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#Sorties 2018
opelman · 2 years
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Low Level by Treflyn Lloyd-Roberts Via Flickr: Hercules C.4 ZH868 banks into Corris Corner on the Mach Loop during a low flying sortie from RAF Brize Norton in June 2018. With the RAF soon to retire the Hercules fleet and this location no longer available, shots like this will fade into history. Aircraft: Royal Air Force Lockheed Martin C-130J-30 Hercules C.4 ZH868, call sign ASCOT 123. Location: Corris Corner on the Mach Loop, LFA7, Wales.
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prunelier · 9 months
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jveux voir mad dog mais jveux pas mettre un demi-pied au nexus, surtout seule, c'est dur la vie
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snowfea · 2 months
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Pour mes camarades francophones qui s'intéressent aux enjeux liés à l'urbanisme, à la biodiversité ou simplement aux champignons, j'arrive avec une recommandation d'un ouvrage que je viens à peine de commencer : l'Atlas français des champignons du sol.
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Il rassemble des cartes nationales sur divers sujets, de la distribution des communautés de champignons des sols aux taxons de champignons identifiés dans les sols en passant par les grands habitats des champignons des sols.
Le sujet peut effrayer, mais les auteurs précisent que "l'ouvrage est destiné aux chercheurs, étudiants, agriculteurs, tout usager des sols, décideurs, industriels, parties prenantes, politiques, bureaux d'études et lecteurs du grand public". Cette volonté de s'adresser à toutes les catégories de lecteurs se retrouve dans le sommaire : le premier chapitre, pour citer à nouveau l'Atlas, "rappelle et vulgarise les grandes généralités scientifiques et techniques nécessaires à la bonne compréhension des parties suivantes de l'ouvrage". La lecture en est en effet aisée - et c'est dit par quelqu'un dont le cerveau s'éteint immédiatement lorsqu'il commence à lire un truc un peu scientifique par peur de ne pas réussir à comprendre.
Il coûte 35€, ce qui peut être une somme - peut-être qu'une bibliothèque locale accepterait une suggestion d'ouvrage -, et vient compléter un autre atlas sorti lui en 2018 si ma mémoire est bonne, l'Atlas français des bactéries du sol.
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barbatusart · 4 months
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are you and meanboss still working on sortie? love all ur work btw so no rush i just miss my boy sal ♥️
WE ARE we’ve both just been working on comix since 2018 pretty much nonstop so we’re taking a break for a bit - RJ especially hes been busting ass on comic inks, so he’s getting some R&R in with elves to recharge the batteries
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culturefrancaise · 1 year
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Soudain saisie par l'idée que si je continue mon French AU pour Captain America, Steve se réveillera dans une France gouvernée par Sarkozy, sera interviewé par Michel Drucker, Yann Barthès dans "Le petit journal", découvrira qu'on est passé à l'euro depuis des années...
2011 c'est l'année de l'intervention française en Lybie contre les forces de Khadafi, le début de l'affaire Dupont de Ligonnès, de l'arrestation de DSK à New-York pour agression sexuelle, la proclamation de Peyong-Chang pour les JO d'hiver de 2018, la sortie du film "Intouchables" avec Omar Sy et François Cluzet, du tout dernier film "Harry Potter", c'est "The artist" primé à Cannes... La fin de la télévision en analogique, remplacée par la TNT.
Niveau musique voilà ce qui était populaire :
"Rolling in the deep", "Born this way", "Raise your glass", "Raise your glass", "Party rock anthem", "The A team", "Paradise", "Move like Jagger", "S&M", "Run the world (girls)"...
Côté francophone : "La fée" de Zaz, "L'horloge tourne" de Mickaël Miro... "La Seine" de Vanessa Paradis...
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Memories…
Interview in French but answers in English with Timothée who explains that it is so that Armie does not feel isolated and neglected 🥰. Antoine De Caunes is leading the interview, he who will interview Tim for B&A in Venice and who has offered to be his French teacher if necessary 😉
02/28/2018
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usafphantom2 · 2 months
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Painting l did in 2018.
Petlyakov Pe-8, the only 4-engine heavy-bomber built by the Russians during WW2. Fewer than 100 were built but the type flew combat sorties between Aug 1941 through to the spring of 1944. Losses to mechanical failure outnumbered those to enemy fire.
@petehill854 via X
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vinstinx · 5 months
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En train de réécouter LFEF epilogue, et si j’me trompe pas genre Orel il a des Trap-y kinda flows. Il est pas genre full trap en train de dire qu’il gère des réseaux, cons’ l’héro ect. Mais en tenant compte qu’en 2018 c’est à peu près l’âge d’or de la trap pour le rap français qui viennent d’obsess over la trap d’Atlanta bref… Bon, ce dont j’avais retenu de ctait quoi la trap, genre le débit d’orel est quand même vraiment plus rapide sur pas mal de tracks de epilogue quand tu regarde l’ensemble de sa discographie, c’est assez marquant l’effort qu’il fait pour Épilogue que jai vraiment envie de croire que c’est son trap era (Trap de Caen un peu moderne t’as capté parce que orel est loin d’avoir eu l’ecoerience de vie la plus difficile ngl like rich kid with non-divorced parents kinda shits ykyk y’a pt juste ses déménagements pis sa timidité qu’il l’ont fait souffert)
Si c’est complètement sorti du cul cette théorie let me know haha im still trying to learn
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mccoyquialisms · 1 year
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don’t wake me up
distorted light beam - bastille // in bed (1878) - federico zandomeneghi // it was all a dream: escapism and falling down the rabbit hole - emily broughton // don’t wake me up - the hush sound // sleeping woman (2009) - anuraag fulay // sputnik sweetheart - haruki murakami // la sortie (2018) - julie lagier
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pauline-lewis · 4 months
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La première fois que j'ai entendu une chanson d'Amen Dunes, j'étais assise à mon bureau, le casque sur les oreilles. J'écoutais, indifférente, une playlist de recommandations en random. La musique peut me donner, occasionnellement, l'impression très intense de tomber amoureuse. C'est ce qui s'est passé la première fois que Sixteen a voyagé de mon oreille droite à mon oreille gauche. Cette chanson a coulé dans mes veines jusqu'à mon cœur, un aller simple sans retour possible. Et justement, le disque sur lequel se trouvait cette chanson s'appelait — ça ne s'invente pas — Love.
