les réseaux sociaux et en optant pour une approche analytique, vous ouvrirez la voie à des revenus stables. Alors, êtes-vous prêt à franchir le cap et explorer le monde prometteur de l'affiliation ? Vos revenus de demain vous attendent avec impatience.
N’hésitez pas à laisser vos réflexions et vos expériences en commentaire. La communauté grandit, et chaque retour d’expérience est précieux !
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08 décembre 2024.
Au premier jour de sa création, Dieu, par sa Parole, fait resplendir la lumière du sein des ténèbres qui couvraient la face de l’abîme, c’est-à-dire des océans. L’écran de vapeur d’eau enveloppant la terre s’est en partie dissipé, et la lumière de ce jour permettra le développement des premières espèces végétales.
Par ces faits concrets, Dieu donne un enseignement moral : là où il se manifeste, il éclaire. Puis il appelle les choses par leur nom, la lumière : jour ; les ténèbres : nuit. Il sépare la lumière des ténèbres, le bien du mal, la justice de l’iniquité.
Le deuxième jour : Les cieux : versets 6 à 8.
Ce jour est marqué par la création des cieux atmosphériques, distincts des cieux astraux du premier verset. Les nuages de vapeur d’eau se condensent et se séparent nettement des océans du globe. Entre eux se forme l’atmosphère, essentielle à la vie végétale et animale, et à l’existence de l’homme ici-bas.
Le troisième jour : La terre et la mer. Les végétaux : versets 9 à 13.
Dieu parle deux fois ce jour-là. Il prépare sur la terre une “partie habitable” en repoussant avec autorité les flots de la mer, en imposant des limites aux océans, (Job, 38 verset 11).
Les montagnes sont établies sur leurs bases. A la parole de Dieu, sur un sol fertile, pousse une végétation admirable dans ses moindres détails.
Tout est régi selon un ordre divin, “selon
son espèce”, et se développe : la semence, la plante, le fruit. Tout est soutenu par la parole de sa puissance, (Hébreux, 1 verset 3). La sagesse divine produit cette même harmonie dans l’univers moral.
Le quatrième jour : le soleil, la lune et les étoiles : versets 14 à 19.
Leur création est sous-entendue dès le premier verset. Mais après dissipation des nuées, ils sont rendus visibles pour que se développe la vie sur la terre, et pour que l’homme en bénéficie, selon un effet de la bonté de Dieu.
À suivre...
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Journal of Applied Entomology Call for Papers The Neglected Pollinators: Understanding the Importance of Lesser-Known Insect Taxa in Pollination
See on Scoop.it - EntomoScience
The Journal of Applied Entomology publishes the most current research in applied entomology, including mites and spiders in terrestrial ecosystems.
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NDÉ
Traduction (début du texte)
Appel à contributions Les pollinisateurs négligés : Comprendre l'importance des taxons d'insectes moins connus dans la pollinisation
Date limite de soumission : Mardi 31 décembre 2024
« Je respecte les choses sans importance et les êtres sans importance. J'accorde plus de valeur aux insectes qu'aux avions » (Manoel de Barros). Le poète brésilien Manoel de Barros décrit abondamment sa fascination pour la nature, et plus particulièrement pour les insectes.
De même, ce qui peut sembler être un insecte « sans importance » pour les citoyens ordinaires est un sujet passionnant pour les scientifiques à bien des égards. En effet, nous, scientifiques, reconnaissons l'importance des insectes pour plusieurs raisons, notamment parce qu'ils fournissent des services écosystémiques essentiels au bien-être de l'homme, parmi lesquels la pollinisation se distingue, mais les scientifiques ne reconnaissent pas de la même manière l'importance des différents taxons d'insectes.
Au cours des dernières années, les entomologistes ont mis en garde contre le déclin radical de l'abondance et de la diversité des insectes. Sans les insectes, la plupart des espèces de plantes à fleurs ne pourraient pas se reproduire et le déclin des insectes menace donc notre existence. C'est pourquoi il est urgent de reconnaître l'importance des insectes pollinisateurs dans la reproduction des espèces végétales indigènes et des cultures agricoles.
Néanmoins, plusieurs groupes d'insectes pollinisateurs restent sous-explorés, négligés, voire ignorés, étant généralement considérés par inadvertance comme « sans importance ». Cette vision équivoque peut refléter des processus écologiques et évolutifs, des contraintes pratiques et méthodologiques, des choix politico-économiques ou simplement la conscience scientifique de la plupart des citoyens.
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#182 - La vie végétale dans un livre … La Goutte de Sève
LA GOUTTE DE SÈVE – Histoire intime de la vie végétale de Edouard Grimard est un livre hors du commun, un grimoire en quelque sorte. Je vous propose de le découvrir par la lecture de sa première et de sa dernière phrase. Une lecture décalée que j’aime appeler L’Alpha et L’Omega. Continue reading #182 – La vie végétale dans un livre … La Goutte de Sève
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Alimentation de synthèse ou chimérique
Très long article (en fait un dossier) de Dominique Guillet, alias Xochipelli, fondateur de Kokopelli (organisme qui promeut les semences dites “anciennes”), à propos des viandes artificielles 3D dont l’encre d’impression de base contient de l’oxyde de graphène. —
« Aujourd’hui, nous assistons à un accroissement cellulaire – hyperbolique et hystérique – de start-ups se lançant dans l’aventure des viandes cellulaires… et autres abominations, prétendument alimentaires, “cultivées” en cuves métalliques à partir de cellules-souches – de boeuf, de canard, de homard, de crevette…
Je les appelle pour ce qu’elles sont: des “viandes chimériques”.
Ces soupes cellulaires sont nourries avec des levures transgéniques chimériques (et moult autres substances industrielles) et elles sont structurées par des hydrogels, ou autres polymères, constitués de nano-substances tout autant industrielles – et toxiques.
