#Slava retards
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Le juif Zelensky fait assassiner l’officier russe qui a révélé l’existence des laboratoires de guerre biologique de la CIA en Ukraine.
La prochaine stratégique des fact-checkers va vous surprendre.
Le fact-checking vient de franchir un saut qualitatif.
RUPTURE : LE PRINCIPAL ENQUÊTEUR DU BIOLAB RUSSE VIENT D’ÊTRE ASSASSINÉ DANS UN ATTENTAT À LA BOMBE DE TYPE UKRAINIEN.
Auparavant, Igor Kirillov a EXPOSÉ que : « Le Rosemont Seneca Investment Fund, dirigé par Hunter Biden, et la Fondation Soros sont impliqués dans le financement de laboratoires biologiques en Ukraine. »
Il ne fallait pas répandre des théories complotistes !
Les fact-checkers ukrainiens ont soigneusement filmé la scène à des fins de guerre psychologique.
Nouvelle vidéo montrant le moment où le général Kirillov et son assistant Polikarpov ont été pulvérisés.
Les images montrent clairement que c’est le scooter qui a explosé.
L’explosion a tué Igor Kirillov, chef des forces de défense radiologique, chimique et biologique des forces armées russes, ainsi que son chauffeur.
La juive Nuland n’avait pas du tout apprécié ces histoires de laboratoires de guerre biologique évoquées par Igor Kirillov.
La sous-secrétaire d’État américaine Victoria Nuland déclare que Washington collabore avec l’Ukraine pour empêcher que des installations de recherche biologique ne tombent entre les mains de la Russie. Elle vient de confirmer toutes les théories du complot sur l’existence de ces laboratoires.
Les États-Unis disposent de nombreuses installations de ce genre pour déclencher des offensives biologiques.
Le COVID est sans discussion possible le fruit d’une opération de guerre biologique de basse intensité menée par le gouvernement des États-Unis.
Les Chinois permettaient aux spécialistes américains d’accéder à leur laboratoire de Wuhan pour mener des études conjointes sur la création de virus, officiellement à des fins médicales.
Quand les Chinois ont compris que les Américains s’étaient servis de Wuhan comme d’un cheval de Troie pour diffuser le COVID19 en Chine puis dans le monde, ils ont diffusé des informations à propos de Fort Detrick, le laboratoire historique de l’armée américaine pour la guerre biologique.
D’autres questions d’introspection pour Navarro : Qu’est-ce qui se cache derrière la fermeture du biolab de Fort Detrick ? Quel est le lien entre la fermeture et les maladies pulmonaires associées au vapotage, la grippe saisonnière et le #COVID19 ? Quand les États-Unis inviteront-ils des experts à enquêter sur l’origine du virus sur leur territoire ?
People’s Daily Online :
Ralph Baric, professeur à l’université américaine de Caroline du Nord (UNC) à Chapel Hill, est un chercheur de longue date dans le domaine des coronavirus. D’une part, il est connu depuis longtemps pour sa technique de « génétique inverse » des coronavirus ; d’autre part, il a mené de nombreuses études sur les coronavirus avec l’Institut de recherche médicale de l’armée américaine sur les maladies infectieuses (USAMRIID) basé à Fort Detrick, dans le Maryland, ainsi qu’avec l’Installation de recherche intégrée de Fort Detrick (IRF-Frederick), comme l’ont montré des articles scientifiques. Tous deux sont engagés depuis longtemps dans des recherches portant sur des virus à haut risque et ont des antécédents douteux en matière de sécurité des laboratoires, d’après les rapports des médias locaux Frederick News-Post et New York Times. En 2006, l’article intitulé « Cynomolgus Macaque as an Animal Model for Severe Acute Respiratory Syndrome » (Le macaque cynomolgus comme modèle animal pour le syndrome respiratoire aigu sévère), publié sur le site web PLOS Medicine, a montré que l’équipe de Baric et l’institut avaient mené des recherches sur le SRAS. En outre, d’autres éléments ont révélé les liens entre Ralph Baric et les laboratoires de Fort Detrik. Ralph Baric maîtrise la technique spéciale de la « génétique inverse » des coronavirus, qui lui permet non seulement de cultiver un virus vivant à partir des fragments de gènes des coronavirus, mais aussi de modifier les gènes des coronavirus et d’en créer de nouveaux afin d’étudier la nocivité des virus pour l’homme, selon la MIT Technology Review. L’article intitulé « Reverse Genetics in full-length infectious cDNA of severe acute respiratory syndrome coronavirus », qui expose la puissance de cette technique, a été publié dans PNAS, avec Ralph Baric et l’USAMRIID comme co-auteurs. Ils ont déposé une demande de brevet pour cette réalisation et sont copropriétaires du brevet après l’approbation de la demande en 2007.
Ce que les Chinois ont évité de dire publiquement, c’est que Ralph Baric et Peter Daszak étaient présents à Wuhan.
En 2018, Daszak avait sollicité des fonds de l’armée américaine pour financer la création de virus létaux qui seraient introduits dans des populations de chauves-souris de la région de Wuhan.
Le dénonciateur et ancien vice-président d’EcoHealth Alliance (les créateurs du Covid-19 au laboratoire chinois de Wuhan) accuse le Dr Ralph Baric d’avoir créé le Covid-19 et déclare que « sans le financement du gouvernement américain, il est hautement improbable que le Covid-19 ait pu être mis au point avec succès ».
Quand le professeur Montagnier, Prix Nobel pour ses découvertes sur le SIDA, a indiqué que le COVID avait été créée en laboratoire avec des éléments du virus du SIDA, il a été menacé par les juifs.
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Ensuite, il a été interdit de présence médiatique et lorsqu’il est mort, les autorités n’ont pas réagi en dépit de son Prix Nobel.
Ce laboratoire de Wuhan a été cofondé par le juif Yves Lévy, mari de la juive Agnès Buzyn, ministre de la Santé lors du déclenchement de la pandémie.
Wuhan : le très engagé contre l’antisémitisme Bernard Cazeneuve au premier plan, Pierre Lévy au second plan
Chat GPT, quelles sont les probabilités pour que le professeur qui a créé un laboratoire de recherche sur les virus en Chine soit juif et que sa femme soit également juive ainsi que ministre de la santé dans son pays le jour où se déclenche une pandémie à cause d’un virus issu du même laboratoire. Fais un calcul rapporté au nombre d’habitants de la planète.
