#algesiras
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Reopening my store, this time is the last time to purchase the PetWendigo comics. The stocks are coming to an end, thanks to the amazing support from the fannibals around the world. https://www.etsy.com/fr/shop/Damalisca
I apologize in advance for the rise of the shipping cost this year, the price for sending a letter with tracking number outside Europe is insane now. ;_; I cannot do anything about it.
The metal bookmark is also available and the “adore” sticker is offered as a gift for each order.
Above is one of my favorite drawings I've ever made. It's printed in the book #2. :)
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Série vieilles photos que mon cousins a retrouvées et scannées !
Algesiras (Andalousie). Débarquement des voitures venant d'Algérie.
1935, Alicante. Virée en Espagne avec ma grand-mère, sa sœur, mon père âgé de 10 ans, ses sœurs...
1946, Leutkirch (Allemagne). Mon père, soldat.
1946, Oran. Ma tante paternelle
1952, Oran. A gauche, ma tante, sa sœur et son mari. A droite, ma mère, ma sœur ainée et ma grand-mère.
#algesiras#espagne#andalousie#noir et blanc#alicante#famille#leutkirch#allemagne#soldat#uniforme#ww2#deuxième guerre mondiale#oran#algérie
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Images de l'islamiste (voir mon Fb) qui a commis les attentats d'hier à Algésiras dans le sud de l'Espagne, tuant un sacristain, Diego Valencia, et blessant 4 personnes dont certaines ayant tenté de l'arrêter. Un prêtre est entre la vie et la mort, Antonio Rodríguez. Les attentats commis par ce migrant marocain sans papiers que la police laissait trainer sans décision ferme d'expulsion ont eu lieu dans trois chapelles et dans la rue, rue dans laquelle il a poursuivi Diego pour le massacrer à coups de machette notamment à la tête et...à la gorge. Il s'agit du premier attentat réussi en Espagne depuis les attentats en Catalogne dont Barcelone en août 2 017. Malgré de nombreuses réussites policières et des services secrets, dont l'arrestation d'un Musulman français armé de couteaux dans la Sagrada Familia en décembre 2 018 (des décapitations étaient au programme...), ces attentats d'hier n'ont pu être empêchés. Pedro Sánchez en est évidemment responsable, ainsi que tous les autres collabos.
BP.
#basile pesso#facts...#truth...#madness#sadness#algesiras#algésiras#espagne#spain#españa#fight hate#fight extremism#ecrivains#tristesse#fight neo collaboration#ecrivains sur tumblr#contenu original#journalistes#journalisme#sujets de société#journalistes indépendants#yes we are magazine#fight male violence
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Sourires sémantiques...
Le discours de Attal ? Convenu à en être poignant. Rien à en dire... Alors... Et si on s'offrait une petite escapade hors de la sinistrose ambiante ? Par exemple... Une surprise, dimanche dernier : dans ''mon'' église de la Place Victor Hugo, généralement habitée par la congrégation des Petites Sœurs de Bethléem, il y avait... un Évêque venu de Guadalajara (Mexique), qui baragouinait le français comme la ''vache espagnole'' de petite réputation. Nous ''savon escoutché la lectour dé l'Ébanjilé'' et nous ''savons prière lo Señor'' etc... A la suite de quoi, mon español étant très au dessus de son ''francès'' je lui ai parlé de son merveilleux pays... au restaurant voisin. Sympa !
Ma manière de lui raconter son pays l'a surpris. Me doutant qu'il n'avait pas la moindre idée sur ce que je lui racontais (pour le comprendre, il suffit de constater l'incompréhension dramatique qui est celle d'un Pape argentin devant tout ce qui touche à l'islam), j'ai dû faire appel à mon année de linguistique et à mon certificat de Philologie à la Sorbonne (en 1959) et à ma maîtrise (au temps de ma jeunesse !) de la langue arabe, pour lui demander s'il savait d'où venait le nom de la ville où il exerçait son noble ministère. Réponse franche : ''NON'' ! Pourtant, Guadalajara est (et pardon à ceux qui le savent) une déformation hispanisée des mots arabes ''Wadi el-Rhraa'', ce qui ne peut se traduire que par ''le fleuve de merde'', ce qui a fait au Monseñor du lieu-dit un plaisir que j'ai senti mitigé... je ne sais pas pourquoi !