Les “viandes cellulaires” sont, également, dénommées “viandes en 3D”, “viandes cultivées”, “viandes synthétiques”, “viande in vitro”, “viandes de laboratoire”,“fausses viandes”, “fake meats”, et, même, “viandes propres”…
L’expression, “viande propre”, est propulsée par le gang des (prétendus) écologistes, promouvant toutes les fadaises de type “New Green Deal”, et elle implique que son contraire – à savoir la “viande sale” – soit produite à partir d’animaux d’élevage qui constitueraient, intrinsèquement, une abomination détruisant la Nature. Tout va bien?
Les “viandes synthétiques” – les “viandes végan” – constituent un élément fondamental de la “4ème révolution industrielle” du dément Klaus Schwab et, tous les jours, je prie la Terre-Mère afin qu’elle active la Grande Réinitialisation, terminale, de cet ignoble eugéniste – une forme de Grand Reset sans Risettes – qui se prend pour le nouveau Messie Vert, Vermicelle et Universel, sur Terre. #ResetKlausSchwab
Mon intention déclarée et transparente, pour cet essai, est de mettre en exergue que certains de ces hydrogels, ou autres polymères, sont, déjà, à base d’oxyde de graphène, de nano-tubes de carbone, ou autres dérivés de graphène, pour la confection et la structuration des dites viandes cellulaires. Il est, également, de mettre en exergue que ces hydrogels, à base de graphène, sont présents, également, dans de nombreuses viandes animales: soit dans les emballages, soit par le biais des “vaccins” animaux anti-grippes, soit en injection directe, soit dans les films “protecteurs” prétendument comestibles.
J’affirme, de plus, que le graphène va devenir, très rapidement, l’un des éléments essentiels dans la création de tissus musculaires, ou autres tissus, dénommés “viandes cellulaires”, destinés à “l’alimentation humaine”. […]
De plus, en toute simulation et dissimulation, l’industriel des Aliments Chimériques Imprimés en 3D occulte la présence de dérivés de Graphène au prétexte qu’ils sont d’origine végétale – à savoir, confectionnés, grâce à de la haute technologie industrielle, à partir de n’importe quelle bio-masse végétale carbonnée.
A ce propos, au sujet du Véganisme dont les mets chimériques sont gavés de Graphène architectural. N’est-il pas fascinant, et un tantinet ironique, que la clique de la Davocratie Schwabiste, et autres Globalistes eugénistes, soient en cours de promouvoir, en masse, le Véganisme universel… alors que les Humains, tout au contraire, aujourd’hui, ont excessivement besoin de Glutathion? Pourquoi? Pour se protéger du Graphène, et de toutes les autres nano-particules métalliques – en sus des autres polluants industriels et agricoles – qui contaminent toute la Biosphère.
En effet, le Glutathion, cet anti-oxydant majeur et de première ligne, ne s’élabore, dans l’organisme humain, qu’a partir de trois acides aminés – la cystéine, la glycine et l’acide glutamique – que l’on retrouve, principalement, dans les viandes, les poissons, les crustacés, les oeufs, les produits laitiers… en bref, toutes substances, authentiquement, nutritionnelles mais, strictement, interdites aux Végans totalement lobotomisés. Aujourd’hui, le Véganisme constitue une forme de suicide assisté par les thérapeutes du Climat… les mêmes qui, d’ailleurs, induisent, dans la jeunesse, des comportements suicidaires eu égard à un réchauffement atmosphérique fantomatique et à une fournaise terminale – qui n’existe que dans leur cerveaux délabrés.
Et cela s’avère d’autant plus fascinant que les “aliments” très chimériques – faux saumon, faux boeuf, faux bacon, fausse crevette, etc – dont vont se pâmer les Végans les plus hystériques, sont confectionnés à partir de “bio-encres”, et autres soupes cellulaires polymériques et magnétiques, dont les hydrogels/échafaudages, sont à base de Graphène ou de ses dérivés! Du Graphène issu de bio-masse végétale – s’entend! Et bientôt certifié par la Mafia Bio?
Au prétexte d’un concept, dément, de “dé/Carbonisation” de l’Atmosphère, les industriels des aliments chimériques – qui veulent “Sauver le Climat” – échafaudent leurs fraudes nutritionnelles, en 3D, avec des hydrogels dérivés du Graphène… un allotrope du Carbone. » (Xochipelli, alias Dominique Guillet)
‣ Blog de Xochipelli, « Los Cantos de Xochi. De l’oxyde de Graphène, des nano-tubes de Carbone, de l’ADN synthétique, dans les nano-fibres des aliments chimériques (viandes, poissons, crevettes, anguilles…) cultivés en cuves métalliques et, surtout, imprimés en 3D… et, même, dans les viandes animales. » pub. 3 avr. 2024, https://xochipelli.fr/2024/04/de-loxyde-de-graphene-des-nano-tubes-de-carbone-de-ladn-synthetique-dans-les-nano-fibres-des-viandes-cellulaires-cultivees-en-cuves-metalliques-et-dans-les-viandes-animal/ (cons. 25 juil. 2024).
— Ill. : https://xochipelli.fr/category/graphene/ (cons. 26 juil. 2024)
#viande 3D#viande chimérique#graphène#Xochi#Xochipelli#Dominique Guillet#Kokopelli#cloud#vaccins#nanoparticules#alimentation#malbouffe#junkfood
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La réalité du monde à venir ! La mort de l'humanité et la naissance de l'IA (15 mn)
L'humanité qui est devenue tellement artificielle, superficielle, et complètement ignare et confuse ne se relèvera pas de ce qui est en train de se mettre en place.
Le Monde de l'IA, de ses robots, des bébés en plastiques et des cerveaux cybernétiques. Les xénobots !
Explications de Zack Mwekassa tirées de “ L’enfer est là. Les robots qui font des enfants sont là. La fin est proche. “
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Notes : Nous y apprenons que des scientifiques américains ont créé des robots qui se reproduisent entre eux.
Mais le terme “robot” a évolué et ne signifie plus qu’il est constitué d’acier, de cuivre, d’aluminium, de fils, des fibres et d’électricité.
