#River Aller
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Pond skater insects thrive on the River Aller, Exmoor, Somerset, UK
Photograph: Ben Birchall/PA
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𝙳𝙰𝚁𝙺 𝙷𝙾𝚁𝚂𝙴𝚂 | RODEO ✮ COLCHESTER
You're taking hell and giving blood To all that want some. Could be a hard row to hoe. Where it ends we never know.
moodboard ; 🐎👢 inspiration ; pl des dark horses sur bottom of the river. AMBIANCE WESTERN CRÉPUSCULAIRE
n'hésitez surtout pas à aller faire un saut dans l'imaginaire de @undomesticaated et à succomber à son univers de folie, c'est la meilleure décision à prendre ♥
#western#gif#rpg#roleplay#cowboy#inspiration : dark horses#horse#anson mount#angela sarafyan#joel kinnaman#ian mcshane#zoe saldana#victoria pedretti#paul mescal
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never fade away
actually walking down the river, looking at the stars with my cat by my side, listening chill cyberpunk ost, the feeling of being alone sliding over my skin like the icy cold of winter, my tears flowing down my cheeks like this water in the river, is this a mental breakdown or just the wind
I don't feel sad, i feel finally fine with myself, for once, i don't see that long tunnel, covers of wires and chains, with its red light, anymore, it's breathtaking
there's still a voice in my head, telling me she doesn't want to go away, I think it's better for her to go over the stars, to go on her own
I'm not a human anymore, I never been, I'm just a fox, a calm ball of fur, who travel and sleep, meet some people or ... other, for those who care about me, I just want to tell you "don't worry now"
My journey has just begun, and i'm not ready to stop here, i can finally say it now "I breathe free"
——————————————————————————————————
en train de descendre la rivière, de regarder les étoiles avec mon chat à mes côtés, d'écouter de douce ost cyberpunk, la sensation d'être seule glissant sur ma peau comme le froid glacial de l'hiver, mes larmes glissants sur mes joues comme cette eau dans la rivière , est-ce la dépression mentale ou juste le vent
Je ne me sens pas triste, je me sens enfin bien dans ma peau, pour une fois, je ne vois plus ce long tunnel, recouvert de fils et de chaînes, avec ses lumières rouge, c'est à couper le souffle
il y a encore une voix dans ma tête qui me dit qu'elle ne veut pas partir, je pense que c'est mieux pour elle d'aller par delà les étoiles, d'y aller seule
Je ne suis plus une humaine, je ne l'ai jamais été, je ne suis qu'une renarde, une boule de poils calme, qui voyage et dort, rencontre des personnes ou... autres, pour ceux qui tiennent à moi, j'ai juste envie de leur dire "ne t'inquête plus"
mon voyage vient tout juste de commencer et je ne suis pas prête de m'arreter là, je peux enfin le dire maintenant "je suis libre"
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bonjour tout le monde ! je viens faire honteusement ma pub pour deux de mes scénarios qui me tiennent à coeur pour faire vivre mon petit levi sur le forum bottom of the river (city-sombre ouest américain). je vous partage le lien ci-dessous ainsi que le lien du pré-lien si vous êtes curieu·x·se. EUGENE / L'EPHEBE beauté sous prunelles brunâtres, douceur dans le regard qui panse les plaies béantes, caresses sur la peau pailletée, trace les constellations de ces pigmentations jusqu’à sa joue, jusqu’aux lèvres tendues, se perdant dans les élans passionnés. ce sont les nuits passées sur la terre, les rires face aux œuvres célestes, les promesses avec le petit doigt tendu. ils se sont promis de s’aimer et de ne pas se lâcher. les historiens diront d’eux qu’ils n’ont été qu’amis, en oubliant les danses passionnées sous les draps de l’un, les baisers et les caresses sous les draps de l’autre. véritables acolytes, ils en oublient les étiquettes, simplement fait pour s’aimer, mal, certes, mais ils s’aiment. il voit bien la peine dans les yeux de gene quand levi dit devoir s’en aller, comprend bien qui ralentit un palpitant fait pour vibrer constamment. gene a besoin d’amour, levi lui en apporte, mais vise mal, les flèches du cupide sont tordues et font mal leur travail. ils s’aiment, mais pas comment il faut, écrivent l’histoire d’un lien qui les rapproche et les éloigne en même temps. levi l’aime, plus que de raison, et c’est sûrement pour ça qu’il tente de s’éloigner à chaque fois. peur de la stabilité que gene lui offre, il préfère les détruire plutôt que de construire ce quelque chose de précieux. un tout grand merci de m'avoir lu et désolée pour le spam hihi lien du pré-lien juste ici !
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LÉGENDES DU JAZZ
HAMIET BLUIETT, LE PLUS MODERNE DES SAXOPHONISTES BARYTON
“Most people who play the baritone don’t approach it like the awesome instrument that it is. They approach it as if it is something docile, like a servant-type instrument. I don’t approach it that way. I approach it as if it was a lead voice, and not necessarily here to uphold the altos, tenors and sopranos.”
- Hamiet Bluiett
Né le 6 septembre 1940 au nord de East St. Louis à Brooklyn, dans les Illinois, Hamiet Ashford Bluiett Jr. était le fils d’Hamiet Bluiett Sr. et de Deborah Dixon. Aussi connu sous le surnom de Lovejoy, le quartier de East St. Louis était majoritairement peuplé d’Afro-Américains. Fondé pour servir de refuge aux anciens esclaves affranchis dans les années 1830, le village était devenu plus tard la première ville américaine majoritairement peuplée de gens de couleur.
Bluiett avait d’abord appris à jouer du piano à l’âge de quatre ans avec sa tante qui était directrice de chorale. Il était passé à la clarinette cinq ans plus tard en étudiant avec George Hudson, un populaire chef d’orchestre de la région. Même s’il avait aussi joué de la trompette, Bluiett avait surtout été attiré par le saxophone baryton.
Après avoir amorcé sa carrière en jouant de la clarinette dans les danses dans son quartier d’origine de Brooklyn, Bluiett s’était joint à un groupe de la Marine en 1961. Par la suite, Bluiett avait fréquenté la Southern Illinois University à Carbondale, où il avait étudié la clarinette et la flûte. Il avait finalement abandonné ses études pour aller s’installer à St. Louis, au Missouri, au milieu des années 1960.
Bluiett était au milieu de la vingtaine lorsqu’il avait entendu le saxophoniste baryton de l’orchestre de Duke Ellington, Harry Carney, jouer pour la première fois. Dans le cadre de ce concert qui se déroulait à Boston, au Massachusetts, Carney était devenu la principale influence du jeune Bluiett. Grâce à Carney, Bluiett avait rapidement réalisé qu’un saxophoniste baryton pouvait non seulement se produire comme accompagnateur et soutien rythmique, mais également comme soliste à part entière. Expliquant comment il était tombé en amour avec le saxophone barytone, Bluiett avait déclaré plus tard: "I saw one when I was ten, and even though I didn't hear it that day, I knew I wanted to play it. Someone had to explain to me what it was. When I finally got my hands o n one at 19, that was it."
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Après avoir quitté la Marine en 1966, Bluiett s’était installé à St. Louis, au Missouri. À la fin de la décennie, Bluiett avait participé à la fondation du Black Artists' Group (BAG), un collectif impliqué dans diverses activités artistiques à l’intention de la communauté afro-américaine comme le théâtre, les arts visuels, la danse, la poésie, le cinéma et la musique. Établi dans un édifice situé dans la basse-ville de St. Louis, le collectif présentait des concerts et d’autres événements artistiques.
Parmi les autres membres-fondateurs du groupe, on remarquait les saxophonistes Oliver Lake et Julius Hemphill, le batteur Charles "Bobo" Shaw et le trompettiste Lester Bowie. Hemphill avait aussi dirigé le big band du BAG de 1968 à 1969. Décrivant Bluiett comme un professeur et mentor naturel, Lake avait précisé: “His personality and his thoughts and his wit were so strong. As was his creativity. He wanted to take the music forward, and we were there trying to do the same thing.”
À la fin de 1969, Hemphill s’était installé à New York où il s’était joint au quintet de Charles Mingus et au big band de Sam Rivers. Au cours de cette période, Bluiett avait également travaillé avec une grande diversité de groupes, dont ceux des percussionnistes Tito Puente et Babatunde Olatunji, et du trompettiste Howard McGhee. Il avait aussi collaboré avec le Thad Jones-Mel Lewis Orchestra.