J'ai immédiatement tout aimé de ce disque — sa pochette bleue, chacun de ses titres (qui ruissellent les uns dans les autres sans effort), son ambiance cotonneuse et la voix sublime et bizarre (car dans mon cœur, ces deux notions se tiennent la main) de Damon McMahon. J'ai aimé sa façon de chanter les mots de la langue anglaise comme s'il les ré-inventait au fur et à mesure, comme s'il les coulait dans un nouveau moule plus étrange. Il me faisait entendre une nouvelle poésie, celle d'un monde que je n'avais pas encore découvert. J'ai adoré tout autant Freedom, en 2018, disque qui m'a permis de le voir sur scène, de fermer les yeux en écoutant sa voix, de basculer la tête en arrière et d'être enveloppée dans le son. Il y avait cette chanson qui parlait d'un surfeur et qui me faisait penser à ce moment, l'été, quand on s'immerge d'un coup dans l'océan glacé.       Rien ne m'apporte autant de joies que les amours qui durent. Death Jokes, sorti il y a quelques jours, prolonge cette passion-là. La même voix mystérieuse, qui s'entrechoque contre les parois de mon cœur, la même alchimie mystérieuse qui fait que cette musique me rencontre et me trouve. Ce nouveau disque est peut-être, à mes yeux, encore plus ample et beau que le précédent, plus profond. C'est un disque pour maintenant, pour un monde douloureux et difficile. Je repars à la découverte de cette langue si particulière avec les larmes au coin des yeux. Larmes de joie de le retrouver, larmes de tristesse puisque sa musique est avant tout là pour nous déchiqueter le cœur en petits morceaux.
Somewhere, in the middle of it all.
Amen Dunes, Death Jokes (Sub Pop)
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etes-secrecy-post · 5 months
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Hi, before I explain my post, I want to say something important.
• What you see my blog has become a major overhaul. And despite the changes, I decided that my 2nd account will be now my artwork blog with a secret twist.
⚠️NEW RULE! (W/ BIGGER TEXT!)⚠️
⚠️ SO PLEASE DO NOT SHARE MY 2nd ACCOUNT TO EVERYONE! THIS SECRECY BLOG OF MINE IS FOR CLOSES FRIENDS ONLY!⚠️
• AND FOR MY CLOSES FRIENDS, DON’T REBLOG IT. INSTEAD, JUST COPY MY LINK AND PASTE IT ON YOUR TUMBLR POST! JUST BE SURE THE IMAGE WILL BE REMOVED AND THE ONLY LEFT WAS THE TEXT.
⚠️ SHARING LINKS, LIKE POSTS, REBLOG POSTS, STEALING MY SNAPSHOT PHOTOS/RECORDED VIDEOS/ARTWORKS (a.k.a. ART THIEVES) OR PLAGIARIZING FROM UNKNOWN TUMBLR STRANGERS WILL IMMEDIATELY BE BLOCKED, RIGHT AWAY!⚠️
😡 WHATEVER YOU DO, DO NOT EVER LIKED & REBLOG MY SECRET POST! THIS IS FOR MY SECRET FRIENDS ONLY, NOT YOU! 😡
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Okay? Capiche? Make sense? Good, now back to the post…↓
#OnThisDay: Apr 25, 2018
Title: Cuteness Member - Zero
Another member of the 'Sun Heroes' was Zero the Buisel 🦦 (Pokemon OC) before he transforms into Gacha Club OC, in October of 2022 [CLICK ME!]. Nonetheless, his first "Cuteness Mecha Armor" was the "GM III Beam Master" 💥🔫🤖, an artillery type custom support suit from "Gundam Build Divers". 🙂
GM III Zero Beam Master Came from the real: RGM-86RBM GM III Beam Master [CLICK ME!]
Armament(s):
Beam Saber • A handheld close range weapon, one is stored in each knee. Same model as the ones used by GM III
Missile Pod • Like the GM III, the GM III Beam Master can be outfitted with a pair of optional missile pods with four mid-scale missiles each on its shoulder. The four missiles can be changed to carry multiple warheads each, turning into multiple independently targetable reentry vehicle (MIRV), and each warhead can be aimed at a different target. Each missile pod is equipped with added sensors that improve accuracy. There are also other pods that are equipped with numerous micro-missiles.
Large Missile Launcher • An armament that carries large-scale, high-performance missiles with a special form that improves maneuverability. Unlike the GM III which equipped the large missile launchers on both sides of the waist, the GM III Beam Master have them on the outside of each legs as the Buster Binders are equipped on its waist.
Buster Binder • A set of shooting weapon mounted on both sides of the waist. On their own, they can fire Flash Beam - weaker buckshot beams that spread over a wide area at close range. Can also combine with the Changeling Rifle to fire the Fusion Beam.
