#Romuald Fassenet
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dijonbeaune · 4 months ago
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La Bourgogne-Franche-Comté en quête de nouveaux habitants
Après les Départements de la Côte-d’Or et de la Nièvre, le Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté se lance dans une campagne d’attractivité résidentielle inédite à l’échelle d’une région entière. Objectif : l’installation de 2 000 nouvelles familles d’ici deux ans. Avec le chef étoilé Romuald Fassenet et le chef d’entreprise Roland de la Brosse, l’acteur Lambert Wilson faisait partie des…
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toutmontbeliard-com · 2 years ago
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Pierre Caillet, chef étoilé, à la Résidence Surleau de Montbéliard
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L’EHPAD la Résidence Surleau à Montbéliard, géré par la Fondation Arc-en-Ciel, a eu l’honneur de recevoir le chef étoilé et Meilleur ouvrier de France (MOF) Pierre Caillet pour un menu à quatre mains. Le chef étoilé, accompagné du chef de l’établissement Joffrey Petitcolin et de l’équipe cuisine, a concocté un menu complet pour les personnes accueillies à l’accueil de jour La Passerelle, situé dans la Résidence Surleau comprenant un filet de rouget accompagné d’artichaut poivrade et de pickles de girolles, un paleron de bœuf avec ses gnocchis de betterave glacée au jus et de mini betterave acidulée, un Pavlova revisitée avec une coque de meringue et sa ganache tendre au cassis. Le tout, en présence du chef Romuald Fassenet, ancien chef de Pierre Caillet. La Promotion Pierre Caillet 2023 "Notre chef, Joffrey, fait partie des 12 chefs d’Api restauration (prestataire de la Fondation Arc-en-Ciel) de la promotion Pierre Caillet 2023", précise la Fondation Arc-en-Ciel, "Cette promotion est un parcours culinaire qui permet aux chefs de se former tout en leur permettant d’exprimer le meilleur de leur créativité. Afin de finaliser cette formation, Joffrey se rendra dans le restaurant de Pierre Caillet à Valmont. La finalité de cette formation est d’offrir un repas de qualité en restauration collective, en donc en Etablissement d’Hébergement pour Personnes Âgées". Read the full article
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tokyoatparis · 5 years ago
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Le Wagyu au menu de 20 restaurants en France !
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Les Chefs participants avec des membres du Conseil pour la promotion des exportations des produits japonais d’origine animale ©TokyoatParis
Le véritable wagyû revient en France dans les cuisines de 20 Chefs étoilés du guide Michelin ! En ce mois de décembre, pour les fêtes de fin d’année, ce sont de nouvelles recettes qui subliment ce boeuf japonais. Bonne nouvelle, ça ne se passe pas seulement à Paris mais partout en France !
Depuis quelques années, les amateurs de viande de boeuf en France peuvent se procurer du véritable wagyû, cette viande de boeuf japonaise savoureuse et reconnaissable par son persillage. Rappelons que « wagyû » signifie tout simplement « boeuf japonais ». Alors pourquoi le Conseil pour la promotion des exportations des produits japonais d’origine animale, organisateur de la Semaine du Wagyû japonais en France en février 2019, précise qu’il s’agit de wagyû japonais ? Tout simplement parce qu’il existe des boeufs japonais, de la race Kuroge Washu, élevés dans d’autres pays comme le wagyû d’Australie ! Mais comment faire la différence entre un wagyû « métisse » et un vrai wagyû -du Japon donc ? Grâce à son certificat qui accompagne systématiquement le wagyû élévé au Japon !
