#VICTIME La femme taupe
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thejoyofviolentmovement · 2 months ago
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New Audio: VICTIME Shares Woozy and Glitchy "Résonne encore"
New Audio: VICTIME Shares Woozy and Glitchy "Résonne encore" @mothlandsounds
Initially formed in Québec City back in 2016 and now currently featuring members split between the Québecois cities of Montréal, Québec City and Gatineau, VICTIME — Ponctuation’s and Pure Carrière‘s Laurence Gauthier-Brown, Album’s Simone Provencher and Corridor‘s and Kee Avii‘s Samuel Gougoux — quickly made waves across the province with 2017’s Mon VR de rêve EP, 2018’s full-length debut La…
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wyrd-rpg · 4 years ago
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6persoschallenge
de @mysterious-corvidae
Mieux vaut tard que jamais ! Je voulais tout poster en une fois finalement, donc maintenant que tout est fait, c’est parti !
Je n'ai pas beaucoup voyagé dans la toile du rpg, donc les 3 premiers persos sont issus du même forum. Logique quand je réalise que ça fait 12 ans que je rp dans cet univers, avec une petite dizaine de persos pour celui-ci. Contexte urban fantasy avec créatures connues et inventées.
→ Perséphone | 40 ans | Katheryn Winnick – Slaying the Dreamer
Il s'agit du personnage que j'ai joué le plus longtemps, 7 ans bien qu'elle ait eu droit à une refonte.
Persé, c'est le genre de perso qui pense faire le bien mais s'aveugle de sa justice partiale. Elle ne veut pas admettre les problèmes de ses raisonnements, elle aura toujours une réplique à première vue pleine de bon sens. Elle veut servir de relais pour les victimes, les défendre, porter leur voix parce qu'elle cache elle-même des blessures qui ne sont, après des années, toujours pas cicatrisées. Comme elle s'est endurcie, elle veut se battre pour ceux qui n'en ont pas les moyens.  Sauf qu'elle veut tellement protéger qu'elle en perd de l'empathie pour les créatures qui, d'après elle, sont dangereuses, même si elle ne veut « que » leur faire renoncer à leur essence fantastique. Son don y a également contribué : ses cibles font des cauchemars qui mettent en évidence leurs noirceurs, et leur vision lui était imposée si elle dormait en même temps. Progressivement, elle perdait foi en l'humanité, accablée par la violence de ce qu'elle vivait au travers du subconscient d'autrui.
→ Abel | 36 ans | Jason Momoa - And it feels like I’m dying inside
C'est sans doute celui qui m'a le plus touché, dont les rps m'ont le plus ému. C'est aussi le seul vampire que j'ai joué, pas trop attiré par ce mythe à la base.
Marié, père de deux enfants, il mène une vie simple jusqu'à ce qu'on le transforme. Il se réveille à l'hôpital dans l'ignorance collective : aliéné par sa transformation, il attaque ceux qu'ils croisent dont sa fille. Il sera envoyé dans la prison de la ville d'à côté, ville vivant en connaissance de cause avec le surnaturel. Abel est persuadé d'avoir tué son enfant et tombe dans la dépression. Un traumatisme de son enfance le pousse à s'accrocher et, plus tard, suite à l'évolution de l'intrigue qui a révélé les secrets, il fait alliance avec les autorités. En échange de la protection pour sa famille (qu'il n'a pas vue depuis deux ans), il leur sert de taupe. Il a la conviction d'avoir détruit sa famille et n'espère même pas la retrouver. Pour lui, il est déjà mort. Il joue le rôle d'un jeune vampire désemparé (ce qui est aussi vrai), à l'écoute pour mieux glaner les informations auprès de ses pairs. Derrière ses mots aimables et ses blagues, il camoufle la haine qu'il ressent pour eux. Pour lui et le monstre qu'il est devenu à ses yeux. Il découvrira dans un RP que sa fille a survécu et que sa famille l'attend, apprendra même que son épouse se bat pour lui. L'espoir vibre dès lors de nouveau en lui. Il lorgne après la solution miracle proposée pour redevenir humain, mais le gouvernement traîne pour l'utiliser le plus possible...
→ Cash | 34 ans | Charlie Hunnam – Deux petits joints par jour, c'est anti-dépresseur
Je le joue actuellement, ou plutôt j'essaie, puisque j'ai beaucoup de mal à écrire pour le moment T_T 
Durant son adolescence, il subit l'attaque d'un lycan qu'il mettra longtemps à surmonter. Il y perd définitivement une partie de ses doigts. Le surnaturel non révélé à l'époque, personne ne le croit. En parallèle des séances de psy et de rééducation, il trouve refuge dans l'imaginaire (littérature, jeux de rôles) et le cannabis. Quand le secret est révélé, il ressent un immense soulagement : il sait, enfin, ce qu'il s'est passé. Il est heureux, fasciné, bien trop curieux... et en même temps terriblement effrayé. Il utilise néanmoins l'arrière boutique de son bar/magasin de jeux de société pour aider un trafic de sang : mieux les vampires sont nourris, moins il court de risques ! Cash, c'est un optimiste, rêveur, paumé, une peluche qui ne demande qu'à être rassurée. Il cherche à rattraper l'enfance qu'on lui a volée, à oublier ses douleurs qui lui rappellent ses membres fantômes. Sans surprise, il joue, beaucoup, et il a la fâcheuse tendance à prendre des décisions au jet de dés qui traînent toujours dans sa poche. 