En 1972, Bluiett avait de nouveau fait équipe avec Mingus et avait fait une tournée en Europe avec son groupe. Collaborateur plutôt irrégulier de Mingus, Bluiett quittait souvent le groupe avant de réintégrer la formation un peu plus tard. En 1974, Bluiett avait de nouveau regagné le giron du groupe de Mingus aux côtés du saxophoniste ténor George Adams et du pianiste Don Pullen, qui deviendrait plus tard un de ses plus fidèles collaborateurs. Il avait aussi joué avec le groupe de Mingus à Carnegie Hall. Bluiett avait continué de travailler avec Mingus jusqu’en 1975, lorsqu’il avait commencé à enregistrer sous son propre nom.
Le premier album de Bluiett comme leader, Endangered Species, avait été publié par les disques India en juin 1976. L’album avait été enregistré avec un groupe composé d’Olu Dara à la trompette, de Junie Booth à la contrebasse et de Philip Wilson à la batterie. En 1978, Bluiett avait enregistré Birthright, un magnifique album live dans lequel il avait joué en solo durant quarante minutes et qui comprenait un hommage à son idole Harry Carney.
En 1976, la même année où il publiait son premier album solo, Bluiett avait co-fondé le World Saxophone Quartet avec d’autres membres du Black Artists Group comme Oliver Lake et Julius Hemphill. Le saxophoniste ténor (et clarinettiste basse) David Murray faisait également partie de la formation. Surnommé à l’origine le Real New York Saxophone Quartet, le groupe avait amorcé ses activités en présentant une série de cliniques et de performances à la Southern University de la Nouvelle-Orléans, avant de se produire au Tin Palace de New York. Menacé d’une poursuite judiciaire par le New York Saxophone Quartet, le groupe avait éventuellement changé de nom pour devenir le World Saxophone Quartet (WSQ).
Le groupe avait enregistré son premier album (d’ailleurs largement improvisé) sous le titre de Point of No Return en 1977. Jouant une musique diversifiée allant du Dixieland au bebop, en passant par le funk, le free jazz et la World Music, le groupe avait remporté un énorme succès (il est aujourd’hui considéré comme une des formations de free jazz les plus populaires de l’histoire) et avait reçu de nombreux éloges de la critique. Qualifiant le groupe de ‘’the most commercially (and, arguably, the most creatively) successful" de tous les ensembles de saxophones formés dans les années 1970, Chris Kelsey écrivait dans le All Music Guide: ‘’At their creative peak, the group melded jazz-based, harmonically adventurous improvisation with sophisticated composition." Commentant un concert du groupe en 1979, Robert Palmer avait déclaré dans le New York Times: “The four men have made a startling conceptual breakthrough. Without ignoring the advances made by musicians like Anthony Braxton and the early Art Ensemble of Chicago, they have gone back to swinging and to the tradition of the big‐band saxophone section.” Palmer avait ajouté: “Some of the music looks to the more archaic end of the tradition, to the hocket‐style organization of wind ensembles in African tribal music, and in doing so it sounds brand new.”
Reconnaissant la contribution de Bluiett dans la création du son d’ensemble du groupe, Kelsey avait précisé: "The WSQ's early free-blowing style eventually transformed into a sophisticated and largely composed melange of bebop, Dixieland, funk, free, and various world musics, its characteristic style anchored and largely defined b y Bluiett's enormous sound." Très conscient de l’importance de la mélodie, Bluiett avait toujours insisté pour que le groupe se concentre principalement sur les balades et l’improvisation. Il expliquait: “I think melody is very important. When we went into the loft situation, I told the guys: ‘Man, we need to play some ballads. You all playing outside, you running people away. I don’t want to run people away.’ ”
Parallèlement à sa collaboration avec le World Saxophone Quartet, Bluiett avait également publié d’autres albums comme leader comme Im/Possible To Keep (août 1977), un enregistrement en concert qui comprenait une version de quarante minutes de la pièce ‘’Oasis - The Well’’ (en trio avec le contrebassiste Fred Hopkins et le percusionniste Don Moye) et une version de trente-sept minutes de la pièce Nali Kola/On A Cloud en quartet avec le pianiste Don Pullen. En novembre 1977, Bluiett avait enchaîné avec Resolution, un album enregistré en quintet avec Pullen, Hopkins et les percussionnistes Don Moye et Billy Hart. À peine un mois plus tard, Bluiett avait récidivé avec Orchestra Duo and Septet, qui mettait à profit différentes combinaisons de musiciens comprenant le violoncelliste Abdul Wadud, le trompettiste Oldu Dara, le pianiste Don Pullen, le joueur de balafon Andy Bey, le flûtiste Ladji Camara, le contrebassiste Reggie Workman, le joueur de oud (un instrument à corde d’origine iranienne) Ahmed Abdul-Malik et le batteur Thabo Michael Carvin.
Avec le temps, les albums de Bluiett publiés en dehors de sa collaboration avec le World Saxophone Quartet étaient devenus de plus en plus accessibles. En faisaient foi des parutions comme Dangerously Suite (avril 1981), qui était une sorte de bilan de la musique populaire afro-américaine, et Ebu (février 1984), enregistré avec John Hicks au piano, Hopkins à la contrebasse et Marvin Smith à la batterie. L’album live Bearer of the Holy Flame (juillet 1983) documentait la collaboration de Bluiett avec un quintet composé de Hicks au piano et de deux percussionnistes. En juillet 1987, Bluiett avait aussi collaboré avec le trompettiste sud-africain Hugh Masekela dans le cadre de l’album Nali Kola qui mettait en vedette un saxophoniste soprano, un guitariste et trois percussionnistes africains
Littéralement passionné par son instrument, Bluiett avait également dirigé plusieurs groupes composés de plusieurs autres saxophonistes baryton. Également clarinettiste, Bluiett avait formé en 1984 le groupe Clarinet Family, un ensemble de huit clarinettistes utilisant des clarinettes de différents formats allant de la clarinette soprano E-flat à la clarinette contrebasse. Le groupe était composé de Don Byron, Buddy Collette, John Purcell, Kidd Jordan, J. D. Parran, Dwight Andrews, Gene Ghee et Bluiett à la clarinette et aux saxophones, de Fred Hopkins à la contrebasse et de Ronnie Burrage à la batterie. Le groupe a enregistré un album en concert intitulé Live in Berlin with the Clarinet Family, en 1984.
DERNIÈRES ANNÉES
Le World Saxophone Quartet avait continué de jouer et d’enregistrer dans les années 1990. Lorsque Julius Hemphill avait quitté le groupe pour former son propre quartet au début de la même décennie, c’est Arthur Blythe qui l’avait remplacé. En 1996, le groupe avait enregistré un premier album pour l’étiquette canadienne Justin Time. Intitulé "Four Now’’, l’album avait marqué un tournant dans l’évolution du groupe, non seulement parce que c’était le premier auquel participait le saxophoniste John Purcell, mais parce qu’il avait été enregistré avec des percussionnistes africains. Comme compositeur, Bluiett avait également continué d’écrire de nombreuses oeuvres du groupe, dont Feed The People on Metamorphosis (avril 1990) et Blues for a Warrior Spirit on Takin' It 2 the Next Level (juin 1996).
Lorsque le World Saxophone Quartet avait commencé à ralentir dans les années 1990 après la fin de son contrat avec les disques Elektra, Bluiett s’était lancé dans de nouvelles expérimentations comme chef d’orchestre. En collaboration avec la compagnie de disques Mapleshade, Bluiett avait fondé le groupe Explorations, une formation combinant à la fois des nouveaux talents et des vétérans dans un style hétéroclite fusionnant le jazz traditionnel et l’avant-garde. Après avoir publié un album en quintet sous le titre If You Have To Ask You Don't Need To Know en février 1991, Bluiett avait publié deux mois plus tard un nouvel album solo intitulé Walkin' & Talkin', qui avait été suivi en octobre 1992 d’un album en quartet intitulé Sankofa Rear Garde.
Depuis les années 1990, Bluiett avait dirigé un quartet appelé la Bluiett Baritone Nation, composé presque exclusivement de saxophonistes baryton, avec un batteur comme seul soutien rythmique. Mais le projet n’avait pas toujours été bien accueilli par la critique. Comme le soulignait John Corbett du magazine Down Beat, "Here's a sax quartet consisting all of one species, and while the baritone is capable of playing several different roles with its wide range, the results get rather wearisome in the end." Le groupe avait publié un seul album, Liberation for the Baritone Saxophone Nation’’ en 1998, une captation d’un concert présenté au Festival international de jazz de Montréal la même année. Outre Bluiett, l’album mettait à contribution les saxophonistes baryton James Carter, Alex Harding et Patience Higgins, ainsi que le batteur Ronnie Burrage. Commentant la performance du groupe, le critique Ed Enright écrivait: "In Montreal, the Hamiet Bluiett Baritone Saxophone Group was a seismic experience... And they blew--oh, how they blew--with hurricane force." Décrivant le concept du groupe après sa performance, Bluiett avait précisé:
