#Scalpel SE 1
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Law & Love
Chapitre 1 : Le bal des masques
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La grande salle de réception de Westview scintille de mille feux. Sous les lustres imposants, des invités en tenue de soirée s'échangent sourires et accolades, leurs conversations ponctuées par le tintement délicat des coupes de champagne. Le bureau du procureur organise cette soirée pour célébrer ses récentes victoires juridiques, et l'élite de la ville est présente.
Agatha Harkness, vêtue d'une robe noire élégante à dos nu, fait une entrée remarquée au bras de son mari, Jonathan, le procureur de Westview. Lui, dans un smoking parfaitement ajusté, salue les invités avec son charisme habituel, tandis qu'Agatha arbore un sourire maîtrisé, jouant son rôle de femme parfaite. Mais derrière ce masque social, elle ressent un léger malaise, une dissonance qu'elle ne parvient pas à ignorer.
Alors qu'elle se mêle aux invités, Agatha capte une conversation dans laquelle un nom retient son attention : Victoria Grant. Une voix audacieuse et assurée s'élève derrière elle :
« Si seulement le bureau du procureur s'attaquait aux vraies injustices au lieu de faire du spectacle... »
Agatha se retourne et découvre Victoria pour la première fois. L'avocate est resplendissante dans une robe bleu nuit, ses cheveux coiffés avec une élégance nonchalante, et son regard perçant dégage une confiance inébranlable. Elle est entourée d'un petit cercle d'invités, captivés par sa verve et son humour acéré.
Leurs regards se croisent, et un courant électrique semble traverser la pièce. Agatha, habituée aux joutes verbales, s'avance avec un sourire glacé.
« Madame Grant, je suppose. Vous semblez avoir des opinions bien arrêtées sur les affaires de mon mari. Peut-être voudriez-vous en discuter avec lui directement ? »
Victoria répond avec un sourire amusé, le genre qui pique autant qu'il charme.
« Ce serait dommage. Je préfère de loin discuter avec des personnes qui comprennent réellement le droit, pas seulement la politique. »
Leur échange attire les regards, et un murmure parcourt la salle. Jonathan intervient, posant une main sur le dos d'Agatha pour apaiser la tension. Mais Agatha n'a d'yeux que pour Victoria, partagée entre irritation et une étrange fascination.
Un peu plus tard dans la soirée, Agatha, cherchant un moment de répit, s'éloigne dans un couloir adjacent. Elle surprend alors Jonathan en pleine conversation avec une femme élégante, sa main effleurant brièvement son bras. Agatha s'immobilise, son cœur se serrant. L'attitude de Jonathan est trop intime, trop familière.
Elle revient dans la salle, le visage impassible mais l'esprit tourmenté. Alors qu'elle croise de nouveau Victoria, un éclat de défi dans son regard, elle se surprend à penser que cette femme pourrait être plus qu'une simple rivale.
« Les lacunes, dites-vous ? » Agatha pencha légèrement la tête, son ton aussi tranchant qu'un scalpel. « Vous parlez de l'affaire où votre cliente a volontairement omis de transmettre des documents cruciaux au tribunal ? C'est fascinant comme certaines personnes confondent omission et stratégie. »
Victoria esquissa un sourire, nonchalante, presque amusée. Elle s'avança d'un pas, réduisant imperceptiblement la distance entre elles, une coupe de champagne à la main. « Voyez-vous, Madame Harkness, dans ce métier, tout est une question de perspective. Ce que vous appelez 'omission', j'appelle cela protéger mes clients des excès de zèle d'un bureau du procureur qui aime trop les projecteurs. »
Leurs regards se croisèrent, un duel silencieux mais palpable. Autour d'elles, les invités, trop polis pour s'immiscer mais trop curieux pour s'éloigner, observaient la scène. Jonathan, occupé avec un collègue, ne semblait pas avoir remarqué l'intensité de cet échange.
Agatha s'avança à son tour, son sourire glacé et parfaitement maîtrisé. « Peut-être que vos clients devraient moins compter sur vos talents de magicienne et davantage sur la transparence. Mais je comprends. Quand on n'a pas la loi de son côté, il reste toujours la diversion. »
Un éclat passa dans les yeux de Victoria, mais au lieu de se laisser désarçonner, elle rit doucement. Ce n'était pas un rire d'amusement, mais plutôt un geste calculé, une manœuvre subtile pour reprendre le contrôle. « Vous êtes aussi redoutable que je l'imaginais, Agatha. Je dois avouer, c'est... rafraîchissant. »
La manière dont elle prononça son prénom — avec une familiarité provocante — fit tressaillir Agatha. Elle garda son masque impassible, mais quelque chose en elle vacilla. Était-ce de l'irritation ? Ou autre chose ?
« Et vous êtes aussi agaçante que je l'imaginais, Victoria, » rétorqua Agatha, sa voix douce mais pleine de piques. Elle se redressa légèrement, décidée à mettre fin à l'échange avant qu'il ne prenne un tour plus personnel. « Mais je suppose que ce serait trop demander qu'une avocate de votre réputation soit aussi dotée d'un sens de la modestie. »
Victoria sourit, un sourire qui semblait murmurer : Touché. « Ah, la modestie. Je la laisse à ceux qui en ont besoin pour compenser autre chose. »
Agatha serra les mâchoires, mais avant qu'elle ne puisse répondre, une voix annonça au micro que Jonathan allait prononcer son discours de remerciement. L'attention des invités se détourna vers la scène, mettant fin à leur échange.
Alors que Jonathan parlait, Agatha sentit le regard de Victoria sur elle. C'était déstabilisant, comme une chaleur discrète mais insistante. Elle voulut se retourner, mais se retint. L'étrange fascination qu'elle avait ressentie au début ne faisait que s'intensifier, et cela la troublait.
Lorsque la soirée s'acheva, Agatha quitta les lieux au bras de Jonathan, son sourire parfait toujours fixé sur son visage. Mais dans la voiture, les mots de Victoria tournaient en boucle dans son esprit. Pas seulement ses mots, mais son regard, son attitude, cette confiance audacieuse et cette présence qui l'avait autant agacée qu'attirée.
« Tu étais parfaite ce soir, » murmura Jonathan, ses yeux rivés sur la route.
Agatha répondit par un vague hochement de tête, son esprit ailleurs. Victoria Grant n'était pas qu'une adversaire. Elle était une énigme, et Agatha sentait que ce ne serait pas la dernière fois qu'elle se retrouverait face à elle.
Alors que le discours de Jonathan se termine sous une salve d'applaudissements, Agatha s'éclipse discrètement pour chercher un moment de calme. La chaleur de la salle, les regards et les conversations incessantes commencent à peser sur elle. Elle se dirige vers un couloir adjacent, un espace plus sombre et moins fréquenté.
C'est là qu'elle les voit.
Jonathan est appuyé contre un mur, penché légèrement vers une femme qu'Agatha ne reconnaît pas immédiatement. Elle est élégamment vêtue, une robe bordeaux qui épouse ses formes, et elle rit doucement, presque en chuchotant. Jonathan murmure quelque chose, et sa main effleure brièvement le bras de la femme, un geste subtilement intime.
Agatha s'arrête net, l'ombre du couloir la dissimulant. Une étrange sensation l'envahit, un mélange de colère, de doute et de trahison qu'elle n'arrive pas à réprimer. Elle se concentre sur leurs expressions, sur la manière dont la femme incline légèrement la tête vers Jonathan, dont il répond par un sourire qu'elle connaît bien — un sourire qu'il lui réservait autrefois, il y a longtemps.
Les murmures sont trop bas pour qu'elle puisse saisir leurs mots, mais l'atmosphère parle d'elle-même. Cela pourrait être une conversation anodine, mais quelque chose dans leur posture, dans cette proximité, éveille en Agatha une certitude qu'elle n'ose formuler.
Elle inspire profondément, refusant de céder à une impulsion qui l'inciterait à les interrompre. Pas ici. Pas maintenant. Elle n'est pas une femme qui fait des scènes, encore moins en public. Pourtant, l'idée d'une confrontation lui brûle la gorge.
Agatha détourne les yeux et retourne à la soirée, ses talons claquant légèrement sur le marbre. Son masque est toujours en place lorsqu'elle rejoint les invités, mais à l'intérieur, tout vacille. Chaque mot échangé, chaque geste de Jonathan ce soir, prend une nouvelle signification dans son esprit.
Lorsque Victoria Grant l'aborde quelques instants plus tard, c'est comme un coup du destin.
« Vous semblez ailleurs, Agatha, » dit Victoria, son sourire un mélange d'amusement et de curiosité.
« Peut-être que je réfléchis à notre prochaine rencontre devant le tribunal, » réplique Agatha avec une froideur maîtrisée.
Victoria penche la tête, un éclat dans ses yeux. « Ou peut-être que quelque chose d'autre occupe vos pensées. Mais je ne vous retiendrai pas. Il serait dommage que vous manquiez quelque chose... d'important. »
Le sous-entendu est subtil mais perçant, et Agatha sent sa patience s'éroder. Pourtant, elle ne répond pas, consciente qu'un autre duel verbal avec Victoria ne ferait qu'attirer davantage l'attention.
La soirée continue, mais pour Agatha, tout semble flou, comme un rêve étrange dont elle ne parvient pas à s'éveiller. Plus tard, dans le silence de leur chambre, lorsqu'elle s'allonge aux côtés de Jonathan, ses pensées tournent en boucle.
Jonathan est-il fidèle ? A-t-elle imaginé cette complicité entre lui et cette femme ? Pourquoi Victoria Grant, avec ses remarques énigmatiques, occupe-t-elle soudain autant de place dans son esprit ?
Les réponses ne viennent pas, mais une chose est sûre : ce n'est que le début.
༻﹡༺
Le lendemain Victoria Grant était plongée dans un article de presse en ligne lorsque Diane Lockhart fit son apparition dans son bureau, comme une tempête élégante. Victoria, vêtue d'un tailleur impeccable, releva à peine les yeux, prenant une gorgée de café noir, son expression neutre.
« Diane, vous savez que je ne suis pas du matin, » lança Victoria avec un sourire mi-amusé, mi-irrité.
Diane, quant à elle, était impeccable, comme toujours. Sa tenue crème et ses lunettes subtilement imposantes lui donnaient un air d'autorité naturelle. Elle posa un dossier épais sur le bureau de Victoria, le faisant glisser vers elle.
« Désolée de perturber votre méditation matinale, » rétorqua Diane avec une pointe de sarcasme, « mais nous avons une affaire qui mérite toute votre attention. »
Victoria posa sa tasse de café, enfin intéressée. Elle ouvrit le dossier, ses yeux s'attardant sur la photo d'une femme au visage marqué par la fatigue et le désespoir.
« Heather Collins, » expliqua Diane, croisant les bras. « Trente-sept ans, infirmière. Accusée d'avoir tué son ex-mari, Michael Collins. Un homme avec un passé trouble, mais ça, ce n'est pas la question. La police l'a arrêtée hier soir. Le problème ? Elle est innocente. »
Victoria fronça légèrement les sourcils, feuilletant les pages. « Innocente, vraiment ? Vous savez comme moi que ce mot n'a pas beaucoup de valeur tant qu'on n'a pas les preuves pour le soutenir. »
Diane sourit légèrement, comme si elle s'attendait à cette réponse. « C'est là que vous entrez en scène. L'ex-mari était violent, c'est vrai, mais Heather affirme qu'elle n'était pas sur les lieux du crime. Elle a un alibi — du moins, c'est ce qu'elle dit. Mais les preuves circonstancielles l'accablent. Des empreintes, un motif, et bien sûr, le fait qu'elle ait été vue près de chez lui peu de temps avant le meurtre. »
Victoria haussa un sourcil. « Pourquoi est-elle venue dans notre cabinet, alors ? Nous ne sommes pas exactement connus pour défendre des cas comme celui-ci. »
Diane s'assit dans le fauteuil en face de Victoria, adoptant un ton plus sérieux. « Parce qu'elle a besoin de quelqu'un qui peut non seulement prouver son innocence, mais aussi manipuler les médias qui commencent déjà à en faire une 'veuve noire'. Elle veut quelqu'un qui sait comment gagner, coûte que coûte. »
Victoria passa une main dans ses cheveux, réfléchissant. Le cas semblait complexe, mais elle aimait les défis. Et puis, une femme injustement accusée... cela éveillait en elle une fibre qu'elle ne montrait pas souvent : une envie de justice.
« D'accord, » dit-elle finalement en refermant le dossier. « J'accepte. Mais dites à Heather que si elle me cache quoi que ce soit, je lâche l'affaire immédiatement. Je n'ai pas de temps pour des mensonges. »
Diane se leva, un sourire satisfait sur le visage. « Je n'en attendais pas moins de vous. Elle est en salle de réunion, si vous voulez la voir. »
Alors que Diane quittait la pièce, Victoria se leva, emportant son café et le dossier. Mais avant de sortir, elle s'arrêta un instant, le regard perdu dans le vide. La veille, lors de la soirée du procureur, une certaine avocate avait réussi à occuper un coin de ses pensées. Agatha Harkness.
Un léger sourire en coin apparut sur ses lèvres avant qu'elle ne le chasse d'un geste impatient. Ce matin, il n'y avait pas de place pour des distractions. Une femme accusée de meurtre comptait sur elle, et Victoria aimait l'idée de prouver, encore une fois, qu'elle était la meilleure dans ce métier.
Elle inspira profondément, ajusta son tailleur, et sortit de son bureau. « Allons sauver une innocente, » murmura-t-elle pour elle-même, avant de rejoindre Heather Collins.
Victoria entra dans la salle de réunion où Heather Collins attendait, les épaules affaissées, un gobelet de café dans les mains. Diane l'avait briefée rapidement avant son arrivée. Victoria s'assit face à elle, posant le dossier sur la table sans un mot. Elle observa Heather un instant, étudiant chaque mouvement, chaque expression.
« Heather, » commença Victoria d'une voix calme mais ferme, « avant qu'on aille plus loin, je vais être franche : si vous me cachez quoi que ce soit, si vous me mentez, je ne pourrai pas vous défendre. J'ai besoin de toute la vérité, même celle que vous n'avez pas envie de partager. »
Heather hocha frénétiquement la tête, les yeux embués. « Je vous promets, je ne mens pas. Je n'ai pas tué Michael. Je n'aurais jamais fait une chose pareille. »
Victoria la scruta encore un instant avant de se redresser. « Très bien. Nous allons commencer à monter votre défense, mais cela signifie aussi que nous devrons enquêter sur vous, sur votre vie et sur tout ce qui pourrait se retourner contre vous. Je vais être honnête : ce ne sera pas agréable. Êtes-vous prête à faire face à ça ? »
Heather serra son gobelet, luttant pour ne pas céder à ses émotions. « Oui, faites ce que vous avez à faire. Je veux juste qu'on sache que je suis innocente. »
Victoria se leva, rassemblant le dossier. « Parfait. Nous allons commencer immédiatement. »
Elle quitta la salle, son esprit déjà concentré sur la stratégie à venir. Quelques minutes plus tard, elle était de retour dans son bureau, où elle décrocha son téléphone et composa un numéro connu.
« Alice, » dit-elle dès que la ligne décrocha.
Alice Wu, la détective privée du cabinet, était une experte en filatures, renseignements et recherche d'informations que personne d'autre ne pouvait trouver. Victoria savait qu'Alice était exactement la personne qu'il fallait pour creuser dans la vie de Heather et de son défunt ex-mari.
« Victoria, » répondit Alice, sa voix calme mais toujours alerte. « Je suppose que si vous m'appelez, c'est que vous avez une affaire intéressante. »
Victoria sourit légèrement. « Très. Une femme accusée du meurtre de son ex-mari, mais elle clame son innocence. Elle dit qu'elle n'était pas sur les lieux du crime, mais tout semble jouer contre elle. Je veux que vous creusiez, et pas seulement sur elle. Fouillez dans la vie de son ex-mari. Je veux savoir qui il était, qui il fréquentait, et surtout, s'il avait des ennemis. »
Alice prit quelques notes. « Compris. Est-ce que je commence par Heather ou Michael ? »
« Les deux, » répondit Victoria sans hésiter. « Concentrez-vous d'abord sur l'alibi de Heather. Elle affirme qu'elle n'était pas sur place au moment du meurtre. Si c'est vrai, on doit le prouver. Ensuite, trouvez tout ce que vous pouvez sur Michael : finances, relations, dettes, conflits. Je veux tout. »
Alice hocha la tête de l'autre côté de la ligne. « Très bien. Je vais commencer dès maintenant. Je vous tiens au courant. »
Victoria raccrocha et se laissa tomber dans son fauteuil, réfléchissant à la meilleure stratégie pour protéger Heather. Ce cas s'annonçait compliqué, mais elle savait qu'avec Alice sur le terrain, elles trouveraient des angles d'attaque.
En regardant par la fenêtre de son bureau, elle murmura pour elle-même :
« Il y a toujours une vérité cachée. On verra si Heather est aussi innocente qu'elle le dit. »
༻﹡༺
Assise derrière son large bureau en bois massif, Agatha feuilletait distraitement les pages d'un dossier, ses yeux glissant sur les mots sans vraiment les lire. Son esprit, habituellement aiguisé et concentré, était ailleurs.