→ Aaliyah | 28 ans/millénaires | Sara Sampaio – Anger filling the void
Je n'ai pu faire que quelques posts de rp avec elle, le forum ayant malheureusement fermé, mais elle a représenté une étape. Je me suis poussé à m'inscrire pour contrer mes insécurités (on connaît tous ces pensées de « je ne serais pas à la hauteur ») et c'était la première fois depuis mon co trans que je créais un nouveau personnage féminin.
Divinité de la destruction, incarnation de la colère, elle a pourtant perdu tout souvenir et puissance depuis des siècles. Née par la tourmente de son père et créateur qui voit son âme-sœur tuée devant ses yeux, elle hérite de cette rage qui la fera combattre dans une guerre aux confins de l'univers. Écho de ce lien déchiré, elles naissent à deux, jumelles et âme-sœurs, connectées au point de forcément disparaître avec l'autre. Leurs ennemis leur infligent une malédiction : elles atterrissent sur Terre, séparées, mémoire purifiée, capacités réinitialisées. Elles sont vouées à se réincarner parmi les humains dans l'ignorance, à errer pour se retrouver. Pourtant, son essence persiste, ce néant qui la dévore la corrompt sans cesse, parfois elle découvre une parodie de pouvoirs qu'elle avait auparavant sans jamais comprendre. Fidèle à ses attributs, elle reste un mal qui gangrène la société, à son échelle minuscule dorénavant. Dans sa dernière réincarnation, Aaliyah est une héritière fortunée qui utilise son argent pour se poser en bienfaitrice, participant activement à des ONG, cherchant une cause à son sentiment de révolte. Ce statut lui sert à cacher sa secte funeste.
→ Harmony | 23 ans | Rachel Bilson - Fear of the dark
Un de mes premiers persos, et je crois le premier PV que j'ai pris (il y a au moins dix ans donc). Un perso qui est à contre-courant de ce que je joue d'habitude depuis XD
De mes maigres souvenirs, c'était une jeune femme artiste, une véritable pile électrique qui n'arrêtait pas de parler (même dans les situations délicates – surtout dans ces situations ?). C'était toujours dans un contexte fantastique, et quand elle découvre la réalité de certains mythes, son côté froussard explose. Je ne m'en souviens pas dans les détails mais elle m'a suffisamment marqué pour que j'y pense en réfléchissant à ce challenge. C'était vraiment comme si une personne lambda se retrouvait au milieu de créatures mythiques : elle PANIQUAIT comme pas possible.
→ Lazarus | 38 ans | Ben Barnes – Lord of lies
Je l’ai déjà présenté dans ce post.
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gedjub · 4 years ago
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290920
Rentrer et rassembler dans mes mains le peu qui reste de toi sur mes joues pour l'embrasser.
Cihan
011020
J'ai abandonné les efforts Palko et je ne me sens pas mieux. Ai-je mis tout mon cœur à l'assaut pour chasser mes anciennes humeurs ? Non. J'ai juste arrêté d'y croire pour arrêter d'avoir mal.
J'aime sa chaleur, j'ai aimé ce dernier baiser, j'aime ses yeux, je l'aime comme il est, je l'aime et je n'ai pas pu lui dire, pire, je nous fais souffrir. Je sais, retour de flamme avant l'extinction, je sais, magie du vent temporairement contraire. Mais je sais aussi que depuis quelques temps j'arrive à compter mieux sur mes abdos au lieu de rêvasser sur mon dos, quand je fais du vélo. Je sais que j'ai pris racine plus profondément, que je sais être moins victime des vagues.
+
Ça soulage pas
Ça a seulement
Griffé le noir
Du tableau
Il allait pleuvoir
Sur nos deux
Et puis il a fait beau
Quelle joie de te revoir
À la maison
Merci pour les cadeaux
Moi j'ai apporté
Du poison
Pour nous deux
C'était pour ma
Consommation
Personnelle
Mais comme on partage
une passion
Je partage
La veille au soir
J'étais calme
Et décidé
Et maintenant
Que c'est dit
J'me sens pas mieux
Ça soulage pas
Ça a seulement
Griffé le noir
Du tableau
Ça prend la lu-
Mière du jour
Et ça fait de l'ombre.
