#Rocaille à l'entrée du jardin
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Le jardin pour qu'il le respect
La première chose importante, c'est la surface du terrain. Si vous avez moins de 1 000 m2,
les problèmes semblent quasiment insolubles. En effet pour se dépenser correctement
le chien va avoir besoin de l'ensemble de la surface. Entre 1000 et 3000 m2 les problèmes s'estompent
un peu car on peut créer une zone dégagée suffisamment importante pour que le chien n'ait pas envie d'aller
fourrer son museau ailleurs. Ce sera affaire de dressage.
Au-dessus de 3 000 M2, les problèmes disparaissent. Malheureusement, actuellement la
surface du jardin moyen en France est inférieure à 500 m2. Alors que faire ???
ARROSEZ AUSSITÔT L'ACTE COMMIS
Avant de choisir la race choisissez d'abord le sexe. Les mâles on ta désagréable manie
de marquer leur territoire toujours aux mêmes endroits, par des jets d'urine.
Le pipi de chien est tellement concentré en azote qu'il joue un rôle d'herbicide hors classe !
tous les végétaux herbacés (herbe, fleurs, légumes)
et même les jeunes arbustes et les arbres nouvellement plantés, y sont extrêmement
sensibles.
Si vous apercevez votre chien en train d'uriner sur la pelouse ou dans un quelconque
endroit du jardin arrosez abondamment aussitôt l'acte commis.
C'est la seule manière de diluer le produit qui se comportera alors comme un excellent
engrais.
Même s'ils sont en général plus majestueux et plus élégants (surtout dans les races à poils long),
les étalons sont d'un tempérament vif et fougueux plein d'élan.
Ils conviennent moins bien au plantations que
les femelles, en général plus calmes (surtout si elles suivent un traitement hormonal antigrossesse).
Dans le cas contraire, méfiez-vous des périodes de chaleurs qui peuvent conduire la chienne à se
livrer à de grandes manifestations de nervosité. Pareil pour la mère et ses petits. Elle aura tendance à
vouloir leur apprendre à chasser ; les jeunes mâchonnent tout ce qu'ils découvrent et ils font les fous
de préférence dans les fleurs, etc.
PLUTÔT LES GROS QUE LES PETITS
On pourrait être tenté de choisir un petit chien car qui dit petit pense paetits dégâts.
Eh bien, c'est complètement faux ! Excepté certaines races de compagnie
(pékinois, épagneul japonais, chihuahua,
pinscher, petit levrier italien, schnauzer nain, petit griffons belges etc.),
les petits chiens sont en général
la terreur des jardiniers. Les terriers sont, sans aucun doute, les plus redoutables.
Animaux adorables et dotés d'un caractère très affirmé, ils ne peuvent s'empêcher
de faire des trous et de courir après tout ce qui bouge. Tous les chiens très dynamiques,
du genre bichon, cocker, spitz, caniche, etc., sont peu conseillés.
Attention aussi aux chiens de chasse (surtout aux chiens courants). Au moindre mulot c'est un
marathon à travers tout le jardin.
En fait, ce sont les races auxquelles on s'attend le moins qui conviennent le mieux dans
un jardin.
Les levriers d'abord. Ils ont besoin d'exercice, mais se montrent en général assez
calmes entre deux efforts. Je pense surtout au barzoï, à l'afghan,
et au petit levrier italien déjà cité. Mais le sloughi, le galgo et autres coureurs d'endurance
conviendront bien aussi. Aussi bizarre, et pourtant logique
si on y réfléchit bien. Tous les gros chiens s'adaptent en général assez bien aux jardins.
Ce sont les montagnes des pyrénées, léonberg, saint-bernard, mastiff, dogue de
bordeaux, mâtin de naple, etc les chiens de berger, de même que les nordiques, mais il faut déjà
que la surface dépasse 1 000m2.
Alors pourquoi ces gros chiens, véritables bulldozers du monde canin ? tout simplement
parce qu'ils sont, en principe, d'un tempérament placide et débonnaire,
peu remuants et guère enclins à courir après les papillons et autres bestioles.