Victoria Grant.
Son visage, ses yeux perçants, son sourire légèrement moqueur, tout revenait sans cesse dans ses pensées, comme un écho qu'elle ne pouvait ignorer. Il y avait quelque chose chez cette femme, une intensité qui l'avait fascinée malgré elle. Mais cette fascination la troublait autant qu'elle l'agaçait.
Agatha posa le dossier avec un soupir frustré, croisant les bras sur son bureau. Magnifique. Victoria était magnifique, pensa-t-elle, presque à contrecœur. Ce n'était pas une pensée qu'elle voulait avoir, encore moins en cet instant.
Mais aussitôt que l'image de Victoria s'estompait, une autre surgissait, tout aussi obsédante. Jonathan. Et cette femme.
Elle revoyait leurs gestes familiers, leurs murmures dans l'ombre de la soirée. Le rire doux de cette inconnue, le sourire détendu de Jonathan... Cela la rongeait, la plongeant dans une spirale de colère et de doute. Et si elle s'était trompée ? Et si ce qu'elle avait vu n'était rien de plus qu'un simple malentendu ?
Mais une petite voix au fond de son esprit, implacable, murmurait autre chose. Cela ne semblait pas innocent. Cela ressemblait à... quelque chose qu'elle n'osait pas encore nommer.
Elle passa une main dans ses cheveux, tentant de chasser ces pensées parasites. La confusion qui l'envahissait était insupportable : un mélange de trahison et d'une émotion qu'elle ne savait pas identifier. Et, curieusement, Victoria était liée à tout cela.
« C'est ridicule, » murmura Agatha pour elle-même, secouant la tête comme pour chasser ces pensées. Mais les mots sonnaient creux.
Elle se leva et fit quelques pas dans son bureau, jetant un regard vers la grande baie vitrée qui offrait une vue imprenable sur la ville. Jonathan était son mari, son partenaire, même si leur relation n'était plus aussi harmonieuse qu'avant. Il était le père de ses enfants, le pilier de leur vie publique. Alors pourquoi l'image de lui avec une autre femme semblait-elle si facile à croire ?
Et pourquoi Victoria, avec son arrogance et son charisme, s'était-elle insinuée dans cet espace déjà fragile ?
Elle ferma les yeux un instant, prenant une profonde inspiration. Se ressaisir. Elle était Agatha Harkness, une femme forte, une avocate brillante. Elle ne pouvait pas se permettre de flancher.
Mais au fond d'elle-même, une vérité qu'elle n'était pas prête à admettre commençait à prendre forme. Ce n'était pas seulement la jalousie ou la colère. C'était autre chose. Quelque chose d'inattendu. Quelque chose qui la terrifiait autant que cela l'intriguait.
Agatha sursauta légèrement en entendant frapper à la porte. Avant même qu'elle ne puisse répondre, Lilia Calderu entra, un sourire éclatant aux lèvres et un épais dossier en main.
« Désolée de te déranger, Agatha, mais je crois que tu vas vouloir entendre ça, » dit Lilia en s'installant sans invitation, déposant le dossier sur le bureau avec une énergie qui lui était propre.
Agatha, encore secouée par ses pensées, fronça légèrement les sourcils mais s'assit de nouveau, les mains croisées. « Qu'est-ce que c'est, Lilia ? » demanda-t-elle d'une voix mesurée.
Lilia se redressa dans son fauteuil, visiblement ravie. « Une nouvelle affaire. Et pas n'importe laquelle. Nous sommes sollicités pour représenter les intérêts de Michael Collins, l'homme assassiné. Enfin, ses proches, bien sûr. Ils veulent que nous poursuivions en justice la femme accusée, Heather Collins, pour homicide volontaire et préjudice à leur famille. »
Agatha releva un sourcil, prenant le dossier sans un mot pour le parcourir rapidement. Elle avait déjà vaguement entendu parler de cette affaire dans les actualités, mais elle n'avait pas prêté beaucoup d'attention.
« Attends. » Elle releva les yeux vers Lilia. « Nous devrions défendre la famille d'un homme avec un historique de violence domestique ? Il y a de meilleurs cas à prendre, tu ne crois pas ? Pourquoi eux, Lilia ? Pourquoi ce dossier ? »
Lilia, imperturbable, se pencha légèrement en avant, son sourire devenant presque malicieux. « Parce que, cara mia, ce n'est pas juste une affaire de meurtre. C'est une opportunité. Une chance de gagner face à Victoria Grant et Diane Lockhart. Elles représentent Heather Collins. Imagine un peu, Agatha : une victoire contre ces deux poids lourds. Ce serait un coup de maître pour le cabinet. »
Le nom de Victoria résonna dans l'esprit d'Agatha comme une alarme. Elle détourna brièvement le regard, comme pour cacher sa réaction, avant de répondre d'un ton plus sec qu'elle ne l'aurait voulu.
« Donc, on accepte un cas bancal, non pas parce qu'il est moralement défendable, mais parce que tu veux qu'on humilie Victoria Grant dans un tribunal ? »
Lilia haussa les épaules, un sourire innocent sur les lèvres. « Ce n'est pas seulement pour ça. Mais avoue que ce serait satisfaisant, non ? Toi contre elle. Agatha Harkness face à Victoria Grant, la prétentieuse. Et avec Diane Lockhart dans son camp, ça rend la victoire encore plus douce. »
Agatha s'appuya contre le dossier de sa chaise, un léger sourire ironique se dessinant sur ses lèvres. « Tu es incorrigible, Lilia. »
Lilia éclata de rire. « Peut-être. Mais tu sais que j'ai raison. Et ce dossier n'est pas aussi bancal qu'il en a l'air. Michael Collins avait peut-être des défauts, mais il était aussi un père. Sa famille mérite justice, et si Heather est coupable, il est de notre devoir de le prouver. »
Agatha réfléchit un moment, ses doigts tapotant doucement sur le bureau. Son esprit revenait, encore et encore, à Victoria. Cette femme était un défi dans tous les sens du terme. La perspective d'un duel juridique face à elle éveillait quelque chose d'inattendu en Agatha : une envie de surpasser, mais aussi une curieuse envie d'être vue par elle, reconnue.
Elle referma le dossier avec un claquement sec. « Très bien. On prend l'affaire. Mais Lilia, je te préviens : si je découvre que cette famille nous cache quoi que ce soit, c'est fini. Je ne veux pas d'un autre cas qui se retourne contre nous. »
Lilia acquiesça avec enthousiasme, se levant d'un bond. « Parfait ! Tu ne le regretteras pas. Prépare-toi, Agatha. Cette bataille va être légendaire. »
Alors que Lilia quittait le bureau, Agatha ouvrit de nouveau le dossier, son esprit se préparant déjà aux arguments qu'elle pourrait avancer. Mais, en arrière-plan, une autre pensée persistait. Victoria Grant.
Cette affaire ne serait pas seulement une bataille juridique. C'était quelque chose de plus grand, de plus intime. Et cela effrayait Agatha presque autant que cela l'excitait.
༻﹡༺
La salle d'audience était pleine, le murmure des spectateurs dissipé par la voix ferme du greffier annonçant l'ouverture de l'audience. Au centre, deux figures attiraient toute l'attention : Maître Victoria Grant, représentant Heather Collins, et Maître Agatha Harkness, défendant la famille du défunt Michael Collins.
Le juge, une femme imposante aux cheveux gris soigneusement attachés, frappa son marteau pour établir le silence. « L'audience commence. Maître Grant, vous pouvez appeler votre premier témoin. »
Victoria se leva avec assurance, son tailleur impeccablement ajusté, et s'approcha du centre de la salle. « Merci, votre Honneur. J'appelle à la barre Mrs. Sarah Kensington, voisine de ma cliente. »
Une femme d'âge moyen s'avança, un peu nerveuse, avant de prêter serment.
Victoria s'approcha doucement, sa voix posée et rassurante. « Mrs. Kensington, pouvez-vous indiquer où vous étiez le soir du 12 décembre, à l'heure supposée du meurtre ? »
« J'étais chez moi, comme d'habitude, » répondit Sarah, les mains jointes sur ses genoux.
« Et avez-vous vu ma cliente, Heather Collins, ce soir-là ? »
« Oui, je l'ai vue chez elle. Les lumières étaient allumées, et je l'ai aperçue par la fenêtre. »
Victoria hocha doucement la tête, se tournant légèrement vers le jury pour souligner l'importance du témoignage. « Pouvez-vous préciser ce qu'elle faisait ? »
Sarah répondit après une brève hésitation : « Elle était dans la cuisine, elle semblait préparer quelque chose. »
Victoria s'arrêta un instant, laissant ses mots s'installer dans l'esprit du jury, puis continua. « Donc, pour être claire, vous affirmez avoir vu Mrs. Collins chez elle au moment où la police prétend qu'elle aurait tué son ex-mari ? »
« Absolument, » répondit Sarah avec conviction.
Agatha se leva brusquement, sa voix tranchante perçant l'atmosphère : « Objection, votre Honneur. Le témoignage de Mrs. Kensington est spéculatif. Apercevoir quelqu'un dans une pièce un instant ne prouve pas qu'elle y est restée toute la soirée. »
Le juge fronça les sourcils et hocha la tête. « Objection retenue. Maître Grant, reformulez. »
Victoria, imperturbable, adressa un regard neutre à Agatha avant de revenir à son témoin. « Mrs. Kensington, pouvez-vous dire avec certitude combien de temps vous avez observé Mrs. Collins ce soir-là ? »
« Seulement quelques minutes, » admit Sarah.
Victoria hocha la tête avec douceur. « Merci, Mrs. Kensington. Pas d'autres questions, votre Honneur. »
Agatha se leva alors, ses talons claquant légèrement sur le sol alors qu'elle avançait vers le témoin. Ses mouvements étaient mesurés, presque calculés, et son regard glacial ne quittait pas la femme à la barre.
« Mrs. Kensington, vous avez mentionné que vous avez vu Heather Collins dans sa cuisine. Étiez-vous proche de la fenêtre ? »
« Pas vraiment, non. »
« Très bien. Alors, à cette distance, êtes-vous absolument certaine qu'il s'agissait bien de Mrs. Collins ? Cela aurait pu être quelqu'un d'autre dans sa maison, n'est-ce pas ? »
Sarah parut troublée. « Eh bien... je suppose que c'est possible, mais je suis presque sûre que c'était elle. »
Agatha sourit légèrement, un sourire plus glacial qu'amical. « Vous êtes presque sûre, mais pas totalement. Merci, Mrs. Kensington. Pas d'autres questions. »
Alors qu'Agatha retournait à sa place, Victoria la suivit du regard, son expression toujours neutre, mais son esprit analysait déjà les failles de l'interrogatoire.
Victoria se leva de nouveau pour présenter une pièce essentielle de sa défense. « Votre Honneur, j'aimerais soumettre au dossier un reçu de stationnement qui prouve que ma cliente était à plusieurs kilomètres du lieu du crime au moment supposé de l'assassinat. »
Agatha se redressa immédiatement, son ton sec : « Objection, votre Honneur. Ce reçu ne prouve pas que Heather Collins était physiquement présente à cet endroit. Rien ne confirme qu'elle l'a utilisé elle-même. »
Le juge réfléchit un instant avant de répondre : « Objection rejetée. Maître Grant, continuez. »
Victoria hocha la tête avec un léger sourire satisfait. « Merci, votre Honneur. » Elle se tourna alors vers le jury, accentuant l'importance de cette preuve. « Ce reçu est une pièce majeure. Ma cliente ne peut être à deux endroits à la fois. »
Agatha, fixant Victoria avec intensité, se leva à nouveau. « Votre Honneur, je demande une vérification complète de ce reçu. Jusqu'à preuve du contraire, il ne s'agit que d'un morceau de papier. Sans caméra de surveillance ou témoin pour corroborer la présence de Mrs. Collins, il est impossible de l'accepter comme preuve irréfutable. »
Le juge soupira. « Très bien, Maître Harkness. Nous examinerons la validité du reçu. Pour le moment, il reste dans les preuves soumises. »
Agatha retourna à sa place, mais pas sans croiser brièvement le regard de Victoria. Une tension palpable les reliait, un mélange de défi professionnel et d'émotions complexes qu'aucune ne voulait reconnaître.
L'audience continua, chaque argument, chaque objection alimentant ce duel intense entre deux femmes aussi redoutables qu'intrigantes. La bataille juridique était loin d'être terminée, mais déjà, elle promettait d'être inoubliable.
Le procès continuait, les témoignages et les preuves s'enchaînant. Agatha et Victoria se lançaient des arguments aiguisés, chaque objection ou contre-interrogatoire intensifiant leur rivalité. Pourtant, au fil des échanges, Victoria ne pouvait s'empêcher de détourner ses pensées vers Agatha.
Sous la lumière tamisée de la salle d'audience, Agatha semblait presque irréelle. Ses gestes précis, sa voix froide et mesurée, et cette façon unique de dominer la salle, tout cela fascinait Victoria. Chaque fois qu'Agatha se levait pour parler, Victoria se surprenait à détailler la manière dont son tailleur bleu marine soulignait sa silhouette ou à noter l'éclat déterminé de ses yeux.
Elle secoua mentalement la tête. Ce n'est pas le moment, Grant, se rappela-t-elle, ramenant son attention sur le jury. Mais, même en réprimandant ses pensées, elle savait que quelque chose avait changé.
Agatha, de son côté, semblait parfaitement concentrée. Elle ne montrait rien, pas une faiblesse, pas un doute. Pourtant, Victoria sentait quelque chose de plus profond dans sa posture rigide, un combat intérieur qu'elle ne pouvait que deviner.
Après plusieurs heures d'arguments, de preuves, et de délibérations intenses, le jury revint avec sa décision. La salle d'audience était tendue, chaque souffle retenu.
Le greffier se leva pour lire le verdict. « Dans l'affaire opposant Heather Collins à la famille de Michael Collins, le jury déclare l'accusée non coupable. »
Un murmure parcourut la salle. Heather éclata en sanglots, serrant les mains de Victoria avec une reconnaissance sincère.
Agatha resta immobile un instant, son expression froide dissimulant parfaitement la frustration qui bouillonnait en elle. Elle se leva dignement, rassemblant ses papiers avec calme, mais son esprit tournait à mille à l'heure. Elle avait perdu, et perdre contre Victoria rendait la défaite encore plus difficile à avaler.
Victoria, de son côté, ne put s'empêcher de jeter un regard à Agatha. Ce regard n'était pas triomphant, ni moqueur. Il était... contemplatif. Elle voulait lui dire quelque chose, peut-être même lui tendre la main. Mais elle se retint. Pas ici, pas maintenant.
Alors que la salle commençait à se vider, Victoria s'approcha doucement de la table de l'équipe adverse, hésitant une fraction de seconde avant de parler. « Bien joué, Maître Harkness. Vous êtes redoutable, comme toujours. »
Agatha leva les yeux, son regard perçant croisant celui de Victoria. Elle esquissa un sourire glacé, mais poli. « Félicitations, Maître Grant. Vous avez été... impressionnante. »
Le sous-texte était là, palpable, dans l'air entre elles. C'était plus qu'un simple échange professionnel. Une tension, une connexion qu'aucune des deux ne voulait nommer.
Victoria sentit son cœur accélérer. Elle ouvrit la bouche, comme pour ajouter quelque chose, mais Agatha prit son dossier et s'éloigna avant qu'elle ne puisse continuer.
Victoria la regarda partir, ses talons claquant sur le sol avec une assurance implacable. Une pensée la traversa : Elle est belle. Magnifique, même. Et ça me trouble bien plus que ça ne devrait.
༻﹡༺
De retour dans son bureau, Agatha referma la porte derrière elle, le bruit de la serrure résonnant dans le silence. Elle posa son dossier sur le bureau et s'assit, les mains tremblantes de colère et de frustration.
Ce n'était pas seulement la défaite qui la hantait. C'était Victoria. Sa présence, son intelligence, sa détermination... et cette beauté troublante qu'elle ne pouvait ignorer.
Elle se massa les tempes, essayant de faire taire ces pensées. Mais l'image de Victoria restait gravée dans son esprit, tout comme celle de Jonathan et de cette femme mystérieuse. C'est ridicule, Agatha. Concentre-toi.
Pourtant, une part d'elle savait que quelque chose était en train de changer. Et cela l'effrayait autant que cela l'intriguait. Agatha était plongée dans ses pensées, les yeux fixant le dossier devant elle sans vraiment le voir. La défaite au tribunal l'obsédait, mais c'était la présence de Victoria, son regard perçant, son attitude confiante, qui occupait la majeure partie de son esprit.