Il existe dorénavant une nouvelle catégorie de robots avec des cellules souches venant d’embryons de grenouilles griffées d’Afrique Australe sur lesquels sont prélevés des morceaux de peaux et de coeur.
On programme une image 3D sur ordinateur par des algorithmes afin qu’elle bouge dans une direction donnée et par un procédé complexe, on y ajoute des cellules souches qui s’agglomèrent et prennent vie.
Le robot est constitué d’une peau dont la chair a été créée en laboratoire et qui a la capacité de se reproduire ou se dupliquer.
Grenouille africaine à griffes (sang froid)
La grenouille africaine à griffes est un amphibien carnivore qui appartient à l’espèce Xenopus laevis. Elle est différente des autres grenouilles pour plusieurs raisons, notamment son manque de cordes vocales et de paupières et la présence de petites pointes en forme de griffe sur certains de ses doigts. (suite de la description)
“Et je vis sortir de la bouche du dragon, et de la bouche de la bête, et de la bouche du faux prophète, trois esprits impurs, semblables à des grenouilles. “ (Apocalypse 16:13)
Rappelons que le récit de la Création n’est pas celui de tous les humains se trouvant sur terre aujourd’hui et dans toutes les générations.
Tous les humains ne viennent pas de la lignée adamique ; il y a une lignée intermédiaire qui n’est pas constituée d’humains et que l’on appelle les Néphilim, les anges déchus ou démons ; qui se sont rebellés contre YHWH car ils ne voulaient pas être gouvernés par un être fait de chair et de sang (ADN).
Ils ont revêtu une forme humaine pour pouvoir rester sur terre. Puis, maintenant il y a ceux qui sont créés en laboratoire. Ces créatures spécialement conçues pour cette époque pour des actions précises pourront également faire partie d’unités spéciales.
Elles n’ont aucun point commun avec nous car sont capables d’actes atroces qu’un être humain descendant d’Adam ne peut pas commettre.
Ceci est un message d’espoir envers l’humanité car souvent nous attribuons à des humains des actes barbares commis par des créatures venant des ténèbres et ayant l’apparence humaine.
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Voici un passage du livre “Et l’homme créa la vie... La folle aventure des architectes et des bricoleurs du vivant” de Joël de Rosnay et Fabrice Papillon (2010)
“Il y a l’explosion d’une science encore inconnue du grand public : la biologie de synthèse parée d’un cortège de problèmes éthiques et de niveaux de risques industrielles, économiques et écologiques. Ce sont de nouvelles vies qui n’ont rien à voir avec celles que nous connaissons.
Au-delà des espoirs suscités par certaines découvertes spectaculaires ces dernières années, la discipline naissante qui se nomme biologie de synthèse ranime les mythes et les légendes : Synthétiser la vie à partir de produits chimiques inertes ou même de fabriquer une machine vivante capable de se reproduire, de transformer l’énergie et d’évoluer.
Pourtant, l’homme intervient dans l’écriture même de la vie et en modifie les espèces et cela en s’affranchissant des lois naturelles.
Par synthèse ou par évolution artificielle, les humains vont créer des espèces animales ou végétales n’existant pas dans la nature, accélérer ou ralentir certains cycles vitaux des écosystèmes, mettre en scène les nouvelles origines de la vie et même d’une macrovie à laquelle ils appartiennent déjà.
L’humanité se prépare à rejouer les origines de la vie. Elle prend une pièce ici ou une autre là recombinant et reconstruisant en continu l’infinie variété des formes et des espèces vivantes.
La biologie de synthèse emprunte des pièces à des organismes vivants, elle les introduit dans des réceptacles vides, les capte ou les détourne des sources d’énergie pour faire émerger des organismes dotés de fonctions qualifiées de vivantes comme l’auto-conservation, l’auto-reproduction, l’auto-régulation et la capacité à évoluer.
Sont-il des fabricants de monstres, des savants fous ou des pionniers traçant des voies nouvelles pour la science du XXIème siècle ?
La biologie de synthèse doit être considérée avec une attention particulière car elle nous fait entrevoir le rôle que l’homme pourrait jouer en tant que bricoleur, ingénieur ou architecte de l’infiniment petit, pour modifier les règles de la nature et conduire à la fabrication de créatures voire de monstres qui pourraient se retourner contre lui, ses sociétés et son écosystème.
Au cours des dernières années, la vie que nous connaissons s’est donc progressivement dénaturée pour donner des artefacts électroniques, des prothèses bioniques ou encore des robots anthropomorphes plus vrais que nature.
Depuis longtemps, des inventeurs, des horlogers, des mécaniciens ont tenté de créer des marionnettes ou des automates ressemblant à des organismes vivants. L’objectif de ces inventions était aussi de concevoir des organes artificiels ou encore d’imiter la voix ou les gestes humains.
Ce monde de l’hybridation (mi-homme, mi-machine) constituait un pas supplémentaire vers la connaissance du vivant, sa transformation et pour certains son amélioration, ce qui a été franchi avec les prothèses commandées par le cerveau et la communication directe entre neurones et robots.
Bénéficiant d’avancées mécaniques, électroniques, informatiques et biologiques, les scientifiques ont réussi à décrypter l’ensemble des plans de fabrication des êtres vivants, les quelques 25.000 gènes contenus dans la longue molécule d’ADN, mais aussi et surtout à reprogrammer des cellules primitives, bactéries ou levures pour leur faire synthétiser des produits utiles à la société : médicaments, bio-pesticides ou engrais.
D’où l’essor de la biologie moléculaire et du génie génétique dans les années 1980, 1990 conduisant au rapide développement et à la croissance des entreprises de bio-technologie dans le monde.
Tout bascule à partir de 2003 pour ne jamais s’arrêter.”