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Exemple de certificat d’identification du wagyû ©TokyoatParis
Le véritable wagyû est toujours fourni avec un certificat délivré par le Conseil pour la promotion des exportations des produits japonais d’origine animale, sur lequel sont indiqués son numéro unique d’identification, la date de l’abattage, le département de production de la viande ou encore la qualité de la viande (A5 étant la meilleure). Aujourd’hui, les consommateurs peuvent même scanner le QR code accompagnant la viande et retrouvent ainsi toutes les informations du certificat. Si vous en faites la demande à votre boucher ou au Chef mais qu’ils ne peuvent vous montrer ce certificat, considérez alors que ce n’est pas un wagyû en provenance du Japon mais probablement un wagyû élevé à l’étranger.
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Démonstration de Didier Goiffon de La Huchette ©TokyoatParis
C’est donc ce véritable wagyû qui se retrouve entre les mains de 20 chefs étoilés au Guide Michelin, dont 17 chefs français et 3 chefs japonais ! Durant ce mois de décembre (pour les périodes exactes, se renseigner auprès des établissements), c’est l’occasion de découvrir ou redécouvrir cette succulente viande à travers des recettes originales, « des recettes qui ne pourraient être élaborées au Japon » dans le sens où le véritable wagyû est ici sublimé dans des recettes adaptées à la culture culinaire française.
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Démonstration d’Adeline Grattard de chez Yam’Tcha ©TokyoatParis
Pour les parisiens et franciliens, rendez-vous chez Yam’Tcha, au 121 rue Saint-Honoré pour déguster les Spaghetti de patates douces, champignons shiitakés et entrecôte de Wagyu japonais d’Adeline GRATTARD, ou bien au Restaurant Auguste pour tester le Wagyû japonais, pulpe de pruneaux en aigre douce, racine de persil-café-noisette de Gaël ORIEUX, ou alors au restaurant Études au 14 rue du Bouquet de Longchamp, où Keisuke YAMAGISHI interprète un pot-au-feu avec du wagyû japonais, ou enfin chez Accents où Ayumi SUGIYAMA et Romain MAHI proposent un wagyû japonais en barbecue, anguille fumée, citron verdelli confit, patate douce. Ou pourquoi pas se faire un grand plaisir en visitant les 4 établissements ?
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Démonstration par Laurent Lemal de la Coopérative ©TokyoatParis
Et si vous comptez célébrer les fêtes de fin d’année ailleurs en France, cela tombe bien ! Rendez-vous à la Coopérative de Laurent LEMAL (à Bélesta, 66), au Favre d’Anne de Pascal FAVRE d’ANNE (Angers, 49), au Haut Bonheur de la Table d’Eugène HOBREICHE (à Cassel, 59), chez Ima de Julien LEMARIÉ (à Rennes, 35), chez Le Cerf à Marlenheim de Joël PHILIPPS (Marlenheim, 67), à Maison Dufossé la Table de Christophe DUFOSSÉ (à Metz, 57), à la Merise de Cedric DECKERT (à Laubach, 67), au Restaurant Julien BINZ du nom du chef (à Ammerschwihr, 68), à L’Aspérule de Keigo KIMURA (à Dijon, 21), au Château du Mont Joly de Romuald FASSENET (à Sampans, 39), au Relais Bernard Loiseau de Patrick BERTRON (à Saulieu, 21), à l’Auberge de Clochemerle de Romain BARTHE (à Vaux-en-Beaujolais, 69), au restaurant Raphaël VIONNET du nom du chef (à Thonon-les-Bains, 74), chez les Explorateurs de Josselin JEANBLANC (à Val Thorens, 73), à la Huchette de Didier GOIFFON (à Replonges, 01), et à l’Ékrin de Laurent AZOULAY (à Méribel, 73) !
Pour d’autres photos de la présentation du Wagyû, n’oubliez pas de suivre le compte Instagram @tokyoatparis !
 Toute reproduction interdite sans autorisation
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cedricfaitsontourdupilat · 3 years ago
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CYCLO LES 100 ANS DE LA VACHE QUI RIT !
