#Un billet pour nulle part
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bdqg · 5 months ago
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Un billet pour nulle part
L'été c'est fait pour voyager L'été c'est fait pour lire L'été c'est fait pour voyager en lisant L'été c'est faire pour lire Nunumi
Ça tourne toujours et encore. Jour après jour, notre planète et ses habitants effectuent une révolution. Cela ne veut pas dire pour autant qu’il y a d’importants bouleversements dans leurs vies, oh que non ! Plusieurs font du sur place en trépignant et maugréant qu’ils souhaitent changer de décor ou au moins une parcelle de leur quotidien. Les plus philosophes acceptent leur sort avec sérénité…
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equipe · 2 years ago
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Population Tumblrienne :
Vous savez quoi ? Je suis excité, je suis si hypé que j'ai envie de rapper, mais je vais m'arrêter avant de partir en fumée. Yo ! Vous vous demandez peut-être quand est-ce que les réactions classiques vont être disponibles ? Par "classique", j'entends : le pouce vers le haut, vers le bas, le visage souriant ou maussade, et les autres trucs du genre.
"Mer il et fou ?" serais-je tenté de vous répondre. Il n'y a pas de classique qui tienne par ici : on est sur Tumblr et nulle part ailleurs.
Et comme on ne fait pas les choses comme les autres, vous aurez probablement remarqué un comportement étrange au sein des réactions. Si, si !
J'ai comme l'impression que les crabes ont laissé traîner leurs malicieuses petites pinces dans le code du site et qu'ils se sont bien amusés à ajouter des combinaisons fofolles… qui débloquent des réactions cachées.
Alors, même si ce n'était pas vraiment mon idée, je la reprends à mon compte comme tout bon chef qui se respecte. Je suis le P.I.R.E., après tout.
Pour commencer, voilà l'astuce vous permettant de réagir à n'importe quel billet en utilisant un emoji qui me représente, MOI (Brick Whartley, toi-même tu sais) : pour débloquer la réaction BRICK, un billet doit comporter au moins 100 🦀 et 200 🧀. Parce que les deux choses que j'aime le plus au monde (en dehors des clics), ce sont mes potos les crabes, et le fro-miam-ge.
"C'est cool, Raoul !" Mais attendez, il en a encore : chaque billet comportant 500 🐴 débloquera la réaction 🦄. Avec 444 4️⃣, vous débloquerez la réaction 🌚 - il paraît qu'il y a une raison astrologique à ça, mais j'ai un doute. Un certain nombre de 🐛 fera sortir la réaction PIKAMAN de sa grotte pour faire flipper embellir votre billet. Et ce n'est pas tout, les p'tits filous ! Essayez donc toutes les combinaisons pour découvrir d'autres secrets que mes crabounets chéris ont insérés dans le code. Les cachottiers.
"Dites-moi pas que c'est pas vrai ?" Eh bien SI, ça l'est. Et vous ne pouvez pas la voir, mais la réaction de Brick (c'est moi) en ce moment, elle vaut son pesant de cacahuètes.
C'est si bon, d'être un génie ! (Je vous raconterai.)
Réactionnement vôtre,
Brick Whartley Président Intérimaire des Réactions Emojiesques - P.I.R.E. Ex-Président Intérimaire des Produits et Objets - P.I.P.O.
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neant-blanc · 6 months ago
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Vienne (A) -> Sofia (BG) - 01.11.23
Le train pour Budapest a juste assez de retard pour me faire flipper. Je reste tout de même positif, c'est mon premier long voyage en solo ! Les immeubles de la capitale autrichienne laissent place à une campagne rase et monotone quand le crissement des freins retentit. Les wagons s'immobilisent au milieu de nulle part et une voix se met à débiter des choses en bulgare que j'aimerais bien comprendre. Un peu paniqué, j'imite les autres passagers et me lève. Dehors, des bus s'alignent pour prendre le relai. Je regarde ma montre, ça va être serré. Les minutes défilent de plus en plus vite jusqu'à ce qu'on arrive à la gare routière. Puis mon anxiété se mue en panique quand je vois le chemin qu'il me reste à parcourir pour arriver à la gare ferroviaire, qui était sensée être le terminus de mon train. Je rentre en mode survie et cours dans tous les sens pour chercher le métro. J'arrive enfin au portique que j'enjambe avant de me jeter entre les portes automatiques d'une rame bondée. Je ne décroche pas mes yeux de l'heure, mon temps se compte désormais en secondes. Je débarque dans un immense hall comme un fou avec mes yeux hagards et mon gros sac. Pas le temps pour les panneaux qui sont de toute façon indéchiffrables, encore moins pour un billet, ni même pour les tableaux d'affichage des départs. Je cours, sans savoir où je vais, à l'instinct, comme si je connaissais l'endroit par cœur. Quinze secondes. J'arrive à bout de souffle devant les quais où plusieurs trains sont alignés. Je fonce vers le premier en priant très fort que ce soit le bon… Derrière moi, une contrôleuse est à mes trousses, quand j'entends le sifflet du départ. Je m'écroule entre les bagages entassés devant les portes qui se sont refermées au nez de ma poursuivante. Je ne suis pas encore relevé que les wagons se mettent en branle, me voilà parti. Par une chance dont je ne me savais pas affublé, c'est le bon train. Je m'écroule sur une banquette au hasard, vidé. La route est longue. La nuit est tombée et je sais déjà que je n'arriverais pas à dormir. Devant moi, la porte du compartiment est cassée ; elle s'ouvre et claque en continu, laissant passer l'infernal bruit du glissement des roues sur les rails, un cla-clack, cla-clack incessant qui finira de broyer les miettes de mon cerveau. Je débarque à Craiova, il fait encore nuit. Je passe quelques heures sur un banc dur, à l'intérieur de la gare déserte, essayant de me réchauffer en me roulant en boule dans mes affaires. Je repars alors que le soleil se lève sur des barres d'immeubles formidablement lugubres. J'arrive à Sofia dans l'après-midi, à bout de force après plus de vingt-quatre heures de trajet.
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J11▪️Jagdhaus Heede - Hann. Münden
13,0 km [228,5]▫️+345 m [+4 035]▫️18 °C
La plus petite étape de notre périple. Il en faut bien une. Une vieille cité médiévale entre l’hôtel au milieu de nulle part d’où nous venons et celui au milieu de nulle part où nous allons. Hannoversch Münden. Ainsi s’appelait cette cité, mais maintenant officiellement, c’est juste Hann. Münden. Elle est aussi appelée ville des trois rivières (Drei-Flüsse-Stadt) car au confluent de la Werra et de la Fulda qui se rejoignent en donnant naissance à la Weser. Comme l’étape est courte, on passe un petit moment à visiter la ville (des maisons à colombage) et à ventouser en terrasse, avec un Apfel Strudel pour faire bonne mesure, afin de finir le billet et les photos pour le blog, vu qu'à la Jagdhaus Heede, on avait pas de wifi (grrrr, voir épisode précédent). Sitôt le bouton ENVOYER appuyé, on lève le camp pour suivre par les hauteurs le cours de la Werra jusqu’à l’hôtel “Schlafschön” (Dors-bien, tout un programme ). Comme nous sommes les seuls clients, Martina, la charmante patronne, nous surclasse : on a droit à la grande suite. Super ! Le petit bémol, c’est que c’est “Ruhetag” (jour de repos) pour le restaurant. Mais il y en a un à un kilomètre et demi, sur l’autre rive de la Werra, elle peut nous y réserver une table. Parfait ! A 17h15, on enfile la piste cyclable (on est en Allemagne, ce qui vaut pour la piste cyclable et pour l’heure précoce du repas). Nous ne le savions pas encore, mais nous étions en route pour un festin végétarien qui valait bien le détour !
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une-touille-en-vadrouille · 2 years ago
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Petite journée toute simple pour nous remettre de la nuit ... Raccourcie dont nous avons disposé, étant finalement arrivées au fond de nos lits à 3h passé alors que nous étions parties à 15h30 la veillle. Fiou.