‘’This is my concept, and it’s all about the baritone, really. The music has to change for us to really fit. I’m tired of trying to fit in with trumpet music, tenor music, alto music, soprano music. I'm tired of trying to fit in with trumpet music, tenor music, alto music, soprano music. It takes too much energy to play that way; I have to shut the h orn down. Later! We've got to play what this horn will sound like. So, what I’m doing is redesigning the music to fit the horn {...}. It’s like being in the water. The baritone is not a catfish [or any of those] small fish. It’s more like a dolphin or a whale. And it needs to travel in a whole lot of water. We can’t work in no swimming pools.The other horns will get a chance to join us. They’ve just got to change where they’re coming from and genuflect to us—instead of us to them.”
En mars 1995, Bluiett avait publié un album en sextet intitulé New Warrior, Old Warrior. Comme son titre l’indiquait, l’album mettait à contribution des musiciens issus de cinq décennies différentes. Le critique K. Leander Williams avait écrit au sujet de l’album: "The album puts together musicians from ages 20 to 70, and though this makes for satisfying listening in several places, when it doesn't w ork it's because the age ranges also translate into equally broad--and sometimes irreconcilable--stylistic ones.’’ Tout en continuant de transcender les limites de son instrument, Bluiett avait également exprimé le désir d’une plus grande reconnaissance. Il expliquait: "[A]ll the music these days is written for something else. And I'm tired of being subservient to it. I refuse to do it anymore. I refuse to take the disrespect anymore." En juin 1996, Bluiett avait publié Barbecue Band, un album de blues.
Après être retourné dans sa ville natale de Brooklyn, dans les Illinois, pour se rapprocher de sa famille, enseigner et diriger des groupes de jeunes en 2002, Bluiett s’était de nouveau installé à New York dix ans plus tard. Décrivant son travail de professeur, Bluiett avait commenté: “My role is to get them straight to the core of what music is about. Knowing how to play the blues has to be there. And learning how to improvise—to move beyond the notes on the page—is essential, too.”
À la fin de sa carrière, Bluiett avait participé à différentes performances, notamment dans le cadre du New Haven Jazz Festival le 22 août 2009. Au cours de cette période, Bluiett s’était également produit avec des étudiants de la Neighborhood Music School de New Haven, au Connecticut. Le groupe était connu sous le nom de Hamiet Bluiett and the Improvisational Youth Orchestra.
Hamiet Bluiett est mort au St. Louis University Hospital ade St. Louis, au Missouri, le 4 octobre 2018 des suites d’une longue maladie. Il était âgé de soixante-dix-huit ans. Selon sa petite-fille Anaya, la sant�� de Bluiett s’était grandement détériorée au cours des années précédant sa mort à la suite d’une série d’attaques. Il avait même dû cesser de jouer complètement du saxophone en 2016. Même si le World Saxophone Quartet avait connu de nombreux changements de personnel au cours des années, il avait mis fin à ses activités après que Bluiett soit tombé malade. Les funérailles de Bluiett ont eu le lieu le 12 octobre au Lovejoy Temple Church of God, de Brooklyn, dans les Illinois. Il a été inhumé au Barracks National Cemetery de St. Louis, au Missouri.
Bluiett laissait dans le deuil ses fils, Pierre Butler et Dennis Bland, ses filles Ayana Bluiett et Bridgett Vasquaz, sa soeur Karen Ratliff, ainsi que huit petits-enfants. Bluiett s’est marié à deux reprises. Après la mort de sa première épouse, Bluiett s’était remarié, mais cette union s’était terminée sur un divorce.
Saluant la contribution de Bluiett dans la modernisation du son du saxophone baryton, Garaud MacTaggart écrivait dans le magazine MusicHound Jazz: "Hamiet Bluiett is the most significant baritone sax specialist since Gerry Mulligan and Pepper Adams. His ability to provide a stabilizing rhythm (as he frequently does in the World Saxophone Quartet) or to just flat-out wail in free-form abandon has been appare nt since his involvement with St. Louis' legendary Black Artists Group in the mid-1960s."
Tout en continuant de se concentrer sur le saxophone baryton, Bluiett avait continué de jouer de la clarinette et de la flûte. Avec son groupe Clarinet Family, il avait même contribué à faire sortir de l’ombre des instruments moins bien connus comme les clarinettes contrebasse et contre-alto ainsi que la flûte basse.
Refusant de confiner son instrument à un rôle essentiellement rythmique, Bluiett avait toujours considéré le baryton comme un instrument soliste à part entière. Il expliquait: “Most people who play the baritone don’t approach it like the awesome instrument that it is. They approach it as if it is something docile, like a servant-type instrument. I don’t approach it that way. I approach it as if it was a lead voice, and not necessarily here to uphold the altos, tenors and sopranos.”
Refusant de se laisser dominer par les ordinateurs et les nouvelles technologies, Bluiett avait toujours été un ardent partisan d’un son pur et naturel. Il poursuivait: "I'm dealing with being more healthful, more soulful, more human. Not letting the computer and trick-nology and special effects overcome me. I'm downsizing to maximize the creative part. Working on being more spiritual, so that the music has power... power where the note is still going after I stop playing. The note is still going inside of the people when they walk out of the place." Doté d’une technique impeccable, Bluiett affichait une maîtrise remarquable de son instrument dans tous les registres. Le jeu de Bluiett, qui atteignait un total de cinq octaves, lui permettait de jouer dans des registres qu’on croyait jusqu’alors hors de portée du saxophone baryton.
À l’instar de son collaborateur de longue date, le saxophoniste ténor David Murray, Bluiett était un adepte de la respiration circulaire, ce qui lui permettait de prolonger son phrasé sur de très longues périodes sans avoir à reprendre son souffle. Reconnu pour son jeu agressif et énergique, Bluiett incorporait également beaucoup de bebop et de blues dans le cadre de ses performances. Très estimé par ses pairs, Bluiett avait remporté le sondage des critiques du magazine Down Beat comme meilleur saxophoniste baryton à huit reprises, et ce, sur quatre années consécutives de 1990 à 1993 et de 1996 à 1999. Décrivant la virtuosité et la polyvalence de Bluiett, le critique Ron Wynn écrivait dans le magazine Jazz Times en 2001: ‘’There haven’t been many more aggressive, demonstrative baritone saxophonists in recent jazz history than Hamiet Bluiett. He dominates in the bottom register, playing with a fury and command that becomes even more evident when he moves into the upper register, then returns with ease to the baritone’s lowest reaches.’’
Décrivant Bluiett comme un des saxophonistes les plus dominants de son époque, le critique Stanley Crouch avait déclaré: "He had worked on playing the saxophone until he had an enormous tone that did not just sound loud. And the way that Bluiett described Harry Carney's playing — he basically was telling you how he wanted to play: 'I want to be able to play that very subtle, pretty sound, way at the top of the horn, if necessary. I want to play a foghorn-like low note. And if they want a note to sound like a chain beat on a floor, I can do that, too.'"
Tout aussi à l’aise dans les standards du jazz que dans le blues, Hamiet Bluiett a enregistré près de cinquante albums au cours de sa carrière, que ce soit en solo, en duo, dans le cadre de petites formations ou en big band. Bluiett a collaboré avec de grands noms du jazz et de la musique populaire, dont Babatunde Olatunji, Abdullah Ibrahim, le World Saxophone Quartet, Stevie Wonder, Marvin Gaye, James Carter, Bobby Watson, Don Braden, Anthony Braxton, Larry Willis, Charles Mingus, Randy Weston, Gil Evans, Lester Bowie, Don Cherry, Eddie Jefferson et Arthur Blythe. Même s’il croyait que les musiciens devaient faire un effort pour se rapprocher du public, Bluiett était aussi d’avis que le public devait faire ses propres efforts pour comprendre la musique qu’on lui proposait. Il précisait: "Get all the other stuff out of your mind, all of the hang-ups, and just listen. If you like it, cool. If you don't like it, good too. If you hate it, great. If you love it, even better. Now if you leave the concert and don't have no feeling, then something is wrong. That's when we made a mistake."
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Namibia 2023/24 - Tag 11
Herrschaften und Oukies!!!
Nach der gestrigen langen Strecke ließen wir es heute Morgen erst einmal gemütlich angehen.