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Les Nouveaux Horizons des Pigments Végétaux : Entre Héritage, Innovation et Durabilité
Les pigments d'origine végétale, également désignés sous les appellations de teintures naturelles ou de colorants à base de plantes, représentent une tradition millénaire qui continue d'évoluer dans le monde moderne. Jadis réservés aux civilisations antiques, ces colorants issus de la flore ont traversé les âges pour s'imposer aujourd'hui comme une solution écologique et éthique face aux défis environnementaux actuels. Cet article propose un voyage à travers l'histoire, les techniques traditionnelles et les innovations technologiques qui façonnent l'univers des colorants naturels, tout en explorant leurs multiples applications et les enjeux socio-économiques qu'ils génèrent.
Un Héritage Culturel et Historique Profond
Dès l'Antiquité, les civilisations ont exploité la richesse des végétaux pour créer des teintes uniques. Les anciens Égyptiens utilisaient l'indigo pour obtenir des bleus intenses, tandis que les peuples d'Inde et du Moyen-Orient se servaient du henné pour ses nuances chaudes allant du rouge cuivré au brun. Chaque couleur avait une signification symbolique, jouant un rôle dans les rituels, les cérémonies et la vie quotidienne.
La transmission de ces techniques se faisait souvent de manière orale et pratique, au sein d'ateliers familiaux ou communautaires. Ce savoir-faire, parfois jalousement gardé, s'est perpétué au fil des générations et a permis le développement d'une véritable identité culturelle autour de la teinture d'origine végétale. Aujourd'hui, cet héritage continue d'inspirer artisans et designers, qui voient en ces pratiques ancestrales une source d'authenticité et de durabilité.
Les Méthodes Traditionnelles de Teinture
Les techniques traditionnelles utilisées pour obtenir ces colorants naturels reposent sur une connaissance fine des cycles de la nature. La première étape consiste en la récolte des plantes à un moment précis, généralement lorsque leur teneur en pigments est à son maximum. Les parties de la plante utilisées — qu'il s'agisse de feuilles, de fleurs, de racines ou d'écorces — sont soigneusement sélectionnées et ensuite séchées pour préserver leurs propriétés colorantes.
L'extraction des pigments se réalise souvent par macération ou infusion dans de l'eau. Cette étape peut être enrichie par l'ajout de mordants naturels comme l'alun, qui aident à fixer les colorants sur les fibres textiles. Le temps d'extraction, la température de l'eau et la quantité de mordant utilisé sont autant de paramètres essentiels qui déterminent la vivacité et la longévité de la teinture.
Une technique particulièrement remarquable consiste à superposer des couches de teinture. Par des bains successifs dans différents extraits végétaux, l'artisan obtient des dégradés subtils et des nuances complexes, rendant chaque pièce unique. Ce procédé, transmis de génération en génération, témoigne de la créativité et de la maîtrise technique des anciens teinturiers.
Les Innovations Technologiques au Service des Pigments Naturels
Bien que le cœur de la coloration naturelle reste fidèle aux méthodes traditionnelles, les avancées technologiques ont permis d'optimiser et de moderniser ces procédés. L'introduction de dispositifs de contrôle numérique, tels que des capteurs mesurant en temps réel la température et le pH du bain d'extraction, a permis d'améliorer la reproductibilité des teintes et de garantir une qualité homogène d'un lot à l'autre.
De plus, l'analyse spectrométrique offre la possibilité d'identifier et de quantifier précisément les composés colorants présents dans les extraits. Ces outils permettent aux chercheurs et aux artisans d'ajuster les paramètres d'extraction pour obtenir la teinte souhaitée tout en respectant les propriétés naturelles des végétaux. Par ailleurs, l'utilisation de techniques innovantes telles que l'extraction assistée par ultrasons accélère la libération des pigments, réduisant ainsi le temps de production et augmentant l'efficacité du procédé.
Les logiciels de simulation de couleurs constituent également une avancée notable. Ils permettent aux designers de visualiser le rendu final des teintures sur différents supports avant même le début du processus, facilitant ainsi le choix des combinaisons et l'harmonisation des nuances. Cette synergie entre tradition et technologie ouvre de nouvelles perspectives pour une production respectueuse de l'environnement et adaptée aux exigences contemporaines.
Applications Diversifiées des Colorants Végétaux
Les colorants à base de plantes trouvent aujourd'hui leur place dans de nombreux secteurs grâce à leur polyvalence et leur caractère authentique :
Industrie Textile : De nombreux créateurs de mode s'engagent dans une démarche éthique en utilisant des teintures naturelles pour réaliser des vêtements uniques et durables. Ces pièces, qui arborent des nuances organiques, se démarquent par leur singularité et leur lien étroit avec l'artisanat traditionnel.
Cosmétique : Dans le domaine de la beauté, les pigments végétaux sont intégrés dans la formulation de produits de maquillage, de soins capillaires et de soins pour la peau. Par exemple, le henné et l'indigo offrent des alternatives naturelles pour sublimer la chevelure, tandis que d'autres extraits apportent des teintes subtiles aux produits de maquillage, sans recourir aux agents chimiques agressifs.
Art et Décoration : Les artistes contemporains apprécient la richesse et la variabilité des colorations écologiques pour créer des œuvres d'art ou des objets décoratifs. Les tapisseries, peintures et objets design réalisés avec ces pigments apportent une dimension organique et authentique aux espaces de vie.
Industrie Alimentaire : Dans une démarche de transparence et de naturalité, certains fabricants de produits bio utilisent des extraits végétaux pour colorer des aliments et des boissons, garantissant ainsi une origine 100 % naturelle des colorants.
Les Avantages Écologiques et Sociaux
L'un des principaux atouts des pigments d'origine végétale réside dans leur faible impact environnemental. Contrairement aux colorants synthétiques qui reposent sur des procédés industriels lourds et polluants, les teintures naturelles sont produites à partir de ressources renouvelables et sont généralement biodégradables. Leur fabrication nécessite moins d'énergie et génère moins de déchets toxiques, contribuant ainsi à la réduction de l'empreinte carbone.