On monte donc dans le Songtaew pour Chiang Khan vers 10h (alors qu'on s'est levées à 8h30, on n'était pas bien efficaces haha), au milieu des sacs de riz et des colis (visiblement, les bus ou Songtaew font tout le temps transporteurs, on a vu plein de fois des soutes avec des gros colis et des gars arriver avec tout un tas de cartons à ranger dedans), et on démarre … à 10km/h. Allez, peut être 20! Ça n'avance paaaaaaaaas.
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On récupère des gens sur la route, à des arrêts complètement aléatoires (il faut vraiment savoir que ce sont des arrêts de bus !), et ils redescendent à des endroits tout à fait aussi aléatoires en ayant appuyé sur un bouton au niveau du plafond qui fait sonner le klaxon du chauffeur. (Petite pensée pour la dame descendue au milieu de la voie rapide avec son petit garçon de 2-3 ans dans les bras, au milieu de NULLE PART, pas du tout sur un arrêt…). Le klaxon veut parfois aussi dire récupération de cartons, et des gens apparaissent du vide intersidéral pour prendre le riz ou les colis et glisser un petit billet au conducteur. On paiera nos 40B en descendant, heureusement qu'on avait maps pour nous dire où on en était, le chauffeur ne nous a rien dit du tout et ce n'était pas le terminus ! 
On descend vers le Mékong, qui est bien plus large que ce que j'imaginais. Sur l'autre rive, on voit le Laos, des bancs de sable, et une pelleteuse qui fait on ne sait quoi sur les berges. Honnêtement, je m'attendais quand même à plus impressionnant, mais ça reste mignon.
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Les bords ne sont pas trop mal aménagés, on en profite pour faire une photo insta, puis on fait une micro sieste à l'ombre.
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On mange dans un petit resto, puis on essaye désespérément de trouver l'usine de tisserandes vendue dans le Routard … impossible de mettre la main dessus ! L'adresse n'existe pas sur maps, les marchands ne comprennent pas, c'est un échec :( en faisant nos recherches, on apprend qu'il y a un village d'artisanat pas trop loin, mais comme on doit attraper le bus de 17h on n'aura pas le temps d'y passer, dommage … en échange, on verra un joli temple aux murs peints!
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Et on aura des jolies couleurs dans le ciel en rentrant, tout était rose et orange !
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La soirée se finit sur une pizza de l'échec, avec une base type mayonnaise sucrée, un massacre, beurk beurk beurk. A noter la prochaine fois que je n'en pourrai plus du riz : attendre de trouver un vrai italien plutôt qu'essayer pizza Hut 🤢
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yannlyr · 1 year ago
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Réflexion autour de trois œuvres: Time Machine (H.G. Wells, 1895), The invisible Man (H.G. Wells, 1897), I am Legend (Richard Matheson, 1953)
Tout le monde connaît La Machine à explorer le temps, L’Homme invisible, Je suis une légende. Pourtant, personne n’a lu ces romans. On connaît soit le titre, soit une expression populaire liée à ces titres, certains en auront vu des adaptations cinématographiques. En définitive, personne ne connaît ces trois romans. La plupart du monde joue l’imposture.
Une preuve de ce que je prétends? Quel est le patronyme du souffre-douleur de l’Homme invisible? (Réponse en fin de ce billet).
La Machine à explorer le temps a toujours été trahie par les scénaristes du grand écran. La dernière trahison date de 2002 et a été signée par Simon Wells, un arrière-petit-fils du romancier qui n’aura fait aucune ombre au génie de son aïeul avec son adaptation médiocre de l’œuvre. Souvent, on pense que la morale de l’histoire est qu’on ne peut rien changer au temps. Une telle conclusion ne ressort pas de l’ouvrage. Les êtres que l’Explorateur, pour reprendre le terme employé par le narrateur, rencontre ne parlent pas, ils ont à peine une conscience: ils réagissent instinctivement. Cependant, on décrypte parfaitement la sensibilité socialiste de H.G. Wells dans son roman où l’exploitation des uns par les autres y est décrite férocement. Il est à parier que cette tendance du vrai socialisme de la fin du XIXe siècle n’aura pas plu à Hollywood.
L’Homme invisible, paru deux ans plus tard, ne présente aucun super-héros, mais un chercheur dépassé par sa découverte qu’il aura expérimentée sur lui sans jamais avoir une once de sens pratique. Il parvient à la réalisation de sa transformation presque totale en plein hiver, en Angleterre, où pour échapper à ses poursuivants, il n’a comme solution que de se dévêtir totalement et d’aller dans les rues enneigées de la ville puis à travers la campagne. L’homme aura ainsi aussi inventé l’atteinte aux bonnes mœurs parfaite: pas vu pas pris! L’affaire est cocasse et tourne vite en chasse à l’homme, sans qu’aucun rebondissement extraordinaire ne vienne émailler la narration.
Quant à Je suis une légende, dont l’adaptation la plus connue et la plus rentable date de 2007, si certains éléments sont conformes au roman comme l’épisode dans le grand magasin ou lorsque le personnage non infecté s’en va donner le coup de grâce à des dizaines de « monstres », la fin de l’ouvrage n’a rien à voir avec celle du film où le héros se sacrifie après avoir confié son sang, antidote au virus qui a transformé toute l’humanité à part lui-même et deux rescapées sorties de nulle part, le roman n’offre pas la même perspective à ses lecteurs. En réalité, Robert Neville est bien le dernier être humain de l’ancien genre, et dans le nouveau monde, il est un intrus que la totalité des nouveaux humains veut exterminer afin que l’ère ancienne soit définitivement close. Robert Neville est une légende car il est le dernier, une absurdité subsistante, une anomalie résistante quand tout a changé, quand un genre humain en a remplacé un autre. Il sera exécuté par le nouveau genre humain. En cela il demeurera une légende.
Tout cela a plus de sens que ces adaptations qui se veulent plus intelligentes que les originaux. Lisez! C’est une démarche d’honnête homme.
Quant au souffre-douleur de l’Homme invisible, son patronyme est Marvel, un nom de famille que les adeptes des films de la marque éponyme n’auraient pas manqué de se souvenir, s’ils savaient encore lire. Étonnant, n’est-ce pas?
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Comment envoyer une confession, réponse + règles
( How to Send a Confession, reply + Rules (redone) - Translated from English to French by halalay)
On me demande encore comment envoyer une confession. Ne vous sentez pas embarrassé. Je n’ai jamais vraiment expliqué cela quelque part d’accessible comme au début du blog. Ou dans un post épinglé par exemple.
C’est très simple.
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Vous pouvez utiliser l’inbox (Posez moi vos questions/Ask me anything)
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Vous pouvez m’envoyer un message. Gardez en tête que je saurais qui vous êtes, mais personne d’autres ne sera au courant. Je dis ça au cas où vous voudrez restez anonyme vis à vis de moi également.
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Il y a l’option soumettre un billet (Submit a Post) aussi. Personne n’a déjà essayé mais l’option est là. Franchement parlé, je ne me suis jamais occupé.e d’une soumission de billet. Mais je sais que le modérateur du blog peut choisir de poster ou non. Peut on être anonyme ? Je ne sais pas.
Quant à la façon de rédiger votre confession, écrivez simplement ce que vous ressentez. Envoyez votre confession comme si vous me parliez. Seulement au lieu de moi qui vous répond, je le poste sur un blog public où tout le monde est susceptible de le voir et de juger.
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Toute les confessions sont anonymes, même si vous choisissez/oubliez de cacher votre compte.
Maintenant comment répondre à un post
Tout d’abord quelques règles simples;
* Merci de fournir le lien de la confession auquel vous voulez répondre (ou du moins dites de quelle confession il s’agit).
* Répondre est un moyen de donner votre opinion (d’accord/pas d’accord) sans être harcelé sur votre compte personnel par la suite.
* Ce n’est pas pour vous cachez et harcelez quelqu’un.
* Vous avez le droit d’être grossier. Mais n’insultez pas les autres !