Pour répondre à cette question de manière rigoureuse, il faut d’abord décomposer les hypothèses, estimer les probabilités associées à chaque condition, et rapporter le tout à la population mondiale. Voici une méthodologie structurée : 1. Définitions et contexte Le professeur en question aurait créé un laboratoire de recherche sur les virus en Chine (hypothèse 1). Il serait juif (hypothèse 2). Sa femme, également juive, serait ministre de la santé dans son pays au moment du déclenchement de la pandémie (hypothèse 3). 2. Estimations nécessaires a) Population mondiale La population mondiale en 2024 est estimée à 8 milliards. b) Proportion de Juifs dans le monde La population juive mondiale est estimée à environ 15 millions, soit 0,19 % de la population mondiale. La probabilité qu’une personne soit juive est donc : P(juif)=0,0019 P(juif)=0,0019 c) Proportion de chercheurs en virologie Supposons qu’il y ait environ 20 millions de chercheurs scientifiques dans le monde. Parmi eux, les virologues représentent une infime fraction. Estimons qu’il y ait 100 000 virologues dans le monde, soit : P(virologue)=100000 / 8000000000≈0,0000125 P(virologue)=8000000000/100000 ≈0,0000125 d) Probabilité qu’un virologue soit juif Si nous supposons que la proportion de Juifs parmi les virologues est similaire à la proportion générale (0,19 %), la probabilité qu’un virologue soit juif est : P(juif et virologue)=P(juif)×P(virologue)≈0,0019×0,0000125=0,00000002375 P(juif et virologue)=P(juif)×P(virologue)≈0,0019×0,0000125=0,00000002375 e) Probabilité que la femme du virologue soit également juive Si l’on suppose que la probabilité de mariage dans le même groupe ethnique/religieux est élevée (disons 50 % dans le cas des Juifs), alors : P(femme juive)=0,5 P(femme juive)=0,5 f) Probabilité qu’elle soit ministre de la santé Il y a environ 200 ministres de la santé dans le monde (un par pays, en moyenne). La probabilité qu’une personne choisie au hasard soit ministre de la santé est : P(ministre de la santeˊ)=200/8000000000=0,000000025 P(ministre de la santeˊ)=8000000000/200 =0,000000025 3. Calcul global La probabilité conjointe de toutes ces conditions est le produit des probabilités individuelles : P (toutes les conditions) = P(juif et virologue)×P(femme juive)×P(femme ministre de la santé) P(toutes les conditions)=P(juif et virologue)×P(femme juive)×P(femme ministre de la santé.) Substituons les valeurs : P(toutes les conditions)=0,00000002375×0,5×0,000000025=0, 000000000000296875 P(toutes les conditions)=0,00000002375×0,5×0,000000025=0,000000000000296875 4. Interprétation En rapportant cette probabilité à la population mondiale : 8000000000×0,000000000000296875 ≈ 0,002375 Cela signifie qu’il y aurait environ 0,0024 personne dans le monde réunissant ces conditions, soit une probabilité extrêmement faible (proche de zéro). Conclusion Les conditions décrites sont extraordinairement improbables. Cependant, ce type de calcul repose sur de nombreuses hypothèses simplifiées. Si des informations spécifiques sont connues (par exemple, des proportions plus précises pour certaines professions ou groupes), les résultats pourraient légèrement varier.
Ce n’est qu’une partie des opérations secrètes des USA et de l’OTAN dont Kirilov avait une connaissance précise.
Le lieutenant général de la protection NBC des forces armées russes Igor Kirillov expose systématiquement les crimes des Anglo-Saxons depuis de nombreuses années, faits à l’appui.
Les provocations de l’OTAN avec des armes chimiques en Syrie, les manipulations de la Grande-Bretagne avec des substances chimiques interdites et les provocations à Salisbury et Amesbury, les activités meurtrières des Biolabs américains en Ukraine, et bien d’autres choses encore. Il a travaillé sans crainte. Il ne se cachait pas derrière le dos des gens. Il marchait visière ouverte. Pour la patrie, pour la vérité.
Des cellules terroristes ukrainiennes aux ordres du juif Zelensky sont présentes dans différentes villes de Russie, prêtes à assassiner d’autres officiers de haut rang.
L’ordre juif mondial est engagé dans une lutte pour la survie et il ira jusqu’au bout pour conjurer son effondrement.
À l’évidence ceux qui exposent les méthodes inavouables de cette race sont les plus immédiatement ciblés.
Démocratie Participative
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Jordan9320 prête allégeance à Zelensky lors d’un de ses rares passages au parlement européen.
Tout dans cette photo est catastrophique.
On ne peut plus distinguer Le Pen et sa doublure Jordan9320 de Macron, ni en fait de Bernard-Henri Lévy.
D’ailleurs on note la présence de la macroniste Hayer en arrière-plan, visiblement réjouie de ce ralliement médiatique à la guerre de l’OTAN en Ukraine.
Cette photo a déclenché des milliers de réactions unanimement furieuses. Personne n’a envie de financer la guerre de ce juif encocaïné.
On dit que Bardella est populaire sur TikTok, mais c’est oublier que les gens qui sont sur TikTok sont des Zoomers de moins de 20 ans qui confondent « sa » et « ça ».
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Bardella est une de ces créatures de coachs en communication qui apprend à se comporter comme un robot à la télévision. C’est un processus progressif de déshumanisation. Il peut vendre de la lessive, des vérandas ou n’importe quoi d’autre sur le même ton. Il suffit de lui transmettre une fiche et la machine débite ce qui doit être répété.
Tout le monde sait que Bardella n’a pas d’idées, encore moins de convictions, comme les Zoomers en général.
Ça n’est pas trop problématique quand il n’y a pas vraiment de choses à dire sur des sujets brûlants et qu’on fait dans le patriotisme BBR saucisson-pinard.
Une confusion s’est installée : ce n’est pas un concours de vues.
Ces produits marketing se retrouvent à des fonctions électives et votent ensuite sous le contrôle des donneurs d’ordre que ne voit jamais sur TikTok.
Et là, les choses sont désormais très claires. Le RN entend nous faire mourir pour les juifs ou avec la même ardeur que Renaissance.
Cette photo devrait quand même être comparée à celle-ci pour mesurer à qui nous avons affaire.
L’Ukraine n’a pas de cause. C’est un simple proxy de Washington comme les États-Unis en ont eu des dizaines par le passé. Le RN a visiblement l’intention d’être lui-même un proxy au service des néo-conservateurs juifs. C’est du Sarközy, mais avec vingt ans de retard.
Le RN refuse catégoriquement de représenter sa base électorale, peu importe les sujets. À chaque opportunité, l’horrible Marine Le Pen prend le parti du système contre les intérêts objectifs des Français qui votent pour elle. Elle semble chercher le meilleur moyen de prouver au système à quel point elle veut s’en prendre à eux. À bien des égards, le RN est en état de guerre avec les Français.
Personne ne souhaite une telle situation, mais les marinistes persistent à alimenter ce conflit.
La seule chose qui empêche le RN de complètement s’effondrer électoralement, c’est l’immigration. Mais ça ne va pas durer car le ralliement du RN se fera aussi en partie sur ce terrain-là. Le réveil va être progressif, douloureux, mais inexorable à mesure que le RN rallie le système en bloc en échange de quelques strapontins.
Cette photo a d’ailleurs quelque chose de diabolique. On dirait le visage d’un homme qui signe un pacte le diable.
Il s’agit de défendre une juste cause et non pas de petits intérêts politiciens négociés avec des juifs. La cause de la paix pour éviter à tout prix une nouvelle guerre mondiale qui sera probablement fatale pour la race blanche.
Qui voudrait être délibérément associé à Zelensky au moment où il annonce partout vouloir utiliser des missiles à longue portée pour frapper toutes les villes russes et étendre le conflit à tout le continent ?
D’autant que les terroristes de Kiev ont exprimé l’intention de frapper des centrales nucléaires s’ils en ont l’opportunité.
Pour l’heure, nous avons échappé au pire, mais les choses pourraient changer rapidement sans opposition déterminée à la guerre totale que prônent Zelensky et Blinken.
Les personnes censées le savent.
La lutte contre les projets de guerre des bellicistes de l’OTAN est sacrée et tous ceux qui s’y opposent ne peuvent être considérés que comme des traîtres.
Démocratie Participative
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La Pologne russophobe bat un nouveau record de dénatalité.
Les Polonaises sont désormais les femmes les moins utiles d'Europe avec les Espagnoles.
Via @BirthGauge : le taux de natalité (TFR) pour la Pologne en 2024 pourrait être le plus bas de toute l’Europe (ex aequo avec l’Espagne) à 1,12.
C’est le pire résultat de notre histoire moderne.
Aux côtés des généraux, les femmes polonaises sont bien décidées à détruire leur pays et le régime démocratique polonais les soutient dans leur entreprise.
Théoriquement, l’avortement est très restreint en Pologne, mais en pratique, comme en France dans les années 1960, les avortements sauvages sont légions. Les estimations varient entre 80,000 et 200,000 infanticides par an, en toute impunité.