Du point de vue social, l'utilisation de ces colorants favorise le développement des économies locales. Les ateliers d'extraction et de teinture, souvent implantés dans des zones rurales, créent des emplois durables et permettent la transmission de savoir-faire traditionnels. En soutenant l'agriculture biologique et les circuits courts, ces pratiques renforcent la résilience des communautés et offrent aux consommateurs des produits dont l'origine est traçable et éthique.
Par ailleurs, la valorisation des colorants naturels permet de redonner une importance culturelle aux méthodes ancestrales, offrant ainsi une alternative aux procédés industriels standardisés. Cette approche contribue à préserver un patrimoine immatériel et à encourager une consommation plus responsable et informée.
Défis et Perspectives d'Avenir
Malgré leurs nombreux avantages, les colorants à base de plantes doivent faire face à plusieurs défis pour s'imposer sur un marché dominé par les solutions synthétiques. L'un des obstacles majeurs est la variabilité des matières premières, influencée par les conditions climatiques, les saisons et la biodiversité locale. Cette variabilité, bien que caractéristique de la nature, complique la standardisation des teintes lorsque la production se veut à grande échelle.
Pour relever ces défis, il est indispensable de renforcer la collaboration entre artisans, chercheurs et industriels. Les efforts de recherche et de développement, notamment dans l'optimisation des techniques d'extraction et le contrôle de qualité, permettent de mieux maîtriser les variables naturelles. L'utilisation de technologies avancées, telles que l'analyse spectrométrique et les capteurs numériques, contribue à uniformiser la production sans renier l'authenticité des méthodes traditionnelles.
Les perspectives d'avenir pour les colorants naturels sont néanmoins prometteuses. La montée en puissance d'une consommation éthique et l'intérêt croissant pour les produits respectueux de l'environnement stimulent le développement de labels et de certifications garantissant la qualité et l'origine des pigments végétaux. Ces initiatives renforcent la confiance des consommateurs et ouvrent de nouvelles opportunités sur les marchés internationaux.
Conclusion
Les pigments d'origine végétale offrent un univers riche et varié, où se mêlent tradition, innovation et respect de la nature. Qu'il s'agisse de teintures naturelles, de colorants ��cologiques ou de pigments végétaux, ces procédés ancestraux continuent de se réinventer pour répondre aux enjeux contemporains de durabilité et d'éthique.
En adoptant ces méthodes respectueuses de l'environnement, nous participons à la préservation d'un patrimoine culturel précieux et au développement de modèles de production plus responsables. Les synergies entre le savoir-faire traditionnel et les innovations technologiques offrent une voie prometteuse pour une intégration plus large des colorants naturels dans divers secteurs — de la mode à la cosmétique, en passant par l'art et même l'alimentation.
Face aux défis de la standardisation et de la production de masse, l'avenir des colorants à base de plantes repose sur l'innovation collaborative et l'engagement des consommateurs en faveur d'une économie plus verte. En fin de compte, cet univers coloré nous invite à redécouvrir la richesse de la nature, à célébrer la beauté authentique issue des traditions et à imaginer un futur où l'harmonie entre l'homme et son environnement est au cœur de chaque création.
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Une petite refonte
On a beau faire toutes les préparations du monde quand on écrit une histoire, il y a toujours une partie de celle-ci qui finit par s’écrire d'elle-même. On crée des personnages avec un background, des caractéristiques psychologiques, des aspirations etc. et on les oriente dans une direction pour qu’il se passe quelque chose, et zou, rien ne se passe comme prévu.
J’ai toujours aimé les histoires, les écouter comme les raconter.
Il y a une dimension un peu mystique à créer un univers. Quelque part on pense le faire à partir des histoires qu’on a entendu à droite à gauche et qu’on a malaxé sans y penser jusqu’à en sortir quelque chose qui nous est propre (au passage c’est ce qu’on appelle le processus de création hein, les idées ne viennent pas de nul part), et un beau jour, de ce joli petit compost, ce qui commençait à en germer finit par se développer, à grandir, à se ramifier de plus en plus, au point parfois de se retrouver avec quelque chose de si grand et de si dense qu’on ne peut plus le contrôler. (Oui, je me demande comment contrôler les poussées de croissance de ma monstera, ça m’inspire)
Mais j’adore ça. Vraiment. Dans ma tête il y a un terreau tellement fertile qu’il suffit de peu pour que tout s’emballe et croisse dans tous les sens. J’ai commencé il y a…non en fait, j’ai jamais commencé. J’ai ça en moi depuis toujours, alors je n’ai rien commencé du tout, tout ça a grandi avec moi.
J’écris, je dessine, je vis à la moindre pause les aventures et les émotions de mes personnages, je les observe réagir face à des tas et des tas de “et si”, et c’est pour moi une drogue aussi vitale que l’oxygène. Peut-être même plus si c'est possible.
Pour rester dans la métaphore végétale, je suis l’arbre sous le lierre, ou le lierre sur l’arbre, à vrai dire je ne saurais même pas dire qui de moi ou de ces histoires permet à l’autre de vivre.
Mais je m’emballe encore une fois, et je sort encore du sujet avec une fulgurance qui m’étonnera toujours.
Tout ça pour dire qu’en écrivant on se rend souvent compte en approchant de la fin de l’histoire que celle ci a pris tellement d’ampleur qu’elle n’a plus grand chose en commun avec le point de départ.
Les personnages, aussi développés qu’ils ont pu l’être au départ, ont mûrit, pris du caractère, appris des choses sur eux, et l’auteur se rend compte qu’au fil de l’aventure il a lui-même découvert et compris tellement de choses sur ses personnages et sur son univers que…eh bien qu’il est temps de prendre tout ça en compte et de passer à l’étape de la réécriture.
Et chez moi qui dit “réécriture” dit “refonte des personnaaaaaages” (oui, j’adore ça aussi <3 )
Voici donc un petit échelonnage de quelques personnages de Destins Croisés, 3 ans après leurs aventures, prêts à plonger dans le remaniement des Contes de la Chimère, (ou quelque soit le nom qu’on finisse par lui donner), qui constitue l’histoire principale dont Destins Croisés est en réalité un des spin-off. Oui, Destins Croisés dont je vous bassine depuis le nanowrimo est un spin-off de la Chimère.