* Si vous voulez simplement commenter sans rien ajouter, merci d’utiliser les notes directement sous la confession. Répondre est pour les réflexions vis à vis du post. Dire simplement « je suis d’accord/pas d’accord » « tu as tort op », etc ne sera pas pris en compte.
* Restez sur le sujet de la confession. Hors sujet et accusations d’anti à l’égard d’OP à cause de son OTP, lorsqu’il n’a pas mentionné quoique ce soit. (Style une confession anti NH, op est sûrement pro NS ou les anti SS sont des pro SK). Il l’est peut être, mais cela n’a rien à voir avec la confession. Ne mêlez pas tout.
* Cela inclut l’hypocrisie. Si une réponse est par exemple anti NS à propos de Sakura frappant Naruto, ne répondez pas avec « Et pour SS, et pour SuiKa ? » (mais vous pouvez en parlez dans les notes).
* Par contre, vous êtes invité à baser votre propre confession sur une réponse ou une autre confession.
* Merci de ne pas répéter ce qui a déjà été dit.
* Si vous débattez -c’est bien. Mais si cela ne mène nulle part, vous serez sommé de passer à autre chose.
* Ne parlez pas des valeurs/morales des gens. Ne les accusez pas d’accepter une relation toxique. Ne remettez pas en question leur santé mentale. Vous êtes libre d’attaquer le ship, mais pas le fandom.
* Vous pouvez répondre dans les notes autant de fois que vous le souhaitez.
* Si vous voulez évitez de voir les réponses aux confessions, filtrez simplement « nsc replies » pour le blog shipping et « ngo replies » pour le blog général.
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Comment répondre au post/confession en elle même ?
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Cliquez soit sur « notes » soit sur la « bulle de message ».
Écrivez un message qui dit « quelque chose de merveilleux ».
Réponses dans les notes (directement sous le post/confession) = Pas besoin d’être détaillé/ réfléchir bcp à votre réponse. Vous pouvez simplement répondre par « je ne suis pas d’accord », « lol/mdr », « op est évidemment un anti/pro X », etc…
Réponses dans l’inbox/messages = une réponse élaborée, vous n’êtes pas d’accord, expliquez pourquoi. (À propos de la confession, pas de la règle)
À propos des règles/ notes
* Les confessions problématiques ne sont désolées plus en dessous du « lire plus » (read more). À la place elles sont tw tag.
* Les confessions problématiques sont également tag au nom du ship concerné et des personnages.
* Je lis les notes, et vos tags. Si vous questionnez les morales de chacun à cause d’une préférence de ship vous êtes avertis. Si vous les insultez, incitez au suicide ou leur souhaitez le malheur, vous êtes bloqué
Est ce tout ? J’ai probablement oublié certains points
En ce qui concerne les confessions en français, elles seront traduites par des utilisateurs du blog francophone en anglais et les réponses aux confessions fr seront traduites en français afin que l’auteur puisse les comprendre.
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leblogdemarinaetjeanmarie · 1 month ago
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SAMEDI 5 OCTOBRE 2024 (Billet 1 / 5)
« QUAND VIENT L’AUTOMNE » (1h 42min)
Un film de François Ozon, avec Hélène Vincent, Josiane Balasko, Ludivine Sagnier…
Sur le Site AlloCiné :
Critiques Presse : 3,5 / Critiques spectateurs : 3,6
Comme d’habitude, pour vous dire ce que nous avons pensé du film, nous avons trouvé une critique d’un spectateur de province qui décrit au mot près nos impressions lorsque nous sommes sortis de la projection, mercredi dernier, premier jour de son exploitation en salle (une salle qui, entre parenthèses, était archi-pleine… pleine de spectateurs de notre génération – nous nous serions crus dans une maison de retraite 🤣 !).
Nous donnons tous les deux à ce film : 💓💓,5 sur 5. « Film français » pour « film français », « LE FIL » de Daniel Auteuil est autrement mieux réussi ! Nous vous le conseillons toujours.
_______________________________
L'automne est ma saison préférée. J'aime entrer dans cette période où les jours raccourcissent, où les arbres jaunissent, où le vent se lève et les cheminées se réveillent. Demain, l'été s'en va et ça me remplit de joie. Quant à François Ozon, j'ai beaucoup aimé certains de ses films, dont le dernier, « Mon Crime », avec Rebecca Marder et Nadia Tereszkiewicz. Ainsi, lorsque j'ai appris que son nouveau film, « Quand vient l'automne », serait diffusé en avant-première près de chez moi, je n'ai pas réfléchi longtemps avant de m'y déplacer. Et quelle déception ce fut !
« Quand vient l'automne », malgré ses tons orangés et ses forêts boueuses, qui rappellent l'époque où j'allais cueillir des champignons avec mon père dans les champs, ne m'a malheureusement procuré aucun effet, aucune sensation. Avec un tel titre, on aurait pu pourtant s'attendre à un film d'ambiance, d'autant qu'il sort dans nos salles au moment parfait. Cependant, à part quelques balades dans les bois et un soleil descendant sur un ciel grisâtre, ce drame au scénario rocambolesque peine à imposer son atmosphère. J'ai été déçu par le casting qui ne permet pas à tous ces personnages de nous passionner : on se fiche de la plupart de leurs problèmes et c'est bien regrettable car toutes ces relations parent/enfant auraient dû nous toucher davantage. Hélène Vincent est bien mais peut-être en fait-elle un peu trop, j’imagine Suzanne Flon à sa place, elle aurait été parfaite. J'ai eu également du mal à m'attacher à Josiane Balasko (trop caricaturale) ou Ludivine Sagnier (idem), et encore moins à Pierre Lottin (on dirait un mauvais imitateur qui prendrait l’accent d’un petit malfrat) et Garlan Erlos dans le rôle de Lucas, un jeune garçon sans vraiment aucun relief et qui ne dégage rien de ce qu’il est censé exprimer (une erreur flagrante de casting) !
Le scénario, quant à lui, est tiré par les cheveux et ne mène nulle part. Après une introduction sur fond de cueillette de champignons, dont la conclusion se voit venir 15 minutes à l'avance tant les sous-entendus sont appuyés, on assiste à des querelles familiales en veux-tu en voilà, qui ne m'ont jamais touché tant les personnages manquent cruellement de nuances. De toutes façons, les situations n'éclatent jamais vraiment et le film s'avère même assez ennuyeux, car répétitif dans son principe et ses décors, jusqu'à un final qui ne fait pas du tout dans la subtilité (ce plan fixe pour fermer le film est assez ridicule). 
Bref, je ne vais pas m'éterniser sur « Quand vient l'automne » qui ne m'a fait ressentir ni l'arrivée de cette saison magnifique, ni les émotions des personnages. Je vais retourner dans les bois, cueillir des champignons, éplucher quelques gousses d’ail et me faire une bonne omelette aux cèpes qui me régalera davantage que le plat sans relief et trop convenu que nous a cuisiné François Ozon !
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outervoice · 6 months ago
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Cette backpackeuse que je ne suis pas.
"Un jour je ferai le tour du monde en backpack" ai-je dit il y a des années maintenant.
Pause.
Si tu ne fronces pas les sourcils en lisant cette première phrase de ce post sorti de nulle part après des années sans alimenter régulièrement mon Tumblr c'est que clairement tu ne me connais pas.
Bullshit aurait ostensiblement soupiré ma version 2010, faisant voler la mèche de cheveux qui cachait la moitié de sa face et ses traits d'eye liner de 2 cm d'épaisseur.
Fast forward a few years to more than a decade later et avec un livret A au solde de 200 euros (en arrondissant au dessus bien entendu), t'as toujours pas réussi à choper le pli. Et pourtant ce n'est pas faute d'avoir essayé. Tu t'es tapée des trajets de bus de plus de 13 heures pour économiser et voyager "comme une vraie" pour finalement t'affaler dans un King size du dernier palace déniché sur booking parce que t'avais une meeeega reduc donc ça valait trop le coup. Et puis ce n'est que pour une nuit.