Wir frühstückten erst einmal in aller Ruhe inzwischen all der alten Automobile und deren Zubehör, die diesem Beherbergungsbetrieb ihren Namen gaben.

Miss Mogli, die angestellte Krankenschwester, beobachtete die Gäste bei ihrem Frühstück ganz genau.

Das Canyon Roadhouse, eine der Unterkünfte im Fish River Gondwana Canyon Park, am namensgebenden Fish River (Fischfluss zu deutscher Zeit).

Schon an der Straßeneinfahrt werden Besucher von der verrosteten Karosserie eines uralten Lastwagens begrüßt.
Auf dem Weg zum Hauptgebäude geht man am Wrack eines Oldtimers vorbei, das aus dem Sandboden ragt und in dessen Motorraum ein stattlicher Köcherbaum wächst.

Trotz dieser Vorboten ist man zunächst etwas irritiert, wenn man das Gebäude betritt: ist das hier das Restaurant oder haben wir uns in ein Automuseum verlaufen?
Hauptattraktion ist nämlich das Erlebnis-Restaurant, das sich in Gestalt und Dekoration ganz dem Motto „Roadhouse“ widmet.

Mindestens zehn weitere Oldtimer sind in der Halle verteilt, liebevoll hergerichtet und arrangiert: ein Wagen steht voll beladen wie zur Abfahrt bereit, bei einem anderen wird scheinbar gerade ein kaputter Reifen gewechselt, ein dritter wächst halb aus der Wand und dient als Kamin, ein vierter stellt sich als völliges Phantasiegebilde heraus, das offenbar vom Martin Luther Dampfmobil inspiriert wurde.

Überall gibt es etwas zu entdecken und zu schmunzeln - auch auf den Toiletten, sowohl bei den Herren als auch den Damen. Wer die Luke an delikat angebrachter Stelle öffnet, wird sofort entlarvt, denn dann ertönt im Restaurant eine Klingel und alle sind sofort informiert.

Über der Bar steht in großen Lettern, Gelb auf Rot, "Tankstelle / Pompstasie". Hinter der Theke ragen uralte Zapfsäulen mit Glaszylindern hervor, die nicht mit Benzin, sondern mit Bierflaschen gefüllt sind.

Insgesamt wirkt der riesige Raum mit seinem Betonfußboden und dem hohen Dach wie eine ehemalige Werkstatthalle, die nun als Automuseum dient - und natürlich als Restaurant!
Gleich nebenan entstand ein Info-Zentrum. Mehr als 20 Schautafeln informieren auf unterhaltsame Weise über Geologie, Klima, Flora, Fauna und Geschichte der Gegend.

Man erfährt nicht nur, wie der zweitgrößte Canyon der Welt entstanden ist, sondern auch, welche Schicksale und lustige Begebenheiten mit ihm verbunden sind.
Wie ist die Geschichte zum einsamen Grab des deutschen Offiziers Thilo von Trotha? Wie kommt die bunt bemalte Vespa in die Schlucht? Woher stammen die Dattelpalmen bei den Schwefelquellen? Außerdem erfährt man viel über das Wüstensystem der Nama Karoo mit seinen typischen Pflanzen wie dem Köcherbaum.

Im Zuge des erfolgreichen Wildprogramms wurden im Gondwana Canyon Park heimische Tierarten wieder angesiedelt.

Für Übernachtungsgäste stehen 24 Zimmer (inklusive barrierefreien Zimmern und Familienzimmern) und eine große Campsite zur Verfügung.

Wir schlendern gemächlich zurück zu unseren Zimmer und machen uns startklar für die heutige Attraktion, die es zu besichtigen gilt: den Fish River Canyon.

Der Canyon liegt rund 30 Kilometer westlich vom Roadhouse entfernt.
Nach etwa 17 Kilometern kommt jedoch erst einmal Hobas. Am Hobas Camp (NWR) sind die Gebühren für den Zutritt in den Nationalpark zu zahlen.

Einst befand sich auch hier eine der Karakul-Schaf-Farmen. Die Farm Hobas verfügte sogar über eine eigene Bahnstation an der Strecke Seeheim-Kalkfontein. Bis heute dominiert der alte Wasserspeicher diesen Ort.

Viele Siedler setzten damals ihre Hoffnungen irrtümlicherweise auf den sporadisch Wasser führenden Fischfluss, ohne jemals die Weideverhältnisse und die Tragfähigkeit des Landes zu berücksichtigen.

Hinzu kam, dass die Farmer bestrebt waren in ihren weitläufigen Weidegebieten große Herden anzusiedeln, statt wie die früheren Hirten mit kleinen Schafherden der verfügbaren Weide hinterher zuziehen.

Dann passierte es, dass die Nachfrage nach dem „schwarzen Gold“, den Karakul-Fellen, einbrach und so viele Farmer aufgaben und verkauften. Hobas wurde von der Regierung aufgekauft und die damals vorhandene Infrastruktur in ein staatliches Restcamp umgewandelt.

Für uns ging es jetzt auf direktem Wege zum Canyon. Auf dem Plateaus: Steinwüste, so weit das Auge reicht.
1. Station war der Main View Point, dort haben die Verantwortlichen vom NWR ein großes, überdachtes Holzpodest an den Abgrund gebaut, mit Picknick-Tischen und Informationstafeln.

Eine alte Nama-Legende erzählt, dass eine gigantische Schlange den Fischfluss-Canyon mit den Windungen ihres Körpers in den Stein getrieben hat.
Geologen gehen indes davon aus, dass vor 350 Millionen Jahren durch Tektonik ein etwa 20 Kilometer breiter Graben entstand, in dem der (Prä-)Fischfluss floss und aufgrund geringen Gefälles weite Schleifen zog.

Nach dem Auseinanderbrechen des südlichen Urkontinentes Gondwana vor 120 Millionen Jahren hoben sich die Ränder des afrikanischen Bruchstückes in die Höhe.
Der Gariep (Oranje) fraß sich von der Mündung her tiefer ins Erdreich und der in ihn mündende Fischfluss folgte seinem Beispiel.

So bildete sich aus dem Mäanderband das gewundene Schluchtensystem des heutigen Canyons, der mit 160 Kilometer Länge, bis zu 27 Kilometer Breite und bis zu 550 Meter Tiefe als zweitgrößter Canyon der Welt gilt.

Von oben betrachtet, könnte es auch gut der Größte sein. Schier endlos schlängelt sich der Fischfluss durch die Schluchten, direkt vor uns geht es ohne Übergang mehrere hundert Meter in die Tiefe.

Wir konnten sogar auf der anderen Seite des Canyon die Fish River Lodge am Abgrund in ca. 20 Kilometer Entfernung erkennen.
Von dort aus sind es nur wenige Kilometer bis zu den Aussichtspunkten am Canyon. Dort hat der Besucher den grandiosen Ausblick auf die Hell's Corner, den Höllenbogen.

Der Fischfluss macht hier eine Kurve um 180 Grad, das Postkartenmotiv Nummer eins der Region.
Hier kann man einige Zeit verbringen, den Canyon bei den wechselnden Lichtverhältnissen bestaunen, die Geschichte studieren, die Sonne genießen.

Danach fuhren wir die Aussichtspunkte in Richtung Norden ab.
Folgt man dem Verlauf des Canyons auf der Schotterpiste nach Norden, kommt irgendwann ein steiler Weg, der in Serpentinen hinunter zum Fluss führt.

Hikers View - mehr als eine Stelle zum Umkehren ist dieser Ort jedoch nicht, denn hier herunterzugehen, ist strengstens verboten.
Seit einmal ein Tourist (angeblich soll es sich um einen bekannten Rennfahrer aus der ehemaligen DDR gehandelt haben) dort hinab stieg und nie mehr hinauf kam, ist der Abstieg nur noch mit einer geführten Fünf-Tages-Wanderung über 85 Kilometer erlaubt.