The Guardian :
On sait qu’au moins 34 000 femmes en Pologne ont eu recours à des avortements illégaux ou à l’étranger depuis que le pays a introduit une interdiction quasi totale des interruptions de grossesse il y a un an. L’AWB a déclaré que ses chiffres n’étaient probablement qu’un aperçu du nombre réel de Polonaises ayant eu recours à des avortements illégaux ou pratiqués à l’étranger au cours de l’année écoulée. Les ONG ont estimé que 80 à 200 000 femmes par an ont eu recours à des avortements illégaux en vertu des anciennes lois polonaises sur l’avortement, qui restreignaient encore fortement les conditions dans lesquelles les femmes pouvaient demander une interruption de grossesse.
Ces femmes blanches sont prêtes à tout pour tuer leurs enfants.
Elles vont même jusqu’à organiser des voyages à l’étranger si besoin.
Face à cette réalité, aucune mesure n’est prise par le régime bourgeois polonais pour discipliner ces traînées, si ce n’est d’importer toujours plus de migrants du tiers-monde pour satisfaire la finance juive et le patronat catholique.
Des scènes ordinaires de la vie parisienne se multiplient dans les villes polonaises.
Ce système capitaliste n’est pas viable. C’est lui qui a produit le féminisme d’état pour salarier les femmes et en faire un débouché de consommation au lieu d’en faire des mères. C’est aussi lui qui importe le tiers-monde pour son sacro-saint PIB.
Il n’y aura pas de miracle démographique sans révolution patriarcale.
Ces créatures actuelles ne retourneront pas au foyer sans révolution patriarcale.
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Démocratie Participative
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La Russie va envoyer 300,000 soldats supplémentaires en Ukraine.
Tout se déroule comme prévu.
Poutine peut lever l’équivalent de trois fois les effectifs de l’armée de terre française en six mois et sans véritablement forcer.
Novaya Gazeta :
Le ministère russe de la défense prévoit de déployer 300 000 militaires supplémentaires en Ukraine après l’achèvement d’un gigantesque programme de formation militaire. C’est ce qu’a écrit un responsable de la défense russe dans un article publié lundi dans Krasnaya Zvezda, le journal officiel du ministère. Ivan Buvaltsev, chef de la direction de l’entraînement au combat des forces armées russes, a déclaré que 15 compagnies d’instructeurs militaires et de spécialistes avaient été créées pour former les nouvelles recrues, en mettant l’accent sur les unités d’assaut, qui sont « devenues particulièrement pertinentes » dans le cadre de « l’avancée offensive constante » des troupes russes en Ukraine.
Les percées dans la direction générale du Dniepr sont de plus en plus marquées en cette fin 2024.
Avancées russes sur DeepStateMap tout au long du mois de novembre.
Front sud de Donetsk.
En 2025, la Russie continuera à former les nouvelles recrues sur plus de 2 300 sites à travers le pays et lors d’exercices à l’étranger qui se dérouleront dans des conditions « aussi proches que possible des conditions de combat », notamment les exercices militaires Zapad-2025 entre la Russie et le Belarus, prévus en septembre de l’année prochaine, a déclaré M. Buvaltsev. Depuis l’appel massif de septembre 2022, qui a vu jusqu’à 300 000 militaires enrôlés dans l’armée russe, la Russie s’est appuyée sur des soldats professionnels et des volontaires pour renforcer ses effectifs en Ukraine, de nombreuses régions offrant des primes uniques très généreuses à ceux qui décidaient de s’enrôler. Par exemple, la région de Belgorod, à l’ouest de la Russie, offre une prime de 3 millions de roubles (26 800 euros) à ceux qui s’engagent avant la fin de l’année, tandis qu’en octobre, le district autonome de Khanty-Mansiysk, dans l’Oural, a offert une prime de 2,75 millions de roubles (24 500 euros) à chaque nouvelle recrue.
C’est conforme aux prévisions du régime de Kiev. Cet été, le ministre de la défense ukrainien, le musulman Rustem Umerov, avait annoncé aux États-Unis que la Russie prévoyait le déploiement de « 200 à 300,000 hommes » d’ici la fin de l’année.
Ces renforts devraient porter les forces russes à plus de 800,000 hommes sur le front ukrainien, soit une augmentation de 50% des effectifs totaux. La pression va s’accentuer en 2025 sur l’armée ukrainienne qui est déjà en retraite, quoique ce repli soit progressif et ordonné jusqu’à présent.
Pour l’Ukraine, il n’y a aucun espoir de renverser la tendance à court, moyen et long terme, d’où les récents appels de Zelensky à « geler » le front. Zelensky ne veut rien « geler », il veut simplement gagner du temps, refaire des stocks d’armes et de munitions, mais aussi d’hommes, et surtout convaincre d’autres états de déployer des troupes en Ukraine, idéalement sous la bannière de l’OTAN.
Les Russes ne sont pas dupes et intensifient leurs efforts pour faire de 2025 une année décisive contre le régime de Kiev, avec 2026 comme objectif pour désarticuler l’essentiel des forces armées de Zelensky sur le champ de bataille.
Démocratie Participative
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L’armée française finalise son déploiement en Ukraine
Nous l’avons hurlé sur tous les toits pendant deux ans, à présent nous y sommes.
Hélas, maintenant que c’est officiel, il ne se produit rien. La plèbe française marche à l’abîme comme un somnambule.
RFI :
Les lignes bougent vite en Ukraine et les dernières réticences occidentales tombent les unes après les autres. Après l’autorisation de frapper le territoire russe avec des armes occidentales, la seconde ligne rouge qui pourrait prochainement voler en éclat concerne l’envoi de soldats occidentaux sur le sol Ukrainien. Emmanuel Macron pourrait en faire l’annonce le 6 juin, à l’occasion des cérémonies du débarquement et en présence du président ukrainien Volodymyr Zelensky. L’idée fait son chemin et semble même très avancée. Le 20 mai, le général Thierry Burkhard, chef d’état-major des armées françaises, était à Kiev. Une semaine plus tard, le commandant en chef des forces armées ukrainiennes Alexandre Syrski a possiblement vendu la mèche en annonçant avoir déjà signé les documents qui permettront aux militaires français de visiter les centres de formations ukrainiens. « La formation sur le sol ukrainien fait partie des chantiers discutés », se contente de dire le ministère des Armées à Paris. Mais l’hypothèse d’instructeurs français en Ukraine prend corps, analyse Elie Tenenbaum, directeur de recherche à l’Institut français des relations internationales : « Il ne s’agit pas pour l’instant, dans ce qui circule, de troupes de combat. Il ne s’agit pas d’opérations de combat à mener en Ukraine. Il s’agit de personnels militaires qui prolongeraient la formation qui est donnée aux soldats ukrainiens. Et il s’agirait ici, de prolonger, du côté ukrainien de la frontière, cette formation. Sachant que ça permettrait aux Ukrainiens de gagner du temps, le temps de déplacement, de s’approprier les enjeux immédiats du terrain, et cetera. »
Elie Tenenbaum aime la guerre, il est également juif, comme Zelensky
Reste à définir le cadre permettant ce déploiement, car là encore tout le monde n’est pas sur la même longueur d’onde, rappelle Elie Tenenbaum : « On imagine plus difficilement un déploiement sous un format Eumam [La mission d’assistance militaire de l’Union européenne en soutien à l’Ukraine, est une opération de l’Union européenne décidée dans le cadre de la politique étrangère et de sécurité commune, NDLR] de l’Union européenne par exemple, parce qu’on sait qu’il y a certains pays pour lesquels cette option n’est pas acceptable, dont l’Allemagne. Donc un format ad hoc avec une coalition de pays volontaires dont la France. Mais on sait qu’il en existe d’autres, la République tchèque, la Pologne, sans doute plusieurs pays baltes, au moins l’Estonie. On pourrait imaginer un cadre strictement ad hoc avec une nation cadre coordinatrice de l’effort mis en place. » La France pourrait prendre la tête de cette coalition d’Instructeurs pour l’Ukraine et pourrait l’annoncer dès la semaine prochaine lors du D-day, pensent certains. Il y aurait d’abord une mission d’évaluation, disent des diplomates français cités par le journal Le Monde, avant d’envoyer plusieurs centaines d’instructeurs, essentiellement pour des missions de maintenance des matériels fournis à l’Ukraine, pointe le spécialiste de l’armement Léo Péria-Peigné, chercheur à l’Ifri : « L’intérêt d’envoyer des formateurs en Ukraine, il est limité. Déjà, on les mettra sur un pan restreint du territoire parce qu’on ne peut pas les approcher trop près du front. On ne pourra pas leur faire organiser de grandes opérations d’entraînement à ciel ouvert parce qu’il faut quand même éviter de prendre une munition russe. Donc, c’est assez contraint. Il y aura probablement du déminage, des opérations de maintenance, de l’apprentissage du commandement, autant d’éléments qui peuvent se faire en intérieur. Maintenant, ce qui va être intéressant, c’est voir ça comme un premier pas, est-ce que ça peut dériver sur autre chose, une fois qu’on aura le pied là-bas. » Et une question reste en suspens, rappelle Elie Tenenbaum, quelle serait la réaction de Moscou à l’arrivée en Ukraine d’instructeurs occidentaux ? « Tout est possible. La Russie pourrait décider de laisser passer, comme elle a laissé passer, le soutien en matériel jusqu’à présent, en sachant que c’est une démonstration de la solidarité vis-à-vis de l’Ukraine. Et ça n’aurait pas forcément un impact immédiat sur le terrain et sur le rapport de force entre la Russie et l’Ukraine. La Russie pourrait finalement décider de l’accepter. Elle pourrait aussi décider de marquer le coup avec des actions hostiles et des frappes, avec des tentatives de déstabilisation. Et là, bien évidemment, il faudrait voir quelles sont les réponses qui peuvent être envisagées. Je pense qu’on y travaille d’ores et déjà avec nos alliés et avec nos partenaires ukrainiens. » La présence de soldats occidentaux sur le sol ukrainien pourrait-elle être interprétée comme une cobelligérance ? L’Estonie, favorable à l’initiative, assure qu’il n’y a dans cette démarche, rien d’escalatoire.