Une tranche, en somme, de chimère.
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Les règles de base pour bien utiliser les huiles essentielles 🍃
Comme j'ai l'intention de parler ici de mes petites astuces à bases d'huiles essentielles, il me semble important de commencer par faire un articles sur les règles à respecter lorsqu'on les utilise. En effet, les huiles essentielles ne sont pas sans danger. Ce sont des actifs concentrés de plantes. Chacune possède ses propriétés et toutes ne sont pas forcément bénéfiques.
1- Respecter les contre-indications générales :
De manière générale, l'utilisation des huiles essentielles est déconseillée chez la femme enceinte, pendant l'allaitement et chez les enfants de moins de 10 ans.
Les concernant, je préfère proposer des préparations toutes prêtes que l'on peut trouver en parapharmacie.
2- Respecter les conditions d'utilisation de chaque huile essentielle :
Il faut s'assurer de toujours connaître les propriétés et contre-indications propres à chaque huile essentielle que l'on utilise pour éviter de mauvaises surprises.
Par exemple, l'huile essentielle de menthe poivrée peut mener à l'hypothermie si utilisée à l'excès. Les huiles essentielles d'agrumes sont photosensibilisantes et la réglisse fait monter la tension artérielle.
Certaines huiles essentielles peuvent aggraver une pathologie déjà existante ou inhiber un traitement. Il n'est donc pas question d'utiliser les huiles essentielles au hasard.
3- Prévenir le risque d'allergie :
Avant d'utiliser une huile essentielle sur soi ou sur quelqu'un d'autre pour la première fois, il faut s'assurer que nous ou cette personne n'y est pas allergique. Pour cela, il faut déposer une goutte d'huile essentielle sur le bras et attendre 24h. Si une réaction apparaît, rincer à l'huile végétale puis à l'eau. Si pas de réaction, pas d'allergie.
4- Respecter les dosages et conditions d'application indiqués
Chaque huile essentielle possède un seuil toxique qui lui est propre en fonction de sa composition biochimique. Si le livre indique 2 gouttes, c'est qu'il en faut 2. Pas 3 ni 4. Si le livre recommande une application cutanée, c'est que c'est une application cutanée.
De manière générale, les huiles essentielles peuvent être utilisées par voie cutanée, olfactive, orale ou anale. Néanmoins, certaines voies sont à privilégier en fonction des huiles essentielles utilisées.
Dans la mesure du possible, je recommande les applications cutanées et olfactives.
En revanche, en aucun cas il ne peut être question d'intramusculaire, d'intraveineuse, ou d'application dans les yeux !
5- Ne pas utiliser les huiles de façon prolongée même à faible dose.
En temps normal pour les traitements longs c'est 3 semaines de traitement pour une semaine de pause.
Sur une journée, cela va dépendre de chaque huile essentielle, il est alors nécessaire de se renseigner au cas par cas.
6- Savoir agir en cas d'accident :
Si l'on a appliqué trop d'huile essentielle sur la peau, il faut rapidement enlever le surplus avec un coton ou mouchoir et appliquer une grande quantité d'huile végétale (l'amande douce est parfaite !) pour protéger la peau. Celle-ci va diluer l'huile essentielle.
Si l'on en a avalé une grosse quantité, il faut (en France !) appeler le centre antipoison de la région, le 15 ou le 112 depuis un téléphone portable.
En cas de gouttes d'huile essentielle tombées dans les yeux, il faut dans un premier temps rincer l’œil à l'huile végétale d'amande douce pour diluer un maximum l'huile essentielle puis rincer à l'eau.
7- Bien conserver ses huiles essentielles :
Les huiles essentielles peuvent être conservées indéfiniment (1 an pour les fabricants mais en vrai beaucoup plus.) tant que celles-ci sont conservées dans des flacons en verre teinté (brun, bleu ou violet) à l’abri de la lumière et de la chaleur.
Attention également à bien fermer ses flacons. Les huiles essentielles sont très volatiles !
Voici donc les règles de base. L'article sera amené à évoluer si je m’aperçois que j'ai oublié quelque chose ou si certaines questions reviennent souvent.
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Tipaza, Algérie

Tipaza, Algérie : Un trésor méditerranéen chargé d'histoire et de beauté naturelle
Située sur la côte méditerranéenne de l'Algérie, Tipaza est une destination touristique enchanteresse qui offre un mélange unique de richesse historique et de beauté naturelle. Cette ville côtière pittoresque a été témoin de nombreuses civilisations au fil des siècles, laissant derrière elles un héritage culturel riche et varié.
L'histoire de Tipaza remonte à l'époque des Berbères, qui étaient les premiers habitants de la région. Ils ont été suivis par les Phéniciens, les Romains, les Vandales et les Byzantins, qui ont tous laissé leur marque sur la ville. L'influence romaine est particulièrement visible dans les vestiges archéologiques impressionnants dispersés dans tout le site archéologique de Tipaza.
Le site archéologique de Tipaza est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1982, et il est facile de comprendre pourquoi. Les visiteurs ont la possibilité d'explorer les ruines bien préservées d'une ancienne ville romaine, y compris un amphithéâtre, des thermes, des villas et des bains. La grande basilique, avec ses mosaïques colorées, est également un incontournable pour les amateurs d'histoire et d'art.
Outre son riche patrimoine archéologique, Tipaza offre également des paysages naturels à couper le souffle. La ville est bordée par les eaux bleues scintillantes de la mer Méditerranée, offrant des plages pittoresques où les visiteurs peuvent se détendre et profiter du soleil. Les falaises escarpées qui surplombent la mer créent un panorama spectaculaire et offrent un cadre idéal pour les amateurs de randonnée et de photographie.
Le parc national de Tipaza, situé à proximité, est une véritable oasis de biodiversité. Avec ses forêts de pins, ses lacs et ses marais, le parc abrite une variété d'espèces animales et végétales. Les amateurs de nature peuvent y observer des oiseaux migrateurs, des tortues de mer et même des phoques moines, une espèce rare et menacée.