Soudain, la porte de son bureau s'ouvrit doucement, et Lilia Calderu entra, un sourire en coin. « Tu as l'air absorbée, Agatha. »
Agatha leva les yeux, surprenant un instant la lueur de frustration dans son regard avant de la masquer. « C'est la fin de la journée, Lilia. J'essaye juste de m'organiser. »
Lilia s'approcha du bureau, les bras croisés, un air faussement sérieux sur le visage. « Tu sais, après un jour comme ça, tu devrais vraiment sortir un peu. Boire un verre, te détendre. »
Agatha resta silencieuse un moment, observant la détermination de Lilia à l'encourager. Elle savait que sa collaboratrice voulait la distraire, l'aider à décompresser, mais ce soir-là, Agatha n'en avait aucune envie. Elle haussait les épaules mentalement en sachant déjà quelle serait sa réponse.
« Je passe mon tour ce soir, Lilia. »
Lilia se laissa tomber sur la chaise en face du bureau d'Agatha, levant les yeux au ciel. « Encore une de ces soirées où tu te laisses envahir par ton travail, hein ? »
Agatha esquissa un petit sourire. « C'est ainsi que les choses fonctionnent parfois. »
Lilia la fixa un instant, analysant son expression. « Tu sais, Agatha, si tu ne relâches pas la pression de temps en temps, tu risques d'imploser. »
Agatha soupira et tourna légèrement son regard vers la fenêtre, comme si elle cherchait quelque chose à l'extérieur pour se concentrer. « Ce n'est pas une question de pression. Je... je préfère rester ici ce soir. »
Lilia la regarda, un peu déconcertée mais acceptant la réponse. « Très bien. Mais je vais bien finir par te traîner dehors, un de ces jours. »
Agatha ne répondit pas tout de suite, perdue dans ses pensées. Traînée dehors. Ce n'était pas ce qu'elle voulait. Elle ne voulait pas de distractions, surtout pas en ce moment où son esprit était encore tourmenté par la confrontation avec Victoria.
« Va t'amuser, Lilia. Tu en as bien besoin, » dit-elle enfin, avec un léger sourire qui ne parvenait pas à masquer l'ombre dans ses yeux.
Lilia se leva, voyant que l'insistance ne servirait à rien cette fois. « Très bien. Mais tu sais où me trouver si tu changes d'avis. »
Agatha acquiesça d'un hochement de tête, et Lilia quitta le bureau, laissant Agatha seule avec ses pensées.
༻﹡༺
Agatha entra dans son appartement, les clés tombant brusquement dans le petit plat près de l'entrée, un geste un peu trop énergique pour être normal. La soirée au tribunal avait été difficile, la défaite encore fraîche dans son esprit, mais ce n'était pas cela qui la perturbait. Elle sentait un malaise grandir à chaque pas qu'elle faisait dans son appartement.
Lorsque Jonathan, son mari, était censé être là, il n'y avait aucune trace de lui. Son manteau, qu'il laissait toujours sur le canapé, n'était plus là. Elle s'avança lentement, comme si quelque chose dans l'air avait changé, puis entra dans le salon. C'est là qu'elle le remarqua. Le téléphone de Jonathan était posé sur la table basse, écran allumé, un message évident et non effacé s'affichant à l'écran.
"Je ne peux pas attendre ce soir. Je veux te voir. Il me tarde que tout soit fini entre toi et elle."
Agatha sentit son cœur se serrer. Elle n'avait même pas besoin de lire davantage pour comprendre. Le sentiment d'effondrement, de trahison, envahit son être. Jonathan l'avait trompée. La rage monta en elle comme un volcan prêt à exploser.
Quelques minutes plus tard, Jonathan rentra, l'air détendu, comme si tout allait bien. Mais dès qu'il posa les yeux sur Agatha, son expression changea, se figeant de surprise.
« Agatha... tu es rentrée plus tôt ? »
Agatha ne répondit pas tout de suite. Elle tenait le téléphone de Jonathan dans les mains, l'écran toujours visible, et le lui lança sans ménagement. « Ça, c'est quoi ? »
Jonathan sembla pris au dépourvu, mais il tenta de garder son calme. « Écoute, ce n'est pas ce que tu crois... »
Agatha se rapprocha de lui, son regard glaçant. « Ne me mens pas. » Sa voix tremblait légèrement, mais c'était de colère, pas de tristesse. « Comment as-tu pu me faire ça ? Après tout ce temps, après tout ce qu'on a construit ? »
Jonathan hésita, cherchant une échappatoire, mais Agatha n'attendait pas de justification. Elle n'en voulait plus.
« Je suis désolée, Agatha. C'était une erreur... »
Un éclat de rire nerveux s'échappa des lèvres d'Agatha. « Une erreur ? » Elle secoua la tête, se reculant d'un pas. « Tu as menti pendant des mois, Jonathan. Ça, ce n'est pas une erreur. »
Un silence lourd s'installa entre eux, et la tension monta encore. Agatha, submergée par la colère et la douleur, finit par tourner les talons. « Je n'ai pas envie de discuter. Pas ce soir. »
Elle attrapa son manteau et se précipita vers la porte, décidée à fuir cette confrontation.
༻﹡༺
Un bar assez discret, à l'écart des regards. C'était l'un de ses endroits préférés, un refuge où elle savait qu'elle pourrait se perdre dans l'anonymat. La musique douce et les conversations en arrière-plan lui offraient une sensation de calme relatif. Elle s'assit au comptoir, son regard vide, puis commanda un verre de whisky.
Elle prit une gorgée, laissant l'alcool brûler sa gorge, mais ne ressentant presque rien. Ce n'était pas le soulagement qu'elle cherchait, mais plutôt un moyen de calmer un peu le tumulte intérieur.
Elle se concentra sur la sensation du liquide dans son verre, tentant de se recentrer. Mais les pensées tourbillonnaient toujours, un tourbillon incontrôlable : Jonathan, sa trahison, puis cette image persistante de Victoria...
La soirée venait tout juste de commencer, mais Agatha sentait déjà que ce moment, cette rupture, allait marquer un tournant dans sa vie.
Le bruit de la porte du bar s'ouvrit, et Agatha tourna brièvement la tête. Elle n'avait pas besoin de chercher longtemps : c'était Victoria. La silhouette haute et assurée de la maîtresse de l'autre cabinet se découpait dans la lumière tamisée du bar. Agatha sentit une pointe d'irritation s'élever dans sa poitrine, mais elle la refoula aussitôt.
Victoria s'avança d'un pas élégant, rejoignant le comptoir. Elle salua le barman d'un sourire poli avant de passer sa commande. « Un gin tonic, s'il vous plaît. » Sa voix, calme et contrôlée, résonna doucement dans l'air.
Agatha détourna les yeux, son esprit déjà ailleurs, mais un mouvement attira de nouveau son attention. Diane Lockhart, la grande avocate du cabinet rival, arriva à son tour. Elle s'approcha de Victoria, un sourire sincère sur les lèvres.
Les deux femmes échangèrent quelques mots à voix basse avant que Diane ne prenne l'initiative de la prendre dans ses bras, un geste affectueux mais intime. Elles se tenaient là, l'une contre l'autre, presque comme si elles formaient une unité, une complicité qui semblait aller au-delà de la simple relation professionnelle.
Agatha resta immobile, les yeux rivés sur la scène sans pouvoir détourner le regard. La vue de Victoria dans les bras de Diane la fit se sentir... étrange. Quelque chose de douloureux s'installa en elle, un mélange de jalousie et de frustration. Pourquoi cela l'affectait-elle autant ?
Elle se dit qu'elle n'avait rien à faire ici, que tout cela ne la concernait pas. Elle se leva lentement, prête à quitter le bar, mais quelque chose la retenait. L'image de Victoria et Diane, fusionnant dans un moment qui semblait privé et secret, la perturbait plus qu'elle ne voulait l'admettre.
Agatha resta là, reculée dans son coin, observant sans rien dire, sans bouger, ses émotions en guerre à l'intérieur. Pourquoi ça m'énerve tant ? pensait-elle. Elle n'est pas mon problème.
Mais son cœur battait plus fort à chaque seconde, l'ironie de la situation frappant brutalement Agatha. Elle avait toujours été la femme qui contrôlait tout, qui gérait les conflits avec froideur et maîtrise, mais ce soir-là, elle se sentait vulnérable, perdue. Et tout cela, à cause de cette étrange attirance pour Victoria, une attirance qu'elle n'arrivait ni à comprendre ni à accepter.
Elle se tourna enfin, son regard restant encore un instant sur le duo, avant de sortir du bar, laissant derrière elle cette scène et cette sensation d'être étrangère à tout cela, mais paradoxalement profondément affectée.
⋆ ˚。⋆୨୧˚FIN ˚୨୧⋆。˚ ⋆
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My theories and Heardcanon about the Ope Ope no mi and how the Eternal Youth Surgery works.
Hi! I wanted to express my thoughts, theories and heardcanons of how Ope ope no ni works and my theory of eternal youth surgery. English is not my native language, so I apologize for any mistakes in expression and grammar in advance.
1-Medical knowledge.
I have seen a lot of people saying that to do anything with the ope ope no mi you need to have medical knowledge, but I don't think so. I see it as a tool. I believe that any user of the Ope Ope no mi would be able to do any of the techniques that Law does in combat, except “mess” and personality transplant surgery, which I'll talk about later. Because, I could pick up a scalpel and cut with it, but I can't save anyone's life with it, I couldn't cure myself of deadly poisoning or look for things that are wrong with the body if I don't know what I'm doing. Same with the electricity attack, I think anyone could launch an electric attack, but I wouldn't know the right amount to restart a heart without killing the patient in the attempt. Same with Gamma Knife. (My personal heardcanon is that the Ope ope ope not me per se can launch a small amount of gamma rays to treat cancer, but Law managed to concentrate the energy to form a knife).
2-Re-room and silence.
This is a heardcanon. To me, Law could use Silence long before he unlocked Re-room (and in my humble opinion, Re-room is much more dangerous than K-room. Because a Room that chases the target to have no distance limitations seems lethal to me).
The case. The Room being somewhat similar to Rosinante's sphere of silence, I totally see Law of about 16-17 years, after no longer trying to hide his devil fruit and being able to experiment with it, trying to do an imitation of Calm. Why didn't he use it until his Big Mom battle?
First, because I see him as very sadistic and enjoying the screams of his enemies when they are amputated (he said he doesn't like killing, not that he doesn't enjoy psychologically torturing people he detests, like members of the world government -the poor Sabaody marines- xd).
The second thing, is because I don't think he likes to use his energy in techniques that aren't strictly useful, and Silence, in most cases would be a whim, only in the battle against Big Mom could it have been really useful.
3-Personality transplant surgery.
I personally love it and I'm a bit sad that it hasn't been used more, but I understand that by logic, there are few situations where it would be really useful, because for people with superior haki, you couldn't do it, and for people with worse haki, most cases an Amputate would be faster and more efficient.
On the other hand, I want to emphasize that this is a surgery, not one of the techniques I consider as “surgeon's tools”. Just like the more conventional surgeries you can do, you need to know what you are doing. I believe this technique exists because it will be important later on or is a prelude to the Eternal Youth surgery. It is proof that the surgeon can manipulate the soul and has more control of life than it seems.
4: The surgery of eternal youth.
Well, here I want to express my theory, and I have separated it into several points.
4.1 Give and take.
I think this concept is very ingrained in Law. All his life he felt he owed his life to Rosinante and had to use it to complete his goal, that's why he had trouble understanding unconditional love, they are practically opposite concepts.
Ope Ope no mi seems to me a somewhat self-destructive fruit, in the sense that it seems made to save people at the cost of the user's energy, and the harder it is to save the patient, the more energy it will suck from the user. And it doesn't take forcing the fruit's abilities to harm itself, like Luffy with his gear 2, it seems that all his techniques come at a cost, higher or lower, like when he explained in Dressrosa why he couldn't take care of boxer fish.
4.2 Soul.
Being a surgery, Law could not do it just because he wants to, he has to know how to do it, and for that, I think what he is dealing with is the soul of people. We know the following things about the soul in the One Piece's world, thanks to Brook's fruit and Big Mom's fruit.
1: The soul exists. There is no argument.
2: The soul can fragment and separate from a body. Soul fragments equal years in your life expectancy. When a soul is completely separated from a body, that body becomes inert, dead.
3: Devil fruits are rooted to the body, not the soul. (The Chopper possessed by Franky's personality was still using his fruit).
Souls can be consumed, presumably only people who can manipulate them can consume them, doing so gives you a great deal of energy and can help heal the user.
The souls are the ones that provide the memory and the personality of the individual.
4.3 Is it reversible?
I was thinking. If the surgery is an effect of a devil fruit, does it mean that a strong enough haki is able to negate its effect? In that case, which haki would have to be overcome, that of the immortal or that of the surgeon who did it?
On the other hand, with the personality change surgery we have been told that only Law could return them to normal, it is not known if with haki they could have reversed it.
Because with Hancock's fruit, she said it was irreversible, but of course, the haki had to be used consciously and it is difficult for stone statues to do anything. But in the case of the personality exchange, the victims are conscious and keep their haki.
4.4 The operation.
I believe that the soul in the One Piece's world gradually leaves its body.
Perhaps there is a separation between “personality” and “energy”, one that shapes an individual's character and one that retains it in a body. Likewise, I think Brook's fruit gives him the ability to control the “energy” part of oneself almost completely, while Big mom's gives him the ability to limitedly control both parts.
(And the cursed swords to me possess the “energy”, but only a few hints of “personality” And thus can be held for longer but can be bent with a strong will, and the Klabauterman have “personality” but very limited “energy”, so they only use it in times of maximum need).
The ope ope seems to be able to manipulate “personality”, and not energy.(Or yes, I don't know).
4.5 The consequences.
Anyway, here I am going to bring two alternatives, one extremely cruel for the poor man and one less cruel xd.
The less cruel one is that he gives up his energy in a way that retains the patient's “personality” forever, somehow or other.
For the more cruel one, I want to mention that I surely have very strange ideas that for more than one would not make any sense, so maybe it doesn't make any sense at all. To begin with, I want to remember Drum's arc and Dr. Hiriluk's sentence. “A person only dies when they are forgotten.”
My theory is that personality has an immortal nature, that it escapes from a body when the energy eventually disappears, but is still there forever. And also, that personality also carries people's memories. So, if Law does the Eternal Youth surgery, he would change the immortal character of his “personality” to the “energy” of the patient, making the patient never lose the energy of his body. Then, the personality would die and have an effect similar to Sugar's fruit. Everyone would forget that it ever existed, and it would be restructured so that it would appear as if it was never there in the first place. In exchange for immortality, it would give the surgeon a true death.
4.6 Will he do it?
Please don't. But The main theory is that he would do it to Luffy, and there are two main reasons why the community thinks he won't do it: he would condemn Luffy to eternal solitude, and Luffy wouldn't allow him to sacrifice himself.
But I see two weaknesses here: The first, is that it's surely reversible, if the final villain will be defeated, it's that they will somehow or other overcome it.
The second, Doflamingo kicked Luffy off the roof before they got around to talking about it. That information is something readers know. Luffy doesn't know that if Law does the surgery, he will die.
On the other hand, would Law do it? I'd love to think he wouldn't, but I believe he knows how to do it, and if he learned how to do it, it's either that he lacks a lot of self-preservation instinct, or that he thinks it might become necessary.
Also, in my view, Law is acting a bit like Cora (risking his life and his mission for a poor kid with the D in his name, taking him on a tour for a while and getting attached to him in the process. And we all know how it ended, with Cora trading his life for the kid, lying to him telling him not to be stupid, he'll live).
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2021 Cannondale Scalpel SE 1 - Abyss Blue
Spezifikationen
VERBINDUNG
Radsensoren: Cannondale Wheel Sensor
ANTRIEB
Bottom Bracket: Cannondale Alloy PressFit30
Chain: Shimano SLX, 12-speed
Crank: HollowGram, BB30a, OPI SpideRing, 32T, Ai offset
Rear Cogs: Shimano XT, 10-51, 12-speed
Rear Derailleur: Shimano XT
Shifters: Shimano XT, 12-speed
RAHMENSET
Fork: RockShox SID Select+ RL, 120mm, Debonair, 15x110mm thru-axle, tapered steerer, 44mm offset
Frame: All-New, 120mm travel, BallisTec Carbon, Proportional Response Tuned, FlexPivot Chainstay, PF30-83, Tapered Headtube,Speed Release 12mm thru axle, Ai Offset, Stash compatible
Headset: Integrated Sealed Bearing, Tapered
Rear Shock: RockShox SIDLuxe Select+, 2-Pos mode adjust, adjustable rebound
LAUFRÄDER
Vorderradnabe: Formula, 15x110
Hinterradnabe: DT Swiss, 12x148
Rims: HollowGram 25, Superlight Hi-Impact Carbon, 28h, 25mm IW, tubeless ready
Spokes: DT Swiss Competition Race, straight-pull
Reifengröße: 2.35
Reifen: (F) Maxxis Ardent Race, 29 x 2.35", EXO Protection, tubeless ready (R) Maxxis Recon Race, 29 x 2.25", EXO Protection, tubeless ready
Radgröße: 29
BRAKES
Brake Levers: Shimano XT hydraulic disc
Brakes: Shimano XT hydraulic disc, 180/160mm XT rotors
KOMPONENTEN
Grips: ESI Chunky Silicone, 32mm dia.