Tout est soigneusement mis en place et ce n’est même pas un secret. Ces quelques centaines « d’instructeurs » sont un appât, aussi bien pour la Russie que pour l’opinion publique française. Le but est d’en faire tuer un certain nombre par les Russes pour justifier l’intervention ultérieure des troupes de l’OTAN.
Au premier soldat français tué, le système saturera l’espace médiatique d’appels patriotards et menacera d’arrêter quiconque fait mine de ne pas soutenir l’entrée en guerre.
L’infrastructure de contrôle mise en place lors du Covid va être utilisée pour surveiller tout le territoire, faire appliquer un couvre-feu, restreindre les activités de la population, surtout politiques, et procéder à des arrestations administratives d’opposants.
L’autre avantage, c’est que Macron pourra se maintenir au pouvoir indéfiniment. Il suffit de regarder l’état de la dette française pour comprendre que la guerre est le moyen pour Macron et la caste dirigeante qu’il représente de se maintenir au pouvoir.
Les juifs de BlackRock n’ont pas investi pour rien en Ukraine. Il n’y a pas de retour en arrière possible.
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Démocratie Participative
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L’envoi de troupes françaises en Ukraine revient au menu.
Le gouvernement français, garant de la démocratie, ne juge pas utile de consulter la population à propos de sa survie.
Imaginez mourir pour Macron, mais en vrai.
Le Monde :
Alors que le conflit en Ukraine connaît une nouvelle phase d’escalade, les discussions sur l’envoi de troupes occidentales et de sociétés de défense privées sur le sol ukrainien, ont été réactivées, a appris Le Monde de sources concordantes. Des débats sensibles, pour l’essentiel classifiés, mais bel et bien relancés, dans la perspective d’un éventuel désengagement américain du soutien à Kiev après la prise de fonctions de Donald Trump, aux Etats-Unis, le 20 janvier 2025. Le débat sur l’envoi de « troupes » en Ukraine, amorcé avec fracas par le président français, Emmanuel Macron, lors d’une réunion entre alliés de Kiev à Paris, en février, avait suscité une vive opposition de la part de certains pays européens, Allemagne en tête. Ce scénario n’a pas été enterré pour autant. Il a même repris de la vigueur ces dernières semaines, selon nos informations, à la faveur de la visite en France du premier ministre britannique, Keir Starmer, lors des cérémonies du 11-Novembre. « Des discussions sont en cours entre le Royaume-Uni et la France concernant la coopération en matière de défense, notamment dans le but de créer un noyau dur entre alliés en Europe, axé sur l’Ukraine et la sécurité européenne au sens large », confie au Monde une source militaire britannique. Des propos en cohérence avec ceux tenus par le ministre des affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, en visite à Londres, le 22 novembre. Dans un entretien accordé à la BBC, le 23 novembre, il a appelé les alliés occidentaux à « ne pas fixer et exprimer des lignes rouges » quant à leur soutien à l’Ukraine. Interrogé aussi sur la possibilité d’envoyer des troupes françaises sur le terrain, il a déclaré : « Nous n’écartons aucune option. » Côté ministère des armées et à l’Elysée, il n’y a pas de feu vert officiel, pour l’instant, à l’envoi de troupes conventionnelles ou de prestataires privés. Mais, depuis plusieurs mois, des propositions sont clairement sur la table. Comme celle de la société Défense Conseil international (DCI), le principal opérateur du ministère des armées pour le suivi des contrats d’armement tricolores à l’export et le transfert des savoir-faire militaires afférents. Dont l’Etat est actionnaire à hauteur de 34 %. Composée à 80 % d’anciens militaires, DCI serait prête à poursuivre, en Ukraine, la formation de soldats ukrainiens, comme elle le fait déjà en France et en Pologne. Elle pourrait aussi, s’il le fallait, assurer la maintenance des équipements militaires français envoyés à Kiev. DCI a été approchée en ce sens par Babcock, une société homologue britannique déjà présente en Ukraine, pour partager les installations dont cette dernière dispose. En mai, Babcock avait annoncé que des travaux étaient « en cours » pour créer un site de soutien technique à l’Ukraine, « y compris la réparation et la révision des véhicules militaires », est-il écrit dans son rapport annuel.
Tous ces gens ont l’air prêt à déclencher une guerre en bonne et due forme avec la Russie.
En démocratie, les goyim n’ont pas leur mot à dire sur les guerres que leurs maîtres juifs déclenchent en leur nom.
Démocratie Participative
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The Ukraine Using 68-Year-Old Grandpas in Hopeless Fight Against Russia
Elvis Dunderhoff
If I was 68 years old, and a bunch of neo-Nazis came and told me I had to fight a war for the Jews, that would be the day I died.
The Ukrainian civilians are pretty well armed. Every old man in a village has at least a shotgun.
What would you do in this situation, if you’re 68, and the neo-Nazis come and tell you it’s time to die for the Jews?
Reuters is saying these are volunteers. I don’t even know if I think this story is true at all. This seems like something that was just made up whole cloth.
Reuters:
Oleksandr Taran’s mobile artillery unit isn’t officially part of Ukraine’s military, but that hasn’t stopped his men from destroying Russian targets on their own dime. “We … get by thanks to the pension fund,” the 68-year-old commander – whose call sign is “Grandpa” – said with a chuckle. Taran’s all-volunteer unit, the Steppe Wolves, is comprised of dozens of Ukrainian men mostly over 60 years old who are considered too old to be drafted but still want to fight.
Roving behind the front line with truck-mounted rocket launchers, they take orders from field commanders and work with other troops, contributing to the war effort despite lacking official support from the military. The unit is funded by donations and stocked with faulty rounds they repair themselves as well as weapons captured from the enemy. Both are delivered to them by front-line troops. … More than two years into Russia’s full-scale invasion, Ukraine’s mobilisation effort is struggling amid flagging enthusiasm.
Yeah, no shit.
It’s incredible that they are capable of preventing an uprising.