A Lons-le-Saunier, les 25 et 26 septembre 2021
   En cette année 2021, la célèbre Vache qui Rit est centenaire et pour ce Bel anniversaire pas mal de festivités étaient programmées dont la création d’une nouvelle cyclosportive au départ de Lons-le-Saunier qui est le berceau de la célèbre portion de fromage. Le samedi est consacré à une épreuve gravel alors que le dimanche verra la cyclosportive avec 3 parcours route proposés ; 73km et 1013m D+, 108km 1572m D+ et 163km avec 2332m D+. L’organisation est assez remarquable pour une première (ils ont mis les moyens comme on dit) et plus de 2000 cyclistes sont engagés. Il faut toutefois noter un petit couac pour le grand parcours qui a été modifié sans que ce soit très clairement annoncé ni sur le site internet de l’épreuve ni même sur place par le speaker ; un gros bémol puisque on passe de 163km à tout juste 150km et une belle difficulté de moins avec la suppression du passage à Beaume-les-Messieurs dont le sommet de la côte assez difficile se trouvait à une dizaine de kilomètres de l’arrivée. Perso, j’avais trouvé l’info sur le fil d’une discussion Facebook où il était expliqué la présence de travaux du côté de Château-Chalon et Voiteur ainsi que la présence d’un important rassemblement de motards à Beaume-les-Messieurs ; l’organisation n’a pu faire autrement pour assurer un maximum de sécurité (il faut aussi savoir que la date initiale était plus tôt dans la saison mais qu’elle fut repoussée à cause des contraintes liées au Covid).
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       Présent sur place dès le samedi, je profite de cette journée quasi estivale pour récupérer le dossard et jeter un œil au village exposant assez bien fournit. Après cela direction le centre-ville pour une petite visite et quelques achats. Malheureusement la météo ne s’annonce pas belle pour le lendemain ou pluie et orages doivent arrivés la nuit et se poursuivre le lendemain matin. Et sans surprise lorsque le réveil sonne à 6h, il pleut mais par miracle la pluie cesse au moment d’enfourcher le vélo pour faire les 3 kms me menant au départ. Les routes vont être détrempées et bien sales et glissantes par endroit mais il n’y aura finalement pas de pluie ! Près de 500 coureurs sont annoncés sur le grand parcours où je connais David De Vecchi, Roland Chavent, Geoffrey Lucat ou Damien Tarantola. A priori pas mal de coureurs locaux et FFC aussi ce qui pourrait annoncer une course nerveuse et il le faudra car vu la très faible difficulté du parcours en termes de cols et D+ j’ai très peur que ce soit un groupe conséquent qui arrive au sprint pour la victoire !
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      A 8h le départ est donné, de façon neutralisée jusqu’à la maison de la Vache qui Rit pour un arrêt photo : l’allure extrêmement réduite est fort désagréable et il faut être très vigilent bien que je sois dans les premières positions ; voilà une chose à améliorer pour la prochaine fois ! On repart vite toujours derrière l’auto pour finir de traverser Lons-le-Saunier et le départ réel est enfin donné avec presque tout de suite une difficulté qui est la côte de St-Maur (8km @ 4%, plus pentu dans sa 2eme partie). Un ou 2 gars tentent d’anticiper puis 3-4 prennent quelques longueurs ce qui m’incite à faire l’effort : 8’ pour les 3 derniers kms à bloc et voilà une grosse sélection qui s’est faite ! Malheureusement après le sommet nous partons pour 35kms sans grande difficulté et les écarts pas très importants font qu’on assite à un regroupement et pendant plusieurs kms quelques coureurs ne font que revenir ; je ne participe alors plus trop aux relais à l’approche d’Orgelet où nous descendons sur le pont de la Pyle en ayant le temps d’admirer une partie de l’immense lac de Vouglans.