Les chiens asiatiques, du type chow-chow ou eurasier, sont
également dans ce cas.
N'oublions pas non plus que les gros chiens sont plus prédisposés au dressage
que les petits. Ils apprendront plus facilement les interdits et de ce fait vous
causeront moins de problèmes.
RECHERCHEZ LA SIMPLICITE
Maintenant après avoir parlé chien, voyons un peut le jardin. J'ai eu l'occasion de rencontrer
des cas extraordinaires de chiens vivant dans des jardins couverts de fleurs et n'y abîmant
rien. Sans doute la passion de leurs maîtres avait-elle débordé sur eux au point d'influer
sur leur comportement.
Mais en règle générale, mieux vaut se montrer prudent.
Si vous avez un chien de garde dégagez bien l'entrée et la façade. S'il voit bien les intrus,
il pourra avertir. Il est tout à fait néfaste, au contraire, de mettre une haie
derrière le grillage : le chien, à force de se
précipiter dessus, ne fera que l'abîmer. Vous pouvez aussi clore hermétiquement
votre propriété de manière que seul l'entrée par le portail soit possible.
Dans ce cas, le chien n'aura pas tendance à monter la garde le long d'un chemin
de ronde pour surveiller les allées et venues extérieures.
A ma connaissance, il n'existe pas de plantes répulsives
pour les chiens, excepté les arbustes épineux. Un massif de rosiers sera rarement
le lieu de prédilection des ébats de votre chien. De même, une haie de pyracantha,
de houx ou de berbéris,
le dissuadera vite de fouiner dans les plantes.
Attention toutefois de ne pas planter des espèces toxiques qu'il pourrait mâchonner.
Les plus dangereuses sont la digitale, le cytie, le laurier rose, l’hellébore, l'aconit, la douce
amère. Cette précaution vaut surtout pour le chiot. Du point de vue disposition
recherchez la simplicité c'est d'abord une solution d'économie et l'assurance de ne
pas commettre de fautes de goût.
Ensuite, ce sera plus facile pour circuler. Si les allées sont bien tracées, et
dessinées selon les axes logiques, le chien aura tendance à les emprunter.
En revanche, si vous coupez les voies de massifs, ou si vous lui, faites emprunter
des détours, il y a de grandes chances pour que l'animal
passe tout droit sans se soucier des plantations. Appelez-le lorsqu'il est au
fond du jardin : s'il est bien dressé, il accourt n'attendez pas qu'il emprunte
le chemin des écoliers, il ira au
plus court, même s'il doit faire exploser quelques pieds de géraniums.
N'oubliez surtout pas les étendues dégagées du genre prairie-pelouse.
C'est là que le chien ira se détendre et se défouler. En fait vous devez créer votre jardin
un peu comme si vous deviez avoir en permanence des enfants en bas-âge.
Tout ce qui est sophistiqué, dans le style rocaille
bassin fleuri, fallages plantés, etc... doit être banni.
Pour le bassin, c'est primordial, car le chien
sera tenté par une partie de pêche (aux poissons rouges), ou bien il s
e jettera dedans sans se
soucier des nénuphars, lorsqu'il aura trop chaud.
DES PESTICIDES NON TOXIQUES
Chose extrêmement importante : l'emploi de pesticides non toxiques.
C'est bien connu, les chiens
ont tendance à mâchouiller n'importe quoi. Les anti-limaces, par exemple,
ont fait pas mal de ravages
dans la gent canince ; les vers à la stychnine contre les taupes, également.
Alors utilisez des produits naturels (pyréthrines, roténone, bouillie bordelaise
soufre etc...) en vous assurant qu'il est bien précisé sur l'emballage :
sans danger pour les animaux familiers.
Rangez vos engrais dans des placards fermés et ne laissez rien traîner.
Lorsque vous travaillez avec un outil dangeureux (taille-haies, tondeuse,
motoculteur, tronçonneuse, débrouissailleuse), mettez le chien à l'attache ou
laissez-le dans la maison. Il peut fort bien se
blesser ou provoquer un accident.