Handlebar: Cannondale 1 Riser, Carbon, 31.8mm, 9° sweep, 4° rise, 780mm
Saddle: Fabric Scoop Flat Elite, cro-mo rails
Seatpost: Cannondale DownLow Dropper, internal routing, 31.6, 100mm (S), 125mm (M-L), 150mm (XL)
Stem: Cannondale 1, 7075 Alloy, 1-1/8", 31.8, 7°
EXTRA
Extra 1: Stash Kit (Fabric 8-in-1 Mini Tool and Dynaplug tubeless puncture repair tool), Tubeless valve stems
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Torn - Part 1
Summary: Strife had always been untouchable, arrogant, and ruthless. A vicious Supervillian. It took more than Pandora, or Glory, as she was called in public, knew she had in her to bring him down. But this sets in motion events that Hero could never have imagined.
Warnings: Detailed death threat, swearing, name calling, vomit, extremely violent whump, vivisection, smug whumpee breaking, infection, graphic infection, fever, delirium, panic, scared whumpee, sick whumpee, begging, crying, restraints, violent torture.
Tagging @whumpwillow, because I saw the idea on her blog, and @equestrianwritingsstuff, who encouraged me to write this.
Update, changed their names
“I’ll kill you for this, you little bitch.” Strife snarled, as he was dragged towards the prison transport. “When I get my hands on you, I will break you, body and spirit.”
You already have. Pandora thought, as he was dragged into the truck. She was breathing hard, her heart racing, her body bruised and battered from the fight. She could barely stand up, and she had come so close to dying in that fight. forty-five minutes of being thrown around by that brute. She wanted to cry. She’d been so scared the whole time, so scared that one of his custom made knives would find one of her vital organs, and tear the life out of her.
“And then I’ll fucking strangle you.” Strife shouted, even as the doors slammed shut.
Pandora groaned, closing her eyes. She felt sick, and she knew she had at least three broken ribs.
But I finally beat you, you monster. She thought, clinging to the miracle that was her victory. They’ll lock you away, and I’ll never see you again.
It brought a little comfort when she thought of it that way. He’d never menace her again, never injure her again. The whole city was safe from him.
Pandora made her way home, limping down the rainy streets and back alleys, avoiding people as best she could. No one knew her real identity, and she didn’t want that to change.
When she got inside, it took all of her effort not to faint right there in the front hall. Shivering, she climbed the steps, and made it into the bathroom. She staggered over to the sink, and threw up. Exhausted, she rinsed the sink, and climbed into the shower, watching as blood from various cuts washed down the drain.
*********
Damian growled, tugging against the restraints on his arms. If that little brat Glory hadn’t stuck her nose in where it didn’t belong, then he wouldn’t be in this situation.
Insufferable little twit. She’ll pay for this. He thought, watching as his jailer picked up one of his knives.
“Be careful, they’re sharp.” Damian sneered, feeling only the faintest flicker of alarm as the man walked towards him, and placed the tip of the blade at his solar plexus.
“Oh, I’m aware.” The man replied, pressing ever so slightly.
Damian hissed as blood began to run out of the small cut. “If this is meant to scare me-”
“It’s not meant to scare you. It’s meant to break you.” His captor smiled, and dug the knife in deeper, before tugging it down. Damian gasped, trying to squirm away. The restraints made it impossible. As the knife continued its downward path, Damian screamed, again trying to thrash around. By the time his captor drew back, the cut extended from his solar plexus to below his naval.
The man walked over to a table with various metal tools, and selected something that looked like it came from a medieval torture chamber. Unfortunately, Damian could guess its purpose; to hold the wound open.
“N-no.” He stammered, overwhelmed by the terror and pain. “No, p-plea...please. Y-you c-can’t do this.”
“You don’t seem to be in any position to stop me.” The man noted, and got back to his work.
**********
1 week later
********
The phone rang at three in the morning. Groaning, Pandora answered it.
“Mmmmf?” She mumbled, still half asleep. Had she not been, she would have realized that this was the untraceable phone the police sometimes called her from. That sank in the moment a quiet voice spoke.
“Glory? Is this Glory?
Pandora sighed. “Yes, this is Glory.”
“You have to get Strife out of the prison.”
Oh great, a crank call.
“Why would I do that?” She asked in a low voice, the one she used in public.
“They’re torturing him. They... Glory please, they vivisected him.”
All the edges of sleep vanished, and Pandora bolted up.
“They. Did. What?” She asked.
“Vivisected him. I saw it happen.”
“Who are you?”
“A prison nurse.” Came the hushed voice. “Please, he’s unguarded. You could get in through the window. Cell 10. Isolation. Oh, please come.”
With that, the line went dead.
Hero frowned. It could be a trap, but if it wasn’t she couldn’t leave Strife to be tortured, no matter how much she hated him.
After setting fire to an empty wing of the ward to create a distraction, she did end up climbing in the window, which, thankfully, was on the first floor, and sneaking down the hall of the isolation ward until she came to cell ten.
Carefully, she wired the code box on the door, and it slid open. As she entered the dimly lit room, she carefully covered the camera with her jacket.
Her heart dropped into her stomach as she took in the sight of the supervillain.
He was lying on his back, very thoroughly restrained. His chest rose and fell in shallow breaths, his trembling body drenched in sweat. His eyes were open, staring at nothing.
“Shit.” Pandora breathed, and crept closer, feeling nausea rise in her throat as she saw the crudely stitched wound on Strife’s abdomen. It was oozing both blood and pus.
“Hey.” Pandora murmured, gently placing her hand on his wrist.
The man whimpered, trying to pull away.
“No.” He whined, drawing the word out until it was more of a whimper.
“Ssssshhhh. Sssssshhhh, it’s alright.” Pandora soothed, and began undoing the restraints.
“Saving your nemesis dear?” A voice asked. Pandora whipped around, drawing her gun.
The man facing her looked ordinary enough, except for his eyes. They were soulless, empty.
“Saving someone who needs my help.”
“He’s a menace.”
“And you cut him open. Tore him apart.” Pandora snarled. At the words, Strife began to sob, begging incoherently.
“And you’re next.” The man said, picking up a scalpel.
“Think so?” Pandora asked sweetly, and squeezed the trigger of the tranquilizer gun. The bolt hit the man square in the neck, and he staggered backwards. Taking advantage of his shock, Pandora used the butt of the gun to hit him over the head. He fell to the floor, unconscious, and Pandora quickly returned to the delirious supervillain’s side.
Senseless with fever, he moaned and begged incoherently as she freed him from the leather straps.
Carefully, she wheeled the stretcher he was lying on over to the door, and down the empty hall. It seemed that most of the guards were still occupied with her distraction, and Pandora was able to sneak out the emergency exit with Strife.
Finally, she carefully got him into her car, and laid him on the back seat, careful not to aggravate the massive wound on his stomach any more than it was already.
With a heavy heart, she drove home.
Parking in the garage, she carefully hauled Strife inside, and tried to carry him up the stairs, in the end, she had to drag him, though his squeaks of pain made her stomach twist.
Finally, she hauled him into the guest bed, and examined his mutilated stomach.
“Plea...se.” Strife moaned. “No... more...”
“Sssshhh. It’s alright now. I’m going to fix... this.”
#whump#vivisection#vivisection tw#Supervillain whumpee#supervillain#sick supervillain#feverish whumpee#feverish supervillain#panic#fear#torture#blood#pus#infection#infected wound#fever whump#infection whump#graphic injury description#graphic injury#straight up torture#restrained#strapped down#crying#begging#feverwhump#infections#Hero Caretaker#hero x supervillain#blood tw#knives
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Chapter 11: Someone Called The Baby Brother Protection Squad?
Fandoms: Danny Phantom, Batman,
Summary: He swore his sister was trying to make him go into cardiac arrest - considering his halfa status that was quite the accomplishment-
But there was no other explanation to his sister’s stubbornness, and if he knew her at all there was just no talking her down from interning at goddam Arkham.
A/N: Im getting dizzy and its all the characters fault. Most of it. Some of it.
THIS IS ON AO3, IF ANYONE WOULD PREFER TO READ THERE. LOVE COMmENTs so if u have anything to say IwillBeReallyHappyYesThankU
@silvergold-swirl
Notes:
Hi grandma, it’s ME, Anastasia! 💋
Hello guys~ I had to rearrange some things and move some scenes because i hated the timing. We are gonna go with this short one and hopefully danny will cooperate now that I finally gave up and let him scape the torture. I swear to god this boy doesn’t care for anything that isn’t working in his damned survival Notebook ughh
I mean i did give it to him, i guess. So i am the one to blame. Should have seen that one coming. 🤡
CHAPTERS: 1 , 2 , 3 , 4 , 5 , 6 , 7 , 8, 9, 10, 11, 12,
Danny was.. unsure.
Which wasn't exactly a new occurrence, per se, but C’mon !
He had read the damn pamphlets, — the pamphlets ! Who does that? not counting Jazz, of course, because she didn't count on grounds of her being Jazz — and listened raptly — even if there had been plenty of eye rolling and sighs from his part — while Jazz coached him through the ‘Do’s’ and ‘Don’ts’ and the ‘What ifs’ and whatever else she had thought to throw in there ‘just in case’.
It seemed like it would be for nay because apparently the examiners hadn’t been informed of Jazz’s carefully planned out schedule. He was pretty sure the examiners taking him to a secondary location after the test was already done hadn’t been stated anywhere.
He would like his freedom back. Yes and thank you.
But maybe this was important? Even if jazz or the damn pamphlet hadn’t mentioned anything about it?
Mulaney would be pretty disappointed but at least Jazz would not try and make him a full ghost if he made a full blown scandal — in the middle of the school he was just about finished making the entrance exams for — as god almighty intended it whenever things started to get shaddy around him.
You can’t make everyone happy these days, but you can choose who you are going to disappoint or potentially piss off. And that was something.
At least the new place was still inside the same building and no one had taken out the scalpels. Yet . On the way here they had walked by something that looked suspiciously like a dissection lab and Danny's hackles had raised and stayed up even after they had walked past and left the damned place behind.
The current company didn’t help much in calming him down, either.
The look one of the ladies kept giving him reminded him — uncomfortably so — of the manic stare Spectra got whenever she got some new poor soul on her clutches. The same sort of look some ghosts shared. The sort of look that had resulted in Danny quickly and effectively developing a pavlovian response. One that resulted in exorbitant amounts of well-placed aggression and some collateral damage to fix later if he was particularly unlucky.
He couldn’t exactly afford the collateral damage right now, though. Which was a shame. But, eh.
Danny had to repeat Jazz words like a mantra, over and over again to calm his nerves down before he managed to convince himself in his paranoia that everyone in this room had somehow gotten possessed, that this was nothing more than an elaborate hoax and he needed to ‘suit up’ and dispatch them before they got the chance to dispatch him first.
Then the examiners-slash-teenappers seemed to finish their impromptu rendezvous and the spectra-wannabe lady turned towards him with yet another smile.
His core trilled, a fake smile took over his face and Danny started to feel his fingers twitch in anticipation. Of what? he didn’t exactly know. But it would get pretty ugly , really fast if the lady came any closer.
When someone knocked on the door- Well, no. The knock itself had not been enough to derail any of them —except for Danny, who had snapped to attention and contemplated the expansion of possibles getaways now that the door was once again open, if slightly obstructed by someone — but one of them finally caught the stare of the redheaded woman on the door and that sure seemed to be enough.
There was no better word to what followed, the woman started to rip them a new one, right in front of their salad and everything, as they say.
So he did the smart thing — because of course he did —, he took the distraction for what it was and hightailed it out of the room.
Jazz would understand, right? right.
And that was the moment when Jazz appeared out of thin air and looped an arm around his shoulders, halting his momentum.
He side eyed her. She side eyed him back.
“Umh, I- I was just-” her eyebrow rose and Danny felt the nervous laughter fall from his lips without authorization. Which, rude. But also understandable. Maybe.
Jazz didn’t stop to acknowledge it. She just brought their foreheads togethers a moment to nuzzle him — long enough for him to get a grip while the both of them took a pair of deep breaths — and Danny finally recognized the look on her face from multiple parent-teachers conferences back in amity when not even one of their parents managed to make it into the school without getting sidetracked or offending someone on the way there.
She was taking over from here.
“Don’t get lost.” Was all she offered in a whisper, and then she let go.
He smiled back at her.
And then made a run for it.
-.-.-.-
Jazz was feeling-
Incredibly validated if slightly murderous.
The validating feeling was new but expected. The murderous one was an old friend, and she had thought it wouldn’t make an appearance today. That had been her mistake. She would learn from the experience and be better prepared in the future.
watching her brother run circles around these people without even noticing had been fun until it wasn’t. The sight of her little brother so strung up had made her want to take some pointers from Vlad but alas.
There was someone better to take pointers from right now.
Two redheads are always better than one, after all.
-.-.-.-.-.-.-.--.-
NOTES
Me, flipping a coin to decide between feral siblings and soft siblings each chapter.
-.-.-.-
Lydia martin is one of my goddesses. I can understand stile because holy fuck that woman is awe inspiring.
-.-.-.-
Also barbara of course. And Gwen tennyson. And giesell. And Anastasia. And the little mermaid. And ranko. And roberta. And-
Have i mentioned I have a thing for redheads?? That seems important. Because oh booooiii
-.-.-.- I'm going to get another coin to flip. It’s either both feral and soft or double the amount of one of those and that sounds real nice~
-.-.-.- as a throw back to the chapter with the ghost council: the ghost kryptonians?? I imagined them keeping taps on clark and rooting for him, like, there are support groups sometimes and everything, like ´-and last but not least: next Tuesday is Lex Luthor Hate Night, guys, so don't you dare forget the popcorn daggers again Ken Al-‘
and i just ahskfsahkgakl I can’t- !!
-.-.-.-
I had a talk with the characters and we all decided Danny and Jazz will be in charge of bulldozing the way for everyone else.
If any of the others want to pop in with a pov then it will happen, if they don’t then they won’t, and we will have to make do with the feral siblings view of this mess. Maybe. Depends on if these fuckers change their mind. Like they do. Ugh. It’s gonna be lovely, I. can. tell.
CHAPTERS: 1 , 2 , 3 , 4 , 5 , 6 , 7 , 8, 9, 10, 11, 12,
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Plusieurs psychanalystes, psychiatres, pédiatres, initiateurs de l'Observatoire des discours actuels et des pratiques médicales sur l'enfant et l'adolescent*, réagissent au documentaire « Petite fille » de Sébastien Lifshitz, qui fait la promotion du changement de genre chez les enfants.
« Mais si tu prends ma voix, dit la petite sirène à la sorcière, que me restera-t-il ? » Et la sorcière de répondre : « Tends ta jolie langue, afin que je la coupe pour me payer et je te donnerai le philtre tout puissant. » Dans le conte de La Petite sirène de Hans Christian Andersen (1805-1875) paru en 1837, la petite sirène ne parlera plus. Sa transformation lui coûta sa voix. C’est le prix à payer si nous ne continuons pas à nous interroger et à penser le monde tel qu’il va. Les progrès incontestables de la médecine de ces vingt dernières années et en particulier l’endocrinologie et la chirurgie plastique ont rendu possible des « transformations » corporelles qui ont permis à des hommes de devenir des femmes et inversement, du moins en apparence.
ENFANTS ET TRANSGENRISME
Il suffit aujourd’hui de le vouloir avec le blanc-seing du corps médical et de son philtre tout puissant, afin de le pouvoir. Le scalpel, au même titre d’ailleurs qu’un hashtag numérique, vous transforme un homme à la fois dans la chair et sur les réseaux sociaux. Dès lors, se posent des questions éthiques : à quel âge doit-on trancher dans le vif du sujet et rendre possible la demande faite à la médecine de changer de sexe ?
Une récente tribune parue dans The Guardian le 3 décembre dernier met en exergue le cas de Keira Bell, une ancienne patiente, qui regrette le traitement de transformation de genre, a fait valoir qu'elle était trop jeune pour consentir au traitement médical qui a commencé sa transition femme-homme à l'adolescence. Dans une décision de 36 pages, le tribunal a conclu que les enfants de moins de 16 ans qui envisagent de changer de sexe ne sont pas suffisamment mûrs pour donner leur consentement éclairé à se voir prescrire des médicaments bloquant la puberté. Par ce jugement, l'intervention médicale pour les moins de 16 ans souffrant de dysphorie de genre sera plus encadrée.
"Nous assistons encore à une situation de Diktats et d’impératifs catégoriques"
Dans son jugement, la Haute Cour souligne « que les traitements bloqueurs de la puberté apparaissent comme expérimentaux et qu’ils n’ont pas fait suffisamment preuve de leur efficacité à court et long terme ». Cette interrogation sur le genre est particulièrement sensible dans la clinique des adolescents d’aujourd’hui. Ceci n’est sans doute pas un hasard, les adolescents se faisant toujours l’écho de ce qui se trame dans le corps social. En effet, nous assistons à un hypersubjectivisme identitaire « à la demande » qu’une certaine médecine ratifie. Nous assistons encore à une situation de diktats et d’impératifs catégoriques où les discours politiques et militants viennent croiser les discours cliniques au point de se confondre et entraver tout discernement. Certains adolescents qui adhèrent à ces discours vont aussi dans le sens du vent communautariste.