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      Une petite remontée étire alors le peloton et je me replace aux avants postes au cas où ; après un bon petit tempo on traverse Meussia où je me retrouve avec un gars légèrement devant le paquet : gros virage à gauche et sur un coup de tête je place une violente accélération à 110km de l’arrivée ! Personne ne suit et me voilà seul avec vite 10/15’’ d’avance. Je décide de continuer sur un terrain pourtant pas favorable avec des lignes droites et mon avance va osciller entre 30 et 45’’ alors qu’on roule entre 40-50 km/h ! Je sais que je n’irai pas au bout tout seul si loin de l’arrivée sur un tel parcours, mais n’ayant pas grand-chose à perdre je me fixe pour objectif d’atteindre le col de la Joux avec de l’avance au cas où la bataille s’y déclencherait.
Après 12-13kms solitaires le col de la Joux débute enfin : 10,5 km @ 4,5%, c’est LA difficulté de la journée. Je me cale sur un gros tempo dès les 1eres rampes et très vite je vois un coureur qui est sorti en contre ; c’est Damien que j’avais rencontré à Megève il y a quinze jours. Il revient comme une balle et après avoir soufflé 2’ dans ma roue il relaie… très fort. Je ne rigole pas et hausse le rythme d’un cran ; on revient sur un groupe du moyen parcours (parti plus tard et ayant fait plus court pour venir ici) que l’on fait exploser au passage où seul 2-3 parviendrons à suivre un moment avant de lâcher prise ; je parviens à relayer un peu mais donne tout dans la 2eme partie pour ne pas décrocher ; au sommet on viens de signer les 2 meilleurs temps tout parcours confondus et fonçons dans la courte descente où nous apercevons un petit groupe de 4-5 qui sont en tête du moyens parcours. En bas on fait la jonction et se trouvant de nouveau sur un terrain dépourvu de difficulté on ne peut se départager et roulons donc ensemble ; on va alors faire une vingtaine de bornes comme ça passant la courte bosse de la Chaux du Dombief avant de plonger sur Ilay où 2 gars se détachent dans une partie sinueuse très humide en descente. Avec Damien on continu de rouler fort car les autres entre course d’équipe et pas l’envie d’assurer la poursuite, ne roulent plus. On arrive ainsi jusqu’à la bifurcation où on se retrouve de nouveau seul tous les 2 pour aborder les 50 derniers kms.
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      Peu après alors que nous passons au bord du lac de Chalain, le motard nous donne un écart de 3’ d’avance sur un groupe d’une douzaine d’hommes ; à plus de 40km de l’arrivée ce n’est pas gagné mais c’est intéressant. Nous avons alors 7-8kms un peu vallonnés avec une montée très roulante par paliers jusqu’à Mont-sur-Monnet ; je parviens toujours à relayer mon partenaire mais je vois bien que mes relais sont moins efficaces (j’ai même parfois du mal à passer !). Après une partie descendante jusqu’au Pont du Navoy on enchaine sur la dernière difficulté du parcours avec la côte de Crotenay : 3km à 5%. Je n’ai d’autre choix que de laisser faire Damien ; parfois à ses côtés, souvent dans sa roue je donne tout dans le dernier km pour atteindre le sommet où les 400 derniers mètres sont interminables. Cela dit sans le savoir, on creuse l’écart avec des stats très solides sur cette bosse, malheureusement pas de vraie descente en haut, juste un faux plat où il faut pédaler fort. Je parviens à prendre un relais mais Damien est vraiment impressionnant et ce qui devait arriver arriva ; virage pas très bien négocié, je relance mais manque de jambes ; sans le voir mon camarade viens de me sortir de sa roue et lorsqu’il s’en aperçoit il ne m’attend pas : à moins de 30km de l’arrivée il a bien vu que je n’allais plus trop l’aider !
