#Wolf Delroy au
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2020: On a plié, mais on a tenu
Il ne me viendrait normalement jamais Ă lâidĂ©e de lister tous les films que jâai vus en salle pendant une annĂ©e, mais 2020 est exceptionnelle de bien des façons, Ă©tant entre autres de loin lâannĂ©e oĂč je suis le moins allĂ© au cinĂ©ma de ma vie adulte. Donc, dans lâordre : 1917, Bad Boys for Life, Jay and Silent Bob Reboot (suivi dâun Q&A avec Kevin Smith en personne), Le rire, Mafia Inc., Jusquâau dĂ©clin (premiĂšre mondiale aux RVQC)... puis aprĂšs une pause de 6 mois, le fameux Tenet. Les salles ont ensuite Ă©tĂ© forcĂ©es de refermer leurs portes dans les zones rouges, alors que Hollywood reportait de toute façon pratiquement toutes ses sorties Ă 2021.
Peu de films vus sur grand Ă©cran, donc, mais jâen ai nĂ©anmoins regardĂ© Ă©normĂ©ment. On connaĂźt la chanson : vidĂ©o sur demande, Blu-ray, DVD, lâoccasionnelle VHS, ainsi que les incontournables plateformes de diffusion en continu. Puis il y a eu lâĂ©dition virtuelle de Fantasia, un des moments forts de mon annĂ©e, ainsi que quelques autres sĂ©ances de festival en ligne ici et lĂ . Soulignons par ailleurs que le CinĂ©ma du Parc et le CinĂ©ma Moderne offrent actuellement une programmation en ligne, en attendant la rĂ©ouverture des salles.Â
Autre fait notable : jâai participĂ© Ă une dizaine dâĂ©pisodes du podcast Rembobinage avec mon ami Hugo PrĂ©vost, oĂč nous avons discutĂ© de quelques-uns des titres qui se retrouvent dans mon top 10, en plus de revisiter plusieurs classiques. Le cinĂ©aste RafaĂ«l Ouellet sâest par ailleurs joint Ă nous pour discuter de Cop Land et The Sugarland Express rĂ©cemment. Ăa sâĂ©coute via Pieuvre.ca.Â
1 - LOVERS ROCK (Steve McQueen)
LâĂ©vĂ©nement cinĂ©ma de lâannĂ©e : une anthologie de cinq longs mĂ©trages rĂ©alisĂ©s par Steve McQueen, qui sâest intĂ©ressĂ© Ă divers aspects de lâexpĂ©rience des Afro-CaribĂ©ens en Angleterre, des annĂ©es 60 aux annĂ©es 80, abordant notamment des sujets encore tristement dâactualitĂ© comme le racisme systĂ©mique, le profilage racial, la brutalitĂ© policiĂšre, etc. Mon prĂ©fĂ©rĂ© du lot est de loin Lovers Rock. En 70 minutes, McQueen signe le film le plus sensuel de l'annĂ©e, avec la meilleure trame sonore. Un house party jamaĂŻcain Ă Londres en 1981, avec un peu de drame, un soupçon de tension, un brin de commentaire social en filigrane, mais surtout plein de belles personnes qui dansent, qui chantent, qui se courtisent, qui fument du weed et qui boivent de la biĂšre. J'ai Ă©tĂ© complĂštement captivĂ© par les couleurs chaudes des images, par la camĂ©ra qui dĂ©ambule sur la piste de danse et Ă travers la maison, par le montage si fluide. C'est vraiment comme si on Ă©tait lĂ , ce qui est assez transcendant en cette annĂ©e de distanciation sociale et de confinement. Probablement le meilleur film de party que j'ai vu de ma vie. La sĂ©quence de Silly Games est extraordinaire, bien sĂ»r, mais j'aime autant, voire plus celle de Kunta Kinte Dub. Mercury Sound! Mercury Sound! (Vu sur Prime Video)
2 - PORTRAIT DE LA JEUNE FILLE EN FEU (CĂ©line Sciamma)