Au final pour dormir toute une journée parce que le trajet, recroquevillée dans le bus le plus cheap possible, t'a explosée (et pas que mentalement - physiquement tu douilles aussi.. merci la trentaine). Résultat: une journée entière sous la couette, une flemme intergalactique d'en sortir donc une blindax dépensée en room service, un billet de retour repoussé d'une journée et donc repayé vu que t'as pas pu visiter grand chose depuis ton lit.
T'as essayé de jouer la meuf cool en discutant avec une nana qui voyage depuis 6 mois et qui essaie de créer une connivence en te racontant ses histoires de couples dans les dortoirs d'auberge de jeunesse. A hocher de la tête d'un regard entendu quand elle te dit qu'elle a passé l'âge et par conséquent elle va s'offrir enfin une nuit d'hôtel. A lâcher un petit rire compatissant. Alors qu'en soit la seule expérience que tu en as de ces auberges de jeunesses c'est bien celle que tu t'es appropriée en matant 150 Reels de 'solo travelers aventuriers'.
La nana en question te demande ton insta et te propose d'aller prendre un verre, après avoir sympathisé pendant un de ces trajets interminables rythmés par les coups de klaxon de ton chauffeur Cambodgien qui essaie de rattraper le départ retardé de seulement 103 petites minutes en doublant tous les véhicules risquant retarder son arrivée à la frontière Viet. Et tu la vois repartir avec son sac de rando quatre fois plus grand qu'elle, A PIEDS vers son hébergement qui n'est qu'à 30 min de marche.
En vrai 30 min de marche minuit passé, après 8h dans un bus qui sent la transpi, tu l'aurais fait EASY aussi. A condition d'avoir une team de masseuses qui t'accueillent à ton arrivée. Envisageable en soit. T'es en Asie.
Bref tout ça pour dire que non backpackeuse clairement pas. Il ne manquerait plus que tu te fasses des dread, des piercings et des tattoos..
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laperditudedeschoses · 10 months ago
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La clinique du sommeil
37 % des français souffrent régulièrement de troubles du sommeil.
Dans ce billet donc je parlerai de moi, mais probablement aussi d’un tiers d’entre vous. Les troubles du sommeil ont fait leur entrée dans ma vie il y plus de dix ans, devenant au fil des années de véritables compagnons, une seconde peau, un attribut qui me définit parmi d’autres, âge, métier, hobbies.
On aime à dire de certaines personnes qu’elles sont « destinées » à une carrière brillante ou à un avenir plus ou moins radieux ; à regarder mon patrimoine génétique on aurait facilement pu me prédire un destin d’insomniaque. Tous les membres de ma famille dorment avec encombre : mes deux parents sont adeptes de nuits courtes et de phases d’éveil prolongées, une de mes sœurs les imite fidèlement et l’autre dort en apparence comme une marmotte, parfois jusqu’à neuf ou dix heures quand elle n’avait pas encore d’enfants, mais il arrive que ses nuits soient perturbées par des terreurs nocturnes. Tout à coup elle crie, panique, s’éveille en sursaut. La crise cardiaque est garantie si vous partagez sa chambre.
Jusqu’à un certain âge, ces problèmes m’étaient étrangers. Je dormais en moyenne huit heures par nuit, voire plus l’hiver quand je n’arrivais pas à sortir de mon lit, finissant par sécher la première heure de cours au collège ou au lycée, avec la complicité de ma mère qui écrivait « règles douloureuses » ou « fièvre » sur la page des justificatifs d’absence de mon carnet de correspondance. Eventuellement si une échéance importante, surtout des examens écrits ou oraux, m’attendait le matin, je m’éveillais quelques fois dans la nuit et en rêvais à plusieurs reprises, mais jamais rien de méchant.
Et puis un jour, elles ont frappé à ma porte. Je dis « elles » pour « insomnies » comme je pourrais dire « ils » pour « éveils nocturnes ». Chaque être est unique dans le rapport complexe qu’il entretient avec ses nuits. Pour moi ça s’est immédiatement caractérisé ainsi : après 4h de sommeil environ, je me réveille, en pleine forme et pleine conscience et je ne parviens à me rendormir que deux heures plus tard, presque à la minute près. Il peut se passer toutes sortes de choses pendant ces deux heures, j’y reviendrai.
Ces insomnies ont-elles débarqué de nulle part ? Bien sûr que non. Je sais dater leur arrivée avec exactitude et les relier à un événement précis dans ma vie. J’avais 25 ans. Je menais en apparence une vie douce et rangée, dans le cocon sécurisé que j’avais créé avec mon amoureux de l’époque. J’étais au rendez-vous des attentes que je m’étais fixée toute seule et grâce auxquelles j’avais l’impression d’avoir trouvé ma place, au travail, dans ma vie affective, dans ma famille. Je ne me posais pas trop de questions, ou peut-être n’y prêtais-je pas attention, préférant écouter ce que les autres avaient à me dire au lieu de ce qui se passait dans ma tête.
Jusqu'au jour où tout a basculé. Sans prévenir personne, même pas moi, je me suis mise à porter un regard différent sur ce qui m’entourait et j’ai eu envie de tout quitter, à commencer par mon compagnon, de tout remettre à plat et de recommencer différemment. Ce qui était constitutif de ma vie est devenu soudainement l’incarnation du passé, d’un passé à laisser derrière soi, et vite.
Une nouvelle Anouk que je ne connaissais pas a pris place et beaucoup de choses ont changé à ce moment-là : je l’ai dit, je ne me posais pas trop de questions, mais j’ai commencé m’en poser des milliers, en permanence, sur tout, mes choix, mon passé, le sens de la vie ; d’une personne réservée et pas toujours facile d’accès je suis devenue beaucoup plus sociable, à aller vers les gens, à chercher du lien ; aimant auparavant rayonner avec parcimonie autour du 4ème arrondissement de Paris, jamais plus de 20 minutes en Velib’, je suis devenue ultra mobile, avec un désir fort de voyages et d’aventures.
Mon sommeil en a été immédiatement affecté. Au début, ces deux heures d’éveil nocturne me permettaient de rêvasser, d’écouter discrètement de la musique, d’imaginer les contours de cette nouvelle vie qui m’attendait, pendant que mon passé dormait paisiblement à côté de moi. Mais bien vite elles sont devenues le cadre idéal pour que mon anxiété nouvellement révélée puisse s’exprimer pleinement.
Alessandro et Gino m’ont offert récemment un ouvrage un peu mystique mais passionnant sur le sujet, Insomnia, qui résume très bien la chose : « A l’heure où il n’y a plus grand-chose à faire, à l’heure où le monde est inquiétant dans son silence, l’amas d’angoisses nous frappe avec une nouvelle intensité. »
Durant les 6 premiers mois, je me réveillais toutes les nuits. Réglée comme une horloge. Après 4 heures de sommeil un œil s’ouvre, dans la minute qui suit l’usine à questionnements et panique s’enclenche, on se tourne, on se retourne, on regarde son portable et après une heure trente environ le rythme cardiaque ralentit, on se rassure, on trouve des solutions à des problèmes qui n’en étaient pas, puis on se rendort. Quand on se réveille le lendemain matin, tout va mieux, on est une nouvelle personne et la vie est belle. J’ai ainsi appris à vivre avec deux heures de sommeil en moins toutes les nuits. J’en tirais presque une fierté malsaine lorsque je débarquais dans les bureaux grisâtres des grandes tours de la Défense. « Je suis capable de dérouler mon power point pendant deux heures en rdv client sans fatiguer une seule seconde, puis d’enchaîner une journée de boulot avec une soirée à picoler dans Paris ». Quel accomplissement !