Les amateurs de sports nautiques trouveront également leur bonheur à Tipaza. La côte offre des conditions idéales pour la plongée sous-marine, la planche à voile et la pêche. Les eaux claires et calmes sont un véritable paradis pour les explorateurs sous-marins, qui pourront découvrir des fonds marins colorés et une vie marine diversifiée.
En dehors de ses attraits naturels et historiques, Tipaza offre également une cuisine délicieuse et variée. Les restaurants locaux proposent une cuisine méditerranéenne savoureuse, mettant en valeur les produits frais de la région. Les fruits de mer frais, tels que les crevettes et les poissons, sont des incontournables à déguster lors de votre visite à Tipaza.
Pour les amateurs d'artisanat, le marché local de Tipaza regorge de trésors uniques. Les artisans locaux vendent une variété de produits, tels que des tapis tissés à la main, des poteries traditionnelles, des bijoux en argent et des articles en cuir. C'est l'endroit idéal pour trouver des souvenirs uniques et authentiques pour ramener chez soi.
L'hospitalité chaleureuse des habitants de Tipaza est un autre aspect qui rend cette destination si spéciale. Les visiteurs sont accueillis à bras ouverts et peuvent profiter de l'ambiance conviviale de la ville. Les habitants sont fiers de partager leur histoire et leur culture, et sont souvent prêts à raconter des récits fascinants sur la région.
Pour ceux qui souhaitent en apprendre davantage sur l'histoire et la culture de Tipaza, il est possible de visiter le musée de la ville. Le musée abrite une collection impressionnante d'artefacts historiques, de sculptures, de céramiques et de pièces de monnaie datant de différentes époques. C'est une excellente occasion de plonger plus profondément dans le passé de cette région captivante.
Pour se déplacer à Tipaza, il est recommandé de louer une voiture ou de faire appel à un guide local. Cela permet d'explorer facilement les différents sites touristiques et de se déplacer entre la ville et les attractions naturelles environnantes. Il est également possible de se rendre à Tipaza en bus depuis Alger, la capitale de l'Algérie, ce qui offre une option pratique pour les voyageurs sans voiture.
En résumé, Tipaza est une destination incontournable en Algérie, offrant un mélange captivant d'histoire, de beauté naturelle et d'hospitalité chaleureuse. Que vous soyez intéressé par l'exploration des vestiges romains, la détente sur les plages pittoresques, la découverte de la faune et de la flore locales ou l'immersion dans la culture locale, Tipaza a tout à offrir. Préparez-vous à être émerveillé par la richesse de cette ville méditerranéenne et à créer des souvenirs durables dans ce joyau algérien.
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Les « saucisses végétales » ne sont plus hors la loi
Clap de faim pour le lobby de la viande ? Le Conseil d’État a définitivement annulé, mardi 28 janvier, l’interdiction des appellations « steak », « bacon » et autre « escalope » pour des alternatives végétales. La « saucisse » de tofu et le « jambon » végane sont donc à nouveau autorisés.
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Le 18 juin 1940, un général Français, encore inconnu du grand public, prend le micro dans une radio de Londres pour appeler les Français, tous les Français à entrer en Résistance. Alors, pourquoi ne pas avoir choisi cette date pour célébrer la Résistance ?
Tout simplement parce que la Résistance n’est réellement née et n’a vraiment été structurée qu’avec la création du CNR. Le Conseil National de la Résistance a été créé par la France Libre, le 27 mai 1943. Son but était d’apporter de la cohésion à l’ensemble des mouvements de Résistance en France afin d’agir avec une plus grande efficacité.
Les maquisards étaient l’ensemble des personnes qui, refusant l’occupation allemande, prirent les armes, au sens propre et au figuré. Si les Résistants Français sont surnommés les maquisards c’est parce que certains d’entre eux se cachaient effectivement dans le Maquis. Cette formation végétale qui est caractéristique du pourtour méditerranéen est devenu par extension le surnom de la résistance. Les principaux moyens d’action des résistants sont la diffusion d’information par la voie des journaux et des tracts. Écouter Radio-Londres , cacher des Juifs ou aider des gens à passer en zone libre ou en Suisse et en Espagne sont des actes de résistance. On héberge des aviateurs anglais, réalise des actes de sabotage ou des actions armées. D’autres résistants cachent des armes, défilent le 14 juillet ou le 11 novembre, dessinent des croix de Lorraine sur le mur pour marquer leur soutien au général de Gaulle ou font passer des messages et faire des faux papiers. Tous ces actes de résistance sont extrêmement risqués et leurs auteurs risquent leur vie.
Les moyens de lutte sont assez rudimentaires au départ puisque chacun prend le maquis avec ce qu’il possède. Mais, les choses s’organisent progressivement et les Anglais parachutent, de temps en temps, des armes, des munitions, des explosifs et des provisions en tout genre. Avec peu de moyens, les résistants puis les FFI (Forces Françaises de l’Intérieur) font de vrais coups d’éclat et parviennent à gêner les Allemands. La désorganisation des voix de communications et de déplacements est un « caillou dans la chaussure » des forces d’occupation.
La BBC transmet des centaines de messages codés dans les jours précédents le débarquement. Nombreux sont les gens qui connaissent aujourd’hui les messages codés : « Les carottes sont cuites » ou « les sanglots longs des violons blessent mon coeur d’une langueur monotone » mais qui peut dire qu’il sait que ça voulait dire que le débarquement en Normandie était imminent. C’est pourtant bien le cas puisque le lendemain de la diffusion de ces messages, les barges accostaient sur le sol Normand. Tout le monde connaît la suite.
Les valeurs de démocratie, de lutte pour la patrie et l’humanisme sont au coeur de l’engagement des maquisards dans le mouvement de la résistance. Souvenons-nous de l’engagement des gens dans la lutte contre la xénophobie, le nazisme et le fascisme.