Das allerdings auch nur bei vom Arzt attestierter guter körperlicher Fitness und in den kühleren Wintermonaten. Einfach mal zum Fluss und wieder hoch: verboten!
Dennoch müssen jedes Jahr aufs Neue immer wieder unvernünftige Touristen aus dem Canyon aufwändig gerettet werden.

Eine weitere, wenig genutzte Möglichkeit, ist die etwas versetzte Piste, die zu den südlichen Viewpoints führt.
Wir fahren noch drei Viewpoints in südlicher Richtung ab und machen uns dann wieder vom Acker.

Wir fuhren zurück ins Canyon Roadhouse und verbrachten dort die heißen Stunden des Nachmittags mit Bilder sichten, während meine Mutter am Pool neue Bekanntschaften schloss.
Danach hieß es auch schon wieder: Packen und ab zum Abendessen!
Lekker Slaap!
Angie, Micha, Mama und der Hasenbär
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(1) I love you, Seoul (ENG/DE) — Tuesday & Wednesday, 23.& 24.07.24
(ENG)
Well, have you missed me yet? ;) It's been quiet here for a few days now, but I have all the more to tell you. Let's start on Tuesday. When I arrived at Seoul Central Station, I was already looking forward to exploring the city. But first I made my way to my accommodation. I arrived at around 6.00 pm, dropped off my things and headed out again straight away. Then I made my way to the Hangang River. But first I had to have a look at the HYBE building. This is the company of all my favourite artists like BTS, Enhypen, TXT, BOYNEXTDOOR etc. Seeing the building in front of me in real life didn't feel real... but it was an amazing moment for me. After that, it was really time for me to head to the Hangang River. Even at this time of day, Seoul is still not quiet but you could still enjoy a certain peace and quiet. So I spent a whole 2 hours just walking along the river & soaking up everything around me. At around 11.30pm I went to the convenience store opposite my accommodation to get some food. The journey had made me pretty tired, so I went to bed at around 12am. On Wednesday I set off at around 10am to go to a special event for Jimin's album ‘MUSE’. Usually I could only follow such events via social media, so if I'm in Seoul at that time I have to take advantage of it. When I arrived at the venue, I took a number & waited for 3 hours before I could get in. In the meantime, I went to the nearby café. It was full of fans & almost all the seats were taken. To avoid waiting outside in the heat, I promptly sat down next to a young woman & after a while we got chatting. She had travelled all the way from Daegu to Seoul (about 2 1/2 hours by train). The conversation was very pleasant and a good way to pass the time. Then finally I was allowed into the exhibition! It was beautifully arranged & the atmosphere was simply impressive. Everywhere the theme ‘Smeraldo Garden’ was picked up with the self-designed flower of BTS - Smeraldo. After about an hour and a half I had seen everything & maybe shopped a bit, haha. And off I went to the Gangnam neighbourhood. Yes, that's right Oppa Gangnam Style. You all know that song, right? ;)
To be continued...
(DE)
Na, habt ihr mich schon vermisst? ;) Jetzt war es ein paar Tage still hier, aber dafür habe ich umso mehr zu erzählen. Fangen wir am besten am Dienstag an. In Seoul am Hauptbahnhof angekommen war ich schon voller Vorfreude die Stadt zu erkunden. Erstmal habe ich mich aber auf den Weg zu meiner Unterkunft gemacht. Gegen 18:00 Uhr bin ich angekommen, habe meine Sachen abgeworfen & mich gleich wieder auf den Weg nach draußen gemacht. Dann ging es für mich auf den Weg zum Hangang River. Vorher musste ich mir aber noch das Gebäude von HYBE anschauen. Hier ist die Company aller meiner Lieblingskünstler wie BTS, Enhypen, TXT, BOYNEXTDOOR etc. Das Gebäude in echt vor mir zu sehen hat sich nicht real angefühlt… aber umso bewundernswert war dieser Moment für mich. Danach ging es nun aber wirklich für mich an den Hangang River. Auch zu dieser Uhrzeit ist Seoul noch nicht still & trotzdem konnte man eine gewisse Ruhe genießen. So bin ich also ganze 2 Stunden einfach nur am Fluss entlang spaziert & habe alles um mich herum aufgesaugt. Gegen 23:30 Uhr habe ich mir im Convenience Store gegenüber meiner Unterkunft noch ein bisschen Verpflegung geholt. Die Fahrt hatte mich doch ganz schön müde gemacht, sodass ich gegen 12 Uhr schon schlafen gegangen bin. Am Mittwoch habe ich mich gegen 10 Uhr auf den Weg gemacht um zu einem speziellen Event für Jimins Album „MUSE“ zu gehen. Sonst konnte ich solche Events nur über Social Media verfolgen, wenn ich schon einmal zu der Zeit in Seoul bin muss ich das ausnutzen. An der Location angekommen, habe ich eine Nummer gezogen & bevor ich rein konnte dann doch 3 Stunden gewartet. In der Zeit bin ich ins nahegelegene Café gegangen. Es war voller Fans & fast alle Plätze waren belegt. Um nicht draußen in der Hitze zu warten, habe ich mich prompt zu einer jungen Frau gesetzt & nach einer Weile sind wir ins Gespräch gekommen. Sie ist extra aus Daegu nach Seoul gekommen (ca. 2 1/2 Stunden Zugfahrt). Das Gespräch war sehr angenehm und ein guter Zeitvertreib. Dann endlich durfte auch ich in die Ausstellung! Es war wunderschön hergerichtet & die Atmosphäre war einfach nur beeindruckend. Überall war das Thema „Smeraldo Garden“ aufgegriffen mit der selbst entworfenen Blume von BTS - Smeraldo. Nach ungefähr eineinhalb Stunden hatte ich alles gesehen & vielleicht auch etwas geshoppt, haha. Und auf ging es für mich in Viertel Gangnam. Ja, richtig Oppa Gangnam-Style. Den Song kennt ihr doch alle ;)
Fortsetzung folgt…










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Clanspeak
writing down everything i have for my conlang Clanspeak down atm... this will be added onto as i work!
thank you @bonefall for inspiring me to make this with his amazing clanmew that i have admittedly taken a few words from
Pronouns and Important words
I = ro We = teem You = po Us = kka Am = sha A = no Is = mar Why = terra Do/did = wref Bring/brought = wagam To = soo Like = lyra What = bwar Even = pab That = yyway Ed = ga Ing = bra
Clans
Thunder = krka River = shwsh Wind = hooa Shadow = urrar Sky = yaar Blood = byya Clan = urryr Star = ssasim Hollow = hool
Miscellaneous words
Cat = rriu Nice = rippa Speak = emmyr Meeting = swole Lore = paoa Keeper = skeepa
Ranks
Leader = ssasap Deputy = rerrgas Cleric = affree Druid = drrogo Lorekeeper = paoskeep Warriors = kachgrrol Scouts = lookap Crafters = koorroo Cook = fyngwoof Caretakers = arraa Perma–court = shi King/Queen/Court = ba/mi/nee Apprentices = pwyr Kits = mew Elders = heegya
Prefixes and Suffixes
Blue = lupar Frost = pssh Fire = kafyar Alder = aller Heart = babum Sweet = posle Birch = byach Tail = swash Thrush = urrarri Pelt = borrl Golden = tinkk Flower = ponma Tawny = brroo
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27.-29.10.2023
Worum's geht: Die ersten Nächte auf meinem 6-Tages-Trip im Dschungel ("Softcore Amazonas"), Poledancers & bush negros