Si c'était de l'art
Ce serait beau
Mais c'est ma vie.
...
Je veux surtout te dire
Que je t'aime.
021020
J'ai mal, j'ai mal, j'ai mal, j'ai mal, j'ai mal, qui sait si j'en rajoute ?
On dit qu'il y a une peur derrière mon rejet Palko.
031020
Rêve :
Agnès Obel et Dave, peut-être d'autres, nettoient consciencieusement un monde parallèle pour arranger celui-ci en passant par un portail qui risque à chaque fois de les altérer. Ils ont chacun un amoureux ici. Dave trompe le sien avec un autre là-bas, ça va se savoir (par une taupe ?).
+
Beauté : l'entente entre deux vieille femmes qui ne se connaissaient pas.
091020
On est chez nous, épisode trois.
Réveiller, révéler les morts par mon imagination, dont le nom allemand, Vorstellungskraft, la puissance de re-présentation, rend plus fidèlement la nature. La femme questionnée raconte son rêve de personnes mortes. J'imagine ses dires et me fait frissonner, l'impression que la fille mentionnée est là, les bruits de choses qui bougent à côté de moi. Je peux arrêter le processus.
+
Si tu es né de cette terre, et peut-être même dans le cas contraire, tu ne peux pas fuir les saisons. Parfois, il pleuvra dans ta maison.
101020
Carrés sur papier de dessins à animer, contraste puis filtre couleur ajoutés au montage.
+
111020
Besame, besame mich!!
+
L'intérieur d'un vaisseau spatial ? Une salle d'expérimentation chelou ? -> tambour de machine à laver.
+
EIN DEUTSCHES MOMENTCHEN
La caissière qui m'a annoncé la somme, à qui je donne un billet et qui fait : "mmmh...!"
+
Je développe mon côté gauche pour devenir plus adroit.
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boderlessgatekeeper · 7 years ago
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Borderless Show 12
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1.The Smile Song-Fun Fare(Triffles And Events Are Your Concerns,2018,S/R)*    2.The Cookout-Crimapple(Metralleta,2018,Loretta Records)*                                 3.Fashionable Clothing-Negative Space(Gestalt Lp,2017,Drunken Sailor Records)*                                                                                                                 4.Red Wine-Julius Smack(Before It’s Is 7″,2017,Practical Records)*                   5.The Only Man Left In The Race-Lie Ins(7″,2017,S/R)                                          6.Still There-The Biscuits(Albatross 7″,2017,IIk Ither)                                            7.Way Around It-Spirit Level(Dinner With The Devil,2017,Erased! Records)*         8.Basic Training-Constantine Zp(Imp,2017,Hec Records)*                                   9.Planet Eater(Feat.Dogfuck And Heja Rames)-Yung Pocket$ And Alfred.(So Sensitive,2017,Citrus City Records)*                                                                      10.Trapped In A Haircut-Crumbs(Mind Your Manners,2017,Molar Records)           11.Druiduri-Alejandro Palacios(Antifambersapal,2017,Nonlocal Records)*            12.Drag King-Sorry(Home Demos/Ns Vol.1,2017,S/R)                                          13.T Dash 2-Nerve Beats(S/T,2017,Fine Concepts)*                                              14.I Won’t Understand-Sybyr(Netgeer,2017,S/R)                                                    15.It’s Yours-Shebeen Queen(Your Madness Will Not Go To Waste,2015,S/R)      16.M.A.Y In The Backyard-Ryuichi Sakamoto(Call Me By Your Name OST,2017)*                                                                                                                17.Fatigue-Victime(La Femme Taupe,2018,S/R)*                                                  18.Rules-Bbymutha(Single,2017,S/R)                                                                    19.Rekohu-Rites Of Passage(Untitled EP,2017,Bore Hole)*                                   20.Long Gone Sally-Black Trumpets(Blue Blew It,2017,Ikuisuis)*                          21.Go Away-Dear Marje(Demo,2011,S/R)                                                               22.Desdemona-Loffty305 X Jaguarclaw(Shroomtard 4,2017,S/R)                        23.Grinch’s Ultimatum-Pilotredsun                                                                          24.Ugly Brunette-Horse Jumper Of Love(S/T,2016,Disposable America)              25. Get Out-Structure(S/T EP,2017,Harbinger Sound)*                                          26.Midriff-Woven In(New City,No Money,2016,S/R)                                                27.It’s Gonna Rain-Chuck(Frankenstein Songs For The Grocery Store,2017,Audio Antihero)                                                                                       28.When Thugs Cry(Prod.Foisy)-Fly Anakin And Koncept Jackson(Chapel Drive,2017)                                                                                                               29.Live With Me-Spelling(Pantheon Of Me,2017,S/R)                                             30. Metronome River-Spinning Coin(Permo,2017,Geographic Sound)*                 31.Norman And Narcissus-Trixie’s Big red Motorbike(All day Long In Bliss,2012,S/R)                                                                      
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helshades · 5 years ago
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c’est un pedophile, c’est normal quand même que les femmes se battent. elles se font lynché et lui il est peinard avec la fortune quil mérite pas
En présumant que tu veux parler de Polanski, la notion de pédophilie concerne une attirance sexuelle pour les enfants prépubères, donc quand bien même eût-il recherché des jeunes filles en grand nombre, en se fondant sur l'âge de sa victime Samantha Gailey au moment des faits (13 ans), il faudrait qualifier le violeur d’hébéphile, s'attaquant spécialement aux adolescentes en cours de puberté (l’éphébophilie concernant des adolescents entre 15 et 22 ans. Tout ceci relève de la « chronophilie », caractérisant l’attirance pour un groupe d’âge spécifique). La distinction est assez importante parce que l’on ne parle pas des mêmes mécanismes et que l’on ne dépiste pas les paraphilies de la même manière.