Ma mère, qui ne sait pas faire de compliments, le formulait ainsi « Tu as l’air toute fraîche. On ne voit pas du tout que tu manques de sommeil. Tu n’as pas de chance, les gens ne doivent pas être indulgents avec toi du coup. »
On s’habitue à tout, même et surtout à l’inconfort, et peu à peu les nuits de huit heures et l’entrain du matin sont devenus un lointain souvenir, un attribut de l’ancienne Anouk. J’ai toutefois cherché des solutions : l’acupuncture, parce que l’effet avait été immédiat chez une de mes amies, qui s’est soldée de mon côté par un échec ; la mélatonine, ça marche un temps, mais le cerveau, plus fort, la rend petit à petit inefficace ; développer une routine du soir – recommandation d’un petit bouquin sur le sommeil offert par une autre amie -, peu concluant ; le yoga du soir, intenable. J’ai aussi essayé d’occuper ces deux heures de temps : faire le ménage, lire, évidemment passer des heures sur mon smartphone, travailler (je l’ai peu fait et j’en garde un souvenir atroce).
Au début de ma trentaine je me suis mise à mon compte et, le télé travail aidant aussi beaucoup, j’ai trouvé le moyen de rattraper au petit matin les heures perdues en pleine nuit, en me levant plus tard.
Cette ruse a permis de limiter le problème mais je continuais de rêver à un temps où le sommeil était synonyme de réconfort et pas un sujet problématique, sans pour autant faire grand-chose pour le résoudre.
Quand ma relation avec l’insomnie a fêté ses dix ans, j’ai décidé d’agir. J’ai décidé d’aller faire un séjour à la Clinique du sommeil.
Comme son nom l’indique, la Clinique du sommeil est un lieu médicalisé où l’on peut rester une ou deux nuits pendant lesquelles notre sommeil est observé et analysé. Le tout pris en charge par la sécurité sociale, pour peu que l’on s’arme de patience, car l’attente se compte en mois entre la première consultation chez son médecin traitant et le jour où l’on débarque avec son baluchon pour passer son séjour. Une modeste recherche Google m’a conduite à choisir le service sommeil de l’hôpital Jean Jaurès, dans le 19ème arrondissement, sobrement appelé « BioSerenity ».
Rendez-vous a été pris pour deux nuits en avril, un jeudi et un vendredi soir, le service n’étant pas accessible le week-end, ce qui m’a rendue indisponible pour le travail, m’obligeant à annoncer aux gens que je me faisais hospitaliser puis, face à leurs mines inquiètes, à leur révéler que j’allais faire analyser mon sommeil.
Avant cela, j’ai dû tenir un carnet de bord de mes nuits, soit noter mes heures de couchers et d’éveils nocturnes et matinaux pendant deux semaines, dans un tableau prévu à cet effet. Se sentant déjà observé, mon sommeil a réalisé ses plus belles performances, pour bien justifier ce passage à la clinique : une insomnie de deux heures par nuit, toutes les nuits pendant quinze jours. Quand j’ai fait mon entrée dans ce service quasi désert de l’hôpital, je n’en menais pas large, valises à la main et sous les yeux.
Mais tout de suite je suis très bien accueillie par les infirmières et les aides-soignants. On m’explique ce qui va se passer, on me demande d’enfiler mon pyjama, que je ne quitterai pas pendant deux jours, on installe tout un tas d’appareils sur mon corps et ma tête, maintenus par un filet blanc qui me donne une tête de télétubbies, ou de gland, au choix. On m’explique aussi les règles : le dîner est servi à 18h15, le petit déjeuner à 8h, le déjeuner à midi, réveil obligatoire à 7h30, interdit de quitter la chambre entre 19h et 7h le lendemain parce que je suis filmée. Je me sens un peu comme dans un EHPAD, ce qui n’est pas si désagréable en fin de compte.
Ma chambre est d’ailleurs très confortable, avec trois grandes fenêtres sans vis-à-vis qui me laissent entrevoir le ciel étonnamment bleu pour un début de printemps parisien.
En principe le séjour à la clinique se termine par une entrevue avec un médecin mais l’infirmière m’apprend qu’il n’y en a pas le samedi, donc dans mon cas, un médecin passera le vendredi en fin de matinée, soit le lendemain et je pourrai prendre un autre rendez-vous quelques semaines après pour un bilan global.
Ma première soirée se déroule dans la douceur, je fais une petite balade en pyjama et chaussons dans la courette de l’hôpital, je déguste un repas délicieux à 18h15 précises et je me prends des bouffées nostalgiques et des envies d’antan, en regardant Conte d’été d’Eric Rohmer, un film dans lequel Melvil Poupaud, à une époque sans smartphones, sans internet et sans contraintes, erre dans les dunes de Bretagne Nord avec tout un tas de filles.
La nuit qui suit est correcte, n’ayant pas grand-chose à faire je me couche tôt, je me réveille au bout de 6h, traîne sur mon téléphone, lit un peu et me rendors, jusqu’à ce que l’aide-soignante du matin vienne me tapoter le bras à 7h30, précises. Ces attentions permanentes et cette sensation d’être totalement prise en charge sont extrêmement agréables et me donnent le sentiment d’être en vacances.
« Tu es parti à Deauville ce week-end ? Moi j’étais à la Clinique du sommeil. »
Je suis tout de même pressée d’avoir la visite du médecin et je trépigne toute la matinée. Malheureusement il faudra attendre un peu après 14h pour que Gisèle, dont j’ai oublié le nom de famille, entre dans ma chambre. Elle me salue et reste debout, on sent qu’elle n’est pas là pour longtemps.
« - Alors alors, nous avons vos résultats ! Mais avant racontez-moi un peu, qu’est-ce qui vous amène ? me demande-t-elle.
Eh bien voilà, je fais des insomnies depuis dix ans, je me réveille la nuit plusieurs heures, j’ai essayé quelques trucs mais rien n’a marché.
D’accord, je vois sur vos tests que vous ne faites pas d’apnée du sommeil, vous n’avez pas non plus de syndrome des jambes sans repos. Vous ronflez un peu mais bon … sur le plan physiologique rien d’anormal. Vous savez pourquoi vous vous réveillez la nuit ? »
Merde, est-ce que je lui explique la rupture il y a dix ans, tout ça tout ça ? Ça sonne ridicule et ça sort ridicule quand j’essaie de l’expliquer. 
« - Bah euh, j’étais avec quelqu’un et je me suis séparée et donc euh …
Ça vous stresse ça ? Elle a un air moqueur, super.
Bah ça a été un petit choc et puis euh… mais je fais une thérapie aussi.
D’accord. Mais en ce moment vous êtes avec quelqu’un ?
Je me suis séparée de Vincent trois mois avant.
J’étais avec quelqu’un mais on n’est plus ensemble parce que c’était, parce qu’il était …
Compliqué ? Elle trouve le mot juste mais le prononce en frisant du nez, comme si elle disait « Ça sent le fromage ici. ». Le travaille aussi vous stresse ?
Euh … oui … aussi. »
Je la vois qui sourit, tourne la tête et presque se désespère.
« Mais vraiment je ne comprends pas pourquoi vous stressez comme ça ! »
Merci Gisèle, merci pour ce regard sans nuance et bien rationnel sur dix ans de ma vie que ni vous ni moi n’arrivons à résumer. Elle aimerait que je réponde là comme ça à une question qui a fait l’objet d’années de réflexions et d’analyse, qui a alimenté mille conversations, qui sera bientôt le sujet central d’une page Insta !
Eh beh … »
Voilà ma réponse.
Elle me demande ensuite quelles sont mes habitudes de sommeil, ce que je fais quand je me réveille la nuit. Très fièrement je réponds « Je lis ! », parce qu’il est hors de question que j’admette que je scroll sur les réseaux pour la voir m’engueuler.
« Ah mais ça ne va pas du tout ça ». Aïe.
Elle m’apprend alors que lorsque je suis dans mon lit je ne dois rien faire d’autre que « dormir et faire l’amour » sinon j’envoie un message à mon cerveau comme quoi le lit est un lieu d’éveil. Elle me conseille de patienter dans le noir et de faire des exercices de respiration quand je fais une insomnie, là aussi pour ne pas faire croire à mon cerveau qu’il est l’heure de se lever. Enfin, elle me suggère des thérapies comportementales de groupe organisées par un certain Réseau Morphée, avant de me tendre les résultats d’analyse de ma première nuit.