Beam Rifle • The same handheld beam rifle as used by the standard GM III. A single shot from this ranged beam weaponry can penetrate any armor not designed to resist it. Zero used this in his first sortie.
Changeling Rifle • A special custom rifle original by Yukio "Yukki" Hidaka. It can docking on each side of Buster Binders for a unique style handle and can increase fire power for a massive power damage on both guns in one rifle. Each gun barrel with different range: ○ Beam Vulcan Mode - Firing barrage with energy beam particles. ○ Beam Rifle Mode - A long range sniper like weapon that can deal a massive damage by one (or multiple) shots.
Shield • The same model of shield used by GM III. Zero used this in his first sortie.
Zero (Pokemon Buisel OC) - owned by Romulus907 (dA) | Twitter X - Romulus500 | tumblr - LordRomulus90 Armor (Gundam Build Divers) - Gundam series © Bandai Namco Filmworks, Inc. (SUNRISE), Sotsu
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barbatusart · 21 hours
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Hiya, hope you and your partners well, been a fan for quite a while and I’ve just been wondering if sorties ever coming back? (Love the baldurs gate stuff as well)
Thank you, take care :)
WE’RE DOIN GOOD and we’ve by no means abandoned SORTIE just to put your concern to bed. not to speak for RJ, but my work on it was basically done & he’d been going nonstop on comix since 2018 with no real breaks - guy needs a rest & im in full agreement. i know we both wish we could just strain real hard & pop out full 250+ page books but unfortunately we’re only 2 dudes & RJ’s the one with the lion’s share of the work at this stage
don’t despair SORTIE’s by no means done for, but barring finding $1mil in a bag on the ground we gotta pace ourselves unfortunately. again: we are only 2 guys. plus i say nonstop multiple brick-sized books since 2018 aint a bad run before needing a time out lol
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Dans le film “La Crise” de Coline Serreau sorti en 1992, l’actrice Maria Pacôme se rebelle contre ses enfants, joués par Vincent Lindon et Zabou
Maria Pacôme est morte le 1er décembre 2018 à l’âge de 94 ans
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ainsi que l’a annoncé son fils François. Si les plus jeunes ne connaissent pas forcément le nom ou le visage de cette comédienne qui fit les belles heures du théâtre de boulevard, beaucoup se souviennent de sa bonne humeur et de ses rôles dans « Les Tribulations d’un Chinois en Chine », de Philippe de Broca, « Les Sous-doués », de Claude Zidi ou « Le Gendarme de Saint-Tropez ». Mais c’est la réalisatrice Coline Serreau qui offrit son plus beau rôles à Maria Pacôme qui, en quelques répliques et une apparition furtive, aura marqué pour toujours de son empreinte ce film dans lequel, en mère de Vincent Lindon, elle crève l'écran, et qui qui lui valu sa nomination aux César 1993 comme meilleure actrice dans un second rôle. « J'ai repassé vos chemises, lavé vos slips, surveillé vos études. Je me suis fait des monceaux de bile, je n'ai vécu que pour vous, qu'à travers vous. »
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« Tes problèmes de boulot, tes problèmes avec ta femme, tes problèmes de fric, tes problèmes en général et en particulier, moi ta mère, je m'en fous comme de l'an quarante, tu m'entends ? Je m'en fous, mais alors je m'en fous, je peux pas te dire à quel point je m'en fous. Je n'en ai vraiment rien, rien, rien à foutre. » Dans ce films aux dialogues brillants, Maria Pacôme, sexagénaire fraîchement séparée après des années de charge mentale familiale, fait elle-même sa crise. Pour la première fois, elle balance à ses enfants son ras le bol de mère au foyer à laquelle on ne confie que ses problèmes sans se soucier des siens. Les courses, le foyer, son mari..., la senior nouvelle génération envoie tout valser pour vivre, enfin, sa propre existence. En 1993, la tirade fait mouche, et restera culte tant elle choque les uns en même temps qu’elle libère bien des frustrations enfouies chez les femmes en pleine émancipation.
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« Pendant trente ans je vous ai torchés, nourris, couchés, levés, consolés, tous les trois. J'ai repassé vos chemises, lavé vos slips, surveillé vos études. Je me suis fait des monceaux de bile, je n'ai vécu que pour vous, qu'à travers vous. J'ai écouté toutes vos histoires, vos problèmes et vos chagrins, sans jamais vous emmerder avec les miens. Alors maintenant, je prends ma retraite. Toi, il te reste une longue vie devant toi pour résoudre ta crise ; moi il me reste très peu de temps pour résoudre la mienne. Alors tu permettras que pour une fois je m'occupe de mes affaires avant les tiennes
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ahjdaily · 1 year
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INTERVIEW: Une discussion avec Albert Hammond Jr. sur la vie, les Strokes et le sentiment d’être incompris (Les Inrockuptibles)
François Moreau | 07/07/2023 à 15h47
This interview is solely in French. For an English-translated version of the website: click here Please note, the translation may not be not entirely accurate.
For archival purposes, full text is stored below.
Le guitariste des Strokes vient de sortir “Melodies on Hiatus”, son cinquième album solo. L’occasion d’évoquer avec lui la vie en marge du groupe, le besoin incessant de composer et l’éternel sentiment stroksien d’être incompris et insatisfait.