Habe die erste soweit geruhsame Nacht am Rande des Dschungels hinter mir, nachdem wir gestern von Atjonie fünf Stunden den Suriname River stromaufwärts gefahren sind, und zwar fast ohne Pause (eine Ausnahme bei der wir wegen des Wasserstands aussteigen und laufen mussten). Mir tat, gelinde gesagt, der Arsch weh. Die Sitzbank in dem dachlosen Taxiboot besteht aus einer einfachen Holzplanke und der Motor brummt unangenehm durch den ganzen Bauch. Wir sind in einem schönen Lodge in dem schwarzen Dorf Goejaba untergebracht; der Flair ist hipp aber einfach, Strom zum Handyladen sporadisch verfügbar und die einzigen Gäste sind junge modisch tätowierte Damen in bunten Strandtüchern, die mit ihren Tourguides kichernd baden gehen. Später werde ich mich bei dieser Erinnerung etwas angeekelt schütteln, denn da schwamm noch ordentlich viel Müll im Fluss; kein Vergleich zu dem trinkbaren Wasser am Sintiadam.
Meine Lodge-Nachbarn in Goejaba sind drei Surinamesen aus Paramaribo, die für das Wochenende ausspannen. Ich komme kurz mit ihnen ins Gespräch. Kevin, einer der drei, ist hocherfreut, als ich ihm von meinem IT-Job erzähle. Er selbst habe gerade seinen Abschluss in Informatik gemacht. Ich: "Really? I would not have guessed!" Warum ich das sage? Weil Kevin nicht dem Stereotypen des Informatikers entspricht. Er erinnert mich an die Theaterstudenten aus meiner Unizeit, allein von der körperbewussten Art, wie er sich bewegt, und von den kunstvollen Tattoos auf der nackten Brust. Kevin zuckt mit den Schultern, er nimmt mir meinen Kommentar nicht übel, da habe ich nicht Unrecht, meint er. Seine Reisebegleiterin (und Trainerin), die sich über das Geländer der Terrasse beugt, sagt, dass sie eine Truppe von Poledancers seien. Es dauert nicht lang, da zeigen sie mir verblüffende Videos ihrer Choreografien. Die Dame hat ihre eigene Tanzschule aufgemacht, obwohl der Stangentanz (noch) keinen guten Ruf in ihrem Heimatland genießt. Siehe Insta-Video unten (eventuell nur sichtbar mit Instagram-Konto).
instagram
Unsere Reisegruppe ist alles andere als sexy. Sie besteht aus mir, zwei jungen niederländischen Brüdern, die die meiste Zeit über ihre eigenen Füße stolpern, weil sie den Blick vom Handy nicht heben können, und Sensi, unserem gemütlichen und logistisch leider völlig untalentierten Buschmann und Tourguide. Morgen stoßen dann noch die Bootsmänner Hesti und Freddy hinzu. Am Ende der Reise werde ich erfahren, dass Sensi und ich wohl die einzigen waren, die so etwas wie Seife zum Waschen benutzt haben. Sensi fühlt sich im Regenwald merklich wohler als in der Logistik. Ich erlebe ihn in der Zivilisation als hektischen Mann, der bei der An- und Abfahrt im Hafen von Atjonie umkehren muss, weil er etwas vergessen hat einzupacken, oder der entgegen der persönlichen Planung plötzlich kein Eis für die Kühlbox (die 6 Tage lang halten muss!) auftreiben kann und auf der Autofahrt zum Hafen dreimal anhält, schließlich bei Familie/Freunden. Sogar das eigene Mittagessen vergisst er, also zeige ich Erbarmen und teile meins mit ihm. Ich erzähle dies mit aller Zuneigung und dem Respekt, der ihm für seine Leidenschaft gebührt, denn er ist ein ganz hervorragender und menschlicher Führer, der für seine KundInnen auch bereitwillig die Extrameile geht. Die kleinen Diskrepanzen haben das Dschungelerlebnis in keiner Weise geschmälert, sondern mir eher gezeigt, unter welcher Arbeitslast ein Freelancer wie er steht. Ab dem dritten Tag, als wir das letzte Dorf hinter uns gelassen haben und nur noch Regenwald vor uns liegt, fällt die letzte Hektik von Sensi ab und er wird der stille Meister mit der Machete.

Pic: Sensei Sensi sensing the wild.