Quoique de toute façon, la pédophilie n'apparaît pas sous ce terme dans les codes ni règlements du droit et de la justice en France : les termes utilisés pour décrire l'infraction de relation sexuelle entre un majeur et un enfant ou un adolescent sont ceux d'« abus sexuel sur mineur ». La médecine qualifie de pédophiles entre 25% et 50% des cas d’atteintes aux mineurs. Pour reprendre un exemple célèbre, si le grand public se représente souvent le tueur en série Marc Dutroux comme un pédophile, les psychiatres ont noté qu’il n’avait aucune espèce d’attirance particulière pour les enfants, s’attaquant plutôt à des victimes jeunes parce qu’elles étaient plus vulnérables, par opportunisme.
En mars 1977, Roman Polanski (Raymond Liebling au civil), alors âgé de 43 ans, est arrêté à Los Angeles, où il s’est installé pour un reportage photographique sur les jeunes filles américaines qui lui a été commandé par l’édition française de Vogue, et inculpé dans une affaire d’abus sexuel sur mineur dont la victime est une jeune fille de 13 ans qui est l’un de ses modèles. La justice californienne retient six chefs d’accusation contre le metteur en scène franco-polonais : viol sur mineur, fourniture d’une substance prohibée (un cachet de métaqualone, une drogue récréative très populaire à l’époque) à un mineur, sodomie, « actes licencieux et de débauche » & « relations sexuelles illicites et perversion ». L’accusé plaide d’abord non-coupable, sa libération sous caution est reconduite, le juge l’autorise à retourner en Europe afin d’éviter les paparazzi. À son retour, Polanski apprend que la famille de la victime se refuse à voir celle-ci comparaître dans un procès public, et les deux parties s’accordent alors sur une condamnation sans procès et l’abandon des charges les plus graves. Polanski plaide donc coupable de rapports sexuels illégaux avec un mineur, et est condamné en septembre à 90 jours de prison, peine assortie d’une évaluation psychiatrique pour déterminer si le criminel est apte à la réinsertion ; à la sortie, le juge prévoit de classer l’affaire, avec une mise à l’épreuve. Un sursis de deux mois est accordé au condamné pour qu’il termine des prises de vue sur un film, puis, revenu d’Europe, il est incarcéré à Chino. Sa libération a lieu au bout de 42 jours pour conduite exemplaire, suite à l’issue positive de l’examen psychiatrique.
Cependant, dès le lendemain, le juge Laurence J. Rittenband convoque les avocats de la défense et de la partie civile pour les informer qu’il souhaite, finalement, condamner Polanski à une nouvelle peine de prison ; ainsi que le notera le procureur Roger Gunson lui-même, les élections approchent et le juge a été piqué par les critiques de l’opinion publique à l’encontre de sa mansuétude passée. Il annonce une peine « à durée indéterminée » cette fois, tout en assurant les avoués que si le condamné jure de ne jamais revenir aux États-Unis, il sera libéré de nouveau après une quarantaine de jours. L’avocat du ré-accusé lui signale que s’il retourne en prison, le juge aura en réalité le droit de prolonger la peine d’autant qu’il le voudra dans une limite de cinquante années, ce qu’il ne se priverait pas de faire pour l’avantage politique. Polanski prend alors l’initiative de quitter le sol américain pour Paris, ayant la nationalité française. Trois jours plus tard, le 3 février 1978, les États-Unis ont monté le dossier d’extradition, mais la France, qui la refuse généralement, offre également l’exil au metteur en scène. À ce moment-là, à la fois la défense et l’accusation dénoncent le comportement du juge Rittenband qui, avant la fin du mois de janvier, est dessaisi de l’affaire pour « irrégularités ». Dès lors, les États-Unis vont faire le jeu de la taupe avec Polanski tout au long de ses déplacements pendant les vingt prochaines années.