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    C’est donc un long CLM qui se présente : sans être défaillant je maintiens quand même un gros rythme gardant Damien à 10’’ pendant un moment puis 20’’. Les lignes droites font que je l’ai toujours en point de mire. Après 10km dans cette situation et avoir passé le cirque du Ladoye, je me pointe à une quarantaine de secondes ; 40’’ perdues en 10km, ce n’est pas si mal même si je ne sais pas ce qui se passe derrière moi. Une très longue ligne droite en toboggans peu avant Crancot me permet de voir une dernière fois Damien ; à présent c’est une grosse minute de retard et quand je me retourne je ne vois personne ; plus qu’une grosse dizaine de km et je commence à y croire d’autant qu’on rejoint des participants des autres parcours ; je donne tout dans les derniers talus pour atteindre la descente finale, un dernier coup d’œil derrière pour se rassurer, même si avec les autres concurrents je ne suis sûr de rien et c’est parti pour 6km où je peux enfin récupérer un peu. Pas mal de circulation ici mais heureusement la moto devant moi me facilite le passage pour l’entrée de ville ; après 2km de zone industrielle avec quelques virages voilà enfin l’arche ; 2eme scratch et 1er de caté, 2’15 derrière Damien et avec finalement 6’ d’avance sur un groupe de 13 hommes qui se disputera la 3eme place au sprint enlevé par Laurent Tachot.
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                        Classements
https://cyclosportive-100anslavachequirit.fr/resultats/
Liens du grand parcours -ici-
  Si le parcours était peu intéressant en termes de difficulté, il nous a tout de même fait visiter quelques sites incontournables du Jura et j’y ai pris grand plaisir avec la tournure (très) heureuse des évènements ! Un coup de poker improbable et je prends cette 2eme place presque comme une victoire n’ayant absolument aucun regret face à un Damien Tarantola de gala ! L’organisation de l’épreuve était vraiment top pour une première ; le village exposants, le retrait des dossards et le repas élaboré par le Chef Romuald Fassenet (meilleur ouvrier de France) et préparé par le Chef Didier Thevenet (Cuisine Municipale Ville de Lons le Saunier) était plus qu’excellent ! Cette épreuve faisait aussi partie du challenge Cyclo Tour Rotor et avec cette 2eme place j’assure de façon définitive ma première place au général ; je porterai et garderai donc le maillot de leader sur la dernière manche du côté de St Remy de Provence le 10 octobre pour cloturer cette belle saison.
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majerikmagicien-blog · 5 years ago
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Dîner des étoiles : Magie et gastronomie
Magie aux tables, Spectacle / Par Majerik Le dîner des étoiles c’est dix vins, dix plats, dix chefs étoilés et de la magie à votre table avec Majerik Votre Magicien. Pour avoir plein d’étoiles dans l’assiette et dans les yeux!
La septième édition du « Dîner des étoiles » se déroule sur deux événements : – Jeudi 10 octobre chez le chef étoilé Romuald Fassenet au Château du Mont Joly – 39100 Sampans (COMPLET). – Jeudi 24 octobre 2019 au Moulin de la mangue – 2 Route de Secenans – 70400 Granges-le-Bourg (ENCORE QUELQUES PLACES DE DISPONIBLES). Le dîner se clôturera par un feu d’artifice.
Un dîner unique qui associe les meilleurs savoir-faire au profit d’une bonne cause. Et cette année une partie des recettes financera un nouveau piano pour l’hôpital de Besançon.
«  Avis aux gourmands et gourmets ! Cette soirée va ravir les papilles et les yeux ! Nous aurons des vins de grande qualité et nous serons très attentifs aux produits choisis» , selon Alain Pralon, chef d’orchestre de la soirée et fondateur des guides l’Indispensable et l’Essentiel. Magie et gastronomie à votre table !
INFOS ET RÉSERVATIONS : Le dîner des étoiles – 7e édition
Accords mets et vins : 220 euros par convive
Réservation indispensable au 06 80 60 42 97
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jeremystrele · 6 years ago
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Melbourne’s Newest Deli And Eatery Brings The WOW-Factor!