Pic: Das Periodenhaus für die menstruierende Frau. In dieser Zeit darf sie nicht für die Gemeinde kochen. Fast wie Urlaub. Pic 2: Der Ceiba pentandra - ein heiliger Baum, unter dem sich die Hütten der Saramaccaner ducken.
Aber eins nach dem andern. Auch die zweite Nacht verbringen wir noch unter den Saramaccanern (einer der großen Afro-Stämme Surinams) und genießen den "Luxus" einfacher Holzhütten mit der unzuverlässigen Strom- und Wasserversorgung doch dafür mit der köstlichen surinamesischen Küche aus Fisch, Kassava und verschiedenen Soßen und Suppen. Aber keine Sorge, brummt Sensi und ein Grinsen stiehlt sich langsam auf seine Lippen, das werde sich am dritten Tag ändern. "Then you will have to work, guys. On the third day we will have left the last village behind. After that we are in the wild." Wenn ich nach diesen sechs Tagen feststelle, dass mich der Dschungel nicht in die Knie gezwungen hat, könne ich darüber nachdenken, auf eine seiner mehrwöchigen Expeditionen in unerschlossenes Terrain mitzugehen. Die Sintiadam-Tour ist ein Amazonas-Training in ultrasoft. Nicht ganz so weichgespült wie die Resort-Touristen, sagt er ganz barmherzig. Doch im Vergleich zu einer Expedition noch Pipifax. Später, als wir im Dschungel am Lagerfeuer, das in dieser Hitze niemals richtig ausgeht, sitzen, wird er uns von den deutschen Bundeswehrlern erzählen, die bei ihm Survival-Trips in entlegene Gebiete machen, oder von einem der größten Geflügelfleischproduzenten Deutschlands, mit dem er fast jährlich in den Amazonas verschwindet, zuletzt zum über 100 Jahre alten Grab des niederländischen Kartografen Johan Eilerts de Haan.
Sensi ist selbst Saramaccaner und hat in fast jedem Dorf dieser Ecke Verwandte. Am zweiten Abend nächtigen wir in Kosindo/Kajana, in dem gerade der Tod eines Gemeindemitglieds betrauert wird, und zwar ganz nach irischer Art: mit Musik und Alkohol. Auch eine zu Ehren des Toten bemalte Fahne wird durch das Dorf getragen und es bildet sich eine lange, jubelnde Schlange, die durch die unbefestigten Straßen zieht. Wir sollen, so Sensi, es lieber unterlassen Fotos von den bunt bekleideten Einwohnern zu machen; Auf der anderen Seite halten grölende Halbstarke uns ihr Smartphone ins Gesicht und filmen uns wie die Affen im Zoo. Nun ja, unser Tourguide besucht an dem Abend noch seine Großmutter im Nachbardorf. Ich frage ihn, ob er Geschwister habe. Er gibt eine lange Antwort. Unterm Strich: Er hat viele Halbgeschwister. Aber die "bush negros", wie er sich selbst bezeichnet, leben selten monogam.
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2023/04/30 Algunos momentos de nuestro viaje de vuelta en el tren eléctrico que lleva a la playa, pasando por el parque natural de las marismas del rio.
Some moments of our return trip on the electric train that takes us to the beach, passing through the natural park of the marshes of the river.
Google Translation into French: Quelques instants de notre aller-retour sur le train électrique qui nous emmène à la plage, en passant par le parc naturel des marais de la rivière.
Google translation into Italian: Momenti del nostro viaggio di andata e ritorno sul trenino elettrico che ci porta in spiaggia, passando per il parco naturale delle paludi del fiume.
Google Translation into Portuguese: Momentos da nossa viagem de ida e volta no comboio elétrico que nos leva até à praia, passando pelo parque natural dos sapais da ribeira.
Google Translation into German: Momente unserer Rundreise mit dem elektrischen Zug, der uns zum Strand bringt und durch den Naturpark der Flussmoore führt.
Google Translation into Albanisch: Momente nga vajtje-ardhje me trenin elektrik që na çon në plazh, duke kaluar nëpër parkun natyror të kënetave të lumit.
Google Translation into Armenian: Պահեր մեր շրջագայությունից էլեկտրագնացքով, որը մեզ տանում է դեպի լողափ՝ անցնելով գետի ճահիճների բնական պուրակով։
Google Translation into Bulgarian: Моменти от обиколката ни с електрическото влакче, което ни отвежда до плажа, минавайки през природния парк на блатата на реката.
Google Translation into Czech: Momentky z našeho okružního výletu elektrickým vláčkem, který nás zaveze na pláž a projede přírodním parkem říčních bažin.
Google Translation into Croatian: Trenuci našeg kružnog putovanja električnim vlakom koji nas vozi do plaže, prolazeći kroz prirodni park močvara rijeke.
Google Translation into Danish Øjeblikke fra vores rundtur med det elektriske tog, der tager os til stranden, og passerer gennem naturparken i flodens moser.
Google Translation into Slovak: Momentky z našej okružnej cesty elektrickým vláčikom, ktorý nás odvezie na pláž a prechádza cez prírodný park močiarov rieky.
Google Translation into Slovenian: Utrinki iz naše povratne vožnje z električnim vlakom, ki nas popelje do plaže skozi naravni park rečnih močvirij.
Google Translation into Estonian: Hetked meie edasi-tagasi reisilt elektrirongiga, mis viib meid randa, läbides jõe soode looduspargi.
Google Translation into Suomi: Hetkiä edestakaisesta matkastamme sähköjunalla, joka vie meidät rannalle joen soiden luonnonpuiston läpi.
Google Translation into Georgian: მომენტები ჩვენი ორმხრივი მოგზაურობიდან ელექტრომატარებლით, რომელიც მიგვიყვანს სანაპიროზე, მდინარის ჭაობების ბუნებრივი პარკის გავლით.
Google Translation into Greek: Στιγμές από το μετ' επιστροφής μας με το ηλεκτρικό τρένο που μας μεταφέρει στην παραλία, περνώντας μέσα από το φυσικό πάρκο των ελών του ποταμού.
Google Translation into Dutch: Momenten van onze rondreis met de elektrische trein die ons naar het strand brengt, door het natuurpark van de moerassen van de rivier.
Google Translation into Norwegian: Øyeblikk fra vår rundtur med det elektriske toget som tar oss til stranden, og passerer gjennom naturparken i myrene i elven.
Google Translation into Polish: Chwile z naszej wycieczki w obie strony pociągiem elektrycznym, który zabierze nas na plażę, przejeżdżając przez naturalny park bagien rzeki.
Google Translation into Romanian: Momente din călătoria noastră dus-întors cu trenul electric care ne duce la plajă, trecând prin parcul natural al mlaștinilor râului.
Google Translation into Russian: Моменты из нашей поездки туда и обратно на электричке, которая везет нас на пляж, проезжая через природный парк заболоченной реки.
Google Translation into Serbian: Тренуци нашег повратног путовања електричним возом који нас води до плаже, пролазећи кроз природни парк мочваре реке.
Google Translation into Swedish: Ögonblick från vår rundresa på det elektriska tåget som tar oss till stranden och passerar genom naturparken i flodens myrar.
Google Translation into Turkish: Bizi plaja götüren elektrikli trenle, nehirdeki bataklıkların doğal parkından geçerek gidiş-dönüşümüzden dakikalar.
Google Translation into Ukrainian: Миттєвості нашої подорожі туди й назад на електричці, яка везе нас на пляж, проїжджаючи через природний парк боліт річки.
Google Translation into Arabic: لحظات من رحلتنا ذهابًا وإيابًا في القطار الكهربائي الذي يأخذنا إلى الشاطئ ، مروراً بالمنتزه الطبيعي لأهوار النهر.
Google Translation into Bengali: বৈদ্যুতিক ট্রেনে আমাদের রাউন্ড ট্রিপের মুহূর্তগুলি যা আমাদের সমুদ্র সৈকতে নিয়ে যায়, নদীর জলাভূমির প্রাকৃতিক পার্কের মধ্য দিয়ে যায়।
Google Translation into Simplified Chinese: 我们乘坐电动火车往返海滩的瞬间,途经河流沼泽地的自然公园。
Google Translation into Korean: 강습지의 자연공원을 지나 해변으로 가는 전동열차 왕복 여행의 순간들.
Google Translation into Hebrew: רגעים מהנסיעה הלוך ושוב ברכבת החשמלית שלוקחת אותנו לחוף הים, עוברת בפארק הטבעי של ביצות הנהר.
Google Translation into Hindi: इलेक्ट्रिक ट्रेन पर हमारे दौर की यात्रा के क्षण जो हमें नदी के दलदल के प्राकृतिक पार्क से गुजरते हुए समुद्र तट पर ले जाती है।
Google Translation into Indonesian: Momen-momen dari perjalanan pulang pergi kami dengan kereta listrik yang membawa kami ke pantai, melewati taman alam rawa-rawa sungai.
Google Translation into Japanese: 川の湿地の自然公園を通過してビーチに向かう電車に乗った往復の瞬間。
Google Translation into Kyrgyz: Дарыянын саздактарынын жаратылыш паркын аралап, бизди пляжга алып баруучу электропоездде айланып бараткан сапарыбыздан көз ирмемдер.
Google Translation into Malay: Beberapa saat dari perjalanan pergi dan balik kami menaiki kereta api elektrik yang membawa kami ke pantai, melalui taman semula jadi paya sungai.
Google Translation into Mongolian: Голын намагт орших байгалийн цэцэрлэгт хүрээлэнгээр дамжин биднийг далайн эрэг рүү хүргэж буй цахилгаан галт тэргээр тойрон аялах мөчүүд.
Google Translation into Nepali: नदीको दलदलको प्राकृतिक पार्क हुँदै समुद्र तटमा लैजाने विद्युतीय रेलमा हाम्रो राउन्ड ट्रिपका क्षणहरू।
Google Translation into Panjabi: ਨਦੀ ਦੇ ਦਲਦਲ ਦੇ ਕੁਦਰਤੀ ਪਾਰਕ ਵਿੱਚੋਂ ਲੰਘਦੇ ਹੋਏ, ਬਿਜਲੀ ਦੀ ਰੇਲਗੱਡੀ 'ਤੇ ਸਾਡੀ ਗੇੜ ਦੀ ਯਾਤਰਾ ਦੇ ਪਲ ਜੋ ਸਾਨੂੰ ਬੀਚ 'ਤੇ ਲੈ ਜਾਂਦੇ ਹਨ।
Google Translation into Pashtun: په بریښنایی اورګاډي کې زموږ د دورې سفر څخه شیبې چې موږ ساحل ته رسوي ، د سیند د مارش طبیعي پارک څخه تیریږي.
Google Translation into Persian: لحظاتی از رفت و برگشت با قطار برقی که با گذر از پارک طبیعی باتلاق های رودخانه ما را به ساحل می رساند.
Google Translation into Sundanese: Moments ti lalampahan buleud urang dina karéta listrik nu mawa urang ka pantai, ngaliwatan taman alam tina marshes walungan.
Google Translation into Tagalog: Ilang sandali mula sa aming pabalik-balik na tren sa de-kuryenteng tren na maghahatid sa amin sa beach, na dumadaan sa natural na parke ng mga latian ng ilog.
Google Translation into Thai: ชั่วขณะระหว่างการเดินทางด้วยรถไฟฟ้าที่พาเราไปยังชายหาด ผ่านอุทยานธรรมชาติลุ่มแม่น้ำ