En décembre 2008, les avocats de Polanski réclament au parquet de Californie d’abandonner les poursuites. Début 2009, c’est la victime elle-même, Mme Samantha Geimer – un procès civil a eu lieu en 1993, elle s’est estimée satisfaite par son issue – qui dépose une requête en faveur du metteur en scène, estimant qu’outre l’acharnement judiciaire caractérisé, l’obsession des juges américains la pénalise tout autant que l’accusé, sans compter les conséquences de la médiatisation de l’affaire… Le juge Peter Espinoza refuse de clore l’affaire sans avoir vu l’accusé, tout en tombant d’accord avec les avocats au sujet des irrégularités du premier procès. Enfin, à l’automne 2009, la Suisse arrête Polanski venu recevoir un prix au festival de Zurich, se proposant de l’expédier aux États-Unis ; un avocat helvète est engagé, on accepte de libérer sous caution Polanski, assigné à résidence pendant que la justice se dispute son cas. En février 2010, le procureur jadis chargé de l’affaire, Roger Gunson, répète, sous serment, que le juge Rittenband avait bien assuré à toutes les parties, en 1977, que la peine purgée à Chino correspondait à la totalité de ce que l’accusé devait. Hélas pour ce dernier, mais aussi pour ses détracteurs, la justice américaine refuse de faire parvenir aux Suisses le procès-verbal de l’époque, et l’extradition tombe à l’eau. Polanski est libre de circuler dans trois pays : la Suisse, la France et la Pologne, d’où les États-Unis tentent malgré tout de l’extrader à nouveau entre 2014 et 2015.
Ils ont beau s’y casser de nouveau les dents, le nouveau juge américain, Scott Gordon, déclare que l’affaire ne sera jamais terminée et, dans un bel élan de dissonance cognitive, quand Samantha Geimer lui écrit pour le conjurer d’abandonner enfin les poursuites et de lui foutre enfin la paix, le finaud claironne publiquement que voilà une preuve que le monstre Polanski doit être jugé parce que sa victime continue de souffrir atrocement de son traumatisme. Cette dernière a fort peu apprécié.
« c’est normal quand même que les femmes se battent. elles se font lynché et lui il est peinard avec la fortune quil mérite pas»
Je doute fort que Roman Polanski soit « peinard », mais peu importe. La fortune de Roman Polanski est celle d’un réalisateur de films ayant remporté quelque succès, certes. Je ne vois pas le rapport avec son crime. Il n’a pas confisqué l’argent de sa victime, il n’a pas réalisé de profit en utilisant cette affaire (l’inverse serait plutôt vrai), il n’a jamais fait l’apologie du viol ou du détournement de mineur dans son œuvre… Faudrait-il qu’il sombre dans l’oubli, ou qu’il se départisse de sa fortune parce qu’une certaine populace estime qu’il ne « mérite » pas d’être riche car ayant commis un crime par le passé ? Dans un sens ou dans l’autre, je refuse de voir le patrimoine personnel comme un indicateur de vertu.
Les femmes qui se « battent » contre Polanski – qui le harcèlent, serait peut-être plus juste – ne sont absolument pas « lynchées », au demeurant : elles expriment la pensée moraliste dominante et sont en réalité encensées dans la presse courante, mais quand celle-ci publie à l’occasion une tribune de soutien à l’artiste signée par une poignée de collègues. Je ne pleurerai sur le sort ni des uns ni des autres.
En outre, « les femmes », ça ne veut strictement rien dire. D’aucunes se font mousser à peu de frais en s’auto-désignant comme défenseuses professionnelles de la cause de victimes génériques, essentialisées, exhibées comme pièce à conviction dans de gros procès retentissants qui n’ont lieu que sur la scène médiatique. « Les femmes » ne se battent pas contre Polanski. N’est pas une Vraie Femme que celle qui accepte de hurler avec les loups, en suivant bien la partition. D’ailleurs, ça fait plus de trente ans que Samantha Gailey, elle, défend Polanski face à ses juges, et a des mots très précis pour toutes celles qui prétendraient parler en son nom à elle.
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reseau-actu · 5 years ago
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CRITIQUE - Dans Les faire taire, le lauréat du prix Pulitzer revient sur son enquête ayant mis à jour les agissements du producteur. Un récit construit autour d’un «prédateur excité par la peur».
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Réduire au silence. La méthode d’Harvey Weinstein aura fonctionné pendant une vingtaine d’années. Jusqu’à ce que Ronan Farrow mette à jour les agissements du producteur dans un article du New Yorker en octobre 2017. Dans Les faire taire (éd. Calmann-Lévy), le journaliste lauréat du prix Pulitzer retrace ses dix mois d‘investigation, dessinant en creux le portrait du nouvel ennemi public numéro un des féministes: celui d’un prédateur sexuel caractériel et extrêmement puissant aux méthodes mafieuses.