On appelle Albert Hammond Jr. aux aurores à l’occasion de la sortie de Melodies on Hiatus, son cinquième album solo paru en juin. Le guitariste hirsute des Strokes décroche le combiné depuis le jardin de sa maison dissimulée dans les collines de Hollywood, à Los Angeles, Californie. Après notre entretien, il ira à la salle de sport. La routine angelina.
Comme beaucoup de musiciens de la côte est des États-Unis, à l’instar de Julian Casablancas depuis belle lurette, Albert a lui aussi migré à l’ouest en quête de soleil et de nouvelles opportunités. S’il prétend composer et enregistrer quotidiennement sous le ciel bleu californien quand il n’est pas en tournée, il passe aussi des castings pour le cinéma : vous l’avez peut-être vu jouer un type cocaïné dans Babylon (2022), de Damien Chazelle, le temps d’une brève apparition. En 2018, il confiait même avoir auditionné pour la série Stranger Things, avec un essai à la clef, mais l’aventure n’est pas allée plus loin.
La musique reste donc le cœur d’activité de ce bon vieil Albert. Quand on lui passe ce coup de fil, il rentre tout juste lessivé d’une mini tournée américaine avec les Strokes, bouclée le 25 mai sur la scène du Minute Maid Park de Houston, Texas, avec escales à Minneapolis (MN), Syracuse (NY), Phoenix (AZ) et San Antonio (TX). Les New-Yorkais partageaient la scène avec Red Hot Chili Peppers, preuve, s’il en fallait une, que The Strokes a désormais un stadium status, comme on dit outre-Atlantique, même si une telle affiche au début des années 2000 aurait interpellé. Après tout, la première fois qu’on a vu Pixies sur scène, c’était en première partie de la bande à Flea. Les digues séparant l’indie du rock’n’roll circus hollywoodien, si tant est qu’elles aient un jour existé ailleurs que dans l’étroitesse de nos jeans slim, ont cédé dans les grandes largeurs.
“Mais je fais partie des Strokes ! Je suis dans le groupe ! Il y a toujours eu une alchimie dans ce groupe, quelque chose d’unique. Ça a été là dès qu’on a commencé à traîner ensemble. Même quand on se déplaçait dans la rue en bande, tu pouvais le sentir”
Mais la question ne se pose certainement pas en ces termes en Amérique, ni même dans l’esprit d’Albert, qui ne s’embarrasse de telles considérations et reste lucide sur le parcours de son groupe : “Le paysage d’aujourd’hui n’est pas celui de nos débuts et, musicalement, le meilleur est devant nous”, tranche-t-il. Plus de vingt ans après la sortie de Is This It (2001) de la cave et après le Grammy du meilleur album rock de l’année pour The New Abnormal (2020) remporté en 2021, le quintet est bon pour le Rock’n’Roll Hall of Fame. Le club des cinq sera d’ailleurs pour la première fois à Rock en Seine cette année, le 27 août, en clôture du festival francilien, après une poignée de dates en Asie, aux États-Unis (encore) et à Londres. 
Carrière solo
Notre dernière rencontre avec le guitariste remonte au 18 février 2020, dans les coulisses de l’Olympia. “Je m’en souviens bien, on avait fait cette séance photo dans le parking deux minutes avant de monter sur scène”, nous glisse-t-il. À l’époque, nous n’étions qu’une poignée de chanceux·euses à avoir pu écouter The New Abnormal, le dernier album des Strokes au titre prophétique sorti en avril 2020, et le groupe accordait aux Inrocks une interview exclusive. Comme prévu, Julian Casablancas avait été expéditif, gêné comme d’habitude aux entournures par l’exercice. Albert, quant à lui, ouvrait les vannes, tenant le crachoir une heure durant dans sa loge, oubliant qu’Alex Turner, Hedi Slimane ou encore un représentant de Phoenix étaient en train de s’envoyer des coupes de champagne dans la pièce à côté. “Tu me demandes ce que ça fait de jouer avec les Strokes ? Mais j’en sais rien, je suis membre des Strokes, je ne peux pas avoir ce recul”, nous avait-il confié après le show.
Aujourd’hui, il tient le même discours : “Dans le fond, je n’avais jamais eu véritablement l’intention de faire des disques en solo. Faire partie d’un groupe comme les Strokes, qui a du succès, me suffit. Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours voulu ça. Quand j’ai sorti le premier album, les gens disaient que certains morceaux ressemblaient aux Strokes. Mais je fais partie des Strokes ! Je suis dans le groupe ! Il y a toujours eu une alchimie dans ce groupe, quelque chose d’unique. Ça a été là dès qu’on a commencé à traîner ensemble. Même quand on se déplaçait dans la rue en bande, tu pouvais le sentir”. 
Pour un type qui ne rêvait pas de carrière solo, Albert Hammond Jr. est le membre du groupe qui possède la discographie la plus étoffée, avec cinq albums et un EP, AHJ (2013) sorti chez Cult Records, le label du pote Julian. A l’époque de Yours to Keep (2006), il est même le premier à s’échapper des Strokes, alors que les New-Yorkais entrent à peine dans une période de hiatus de six ans et que, par médias interposés, Casablancas se plaint d’être celui sur les épaules duquel repose l’existence du band. 
