#amoure et assen
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no aguanto una más jskdkd sigo perdiendo peso por dios
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Si te pregunto si me conoces.. ¿Estarías seguro, de decir que si?
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"El alma que ama, danza, porque olvida la quietud. El ser que ama se mueve, amor es movimiento, vida, palpito, suspiro. Cada fibra del cuerpo se eriza, desea la fusion para volver al origen, cada extremo desea abarcar el universo conocido, y nacer de nuevo una y otra vez. De la danza nace la vida. Del amor nace la danza. El que ama se debe mover, y si no se mueve no ama."
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Épisode 9
Le lendemain, Gabin se tenait devant la fenêtre du salon, sa cigarette lui brûlait les doigts, il restait immobile, l'air absent de toutes pensées.
Il s'assit sur le canapé, puis vérifia son sac de voyage remplit de ses dernières emplettes. Gabin vérifia encore une fois ses papiers d'identité. Tout était en ordre , il était prêt à partir, il n'avait plus qu'à poser les charges d'explosif, bien réparties il ne resterait plus grand chose de cet appartement. Il était content de son dernier repas , il l'avait dégusté avec ferveur, il savait que c'etait sa dernière tranche de foie avant de tout faire péter.
Gabin se souvint soudainement du soir où ils avaient fait l'amour sous une porte cochère, c'était à l'initiative d'Amelie, il avait cèdé volontiers à ses désirs. Ils avaient beaucoup rit en aperçevant les caméras au-dessus de leurs têtes.
En pensant à cette soirée, il plaçait tranquillement ses charges explosives , il en plaça deux sur le congélateur où se trouvait le corps d'Amelie.
Il se servit un verre de vodka.
- nous-y voilà ! une page de tournée ! grogna t-il
- à l'avenir ! dit-il en levant un verre à nouveau remplit
C'était en novembre denier, ils avaient loué une maison pour quelques jours, arrivés là-bas, trempés par la pluie, Gabin se souvient que le maquillage d'Amelie coulait sur ses joues ce qui lui donnait un air sauvage. Gabin se souvient très bien qu'il s'était demandé si elle allait lui arracher ses vêtements, le gifler, le fouetter, ses phantasmes tournaient en boucle à cet instant là.
Amelie l'avait plaqué contre un mur et dit:
- je t'aime
Sans qu'il comprenne comment il se retrouva Allongé avec son amie au-dessus de lui , elle avait jouit en criant, il s'en souvenait très bien.
Ils étaient restés l'un contre l'autre, haletant, il lui avait caressé les cheveux en lui murmurant des mots doux à l'oreille.
- Tu es heureuse ? avait-il demandé
- Hum ! ouï peut-être
- ne me dit pas non ! ...
Amelie sourit en écartant une mèche de son oeil
- idiot ! rétorqua t-elle
C'est pendant ce séjour qu'il avait pris la décision de l'empoisonner quand ils reviendraient. Il n'était pas sûr d'elle et il savait qu'il manquait de confiance en lui. Il ne voulait plus être quitté, alors il agirait.
Je vais te montrer une de mes vidéos que j'ai apporté lui avait dit Gabin avant de l'embrasser.
Elle s'était enveloppée dans une couverture et s'était installée devant le poste.
Gabin l'avait trouvé très belle, il avait préparé un plateau pour eux deux. Il expliqua rapidement que c'était l'histoire du dragon, de la femme du dragon avec une tête de vampire.
Sur l'écran, la ville apparue toute illuminée, la musique étrange annonçait le dragon arrivant de loin, il se dirigea vers la cathédrale, il dépassa un grand pilier puis traversa une esplanade pour entrer dans l'édifice. Le monument est tellement haut qu'il donne l'impression de toucher le ciel.
Un homme surgit de l'ombre , il grimpa sur le dragon puis il lui transperça le dos en lui assenant des coups d'épée.
Le dragon dans un sursaut le fit tomber.
A ce moment là, Gabin pensa à sa mère, étant sûr que le dragon c'était elle. Petit il sentait les muscles de sa mère quand elle le serrait très fort. Elle lui transmettait certainement ses désirs, son amour. Il se rappelle qu'il étouffait dans ses bras là . il aurait aimé être à la place de l'homme sortit de l'ombre mais à l'époque il était trop petit.
Un autre personnage assistait au loin à la scène mais on le distinguait très mal.
La vidéo avait connu un succès d'estime , elle était virale sur le net. Grâce à ce court métrage, Gabin eût une certaine reconnaissance.
Ils restèrent affalés devant la télé.