C'est quelque peu curieux que ce film ait remportĂ© le Prix du scĂ©nario Ă Cannes alors que sa grande force est manifestement sa mise en scĂšne. Le rĂ©cit est plutĂŽt simple, les dialogues Ă©pars, les personnages sommairement esquissĂ©s. Mais les images sont absolument glorieuses! C'est un film sur la beautĂ©, l'art et l'amour oĂč les mots sont presque superflus. Tout se joue dans les regards : ceux des actrices, celui de la rĂ©alisatrice. En ce qui me concerne du moins, les moments les plus Ă©mouvants sont purement visuels - incluant quelques Ă©lĂ©ments fantastiques inexpliquĂ©s. Du grand cinĂ©ma. (Vu en vidĂ©o sur demande)
3 - LE RIRE (Martin Laroche)
«âĂa va bien allerâ» dit un personnage dans les 5 premiĂšres minutes, et ce nâest quâun des Ă©chos de 2020 que renferme ce film visionnaire. Le rire est un grand film sur la rĂ©silience, incarnĂ©e par lâextraordinaire LĂ©ane LabrĂšche-Dor, dont le personnage survit aux pires horreurs imaginables pour ensuite se dĂ©vouer Ă aider les autres. Câest une Ćuvre Ă la fois lourde et lĂ©gĂšre, sombre et lumineuse, lucide et rĂȘveuse, fataliste et teintĂ©e dâespoir. (Vu au CinĂ©ma du Parc)
4 - TENET (Christopher Nolan)
Une Ćuvre immense tant par ses set-pieces saisissantes que par ses concepts complexes. Rarement un film mâen a mis plein la vue aussi intensĂ©ment. Plein les oreilles aussi. Comme dans pratiquement toute la filmographie de Nolan, le rapport au temps est le thĂšme central du rĂ©cit, qui est finalement un film de voyage dans le temps, ou plus prĂ©cisĂ©ment dâinversion temporelle, Ă classer avec les autres classiques du genre tels que The Terminator, Back to the Future et Twelve Monkeys. (Vu en IMAX au CinĂ©ma Banque Scotia)
5 - THE WOLF OF SNOW HOLLOW (Jim Cummings)
Un film oĂč lâhumour et le pathos coexiste avec les codes dâun thriller Ă la Fargo ou The Silence of the Lambs et des Ă©lĂ©ments dâhorreur. Comme dans tous les meilleurs films de genre, les personnages sont bien dĂ©veloppĂ©s et divers thĂšmes sont abordĂ©s entre les scĂšnes de suspense et de violence. Le film est dĂ©dicacĂ© Ă la mĂ©moire de Robert Forster, qui incarne le pĂšre du flic jouĂ© par Jim Cummings. (Vu en vidĂ©o sur demande)
6 - SOUND OF METAL (Darius Marder)
Pouvoir entendre est quelque chose quâon prend pour acquis, alors câest vraiment anxiogĂšne de regarder/Ă©couter ce film oĂč un batteur perd soudainement lâouĂŻe. Et pourtant, une bonne partie du film est calme, sereine, alors que le protagoniste «âapprend Ă ĂȘtre sourdâ». Le mix sonore est particuliĂšrement inspirĂ©, le silence y Ă©tant omniprĂ©sent. (Vu au CinĂ©ma du Parc en ligne)
7 - iâm thinking of ending things (Charlie Kaufman)
Comme toujours chez Charlie Kaufman, ça peut ĂȘtre dĂ©primant, malaisant, angoissant, mais c'est aussi hilarant. C'est ancrĂ© dans l'intĂ©rioritĂ©, les souvenirs pĂȘle-mĂȘle, l'absence de repĂšres, les Ćuvres d'art qui vampirisent notre propre imagination, le rapport au temps. Au deuxiĂšme visionnement, on comprend davantage ce que la jeune femme idĂ©alisĂ©e et le vieux concierge reprĂ©sentent; les indices sont lĂ . En mĂȘme temps, ça demeure mystĂ©rieux, ambigu, ouvert Ă interprĂ©tation(s). (Vu sur Netflix)
8 - DA 5 BLOODS (Spike Lee)