L’idée derrière Yours to Keep n’était effectivement pas tant de sortir un disque à tout prix, mais d’arriver au bout d’un processus, qui semble pourtant encore inachevé aujourd’hui, si l’on en croit Albert : “Je n’ai jamais vraiment eu l’occasion de réfléchir à quel musicien je voulais être, parce que j’ai toujours fait partie d’un groupe. Si j’y avais pensé plus tôt, j’aurais peut-être fait certaines choses différemment. Je n’aurais pas pris autant de drogues pour ¿Cómo Te Llama?, mon deuxième album. Je vivais dans une réalité, disons, qui n’était pas un modèle de vie durable. Avec le recul, je crois que l’idée, c’était de faire les choses et d’avancer avec le groupe quoiqu’il arrive. Je sais que je n’ai jamais été capable de faire de la musique tout seul, j’ai besoin d’un tuteur pour me montrer comment plonger. Si je passe un mois entier à bosser sur des morceaux et qu’il n’en ressort rien de bon, j‘ai du mal à me sortir de la tête l’idée que j’ai perdu mon temps. C’est sûrement faux, mais c’est la façon dont fonctionne mon cerveau.” 
New York années 2000
Albert revêt une allure de survivant encore un peu ébranlé par la frénésie des choses. La dope, le New York junkie et grisant des années 2000, celui dont on peut lire les exploits dans l’essentiel ouvrage de la journaliste Lizzy Goodman Meet Me In the Bathroom – New York 2001-2011 : une épopée rock, fraîchement traduit en français aux éditions Rue Fromentin ; le musicien se contente de l’évoquer quand on lui en parle, mais tient à désamorcer toute forme de nostalgie mal placée qui dit généralement plus de l’intervieweur que de l’interviewé : “C’est ma jeunesse, tu sais. C’est difficile de ne pas romantiser cette période de ta vie. Parfois je regarde en arrière pour réaliser que les choses sont belles aujourd’hui. Dans les moments les plus sombres, je me dis que j’aurais dû profiter davantage de tel ou tel moment.”
“Si je passe un mois entier à bosser sur des morceaux et qu’il n’en ressort rien de bon, j‘ai du mal à me sortir de la tête l’idée que j’ai perdu mon temps. C’est sûrement faux, mais c’est la façon dont fonctionne mon cerveau”
Au sujet de la dope, justement, Albert – sobre depuis longtemps – ne cache rien en interview, mais disqualifie, une fois encore, les biais de romantisation, notamment lorsqu’il s’agit d’évoquer le temps de la création musicale : “J’imagine que si tu es sous influence, que tes perceptions changent pour t’amener à voir les choses sous un autre angle et que tu travailles vraiment dur en suivant cette ligne, tu peux accomplir certaines choses. Mais cette discipline est presque impossible à atteindre. Même si un trip t’amène à voir des choses extraordinaires, une fois retombé, il te reste à tout rassembler ensuite. Et c’est une tâche sans fin.
J’aime bien la philosophie de George Carlin (comédien et humoriste américain, ndlr), qui dit qu’il faut que tu écrives encore et encore, et te mettre stone à la fin pour voir ton travail d’un autre point de vue. Mais tu dois bosser d’abord. Quand tu crées, tu dois composer avec ta part d’ombre. Ça peut prendre plus de temps d’arriver là tu veux aller, mais au moins c’est réel et profond. Je trouve ça bizarre de penser que c’est la substance qui crée. C’est toujours la personne et ce qu’elle met dans son œuvre ! La substance te permet juste de faire taire cette petite voix intérieure qui peut parfois se transformer en monstre quand tu es en plein processus de création. Si j’avais pu m’imposer cette discipline plus tôt, il aurait été intéressant de voir où ça m’aurait mené. Heureusement, je ne me suis pas grillé, mon cerveau est toujours là.” 
Dur labeur
Pour Melodies on Hiatus, un double-album de dix-neuf titres, Albert s’est ainsi entouré d’un producteur, Gus Oberg, vieux collaborateur des Strokes, et d’une parolière, la Canadienne Simon Wilcox, appelée à la rescousse quand il a fallu mettre des mots sur la somme de démos enregistrées. Au générique de ce disque, une poignée de musiciens : Goldlink, Matt Helders (Arctic Monkeys), Steve Stevens (guitariste de Billy Idol), la chanteuse Rainsford. L’idée d’être le type qui rassemble autour de lui, tel un esthète, le branche-t-il ? “Je n’irais pas si loin. Disons que, parfois, j’ai l’impression de comprendre que certaines personnes vont bien avec d’autres. Mais je connais mes points faibles, j’aime m’entourer de gens qui savent faire ce que je ne sais pas faire. C’est fun d’assembler les pièces du puzzle.”
Comme il le répétera tout au long de notre conversation, Albert n’avait pas spécialement en tête de faire un disque aussi pléthorique. Contrairement à Francis Trouble (2018), son précédent album enregistré de façon assez classique, avec un groupe venu en studio pour mettre en boîte des démos travaillées au préalable par Albert, Melodies on Hiatus s’est fait sur le temps long aux côtés du pote Oberg, avec peu de gens autour dans un premier temps : “Je voulais déconstruire l’idée du groupe en studio. L’idée, c’était d’avoir Gus avec moi, quelques drum machines, un ordinateur, des potes de passage pour jouer quelques instruments. On se disait ‘essayons ceci, essayons cela’, et finalement les morceaux sont sortis assez naturellement. Très vite, je me suis retrouvé avec une vingtaine de chansons et je me suis senti dépassé.” 