À lire aussi : Affaire Weinstein: «Ronan Farrow a révélé un pot aux roses»
Sur fond de récit d’espionnage, le fils de Woody Allen et Mia Farrow retrace le parcours qui lui a permis de récolter des informations sur Weinstein dans cet ouvrage de 446 pages publié aux éditions Calmann-Lévy. Dans les coulisses de l’enquête, on croise aussi bien les victimes du magnat, ses anciens employés ou les espions à la solde du producteur. Se dessine ainsi un portrait terrifiant et abject. Celui d’un «prédateur», «excité par la peur» et constamment «en chasse».
«Il pesait sur moi de tout son poids»
Ally Canosa, collaboratrice de Weinstein, se souvient avoir été horrifiée en découvrant des seringues destinées à traiter des problèmes d’érection dans les poches d’une veste oubliée par le producteur après un rendez-vous. Zelda Perkins, ancienne employée de Miramax à Londres explique avoir servi d’appât pour lui trouver des filles afin de «nourrir son appétit sexuel».
Les entretiens menés par Farrow avec les actrices Rose McGowan, Asia Argento ou la top-modèle italienne Ambra Battilana Gutierrez, abusées sexuellement par le producteur déchu, rapportent un mode opératoire identique. Selon elles, le producteur organisait des rendez-vous professionnels dans un hall d’hôtel. Il les invitait ensuite à monter à l’étage pour une discussion informelle avant de s’éclipser vers la douche, d’où il ressortait nu et les forçait à avoir des rapports sexuels avec lui.
Difficile d’affronter cet homme caractériel, capable de rentrer dans des colères noires. Des colères d’enfant gâté devant un refus. «Non ne voulait pas dire non pour lui», se souviennent ceux et celles qui l’ont côtoyé. «J’ai dit non plus d’une fois et il s’est couché sur moi, se souvient Ally Canosa. Je ne criais pas, mais je ne voulais pas. Et il pesait sur moi de tout son poids.» Annabella Sciorra raconte à Farrow le viol dont elle a été victime, livrant des détails particulièrement sordides. «Il m’a poussé sur le lit et m’a grimpé dessus. Je me débattais en criant. À la fin, il a éjaculé sur ma jambe et sur ma nuisette. Il m’a dit: “je sais me retirer quand il faut”.»
Acheter le silence
Les proies qui ont osé tenir tête à ce prédateur ont tout de suite vu leur carrière se mettre à battre de l’aile. Plusieurs actrices et productrices qu’a rencontrées Farrow expliquent n’avoir pas travaillé pendant plusieurs années pour avoir refusé les avances du producteur. Celles qui ont voulu le dénoncer n’ont pas eu plus de succès...
En mars 2015, les tabloïds new-yorkais se sont fait le relais d’une plainte déposée par Ambra Gutierrez à l’encontre du dirigeant de la Weinstein Company. Puis, l’actrice italo-philipin qui l’accusait de l’avoir «tripotée» est devenue la cible d’articles désobligeants, dans lesquels on lui supposait un passé dans la prostitution pour la simple raison d’avoir participé à une soirée «Bunga bunga» organisée par Silvio Berlusconi cinq ans plus tôt. Tous insinuaient que Gutierrez était «une prédatrice piégeant Weinstein avec des stratagèmes féminins».
Chez Weinstein, le silence est d’or. Et vaut de l’or. Le producteur aurait fini par faire signer un contrat de confidentialité à un million de dollars à l’ancienne candidate de Miss Italie. Un procédé auquel il aurait eu maintes fois recours, lui permettant de rester dans l’ombre pendant de si longues années.
Weinstein n’aurait pas hésité non plus à faire jouer ses relations dans les hautes sphères - de patrons de presse à Hillary Clinton, dont il fut un donateur apprécié pendant sa campagne présidentielle - pour décourager des journalistes à enquêter sur ses agissements. Farrow en aurait d’ailleurs fait les frais. Avant de proposer son enquête au New Yorker, elle a été conçue comme un reportage vidéo pour la chaîne américaine NBC. Dans Les faire taire, il raconte comment il s’est défendu face à ses supérieurs, mis sous pression par Weinstein, pour défendre son sujet et tenter de le faire publier devant leurs hésitations.
«Un malfrat sorti d’un film de Guy Ritchie»
Selon Farrow, le producteur, réputé comme agressif, abuserait de méthodes mafieuses pour intimider. Il aurait par ailleurs envoyé une lettre, rédigée par ses avocats pour essayer de faire annuler la publication de l’article de Farrow. Il y évoquait l’agression sexuelle supposée de sa sœur Dylan par Woody Allen notamment. «C’est la lettre la plus écœurante que j’ai jamais reçue à propos d’un article», lui aurait confié David Remnick, rédacteur en chef du New Yorker.