Melbourne’s Newest Deli And Eatery Brings The WOW-Factor!
Interiors
Amelia Barnes
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New Melbourne deli and eatery Via Porta adopts a refined, pared back aesthetic. Photo – Sean Fennessy.
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The deli is the newest addition to Melbourne’s dining scene owned by two outstanding chefs, Ryan and Simon Cosentino, and their designer sister, Sarah Cosentino. Photo – Sean Fennessy.
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Via Porta is essentially an extension of a traditional Italian family kitchen and pantry. Photo – Sean Fennessy.
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A highlight of the space is the crazy paving flooring, which was developed in the most economical and environmentally-friendly way possible using stone offcuts from various suppliers. Photo – Sean Fennessy.
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The interiors deliberately don’t compete with the vibrant products lining the deli’s shelves. Photo – Sean Fennessy.
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A key influence behind the design is the quaint and narrow alleyways of Italy, as evident in the textural limestone on the counter. Photo – Sean Fennessy.
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The business’s head chef and co-owners are Ryan and Simon Cosentino, both of whom have trained or worked under a Michelin star restaurant owner. Photo – Sean Fennessy.
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‘We were fortunate that while growing up, the fridge and pantry were always well stocked with the Italian staples: a large jar of Sicilian olives, the good quality parmigiano, cured meats and far too many cans of peeled tomatoes and Nonna’s passata,’ says co-owner Sarah Cosentino. Photo – Sean Fennessy.
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Included in the space is an eatery (soon to be a restaurant), along with a deli providing take-home meals, cheeses, cold meals and house-made condiments. Photo – Sean Fennessy.
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The interior palette is intentionally minimal but textural, adopting honest finishes and traditional methods inspired by Southern Italy. Photo – Sean Fennessy.
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After two years in the making, Via Porta is finally open for business. Photo – Sean Fennessy.
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The crazy paving flooring continues into the bathrooms. Photo – Sean Fennessy.
It doesn’t get much more Italian than a deli designed by three siblings, as an homage to their heritage! 
Via Porta is the newest addition to Melbourne’s dining scene, owned by two outstanding chefs, Ryan and Simon Cosentino, front-of-house expert Jonathan, and their sister, Sarah Cosentino, director of Studio Esteta, who designed the space. 
‘My brothers and I have worked together in the sense of a designer and client relationship, but I steer clear of the floor and operational side of things. They prefer it this way!��� Sarah says. 
Simon previously worked for Melbourne-based French chef Philippe Mouchel, and at the Michelin star recognised Restaurant Serge Vieira in France. Ryan also learned his craft in France under chefs Serge Vieria and Romuald Fassenet, and more recently worked with Guy Stanaway at Jackalope’s restaurants Doot Doot Doot and Rare Hare. On the other hand, Jonathan has extensive experience running the Cosentino’s previous family cafe. 
Via Porta is located in Mont Albert, an eastern Melbourne suburb not typically recognised for its culinary offering, but the natural location for this business. Not only did the Cosentino family grow up in Mont Albert, the suburb borders on the sibling’s first (now sold) cafe, Mr Hendricks.
The business is essentially an extension of a traditional Italian family kitchen and pantry. Included in the space is an eatery (soon to be a restaurant), along with a deli providing take-home meals and house-made condiments. There’s also a selection of local and imported cold meats, cheeses and artisanal foods. 
‘Our concept of an eatery and deli stemmed from our childhood memories spent with our Nonna’s learning how to master Italian cooking,’ says Sarah. ‘We were fortunate that while growing up, the fridge and pantry were always well stocked with the Italian staples: a large jar of Sicilian olives, the good quality Parmigiano, cured meats, and far too many cans of peeled tomatoes and Nonna’s passata. I’m sure many European families can relate to this!’