“J’aime bien la philosophie de George Carlin (comédien et humoriste américain, ndlr), qui dit qu’il faut que tu écrives encore et encore, et te mettre stone à la fin pour voir ton travail d’un autre point de vue. Mais tu dois bosser d’abord”
Dépassé, parce que le songwriting n’est pas le fort d’Albert Hammond Jr. qui, même s’il a grandi avec son auteur/compositeur de père, ne vit pas la musique de cette manière. “Les paroles, en musique, c’est vraiment la dernière chose à laquelle je me raccroche”, confie-t-il, avant d’évoquer sa collaboration avec Simon Wilcox, qui a coécrit toutes les paroles alors que les deux n’avaient alors échangé que par téléphone.
De longues conversations téléphoniques en forme de déversement de flux de conscience : “Je peux chanter avec du faux texte, parfois même, comme sur le morceau Old Man, quelques lignes surgissent, mais il me fallait quelqu’un. Je me suis dit que j’allais demander à des potes d’autres groupes de m’écrire quelques morceaux, et puis on m’a présenté Simon. On s’est tout de suite bien entendu. On a eu des conversations profondes, des choses très personnelles, et elle a su capturer toutes ces choses. D’une certaine manière, on peut dire que ça ressemble à une thérapie. C’est toujours plus simple pour moi de laisser couler le flot de la conversation que de déterminer à l’avance un sujet pour un morceau. Ça sonne faux pour moi.
De ce point de vue, la création peut donc être perçue comme une thérapie, oui. Parce que, créer, c’est faire surgir une partie de toi qui ne s’autorise pas toujours à exister. Mais ça reste beaucoup de travail. Bien sûr, il y a des moments suspendus, ça arrive, mais tu ne peux pas attendre ces moments éternellement. La plupart du temps, ça se résume à bosser énormément et à assembler les pièces d’un puzzle. Être capable de tout détruire et de reconstruire, sans trop t’attacher aux choses. Si un morceau ne marche pas, tu dois comprendre pourquoi. En d’autres termes, tu dois constamment te battre contre toi-même”. 
Incompris
Obnubilé par la personnalité accidentée de Julian Casablancas, on oublierait presque les quatre autres membres des Strokes, leur histoire en marge du groupe, le chemin parcouru pour se frayer une voie en dehors des perceptions parfois limitées que le succès du band a probablement dû exacerber ces vingt dernières années. Qui se rappelle de l’album de Nikolai Fraiture, bassiste discret, sorti en 2009 sous le sobriquet de Nickel Eye ? Il faudra s’en rappeler quand il s’agira de répondre à la question : que se tramait-il dans la tête d’un jeune New-Yorkais vingtenaire ayant grandi dans le Manhattan des années 2000 ?
À mesure que le temps passe, les fantasmes se cristallisent, quitte à nous fourvoyer. “’Ive been all around this town / Everybody’s singin’ the same song for ten years”, chantait Julian en 2011 sur Under Cover of Darkness. Albert semble avoir tracé sa route et ne regarde derrière que quand quelqu’un lui demande de regarder derrière, comme si on voulait encore et toujours rejouer l’histoire, comprendre l’incompréhensible, raviver une flamme éteinte depuis belle lurette. 
“C’est bizarre aussi de se dire que certains pensent que parce que je sors des choses de mon côté, je ralentis le groupe. Il n’y a rien de plus au monde que je voulais sinon faire partie de ce groupe. J’imagine que les gens se figurent que c’est bizarre de faire de la musique en solo alors que le groupe est toujours actif”
“Le truc, c’est que même 20 ans après, et c’est une constante chez moi, j’ai le sentiment d’être incompris, nous rencarde Albert. Je n’ai jamais l’impression de faire face à des gens qui me comprennent, et notamment quand je suis face à des fans. C’est un peu frustrant, et une sensation étrange. À chaque fois que j’entends quelqu’un parler d’un de mes morceaux, c’est si éloigné de ma propre perception des choses ! On me parle de chose que je n’essayais ni de près ni de loin de faire, de reproduire ou de copier. C’est bizarre aussi de se dire que certains pensent que parce que je sors des choses de mon côté, je ralentis le groupe. Il n’y a rien de plus au monde que je voulais sinon faire partie de ce groupe. J’imagine que les gens se figurent que c’est bizarre de faire de la musique en solo alors que le groupe est toujours actif. C’est toujours intense pour moi de sortir un disque, ça ressemble à un matin qui n’existe jamais vraiment.” 
Tout porte à croire que des groupes comme les Strokes ou Arctic Monkeys sont essentialisés jusqu’à la moelle (il n’y a qu’à voir ce que se mange en pleine poire Alex Turner quand il fait son Scott Walker, au lieu de donner dans le riff adolescent), au point de leur faire porter le poids des élans nostalgiques de trentenaires qui les verraient bien au Panthéon. Albert : “J’ai plutôt l’impression de ne pas avoir accompli certaines choses, plutôt que l’inverse. Je ne vais pas m’asseoir et énumérer avec toi tous nos succès. Les gens doivent comprendre que si ce qu’on a pu faire toutes ces années leur paraît énorme, c’est difficile de notre côté d’éprouver ce genre de sentiment.”
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usafphantom2 · 9 months
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No, The F-35B Does Not Use Afterburner In Vertical Landing Mode
Imagery of F-35Bs operating at night make it look like afterburner is used in vertical mode, but the truth is more interesting.
@Aviation_intel via X
Thomas NewdickPUBLISHED Dec 28, 2023 1:31 PM EST
F-35 Lightning fighter jets have conducted their first night flying trials off the United Kingdom’s largest warship, HMS Queen Elizabeth. The aircraft carrier, which first landed F-35 Lightning jets on board last week, is currently conducting flight testing off the east coast of the United States. Pictures show how the night time trials, which up until now have only been tested in simulators or on the ground, were carried out using state-of-the-art night-vision technology, with the pilots and aircraft handlers successfully guiding the supersonic fighter jets onto the flight deck. Some trials were also carried out without night vision technology to ensure the jets’ capability in any eventuality.