Je me suis donc cru obligé d'atténuer cette impression désagréable en lui ''racontant'' (?) les impressions des premiers envahisseurs arabes qui traversèrent un détroit --qui allait bientôt s'appeler ''de Gibraltar''-- et qui découvrirent un pays où l'eau coulait, littéralement, à flots, dans des fleuves qui parurent gigantesques à ces habitants des déserts les plus arides, qui n'avaient, en gros, jamais vu que du sable. Leur chef, le très redoutable Emir Tarik, s'élança depuis ce qui deviendrait un jour Tanger et devrait son nom à Tingis, la femme du géant Antée, ce Roi de Libye qui était fils de Poseîdon (= la Mer) et de Gaïa (= la Terre) ! Pas n'importe qui, donc, cet Antée, qui serait enterré (et non pas ''antée-errait'') à el-Charf, près de Tanger (Je n'ai jamais trouvé ce tombeau. Tant pis pour moi !).
On peut imaginer l'étonnement de ces guerriers devant l'énorme rocher qui semblait jaillir de la mer. Un peu craintifs, ils demandèrent au chef : ''Kékcékça ?'' (c'est en ''VO''). Pris de court, il répondit, superbe : ''Hada houa, chi J'bel Tarik'' (Ceci est ma montagne à moi, Tarik). ''Jebel Tarik''... Gibraltar, à l'accent près, avait un nom. Poursuivant leur chevauchée, ils virent une petite île très verte (quelle drôle de couleur, pour eux !) que Tarik, en panne de créativité, appela tout simplement al-Gezirah al-Jadrah, aujourd'hui encore l'Isla Verde. Al-Gezirah-Algesiras avait un nom, aussi. La toponymie espagnole prenait corps. (Petite précision : ''Fleuve'' se dit ''Wadi'', en arabe oriental (Machreki) ou ''Oued'' en arabe occidental (Maghrébi). Nous utiliserons tantôt l'un, tantôt l'autre).
C'est un peu plus loin qu'ils s'arrêtèrent, pétrifiés, devant un fleuve comme ils n'en avaient jamais imaginé ! Cent fois l'Oued Sebou et vingt fois le Bou Regreg, ''le père des Cigognes'', les plus grands qu'ils aient vus... Même Tarik, dans sa prétention, n'osa pas s'attribuer ce monstre et il lui donna le nom de Oued el-Kebir. (le grand fleuve), que des glissements sémantiques allaient transformer en Guadalquivir. Mais Tarik n'avait pas dit son dernier mot, et le grand fleuve suivant (plus modeste mais ''pas mal'', tout de même) décrocha la timbale : le Guadiana (al-Oued di' ana, ''mon'' fleuve) allait perpétuer son souvenir ! Et de découverte en découverte, ils en sont arrivés à un autre grand fleuve, d'une étrange couleur : il avait beaucoup plu sur la meseta de Guararrama (= le fleuve de sable) et le Wadi charriait une eau boueuse, marronâtre, qui inspira Tarik... qui lui donna le nom peu valorisant de ''Oued el-Rhraa'' (déjà traduit plus haut), ce qui explique que, le temps passant, le fleuve a pris le nom moins suggestif de ''río Manzanares''. Seules les terres environnantes ont gardé ce nom... qui n'avait plus aucun sens...