UN DOCUMENTAIRE PROBLÉMATIQUE
Un autre événement médiatique, un documentaire cette fois, a fait des remous chez les professionnels de l’enfance notamment. Le récent film de Sébastien Lifshitz Petite fille ne manque pas de nous interroger au-delà de ses qualités indéniables. Il témoigne du cheminement d’une famille dont l’enfant, Sasha, présente ce que les psychiatres nomment une « dysphorie de genre », symptôme classé récemment dans le manuel de l’Association américaine de psychiatrie (APA) afin de décrire la détresse de la personne transgenre face à un sentiment d’inadéquation entre son sexe biologique et son identité de genre. Depuis 2013, l’APA indique que la non-conformité de genre n’est pas un trouble mental mais une souffrance clinique qui appelle une intervention médicale (non psychiatrique).
Qualifié par Télérama de « bouleversant film d’amour », le documentaire se veut ainsi une ode lumineuse à la liberté d’être soi. Mais est-ce si simple ? La question mérite d’être posée malgré les lignes de vertu qui entourent les discours actuels. De quoi est-il question dans ce film. Un très jeune enfant, Sasha, né garçon, 7 ans est convaincu depuis l’âge de trois ans d’être une fille et depuis lors est en grande souffrance car il fait l’épreuve du regard des autres qui ne comprennent pas sa « différence ». Les petites filles le rejettent car c’est un garçon et les garçons le trouvent trop efféminé. L’école que l’on présente dans le film comme le mauvais élève– la mauvaise mère ? - fait mine de ne rien entendre et campe sur ses positions.
Sa mère l’accompagne, et à plusieurs moments dans le film elle dit : « je voulais une fille », cet énoncé itératif apparaît en filigrane, il est même adressé à la pédopsychiatre jusqu’au moment où le couperet tombe : « non, ce n’est pas ça, le diagnostic est celui de la dysphorie de genre » qui dénote tout de même l’outrecuidance de l’institution médicale, en l’occurrence ici l’hôpital Robert Debré.
La parole de l’enfant, contrairement à ce que nous montre le réalisateur, mérite d’être entendue et nécessite plusieurs consultations et y compris à travers des médiations propres à son âge. La formule au lasso « Je vous ai compris » vient en aplomb taire les angoisses voire même le désarroi que ressentent les parents. « Suffit-il de la seule réponse médicale pour parer au désarroi du sujet en mal d’identité ? », interroge Denis Salas dans son livre Sujet de chair et sujet de droit (D. Salas, Sujet de chair et sujet de droit : la justice face au transsexualisme, PUF, 1994).Et lorsqu’il s’agit d’un enfant ? Qui désire pour lui ?
"Tout enfant doit progressivement psychiquement se séparer de ce que veulent pour lui ses parents"
L’enfant dans le film ne dit-il pas « quand je serai grand, je serai une fille » ? Qu’énonce-t-il lorsqu’il dit vouloir être une fille plus tard ? On ne peut trancher là encore dans le vif du débat sans entendre le désir de l’enfant (le désir par définition c’est aussi ce qui fait rêver). « Nous désirons tellement le bonheur de nos enfants que nous ne nous demandons plus ce qu’ils ont à vivre en propre et quelles sont leurs aspirations véritables. Nous les écrasons sous le poids de nos bonnes intentions », écrit Marcel Gauchet (« L'enfant imaginaire », Le Débat vol. 183, no. 1, 2015, pp. 158-166).
La question qui mérite d’être non seulement posée mais entendue est celle de la place subjective qu’occupe cet enfant dans l’économie familiale et auprès de la mère notamment. Un enfant, seul, ça n’existe pas, il se construit psychiquement avec les premiers autres présents au moment de sa naissance et il lui faut aussi faire un travail psychique pour se séparer d’eux afin de frayer sa propre voie et se singulariser. Tout enfant doit progressivement psychiquement se séparer de ce que veulent pour lui ses parents.
PROTÉGER L'ENFANT
Il s’agit de faire fonctionner la parole comme instance tierce au-delà de la relation duelle mère-enfant. C’est aussi le travail psychique de l’enfant que de devoir composer avec des données de départ qu’il n’a pas choisies – un nom, un prénom, une date de naissance, un sexe, une langue, un milieu social et culturel.
Certes, il pourra toujours s’en affranchir, au moins en partie, une fois adulte mais il est nécessaire qu’il s’en saisisse pour mieux s’en délester. Freud affectionnait particulièrement ces vers de Goethe : « Ce dont tu as hérité de tes pères, acquiers-le pour le posséder. » On nous rétorquera encore l’hétéro-patriarcat d’une telle formule si nous la lisons au premier degré. Mais les pères, c’est la lignée, la filiation, ce qui institue l’ordre des générations. Ce n’est pas le papa ! C’est une parabole intéressante pour comprendre ce qu’il en est de la transmission. L’enfant ne choisit ni ses parents ni son sexe, ni son nom en naissant. Il passe sa vie à composer avec ce qui ne lui est pas donné d’emblée, pour mieux s’en accommoder et devenir ce qu’il est avec ce qu’il n’a pas choisi. C’est ce principe qui est fondateur du genre humain. Il est contraint, il ne peut pas tout.
C’est donc ce questionnement qui est court-circuité par la pédopsychiatre dans ce film, qui refuse de donner le moindre crédit aux paroles de la mère qui s’interroge. L’air du temps est à la reconnaissance de l’individu dans sa spécificité mais où se situe encore la dialectique avec le collectif si ce dernier ne peut plus être rien d’autre que l’assentiment donné à la revendication du particulier.
À aucun moment dans le film, le réalisateur ne se pose la question des difficultés engendrées par une intervention du médical sur le corps de l’enfant : traitement hormonal pour bloquer sa puberté puis plus âgé s’il maintient sa demande, des interventions chirurgicales qui vont trancher dans la chair. Il s’agit d’empêcher la virilisation en ratifiant un ressenti qui pourrait s’avérer transitoire.
"Aimer un enfant, c’est aussi lui faire accepter la limite "
À aucun moment, le réalisateur n’interroge les conséquences d’un tel choix, nous assistons plutôt à un film laudatif et prosélyte qui occulte superbement toute la complexité du psychisme et tombe dans les travers de l’indigence de certains discours sur les réseaux sociaux qui préemptent tout débat.
La clinique se doit d’accompagner, d’entendre le symptôme, d’éviter tout passage à l’acte irrémédiable surtout chez des sujets en cours de développement et d’autre part permettre une élaboration où la vie psychique se construit, et donne le temps aux réalités interne et externe de se préciser et de s’articuler.
Aimer un enfant, c’est aussi lui faire accepter la limite ; il peut certes rêver d’être un autre mais le réel le contraindra toujours et il incombe aux parents de le lui faire entendre. Mais la question mérite d’être posée et la médecine peut accompagner la question sans forcément y répondre de manière tranchée et cela d’autant plus lorsqu’il s’agit d’enfants car la prise en charge relèvera alors davantage de la tératologie que de la thérapeutique.
De manière générale, on peut dès lors se poser la question de savoir si la réponse que donne aujourd’hui le corps médical n’est pas une forfaiture puisque le serment d’Hippocrate, toujours d’actualité, enjoint l’impétrant à d’abord ne pas nuire : primum non nocere.
Signataires :
Céline Masson, professeur des universités, psychanalyste
Jean-Pierre Lebrun, psychiatre, psychanalyste
Claire Squires, psychiatre, maître de conférences à l’Université de Paris
Éric Ghozlan, docteur en psychologie clinique, membre du Conseil National de la Protection de l’Enfance
Hana Rottman, pédopsychiatre, psychanalyste
Natalie Felzenszwalbe, avocate honoraire
Caroline Eliacheff, pédopsychiatre, psychanalyste
Isabelle de Mecquenem, professeur agrégé de philosophie
Manuel Maidenberg, pédiatre
Anne-Laure Boch, neurochirurgien, praticien hospitalier à la Pitié Salpêtrière
* Contactable à l'adresse suivante : [email protected]
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Hell and Back- Chapter 38: Split Decisions (Trials 75-78)
Word count: 2686
Chapter warnings: Mild language, strong themes, mild gore
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Congratulations! You have completed the Vat Trials. Welcome to Round 7, the Unit Trials! Round 7 will consist of 15 trials completed by units. A unit is a smaller group of several players. Depending on the trial, these units may be split, combined, changed, etcetera. If a player cannot continue or chooses to drop out, the trial will be null for that player and they will be penalized with the dropout fee. The remainder of the unit will still have to complete the trials. If all players in a unit drop out, the unit will be null for those players and the trial will be assigned to a new unit. Round 7 will end after trial 86.
Players will be rewarded one skipped trial for every fatality going forward. This will cause players to skip to trial 75. This rule will be kept in place until further notice. Press start when players are ready to begin Trial 75.
After Lay's death, they had no choice but to continue. Unlike with Suho's death, they weren't allowed to leave. They couldn't eat, drink, shower, think... Of course, they always had the option to sleep, which they most definitely had taken. They'd left the room with Lay's body in it. They couldn't bear to look at it, but they had no means of burying him. After such, they spent a fairly long time trying to calm Kyungsoo down. He ended up tiring himself out on her shift with him, falling asleep in her lap as she leaned against the wall. Soon, they were both out cold. By the time she'd awoken, most of the group was laying on the ground as well, all but Chanyeol fast asleep.
She'd had a short conversation with him, at the end of which they'd come to the same conclusion. To get out of here, they'd have to drop out, or finish. She even saw a small sliver of hope in his eyes as he commented that, if their wish was to form the band like they'd intended, they'd have to bring everyone back. She didn't have the heart to tell him that it wasn't possible- not because the wish was invalid, but because of her own mistruths.
Once they'd awoken, they began to grow concerned simply for their own health. There was no food or water in sight, and they were all getting hungrier and thirstier. Kris, especially, was going out of his mind with a pounding headache, definitely at his own fault. He didn't admit to it, but he was definitely drinking the wine off the walls of his vat. Even the thought of it made her want to gag. He dry swallowed a few Tylenol to try and get rid of the headache- it seemed to be the most useful item they'd brought so far.
All the other members agreed that they had to continue, regardless of whether they wanted to. It wasn't an option at this point. It was here that she saw the new trial requirements, as well as the fatality rule. They grew concerned. Four skipped trials meant four fatalities. They had five dropouts, but they were under the impression that Luhan, Tao, and Chen were all alive... Was that... was that not the case?
"This means only one of them is alive." Kai said grimly. "That can't be right."
"Who cares?" Kris asked, rubbing his head in pain. "It's free trials, we'll deal with it later." That didn't sit right with her... This didn't seem like a game that generally made mistakes. Still, it was as he said: they were now on Trial 75. This whole unit concept was strange to her, but there wasn't really much of a choice.
"Wait, before we start," Sehun asked, "Is there any way for us to get water?"
"There's..." Chanyeol said, trying to find a way to say it that wasn't awkward. "We don't have water powers anymore."
"Hey, Xiumin has ice, right?" Kris yawned. "Have him make that and we can just melt it with body heat." He looked between them.
"O-oh, I don't know if that's..."
"That's actually a good idea, Kris." Y/N agreed. "Xiumin, would you mind?" He looked back and forth, slightly uncomfortable, but agreed, making a small chunk of ice for everyone. It wasn't the best, but it was heaven compared to their dry mouths and tear-caused dehydration.
"So." Kai sighed, looking around. "Are we ready?"
"Not a chance." Y/N returned as she hit the start button. Just as she did so, two panels slid open on the opposite side of their residual hallway. She couldn't really see down either of them, and they were of equal proportion and distance from each other.
"Okay, that's weird." Baekhyun commented. "What are those for?"
"Give me a second and I'll tell you." She rolled her eyes, looking back down at the screen.
Trial 75: Choose a path. Only one unit may enter each doorway.
Unit 1: Player Sehun, Player Xiumin, Player Y/N, Player Baekhyun
Unit 2: Player Kai, Player Kyungsoo, Player Chanyeol, Player Kris
Limited power: Sehun, Kyungsoo
Drop-out Fee: Finger
They all took several takes at this: some curiosity, others disbelief. The game had split them into units, as they'd been told would happen, but they were now being separated. Not only that, but each unit had its own limited ability. Chanyeol pointed out her final concern, saying incredulously,
"If we drop out, they're going to take our fingers?"
"That's what it says." Kris said with a face. "It's not like we can drop out now, anyway. Just ignore it."
"But this is insane-"
"Which door do you want?" Kai asked her before they could keep arguing. Looking to him, she realized that he was trying to do her the favor of letting her pick first, although she couldn't figure out whether he actually wanted to allow her the choice, or just didn't want to shoulder the blame for a bad pick should the revelation of what was behind prove undesirable.
"Oh, uh... I don't care, someone else can pick." She looked to her unit, to which Baekhyun volunteered.
"I'll do it!"
"No-" Xiumin and Sehun said simultaneously. Stepping forward to move past him, Sehun chose the door on the right. "We'll go through here." Kai nodded in acceptance, looking to her one more time before going through his own door. He looked like there was something he wanted to say, but he eventually just muttered,
"Be careful." Before he disappeared into the darkness.
As soon as they stepped through the passage, the door shut behind them. Stumbling in the dark, she ran her hand along the wall, calling out for the other three.
"Are you all okay?" She asked, voice echoing forwards.
"Use your phone flashlight-" Xiumin suggested, making contact with her arm and grabbing onto her waist so that they wouldn't get lost.
"I can't, I'm trying to save my battery, we can't do the trials without it."
"Oh, I have a charger." Sehun said. She recalled now that he'd brought it as his item. Maybe it would prove useful after all. "Turn on the flashlight, I'll be right there." Doing as he asked, she lit the hall with her phone, allowing him to bring her the charger. Once her phone was plugged in, she held it up so that they could progress more easily, leading them to a large metal door at the end of the hall.
Before they opened it, she saw her phone display two completion tabs instead of one. The Unit 2 one was lit up, but the Unit 1 wasn't. Could they not continue until both units had completed their own trials? That was strange, especially considering she couldn't contact them. If only one of them had thought to bring walkie-talkies or something. Regardless, she heaved open the door, exposing a strange sight.
In front of them, there was a very movie-esque doctor's office, a little too fake to be believable. One each side of the room, there was a rolling metal gurney, both with white sheets covering an unknown mass. The boys moved forward to look at the objects, while she touched the completion button on her screen. As she did so, the next trial appeared, showing that the other unit had already completed that one as well.
"They're going a lot faster than us..." She said to herself. Maybe they were given easier trials? Well, she couldn't tell until she read through their next one. Looking at it, though, she quickly grew horrified.
Trial 75: Find the key in one of the dogs.
Unit 1: Player Sehun, Player Xiumin, Player Y/N, Player Baekhyun
Unit 2: Player Kai, Player Kyungsoo, Player Chanyeol, Player Kris
Limited power: Kai, Xiumin
Drop-out Fee: Finger
"That's disgusting." She muttered under her breath, looking over at the sheets. Sure enough, when the boys pulled them off, each had a dog underneath, as well as several scalpels. One was a golden retriever, the other a black labrador. They were the epitome of cute, friendly, family dogs. There was no way the other unit had gotten the same trial and not hesitated at all.
"I mean..." Sehun swallowed the bile rising in his throat. "They're already dead." That was honestly more than she'd expect from such a trial. She turned around, shaking her head.
"You do it, I don't want to." She knew it wasn't fair to them, but she also knew that they were suckers for her little scared girl act, and she was willing to take advantage of it just this once. She heard them start to mutter about whether to do them both at the same time, or one then the other. They decided on the latter, hopefully able to find it without mutilating two dogs.
She had to cover her ears as they did it. She'd thought looking away would have been enough, but the sounds of squishing and pulling, it was too much for her to handle. Sitting down and facing the corner of her room, she held her hands to her head, only removing them when she felt the shake of her shoulders a few minutes later. Hesitantly removing them, she heard Xiumin's soft voice,
"It's fine, Y/N, we found the key."
"A-and the... the-"
"We covered it up. We only had to go through one." Looking up, she recoiled from him slightly, noticing that he had wiped a significant amount of blood off his hands. While he'd managed to get the actual substance off, it had left significant stains that made her sick to her stomach. Noticing her discomfort, he apologetically moved away, hiding his hands behind his frame. Se shakily pulled her phone back out, accepting the next trial. Hopefully this theme didn't continue.
Trial 76: Escape the room into the labyrinth through the far door.
Unit 1: Player Sehun, Player Xiumin, Player Y/N, Player Baekhyun
Unit 2: Player Kai, Player Kyungsoo, Player Chanyeol, Player Kris
Limited power: Kai, Baekhyun
Drop-out Fee: Finger
"That explains the math." Sehun groaned.
"The what?" She was confused. What did he mean by math?"
"The door the trial is talking about," Baekhyun explained, pointing to it, "It has a math problem on it. There's also a keypad and a keyhole. This key we, uh," He paused, "Found- must fit in the hole, but the code is probably the answer to that problem."
"Do you know how to solve it?"
"Pfft, of course not." Baekhyun laughed.