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Et Dieu dit : Qu’il y ait une étendue entre les eaux pour les séparer. Dieu fit l’étendue. Il sépara les eaux d’en-dessous de l’étendue des eaux d’au-dessus. Et il en fut ainsi (Genèse 1:6-7).
C’est le 2e jour de la création. Le mot hébreu traduit par étendue veut dire espace rempli d’air, c’est-à-dire l’atmosphère. Dieu établit une séparation entre l’eau en haut dans le ciel et celle en bas sur la terre. Les eaux d’en-haut étaient une sorte de conopée, un épais voile d’humidité qui enveloppait la terre, comme dans un cocon. Nous avons tous fait l’expérience que quelques fois il pleut des cordes au point où on croirait que ce sont des seaux qui tombent du ciel ; on est alors étonné de la quantité énorme d’eau qui doit se promener là-haut dans les nuages.
Notre atmosphère est constamment porteuse de tonnes d’eau. Pour ce qui concerne les eaux d’en-dessous, il s’agit bien sûr des océans, rivières, lacs, et de toutes les sources issues des nappes aquifères. Nous avons déjà la lumière et l’eau, des éléments physiques indispensables à la vie et à l’épanouissement de l’homme, mais qui sont aussi fortement chargés de symbolismes dans l’ensemble des Textes Sacrés. Dieu dit qu’il est lumière et aussi la seule source d’eau vive.
Les philosophies et mythologies païennes de l’Antiquité croyaient que le ciel était une sphère solide et transparente qui englobait la terre et à l’intérieure de laquelle étaient fixés les astres. Cette vision absurde a influencé la pensée médiévale européenne et certaines personnes mal informées s’imaginent aujourd’hui encore que cette idée provient des Textes Sacrés ce qui n’a rien à voir avec la réalité de la Création.
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Dieu fit l’étendue qu’il appela ciel. Il y eut un soir, puis un matin : ce fut le deuxième jour (Genèse 1:8).
Dans ce passage, il est question de ce que l’Écriture appelle le premier ciel, celui dans lequel passent les nuages et où volent les oiseaux. Curieusement, à la suite de ce deuxième jour, il n’est pas dit : Et Dieu vit que cela était bon, comme ce fut le cas après le premier jour et comme il en sera de même après chacun des autres jours.
La raison de cette absence ne nous est pas donnée, cependant, dans un des textes du Nouveau Testament, le diable est appelé le prince de la puissance de l’air (Ephésiens 2:2), car l’atmosphère où habite l’homme est son terrain d’action. Comme Satan occupe cette étendue, Dieu n’a peut-être pas voulu qualifier cette partie de la création de bonne.
À côté du premier ciel, les Écritures parlent aussi du deuxième, qui est le firmament, la voûte céleste où apparaissent les luminaires, le soleil pour éclairer le jour et la lune pour présider la nuit, la Voie Lactée et toutes les myriades d’étoiles et d’astres de toutes sortes. Et puis dans une autre dimension, il existe aussi un troisième ciel aussi appelé royaume des cieux et qui est la demeure du Dieu Tout-Puissant.
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Et Dieu dit : Je veux que les eaux d’au-dessous du ciel se rassemblent en un seul endroit afin que la terre ferme paraisse. Et ce fut ainsi. Dieu appela " terre " la partie sèche, et " mer " l’amas des eaux. Et Dieu vit que cela était bon (Genèse 1:9-10).
Nous arrivons au troisième jour de la Création avec l’apparition de la terre ferme et de la vie végétale. Maintenant, les eaux sont séparées de la terre ferme afin de rendre celle-ci habitable pour l’homme. Remarquons en passant qu’aujourd’hui on trouve des preuves de la présence d’eau partout sur la surface du globe ; il semble bien qu’à un moment donné de son histoire elle ait été entièrement recouverte.
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Le mimétisme, un mécanisme qui cache bien son jeu
See on Scoop.it - EntomoScience
S’inspirer des mécanismes du vivant n’est pas un phénomène réservé au biomimétisme ! Dans la nature, de nombreuses espèces, animales ou végétales, copient d’autres organismes pour se protéger, se reproduire ou chasser : c’est ce que l’on appelle le mimétisme.
Dernière mise à jour : 13 janv. 2022
Les différentes fonctions du mimétisme
Le mimétisme, un mécanisme de défense infaillible !
"Une des fonctions du mimétisme, et même la plus essentielle, est de se protéger. Si l’on peut distinguer plusieurs catégories de mimétisme, une en particulier se démarque comme la technique de protection par excellence : il s’agit du mimétisme batésien. Le mimétisme batésien est une forme de mimétisme dans laquelle une espèce inoffensive imite une autre espèce nocive. L’espèce inoffensive se protège ainsi des prédateurs qui associent les caractéristiques copiées à un organisme nocif. Ces caractéristiques constituent ce que l’on appelle un signal aposématique, c’est-à-dire un signal d'avertissement clairement perceptible, visuel, sonore ou olfactif, qui avertit les prédateurs d'un danger qu'ils doivent éviter.
Même si vous ne l’avez pas encore remarqué, il est probable que vous connaissiez déjà un, voire plusieurs exemples de mimétisme batésien. Cet insecte vous dit-il quelque chose ?
Le syrphe, champion du camouflage
Il ne s’agit pas d’une guêpe mais bien d’un syrphe, une petite mouche pollinisatrice inoffensive et sans dard, qui imite les patrons de coloration jaune et noir des guêpes ! Elle se sert de ce signal aposématique trompeur pour éloigner les prédateurs qui, par peur d’être piqués, évitent de la manger. Pas folle la guêpe ? Non, pas fou le syrphe !
Bien évidemment, le mimétisme batésien n’est efficace que si les imitateurs sont moins nombreux que les organismes nocifs imités : le risque, si ça n’est pas le cas, est que les prédateurs n’associent plus de menace au signal aposématique, ce qui met donc en danger non seulement l’espèce inoffensive, mais également l’espèce nocive, dont le moyen de défense n’est plus efficace.
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Les carnistes ...
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