Et ce n'est qu'en 1521, après la chute de l'Empire Aztèque, que le conquistador Hernàn Cortés chargea Nuño Beltràn de Guzmàn, natif de Guadalajara-la-Castillana, de conquérir tous les territoires à l'ouest de la Nouvelle Espagne, avec 500 soldats et, dit-on,15 000 esclaves aztèques. La nouvelle capitale sera fondée officiellement le 5 janvier 1532... Je dois dire que ces détails-là, contrairement aux considérations exclusivement philologiques, enchantèrent mon nouvel ami d'un jour... et Evêque toujours (ce je lui souhaite : il est tellement sympathique)... Pourtant, au Mexique même, il est en concurrence étymologique avec Guadalupe, l'un des plus impressionnants pèlerinages de la chrétienté, héritier adoptif d'un d'un Oued al-Lub, un fleuve aux pierres noires (que je n'ai pas vues, lors de mes pélerinages à ce lieu unique), dont l'Alcade (le Maire) ne se souvient sans doute pas d'avoir été ''al-Caïd''
La toponymie espagnole est vraiment très marquée par les 7 siècles qu'aura duré l'occupation arabe. Je vais citer deux autres noms, auxquels on ne pense pas toujours : le nom de Madrid, la capitale, souvent prononcé ''Madrit'' par les espagnols –qui parlent si vite !- vient de l'arabe madrit ou madjriat, qui veut dire petit(s) cours d'eau... et le second, plus douloureux pour nous, est le nom de Trafalgar qui vient de l'arabe Tarif al-Gharb, le cap à l'Ouest. Pensons à autre chose !
Selon le dictionnaire de l’Académie royale d’Espagne, sur la centaine de milliers de mots que compte la langue espagnole, environ 4000 sont d’origine arabe. A titre de comparaison, la langue française compte moins de 250 mots issus de l'arabe... ce qui ramène à zéro la tirade idiote de Chirac sur une soi-disant présence culturelle arabe qui serait ''à sa place, en France'' : la place en question est à peine un strapontin d'appoint, même si quelques mots sont de toute première utilité (ne dit-on pas ''jouer les utilités'' pour dire ''avoir un rôle secondaire'' ?), telle le magasin français qui vient de l'arabe المخزن , āl-magḫzàn (= l'entrepôt, almacén, en espagnol).
Mais il on ne peut passer sous silence l'apport de l'arabe dans les mathématiques, où triomphent le ''chiffre'', issu du al-Ciff'r, le zéro, et l'Algèbre, de al-Jeb'r, le chiffre, qui nous ont causé tant de maux de tête, enfants. Citons aussi le fraîchement ressuscité ''algorithme'' qui ne s'écrit pas avec un ''y'' puisqu'il n'a rien à voir avec la samba, le blues, le rock… ou le ''raï'': il vient du nom du célèbre mathématicien, philosophe, géographe, astrologue et astronome persan ''al-Khwarismi'', un génie qui est mort vers 850 à Bagdad (un chapitre de mon livre ''Comprendre demain'' --Juin 2012, pp. 97 à 132-- lui est consacré). De mauvaises langues affirment que ce sont les esclaves grecs qui ont sauvé, pour les arabes qui n'ont pas su s'en servir, les trésors contenus dans la grande Bibliothèque d'Alexandrie brûlée en 648... ce qui est ''un peu just'' mais pas impossible, en ce qui concerne les dates. Je me garderai bien de trancher... et franchement, je m'en fous !
Ce gentil Monseñor ne saura jamais le plaisir qu'il m'a offert sans le vouloir, en me permettant une petite escapade pour une fois vide de tout sous-entendu politique (ou... si peu !), dans le domaine –si cher à mon cœur-- des mots pour eux-mêmes, de la culture gratuite, et de souvenirs qui ne servent à rien. L'acte gratuit (dont Gide contestait jusqu'à la possibilité d'existence dans ''Les caves du Vatican'', ce qui a interrogé mes 2 années de ''Prépa'' : ''S'il avait raison, se disait-on, ce serait trop affreux !'') reste tout de même une ultime prérogative de l'Homme que même les plus sectaires des animalistes n'ont jamais osé attaquer frontalement...