- le tatouage du dragon ça vient de là ? demanda Amelie
- Oui...
Et il avait rajouté :
- ça me rapporte du fric et j'y tiens c'est sentimental
- j'ai aimé ton film dit Amelie
Gabin se souvint qu'il était parti dans ses pensées.
Il ne voulait pas être quitté, il tenait à elle comme à la prunelle de ses yeux , tout mais pas cela alors quand ils reviendraient il l'endormirait pour toujours.
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no quiero, necesito
"you're so pretty" in between kisses >>>>
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Je ne suis plus qu’un peu de chair qui souffre et saigne.
Je ne sais plus lutter, j’attends le dernier coup,
Le coup de grâce et de pitié que le sort daigne
Assener à ceux-là qui vont mourir debout.
J’abdique tout. J’ai cru que la cause était belle
Et mon être a donné un peu plus que sa part ;
La mêlée était rude et mon amour rebelle,
Ma force m’a trahie et je l’ai su trop tard.
Je suis là, sans orgueil, sans rancœur et sans arme ;
Mais l’espoir têtu reste en mon être sans foi,
Même si je n’ai plus cette pudeur des larmes
Qui fait qu’on a l’instinct de se cacher en soi.
La vie âpre, insensible, a vu ma plaie béante
Et tous les soubresauts qui ont tordu mon corps ;
J’ai crispé mes doigts fous aux chairs indifférentes,
Mon amour résigné a pleuré vers la mort.
Qu’elle vienne, la mort, celle des amoureuses,
La mort qui vous étreint comme des bras d’amant,
Et qu’elle emporte ailleurs cette loque fiévreuse
Qu’est mon être vaincu, magnifique et sanglant.
Jabdique tout - Jovette Bernier
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Ecouter
Communiqué numéro d'écoute et de soutien spirituel de la CORREF
À la demande de l'État, l'Église catholique de France, comme les autres cultes, a mis en place un numéro d'écoute et de soutien spirituel : 0 806 700 772 de 8h à 22h 7/7
Souci donc de santé publique en quelque sorte. Car si la pandémie qui nous frappe, la catastrophe qui survient, le tragique qui entre avec violence dans les vies, les familles, les amours, posent bien des questions sanitaires, économiques, politiques, elles viennent aussi interroger le sens de nos vies, leurs grandes précarités. Toutes choses qu'au creux de nous-mêmes nous savons, mais oublions vite – heureusement sans doute – dès que le tourbillon des activités et des obligations reprend ses droits.
Ouvrir ce numéro, pour tous les religieuses et religieux qui se sont proposés comme écoutants, parmi bien d'autres, ce n'est pas chercher à promouvoir quelque chose, pas même la foi, ni davantage à vendre quoique ce soit. C'est juste bien pauvrement se rendre un peu présent à la détresse, à l'effroi, à la peine de tant et tant. À cette question infinie, « pourquoi ? »
De nombreuses initiatives ont lieu dans les diocèses, spécialement autour des équipes d'aumôneries hospitalières et qui font un travail magnifique. Dans des associations aussi comme le Secours Catholique. Tout cela est bien nécessaire, spécialement quand les si douloureuses questions des funérailles arrivent, avec leurs cortèges de drames supplémentaires en temps de pandémie et d'impossible rapprochement. Là, il s'agit seulement d'écouter, sans jugement aucun sur rien, pas plus moral que médical, religieux ou politique. Écouter comme un abri à la détresse, à la question, au désarroi, sans savoirs à assener.
C'est ce que modestement nous souhaitons offrir à tous, avec les autres confessions chrétiennes, avec nos frères et amis juifs, musulmans, bouddhistes. Être tous de minuscules combattants du lien quand la douleur, l'isolement, la mort, viennent délier, défaire nos existences. Offrir une hospitalité. Soutenir une espérance.
0 806 700 772 de 8h à 22h 7/7
Depuis Filles du Saint EspritProvince FBH
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De Cuando Me Enamoré Despues de No Poder Amar y Escribi esta carta con Ode to Vivian en Bucle
Recuerdo bien donde empezó todo, recuerdo bien el dia en el que supe que llegabas a destruir paredes, y a perturbarme tal como ese temblor que fue el responsable de todo, recuerdo con detalle como me tire de cabeza al ¿porque no? y no dude en negarme al "si a todo" (pero contigo) Recuerdo mi falda beige y mi camisa de dragón, tu pantalon y camisa negros, el anillo que ahora es mio. Recuerdo cuando te dije que me habia rendido con el amor y el como emocionado preguntaste ¿porque? Con esa sonrisa que parecia reclamar tu lugar para hacer retractarme. (Esa determinacion a hacerme tuya, que me hizo mas facil que la tabla del cero. )
Como no recordarlo, si siento que ese dia empece a vivir (pero hey, no te des tanto credito) solo fue tu forma de mirar al mundo. De alguna manera lo que eres me hizo mejor, de alguna forma desde ti, empece a apreciar mejor la musica, a sentirla y darle sentido a sus letras, empece a ver el cine con otros ojos (y en su idioma original), empecé a disfrutar el aire en mi cara en el parque, y las calles de la ciudad. De alguna forma, desde ti, aprendi a amar, y no por amarte, sino por tu amor a todo.