U.S. Marine Corps photo by Kyra Helwick
An F-35B stealth fighter conducting vertical or rolling vertical landings on a warship’s deck at night is a sight to behold. Perhaps the most dramatic aspect of this audio-visual spectacle is the vertical ‘pillar of thrust’ upon which the jet perches as it makes its descent onto the deck. But while it looks very much like an afterburner plume, and many on social media think that's what it is, the F-35B doesn’t actually engage this function when operating in vertical mode.
The effect, as seen in the photo at the top of this story — showing an F-35B on the U.K. Royal Navy carrier HMS Prince of Wales — is produced when a highly sensitive low-light camera picks up the very hot gas that’s pumped out of the F-35B’s rear nozzle upon landing at night.
A quick aside on afterburners to get everyone up to speed. Many high-performance military aircraft, the F-35B included, feature them. They inject fuel into a combustor in the jet pipe behind the turbine, for a significant boost in thrust when required, albeit at the cost of drastically increased fuel consumption and infrared signature.
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F-35B taking off conventionally in afterburner during a test sortie. Lockheed Martin
We know, of course, that the F-35B’s engine already produces a lot of heat. In the past, the deck coatings and some structural elements of ships have had to be modified to deal with it. Even without the afterburner, the Pratt & Whitney F135 engine generates a staggering amount of thrust for the short takeoff and vertical landing (STOVL) operations that are unique to the F-35B variant of the aircraft.
A video shows a U.S. Marine Corps test pilot performing the first night-time vertical landing by an F-35B aboard the USS Wasp on August 14, 2013:
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The War Zone spoke to one experienced former F-35B pilot, who prefers to remain anonymous, to get a better understanding of the technologies — and performance — involved in STOVL operations.
First off, the pilot gave us an idea of the sheer amount of thrust that we are dealing with in STOVL mode.
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U.S. Marine Corps Maj. Michael Lippert and Peter Wilson, F-35 test pilots at the Patuxent River Integrated Test Force (ITF), conduct night field carrier landing practices at NAS Patuxent River, Maryland, in August 2018, in preparation for trials aboard HMS Queen Elizabeth. U.S. Navy photo by Dane Wiedmann
The variant of the F135 engine used in the F-35B, in dry thrust (without gas-guzzling afterburner engaged), develops around 18,500 pounds of thrust when in STOVL mode. It’s this hot gas that can be seen in the above images and others like it. The vectoring exhaust in the F-35B version is known as the 3 Bearing Swivel Nozzle or 3BSN. While the pilot can select separate stages (zones) of afterburner for a major thrust gain in conventional flight mode, it’s much harder to modulate finely for the more delicate STOVL operations.
F-35B test aircraft BF-4 hovers in the darkness during a night test flight at NAS Patuxent River, Maryland, December 13, 2012. Lockheed Martin
At the same time, for STOVL operations, the F-35B is equipped with a Rolls-Royce Lift Fan, a 50-inch, two-stage counter-rotating fan driven via a shaft from the main engine. The Lift Fan produces a similar amount of thrust — so, roughly another 18,500 pounds.
On top of this, add the two roll posts — which stream more hot exhaust gases from the main engine for additional stability — generating between 1,800 pounds and 2,000 pounds of thrust each.
All this makes for a little over 40,000 pounds of total thrust. Without afterburner.
A diagram showing, from left to right, the Lift Fan, two roll posts, and the 3 Bearing Swivel Nozzle or 3BSN in the F-35B. Rolls-Royce
“There’s a reserve to allow the jet to automatically tune it up over the life of the engine to keep it at that level,” the pilot explains. “That said, there are issues with the predicted life/fatigue already. So a new engine update is inbound.” You can read more about those plans here.
When hovering, the F-35B’s maximum weight is limited to 38,850 pounds to ensure there’s some extra thrust to provide flexibility and cushion the landing.
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An F-35B during night flying trials aboard HMS Queen Elizabeth, as part of flight testing off the east coast of the United States in 2018. U.S. Navy photo by Dane Wiedmann
Less obvious, perhaps, is the work of the flight control system to manage the jet’s transition into vertical mode and then help put it safely on the deck.
“Decelerating into the hover, the aircraft is around 11 degrees nose-up,” the pilot continues. “As the aircraft goes into the jet-borne (JB) regime, the attitude changes progressively down to 1.8 degrees nose-up. So quite a change as you slow down — this is all controlled by the thrust split between the 3 Bearing Swivel Nozzle (3BSN) at the back and the Lift Fan. Then, as the pilot commands a descent from the hover down to the pad, the thrust split increases the attitude from 1.8 to 3.8 degrees nose-up to account for sloping pads or a pitching deck, ensuring the main wheels touch down before the nose wheel.”
F-35Bs conduct night flying operations aboard HMS Queen Elizabeth. U.S. Navy photo by Dane Wiedmann
The opposite then happens when the pilot commands the F-35B to accelerate out of the hover and into the conventional flight mode. “[The jet] starts at 1.8 degrees nose-up and as you go into semi-jet borne flight around 60 KCAS [Knots Calibrated Airspeed], the attitude raises to 11 degrees nose-up to make the wing take some of the lift load and lower the amount of engine thrust required by the Lift Fan and 3BSN combination in the vertical axis. Eventually, the Lift Fan thrust is reduced, and a speed is achieved that allows the aircraft to be converted out of STOVL mode and into CTOL [conventional takeoff and landing] mode as a conventional fixed-wing fighter.”