Et pardon, chers Amis-lecteurs, à ceux d'entre vous que mes digressions géographico-sémantiques dominicales et épiscopales ont pu ennuyer. C'est seulement ''une fois tous les 36 du mois''... et encore !
H-Cl.
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8 maggio 1943 : la Xª MAS attacca Gibilterra.
I Padroni del Mediterraneo colpiscono ancora
E’ la sera del 7 maggio 1943 e nella Baia di Gibilterra il mare è in burrasca, tanto da sconsigliare anche ai pesci di affrontare onde e correnti marine.
Ma il cielo è particolarmente buio e la notte è oscura, proprio come piace a loro... quindi, 6 stelle pronte a liberare il proprio bagliore, iniziano il sacro rito di vestizione dei loro indumenti di assalto, disposti a tutto e pronti a coronare il loro sogno di patrioti.
Si, sono proprio loro, i famigerati palombari italiani, "quelli della Decima", oramai famosi in tutto il mondo.
Seguendo le orme dei loro magnifici predecessori, oggi vivono il loro momento, quello sognato per mesi. Con il cuore gonfio di orgoglio e di timore, fuoriescono dalla base segreta della Xª Flottiglia MAS, ricavata nei meandri dello scafo sommerso della nave Olterra, internata nella rada di Algesiras in territorio spagnolo, immergendosi nelle acque tanto agitate almeno quanto i loro cuori di temerari.
Nel buio pesto della notte, in interminabili ore di faticosissima navigazione, affrontano le intemperie, le fortissime correnti e le più disparate ostruzioni, a cavallo dei loro 3 micidiali “maiali”, i Siluri a Lenta Corsa ideati dal prodigioso genio italico di Teseo Tesei ed Elios Toschi.
Dirigono le 3 prue proprio verso le fauci del lupo, incontro alle trappole mortali disseminate dagli inglesi, in direzione dei mercantili ancorati in rada e carichi di preziosi rifornimenti.
Dopo i clamorosi successi ottenuti dalla più letale unità di assalto subacquea di tutti i tempi, gli inglesi avevano rafforzato le difese passive ed attive in tutte le proprie installazioni costiere. Si pensi solo che in ogni porto ed in ogni rada, ogni appena 6 minuti (6 MINUTI !!!), venivano fatte deflagrare una serie infinita di bombe di profondità, al fine di neutralizzare eventuali possibili attacchi dei micidiali palombari italiani, divenuti un vero incubo per qualsiasi Ammiraglio inglese !
Addirittura, per contrastare i disastri materiali ma soprattutto quelli ancor più pesanti inferti dalla "Decima" al morale dei marinai inglesi, venne istituita una apposita unità di contrasto, chiamata “Underwater Working Party”, affidata al comando del valente ufficiale Lionel Crabb, il più grande ed esperto studioso della Xª MAS, per le cui azioni e per i quali palombari, egli nutriva una profonda e sconfinata ammirazione.
Nonostante le enormi difficoltà meteorologiche, che si aggiungevano alle fatiche necessarie per eludere le ostruzioni e soprattutto scampare alle continue esplosioni delle bombe di profondità, alle ore 06,15 della mattina dell’ 8 maggio 1943, la prima devastante esplosione gettava nello scompiglio l'intera Baia di Gibilterra.
Immediatamente, tra centinaia di deflagrazioni di contrasto, provocate ora dagli uomini di Crabb, tra mercantili e navi da guerra che si spostavano in tutta fretta verso i bassi fondali, nel tentativo di scampare od almeno tamponare eventuali affondamenti, in successione, alle ore 06,35, alle 06,50 ed infine alle ore 07,30 altre 3 terribili esplosioni mandavano a picco 20 mila tonnellate di naviglio inglese !
Era appena sorta l’alba, la notte oscura aveva celato le scie luminose delle 3 comete italiane; oramai il campo vedeva solamente l'isterico e frenetico lavoro degli inglesi che tentavano di venire a capo del terribile caos creato dai 6 super uomini italiani.