Bon bah voilà, encore 24h à passer à la clinique, à digérer cet échange qui a duré en tout et pour tout 15 minutes et à continuer de me faire assister comme une petite vieille par le personnel soignant, bien plus attentionné que les médecins, mais fallait-il le préciser ?
J’en profite pour consulter mes résultats, je ne comprends pas tout, mais je note que mon taux de sommeil profond s’est élevé à 50%, ce qui est deux fois plus que la normale. Peut-être ai-je besoin de moins d’heures de sommeil car celui-ci est très efficace ? Je note aussi que mon rythme cardiaque est très bas. Quand je suis éveillée et au repos, il atteint péniblement 57 battements par minute, soit d’après Internet le taux d’une personne âgée OU d’une sportive de haut niveau. Stylé.
Je dors très bien la deuxième nuit et me réveille avec un niveau de détente maximal. Je suis presque triste de quitter la clinique et de reprendre mes responsabilités. J’ai l’impression d’être une nouvelle personne et cette bonne humeur me suit pendant plusieurs jours.
Pour ce qui est du sommeil, je n’ai pas contacté le réseau Morphée et il est loin d’être parfait, mais j’ai quand même noté une nette diminution et même un raccourcissement de mes éveils nocturnes. Surtout, quand je me réveille la nuit, je ne panique plus, je me prélasse dans le noir et j’attends patiemment. Les insomnies en deviennent presque des moments agréables comme elles l’étaient au tout début.
Quant à savoir pourquoi une rupture a provoqué une telle tornade et pourquoi l’anxiété s’est installée ainsi dans ma vie, bref comme dirait Gisèle, pourquoi je « stresse comme ça » ? Ma foi, pour comprendre il va falloir continuer de lire La perditude des choses.
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fb20232024 · 1 year ago
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Remarques 6 :
Entrer et venir au monde de part les images générées par l’Intelligence Artificielle n’est autre que errer là où rien n’existe, là où rien n’existera jamais, tant mieux! Explorer le monde, s’y aventurer, ce monde qui n’est pas notre, (quelle idée!) mais celui qui nous y accueille, était prendre le risque de le réduire, de le rétrécir, de tuer dans l’œuf les lieux imaginés. Le risque du désenchantement ayant été pris nous sommes maintenant et pour demain là où nous nous tenons. Entrer et venir au monde de part les images proposées par l’Intelligence Artificielle c’est je crois se rendre véritablement nulle part, alors je me laisse à penser que «l’artificialité » de la proposition ne va pas m’empêcher de garder à l’esprit les paysages de la banquise, la profondeur et la musique des forêts tropicales, le clapotis de l’eau le long des murs des palais vénitiens.
Oublier à petit feu, tant faire que je puisse la possibilité du billet d’avion est une option offerte à l’imagination. Et puis pas d’affolement, l’ordinateur fermé, passé la porte de la maison, j’ai un paquet de miles de côté à «baguenauder»le vert des prairies, les berges des rivières, le mitan des ruisseaux, les ombres des forêts, la lumière de l’été.
Très bonne journée donc.
Notes 6 :
Entering and coming into the world through the images generated by Artificial Intelligence is nothing other than wandering where nothing exists, where nothing will ever exist, so much the better! Exploring the world, venturing into it, this world that is not ours (what an idea!) but the one that welcomes us there, was to take the risk of reducing it, of shrinking it, of nipping places in the bud imagined. The risk of disenchantment having been taken, we are now and for tomorrow where we stand. Entering and coming into the world through the images proposed by Artificial Intelligence is, I believe, truly going nowhere, so I allow myself to think that the "artificiality" of the proposal is not going to prevent me from keeping mind the landscapes of the sea ice, the depth and the music of the tropical forests, the lapping of the water along the walls of the Venetian palaces.
To forget little by little, as long as I can, the possibility of the plane ticket is an option offered to the imagination. And then no panic, the computer closed, past the door of the house, I have a bunch of miles aside to hangin around the green of the meadows, the banks of the rivers, the middle of the streams, the shadows of the forests, the summer light.
Very good day then.
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loric2020 · 1 year ago
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19 et 20 mai , Death Valley, la vallée de la mort 🌵☀️🏜️
Même pas peur 😱 👀
Nous quittons Las Vegas les poches débordantes de billets. Personne n'y croit bien sûr. Pas de jackpot, pas de pactole, que du bonheur. Il fait déjà chaud de bon matin. Dans le désert, c'est chose courante. Nous partons pour la vallée de la mort en empruntant la route de badwater par le sud. C'est pas tout de suite mais c'est pour donner des indications au chauffeur. Nous mettons au moins 30 à 40 minutes à sortir de la zone urbanisée autour de Las Vegas. En chemin, nous nous arrêtons à Shoshone. Nous sommes revenus en Californie. Shoshone est le nom d'un peuple autochtone améridien. Wikipedia nous dit qu'ils s'appellent également snakes ou gens du serpent. C'est aussi un village de 18 habitants. C'est également un point de départ pour rayonner dans la vallée de la mort. Nous n'avons pas prévu de dormir ici alors nous poursuivons notre route par la Jubilee pass road puis par la Badwater road. Nous voyons progressivement apparaître les étendues de sel qui reflètent le soleil comme autant de mirages. En s'arrêtant au visitor center de Furnace creek, nous pouvons voir affichée au thermomètre la température de 45°. Et puis vient le moment de bifurquer vers la route panoramique "Artists drive". Comme on peut le lire dans les guides, la nature offre ici toute une palette de couleurs. Nous profitons des œuvres polychromatiques de cette galerie à ciel ouvert 🌈 pendant près de 15 km. Il commence à se faire tard et nous prenons la route de Beatty, où nous faisons étape pour la nuit. En arrivant à Beatty, nous découvrons étonnés que la pension Bed and Breakfast "Shady Lady" se trouve à 50 km de là en direction de Goldfield. Nous gardons notre sang froid pour arriver tranquillement à destination. C'est un petite oasis que nous voyons depuis la route, au milieu de nulle part. La maison, jaune aux volets verts apporte une touche de couleurs parfaitement en harmonie avec les arbres qui l'entourent. Elle est cernée par une colonie de paons, tous aussi flamboyants les uns que les autres. Certains font la roue. C'est peut-être un signe de bienvenue. La propriétaire vient à notre rencontre toute souriante. Elle s'appelle Jennifer. Elle nous présente son époux Nigel. Jennifer nous annonce qu'elle nous surclasse dans la chambre victorienne avec salle de bains ! Après un petit tour du propriétaire, Jennifer et Nigel nous propose un rafraîchissement avec deux grands verres de vin blanc bien frais. Nous réchauffons le reste des morceaux de pizzas achetées la veille à Las Vegas. La soirée commence dans la convivialité. Jeff, un pilote d'avion privé se joint à nous. Ses patrons sont à Las Vegas pour plusieurs jours et il s'offre un peu de détente en attendant de les récupérer. Nous restons à discuter là. Les étoiles s'invitent elles aussi dans le ciel. La soirée se termine comme elle a commencé, à discuter. Nous avons échappé au pire car un voisin rencontré plus tôt nous dira qu'il ne faut pas s'aventurer dans le noir car les coyotes rodent et peuvent à tout moment nous sauter dessus.
Un petit déjeuner royal nous attend le lendemain matin. Tous les hôtes sont déjà attablés. Il y a les deux jeunes allemandes, originaires de Francfort et de Hambourg, venues 3 semaines faire un circuit depuis San Francisco jusqu'à Los Angeles. Il y a Jeff, le pilote d'avion. Il y a également un couple d'américains de l'Indiana, arrivé tard la veille. Elle dit être physicienne et gymnaste. Les sujets de discussion sont un peu décalés, voire mal à propos quand il est question de la seconde guerre mondiale. Très vite le doute s'installe.