Outre l’armée d’avocats à sa solde, Weinstein aurait pu compter sur plusieurs espions, explique Farrow. Parmi eux, un faux journaliste anglais, ancien trader cocaïnomane engagé dans l’armée israélienne que l’auteur décrit comme «un malfrat sorti d’un film de Guy Ritchie». Et une taupe aux multiples identités se faisant passer pour un défenseur des droits des femmes, dissuadant les victimes de prendre la parole. Elle se serait rapprochée depour tenter de l’empêcher de publier son livre.
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La précision de l’écriture de Farrow, son sens de la narration et sa rigueur journalistique, font de Les faire taire un récit passionnant, au fort potentiel cinématographique, quelque part entre Spotlight et Les Trois Jours du Condor. Parmi les passages mémorables de l’ouvrage, la retranscription à faire froid dans le dos d’une conversation téléphonique entre Farrow et Weinstein avant la publication de son article ou les dires qu’aurait eu ce dernier sur ses conquêtes: «Oh, les filles disent toujours non. Ensuite elles boivent une bière ou deux et se jettent sur moi.» Il ne fait aucun doute que le Harvey Weinstein que dépeint Farrow ferait figure d’un méchant de cinéma parfait, comme les adore Hollywood...
*Les faire taire, de Ronan Farrow, aux Éditions Calmann-Lévy, 446 pages, 21.90 euros.
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olivierdemangeon · 7 years ago
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    Synopsis : Les années 1920, pendant la période d’occupation de la Corée par le Japon. Lee Jung-chool, un capitaine de police coréen travaillant pour la police japonaise, doit démanteler un réseau de la résistance coréenne dont il réussit à approcher l’un des leaders, Kim Woo-jin. Les deux hommes que tout oppose – mais qui connaissent chacun la véritable identité de l’autre – vont être amenés à se rapprocher, tout en continuant à dissimuler l’un à l’autre leurs propres desseins.
Origine du film : Corée du Sud Réalisateur : Kim Jee-woon Scénariste : Kim Jee-woon Acteurs : Song Kang-ho, Gong Yoo, Han Ji-min, Uhm Tae-goo, Shin Sung-rok, Shingo Tsurumi, Kim Dong-young, Seo Young-joo, Kwon Soo-hyun, Lee Byung-hun, Park Hee-soon Musique : Mowg Genre : Action, Drame, Thriller Durée : 2 heures et 20 minutes Date de sortie : 7 septembre 2016 (Corée du Sud) Année de production : 2016 Sociétés de production : Grimm Pictures, Warner Bros. Korea, Harbin Films Distribué par : Warner Bros., CJ Entertainment Titre original : Miljeong / 밀정 Notre note : ★★★★☆
Notre commentaire : “Miljeong” ou “The Age of Shadows” est un thriller d’action historique coréen datant de 2016, co-écrit et réalisé par Kim Jee-woon, à qui l’on doit également “A Bittersweet Life” (2005). Les acteurs principaux sont Song Kang-ho, qu’on a pu voir dans “The Host” (2006), Gong Yoo, qu’on a pu voir dans “Dernier Train pour Busan” (2016), Han Ji-min, qu’on a pu voir dans “The Fatal Encounter” (2014), Uhm Tae-goo, qu’on a pu voir dans “I Saw the Devil” (2010), et Shin Sung-rok, qu’on a pu voir dans “The Prison” (2017). On notera également la participation de Lee Byung-hun, dans un petit rôle secondaire.
L’histoire proposée par “The Age of Shadows” nous transporte à la fin des années 1920, en Corée, pendant l’occupation japonaise. Lee Jung-chool (Song Kang-ho) est un coréen travaillant pour la police japonaise, dont la mission est de découvrir des membres de la Résistance, et en particulier Kim Woo-jin (Gong Yoo), l’une de ses figures centrales. Lee obtient quelques succès dans son travail, mais les Japonais ne lui font pas entièrement confiance, et lui attachent Hashimoto (Uhm Tae-goo), soit-disant comme son assistant, mais en réalité comme étant le responsable, le décideur. Dans cette lutte de pouvoir, dans cette quête de contrôle, les deux parties utilisent leurs propres taupes et leurs informateurs. Cette situation conduit à une série d’évènements qui amène Lee et Kim à se rencontrer, bien qu’aucun d’entre eux ne révèle qu’il connaît l’identité de l’autre.
Rapidement, le paysage change, car tous les personnages se déplacent à Shanghai, les membres de la Résistance y sont venus pour évoluer plus discrètement, pour éviter les enquêtes et obtenir des explosifs. Kim invite rapidement Lee à participer à une réunion avec le leader de la Résistance, Jung Chae-san (Lee Byung-hun), et Lee doit désormais choisir son camp, victime d’un chantage de la part des Coréens et soupçonné par les Japonais. Un jeu mortel de jeu du chat et de la souris commence.