“It’s astoundingly clever,” the pilot enthuses.
Another view of F-35B night field carrier landing practices by the Patuxent River Integrated Test Force (ITF), at NAS Patuxent River, Maryland, in August 2018. U.S. Navy photo by Dane Wiedmann
Cleverer still is a variation of the vertical recovery that’s seen in the photo at the top of this story — the Shipborne Rolling Vertical Landing (SRVL), a concept you can read more about here and here.
A standard F-35B recovery involves the jet being brought alongside the ship in a hover, translating sideways over the deck, before gently lowering to land. The advantage of this maneuver is increased safety, due to the low speeds involved, with no need to decelerate to a stop using the brakes.
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In contrast, the SRVL makes use of a combination of powered and wing-borne lift to make a rolling landing, with the F-35B then brought to a stop using its brakes. According to the Royal Navy, “An SRVL uses a different approach, with the jet using a more conventional landing pattern, approaching the ship from the aft end, at speed, using the thrust from the nozzle and lift created by air over the wings to touch down and come to a stop as soon as possible.”
A video from the Shipborne Rolling Vertical Landing simulator at the BAE Warton facility in the United Kingdom:
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The main advantage of an SRVL is that the F-35B can return to the ship with a heavier load of fuel and/or weapons. Otherwise, expensive stores might have to be ejected into the sea if they are not expended. It’s hoped that the SRVL maneuver will allow the F-35B to land back on the ship with a payload gain of 2,000 pounds, equivalent to four Paveway IV precision-guided bombs.
A fully loaded UK F-35B on the deck of HMS Queen Elizabeth. Stores on the underwing stations include four 500-pound Paveway IV precision-guided bombs. Crown Copyright
The SRVL concept was proven by test pilots aboard the aircraft carrier HMS Queen Elizabeth in 2018. The photo at the top of this story was taken during trials aboard sister carrier HMS Prince of Wales in October 2023, which were aimed to introduce the SRVL capability to frontline pilots.
Achieving an SRVL requires close cooperation between the pilot and the ship’s landing signal officer (LSO) in the flying control office. The pilot also receives flightpath cues from their helmet-mounted display.
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U.K. test pilot Peter Wilson conducts the first-ever SRVL by an F-35B, during trials aboard HMS Queen Elizabeth in 2018. Crown Copyright
Meanwhile, the Prince of Wales features a visual landing aid — known as the Bedford Array — specifically tailored to SRVLs. This comprises an array of lights in the flight deck tramlines, which indicates the glideslope to the pilot.
Currently, the United Kingdom is the only F-35B operator committed to introducing the SRVL to its concept of operations, although the U.S. Marine Corps has shown some interest in the past. Still, this is likely connected with operations from British aircraft carriers rather than U.S. Navy amphibious assault ships. Regardless, the U.S. Marine Corps continues to be involved in the trials with the Royal Navy, as part of the Integrated Test Force. SRVLs may well also be of relevance to Italy and Japan, both of which also operate their F-35Bs from ships, but just how safe it would be on those ships's smaller decks is unclear at this time.
An F-35B from the 31st Marine Expeditionary Unit performs a vertical landing on the flight deck of the USS America (LHA-6). F-35 Lightning II Joint Program Office
Whether by day or night, returning an F-35B to the deck of a ship showcases some extremely sophisticated technology, some of it more visible than others. While a nighttime recovery may suggest the use of afterburner, the truth is, if anything, more impressive, with the jet being brought back to the ship thanks to roughly 40,000 pounds of non-afterburning thrust.
Contact the author: [email protected]
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Roman d'amour : Été 85 (Ozon, 2020)
Peu de temps après sa sortie, j'avais parlé d’Été 85 avec un ami de mes parents qui avait détesté le film à cause du personnage de David (Benjamin Voisin), parce qu'il connaissait des mecs comme lui quand il était au lycée et qu'il pouvait pas les blairer.
Mais François Ozon ne fait pas seulement de David un personnage, il en fait un concept ; le concept d'un premier amour auquel on peut donner la personnalité que l'on désire, puisqu'il n'est de toutes façons pas fait pour durer. Et ce personnage-concept du premier amour est d'autant plus identifiable grâce à l'appel à la nostalgie que représentent les années 1980 (ici magnifiées par un travail impressionnant des décors et des costumes). L'époque, le scénario qui met en avant un premier amour homosexuel entre deux jeunes garçons, ainsi que la représentation de la jeunesse juive européenne ne sont évidemment pas sans rappeler Call me by your name (Guadagnino, 2018), la différence d'âge et les affaires de pèche en moins.
Ozon fait danser l'art, l'amour et la mort comme il fait danser Alexis, David et Kate ; il jongle entre le passé et le présent dans le cadre d'une affaire judiciaire finalement plutôt insignifiante, mais qui est le parfait prétexte pour l'écriture du roman d'Alexis. Le film n'est alors qu'une mise en images de son point de vue peu fiable, ce qui contribue brillamment à justifier le vide apparent de David qui n'est vu qu'au travers les yeux d'un amoureux qui ne le connaît pas.
Peut-être que ce que l'on retiendra du cinéma de François Ozon, ce sera l'amour superficiel, les garçons transis et les femmes qui pleurent. Ici en tout cas, le réalisateur semble saisir la fugacité de la vitesse, de la jeunesse et des amours estivales.
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