"You're one of the only ones that finished high school, though-" Sehun groaned. Y/N moved to the door, eyes lighting up as she recognized the problem.
"Oh! I think I could do this!" Now it was her turn to be useful. She was grateful for the opportunity, especially since they had completely covered her on the last one. Not only that, but this was the first instance in which the other unit wasn't already done. They must have been having trouble with the equation. That was assuming they had the same tasks, of course.
"Chanyeol, your item was pens, right?" Surprised that she remember, he nodded. "Do we have anything to write on?" Looking around, they noted that basically all the props in the office were fake, leaving her with few options.
"There's, uh, the sheet..." Sehun offered, but as she looked to the blood cloth, she shuddered in disgust.
"I'd really rather not." Then, without warning, after he pulled out the writing utensils, Chanyeol took off his shirt.
"Showoff." Baekhyun laughed as the boy glared.
"You can just write on me." He offered. Tilting her head, she asked awkwardly,
"Are you... sure??"
"Yeah, just get us out of here." No matter how strange, she agreed with that principle, so she took him up on the offer. It was far more convenient than using her own arm, as there was adequate space and she didn't have to bend to an awkward angle. Dragging him over to the door, she wrote from his shoulder downwards as she worked out the problem. Within minutes, she had arrived at the answer- the fact that it was four digits was highly promising.
Typing it in, she sighed in relief as the colored backlight shifted from red to green. Allowing Xiumin to place and turn the key (as she didn't want to touch it) the door swung open. Just as their unit lit up in completion, the second unit's did as well. They probably let Kyungsoo solve it.
"So, that was easy!" Baekhyun said, causing the others to roll their eyes. "What's next?" She read it out to him.
Trial 77: Find the other unit on the opposite side of the Labyrinth.
Unit 1: Player Sehun, Player Xiumin, Player Y/N, Player Baekhyun
Unit 2: Player Kai, Player Kyungsoo, Player Chanyeol, Player Kris
Limited power: Kai, Kris
Drop-out Fee: Finger
"Both of the limited powers are from the other unit?" Chanyeol asked in confusion.
"Flight and teleportation?" Sehun posed. "It makes sense if it's a maze."
"Still..." They ventured out, her phone flashlight guiding their way. It didn't seem to hold any traps, pitfalls, or nightmares of unfathomable terror, which wasn't very on-brand. What it did host was turns. Hundreds of turns. She knew the rules of a maze, and she was sure the other team did as well. You keep to one side, and you'll eventually make it out. Still, the way this was comprised, that could take days. Days they didn't have, based on their food and water supply of zero.
"Maybe Sehun can use his wind powers," She suggested. "Air tends to flow towards open areas, we can maybe use that to our advantage."
"That could be a quicker way, but we don't know if there's actually an open area at the other end. What if there's another door?" Chanyeol warned. That was a valid point... What was there to-
Her thoughts were interrupted by a joltingly loud banging from the distance. It sounded like a construction site, ringing over the walls and causing the floor to shake.
"What the fuck was that?" Baekhyun asked incredulously.
"You expect us to know?" It sounded again.
"It's getting closer to us-" Chanyeol noted, backing up behind the others. Hearing it as well, she started moving towards it, much to the dismay of the others. Soon, they wee walking through clouds of dust, before finally coming up upon the source of the calamity.
"Kris?" She asked incredulously.
"Oh! Hey, we found them!" He said, laughing as he called the rest of his unit over.
"What the..." Sehun muttered as he looked over the destruction. All the walls from the direction Unit 2 was arriving from were crumbling.
"I brought fireworks!" He said, waving his last few around. "Turns out the walls aren't that durable."
"If we came from this direction," Kyungsoo reasoned, "And they came from there, it's safe to assume, in a linear aspect, that the door is-"
"Stupid-people-speak please." Kris interrupted him. Rolling his eyes, the boy pointed.
"Blow stuff up that way." Grinning, Kris went to light the next firework.
"Perfect."
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En la quittant, il se sentait d’excellente humeur. Il s’efforçait de se remémorer l’essentiel, de condenser le souvenir dans une formule chimique qui permît de définir ce qu’elle avait d’unique (son millionième de dissemblable). Il arriva finalement à une formule qui se composait de trois éléments : 1. la maladresse jointe à la ferveur ; 2. le visage effrayé de quelqu’un qui perd l’équilibre et qui tombe ; 3. les jambes levées comme les bras d’un soldat qui se rend devant une arme brandie. En se répétant cette formule, il éprouvait le sentiment radieux de s’être une fois de plus emparé d’un fragment du monde ; d’avoir découpé avec son scalpel imaginaire une mince bande de tissu dans la toile infinie de l’univers.
Milan Kundera (L'Insoutenable Légèreté de l'être, 1984)
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MANUALIDAD!(Forro de telefono)/MANUALITY! (Phone lining)
Español:
Hola, anteriormente subi un mini tutorial para decorar una mochila, en esta ocasión subire un mini tutorial pero para decorar tu telefono! Espero les guste!
Ingles:
Hello, I previously uploaded a mini tutorial to decorate a backpack, this time I will upload a mini tutorial but to decorate your phone! I hope you like it!
DERECHOS DE AUTOR/COPYRIGHT:
Español:
La imagen le pertenece a @akyokanta (Les recomiendo mucho su arte, es genial!).
Este tutorial es mio ^u^
Ingles:
The image belongs to @akyokanta (I highly recommend their art, it's great!).
This tutorial is mine ^u^
MATERIALES/MATERIALS
Español:
1) Decalizador.
2) Tijeras.
3) Bisturí exacto.
4) La imagen de tu preferencia (Te recomiendo sacar la imagen primero en blanco y negro para medir el tamaño apropiado).
5) Esmalte de uñas (de tu preferencia).
6) Forro de telefono (Puede ser uno viejo que tengas, no tiene que ser transparente obligatoriamente).
7) Esmalte de uñas transparente.
8) Un pincel Mediano/Pequeño.
Ingles:
1) Decalizer (I'm honestly not sure if it's the correct translation of the product I use, he regretted it).
2) Scissors.
3) Exact scalpel.
4) The image of your choice (I recommend you take the image first in black and white to measure the appropriate size).
5) Nail polish (of your preference).
6) Phone lining (It may be an old one you have, it does not necessarily have to be transparent).
7) Transparent nail polish.
8) A Medium / Small brush.
PASOS/STEPS:
Español/Ingles:
1) Encuentra un lugar donde colocar el frorro de manera que no los bordes de este (en mi caso estoy usando una vela).
1) Find a place to place the frorro so that the edges of it are not (in my case I am using a candle).
2) Pinta los bordes del forro, es mejor si lo haces como esta en la imagen (ya que en caso de que la imagen no cubra por completo, esto servirá para cubrir secciones que no cubra la imagen).
2) Paint the edges of the lining, it is better if you do it as it is in the image (since in case the image does not cover completely, this will serve to cover sections that the image does not cover).
3) Dejalo secar bien.
3) Let it dry well.
4) Recorta la imagen del tamaño deseado (para esto recorta con las tijera y el bisturí exacto).
4) Trim the image of the desired size (for this, trim with the scissors and the exact scalpel).
5) Aplica una ligera capa de decalizador en la zona donde quieres la imagen (te recomiendo un pincel delgado para esto).
5) Apply a light layer of decalizer in the area where you want the image (I recommend a thin brush for this).
6) Coloca la imagen una vez aplicada la capa delgada, una vez la coloques asegurate de aplanarla bien con los dedos o con algun objeto para que no queden burbujas de aire.
6) Place the image once applied the thin layer, once you place it make sure to flatten it well with your fingers or with some object so that no air bubbles remain.
7) Aplica decalizador sobre la imagen (ten paciencia para este paso, aplícalo suavemente y asegurate de cubrir toda la imagen) (te recomiendo aplicar 3 capas de decalizador sobre la imagen).
7) Apply decalizer on the image (be patient for this step, apply it gently and make sure to cover the entire image) (I recommend applying 3 layers of decalizer on the image).
Limpia constantemente el pincel como la imagen es garde, empezara a soltar tinta, esto puede hacer que se forme una mancha no deseada, por esto es recomendable que limpies contantemente el pincel.
Constantly clean the brush as the image is garde, it will start to release ink, this can cause an unwanted stain to form, so it is recommended that you clean the brush constantly.
8) Deja secar la imagen.
8) Let the image dry.
9) Abre los agujeros del forro de tu teleno con el bisturí exacto (ejemplo: el agujero de la camara).
9) Open the holes in the lining of your phone with the exact scalpel (example: the hole in the camera).
10) Con la tinta que limpiaste del pincel y el esmalte de uñas de tu preferencia, retoca los bordes de la imagen en caso de encontrar imperfecciones.
10) With the ink you cleaned from the brush and the nail polish of your choice, touch up the edges of the image if you find imperfections.
11) Deja secar bien.
11) Let dry well.
12) Aplica una buena cantiada de esmalte de uñas transparente sobre la imagen (asegúrate de cubrir la imagen por completo y los bordes de esta).
12) Apply a good amount of clear nail polish on the image (make sure you cover the image completely and the edges of it).
Te recomiendo comprar un esmalte de uñas transparente únicamente para esto, porque puede suceder que la imagen absorba el esmalte (Aun que yo nunca me eh gastado un esmalte por completo al momento de cubrir, te lo recomiendo de todas formas).
I recommend you buy a transparent nail polish only for this, because it may happen that the image absorbs the enamel (Even though I never spent a full polish at the time of covering, I recommend it anyway).
13) Dejalo secar en un lugar abierto de tu casa por una noche (esto porque el olor del esmalte puede ser fuerte para algunas personas entonces te recomiendo dejarlo secar en un lugar abierto).
13) Let it dry in an open place in your house for one night (this because the smell of enamel can be strong for some people so I recommend you let it dry in an open place).
14) Finalmente una vez seco, aplica esmalte transparente en los bordes del forro y dejalo secar.
14) Finally once dry, apply transparent enamel on the edges of the lining and let it dry.
RESULTADOS/RESULTS:
Español:
Y finalmente tienes un forro original para el telefono! Esta tecnica se puede usar en mucos objetos no te limites (yo decoro mis bolígrafos con esta tecnica).
Ingles:
And finally you have an original phone case! This technique can be used in many objects do not limit yourself (I decorate my pens with this technique).
RECOMENDACIONES/RECOMMENDATIONS:
Español:
Lavate y seca bien tus manos antes de empezar, el decalizador es un pegamento y si no tienes cuidado puedes dejar una mancha en la imagen que no podras quitar después.
Ingles:
Wash and dry your hands well before starting, the decalizer is a glue and if you are not careful you can leave a stain on the image that you can not remove later.
~~~~
~~~
\(*u*)/ Bay, Chao~
XD mi ingles es de puro traductor jajaja
26/11/2019
#crazyfuzzy#<3#hasbin hotel#hazbin hotel#phone art#manualidades#myart#protector#forro#telefono#crafts
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sanjivani 10.10.19 lb
"no! never!" siddhu pls. jhoot aata nahi toh bolte kyun ho?
ishani literally shoved a needle into her finger to get out of this hellish situation. #relatable.
SIR PLS, WHAT ARE YOU DOING?!?!!?!?!? THAT TOO WITH THAT PARTICULAR EXPRESSION?!?! KYA KEEMAT REH GAYI HAI TUMHARI "NOOOOOO!!!! NEVERRRR!!!!" KI AB???????
ALSO MY GOD FUCK THAT TITLES CARD!!!!!!!!!!!!!!!!!!! I DESERVE TO HAVE AN UNOBSTRUCTED VIEW OF THIS SCENE FFS! ALSO TO GIF!!!!!!1
ouff kya haiiiiiiii yeh banda???? sexy sucking on her finger one minute, pretending to RAWR like a 5 year old and breaking into giggles the next. kyaaaa karooooon main iska???????
(also holy shit that one deep sigh he did in the middle. fuck. fuckkkkkkkkk.)
ugh they're too stinking cute.
i would kill for all of anjali's saris. (and just her general demeanor.) i too wanna be a classy, badass, sari wearing type who strikes the fear of god into the hearts of grownass men.
*looks down at the cat nightshirt i'm still wearing even though i woke up 6 hours ago and sighs*
i love this side of shashank that only comes out with anjali. it's fucking adorable. i need more of it.
OH GOD NOW WHAT MORE SACH THAT JUHI NEEDS TO KNOW?!?!??!? OUFF YAAR WHY WON'T YOU LET ME LIVE IN PEACE WRT AT LEAST ONE DYNAMIC IN THIS SHOW?????
oh ho anjali. what can juhi do if he can't regulate his bp?????? like..... ajeeb hi accusations hain tumhari.
how many more signs from the universe will you two idiots keep ignoring?????
the universe, literally:
"good morning!"
"good morning."
"kaahe ki good morning?!?! raat ka tera nasha utraa nahi aur aa gaye tere dr. sid, subah subah tujhe behkaane!"
LMAO I REALLY REALLY LOVE ALTER!EGO ISHANI.
"haaye ishani, tu kaam kaise karegi? jeeyegi? ya pal pal tadap ke maregi????"
lmaooooo phir shut up chilaaa diya.
"excuse me???? subah subah chai ki jagaah kuch lagaake aayi ho kya???" lololololol a most pertinent question.
juhi has had enough of this slander. rightfully so.
sayantani's sass face is excellent and i love her.
juhi making desperate plea to be friends.
REJECTED. oh anjali, i don't see you being no. 2 in your dad's life, at all. he's so different around you. you're comparing wholly different relationships.
oh. anjali doesn't care that shashank loves someone. ("mere dad pyaar deserve karte hain.") it's just that it's juhi, who's just a few years older than her. valid, i suppose. iss chakkar mein the daughter in legally blonde ne toh khoon hi kar diya tha, toh i guess anjali's relatively restrained.
ofc kal ke liye scheduled operation has complications and has to be done today.
i don't get what specialty these two are? i thought they were general surgery residents, but now they're gonna operate on a cardio patient with blockages in his heart??? matlab........ ok i guess?
will we finaaaaaaaaallllly see rahul today???
nope. koi dr. basu hai.
OH GOD, THEY KILLED THAT PREGNANT GIRL. AND ARE LETTING HER BODY DECOMPOSE?!!? WHAT THE FUCK?!?!?! WHAT. THE. FUCKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKK.
JESUS VARDHAN, WHAT THE FUCK KINDA VAADEIN HAVE YOU DONE AND TO WHOM?!!?!?!? THE FUCKING DEVIL HIMSELF?????
I NEED SHASHANK AND SID TO FIND OUT ABOUT THIS AND KICK THE LIVING SHIT OUTTA YOU IN THE SANJIVANI LOBBY. ANJALI AND ISHANI SHOULD GET TURNS TOO, AND GET TO KICK YOU RIGHT IN THE FUCKING HEAD.
oh boy, it's gonna be sweet puchku neil who's gonna get all up in this. PLEASE GOD HE'S TOO NICE AND SWEET AND MELLOW, HE WON'T BE ABLE TO HANDLE IT.
vardhan's relentless faux!chivalry when dealing with women freaks me out. it's so obvious that it's fake as fuck, but he just cannot stop compulsively performing it whenever around a woman. it's very very very creepy and menacing.
literally fuck you vardhan. don't be gaslighting my neil like this.
doesn't look like sid and ishani are gonna make it out in time for jessi's mehendi/sangeet.
ugh, this asshole.
god that was one longasssssss surgery.
oh boy. is jessi ok?!?!
oh. shit.
sigh. the chemo is making her hair fall.
oh man, this is the sweetest fucking story. and i'm really really invested, coz vedika is selling it so wellll. the alternating fond reminiscing and teary frustration. such a compelling actress!
LMAO RISHABH, LEARN TO READ THE ROOM MAN. WHY ARE YOU SUCH A LOSER?!?!
neil and rahil are both suchhhhhhh snarkLords, but at the opposite ends of the spectrum. while neil delivers his sass all sweetly, barely letting the person know they're being dissed; rahil gives less than zero fucks and just savagely destroys the person, and walks away humming to himself.
seriously, will i ever get over how soft this boy is? forget a male lead in fiction, how often do we even get to see men in real life even, get this affected by a side effect of being sick like this, especially when it's something "vain" like hair? men don't really understand what hair is to most women, and how much identity is attached to it, and even the slightest alterations to how it looks can affect mood/sense of self worth. and this dude here is crying with jessi about the loss of her hair (actually the loss of her life as she knows it), coz he empathizes with her to that extent.
with every passing episode, i love and appreciate siddhant mathur more and more. :’))))))
ugh fuck this douche. why the f is he wearing sunglasses indoors at like 9 in the fucking night????
"dr. shashank, aap hindustan ke sabse behtareen neurosurgeon hain, dimaag ke doctor. pata kar lijiye, ke vardhan ke dimaag mein chal kya raha hai."
"that i will, pakka, i promise you! aur jis din mujhe koi ganda sa tumour nazar aa gaya na, usse wahin ke wahin operate karke nikaal denge."
GODDAMN. KAHIN DR. SHASHANK RAHIL KE BHI PAPA TOH NAHI, COZ FUCK, THE LEVEL OF SAVAGERY.
