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#Société de développement du boulevard Saint-Laurent (SDBSL)
artspaume · 1 month
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7e édition du Festival BLVD : Un rendez-vous animé, familial et festif pour célébrer la rentrée sur le boulevard Saint-Laurent ! (CA)
Du 29 août au 1 septembre 2024 La Société de développement du boulevard Saint-Laurent (SDBSL) invite les médias à découvrir la 7e édition du Festival BLVD, qui se déroulera du 29 août au 1er septembre. Pour l’occasion, le boulevard Saint-Laurent, entre la rue Sherbrooke et l’avenue Mont-Royal, se transformera en une vaste zone piétonne, offrant un cadre exceptionnel pour une foule d’activités…
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societeaffaires · 6 years
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Depuis 2013, le festival d’art public Mural investit le boulevard Saint-Laurent, proposant expositions, installations et programmation musicale. Si, depuis sa création, plus de 80 œuvres appartiennent désormais au legs public permanent de Montréal, l’héritage de l'événement s’affirme aussi dans la régénération commerciale de l'artère.
L’agence de marketing créatif montréalaise, Lndmrk, spécialisée dans l’intégration artistique, la production événementielle et l’activation de marque, a été lancée en 2011 par le collectif derrière Mural, avec la mission de «démocratiser l’art». Le festival est donc né du désir de redonner ses lettres de noblesse au boulevard St-Laurent et à l’art urbain, en s’appropriant un espace alors délaissé. 
André Bathalon
ldnmrk et mural
«On constate une diminution de 50% du taux d’inoccupation commercial sur St-Laurent depuis le lancement du festival, en plus d’une hausse de la valeur foncière», indiquent Yan Cordeau et André Bathalon, cofondateurs de Lndmrk et du festival Mural avec leurs confrères Alexis Froissart et Nicolas Munn Rico. Ce sont 1,5 millions de dollars supplémentaires qui ont été comptabilisés en retour de taxes pour la municipalité, après les cinq premières éditions de l’événement.»
L'art, un instrument commercial puissant
Ils sont persuadés que l’initiative n’aurait jamais été possible sans Glenn Castanheira, responsable du soutien aux élus au développement économique et commercial de la Ville de Montréal, ayant occupé le poste de directeur général de la Société de développement commercial du boulevard Saint-Laurent (SDBSL) jusqu’en 2015. «95% du budget de l’année de lancement a été fourni par la SDBSL, et l’autre 5% par le Plateau Mont-Royal», explique Yan Cordeau.
Pour Glenn Castanheira, «la culture est le nouveau commerce d’ancrage. Elle a une identité suffisamment forte pour ne pas être dupliquée.» La connaissance du milieu politique du spécialiste en développement urbain aura permis de «lubrifier le projet» financièrement, mais convaincre les propriétaires des bâtiments et des stationnements de léguer leurs murs s’est avéré plus complexe. «On se butait à leur fermeture d’esprit parce qu’ils entretenaient une perception négative de cette forme d’art, qui se pratique pourtant depuis des décennies», précise André Bathalon.
L’offre de Mural s’inscrit bien dans les nouvelles tendances de commandites,  «les partenaires veulent faire partie du discours». 
Si les surfaces manquaient lors de la première édition, plusieurs propriétaires ont offert leurs bâtiments aux artistes, dès la seconde. Ils semblent avoir compris que l’art était un instrument commercial puissant. «L’art se partage bien sur les réseaux sociaux. Les festivaliers deviennent journalistes et ambassadeurs de Mural et du quartier, même en dehors des 11 jours du festival», dit André Bathalon. C’est entre autres, ce qui a assuré la visibilité de Mural dans les premières années, le budget marketing peinant à atteindre les 800 dollars.
Les cofondateurs ont cru «à tort que la deuxième année allait être plus facile en matière de financement». La commandite est alors devenue inévitable. De 300 000 dollars en 2013, le budget a franchi le cap des 2 millions$ pour l’édition 2018. «Il est nécessaire que le festival demeure gratuit, soulève Yan Cordeau. Mais la monétisation est tout aussi importante pour en assurer l’autonomie.». Le financement de Mural est aujourd’hui composé à part égale de commandites, de subventions et de revenus autosuffisants, notamment générés par les événements satellites payants.
«Ajouter de la valeur à l’offre artistique»
«Notre mission est aussi d’encourager les commerces du quartier. On intègre les activités ou expositions de certaines galeries en marge du festival, à même la programmation officielle», note Yan Cordeau. Ainsi, l’ensemble du festival s’arrime avec les entreprises du boulevard St-Laurent, dans l’écosystème de Lndmrk.
La programmation musicale par exemple, s’est articulée en collaboration avec l'agence de marketing événementiel, design et gestion d'artistes, Saintwoods, voisine du quartier général des festivités. La galerie Station 16 profite également de l’occasion pour célébrer son cinquième anniversaire, en plus d’abriter pendant plus de trois semaines, l’exposition de l’artiste espagnol Ricardo Cavolo, protégé de Lndmrk.
Yan Cordeau
lndmrk et mural
Selon André Bathalon, l’offre de Mural s’inscrit bien dans les nouvelles tendances de commandites. «Les partenaires veulent faire partie du discours, en plus d’un désir réel de supporter la communauté artistique. Les commanditaires nous approchent pour s’impliquer.» Les activations doivent cependant «ajouter de la valeur à l’offre artistique», explique Yan Cordeau.
Ainsi, le présentateur officiel, Fido, qui aide à faire vivre Mural digitalement à l’année, a pris en charge Le Studio, qui propose des entretiens en direct avec des artistes de différents milieux sur Facebook, notamment, en plus de la série web Unframed, dressant un aperçu de l’univers quotidien des artistes de rue. LuluLemon présente La forêt enchantée au Parc du Portugal, où l’artiste new yorkaise Kate Raudenbush y a réalisé la sculpture immersive Art Blast. Afin de promouvoir sa collection de chaussures avec Aldo, Pony a conçu une maison de poupée géante fidèle à l’univers de l’artiste. «Un bon exemple d’intégration organique d’une marque à un événement artistique», selon les cofondateurs. Publicité Sauvage, qui «communique le festival de manière guérilla depuis les tous débuts», fournissent une vingtaine de balises servant à la fois de signalétique et de canevas pour les artistes. Une installation conçue par le duo Cyrcle, habille également les deux étages du stationnement souterrain du siège social de Lune Rouge.  
«Constamment à la recherche de leviers de financement, comme tous les événements gratuits», la mission de Mural est tout de même demeurée malgré les années. «On le fait pour les artistes», lance Yan Cordeau.
Le festival signe sa sixième édition sous le signe de la stabilité. La récente division physique des bureaux de Lndmrk et de Mural, ainsi que l’embauche de Pierre-Alain Benoît comme directeur général, permettra aux cofondateurs de «stabiliser le modèle montréalais avant de plancher sur une expansion vers d’autres villes».
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