Après un au-revoir chaleureux et l'échange d'adresses, nous prenons la route pour notre prochaine étape en traversant de nouveau la vallée de la mort par les dunes de Mesquite Flat Sand Dunes. Le mot de la fin revient à Jennifer et Nigel qui nous avoueront que même s'ils nous détestent car nos 4 mois de vacances les rendent jaloux, ils nous aiment.
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omagazineparis · 2 years ago
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Découvrir et voyager en Croatie
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La Croatie est l'endroit idéal pour explorer et découvrir. Des villes anciennes aux forêts luxuriantes, en passant par les chutes d'eau et les villes thermales, une grande variété d'expériences différentes vous attend, quel que soit l'endroit où vous choisissez de vous rendre. Prenez votre temps et planifiez votre voyage de manière à voir le maximum de la Croatie. Que vous soyez un passionné de culture ou que vous cherchiez simplement à vous amuser, il y a beaucoup de choses à faire en Croatie. Nous vous donnons ci-dessous quelques conseils utiles pour explorer la Croatie comme un expert et en profiter comme jamais auparavant. Visiter la Croatie et vivre à l'extérieur Nulle part dans le monde, il n'y a de meilleur endroit pour être en plein air qu'en Croatie. Que vous soyez un photographe passionné, que vous aimiez explorer ou que vous ayez simplement envie de vous évader, la Croatie vous propose de nombreuses activités de plein air. L'accent est également mis sur l'écotourisme, avec un grand nombre de sites du patrimoine mondial et de parcs nationaux, ce qui vous permettra de visiter des endroits vraiment magnifiques. L'une des meilleures façons d'être en plein air en Croatie est de faire une excursion en bateau. De nombreux tour-opérateurs proposent des excursions quotidiennes ou personnalisées pour explorer la superbe côte croate. La plupart des îles de l'archipel qui forment le littoral du pays ne sont accessibles que par bateau, ce qui offre des vues imprenables et un véritable sentiment d'isolement. Explorer la côte La majorité des destinations touristiques les plus populaires de Croatie sont situées sur la côte, ce qui vous offre l'occasion parfaite de vous détendre et de vous relaxer. Si vous recherchez un rythme de vie plus lent et l'occasion de vous détendre au soleil, la côte est l'endroit idéal. Avec des kilomètres de plages de sable et des eaux cristallines, il y a beaucoup à voir et à faire. L'une des meilleures plages du pays est Sibenik, qui se trouve sur la côte nord-ouest. Si la plage est très populaire, les environs sont plutôt ruraux et préservés, ce qui en fait une excellente excursion d'une journée depuis les grandes villes. Visiter Zagreb Si vous cherchez un endroit pour commencer à explorer et découvrir la culture d'une ville, la capitale de la Croatie, Zagreb, est un excellent choix. Avec un large éventail de sites, d'attractions et d'activités à explorer, vous trouverez quelque chose qui répondra à vos intérêts. Comme de nombreuses autres capitales européennes, Zagreb abrite de nombreux musées, une scène artistique animée, une vie nocturne animée et d'excellents restaurants. Avec un grand nombre d'universités et d'écoles supérieures, Zagreb est également un endroit idéal pour vivre des expériences culturelles et rencontrer des gens du monde entier. L'une des meilleures façons d'explorer une nouvelle ville est de la parcourir à vélo. Dans des villes comme Zagreb et Split, il existe un large éventail de circuits à vélo qui permettent d'explorer à la fois l'histoire et la culture moderne de la ville. A lire également : La Côte d’Azur – un paysage de rêves Admirer les rivières de Croatie et faire des activités de plein air Si vous cherchez à vous éloigner de la foule et à explorer une nouvelle partie du pays, un voyage à vélo est une excellente option. Avec des routes sinueuses et des paysages époustouflants, il n'y a pas de meilleur moyen de découvrir les paysages variés de la Croatie. Les vacances à vélo en Croatie sont une excellente option pour ceux qui souhaitent explorer le pays sans se soucier des prix des billets d'avion, des foules ou des prix des hôtels. Pendant ces vacances, vous pouvez simplement vous rendre à vélo là où vous voulez aller et explorer à votre propre rythme. Si vous êtes intéressé par le kayak, le rafting ou le canoë, vous trouverez de nombreuses occasions de le faire sur les rivières de Croatie. Read the full article
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transparenttyphoonpirate · 2 years ago
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Plus pour rien
Tati l'avait bien montré dans Playtime : toutes les capitales se ressemblent. Ainsi les touristes sont de plus en plus pressés de prendre l'avion pour se rendre en un éclair dans une ville qui est pleine de Decaux, comme chez eux, aller au supermarché comme chez eux, trouver les mêmes produits. Bref un voyage inutile.
Aller toujours plus vite, toujours plus loin pour se retrouver au même endroit, voilà qui est une parfaite illustration de la crétinisation. Aller à Dubaï pour se rendre à Parly II, voilà le rêve du crétin. On fait des villes toutes semblables, on garde un musée pour dire, mais au moins, il y aura marqué New-York sur le sticker de votre selfie. Sinon, avec vos fringues Shein dans votre Starbucks pour riches oisifs, on aurait eu du mal à vous repérer.
Toujours plus de tout pour rien. Aller toujours plus vite nulle part, se rendre en urgence dans un immeuble carré vitré pour discuter de sujets qui n'ont aucune importance, c'est ça, le "progrès". L'avantage, c'est qu'on arrose de kérosène brûlé des gens qui n'ont rien demandé.
En effet, ce que vous achetez pour 30 euros de billet "low cost", ce n'est pas que le malaise de vous ennuyer une semaine au Carrefour espagnol, c'est surtout le droit d'assourdir et d'étouffer de pollution le silence et l'air de gens qui n'ont rien à faire de votre voyage d'oisif inutile qui se récompense ainsi de ses onze mois de travail inutile.
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Par exemple le "futur" de l'homme volant. Pour aller où ? Eh bien pour envoyer des livreurs esclaves porter vite vite la pizza au miséreux qui regarde le foot, et vendre aux touristes ébaubis un baptême de l'air au dessus de Versailles. Donc des choses totalement inutiles.
En revanche, on pourra polluer toujours plus, faire toujours plus de bruit, vendre toujours plus de choses inutiles.
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Alors je vois d'ici les bonnes âmes me sortir le coup du médecin volant aller sauver la petite fille qui a un infarctus. Oui, mais dans le même temps, on organise la misère de telles façon que le moindre médecin ne sera pas en vue avant 3 semaines.
Et encore, s'il arrive, puisque les crackhead trannies le dégommeront en vol pour revendre ses manchettes à gaz.
Toujours plus de bruit et de pollution, pour toujours plus de RIEN.
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"Caractères interdits " : On ne peut désormais écrire que ce que l'ordinateur supporte. Toujours plus de webdaube, pour un contenu toujours plus pauvre. A la fin on aura droit à trois caractères, ça évitera les débats superflus. Pourvu qu'ils n'interdisent pas trop vite le "u", je m'en sers pas mal.
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iufrance93 · 2 years ago
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[FANCAFE - 22.01.23] De la part de : IU - Happy Seollal [Joyeux Nouvel An Lunaire]
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Bonjour Uaenas 👋🏻
Avez-vous tous passé un joyeux Nouvel An Lunaire ?
Je me suis levé tôt ce matin et je suis rentré à la maison pour les rites ancestraux, j'ai mangé beaucoup de nourriture et de fruits du nouvel an, j'ai fait mes vœux de nouvel an et j'en ai reçu aussi…haha
Puis je suis retournée chez moi avec beaucoup de nourriture que ma mère m'avait préparée, j'ai organisé mon frigo et maintenant je suis enfin assise pour reprendre mon souffle ! (En fait, il n'y avait pas grand chose à faire 🤫)
Beaucoup d'entre vous vont probablement poser la question dans les commentaires, alors je vais d'abord vous dire que les plats les plus délicieux étaient les bouts de côtes braisées et le poisson grillé !