Decine di rimorchiatori erano alacremente all'opera; ricognitori e navi erano impegnati alla ricerca del sommergibile avvicinatore, mentre ai rottami, al fumo, al panico si aggiungeva soprattutto la desolante consapevolezza inglese di essere sempre e costantemente vulnerabili, quando in acqua si immergeva anche un solo palombaro della Xª Flottiglia MAS.
I sei valorosi sabotatori, nel frattempo, erano incredibilmente riusciti a rientrare tutti ed incolumi, nelle segrete stive della nave Olterra, proprio sotto il naso degli inglesi, impegnati invece a cercare il sommergibile avvicinatore e sapientemente depistati da alcuni indumenti subacquei, lasciati sulla costa da un agente segreto italiano.
Nessuno di noi ricorda il nome di questi 6 Uomini, che hanno dato tanto lustro alla nostra Patria, inducendo ammirazione e rispetto anche nel proprio nemico, e insinuando in Lionel Crabb, un solo fondato sospetto:
- Questi possono affondarci quando vogliono, perché la guerra la vinceremo noi, ma i Padroni del Mediterraneo resteranno per sempre loro : i palombari della Xª Flottiglia MAS -
A questi immensi Uomini, ammirati e temuti dall’acerrimo nemico, onorati in eterno nel Paradiso degli Eroi, noi oggi vogliamo restituire il nome, sicuri che molti di Voi lo conserveranno gelosamente e con amore, in quell'angolo nascosto e forse impolverato del Vostro cuore.
Quell'angolo di cuore presente in ogni Patriota; quell'angolo di cuore ove si percepisce, ancora fortissimo, il magico ed inebriante profumo della rosa rossa.
Onori a :
- Capitano di corvetta Ernesto Notari
- 2° Capo palombaro Enrico Ario Lazzari
- Tenente Genio navale Camillo Todini
- Sotto Capo palombaro Salvatore Mattera
- Sotto Tenente Armi navali Vittorio Cella
- Sotto Capo palombaro Eusebio Montalenti
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onionjulius:
Loras Tyrell by cinabre / algesiras
Crayon & CG. Les beaux gosses c’est toujours un plaisir à dessiner. ^^ Hotties are always a pleasure to draw. ^^
(Pencil & CG.)
onionjulius:
Loras Tyrell by cinabre / algesiras
(Pencil & CG.)
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The French 2-decker 'Algesiras' casting off from the harbour of Hyeres, 8th May 1868, by François Geoffrey Roux (1811-1882)
'Souvenir of my stay, in May and June 1860, on board the Algesiras. Captain Vrignaud, 3rd Division, Mediterranean Squadron, under the orders of Vice Admiral Le Barbier de Tinan, casting off from the harbour of Hyeres the 8th May 1868.' Noted on the back by the artist
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“Ikebana”, c’est le trentième strip des aventures du Wendigo, fait en l’honneur de Caroline Dhavernas. ^^ Mes fan-arts “Hannibal”
#petwendigo#wendigo#Hannibal#fanart#Alana Bloom#Naka-Choko#thérémine#un genre de#ikebana#Algesiras#cinabre#comics
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The Obsidian Dagger by Algesiras
#a storm of swords#valyrianscrolls#jon snow#samwell tarly#the night's watch#a song of ice and fire#asoiaf#asoiaf art#year of publication: 2009
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Just some cute icons based on Algesiras's Wendigo design
#wendigo#hannigram#fanart#hannibal#icons#cups#mugs#teacups#my art#chibi#tiny wendigo#just wendy doin stuff
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Welcome to Lumon! 🔌💻💧 Fan-art de la série Severance (environ mille ans après tout le monde). De gauche à droite: Mark, Helly, Dylan, Irving, Seth, Harmony, Burt & Ms Casey.
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"you may be as different as the sun and the moon, but the same blood flows through both your hearts. you need her, as she needs you."