Kim Jee-woon, le scénariste-réalisateur, nous offre avec “The Age of Shadows” un thriller d’espionnage qui combine des éléments du film noir avec de l’action et du drame. Cependant, en étant attentif, il y a aussi un concept romantique mineur, mais qui n’est pas du tout développé, puisque les femmes ont des rôles secondaires dans cette histoire. Le scénario est assez élaboré, avec des trahisons constantes et des changements d’état d’esprit des principaux protagonistes, alors que, dans le même temps, des espions se battent contre d’autres espions. Ces notions sont principalement matérialisées par le personnage incarné par Song Kang-ho, qui les incorpore toutes.
En terme de mise en scène, ce métrage est une véritable pépite. Kim Jee-woon créant une atmosphère particulière qui est formée par un certain nombre de “confrontations” ( le plus souvent entre deux personnages) qui se tiennent toujours entre Lee et Kim. L’aspect sombre, le côté inquiétant, est toujours présent dans ces scènes. Le point culminant est certainement la séquence dans le train, où le metteur en scène parvient à retarder l’échéance d’une confrontation évidente, à travers un nombre étonnant d’événements aléatoires, malgré l’espace restreint. Le final sanglant de cette longue séquence est un autre point fort de “The Age of Shadows”.
Après cette séquence, l’aspect dramatique s’intensifie avec des scènes plus violentes, comprenant des représentations graphiques de la torture. Ainsi, on peut donc affirmer que les scènes d’action sont un autre point majeur de ce métrage, avec ce qui précède et l’introduction du film (offrant une magnifique photographie articulée autour de déplacements sur les toits), sont celles qui se distinguent dans “The Age of Shadows”. Le budget important du film, premier long-métrage coréen entièrement tourné dans la langue d’origine à être financé par la société Warner Bros., devient assez évident à travers ces scènes, qui mettent en valeur les compétences du réalisateur, Kim Jee-woon, avec son montage élaboré. Il en va de même pour la description très détaillée de l’époque, dont les costumes, les véhicules (jusqu’aux pousse-pousses), et les décors pour présenter la Corée et la ville de Shanghai.
Song Kang-ho, est parfait dans le rôle de Lee Jung-chool, dans un personnage très difficile qui exige un état constant de lutte intérieure. Sa chimie avec Kim Jee-woon, qui s’est façonnée à travers trois collaborations précédentes (“The Quiet Family” (1998), “The Foul King” (2000), “Le Bon, la Brute et le Cinglé” (2008)) est évidente, et l’un des plus grands atouts du film. Gong Yoo est tout aussi excellent dans l’incarnation du très intelligent Kim Woo-jin, un autre rôle difficile qui l’amène à dépeindre un personnage qui doit cacher son angoisse sous une façade plutôt décontractée.
Cependant, celui qui vole le spectacle, est Um Tae-goo dans le rôle de Hashimoto, un vrai méchant, à la fois dans le concept et dans la matérialisation. Le fait qu’il suinte le mal et la menace de chaque partie de son corps est un point d’excellence, tout comme sa menace constante sur la couverture de Lee Jung-chool. La scène où il apparaît pour la première fois, lorsqu’il agit avec hypocrisie lors de sa présentation à Lee, comme s’il avait du respect pour lui, est l’une des plus grandes du film. Lee Byung-hun apparaît également dans le métrage, mais dans un petit rôle, qui se limite à quelques minutes de présence à l”écran. Il en est de même pour Park Hee-soon, qui se contente d’une simple apparition dans le film.
“The Age of Shadows” va faire l’objet d’une édition en DVD ainsi qu’en Blu-ray, à paraître le 2 janvier 2018 chez Universal Pictures Vidéo (France). Pour de plus amples renseignements, n’hésitez pas à consulter la fiche du film sur le site DVD.Fr.
En conclusion, “The Age of Shadows” est un très bon thriller d’action offrant une histoire tendue dans une superbe reconstitution historique. La qualité des costumes, des décors, et des différents éléments d’époque permet de s’immerger pleinement dans cette époque troublée de l’histoire. L’intrigue est très bien travaillée, offrant une atmosphère tendue et sombre. Le rythme est plaisant permettant d’ingurgiter sans soucis les deux heures et vingt minutes de projection. La distribution offre d’excellentes performances avec un petit plus pour Uhm Tae-goo qui incarne magnifiquement le principal antagoniste de cette histoire. Les scènes d’action sont haletantes et superbement photographiées. L’ensemble est un très bon divertissement qui ne passe pas très loin de la note maximum.
  Bande-annonce :
THE AGE OF SHADOWS (2016) ★★★★☆ Synopsis : Les années 1920, pendant la période d’occupation de la Corée par le Japon. Lee Jung-chool, un capitaine de police coréen travaillant pour la police japonaise, doit démanteler un réseau de la résistance coréenne dont il réussit à approcher l’un des leaders, Kim Woo-jin.
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