Y no sé como a partir de la cuna de ese amor tan inmeso, en el que me convencia que el brillo de tus ojos al ver el atardecer de bogotá era igual que cuando me veias en vestido, e insistias por besarme bajo la lluvia; saltamos hasta aqui. Saltamos hasta ese dia en tu cama cuando te tenia en mis brazos sobre mi pecho y yo lloraba y tu me pedias que no te odiara. Ese dia en el que nos pasaban por las cabezas muchos porques. Y por eso pregunte porque me habias hecho quererte tanto. Y errada, pues esa respuesta siempre la tuve yo. Quererte fue algo que nacio de mi.
Te entregué la capacidad de regalarme buenos dias con solo saludarme, te otorgué mis noches en vela por mas que me moria por dormir, te di mi cuerpo a cambio de tu calor y mi corazon a cambio de un "mi niña". Te regale la capacidad de destruirme y reconstruirme con un beso. Te convertiste en el abrazo que espere 6 meses y no debi soltar, en la primera vez que ame realmente. (O al menos eso creo yo, ser romantica no me hace entender el amor.)
Y que ironico, aun sin entenderlo ni entenderte por completo, te quiero, te quiero inentendible, erratico, egocentrico, sabelotodo, te quiero a ti, al tatuaje que de a ratos te acompleja y a tu colonia eros versace inconfundible con la que me topo un par de veces al dia y no puedo evitar sentir que es olor a ti, te quiero aunque estes en el fondo de un abismo que se que no entiendes mejor que yo, te quiero aunque tengas dudas sobre tu capacidad de amar, te quiero a ti, a quien eras y a quien serás, a la forma en que me isnpiraste dibujarte toda una noche tan solo pensando en tu reaccion, a tu persona extrovertida a la que la ansiedad social le tiene miedo, te quiero a ti y a tu empeño por hacer todo bien, y cuidar tanto de tus crespos, Te quiero aunque seas tan coqueto que me de inseguridad, y aunque nunca me pediste ser novios pero si te empapaste trayendome un girasol.
Porque asi eres, entregado, todo lo que quieres es sumamente preciado y asi me haces sentir, por eso tenerte lejos se ha vuelto tan complicado .Por eso quiero tenerte siempre cerca de mi
Y odio pensar en la idea de que no seré yo. Pero tengo que. Talvez resignarme al hecho de que no seré yo la primer chica en caerle bien a ese gato que solo tiene ojos para ti, que no seré aquella a la que le preguntes que foto publicar o a la que tu mama y abuela quieran como su hija, ni esa con la que bailaras mientras cocinas (porque yo no se cocinar), que no seré con quien compartas pijamas de spiderman y te desveles viendo toda la saga de star wars, que no seré aquella primera con la que hagas el amor despues de un porro ni que te haga brownie con helado cuando estes bajoneado. Que no sere la persona que te escuche hablar admirandote en silencio cuando me expliques un libro. Y no quiero aceptarlo, que no seré yo... (se suponia que seria yo)
Y suena aterrador, quizas porque aun en medio de mi voz y presencia a medias, y mis ganas de aferrarme a ti como si la ultima chispa de mi vida dependiera de eso, si hubo ese algo que sabes que es, porque cuando lo sabes lo sabes.
Talvez y solo talvez ahora seguimos siendo dos, pero individuos separados. Talvez ahora ser los dos mas raros y conflictivos del parche no nos una, y solo nos distinga. Talvez que ambos nos sintamos como espectadores de una vida que no es nuestra y por eso amemos tanto observar y escribir, no nos hace realmente el tal para cual. Talvez de vez en cuando pienses en mi al ver la ciudad y yo piense en ti al ver la luna, pero nada más. (deberiamos acabar en un nada más?) (Talvez yo sea la unica de los dos que escriba sobre esto)
Quiero creer que soltandote no pierdo nada, porque si te suelto y nos volvemos a cruzar, podriamos empezar de cero. Y si te suelto, y no sucede nada, seremos amigos sin dolor de por medio. Y no hay nada que perder, no?. En serio quiero creer... Y convencerme de que el error en la ecuacion no fui yo, ni fue mi error por volar en vez de correr, por vivir mas arriba que abajo, que no es mi error por solo haber hablado de mis problemas cuando querias hablar de algo más, o cuando me pasaba de cariñosa en momentos serios, por no saber que decir cuando estabamos en silencio y llorar por todo.