SORTEZ-LE DEUX FOIS PAR JOUR
Si vous disposez de suffisamment de temps et de patience, nul doute que vous arriverez
très bien à faire coexister votre chien avec les fleurs. Mais il ne faut pas tenter le
diable ! par exemple, ne vous amusez
pas à lui jeter une balle, à lui donner des os qu'il ira enterrer n ni même à acceuillir chez vous des amis
avec un autre chien.
L'important c'est de faire assimiler au chien que certaines zones (les massifs),
sont interdites. La meilleure façon de procéder, c'est de le promener régulièrement
dans les allées (lorsqu'il sait marcher au pied
sans laisse) et de lui dire : "pas toucher, au pied ! " chaque fois qu'il s'aventure
vers les fleurs.
Ce sera long sans aucun doute, mais c'est très possible.
Pour les questions de pipis, ce n'est pas compliqué. Même si vous avez un grand
jardin, sortez régulièrement le chien deux fois par jour. Il se fera à ces horaires
et n'urinera plus que dans le caniveau.
C'est l'apprentissage de la propreté qui s'acquiert assez rapidement.
Une punition sera donnée à
chaque manquement (sauf maladie ou incontinence de vieillesse).
Avec quelques concesions de part et d'autre, il est parfaitement possible de
concilier chien et jardin
Mais il faudra de la volonté, de la patience et beaucoup d'amour,
aussi bien des fleurs que des
animaux, car il ne faut pas vous attendre à ce que cela aille tout seul...
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Un homme remarquable, un jardin merveilleux
Né à Albi il y a 38 ans, Rémi s'est retrouvé avec sa sœur en Afrique, au Gabon, où ses parents travaillaient. Il y a vécu ses dix premières années, en grande proximité avec la nature, les animaux et les insectes, sa passion. Ce fut "comme des graines semées dans mon cœur", exprime-t-il. Il parle bien, sa voix est douce, posée. Dix ans plus tard, retour dans le Tarn. Une scolarité mal vécue. Des relations difficiles avec une société humaine qu'il comprenait mal. En perdant sa mère à quatorze ans, un repère s'effondre. Il mettra du temps avant de trouver sa place. Apprentissage de la cuisine à Albi, sa tante de Sainte Cécile-du-Cayrou essaiera de le remettre en selle. Sur ce chemin difficile, elle lui fait découvrir Vaour et son festival. Il y fera la connaissance d'une femme qu'il va aimer et avec laquelle il aura un fils, Tao, huit ans cette année. Il s'essaie à la boulange, puis à la boulangerie industrielle pendant quatre ans. Le sentiment d'être une machine à produire, usant, déprimant. Il abandonne. Sa compagne, fille d'agricultrice, stagiaire à l'Inéopole de Brens, dans le cadre d'un projet d'activité agricole lui parle d'une formation au maraîchage biologique. Elle lui facilitera le prêt par sa mère d'un vaste terrain sur lequel il pourra s'installer. Une chance. Il la mesure. Pendant une année, il apprend à produire des légumes destinés à la vente : le projet ne lui donne pas les "bonnes vibrations". Il "repique" pour un nouvel apprentissage : "plantes aromatiques et médicinales". Ne s'installe pas immédiatement. Rémi est un perfectionniste. Il s'en va voir ailleurs ce que font des jardiniers aguerris. Ce sera à St Gaudens/Aspet, pendant un an. Il y découvre l'éthnobotanique : les plantes ont une histoire dans un rapport ancien à l'homme. Du coup, il entrevoit une activité professionnelle qui aurait un intérêt, davantage : un sens. Cultiver un plant, connaître sa longue histoire, la raconter. Transmettre : le maître mot de son discours. Il s'installe dans une prairie, sur la route de Gaillac, à l'entrée de Vaour, celle qu’on lui a prêtée. Il commence à produire et à vendre. Des légumes, des plantes, médicinales, succulentes, carnivores, aquatiques, cactées, d’ornement, de rocailles... Transforme, en confitures, sirops, pommades. Ne délivre pas des conseils mais raconte ce qui s'attache aux produits qu'il vend. Pratique le woofing avec des personnes venues du vaste monde aider au développement de son espace. Il se dit connecté. A