ARYA AND SANSA STARK.
Artwork by: Algesiras09 on Deviantart
Link for Art:
( https://www.deviantart.com/algesiras/art/The-Stark-Sisters-183562702 )
#sansa and arya#sansa stark#arya stark#stark sisters#stark siblings#robb stark#catelyn stark#eddard stark#ned stark#asoiaf fanart#asoiaf fandom#house stark#awoiaf#asoiafedit#asoiaf art#THEY ARE ADORABLE#a reunion pls#a game of thrones#grrm#a song of ice and fire#arya stark fanart#sansa stark art#arya and sansa#fanart#fictional characters#dark fantasy#digital sketch
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The Battle of Trafalgar, 21 October 1805: "Well Hardy! How goes the day with us?" [3] c. 1905-8
One of a series of five paintings depicting the events of the Battle of Trafalgar. In the centre of the picture is the French vessel, 'Achille', demasted and on fire; crew abandoning ship at the stern and a rowing boat full of survivors lower right. In the right corner the French ship 'Algesiras'; whilst in the middle ground to the left is HMS 'Tonnant'. An engagement between four vessels beyond.
The group was possibly painted c. 1905, around the time of the battle's centenary, and is unusual in de Martino's oeuvre, as these are the only historical scenes by him. De Martino's contemporaries, Thomas Jacques Somerscales and William Wyllie had both portrayed the event in the 1890s (Somerscales painting c. 1894, in the Government Art Collection). However, it was perhaps an appropriate reminder of one the greatest naval victories at a time when there was rising unease at the threat of war with Germany, and plans to build a Home Fleet.
In 1910 the paintings remained unsold and de Martino sent a round robin letter stating his wish that the Nation should have his 'life of Nelson paintings'. A response was sent on behalf of the King saying he would like to help, but couldn't quite see a way to realise this. On October 30th 1912, following de Martino's death, George V's Private Secretary, Lord Stamfordham reported that he had visited the artist's widow at her late husband's studio presumably to view the paintings. Isabel de Martino insisted that the paintings were only to be sold all together. On the 6 February 1913 she wrote to Lord Stamfordham…' I am pleased to accept your offer, about my husband's pictures. From the first, I told you how happy I was to feel that the King would have the Trafalgar pictures… I accept the offer of Twelve thousand guineas for the 7 pictures, the series of the 5 pictures of the battle of Trafalgar and, 1 of the Nile; 1 of the battle of St Vincent.'
George V's diary records that on Sunday 9 March, 1913: 'In the afternoon we went with David & Mary to Martino's studio and his widow and daughter showed us all his pictures.'
Purchased by George V from the artist’s widow, February 1913
#eduardo de martino#art#painting#history#england#france#spain#the battle of trafalgar#britain#lord nelson#horatio nelson#lord collingwood#cuthbert collingwood#pierre villeneuve#federico gravina#age of sail#napoleonic wars#naval warfare#naval battle#battleship#vessel#achille#algesiras#hms tonnant#george v#british#britannia#french#crew#captain thomas hardy
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Il 7 maggio 1943 : la Xª MAS attacca Gibilterra.
Gli assaltatori palombari della Regia Marina si coprirono d'imperitura gloria, nell'assalto alla base navale nemica di Gibilterra. "I Padroni del Mediterraneo colpiscono ancora".