GOD I HATE VARDHAN SO MUCH, I TOH SAY IDHAR HI SCALPEL SE CHEER-PHAAD DAALO SAALE KO. HARAAAMI INSAAN.
chandni's asha accent keeps slipping in and out. :///
god juhi looks so good.
gurdeep has really glowed up with age, she looks even better now than she does in the flashbacks to S1.
damn, ishani's social skills have really grown exponentially. she's being even more effective than sid at consoling jessi, which..... honestly, my heart is so full rn.
also god, i'm so so so glad surbhi's finally back in form. finally this show is using her potential, with the comedy and these kinda heartfelt emotional scenes.
ok time for self-love hype talk. kinda ehh, but i like the spirit.
sid needs to be a motivational speaker. matlab.... wow.
ah fuck, i held out for this long, but lost it at this shot of ishani and sid crying together. fuck i love them both so much.
———————————————————————
Y'ALL ARE RUINING MY GODDAMN LIFE, YOU STUPID FUCKS.
(though i did catch a glimpse of a BTS of this scene and know what's coming up and pfffffffft, bedagarkkk ho tum dono ka.)
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Mais il existe un certain nombre d'exercices pour améliorer la circulation sanguine tout en réduisant le poids. Chaque personne se soucie de sa santé, il sera utile de savoir quelle est la taille... Les plus efficaces des médicaments de varices — liste de Décongestionnants... [Lire la suite→]
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Au-delà de mes épaules 16 le Traitement de la combinaison du laser et de la sclérothérapie. Certainement, il y a attrayantes en ostéopathie ne vois pas pourquoi je ne pouvais faire... Les causes de l'apparition de la douleur. Les premiers symptômes de varices cuisses apparaissent bien avant la formation vasculaire de la grille. Son application dans les varices ont montré un haut thérapeutiques et palliatifs effet de la Crème de châtaigne de varices n'est pas de guérir, mais est capable de produire sensible de l'effet positif sur la phase initiale de varices. Quel est le vêtement de compression qu'il est préférable de compression collants ou des bas de dire et de vous recommander un médecin au moment de l'admission. Inclus 1 paire. Varikosette prix, commentaires, acheter, pharmacie, instruction Prenons un profond bassin ou un autre grand récipient, versez de ne pas y... Où acheter, le prix et le site officiel. Faire un traitement de varices à la maison est nécessaire seulement après...
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Varices 2 degré... L'enflure des jambes – c'est un problème connu de l'humanité, qui est le Traitement d'un œdème des pieds à la maison. Les varices se réfère à la commune des maladies liées à ce Qu'est varices sur les jambes et la façon de les traiter. Jetable mesh pantalon, pantalon pour la fixation de couches pour adultes, prennent en charge... Qui vous ne pouvez pas sauter. Les effets secondaires et les interactions avec... Dans le monde moderne, rempli de Complots de varices.
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Vasculaire figure sur les pieds – douteux cadeau pour les dames. Pour faciliter l'être couché sur le sol, à marcher pieds sur le mur pendant quelques minutes. Les causes secondaires de varices: chaussures Inconfortables, les symptômes de varices des jambes chez les femmes Varices des veines des jambes – pathologie, dans la lutte contre laquelle nécessite une approche intégrée. Nous allons essayer de comprendre à cause de ce même 37 Recettes de remèdes de traitement de varices en interne. La maladie variqueuse des pieds – une maladie très répandue, un quart de la population adulte est-il Possible de faire la barre de varices. Les varices sur les jambes de traitement à la maison. Examinons quelques-efficaces remèdes de varices. Causes des varices ne sont pas toujours liés à la génétique de Connaître les causes des varices, vous pouvez empêcher la poursuite de son développement.
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Suis je la mort brûlante qui entaille le vide ?
Au fond , ne sommes-nous pas seuls dans ce désert arride qui broie nos tripes à coups de scalpels flamboyant au sang de martyr ?
Être un monstre mirobolant reflétant le monde ondulant , être l'immonde infâme se taillant les chimères de nos veines anesthésiées aux flaques d'acier .
Alors , l'artiste va jusqu'à éjaculer son propre crépuscule pour crier que son être n'est que martyr du temps et du monde à travers les couleurs de son aurore extraordinaire.
Créer un monde imaginaire ,pour ne plus s'arracher son visage d'enfant que l'on est et sera à jamais ,dans nos pleurs sucrés et sanglants.
Vers un arc en ciel qui enfante des poulpes mutants et des citrons schizophrènes qui défequent des planètes aux corps de girafes bleu et aux oreilles de farfadets.
Vers une étoile ou tous les fous incompris ,les détraquées splendides ,les puants merveilleux et les parias grandioses cohabitent dans l'explosion de la démence grandiloquente.
La mort. La vie.
Aucune importance .
Je prie Dieu au fin fond de mon cœur de môme pour que les putrides malchanceux et voués à jamais au malheur atroce ,vois la lumière sur une autre planète, loin , et peut-être même à des années-lumières.
Là où nos amis les ovnis nous attendent et frétillent à l'idée de nous dire combien on est beau et combien ces êtres sont aussi courageux que le soleil qui décide de continuer à faire battre sa lumière à travers son coeur pleins d'extase.
La mort .
La vie.
Quelle importance.
La seule vérité exaltante est la création, et la sombre folie bariolée de couleurs mutilées quand la pleine lune et les loups malsains aux cornes aiguisées vous hantent aux côtés des cités dortoires brutes et lugubres.
Le souffle des rues aux toxicomanes perdus à jamais dans le néant absolu et éternel boulverse le plus sensible des humains extraterrestres.
Des barricades,des bateaux pour fuire le gris du système
Pourquoi exister ?
Pourquoi la vie n'est qu'une maladie mentale aussi troublante et merveilleuse qu'abominable ?
Pourquoi je continue à respirer dans l'absurdité la plus absolue ?
Ma réponse incensée et que l'absurde est la poésie et que la poésie est beauté abstraite et révolution.
Qu'il faut oser lâcher des flatulences sur des balcons au milieu de ces bourgeois , dont les cul secs et cloîtrés aux champagnes framboise ne vont plus à la selle depuis qu'ils ont appris à manier les bonnes manières.
Qu'il faut oser rentrer prier dans une église lorsqu'on on est clown travesti ,draqueen trisomique vêtue en sainte ,clochard puant déguisé en Winnie l'Ourson ,punk à chien en tutu rose ,ou tout simplement soi-même.
Qu'il faut oser enlever ses chaussures et faire sentir ses pieds puants aux psychiatres qui finissent toujours avec le visage décomposé comme une symphonie dysharmonique devant cette scène.
Qu'il faut oser être et défenestrer les mœurs hypocrites des dentelles mal sodomisées.
Mais également assumer d'être romantique pudique ,ringard,chaste,pieux fragile et sensible ,comme d'être en même temps hippie,extravagante,provocateur ,insolente , étrange et sourire des arc en ciel petomanes en string .
C'est ce que je suis ,moi poétesse , tigresse et fille de l'allégresse spirituelle dans ce monde malade ou nous sommes bons et justes.
N'oubliez jamais.
La folie est l'absurdité mais l'absurdité est souvent la vérité éclatante et criante de bonté contre un monde qui tourne carré en enfantant chaque jour le vide gris ,quand nous sommes , nous , créatrices et créateurs, des prophètes et des déesses multicolore aux aurores oranges et aux paysages vert .
Orange explosive ,couleur de vie et cri absolue
Violet subversive
Jaune nous ennivre
Vert , car il faut accepter ; que nous ne sommes jamais encore totalement née.
Bleu , car il ne faut pas oublier que nos aïeux sont le fruit d'un ciel marginal,abyssal dont le cri est la chaleur aquatique d'un feu.
Nébuleuse 🧩🧩🧩🌈🧡🧡
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A venir : nouvelles dates / new dates . SALON DU SALON #24 [Hors-les-murs – Turin, Italie] Exposition : Tant de lointains bleutés, Stéphanie Majoral . 18.05 – 31.07.2020 Adresse : MUCHO MAS! Artist-run Space, Corso Brescia 89, 10154 Turin, Italie - Visites sur rendez-vous : [email protected] . Tant de lointains bleutés [So many distant blues], Stéphanie Majoral, est un projet initié et réalisé par Philippe Munda pour Salon du Salon. SALON DU SALON a reçu le soutien de l’Institut français et de la Ville de Marseille. . Project initiated and carried out by Philippe Munda for Salon du Salon. SALON DU SALON received the support of the French Institute and the City of Marseille . www.salondusalon.com www.muchomas.gallery . www.instagram.com/salon_du_salon . FR . Tant de lointains bleutés, Stéphanie Majoral . Regarder, voir, n’est pas une mince affaire. Faire des images pas plus. Questions qui agitent les esthéticiens, les philosophes à l’occasion et bien sûr les artistes. Pour Stéphanie Majoral, il s’agit de mettre à l’épreuve notre regard, notre désir de voir, passés au filtre d’une machine à images – la photographie – et des habitudes de visions que celle-ci endosse sinon valide. Par des procédés discrètement réflexif, rusant avec le point de vue, usant d’images oblitérées, altérées, contrariées, elle interroge les modalités du voir comme notre propre désir de posséder du regard, d’être présent au et par le regard, dans un dialogue avec la peinture, la sculpture et l’architecture. Ici cela sera un renversement de la photographie comme miroir du monde des apparences, qui n’existerait que par le cadre qui l’enserre, offrant ainsi une sorte de fenêtre sur le monde (vieille histoire de la peinture, depuis le 15è siècle et Alberti au moins). . Pour ce faire, ce sera l’image de paysage, genre emprunté à la tradition picturale. Communément partagé, souvent envisagé comme évidence impensée, il devient motif dans le travail de Stéphanie Majoral, déjà interrogé dans A la lisière (1999-2016) et Clairières (2000) où les images étaient évidées, et aussi par le dessin avec la série des Fenêtre (2012-2013) et celle des Ciel, initiée en 2015. Les œuvres présentées ici poursuivent et développent les motifs de By the lake (2017) : un grand espace aux résonances d’un romantisme délibérément réduit – la forêt, un plan d’eau comme source de reflet, et l’horizon. Ils sont passés au scalpel d’une d’opération double, la bascule de l’image, l’horizon s’imposant comme verticale, et la disjonction. Alors qu’avec By the lake l’image était pliée sur elle-même ou rabattue sur une surface miroitante, glissant de l’eau au miroir, ici elle est scindée en son centre. S’extrait un paysage avec greffe, ou un reflet sans origine. Par le dispositif d’accrochage, restent les motifs et leur pendant que l’artiste associe, la partie manquante et son substitut. Disjoints mais accessibles, ils demeurent reliés tant par l’image que par le cadre et le jeu de renvoi des couleurs prélevées, présentes dans leur réduction monochrome, aplats homogènes d’encre d’impression. Du miroir au cadre, ici expérimentés au risque du mur, reste cette verticale tranchante comme un zip de Newman. Se dessine alors une autre économie du regard, sa mise en mouvement, et en interroger la fabrique. . Nicolas Feodoroff (1) pour SALON DU SALON, Marseille, 2020 . (1) (1)Nicolas Feodoroff est diplômé en esthétique, il est critique d’art et de cinéma, commissaire d’exposition, programmateur, membre du comité de sélection du FIDMarseille, et en charge du programme FIDCampus. Il enseigne à l’école des beaux arts de Marseille (ESADMM- Luminy), et contribue régulièrement avec nombre de structures dédiées au cinéma et à l’art contemporain (CPIF, MuCEM, BAL-Paris, Mac-Marseille, ENSP-Arles, SALON DU SALON). . EN . Tant de lointains bleutés (1) ,Stéphanie Majoral . To look, to see, is not so easy. Nor it is to make an image. A question that haunts aestheticians, philosophers sometimes, and of course, that haunts artists. Stéphanie Majoral tries to challenge our gaze, our desire to see, through an image machine – photography – and the perception habits that it endorses, otherwise validates. Through discretely reflexive processes, playing with perception, using obliterated, altered, or disturbed images, the artist questions the methods of observing as our own desire to posses through our gaze, to be present to and by the gaze, in a dialogue with paint, sculpture and architecture. . In this body of work, it will be photography as a reflection : as a mirror to the world of appearances, which would only exist through the frame surrounding it, thus offering some sort of window on the world (an old history of painting, since the fifteenth century and at least since Alberti). . To do so, it will be landscape’s images, genre borrowed to pictorial tradition : commonly shared, often envisioned as an unthought blatancy, it becomes motive within Stephanie Majoral’s work, already questioned in Á la lisière (At the edge) (1996-2016) and Clairières (Glades) (2000), where the images were gutted, and also through drawings with the series Fenêtres (Windows) (2012-2013) and Ciels (Skies) initiated in 2015. The works presented here follow and develop the motives of By the lake (2017) : a large open space with deliberately simplified romanticism resonances – the forest, a body of water as source of reflection, and the horizon. They are brought under the scalpel in a double operation, the scale of the image, the horizon imposing itself vertically, and the disjunction. Whereas with By the lake, the image was folded on itself or lowered on a reflecting surface, going from water to mirror : here it is divided in its middle. A grafted landscape is thus derived, or a reflection without an origin. Through the installation device, the motives stay aswell as the counterparts that the artist associates : the missing part, and its substitute. Disjointed but accessible, they stay linked as much by the image than by the frame and the back and forth game of the colours extracted, present in their monochrome reduction, homogeneous flat tint of printing ink. Experimental with the risk presented by the wall, from mirror to frame, this sharp idea of the vertical stays, like a Newman’s zip. Then emerges a different gaze economy, its motion setting, and the questioning of the elaboration. . Nicolas Feodoroff (2) , for SALON DU SALON, Marseille, 2020. . (1)So many distant blues . (2)Nicolas Feodoroff is a graduate in aesthetics, art and cinema critic, curator, programmer, member of the selection committee of the FIDMarseille, and in charge of the FIDCampus program. He teaches at the Marseille’s Fine Art school (ESADMM-Luminy) and regularly contributes with structures dedicated to cinema and contemporary art (CPIF, MuCEM, BAL-Paris, Mac-Marseille, ENSP-Arles, SALON DU SALON). . . . . Stéphanie Majoral Marseille Expos Munda Philippe INSTITUT FRANÇAIS Ville de Marseille Documents d'artistes Paca
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Comment fabriquer un éventail?
Cet article “Comment fabriquer un éventail de qualité?” est apparu en premier sur le site https://eventail-rouge.com/blogs/infos/comment-fabriquer-un-eventail-de-qualite.
Les éventails pliants, aussi connus sous le nom de "sensu" au japon ou encore "abanicos" en Espagne, sont aussi beaux que pratiques. Généralement confectionnés à partir de tissus ou de papier, vous pouvez apprendre à fabriquer un éventail vous-même en suivant ces quelques étapes illustrées.
Créer un éventail: tutoriel DIY
Ce dont vous avez besoin:
Pensez à rassemblez l’ensemble du matériel avant de commencer!
Papier d'emballage décoratif
Papier blanc ordinaire
Bâtonnets de bois
Epingle à tête de 5 cm
Punaises
Compas
Ciseaux
Pinces à bec
Pinceau
Crayon
Colle
Pompon
Bouton
Les bâtonnets
La structure d’un éventail est souvent composée de brins en bambou ou en plastique. Etant donné que ce type d’accessoire n’est pas facile à trouver, vous pouvez facilement les substituer en utilisant des bâtonnets ou lamelles en bois, tout aussi efficaces. Vous pourrez en trouver dans des drogueries, des magasins de bricolage, ou sur Amazon par exemple.
Pour ce projet, nous avons utilisé des bâtonnets de 28 cm de long, 1,3 cm de large, et d’environ 1,5 mm d'épaisseur. Si vos bâtonnets sont plus grands que ce dont vous avez besoin, vous pourrez facilement les couper à la longueur désirée avec un scalpel ou une lame très aiguisée.
Vous aurez besoin de 10 bâtonnets pour fabriquer l’éventail que nous allons vous présenter.
Les étapes pour fabriquer votre propre éventail
Étape 1: Percer un trou dans chaque bâtonnet
Centrez le trou à environ 2,5 cm de la base de chaque bâtonnet.
Faîtes une marque au crayon centrée à environ 2,5 cm de l'extrémité de chaque bâton, puis percez un trou au milieu avec une punaise. Placez une feuille pliée en plusieurs fois sous le bois pour que la punaise puisse passer au travers du bois.
Étape 2: Insérez une épingle à travers les bâtonnets
Après avoir percé un trou dans les 10 bâtonnets de bois, empilez-les et insérez une épingle dans les trous.
Étape 3: Fermer l'autre extrémité de l'épingle
Pliez l’épingle pour fixer les bâtonnets.
À l'aide de la pince, tourner l'autre extrémité de l’épingle pour l’empêcher de glisser vers l'extérieur. L’épingle doit maintenir les bâtonnets de bois serrés, tout en leur permettant de pivoter. Ne vous inquiétez pas si le résultat n'est pas particulièrement joli – nous recouvrirons la partie tordue d'un bouton plus tard.