Pero nada de eso importa ya, no? Que sepas que Te quiero (pero si alguien pregunta, no lo volvi a decir yo) Que eres más, mucho más de lo que crees y todos lo saben menos tú, Que no hay ni nunca habrá nada mal en ti ni en mi, Que agradezco cada momento, detalle, y mariposa que despues vomité. Que se que lastimarme no fue tu intención, y Que se que eres libre de amar aunque ese alguien no sea yo. Te suelto, y es la muestra más sincera de que contigo si fue amor, amor del raro, aunque ya no me tengas en tus manos.
PDT: Nos querremos de nuevo cuando seamos alguien más, o cuando te empiece a gustar el tomate. No sé .
Cómo pudiste haberme hecho tanto bien y al mismo tiempo tener que estar lejos por mi bien?
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Il y a cet homme qu’elle aime sans condition, d’un amour sans aucune modération. Et puis il y a eu la première fois : elle n’y a pas crue, elle n’en revenais pas. Mais se dire qu’elle s’est trompé, elle ne veux pas y penser. Le soucis c’est que ça continue. encore. plus fort. Elle préfère penser "c’est la dernière fois", "il ne recommencera pas", "’jamais plus il ne me décevra."
Mais… Il l’a frappe Si fort, plus fort, encore, Et plus il tape, plus elle fera d’effort. Elle pleure, demande pardon, Même si dans l’histoire c’est quand même lui le con.
Elle lui trouve des excuses, Elle l’aime, alors elle accuse Les coups Elle lui pardonne tout. Chaque fellure, chaque blessures, chaque cassures Elle les endures Parce qu’après tout, Lui qui était si doux, si patient, si aimant, s’il la frappe, si fort, plus fort, encore C’est parce qu’elle a eu tord. Il ne peux pas en être autrement.
Alors, Il l’a frappe Si fort, plus fort, encore, Et plus il tape, plus elle fera d’effort. Elle pleure, demande pardon, Même si dans l’histoire c’est quand même lui le con.
Elle, elle le croit, c’est elle qui n’est pas assez. C’est lui, qui doit la supporter. Alors les bleus, les insultes, les reproches, C’est parce qu’elle n’est pas assez forte, trop sotte Pour c’est être si pur, qui lui, toujours assure. Il le lui a tant répété, il le lui a tant assener qu’a force elle l’a compris, a force elle l’ a acquis Elle a tant de chance de l’avoir dans sa vie. Lui qui l’aime, elle si imparfaite, elle si bête,
Et comme elle lui doit tout, elle pardonnera chaque coup. car malgré tout, Qui pourrait l’aimer mieux que lui ? Qui pourra l’aimer, après ce qu’elle a subit ?
Alors, Il l’a frappe Si fort, plus fort, encore, Et plus il tape, plus elle fera d’effort. Elle pleure, demande pardon, Même si dans l’histoire c’est quand même lui le con.
Et même si elle fuit, qu’elle cherche à reprendre sa vie, il l’a retrouvera, l’a rattrapera il le lui a promis ! Et grand seigneur, il lui pardonnera toutes ses erreurs ! - même si elle n’en a pas commis.
Elle sait, il l’a convaincu, elle n’espérera plus. elle n’est pas digne de vivre sa vie autrement, que celle qu’elle vie aujourd’hui. Elle est résolut, elle n’aura pas mieux, il ne lui arrivera rien de merveilleux.
Alors elle l’aime, Si fort, plus fort, encore. Et plus elle l’aime, plus il frappera fort.
Et malgré tout, elle supportera les coups. encore, plus fort, si fort.
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Porque termino yo sufriendo las consecuencias del desorden de tu vida? Porque termino yo sufriendo porque estás confundido? Porque yo?
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Querida luna, te lo ruego, deseo que me importe un carajo, se que hacer tratos contigo es un duelo y te juro que estoy cagada del miedo, pero querida luna te lo ruego, no quiero seguir llorando como si alguien hubiera muerto, lo único muerto son mis ganas de volver a amar
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