E’ la sera del 7 maggio 1943 e nella Baia di Gibilterra il mare è in burrasca, tanto da sconsigliare anche ai pesci di affrontare onde e correnti marine. Ma il cielo è particolarmente buio e la notte è oscura, proprio come piace a loro... quindi, 6 stelle pronte a liberare il proprio bagliore, iniziano il sacro rito di vestizione dei loro indumenti di assalto, disposti a tutto e pronti a coronare il loro sogno di patrioti. Si, sono proprio loro, i famigerati palombari italiani, "quelli della Decima", oramai famosi in tutto il mondo. Seguendo le orme dei loro magnifici predecessori, oggi vivono il loro momento, quello sognato per mesi. Con il cuore gonfio di orgoglio e di timore, fuoriescono dalla base segreta della Xª Flottiglia MAS, ricavata nei meandri dello scafo sommerso della nave Olterra, internata nella rada di Algesiras in territorio spagnolo, immergendosi nelle acque tanto agitate almeno quanto i loro cuori di temerari. Nel buio pesto della notte, in interminabili ore di faticosissima navigazione, affrontano le intemperie, le fortissime correnti e le più disparate ostruzioni, a cavallo dei loro 3 micidiali “maiali”, i Siluri a Lenta Corsa ideati dal prodigioso genio italico di Teseo Tesei ed Elios Toschi. Dirigono le 3 prue proprio verso le fauci del lupo, incontro alle trappole mortali disseminate dagli inglesi, in direzione dei mercantili ancorati in rada e carichi di preziosi rifornimenti. Dopo i clamorosi successi ottenuti dalla più letale unità di assalto subacquea di tutti i tempi, gli inglesi avevano rafforzato le difese passive ed attive in tutte le proprie installazioni costiere. Si pensi solo che in ogni porto ed in ogni rada, ogni appena 6 minuti (6 MINUTI !!!), venivano fatte deflagrare una serie infinita di bombe di profondità, al fine di neutralizzare eventuali possibili attacchi dei micidiali palombari italiani, divenuti un vero incubo per qualsiasi Ammiraglio inglese ! Addirittura, per contrastare i disastri materiali ma soprattutto quelli ancor più pesanti inferti dalla "Decima" al morale dei marinai inglesi, venne istituita una apposita unità di contrasto, chiamata “Underwater Working Party”, affidata al comando del valente ufficiale Lionel Crabb, il più grande ed esperto studioso della Xª MAS, per le cui azioni e per i quali palombari, egli nutriva una profonda e sconfinata ammirazione. Nonostante le enormi difficoltà meteorologiche, che si aggiungevano alle fatiche necessarie per eludere le ostruzioni e soprattutto scampare alle continue esplosioni delle bombe di profondità, alle ore 06,15 della mattina dell’ 8 maggio 1943, la prima devastante esplosione gettava nello scompiglio l'intera Baia di Gibilterra. Immediatamente, tra centinaia di deflagrazioni di contrasto, provocate ora dagli uomini di Crabb, tra mercantili e navi da guerra che si spostavano in tutta fretta verso i bassi fondali, nel tentativo di scampare od almeno tamponare eventuali affondamenti, in successione, alle ore 06,35, alle 06,50 ed infine alle ore 07,30 altre 3 terribili esplosioni mandavano a picco 20 mila tonnellate di naviglio inglese ! Era appena sorta l’alba, la notte oscura aveva celato le scie luminose delle 3 comete italiane; oramai il campo vedeva solamente l'isterico e frenetico lavoro degli inglesi che tentavano di venire a capo del terribile caos creato dai 6 super uomini italiani. Decine di rimorchiatori erano alacremente all'opera; ricognitori e navi erano impegnati alla ricerca del sommergibile avvicinatore, mentre ai rottami, al fumo, al panico si aggiungeva soprattutto la desolante consapevolezza inglese di essere sempre e costantemente vulnerabili, quando in acqua si immergeva anche un solo palombaro della Xª Flottiglia MAS. I sei valorosi sabotatori, nel frattempo, erano incredibilmente riusciti a rientrare tutti ed incolumi, nelle segrete stive della nave Olterra, proprio sotto il naso degli inglesi, impegnati invece a cercare il sommergibile avvicinatore e sapientemente depistati da alcuni indumenti subacquei, lasciati sulla costa da un agente segreto italiano. Nessuno di noi ricorda il nome di questi 6 Uomini, che hanno dato tanto lustro alla nostra Patria, inducendo ammirazione e rispetto anche nel proprio nemico, e insinuando in Lionel Crabb, un solo fondato sospetto: - Questi possono affondarci quando vogliono, perché la guerra la vinceremo noi, ma i Padroni del Mediterraneo resteranno per sempre loro : i palombari della Xª Flottiglia MAS .