Le film sâouvre avec un montage Ă©poustouflant au rythme de la premiĂšre de six chansons tirĂ©es de Whatâs Going On de Marvin Gaye. Spike Lee offre une proposition foisonnante qui prend tour Ă tour la forme dâune buddy comedy, dâun pamphlet politique, dâun film dâaventure, et dâun drame psychologique. Si ce n'est que pour la performance hallucinante de Delroy Lindo, vous ne devez pas manquer ça. (Vu sur Netflix)
9 - FIRST COW (Kelly Reichardt)
Un western minimaliste. Patient. Discret. Avec une mise en scÚne méticuleuse, une direction artistique riche en détails, en textures. Un récit trÚs organique, enraciné dans le territoire. Une histoire d'amitié. Une allégorie du capitalisme. Mais il n'y a rien que j'ai plus adoré que la tendresse avec laquelle Cookie trait la vache en lui jasant ça. (Vu en vidéo sur demande)
10 - NOMADLAND (Chloé Zhao)
Un Ă©mouvant film sur le deuil, le vieillissement, la fuite, lâesprit de communautĂ©, la tyrannie du dollar⊠Sur lâidĂ©al de lâAmĂ©rique aussi, loin du cauchemar actuel. Visuellement sublime, avec beaucoup de magic hour, de paysages magnifiques et de visages pleins de vĂ©cu, ce road movie adopte une approche Ă la fois contemplative, lyrique et quasi documentaire. (Vu lors de lâĂ©dition semi-virtuelle du TIFF)
MENTION SPĂCIALE (1) BORAT SUBSEQUENT MOVIEFILM (Jason Woliner)
Jâai hĂ©sitĂ© un peu Ă inclure ce film, mĂȘme si jâestime quâil sâagit de la comĂ©die de lâannĂ©e. Mais au grĂ© de certains Ă©changes, il mâest apparu Ă©vident que câest un des films les plus marquants de 2020, surtout quâune partie du tournage a eu lieu depuis le dĂ©but de la pandĂ©mie et durant la campagne Ă©lectorale amĂ©ricaine. Il fait bon retrouver Sacha Baron Cohen dans son rĂŽle le plus cĂ©lĂšbre, mais la rĂ©vĂ©lation du film est Maria Bakalova dans le rĂŽle de Tutar, la fille de Borat. (Vu sur Prime Video)
MENTION SPĂCIALE (2) HAMILTON (Thomas Kail)
Ce qui rend Hamilton particuliĂšrement Ă©mouvant en 2020, c'est de se rappeler qu'au moment de dĂ©clarer leur indĂ©pendance puis de rĂ©diger la Constitution, les Ătats-Unis Ă©taient basĂ©s sur des idĂ©aux, qui semblent avoir Ă©tĂ© oubliĂ©s ces derniĂšres annĂ©es. En plus, le fait que la majoritĂ© des rĂŽles soient ici jouĂ©s par des personnes de couleur crĂ©e une vision de l'AmĂ©rique encore plus idĂ©alisĂ©e. Lin-Manuel Miranda est un phĂ©nomĂ©nal raconteur d'histoires et d'Histoire, jonglant avec d'innombrables personnages, Ă©vĂ©nements, thĂšmes et motifs rĂ©currents Ă travers un flot torrentiel de mots chantĂ©s ou rappĂ©s. (Vu sur Disney+)
TOP 5 SĂRIES
1 - Câest comme ça que je tâaime (Jean-François Rivard) 2 - The Last Dance (Jason Hehir) 3 - The Mandalorian (Jon Favreau et coll.) 4 - The Queenâs Gambit (Scott Frank) 5 - Tiger King (Eric Goode & Rebecca Chaiklin)
#lovers rock#portrait de la jeune fille en feu#le rire#TENET#the wolf of snow hollow#sound of metal#i'm thinking of ending things#da 5 bloods#first cow#nomadland#borat subsequent moviefilm#hamilton
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Full Moon: A Wolf Delroy au
Summary: Delroy is fully wolf now
By: Sleepy
Delroy bit down on the coat and pulled it away from Leslie who was trying to get it back.
Leslie pulled and pulled but nothing worked, Delroy's teeth were getting more stronger.