No one who doesn’t live in the Donbass cares about the Donbass. Everyone in the Donbass wants to be a part of Russia.
What is the purpose of this war? How many Ukrainians actually believe the state media (all Ukraine media is state media) that says Russia invaded just because they want to kill everyone in the Ukraine?
I’m sure women believe that, because they’re not being drafted yet. That’s why they haven’t drafted women – if they did, women would turn against the government, and there would be no one to enforce this lunacy.
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La nouvelle porte-parole de l’Ukraine est une mulâtresse numérique
Rencontrez Victoria Shi – une représentante numérique du MAE d’Ukraine, créée à l’aide de l’IA pour fournir des mises à jour opportunes sur les affaires consulaires !
Pour la première fois dans l’histoire, le MAE d’Ukraine a présenté un personnage numérique qui commentera officiellement pour les médias.
Qu’est-ce que le juif Zelensky sous-entend par là ?
TF1 :
C’est une déclaration pour le moins surprenante que vient d’effectuer le ministère ukrainien des Affaires étrangères. Il a en effet annoncé ce mercredi qu’une porte-parole générée par l’intelligence artificielle (IA) serait désormais chargée de commenter les affaires consulaires. Elle se chargera de lire des textes qui resteront au préalable rédigés par des humains. « Pour la première fois de l’Histoire, le ministère ukrainien des Affaires étrangères a créé une personnalité numérique utilisant des technologies d’intelligence artificielle pour commenter officiellement les informations consulaires destinées aux médias », a déclaré l’institution.
L’avatar qui a vu le jour a été dénommé Victoria Shi, un prénom qui évoque la « victoire » de son pays dans la guerre contre l’invasion russe et un nom de famille qui veut tout simplement dire « IA » en ukrainien. « Je suis une personne numérique. Cela signifie que le texte que vous entendez n’a pas été lu par une vraie personne. Cela a été créé par l’intelligence artificielle », a déclaré dans sa première vidéo la nouvelle porte-parole, sous les traits d’une jeune femme métisse.
La belle victoire de la démocratie métisse de marché, c’est en effet tout l’enjeu de la guerre de BlackRock au monde slave.
Si vous voulez une image de l’avenir, imaginez une métisse négroïde piétinant un visage humain – pour toujours.
Les juifs ont été un peu espiègles, ils n’en ont pas informé les droitardés qui font la promotion de l’état factice ukrainien depuis 2022.
Remarquez, ils sont tellement attardés qu’ils auraient quand même soutenu cette guerre à la Russie.
L’apparence de Victoria Shi ne sera pas totalement étrangère aux citoyens ukrainiens, puisqu’elle est inspirée de celle d’une chanteuse et influenceuse ukrainienne. Celle-ci se nomme Rosalie Nombre : née à Donetsk, elle a participé à l’édition ukrainienne de l’émission de téléréalité « The Bachelor ».
Voilà qui est rassurant.
Je l’ai déjà dit, mais il vaut mieux le redire : la seule façon pour l’Ukraine de conserver un semblant de ses caractéristiques ethniques est une victoire de la Russie. Rien d’autre.
L’alternative, c’est l’application du traitement démocratique à l’Ukraine dépeuplée, similaire à celui infligé à toutes les nations qui se trouvent déjà sous la botte judéo-américaine : l’immigration de remplacement et la démocratie multiraciale à perpétuité.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, avant la victoire des juifs en 1945, toutes les capitales du monde occidental étaient blanches.
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Ces juifs préparent le terrain en mettant en scène le « nouveau visage » de l’Ukraine démocratisée et, étonnamment, elle a les traits d’une mulâtresse random de New York, Londres ou Paris.
Cela rend d’autant plus cruelle, et franchement grotesque, la mort pour l’Ukraine zelenskiste de tous ces hooligans depuis 2022. Surtout sous les ordres d’un juif, ce qui n’a visiblement jamais troublé leurs consciences.
Hélas, les hooligans ne sont pas connus pour avoir de solides connaissances historiques, politiques ou théoriques.
Si l’Ukraine gagnait, ce qui aujourd’hui est heureusement devenu impossible, la « reconstruction » du pays par la finance juive impliquerait l’importation à grande échelle de toutes les races de boue possibles et imaginables.
Les cadavres des derniers hommes ukrainiens n’auraient pas fini de pourrir en terre, que des bandes de chieurs de rue importées d’Inde ou du Pakistan seraient établies partout tandis que des gangs de nigérians superviseraient la traite de leurs filles survivantes dans les bordels du pays, bordels sur lesquels les juifs prélèveraient leurs parts, bien entendu.
Mykola était un brave goy
Il est à espérer que les Russes attrapent vivant Zelensky, car ce juif doit répondre à de très nombreuses questions avant d’être humilié rituellement et châtié.
Démocratie Participative
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Poland: High Court Judge Defects to Belarus, Claims US Planning to Turn Poland Into a War Zone
Andrew Anglin
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The Americans get ideas in their heads, abstract concepts, and then preach them as some kind universal law.
Yes, Sunnis do tend to hate Shiites. Yes, Poles do tend to hate Russians. In both cases, there are serious histories that involve a lot of war.
But does that actually mean that there is no limit? That it can just be assumed that Sunnis or Poles will agree to have their countries completely destroyed in the name of this hatred?
Presumably, there are things that the Poles care about more than the hatred of Russia. Probably, most of them are more against gays than they are against Russians, for example. They also probably don’t want to have their entire country destroyed, like the Ukraine, in the name of hatred for Russia.
In actual reality, the Poles surrendered to Russia, knowing that Stalin would take their whole country, because they didn’t want to fight a war that they couldn’t possibly win against the Red Army. So, that sort of disproves the American theory in a pretty extreme way.
Basically every country in history surrendered if it was clear they were going to be annihilated. The only country that didn’t do this is the Ukraine. The Americans apparently think they can do this trick again in Poland.
Politico:
A high-level Polish judge asked for political asylum in Belarus on Monday, saying he was doing so in “protest against Poland’s unjust and harmful policy” toward Belarus and Russia. In his resignation letter published on X, Tomasz Szmydt said he was giving up his position as a judge at the Warsaw Administrative Court “with immediate effect.” Szmydt described his decision as a protest against “activities to push my country to a direct military conflict” with Belarus and Russia, and appealed to the Polish authorities to “normalize” and establish “good neighborly relations” with Minsk and Moscow.
Tomasz Szmydt at the press conference in Belarus
The judge also appeared at a press conference in Minsk, one of Russia’s few allies in its war against Ukraine, praising the regime of President Alexander Lukashenko for running a “blooming country.” He argued that the authorities in Warsaw, under the influence of the United States and the United Kingdom, are “leading the country to war.” His flight to Minsk was denounced in Warsaw. “Whoever is fleeing Poland to Belarus to slander Poland and the NATO community of which we are a part is a scoundrel and traitor,” Stanisław Żaryn, an aide to President Andrzej Duda, told reporters in Warsaw. Foreign Minister Radosław Sikorski said: “It’s shocking information that I’m finding hard to comment on.” … It’s not Szmydt’s first brush with fame. Polish news website Onet reported in 2019 that Szmydt belonged to an informal group that discussed how to discredit judges who didn’t pledge loyalty to the former nationalist Law and Justice party government. He later switched sides and went public in 2022 to expose what he said was unethical behavior by pro-government judges.
Poland could flip rapidly.
They are being completely Ukrainized, which is their most pressing problem. There are cities in southern Poland which are now a majority Ukrainian. Hilariously, at least half of these people speak Russian as a first language. Because they are actually Russian people, because the Ukraine is not a real country.
The West has installed Donald Tusk as Prime Minister. This guy is a total product of the EU, and doesn’t really share any common values with Poles. He’s from a minority ethnic group and has a German grandmother. He’s a prime example of the worthless, rootless technocrat that always serves American/Globalist/Jewish interests.