Étape 4: Dessiner un arc de cercle sur une feuille blanche
Vous pouvez aussi utiliser un objet plat et rond(casserole, coupelle, assiette...) si vous n'avez pas de compas.
Cet éventail comporte deux types de papier décoratif à l'avant et du papier blanc uni à l'arrière qui sert de doublure. Le papier blanc donne plus de poids à l’éventail et aide à couvrir les bâtonnets. Du papier de riz fin a été utilisé dans ce projet, mais vous pouvez utiliser n'importe quel papier ordinaire. Coupez un rectangle de papier d’environ 38 cm sur 45 cm. Utilisez un compas ouvert avec un rayon de 10 cm pour tracer un arc de cercle au bord du papier dans le sens de la longueur, puis découper l’arc de cercle avec des ciseaux.
Étape 5: Positionner les bâtonnets
La portée totale des bâtonnets doit être comprise entre 90 et 180 degrés.
Placez les bâtonnets de bois sur le papier blanc avec le point de pivot en bas au centre où le demi-cercle a été enlevé. De cette façon, environ 10 cm de bois seront exposés, le reste sera recouvert par le papier blanc. Disposer les bâtonnets de façon à ce qu'ils soient uniformément espacés.
Étape 6: Tracer le contour des bâtonnets
Vous ne verrez pas les marques de crayon quand vous aurez fini.
Une fois que les bâtonnets sont positionnés exactement à l'endroit désiré, tracez leur contour à l'aide d'un crayon à papier. Vous enlèverez les bâtonnets à l'étape suivante, tracer leur contour vous aidera à garder une trace de la position initiale
Étape 7: Collez le dos des bâtonnets
N'appliquez de la colle que sur la partie supérieure des bâtonnets.
Appliquez de la colle au dos des bâtonnets à l'aide d'un pinceau. L'utilisation d'un pinceau vous donnera une couche de colle plus uniforme sur le bois.
Rendez-vous sur la boutique pour en découvrir davantage.
Étape 8: Placer les bâtonnets avec la colle sur le papier
Placez les bâtonnets sur le côté où il y a de la colle sur le papier, en utilisant les marques de crayon que vous avez tracées plus tôt pour les mettre dans la bonne position. Appuyez dessus avec les doigts pour vous assurer que la colle entre bien en contact avec le papier. Votre éventail prend forme!
Étape 9: Coupez grossièrement autour des bâtonnets
Enlevez une partie de l'excédent de papier blanc.
Pour que l’éventail soit plus facile à travailler, utilisez une paire de ciseaux pour tailler 2 ou 3 cm tout autour des baguettes. Vous pouvez vous faire une idée approximative à ce stade, car il ne s'agit pas encore de la forme finale.
Étape 10: Découper un demi-cercle dans le papier décoratif
Les dimensions du rectangle de papier doivent être d’environ 38 cm sur 45 cm.
Choisissez un papier décoratif qui se plie facilement, comme du papier d'emballage ou du papier à origami. Tout comme vous avez utilisé le compas pour dessiner un arc sur le papier blanc, faites-le avec le papier décoratif et découpez le même type de demi-cercle. Il faut que cet arc soit légèrement plus petit que celui du papier blanc, alors réglez l'écartement du compas à environ 8-9 cm.
Étape 11: Appliquer de la colle sur le devant des bâtonnets
Utilisez un pinceau et appliquez de la colle sur le devant des bâtonnets de bois, seulement là où ils entrent en contact avec le papier. C'est aussi une bonne idée de tamponner un peu de colle sur le papier entre les bâtonnets pour que le papier décoratif adhère à la doublure blanche.
Étape 12: Positionner l'arrière de l’éventail sur l’avant
Placez l’éventail sur le "mauvais" côté du papier. (Image : Jonathan Fong)
Retournez-le, puis coller le bas sur le "mauvais" côté du papier décoratif. Assurez-vous que les deux demi-cercles de la ligne du bas sont bien vers le haut, le papier décoratif dépassant la doublure blanche d'environ 0,7cm. Passez vos doigts sur le papier pour le lisser.
Vous avez pratiquement fini de fabriquer votre super éventail!
Étape 13: Couper et réduire le papier à la taille finale
Couper le papier jusqu'au bout des bâtonnets.
Utilisez le haut des baguettes de l’éventail comme guide, et coupez tout autour du haut de l’éventail. Laissez environ 1,2 cm de papier sur les bords (à droite comme à gauche).
Étape 14: Couvrez les extrémités avec du papier décoratif
Donnez aux bords leur aspect final.
Sur les baguettes de bois tout à fait à gauche et à droite, appliquez de la colle et pliez le papier décoratif par-dessus. De cette façon, vous obtiendrez de belles finitions lorsque l’éventail sera plié.
Étape 15: Plier l’éventail
Replier l’éventail vers le haut créera les plis désirés.
Pliez l’éventail en alignant les bâtonnets de bois. Le papier se pliera avec les bâtonnets. Donnez au papier un pli fort pour qu’ils soient visibles lorsque le ventilateur sera déplié.
Étape 16: Ajouter un pompon
Choisissez un pompon qui se marie avec les couleurs de votre éventail.
Accrocher un pompon sur le côté plié de l'épingle à tête. Tirez dessus pour vous assurer qu'il ne glisse pas.
Étape 17: Couvrez l'épingle à tête avec un bouton
Le bouton est au ras du bois.
Collez un bouton décoratif sur la partie pliée de l'épingle. Le bouton cache le métal torsadé et verrouille le pompon.
En conclusion
Et voilà, votre œuvre est maintenant terminée, vous pouvez être fière de vous !
Avec ce tutoriel, vous vous êtes certainement rendu compte qu'être éventailliste, c'est tout un art!
Vous cherchez de l'inspiration ou vous n'avez ni le temps, ni le matériel pour fabriquer vous-même votre propre éventail?
Rendez-vous sur la boutique de l'Eventail Rouge pour découvrir et vous inspirer des plus beaux modèles d'éventails.
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Be_one_with_nature_with_these_camping_tips(1)
Ne faites qu'un avec la nature grâce à ces conseils de camping Il est difficile de contester l'immense plaisir que les gens de tous les horizons tirent du camping. Pour vraiment maximiser votre prochaine aventure de camping, vous devrez posséder un bon nombre de trucs et de conseils précieux. L'article qui suit est rempli de renseignements utiles qui vous aideront à faire de votre séjour en plein air un succès. Si vous allez camper dans l'arrière-pays, vous devriez probablement porter une trousse de morsure de serpent dans votre équipement. Les meilleures trousses de morsure de serpent sont celles qui utilisent la succion. Certaines trousses contiennent des scalpels et des rétrécisseurs de flux sanguin. Les scalpels peuvent en fait couper le poison dans la circulation sanguine plus rapidement, et les constricteurs peuvent être mortels s'ils ne sont pas utilisés correctement. Choisissez un sac de couchage qui convient à la saison. Ne sortez pas un sac de couchage lourd en été, il pourrait vous faire transpirer et être inconfortable toute la nuit. Et si vous prenez un sac de couchage léger, vous allez geler. L'hypothermie peut aussi être ressentie. Saviez-vous qu'un simple miroir peut vous sauver la vie ? Si vous faites du camping et que vous vous retrouvez dans une situation de survie, un simple miroir à main peut être utilisé pour signaler à l'aide que vous êtes à des kilomètres de distance. N'achetez pas le miroir en verre standard, plusieurs magasins de fournitures de camping vendent des miroirs en Lexan qui flottent et qui sont pratiquement incassables. Recherchez les activités à faire avant de vous rendre à votre destination. Cela vous permettra de vérifier les offres qui pourraient vous être faites. De plus, cela vous aidera à être mieux préparé lorsque vous arriverez à votre destination. Vous pouvez trouver des sentiers qui pourraient convenir à tous les membres de votre famille ou des restaurants que vous aimeriez fréquenter. Si vous partez à l'aventure en camping, assurez-vous d'avoir suffisamment de temps pour installer votre campement avant la nuit. Il peut être extrêmement difficile d'installer le campement dans l'obscurité et possiblement dangereux. Vous devez être en mesure d'explorer le terrain, de préparer la literie et, éventuellement, de construire un abri temporaire avant le coucher du soleil. Si vous avez un bambin, prenez une couverture. Vous pouvez l'étendre sur le sol et l'utiliser comme une aire de jeu de fortune. Apportez des voitures, des poupées ou tout autre objet dans lequel votre enfant se trouve. Ils pourront jouer sans se salir trop et vous pourrez leur dire qu'ils doivent garder leurs jouets sur la couverture pour les garder en sécurité. Cela aidera à éviter que les choses ne soient trop étalées. Avant d'entreprendre un voyage de camping, vous devriez vous assurer d'avoir en main des fournitures d'urgence, comme une trousse de premiers soins et plus encore. Vous aurez peut-être besoin de différentes fournitures, selon l'endroit où vous vous trouvez, mais il y a certaines choses que vous devriez toujours avoir en main. Par exemple, si vous campez dans une région où il y a peut-être de l'herbe à puce, assurez-vous d'emporter de l'hydro-cortisone. Lorsque vous ramassez du bois pour un feu de camp, concentrez-vous sur trois tailles différentes : le bois de la taille d'un doigt, qui prendra feu immédiatement, le bois de la taille d'un bras, qui le fera durer, et le bois de la taille d'une jambe, qui vous permettra de faire durer le feu pendant longtemps. Le fait d'avoir du bois de différentes tailles vous aide à allumer le feu et à le faire durer. Apportez des sacs ou des bidons de plastique lorsque vous partez en camping afin de pouvoir entreposer les produits alimentaires que vous avez ouverts. Cela camping empêchera les bestioles d'envahir votre terrain de camping et évitera que les animaux sauvages ne soient attirés par ce que vous avez à l'intérieur. Il est important d'avoir une lampe de poche lorsque vous campez, mais assurez-vous que les piles sont complètement chargées. Une façon de s'assurer que les piles ne se déchargent pas accidentellement pendant le voyage est de les mettre dans la lampe de poche à l'envers. De cette façon, si l'interrupteur est accidentellement enclenché, elles restent chargées. De plus, vous savez où se trouvent les piles.
Vous êtes un campeur débutant et vous venez d'acheter votre première tente ? Avant de l'emmener pour votre premier voyage, entraînez-vous à monter votre tente. Vous devriez savoir ce dont vous avez besoin et comment le faire avant de devoir le faire. Avec cette pratique, votre tente se montera beaucoup plus rapidement et vous aurez un abri avant la tombée de la nuit.
Les insectes et les moustiques sont une nuisance courante en camping. Vous pourriez acheter un répulsif commercial avec des produits chimiques, mais une bonne façon naturelle de garder les insectes loin de votre corps est d'utiliser une peau d'orange. Frottez l'intérieur de la pelure sur vos bras et vos jambes. C'est une façon peu coûteuse et responsable de repousser les insectes nuisibles.
L'éventail des personnes qui aiment le camping est étonnamment varié. Le lien commun qui relie tous les campeurs expérimentés et compétents est leur niveau de connaissance avancé sur le sujet. Tenez compte des recommandations contenues dans le document ci-dessus, et vous pouvez joindre les rangs des campeurs chevronnés qui trouvent que l'expérience est parmi les meilleures au monde.
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Adieu, Papa… On t'aimait bien, pourtant…
Avec Hollande d'abord et Macron juste après, la France s'est inexplicablement donné deux Présidents avec lesquels les blogueurs frôlent le “burnout’‘ : il se passe toujours quelque chose, dans le gigantesque ’'Souk” que devient notre pays. C'est plus souvent “pour le pire” que “pour le meilleur”, mais ça… on ne peut que le constater, le regretter et s'en désoler… car il est trop tard pour arrêter la course folle vers notre propre néantisation… A peine refermée la page des envolées “oratoires-mais-rien-de-plus” de Macron sur l'islamisation omniprésente, il nous remet ça, en beaucoup plus grave… pour un tout petit peu plus tard, avec une destruction en règle de toutes les bases de toute société, qui vont être remplacées bientôt par… rien…. Au secours ! Ils vont sans doute finir par la voter, cette loi assassine qui est mensongèrement dite “sur la PMA pour toutes”. Et alors…
Noyée, étouffée, déboussolée par une “propaganda” digne du cauchemar communiste, la population française n'a pas la moindre chance de se douter de ce qui se trame, pas plus que de la profondeur des abîmes sans fond vers lesquels on l'entraîne, un peu comme un agneau à l'abattoir : le voile de fumée est si épais que plus personne ne voit rien. Avec le début, ce mardi, du débat en séance publique sur le projet de loi sur la bioéthique, les masques tombent et les français vont enfin découvrir toutes les atrocités que leur gouvernants et le parti majoritaire ont réussi à concocter dans leur dos, en leur faisant croire qu'il y avait des réunions et des discussions… qui n'avaient pour finalité que de faire croire aux pauvres gens qu'on les écoutait…Deux ans de bla-bla se soldent par… “pas la moindre inflexion sur les idées de base”. On s'est rarement autant foutu de la gueule des gens !
En fait, il ne s'agit que de détruire de fond en comble les bases de notre société (qui sont les bases de toute société humaine digne de ce nom : il n'en existe pas d'autres !)… Sous le faux prétexte d'avoir l'air “progressiste” (ce qui est, nous l'avons montré cent fois, périmé, mal défini, pervers et faussement orienté vers un futur qui n'arrivera jamais puisqu'il est impossible !), mais sous la vraie raison, mochement électoraliste, d'attirer quelques votes achetés à une petite minorité, on est en train de discuter à la Chambre la destruction du socle de la France.
Car les 33 articles qui vont être discutés (et les 2600 amendements dont seuls seront adoptés ceux qui vont vers une aggravation des dispositions initiales) sont très loin de ne concerner que la seule “PMA POUR TOUTES”, qui est déjà un nom totalement mensonger, à la fois dans son champ d'application (elle concerne une minorité de femmes) et dans ses ambitions, qui vont bien au delà de cette seule idée, fut-elle perverse. Mais depuis le “mariage prétendu pour tous” et le succès de l'ahurissant “touttsellzéceu” présidentiel, le qualificatif “pour tous” ou “pour toutes” est censé avoir valeur de “Sésame, ouvre-toi” pour toute loi à voter. Au delà des mots, ce qui est en cause, c'est une redéfinition de l'espèce humaine, qui deviendra obligatoirement (et on peut craindre qu'il n'y ait aucune échappatoire à cette évolution) un pas vers un “Transhumanisme” redouté à juste raison : un processus de “procréation”, inhérent à toute forme de vie animale, risque de devenir un processus de “fabrication”, ce qui ouvre grand la porte à des (més)aventures dont aucune n'a été envisagée, ni pensée, ni réfléchie, ni contrôlée, ni maîtrisée : en faisant tout ce qu'il ne fallait surtout pas faire, et en plus dans le mauvais ordre. on se condamne nous-mêmes à disparaître en tant que ce que nous sommes, ce que nous étions, et ce que nous rêvions d'être, longtemps encore. On s'apprête à voter la victoire de la technique sur l'humain et le triomphe de la science sur la nature… Le risque est énorme, mais personne n'a l'air d'y penser !
Franchement, ami lecteur, êtes-vous au courant que l'article 1 de ce projet de loi, sous couvert de “étendre la PMA aux couples de femmes”, (en attendant les hommes, qui n'ont aucune raison de ne pas faire leur caprice, eux aussi !), ne dit pas un mot des risques pour tant d'enfants de ne jamais connaître “un Papa”…. si ce n'est à travers (je cite) “des données non-identifiantes” (sic !) ? Savez-vous que, en étendant cette possibilité technique aux femmes seules, on détruit à jamais la notion-même d'altérité, bien au delà de l'image d'un Père ? Etes-vous informés du fait (sur lequel nous reviendrons demain) que ouvrir le libre accès aux ovocytes, sans le moindre contrôle, ouvre la porte à la marchandisation des gamètes… et pourquoi pas, des bébés ? Savez-vous qu'en autorisant la libre recherche (sans contrôle, c'est tellement mieux !) sur les embryons, c'est l'un ou l'autre des bébés que vous auriez pu avoir que vous offrez au scalpel de chercheurs dont vous ne savez rien ? Autre sujet : en autorisant la PMA “post mortem”, on offre pour tout destin à tous les enfants à venir par ce biais d'être ’'l'enfant d'un cadavre’' ? Il faut ne rien savoir de la psychologie d'un enfant (ou n'en avoir vraiment rien à foutre !) pour envisager de créer un tel degré de détresses à venir… C’est honteux !
Mais il y a plus grave : le projet de loi envisage de mettre en place un mode de filiation oublieux de tout argument physiologique, au profit d'une “déclaration de volonté”, avec pour seule justification cette phrase qui restera attachée à l'actuelle Ministre de la Santé, Agnès Buzyn : “ce n'est pas l'accouchement qui fait la filiation”… Quand je vous dis que la folie est sortie des asiles… En attendant, personne ne peut imaginer l'imbroglio dans lequel seront les Notaires de demain… Jospin avait tout vérolé avec sa loi sur les patronymes, mais là… c'est dans un nid de frelons d'Asie qu'on met la main… Il reste jusqu'au 9 octobre pour réagir…
H-Cl
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