"Come on boy, give.It.Back!" He said pulling it some more.
Delroy just responded with a deep growl, He didn't know what was wrong with himself. These past fee days he had became more agreseve.
Leslie was finally able to get his coat back, although his coat had bite marks on it he didn't mind at all it made his coat look more cooler.
Delroy huffed and walked back to his bed and layed down.
"You know, today's the full moon right? Its a very painful process kid" Leslie warned. Delroy looked at him with a frown on his face "W...whatever" He replied
"Now let me give you some tips, just to help you" Leslie said " like?" He asked
"When your transformation is complete, you'll still be in pain and won't be able to move alot for like about 1-5 days." He explianed
"Then what should I do?" Delroy asked
"This may sound stupid but, you'll have to lick yourself." Leslie said with a laugh
Delroy felt himself almost barf out the meat he had just ate a while ago.
"The fuck you mean it may sound stupid, It DOES sound stupid." Delroy said in disgust.
"Hey, i'm just trying to help here but its up to you not me but i'll see you later tho." Leslie said
He then walked out the cell, locked the door and walked away.
Delroy didn't want to say this but, he was scared. No not scared, he was terified. He didn't want to feel this type of pain!
He didn't want to bleed nor did he want to scream in pain, but what choice did he have? No choice at all.
All he could do is sit there and wait until his time of transformation would happen. All these thoughts made him feel sick inside.
His tummy began to growl no becuase he was hungry, but because he was about to throw up.
Delroy then puked all over the floor, blood splated on the floor along with the rest if the meat he ate.
The smell of dead rotten flesh and blood made him gag. He did not like the smell of this, no wonder most animals don't get close to vomit on the road made by other birds.
Crow face came in and cleaned up the mess Delroy had made, he could tell by the way crow face was picking up the mess that he was pissed at him.
After a few hours passed it was finally time for Delroy to transform.
Otto, Leslie, and Tavish dragged Delroy out of the cell while he was fighting back. Delroy tried to run back to his cell but was stoped by crow face.
Soon enough Delroy was outside, inside a cage looking at the full moon. He had to admit the moon did look bigger since the last time he saw it.
The cult then made a circle around him and began saying weird words that Delroy couldn't even understand.
Then yellow Light glowed around Delroy and when the light got brighter He felt a sharp pain inside his heart.
He screamed in pain as the cult kept saying the ritual, Delroy felt like a bullet had shot him in his chest.
His Teeth then grew into sharp fangs that were sharper than a dagger and so did his claws. His tail grew more fluffy, more hair grew on his chest.
His ears began to hear stuff that were far away, he was hearing stuff at the same time that made his nose bled.
Delroy cried for the cult to stop but it was no use the cult still kept saying the ritual.
Then Delroy just droped on the cold cage floor.
Delroy woke up to a nice smell of meat ccoking, he opened his eyes to see that he wasn't in a cage no more, he was in a living room.
He tried to get up but failed, his legs felt like they couldn't support him. He looked up to see the cult looking at him.
"Soo?" Crow face asked "how do you feel?"
Delroy didn't respond, he just layed back down with his chin layed on his paws.
"You look diffrent?" Said Tavish "Very diffrent, you look more like a wolf and dog than a human" Leslie added
Abanate just sat there giggling like a child
"Well lets get you something to eat, here made it for you" Otto said pulling out a baked stake.
Delroy chewed on the meat like he hadn't eating in years. The meat was good and juicy that he wanted to make it last.
But his head and body began to hurt, then words of wisdom hit his brian.
"This may sound stupid but, you'll have to lick yourself." He remembered Leslie say
He then began to lick his paws and arms, he felt stupid doing this, but for some reason it made him feel less pain amd more warmth.
"So you decided to take my word for it huh." Leslie said with a chuckle
#hello neighbor#welcome to raven brooks#delroy#Wolf Delroy au#mayor tavish#leslie kornwell#crow face#otto kinander#abanate#tw blood
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Wolf Delroy au drawing
He soooo Cuteeeeeđđđ
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Another drawing from my Wolf Delroy auđșđđđ«
đđđđđ
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