#Usine Terrot
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Note
aight SO
messy/incomplete lineart
main colors red/black/white and maybe sum grey if we feelin spicy
spiky hair. kinda old anime like
•°~🌸ruri kazama🌸~°•
more illustrative style? not rlly comic/show like and not rlly an illustration. kinda lkke terrot cards of ya get what i mean
color palets are usually bright, makin the red/other main color ya're usin, pop out a lot more
it's also kinda early BLEACH like?? idk the eyes and hair remind me a lor of the manga
fingers/hands/legs are kimds spike like
IM SORRY BUT THE GREY PART GOT ME CACKLIN FOR THE LAST 5 MINUTES BAHJAJAHDJDKSJRWIWPRPOWODNFBF😭😭😭
Also 🤍Ruri, my beloved bitch who needs to learn not to use other people's bodies to kill ppl���
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Dans le cadre surréaliste des anciennes usines dijonnaises Terrot, trois véhicules nouvelle génération du concessionnaire Savy (BMW, MINI et BMW Motorrad) cohabitent pour le meilleur avec trois anciens modèles auxquels ils ont emprunté le même ADN. Les temps changent, les modes passent, mais il y a quelque chose qui survit entre les générations. On pourrait appeler ça le respect des anciens…
Par Alexis Cappellaro Pour Dijon-Beaune Mag #69 Photos : Jean-Luc Petit
BMW X2 / BMW M635 CSI
« La rebelle de la famille. » Ainsi se présente la nouvelle BMW X2, urbaine carrément rutilante, bien campée sur ses jantes soulignées par d’impressionnants passages de roue. Le langage des formes n’est plus le même : le SUV est à la recherche d’une harmonie toute en rondeurs subtiles. Mais comment ne pas sentir, dans cet esprit revêche, l’ADN de la M635 CSi de 1985 (286 ch, 3 500 exemplaires produits seulement) ? Cette grande bourgeoise encanaillée, avec sa gueule de squale typique des « Béhèmes » de l’époque, fait partie de la riche collection de Savy. Elle a quelque chose d’un peu français, puisqu’elle fut dessinée par le célèbre designer Paul Bracq. Pour l’époque, cette série 6 pratiquait un déconcertant mélange des genres, entre luxe et sportivité. Son caractère exlusif en faisait un modèle coupé très prisé. Son conducteur avait alors, c’est certain, la sensation d’être à part. Avec « l’audace pour seule règle », comme le prône sa très grande cousine X2. C’est sans doute ça être rebelle.
MINI HATCH JCW 231 CH / AUSTIN MINI 1994
Non, non, rien n’a changé (ou presque) : de 1959 à 2000, l’Austin Mini a gardé son design extérieur, capitalisant sur la révolution d’alors (une des plus compactes jamais construite, avec optimisation des places grâce notamment au moteur placé transversalement). Outre sa parure verte typiquement british, les amateurs de ce petit gabarit appréciaient ses suspensions assez sèches : pas de roulis dans les virages ! Question motorisation, le modèle cultive sa singularité : son ingénieux ingénieur Alec Issigonis a adopté le « tout à l’avant », tout le contraire de la concurrence. Sa jolie voisine, la Mini Hatch John Cooper Works, s’est un peu dévergondée avec les années. Deux fois plus lourde, quatre fois plus puissante (231 ch, rien que ça !), elle rappelle les belles heures de la marque victorieuse de Monte Carlo en 1964, 1965 et 1967. L’édition actuelle retrouve la sobriété de son aînée. Elle ne s’est jamais vraiment séparée de ces fameux phares qui pointent au bout des ailes, tels des yeux ecarquillés. En fait plus mignonne qu’agressive, elle saura toujours d’où elle vient. Pas étonnant quand on porte le nom du regretté préparateur des premières Mini Cooper S dans les années 60. Tout, tout a continué…
BMW R NINET URBAN GS / BMW R 100 GS DAKAR
L’héritage est assumé et même complètement revendiqué. Le R nineT Urban G/S rend un bel hommage aux débuts de la success story G/S de BMW Motorrad. Il fleure bon le tout-terrain d’antan et les grandes escapades. Positionnée sur le segment naissant du néorétro, la moto a tout pour elle : guidon large, garde-boue haut à l’avant, saute-vent autour du phare rond, selle plate et rouge, couleur blanche à déco BMW Motorsport, rayons croisés, pneus à tétine véritablement offroad… Vintage jusqu’au bout du compteur ! Moderne dans ses intentions, ancienne dans son ADN, la bécane évoque directement le R 100 G/S Dakar, star du début des années 90 avec son gros réservoir et sa fiabilité à toute épreuve. Tout cela reflète la manière de vivre d’une époque libertaire : les motards savaient exactement où ils voulaient aller et comment y aller. Comme aujourd’hui, c’est promis.
PATRIMOINE VIVANT
Savy n’a pas hésité longtemps pour choisir son terrain de jeu. L’usine Terrot, sise au 63 boulevard Voltaire à Dijon, est un monument à bien des égards. Il suffit de se poster là, sous cette immense façade Art déco (quasiment 90 m de long), pour sentir le poids de l’histoire. Sous l’égide d’Alfred Vurpillot, véritable personnalité locale, la société Terrot fut, entre 1920 et 1930, l’une des plus importantes productrices de motos en France. BMW Motorrad s’y est senti comme chez lui, au point de pousser le mimétisme historique à son paroxysme : sous l’œil avisé du photographe Jean-Luc Petit, les deux-roues furent immortalisées à l’endroit même de la chaîne de production de motos ! Malgré la crise de 1929, ressentie en France à partir de 1931, et les mouvements sociaux de 1936, les effectifs ouvriers ont compté jusqu’à 2 000 employés à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Plusieurs propriétaires se sont succédé pendant les Trente Glorieuses, dont Peugeot pendant de longues années. Sur les murs défraichis de l’immense bâtiment, on peut d’ailleurs encore voir une affiche vantant la légendaire 905. Finalement, le groupe japonais JTEKT en fut le dernier propriétaire à partir de 2000. Il a déménagé dans un autre site plus moderne et mieux adapté pour répondre aux standards actuels de l’industrie automobile. Mais un monument ne meurt jamais.
Portfolio : Quand Savy investit l’ancienne et immense usine Terrot Dans le cadre surréaliste des anciennes usines dijonnaises Terrot, trois véhicules nouvelle génération du concessionnaire Savy (BMW, MINI et BMW Motorrad) cohabitent pour le meilleur avec trois anciens modèles auxquels ils ont emprunté le même ADN.
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