Je vais vous dire le TMI d'aujourd'hui (quelqu'un demandera sûrement, n'est-ce pas ?) est que mon neveu a fait des boulettes de viande pour la première fois aujourd'hui (mon père avait l'habitude d'être en charge de toutes ces boulettes) et n'a cessé de me demander de les goûter lorsque nous nous sommes assis pour manger, alors j'ai fait de mon mieux pour donner toutes sortes de réactions et j'ai fini par lui promettre que je construirai une boutique de vente de boulettes de viande pour lui😀.
Nous nous sommes mis d'accord pour que le nom du magasin sera "Boulettes de viande faites par le Restaurant Round Jeongyu".
Je n'avais pas envie de me lever tôt, j'étais étourdie sur le chemin des rites ancestraux et maintenant que je ne suis plus une enfant, ça me semble bizarre de donner mes voeux de Nouvel An à mes parents et à ma grand-mère, mais c'était plutôt amusant pour toute la famille de se rencontrer et de discuter et la nourriture brillante du nouvel an avait bon goût même si elle a toujours le même goût et les quatre billets froissés de 50 000 wons que ma grand-mère m'a donnés dans une enveloppe sont vraiment précieux pour moi.
Nous avons tendance à nous réunir tôt, à prendre notre repas et à rentrer chez nous. Certain.e.s Uaenas arrivent peut-être que maintenant chez leurs parents ou grands-parents et y passeront la nuit, alors faites bonne route et mangez beaucoup de nourriture délicieuse ! (Bien que ce soit un peu difficile..🤫) Recevez aussi beaucoup d'argent de poche pour la nouvelle année ! (Et donnez-en juste un peu..🙄) Échangez beaucoup de bons vœux aussi !! (N'écoutez pas ou ne soyez pas celui qui harcèle..🤧) S'il y a des Uaenas qui ne vont nulle part et qui passent la nouvelle année tranquillement, j'espère que vous vous reposez bien, que vous mangez bien, que vous passez un bon moment et que vous passez la nouvelle année courte et pleine au mieux 🔥.
Au fait, vous savez qu'après-demain, il va geler, n'est-ce pas ? Il va faire vraiment froid… Si vous ne le saviez pas, vous devriez le savoir maintenant !! Ils disent qu'il va faire vraiment froid, alors sortez vos vêtements chauds et d'hiver à nouveau…
Manteau.. ? Non, ça ne fera pas l'affaire… Commencez à porter ça la semaine suivante…
Il ne reste plus grand chose de l'hiver maintenant ! Ne lui donnons aucune chance !!! Pour le reste de l'hiver, habillez-vous chaudement et ne tombez pas malade !
Enfin, j'ai donné ma parole dans la vidéo pour les Uaenas en janvier.
Maintenant que nous commençons notre 6ème génération d'Uaenas, nous avons besoin d'un nouveau surnom commençant par 6 [yook] mais mon agence et moi avons du mal à en trouver un…. Nous avons sélectionné deux noms pour le moment !
Pour vous donner un petit spoile, il s'agit d'une correspondance proche entre le nom d'une plante et celui d'un animal imaginaire.
Mais en y réfléchissant, ce n'est pas seulement pour la 6ème génération, même le 7 [chil]..chil-myeonjo (dinde)..? 8 [pal]..pal-bochae (fruits de mer et légumes sautés)..??
Je ne veux pas appeler nos Uaenas yook-hoe (plat de bœuf cru) ou dinde ou fruits de mer et légumes sautés..🥲
Passons, j'essaie de trouver des idées à l'avance ces jours-ci ! haha Si vous avez tous des idées, partagez-les avec nous.
Je vais faire une sieste maintenant.
Comme j'ai dû partir tôt, je n'ai pas beaucoup dormi la nuit dernière, donc j'ai vraiment sommeil maintenant.
Pendant que je dors, tout le monde ne fait pas de pause, mangez beaucoup de nourriture délicieuse et profitez de la nouvelle année qui n'arrive qu'une fois par an ! !!
Je vous aime !
Bye ! 😪😴
Traduit par IUFrance
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equipe · 3 years ago
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Notes de mise à jour
🌟 Nouveautés
Après que l’option “Autoriser les médias dans les questions“ ait été ajoutée aux versions iOS et Web, c’est au tour de la version 22.3 de l’application Android d’accueillir ce nouveau paramétrage. Pas de jaloux !
Dans l’application, lorsque vous aurez consulté tous les résultats d’une page de tag (ou bien s’il n’y avait aucun résultat à afficher, sah quelle tristesse ©), nous vous proposerons de découvrir les tags tendance en complément des tags associés à celui de la page.
La page Sélection Tumblr sur le Web met désormais en valeur quelques tags qui nous tiennent à cœur 🤍.
Les carrousels de tags n’affichent désormais plus de miniature d’image dans l’application iOS.
Nous avons retiré la section “Essayez ces billets“ dans la section Explorer de l’application iOS. Nous prévoyons de réintroduire prochainement cette fonctionnalité via l’onglet “Pour vous” du tableau de bord.
Les billets dont vous aviez explicitement indiqué qu’ils n’étaient “pas pour vous” ne seront dorénavant plus affichés nulle part, et ne seront pas seulement exclus des recommandations du tableau de bord.
🛠️ Correctifs
Correction d’un problème qui empêchait certains utilisateurs de Windows de pouvoir utiliser la touche “J” comme raccourci clavier pour faire défiler le tableau de bord vers le bas.
Correction d’une anomalie dans les archives de blog qui tronquait les tags nécessitant plusieurs lignes.
Correction d’un bug qui empêchait de signaler des commentaires et des reblogs depuis la nouvelle fenêtre de consultation (😘 à celles et ceux qui nous l’ont signalé. Les autres : on vous aime aussi 💘).
La documentation GitHub relative au format NPF a été mise à jour afin de donner accès aux informations des billets programmés.
Les aperçus/miniatures des billets dans le flux de la page Trafic pouvaient être incorrects si le billet original avait été modifié. Cet aperçu affichera désormais une image du fil de reblog pour plus de cohérence.
Correction d’un bug qui empêchait les vidéos hébergées nativement sur Tumblr d’être lues sur des blogs ayant un domaine personnalisé.
Sur le Web, l’action de bloquer un blog via sa carte de blog aura désormais pour effet de masquer également le billet associé.
La version 22.3 de l’application iOS comporte des corrections pour les bugs suivants :
Le menu contextuel de modification de l’avatar pouvait être obstrué lors de la personnalisation de l’apparence de votre blog.
L’avatar d’un blog bloqué, mais avec lequel vous aviez préalablement discuté, pouvait apparaître dans votre liste de conversations.
Des GIF pouvaient continuer de s’animer dans certains endroits (en-tête des blogs, carrousels de tags/blogs suivis, cartes de blog...) même si l’option de lecture automatique était désactivée. Sûrement l’effet Halloween 👻.
La version 22.3 de l’application Android est désormais disponible pour tout le monde, et elle comporte des corrections pour les bugs suivants :
Les utilisateurs disposant d’une version Android 11 et supérieure ne pouvaient plus programmer de billets.
Les permaliens qui contenaient le mot “tagged” pouvaient conduire à une page d’erreur (nos équipes remercient encore chaleureusement celles et ceux qui nous ont signalé cette anomalie !).
Le Reblog furtif ou la File d'attente rapide pouvaient parfois provoquer un défilement de l’écran plutôt que de proposer la sélection d’un blog.
🚧 En cours
Pas grand-chose à dire en ce moment... Ah, mais si vous êtes parvenu jusqu’ici, nous tenions à saluer votre persévérance et votre courage. Le bout du tunnel (= la fin de ce loooong billet) est proche. Tenez-bon ! 🔜
🌱 Prochainement
Comme nous l’évoquions plus haut, la section “Essayez ces billets“ de la page Explorer de Tumblr pour iOS sera très bientôt remplacée par le nouvel onglet “Pour vous” placé tout en haut du tableau de bord.
Afin de poursuivre la refonte débutée l’an passé sur le Web, nous apportons les dernières finitions sur les pages de Compte et de Paramètres du tableau de bord pour vous offrir également une expérience plus fluide et rapide.
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