son jardin, à ses plantes, à la vie qui y grouille et où son fils aime y faire son "nid". Pas trop au vaste monde même s'il n'en ignore ni les drames ou les misères ni les splendeurs ou les réussites. Va dans les écoles primaires raconter les plantes et faire l'éloge de la nature. Reçoit des groupes d'élèves venus de Toulouse, de Montauban, des adultes aussi pour des cours de jardinage sur des thématiques variées, explique, supervise les woofeurs qui animent quelques petits ateliers pédagogiques, soigne son exploitation. Non, il n'aime pas ce terme, trop connoté. Son œuvre ? Prétentieux. Son jardin, simplement. Il voit son espace comme un "centre d'éducation à l’environnement". Il choisit ses mots pour être précis, exact. Il pense qu'en aidant ses visiteurs à cultiver leur jardin, il "les aide à cultiver leur jardin intérieur". En 2016, il fonde avec deux amis une association "Le Jardin d'Emerveille"* qui prendra en charge les fonctions d'animation, de formation, l’organisation dans un futur proche de petits événements, durables, utiles, ludiques et participatifs. Une orientation forte : il ne cultive pas "bio" mais selon les principes de la permaculture. Il ne lutte pas contre les ravageurs avec des insecticides bio, ni n'utilise des herbicides bio. Il essaie de reproduire la mise à l’équilibre spontané que la nature suscite et que l'homme détruit : il parle de "co-création". Ses broussailles, ses pierres, favorisent la reproduction des prédateurs qui viennent naturellement réguler les colonies de ravageurs. Son jardin luxuriant : un exemple de biodiversité avec ses pucerons, tipules, limaces, couleuvres, grenouilles et coccinelles. Il ne livre aucune guerre d'éradication, de confinement. Il organise le … laisser-faire.
Yves Rebouillat
*Le site : remikulik.wixsite.com/lejardindemerveille
#permaculture#alternatives#écologie#Vaour#éthnobotanique#utiles prédateurs#woofing#Jardin d'émerveille
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Les hôtels particuliers de Nîmes, Gard.
(Photos : © Manon Fièvre)
Dans le cadre de sa candidature pour son inscription sur la liste du Patrimoine Mondial de l’UNESCO, la ville de Nîmes diversifie ses actions touristiques afin de faire découvrir sa culture et son patrimoine à tous, que l’on soit visiteur d’un jour ou résidant nîmois. D’avril à septembre, l’Office de tourisme propose des « rendez-vous », des visites hebdomadaires ou ponctuelles des monuments et autres lieux remarquables de Nîmes. Si les thématiques varient d’une visite à l’autre, le fil conducteur reste le même : l’influence de l’Antiquité sur la ville de Nîmes jusqu’à nos jours. L’un des parcours proposés s’intéresse de plus près aux hôtels particuliers construits entre le XVIe siècle et le XVIIIe siècle au cœur de l’Écusson, le centre historique de la ville. (1)
Aux prémices de la Renaissance, Nîmes sort d’une période sombre qui s’est achevée par une énième épidémie de peste. Malgré tout, la cité se relève grâce au commerce de la laine, du coton et, plus tard, de la soie. L’industrie du textile prospère et permet à certaines familles de s’enrichir considérablement. Au XVIIe siècle, la cité languedocienne possède une multitude de manufactures et de commerces liés au travail des draperies et de la soie.
Mais, au même moment, la ville se retrouve au cœur des conflits entre catholiques et protestants. Sous l’influence du calvinisme, Nîmes devient rapidement un bastion huguenot. Les oppositions et les persécutions à l’encontre des protestants marquent la ville, et plus généralement la région, jusqu’au XVIIIe siècle.
Parallèlement, les échanges commerciaux continuent de se développer avec la politique coloniale entreprise par la France, mais également grâce à la communauté protestante, aussi bien au sein même de la ville qu’en dehors du pays. Exclus de la vie publique, certains protestants se reconvertissent dans le commerce, principalement de la soie, et bâtissent de grandes fortunes.