The interiors are rich in detail, while remaining pared-back and refined. A key influence behind the design is the quaint and narrow alleyways of Italy, referenced in textural limestone on Via Porta’s counter. Another highlight of the space is the crazy paving flooring (obsessed!), which was developed in the most economical and environmentally-friendly way possible using stone offcuts from various suppliers. 
After two years in the making, Via Porta is now open for business. ‘The final result is a testament to hard work, dedication and three tolerant clients who weren’t afraid to get their hands dirty,’ Sarah says. ‘We are biased, but it’s a special project – definitely worth a visit!’ 
Another of Studio Esteta’s projects, the Portsea House, has been shortlisted in the Residential Architecture category of the TDF Design Awards! See here to view the other shortlisted projects!
Via Porta Monday-Saturday 7am-5pm  Sunday 8am-3pm 677 Whitehorse Road  Mont Albert, Victoria
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macommune · 7 years ago
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via L'essentiel de l'information - macommune.info
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faustuschrisriedel · 8 years ago
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  Encore une histoire de famille : celle des Gorini qui débute en 1972 avec le papa moniteur à l’ESF de cette station sportive tout juste créée, la maman secrétaire, puis une crêperie. En 1979, ils ouvrent un hôtel 4 étoiles, « Les 3 Vallées ». En 2001, la famille remet toutes ses billes en jeu à Val Thorens dans ce Refuge Pashmina*****
  Il s’agit du quatrième cinq étoiles de Val Thorens, un pari audacieux, à 2 345 mètres. En porte d’entrée remarquable vers les 600 kilomètres du domaine des Trois Vallées : on ira taquiner la cime Caron culminant à 3200 mètres.
On dormira une nuit dans l’igloo géodésique à hublots de verre et mezzanine de base polaire, au quatrième étage de l’hôtel : spectacle du couchant sur l’aiguille et le glacier de Péclet, moumoutes en mouton pimentant l’idée d’aventure.
Je le vois de ma chambre, cet igloo : des enfants y jouent, leurs rires dans la nuit ponctuent le début de la mienne, après la soirée d’inauguration…
Pashmina ? Pourquoi ce nom ?
Ce nom annapurnien cousu de fil d’or n’a ici d’indien que l’idée d’aventure, qu’on retrouve avec des experts causeront traversée des Alpes en solitaire ou première sur la face nord de l’Annapurna au coin du feu.
Il y a la douceur des chambres, celle des beaux cashmeres exposés. Pas de décor Bollywood, ni de clinquant new rich Courchevel à coussins rebondis, ouf ! Juste du soyeux, des murs… blancs ou boisés.
Des surprises aussi
Comme ce jaccuzzi donnant sur la piste de slalom : il est donc dehors, au bout de la terrasse. Du coup, on vous voit barbotant. Osera qui voudra !
Du sauna, on a vue sur pistes aussi
Et la piscine s’illumine selon les mouvements des nageurs ; cela se voit de l’ascenseur panoramique (et me rappelle ces montres activées par le pouls humain). Tout cela produit l’effet dynamique escompté, avec les espaces communs bien agréables, organisés autour d’un grand cube, des thés très originaux. Un bar suspendu flottant dans le patio, au quatrième dans une ancienne cabine de téléphérique à lattes de bois…
Là, c’est la chambre igloo, un beau cocon, non ?
Autre histoire de famille, la boutique de skis des championnes françaises Goitschel propose du matériel digne du surfer d’argent pour transcender les pistes.
Après l’exaltation de la glisse
Je déchausse au retour des Menuires ou de Méribel devant le restaurant** du jeune loup Jean Sulpice (31 ans, adepte des herbacés, par exemple l’oxalis, oseille sauvage montagnarde). Le fan club du skieur Adrien Théaux qui a brillé aux championnats du monde de 2015, grande fierté de Val Thorens, s’y affiche sur une banderole.
Tiens, c’est marrant : Son épouse est justement la responsable du spa « by L’Occitane » du Pashmina où l’on revigore plaisamment les corps avec des soins, sportifs ou tout doux.