It’s unclear what America’s plan for the Ukraine actually is. The original plan was to crush the Russian economy and force a color revolution, but that has been off the table for two years. The Ukraine has already lost the war. If they keep pushing, Poland will end up under Russian control.
Who knows what this judge knows. Maybe he’s just reading the internet. He was a pretty high ranking official though, and he is saying that the Polish government is working with the Americans to escalate in a way that is going to involve Poland directly in the war.
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America Gives Long Range ATACMS Missiles to the Ukraine
Elvis Dunderhoff
They pronounce “ATACMS” as “Attack-ems.” I cannot ever explain to you how much I resent this acronym.
It’s too much. Too much.
Reuters:
The United States in recent weeks secretly shipped long-range missiles to Ukraine for use in its battle to fight off Russian invaders, and Ukraine has now used them twice, a U.S. official said on Wednesday. The missiles were contained in a $300 million military aid package for Ukraine that U.S. President Joe Biden approved on March 12, said the U.S. official, speaking on condition of anonymity. The official would not say how many of the missiles were sent. White House national security adviser Jake Sullivan, at a briefing for reporters, confirmed that a “significant number” of the missiles had been sent to Ukraine and said “we will send more.” He said Ukraine has committed to only use the weapons inside Ukraine, not in Russia. Some of the missiles were contained in a $1 billion weapons package for Ukraine that President Joe Biden approved on Wednesday, Sullivan said. The missiles were used for the first time in the early hours of April 17, launched against a Russian airfield in Crimea that was about 165 km (103 miles) from the Ukrainian front lines, the official said. The official said Ukraine used the weapon a second time overnight against Russian forces in southeastern Ukraine. Whether to send the Army Tactical Missile Systems (ATACMS) with a range up to 300 km was a subject of debate within the Biden administration for months. Mid-range ATACMS were supplied last September. The Pentagon initially opposed the long-range missile deployment, fearing the loss of the missiles from the American stockpile would hurt U.S. military readiness. There were also concerns that Ukraine would use them to attack targets deep inside Russia.
Yes, they are going to use them to murder civilians deep inside Russia. There is a 100% chance of that, and everyone knows it.
The Ukraine has switched into a terrorist mode, because they have had zero victories on the battlefield. That’s the only thing they can do now, and I’m sure the Americans like the idea of “causing suffering to the Russian people so that they turn against Putin,” even though it is very obvious that this will not work.
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Macron officialise l’entrée en guerre de la France contre la Russie
Un boomer sénile et un homosexuel vont plonger la monde dans une ultime guerre mondiale – et la perdre
Macron engage la France dans la guerre en Ukraine.
Tout est prêt pour l’annonce formelle de l’entrée en guerre le 6 juin lors de la visite de Joe Biden en Normandie.
L’Opinion :
La France se prépare à envoyer des instructeurs militaires en Ukraine. Ou plutôt à le faire à visage découvert, alors que la présence des « forces spéciales » n’est qu’un secret de polichinelle. Sans être clandestines, les activités de celles-ci ne sont pas rendues publiques par le ministère des Armées. Comme le disait Emmanuel Macron dès le 27 février, il s’agit désormais « d’envoyer de manière officielle, d’assumer et d’endosser des troupes au sol » en Ukraine. C’est une décision politique de première importance, comme celle de permettre l’emploi d’armes françaises pour viser des cibles sur le territoire russe.
En résumé, l’armée française sera déployée en Ukraine pour participer aux frappes contre les villes russes. Macron étant un provocateur né, il va bien évidemment nier que tuer très publiquement des civils en Russie constitue une participation de la France à la guerre.
Ce qu’il dira n’a aucune importance, c’est une entrée en guerre et les Russes ne pourront que le constater. Donc se défendre, certainement en frappant des villes françaises.
Macron part du principe que cela n’arrivera pas.
Cet homosexuel fou n’a bien entendu aucune maîtrise de ce qui se passe. C’est à Washington que les décisions sont prises. Les juifs de la Maison Blanche ont finalisé leurs plans et transmis les ordres.
France 24 :
Joe Biden, qui s’y refusait jusqu’ici, a donné son feu vert pour que l’Ukraine frappe sous certaines conditions des cibles sur le sol russe, dans la région de Kharkiv, a indiqué un responsable américain jeudi 30 mai. « Le président a donné pour mission à son équipe de faire en sorte que l’Ukraine puisse utiliser des armes américaines afin de contre-attaquer dans la région de Kharkiv, de manière à riposter lorsque les forces russes les attaquent ou se préparent à les attaquer », a dit cette source. Ce responsable, qui a requis l’anonymat, a toutefois ajouté que les États-Unis continuaient à s’opposer à des frappes ukrainiennes en profondeur sur le territoire russe. « Notre position d’interdiction de l’utilisation d’ATACMS ou de frappes en profondeur à l’intérieur de la Russie n’a pas changé« , a-t-il dit. Les ATACMS sont des missiles de longue portée fournis par les Américains à l’Ukraine, pouvant aller jusqu’à 300 km de distance.
Ce n’est qu’une question de temps avant que cela change aussi. À partir du moment où le principe est acté pour une région de Russie, le précédent est posé et il s’étendra à tout le territoire.
L’empire du mal veut régner sans partage sur toute la planète, y compris au risque d’une guerre thermonucléaire.
Je le dis depuis deux ans : la guerre générale est inévitable, ce n’est qu’une question de temps. Au début, il n’était question que d’envoyer des casques en Ukraine et voilà où nous en sommes.
D’ailleurs si ces gens ont choisi la Normandie pour officialiser l’entrée en guerre, c’est bien pour signifier qu’il s’agit de la poursuite de la guerre judéo-démocratique contre le reste du monde qui a été entamée en 1939.
Le 6 juin, j’aurai une pensée pour l’armée allemande qui a héroïquement tenté de sauver l’Europe du péril juif mondial
Il n’y a à ce stade aucune manifestation contre la folie macroniste. Et je dois dire que si personne en France ne se mobilise contre la guerre voulue par le régime de Macron, les Français mériteront amplement les retombées de leur m’enfoutisme.
N’en avoir rien à foutre de rien et rester le cul enfoncé dans son sofa pour regarder Hanouna doit se payer au prix fort.
Au fond, c’est peut-être ce dont nous avons besoin : une guerre apocalyptique pour châtier le bétail démocratique qui se fout énormément de tout depuis bien trop longtemps.
Nous n’en serions pas là sans cette mauvaise populace qui tolère l’intolérable en toutes circonstances.
J’ai hâte de découvrir les vilaines surprises que les Russes ont en stock pour punir Macron.
Démocratie Participative
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Ukraine : le juif Blinken suspend les élections indéfiniment
Le juif Anthony Blinken, chef de la diplomatie américaine, était à Kiev pour remonter le moral de son congénère Zelensky, passablement ébranlé par la récente opération russe dans le secteur de Kharkov.
Il en a profité pour donner aux goyim davantage d’informations à propos de ce pourquoi ils meurent avec un enthousiasme qui ne se dément pas.
Des épouses, des mères et des sœurs en action pour « libérer » leurs hommes des mains des chasseurs de la junte de Kiev.
« Les goyim pourront voter » a assuré Blinken, mais seulement lorsque les Russes auront quitté le territoire de l’ancien état ukrainien, y compris la Crimée.
Comme les Russes n’ont l’intention d’aller nulle part et que l’armée ukrainienne n’a pas les moyens de les envoyer où que ce soit, cela implique ipso facto la suspension des élections ad vitam aeternam.
Les élections en Ukraine auront lieu lorsque tous les Ukrainiens pourront voter, tous. – Blinken
Ainsi, tant que la Russie détiendra des territoires, il n’y aura pas d’élections, même en cas de cessez-le-feu ou de paix à long terme.
Le secrétaire d’État Antony Blinken se rend en Ukraine, proclame l’importance d' »élections libres et équitables », puis approuve la suspension indéfinie des élections en Ukraine jusqu’à ce que « les conditions le permettent »
En attendant, puisque les élections sont suspendues indéfiniment, les juifs restent au pouvoir.