L’industrie du textile est donc à l’origine du renouveau économique, politique et social de Nîmes entre les XVIe et XVIIIe siècle. Dans ce contexte, les familles aisées choisissent, entre autres, d’investir leur argent dans l’immobilier. C’est l’apparition des premiers hôtels particuliers nîmois, ces maisons de ville privées dont l’une des principales fonctions est de mettre en avant le statut de leurs propriétaires.
Au XIXe siècle, les manufactures nîmoises ont du mal à s’imposer face à la concurrence lyonnaise. La ville perd alors sa place de premier plan dans le commerce européen, situation qui pousse les propriétaires à investir dans un nouveau domaine : la vigne. Avec l’arrivée du chemin de fer dans la région à la fin du XIXe siècle et une culture viticole facilitée par la création du Canal du Midi, Nîmes connaît de nouvelles transformations, dont l’aménagement du quartier de la gare. La mode des hôtels particuliers s’étend alors au-delà de l’Écusson.
Aujourd’hui, la politique menée par la ville en matière de patrimoine a permis la restauration d’un grand nombre de ces immeubles qui sont, pour la plupart, habités.
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La visite proposée par l’Office de tourisme revient sur l’évolution architecturale de Nîmes du XVIe au XVIIIe siècle par le prisme de ses hôtels particuliers. Durant deux heures, la guide emmène le visiteur à la découverte d’une quinzaine de ces bâtiments emblématiques à travers les rues du centre historique de la ville. De la rue de l’Horloge à la rue Dorée, leurs façades racontent une histoire initiée par la Renaissance et les progrès techniques.
Afin de se familiariser avec les termes relatifs à l’architecture, la Maison Carrée sert de support à l’introduction de la visite. « Frise à rinceaux », « colonnes cannelées », « denticules » sont autant d’éléments réutilisés, voire revisités, lors de la construction ou de la rénovation des hôtels particuliers à partir du XVIe siècle.
La découverte de ce patrimoine si singulier passe d’abord par l’observation des façades. Les ouvertures, portes d’entrée et fenêtres, sont généralement un premier indicateur de datation de l’immeuble. Dans un premier temps, le visiteur peut observer l’influence de l’Antiquité dans les constructions de la Renaissance, d’où l’utilité de l’introduction à la Maison Carrée. Le décor d’un encadrement de porte reprend régulièrement les codes antiques tels que les feuilles d’acanthes, les oves et dards ou les denticules. Dans le centre-ville de Nîmes, il n’est pas rare de voir des styles appartenant à deux périodes différentes sur un même bâtiment, la raison pouvant être le changement de propriétaire à une époque donnée. Dans certains cas, la technique du décroûtage permet de révéler des vestiges du bâtiment d’origine. (2)
Néanmoins, l’objectif de cette visite thématique réside dans une autre vision de l’hôtel particulier, celle de l’intérieur. Avec l’accord des propriétaires, la guide offre au visiteur la possibilité d’entrer dans les vestibules et les cours de certains de ces immeubles historiques. Escalier à quatre noyaux monumental, jardin arboré, décors de ferronnerie remarquablement exécutés, vestiges funéraires antiques, etc. Ce ne sont là que quelques exemples des trésors cachés aux yeux des passants mais qui apparaissent pour quelques instants à ceux du visiteur privilégié…
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Si cette petite présentation du rendez-vous nîmois autour des hôtels particuliers vous a mis l’eau à la bouche, je ne peux que vous conseiller de partir à la découverte de ce patrimoine surprenant !
Visite du 11 août 2017.
NOTES :
(1) Brochure « Les Rendez-vous de Nîmes » à consulter ici.
(2) Le décroûtage est une technique visant à nettoyer une façade, par exemple, enlever un crépis.
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LIENS :
Ville de Nîmes : www.nimes.fr
Office de tourisme de Nîmes : www.ot-nimes.fr
Maison Carrée : www.maisoncarre.eu
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