Les deux restaurants se chargent des papilles : Romuald Fassenet, Meilleur Ouvrier de France 2004 pour son restaurant de Dole, est flanqué de Josselin Jeanblanc, talentueux local de l’étape.
On monte en dameuse vers l’annexe dans la nuit 
C’est Le Refuge, un chalet à 2600 mètres où l’on dîne et le long duquel une yourte mongole boisée propose une restauration rustique chic près du poêle à bois : un antre chaleureux, un zeste d’excentricité dans le luxe décomplexé. Seule fausse note peut-être, des luminaires un peu kitsch : personne n’est parfait.
Christophe Riedel (Article paru dans Où ? Magazine
Deux doux liens : www.hotelpashmina.com
La station : www.valthorens.com
  Le Pashmina, Val Thorens : Igloo, yourte et cocon***** entre flocons Encore une histoire de famille : celle des Gorini qui débute en 1972 avec le papa moniteur à l'ESF de cette station sportive tout juste créée, la maman secrétaire, puis une crêperie.
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dijonbeaune · 4 years ago
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Romuald Fassenet, chef coach du Bocuse d'Or en mode DS7 Crossback
Romuald Fassenet, chef coach du Bocuse d’Or en mode DS7 Crossback
Romuald Fassenet a coaché les équipes du Japon, de l’Australie et de la France pour le Bocuse d’Or. Le chef étoilé du Château du Mont Joly, à Dole, et meilleur ouvrier de France fait aussi ses déplacements avec le SUV DS7 Crossback. Normal, il adore la voiture et le concessionnaire DS Automobiles à Beaune est un grand fan de sa table.
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Romuald Fassenet en son Château du Mont Joly à Dole.©…
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dijonbeaune · 5 years ago
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Au Chat perché de Dole, tout finit par un banquet !
Au Chat perché de Dole, tout finit par un banquet !
Temps fort du Chat perché dolois depuis sa création, le grand banquet du samedi midi est une véritable performance culinaire où une brigade de 65 personnes (chefs étoilés et MOF en tête) s’active devant 400 convives. Romuald Fassenet, un des chefs d’orchestre de l’événement, nous en dit plus sur ce repas spectaculaire joué à guichet fermé.
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Par Geoffroy Morhain Pour DBM77 Photos : Jérôme Genée
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majerikmagicien-blog · 5 years ago
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Dîner des étoiles : Magie et gastronomie
Magie aux tables, Spectacle / Par Majerik
Le dîner des étoiles c’est dix vins, dix plats, dix chefs étoilés et de la magie à votre table avec Majerik Votre Magicien. Pour avoir plein d’étoiles dans l’assiette et dans les yeux!
La septième édition du « Dîner des étoiles » se déroule sur deux événements : – Jeudi 10 octobre chez le chef étoilé Romuald Fassenet au Château du Mont Joly – 39100 Sampans (COMPLET). – Jeudi 24 octobre 2019 au Moulin de la mangue – 2 Route de Secenans – 70400 Granges-le-Bourg (ENCORE QUELQUES PLACES DE DISPONIBLES). Le dîner se clôturera par un feu d’artifice.
Un dîner unique qui associe les meilleurs savoir-faire au profit d’une bonne cause. Et cette année une partie des recettes financera un nouveau piano pour l’hôpital de Besançon.
«  Avis aux gourmands et gourmets ! Cette soirée va ravir les papilles et les yeux ! Nous aurons des vins de grande qualité et nous serons très attentifs aux produits choisis» , selon Alain Pralon, chef d’orchestre de la soirée et fondateur des guides l’Indispensable et l’Essentiel.
Magie et gastronomie à votre table !
INFOS ET RÉSERVATIONS : Le dîner des étoiles – 7e édition Accords mets et vins : 220 euros par convive Réservation indispensable au 06 80 60 42 97                
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