A questi immensi Uomini, ammirati e temuti dall’acerrimo nemico, onorati in eterno nel Paradiso degli Eroi, cui io oggi voglio restituire il nome, sicuro che molti, come Te , lo conserveranno gelosamente e con amore, in
Quell'angolo di cuore presente in ogni patriota; 🇮🇹
quell'angolo di cuore ove si percepisce, ancora fortissimo, il magico ed inebriante profumo della rosa rossa 🌹simbolo di passione ed ardimento.
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1 Aprile
Primo Aprile (..pesce) tappa n 12 Algesiras Cadice
Distanza. 124 km totale salita 1001m (!!) tempo in movimento 7h17min.
Finalmente il tempo si è messo al bello, grazie alla tramontana che ha iniziato a soffiare forte, non è il massimo per me perchè vado verso NO, ma almeno non piove.
Si inizia subito bene con una bella salita di 6 km fino a 380 m, poi un po' di saliscendi fino ad arrivare in vista di Tarifa, la punta meridionale dell'Europa, un pelo più a sud di capo Passero.
Per un po' si segue la costa ed il vento si fa sentire, poi si va un po' all'interno , meno vento ma più su e giu' sulle colline, un po' una compensazione. Il paesaggio è molto diverso da prima di Algeciras: verde, senza coltivazioni, senza paesi, qualche bivio per non so dove, poche macchine, buona strada: ottimo per pedalare. Mi fermo per uno spuntino ai 65 km a Vejer de la frontera ( che è ancora molto distante) e mi metto su una strada secondaria perchè questa si è trasformata su una super strada e non so mai se posso o non posso andarci. Comunque anche questa è buona.
Ad una rotonda ho un piccolo incontro ravvicinato con una macchina, niente di serio, e continuo avanti fino ma a circa 30 km da Cadice: la mia strada termina sulla super strada con tanto di cartello niente bici. Seguo il mio GPS che mi porta su una ….sterrata per 10 km, meno male che la bici è robusta assai e le gambe anche, anche se qui il vento si fa sentire riducendo notevolmente la velocità.
Arrivo finalmente alla isla de Leon, dove inizia una strettissima lingua di terra di 8 km che unisce Cadice, che in realtà è un isola, con la terraferma. E qui non ci sono alternative: bisogna prendere la superstrada: mare a destra, a sinistra ferrovia e ancora mare.
Arrivo un po' più tardi del previsto sia dovuto alle indecisioni di percorso ( sterrata) sia del vento che rallenta visibilmente.
Avevo preso un albergo nella parte vecchia di Cadice, che è molto bella e caratteristica anche se la posso rivedere poco perchè è tardi e il giorno è stato lungo.
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Le Vaisseau L' Algesiras by Auguste Etienne Francois Mayer
A French 74, gun, ship-of-the-line. She was named after the the Battle of Algeciras ( 13 June 1801 – 14 July 1801 ) and was launched 1804. In 1805 she sailed to the West Indies with Aigle where they joined a French fleet under Vice-Admiral Villeneuve. In October of the same year she took part in the Battle of Trafalgar, under Rear Admiral Charles Magon. She was engaged by HMS Tonnant at point-blank range, and Magon attempted a boarding, but the boarding party was annihilated by British fire which killed all but one of the party, who was made prisoner. Magon was killed. The fight went on for an hour with Tonnant's starboard guns duelling with the Algésiras, the port guns with Pluton, and the forward guns aimed at the San Juan Nepomuceno. Algésiras finally surrendered to Tonnant at around 14:30.
During the storm after the battle, her crew rose up against the British prize crew, and recaptured the ship. She sailed to Cádiz flying French colours. On 14 June 1808 she was captured by the Spanish along with all the other French ships in Cadiz.
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