Non pas que les élections les en chasseraient, de toute façon.
N’importe quel goy qui s’opposerait à la tenue d’élections serait estampillé ennemi de la démocratie, mais pas les juifs.
Voilà de quoi rassurer Zelensky qui va pouvoir mobiliser la paysannerie slave pour garantir la sécurité de ses coffres forts pendant encore un an ou deux.
Blinken est ensuite allé se détendre en ville devant un public enthousiaste.
Quand Macron va voir ça, il ne va se dire qu’une seule chose : « Je dois jouer de la musique pour avoir l’air cool et faire des millions de vues sur Twitter ».
Démocratie Participative
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Hohol FM Tells West to Make More Weapons, Ominously Claims “Era of Peace in Europe is Over”
Andrew Anglin
“Peace is over”? Is this a threat?
Are the Hohols going to take their elite army, turn it around and aim it at Berlin?
And what the hell is “Kyiv”?
There are just so many questions and no one has any answers.
The Guardian:
Ukraine’s foreign minister has enthusiastically praised US politicians for approving a long-delayed $61bn military aid package for Ukraine, but said western allies needed to recognise that “the era of peace in Europe is over” and that Kyiv would inevitably need more help to fight off Russia. “Hallelujah,” Dmytro Kuleba said when asked for his reaction to Tuesday’s final vote by the US Senate. He said it had been “my belief that we would have a positive outcome”, based in part on the cultivation of religious conservatives, but the west needed to build its defence industry further.
Yeah, well. Your belief overpowered my belief, buddy.
I thought for sure that the Biden Entity would use “Republican MAGA supporters” as an exit strategy. Now, the loss of the war is going to be on him.
Apparently, he’s going to campaign on the idea he’s winning the war. Then, after the election, he’s either going to have to surrender or escalate by sending in troops. Because the Ukraine is not even getting any weapons for this $61 billion. It’s all theoretical. Maybe they’re getting some ammo, but that doesn’t cost tens of billions of dollars.
And even if they gave them space age weapons – UFO alien technology – they still couldn’t win because they don’t have any soldiers left.
Speaking to the Guardian ahead of the White House announcing a first tranche of aid including air defences, artillery rounds and armoured vehicles, Kuleba said it was “just a matter of logistics” to get the supplies to the frontline. Pentagon officials have indicated that some munitions have already been stockpiled in Europe, with Joe Biden saying on Wednesday they would arrive in hours. Kuleba also said Ukraine had identified seven Patriot air defence systems it could use to protect civilians in major cities outside Kyiv. One had been obtained from Germany, four more had been located and negotiations were taking place, Kuleba said, and two more were in his sights. Press reports indicate that Greece and Spain are considering whether to supply Patriots, while Poland and Romania also own the batteries. Kuleba added that an eighth system could come from the US. “I think the US army probably has one spare,” he said.
Yeah. Greece and Spain are wondering if they should give weapons to the Ukraine that America gave them.
It all comes from America. There is no independent Western European military establishment. That has not existed since the end of World War II, after Hitler destroyed it all (and then the Russians destroyed all Hitler’s equipment).
Negotiations to obtain these were complicated because “countries who operate these Patriots bargain for backfill and compensation”, Kuleba said, but he added: “I’m in no doubt, given the progress we are making, that Patriots will arrive and Germany must be commended for making the first move.” … Kuleba said Ukraine’s allies should switch from “expressing condolences and sympathy to Ukrainians and promising to help with recovery, to preventing loss of life and destruction of the country”.
Well, there’s only one way to end the loss of life, and that is peace negotiations.
Or just stop fighting, at least. Even without ending the war, they could just stop fighting. As long as they keep attacking Russians, however, people are going to die.
He said the restoration of US military aid, held up for months by Donald Trump-aligned Republicans, would not be sufficient to defeat Russia. “No single package can stop the Russians. What will stop the Russians is a united front of all of Ukraine and all of its partners.” Kuleba said the west needed to increase arms production, as Ukraine had, because it had been outpaced by Russia. Russia is out-shelling Ukraine by a ratio of about 10 to one, while Ukraine is running short of air defences.
Why is this moron able to decree Western policy?
Who do these people think they are? Israel?
Listen, buddy, there is only one country that can tell America what to do, and that is Israel.
But I guess since the Ukraine is totally run by the Jews, they have some rights to boss us around.
If Americans love one thing, it’s being told what to do by Jews.
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Macron conspire pour déployer 100,000 soldats de l’OTAN en Ukraine.
Bientôt les rafles au coin des rues de France.
Grande tarlouze veut faire tuer de nombreux goyim
Depuis le temps que nous l’annonçons ici, il était temps que cela se matérialise.
Le carnage de zoomers en prévision est assez épique. Les discussions sont très avancées.
Reuters :
Les pays européens discutent de l’envoi de troupes en Ukraine en cas de cessez-le-feu ou d’accord de paix, alors que le président élu des États-Unis, Donald Trump, a clairement indiqué qu’il ne mettrait pas de bottes américaines sur le terrain pour garantir la sécurité, selon des responsables et des diplomates. Les pourparlers, menés par le président français Emmanuel Macron, n’en sont qu’à leurs débuts, mais ils ont déjà révélé des divergences sur les objectifs et le mandat possibles d’une telle mission – et même sur l’opportunité d’aborder la question aujourd’hui. Alors que Kiev est en retrait dans la guerre, les dirigeants européens veulent éviter de donner au président russe Vladimir Poutine l’impression qu’ils pensent que le temps des pourparlers est venu et qu’il pourra conserver ses gains sur le champ de bataille. Ils insistent sur le fait qu’ils se concentrent sur l’augmentation de l’aide militaire et économique à l’Ukraine et qu’ils ne voient aucun signe indiquant que M. Poutine est prêt à négocier. Pourtant, en coulisses, certains fonctionnaires réfléchissent à la manière dont les nations européennes pourraient fournir des garanties de sécurité à l’Ukraine, notamment par l’envoi de dizaines de milliers de soldats sur le sol ukrainien. Une telle force augmenterait le risque d’une confrontation directe avec la Russie et mettrait à rude épreuve les armées européennes, dont les stocks d’armes ont été épuisés par les dons à l’Ukraine et qui ont l’habitude de compter fortement sur le soutien des États-Unis pour les grandes missions. Toutefois, M. Trump a exclu que les troupes américaines jouent un rôle dans l’application d’un cessez-le-feu et a insisté sur le fait que les Européens devraient jouer ce rôle seuls lors des discussions avec M. Macron et le président ukrainien Volodymyr Zelenskiy à Paris le 7 décembre, d’après deux sources. Cela pourrait signifier que les Européens se déploient en Ukraine, que Kiev obtienne une garantie de sécurité en rejoignant l’OTAN – comme il l’espère – ou par le biais d’assurances bilatérales. « Même s’il y avait une garantie de sécurité de l’OTAN, d’où viendrait l’impulsion sur le terrain ? Nos chefs d’état-major préparent déjà des plans que les dirigeants européens pourraient envisager à l’avenir », a déclaré un haut fonctionnaire européen. Les grandes nations européennes telles que la France, l’Allemagne, l’Italie, la Pologne et la Grande-Bretagne pourraient constituer le gros de la force, selon les responsables.
M. Macron a dû faire face à des critiques pour avoir insisté sur cette question, étant donné la sensibilité politique de l’envoi de troupes pour une telle mission. Après s’être entretenu avec M. Macron la semaine dernière, le Premier ministre polonais Donald Tusk a déclaré que Varsovie n’avait pas l’intention de rejoindre une telle force.
Les Polaks ont dit non à Macron lors de son dernier voyage à Varsovie, il y a une semaine.
Bien qu’ils soient les plus grands demandeurs d’une telle intervention, ces cultivateurs de patates n’ont pas tellement envie de mourir pour des Ukrainiens qu’ils considèrent comme leurs domestiques naturels.
Ils veulent bien créer leur Grand Israël polak, mais avec le sang des autres.
Le ministre allemand de la défense, Boris Pistorius, a déclaré lundi que Berlin jouerait probablement un rôle dans la garantie d’un cessez-le-feu, mais qu’il était bien trop tôt pour dire quel type de force serait nécessaire. M. Zelenskiy a déclaré que la question pourrait être soulevée lorsque le chef de l’OTAN, Mark Rutte, recevra le président ukrainien et d’autres dirigeants européens à Bruxelles mercredi soir. Mais M. Rutte a déclaré la semaine dernière qu’il avait demandé à ses collègues de l’OTAN et de l’Ukraine « d’être un peu plus discrets » lorsqu’ils évoqueraient les scénarios futurs. « En ce moment, si vous discutez de tout cela au grand jour, pourquoi Poutine se mettrait-il à table, parce qu’il obtient ce qu’il veut », a déclaré M. Rutte.
Selon les analystes, le débat a jusqu’à présent révélé une certaine confusion quant à savoir si une future mission européenne assumerait un rôle traditionnel de maintien de la paix, tel que la surveillance d’une ligne de cessez-le-feu, ou si elle fournirait une force de dissuasion solide contre toute nouvelle attaque de la Russie. Les responsables italiens ont parlé de maintien de la paix, tandis que les responsables français et ukrainiens ont mis l’accent sur la dissuasion.
« Dissuasion » signifie que ces troupes ont vocation à riposter en cas « d’incident », c’est-à-dire de reprendre les hostilités.
Tout est clair comme de l’eau de roche. À la minute où ces troupes seraient sur place, la CIA organiserait une provocation pour la reprise des hostilités avec un rapport de force que l’OTAN espèrerait plus favorable grâce à ces troupes européennes. Ensuite, l’Amérique serait contrainte d’intervenir que Trump l’accepte ou non.
C’est le plan depuis le début.
Macron est mandaté pour faire le pont entre Zelensky et Trump afin d’endormir ce dernier et l’entraîner dans l’escalade.
Une force de��dissuasion pourrait être formée par une coalition de cinq à huit pays, a déclaré un responsable ukrainien au courant de certaines des discussions. Les analystes et les fonctionnaires ont donné des estimations variables de la taille d’une telle force, soulignant qu’elle dépendrait en grande partie de sa mission précise. Certains analystes ont suggéré qu’une force d’environ 40 000 hommes serait envisageable. Selon Franz-Stefan Gady, un ancien planificateur militaire autrichien qui travaille actuellement à l’Institut international d’études stratégiques, dans le cadre d’un système de rotation où les unités se prépareraient à être déployées et se reconstitueraient après un déploiement, quelque 100 000 soldats pourraient être impliqués dans la mission à tout moment. Un responsable européen de la sécurité, s’exprimant sous le couvert de l’anonymat, a également déclaré que jusqu’à 100 000 soldats pourraient être nécessaires. M. Gady a déclaré qu’une telle force pourrait être générée si certains pays européens réduisaient leurs autres missions, telles que le maintien de la paix dans les Balkans. L’Europe, les États-Unis et d’autres partenaires ont déployé quelque 60 000 soldats en Bosnie et 50 000 au Kosovo dans les années 1990, mais ces missions sont aujourd’hui beaucoup moins importantes. La composition d’une force internationale, dont le mélange de nations devrait être acceptable pour les deux parties, et son mandat font également l’objet d’un débat. Le ministre italien de la défense, Guido Crosetto, a déclaré qu’elle devrait être placée sous les auspices des Nations unies. Mais d’autres responsables estiment que cela donnerait trop d’influence à la Russie, membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU. Les Européens devraient également persuader les États-Unis de s’impliquer d’une manière ou d’une autre, au moins en fournissant des renseignements et d’autres formes d’aide opérationnelle, selon les analystes. Les règles d’engagement potentielles font partie des nombreuses questions cruciales qui restent floues. « Que se passerait-il si un soldat européen se faisait tirer dessus ? » a demandé un responsable militaire français.
Et bien il recevra l’ordre de riposter et sera éliminé par tir d’artillerie russe, ce qui servira ensuite au cartel médiatique démocratique pour justifier l’ouverture des hostilités entre l’OTAN et la Russie.
Ce plan est identique à celui mis en place lors des discussions de Minsk, mais aussi à Idlib : gagner du temps, regrouper les forces, réarmer, acheminer des renforts, repartir à l’attaque.
Je n’imagine pas Poutine faire preuve d’une telle naïveté après s’être fait rouler deux fois de suite de cette façon, mais l’OTAN estime que si les Russes sont tombés deux fois dans un piège aussi grossier, il n’y a pas de raison qu’ils ne le fassent pas une troisième fois.
En tout cas, ils sont décidés à essayer.
Pour les juifs, il ne s’agit pas de déployer 100,000 hommes, mais autant de soldats que nécessaire pour conquérir la Russie après avoir brisé son armée de terre en Ukraine. Comme en Syrie, ils escomptent acheter officiers et cadres de l’État russe pour qu’ils n’opposent aucune résistance en échange de leur recyclage dans la « Russie démocratique » sous la botte juive.
Les juifs ne vont pas renoncer aux ressources russes sans une perdre une guerre mondiale. Les démocraties sont insolvables, la seule façon d’échapper à une révolution est de se refaire par le pillage et d’encercler la Chine.
Si Macron parvient à ses fins, nous devrions voir des scènes de type ukrainienne d’ici quelques temps dans les rues françaises – mais seulement pour les Blancs.
Démocratie Participative
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Si la Russie ne rase pas Kiev très rapidement, les choses vont devenir cataclysmiques.
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“Pigs Can’t Fly”: Sullivan Says Hoholistan Failed to Send Enough Pilots for F-16 Training.
IQ gap !
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When you’ve gotta train people to fly F-16s, that’s when the 20 point IQ gap between hohols and Russians really starts to matter.
RT:
The US did everything it could to provide Kiev with advanced weapon systems, including F-16 fighter jets, but the Ukrainian military did not have enough pilots who could be trained to operate more of them, White House National Security Adviser Jake Sullivan has claimed. Speaking on Sunday at the 2024 Reagan National Defense Forum, the senior official rejected accusations that the military assistance sent to Kiev by the administration of President Joe Biden was “too little too late.” On the contrary, Ukraine received as many weapons as possible thanks to the US, he said. ���When it comes to F-16s, President Biden authorized the sending of F-16s to Ukraine last May,” Sullivan noted. “It’s now December of 2024, and we’ve had a limited number of pilots train not because we’re not prepared to train them – we are, as many as possible – but because the Ukrainians do not have the pilots to be able to build a full F-16 capability in time.”
The other thing here, which Sullivan doesn’t want to say for obvious reasons, is that so much of the military equipment was sold to terrorist groups.
Hopefully, no one missed the videos of NATO equipment being used by terrorists in Syria.
That sort of thing was completely unavoidable, because the Ukraine is so endemically corrupt, with no one in power viewing it as a real country, but rather as an opportunity to enrich themselves.
The US authorities only pick allies based on their ability to enrich Jews, so it’s a match made in heaven in some ways. But they never really expected them to win a war against Russia. It didn’t ever make any sense. The original proposition, of provoking a war as an excuse for sanctions that would collapse the Russian ruble, was not necessarily a bad plan, but when it didn’t work, continuing the war was ridiculous.
When the war was started, it was never the goal to have the Ukraine win against Russia, which any moron could see was retarded. The scam was to give an excuse to do the sanctions and try to force a color revolution in Moscow. After that failed, psycho Russia-hating Jews and arms dealers wanted the thing to continue, so it did, but on a long enough timeline, Russia was always going to finish it, and we’re rapidly reaching that point, so all these people are well into the process of passing around blame.
Andrew Anglin for the DailyStormer
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