Google Translation into Urdu: الیکٹرک ٹرین پر ہمارے راؤنڈ ٹرپ کے لمحات جو ہمیں دریا کے دلدل کے قدرتی پارک سے گزرتے ہوئے ساحل سمندر تک لے جاتی ہے۔
Google Translation into Uzbek: Daryo botqoqlaridagi tabiiy bog'dan o'tib, bizni sohilga olib boradigan elektr poezdda aylanma sayohatimizdan lahzalar.
Google Translation into Vietnamese: Những khoảnh khắc từ chuyến đi khứ hồi của chúng tôi trên chuyến tàu điện đưa chúng tôi đến bãi biển, đi qua công viên tự nhiên của đầm lầy sông.
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3. Dienstag 04.02. bis Mittwoch 05.02.2025
Heute ziehen wir um in die neue Unterkunft. Die ist wesentlich sauberer und sogar etwas größer und billiger als unsere erste Behausung.
Zum Einkaufen können wir hier zu Fuß gehen, Aldi ist etwa fünf Minuten entfernt.
Anschließend fahren wir mit der Tram in die große Einkaufsmall nach Melbourne. Ich möchte mir Ersatz für meine kaputten Merrell Sandalen kaufen, aber die gibt es inzwischen leider nicht mehr.
Jo hat einer Freundin beim Umzug geholfen, die Sache hat sich aber wohl ziemlich in die Länge gezogen.
Wir treffen Jo und Giselle gegen Abend am Rand der Mall am Yarra River auf ein Getränk. Anschließend fahren wir mit Jo nach Hause. Schon wieder ist ein Tag zu Ende.
Am Mittwochvormittag gehen wir zur Chapel Street in St. Kilda. Gefühlt mehrere Kilometer lang zieht sich die Straße, in der sich Friseure, Barbershops und Nagelstudios mit Imbissbuden aller Nationalitäten abwechseln. Es gibt unzählige kleine Läden, die Billigklamotten oder Dinge anbieten, die die Welt nicht braucht. Schließlich stoßen wir auf der Suche nach einem Café auf ein moderneres Restaurant, in dem es Kaffee gibt, eine wahre Seltenheit, wie es scheint. Bei angenehmen Temperaturen gehen wir zurück, die große Hitze ist verflogen.
Melbourne ist dafür bekannt, an einem Tag wettertechnisch vier Jahreszeiten zeigen zu können. So kann es nach einem bitterkalten Morgen abends glühend heiß sein oder umgekehrt, kalter Regen oder hitzige Gewitter wechseln sich ab mit warmem Wind, das Wetter ist ständig im Fluss und häufig ziemlich unberechenbar.
Abends fahren wir mit Carolina und Jo mit der Tram zum Open Air Festival des Symphonie Orchestra Melbourne. Das Konzert findet im Freien auf einem großen Rasenhügel statt, das Orchester spielt unter einem riesigen Zeltdach. Das Publikum campiert auf dem Rasen, mehrere tausend Menschen unterhalten sich leise oder lauschen dem Konzert, die Stimmung ist total gelöst, friedlich und entspannt und gibt laut Jo in etwa die Atmosphäre wieder, die unter den Menschen im ganzen Land vorherrschend ist.
Das kostenlose Konzert umfasst Stücke aus aller Welt zum Thema Reisen und Abenteuer. Von Starwars über Donauwalzer bis Moldau, Peer Gynt und Schwanensee wird hier alles mit einer tollen Akustik dargeboten.
Zurück nach St. Kilda fahren wir mit Uber, da die Trams von Heimkehrern überflutet werden.
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L'Amérique (Yellow River)
Mes amis, je dois m’en aller, je n’ai plus qu’à jeter mes clés Car elle m’attend depuis que je suis né, l’Amérique J’abandonne sur mon chemin tant de choses que j’aimais bien Cela commence par un peu de chagrin, l’Amérique L’Amérique, l’Amérique, je veux l’avoir et je l’aurai L’Amérique, l’Amérique, si c’est un rêve, je le saurai Tous les sifflets des trains, toutes les sirènes des…
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bonjour tout le monde (c'est encore moi) ! je viens faire honteusement ma pub pour deux de mes scénarios qui me tiennent à coeur pour faire vivre mon petit levi sur le forum bottom of the river (city-sombre ouest américain). je vous partage le lien ci-dessous ainsi que le lien du pré-lien si vous êtes curieu·x·se. LETHON fourbe à l’allure élancée, les sourires carnassiers échangés au blondinet quand celui-ci vient voir son frère. joue à un jeu dangereux, levi saute tête la première. quitte gene pour aller se prendre de quoi grignoter, tombe sur silhouette élancée et musclée dans le jardin, sortant de la piscine, dégoulinant. statue grecque prenant vie, gamin se joue des sensations et fait comme si de rien était. salaud aux intentions floues, l’invite à boire un verre, puis deux, alors que gene est endormi là-haut. finalement, c’est dans ses draps qu’il finira. polyphème qui savoure la peau et ses pigments, dévore muscle et ne laisse rien d’un levi pris au dépourvu. rejoint les enfers et fait un pacte avec charon. tu me laisseras me perdre dans ses bras sans m’emmener devant le tout grand, car levi craint pour son sort. ment à l’être aimé là-haut, prétend avoir discuté avec le grand-frère sans oser lui dire que c’est ses lèvres qu’il a dévorées. depuis ce soir-là, les menteurs s’échangent quelques mots, souvent des insultes, incapables de trouver un équilibre à cet excès de folie. levi cherche à l’oublier, le fourbe ne désire qu’une chose : pouvoir le retrouver. l’attirance pour les hommes tout juste dévoilée, levi pense à de la manipulation, sur ses gardes, incapable de lui donner un millième de sa confiance bafouée, pas quand il joue avec celle du cadet. l’eros aime se sentir désiré, trouve son paradis dans le regard paumé du blondinet, s’amuse de la situation alors que l’amant ne comprend pas, ne trouve pas de réponses aux interrogations. pourtant, ne perd pas le contrôle, prétend toujours l’avoir en disant charmer le garçon, quand le jeu se joue des deux côtés. préfère se dire qu’il a le contrôle sur ce qu’il se passe quand, en réalité, l’amant lui fait perdre tout ses moyens. bouffeur de cœur, semeur de troubles, levi est attiré par l’interdit qu’il représente.
merci de m'avoir lu snif!!
voici le lien du pré-lien
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ecg 1
NOMS DENOMBRABLES ET INDENOMBRABLES
Les conseils qu’Anissa a donnés à Alexandra étaient pertinents. Ainsi, elle a pu économiser énormément (awful lot) d'argent. Un compte en banque, être à découvert, little brooks make large rivers, a quid, a buck, a coin, a currency, the change, how much do you charge ?
Aurélia a éclaté en sanglots quand elle a vu tous les dégâts après le cyclone à Mayotte. Heureusement, la pluie s’est arrêtée. A stitch in time saves nine, to weep, la tristesse, le chagrin, l’eau monte, to water a garden, it’s pissing it down !
Colyne n'a pas eu besoin d'acheter des meubles quand elle s'est installée (move in) à Angers. Sa tante lui a donné tout ce dont (all she) elle avait besoin. A rent, a landlady, a landlord, a tenant, un colocataire, a bedsitter, a cupboard, une table basse, une armoire, a closet
L'été dernier, Elhio a perdu ses bagages à l'aéroport JFK. Il m'a dit qu'il ne retournera plus jamais à New-York. Passer à la douane, un douanier, a terminal, décoller, atterrir, a long-haul flight, a domestic flight, a runway, le commandant, air rage, a Karen
Lisa m'a demandé des renseignements sur comment devenir fille au pair en Irlande. En fait, c'est plus facile qu'elle ne le pensait. Eire, Ulster, aller à l'étranger, un étranger, un inconnu, un séjour, s'occuper d'enfants, a child-minder, the kindergarten, a county, a lullaby
Je crois que Lauriane a fait de pros progrès en Allemand récemment. Je pense que c'est parce que c'est sa matière préférée. Mon allemand est mauvais, comment on dit « chien » en anglais ? It's double Dutch to me, je parle anglais couramment, globish
Clément s'est pointé (turn up) et a dit « les nouvelles sont bonnes, mes parents viennent de m'acheter une voiture d'occasion ! » un automobiliste, un chauffeur privé, un chef d'orchestre, le coffre de la voiture, le volant, le capot, le pare-brise, le pare-choc, le moteur
Je crois que Malo cherche du travail mais il veut un travail bien payé comme chacun d'entre nous. Un emploi à responsabilités, un cadre, un directeur, le P.D-G, a corporate credit card, postuler à un emploi, un candidat à un emploi, une lettre de candidature, a résumé
Julia a acheté un journal (paper) pour lire pendant le voyage et du papier (paper) pour écrire à ses amis. Elle sera bien occupée. La presse de caniveau, la presse de qualité, the editor, a column, faire les gros titres, la première page, a top-shelf magazine
Antonin a trouvé un cheveu dans son potage. Il a accusé (put the blame) Sacha car deux jours plus tôt, ce dernier lui avait dit que ses cheveux étaient trop longs et qu'il devrait se les faire couper (to have something done) une entrée, un plat de résistance, le fromage, un dessert, la carte, commander, un serveur, a Michelin-starred restaurant.
Tu savais que Cyril avait les yeux bleus ? Tu te trompes, ils sont verts. Si seulement j'avais les yeux verts. To raise an eye-brow, to look someone in the eye, an eye for eye and a tooth for a tooth, to eye somebody, all eyes on me, to turn a blind eye on, a blue-eyed dude
La mère d’Elia travaille comme avocate dans une grande société. C'est faux, elle est mère au foyer. Non, elle est infirmière, comme mon père. Un infirmier, les urgences, une ordonnance, mon généraliste, the NHS, être positif à la Covid, to get a booster jab
Olivier a dit « Quel joli pantalon et quelle jolie chemise ! Tu les as acheté d'occasion sur Vinted ? » Lisa a répondu « Ca ne te regarde pas, occupe-toi de tes affaires ! » une jupe, une robe, des tennis, des chaussettes, un pantalon déchiré, corduroys, a jumper, a sweater
Baptiste ne porte jamais de chapeau. Il préfère les casquettes. C'est plus chic, dit-il. S'habiller, se déshabiller, se mettre sur son 31, un costume, une cravate, casual Friday
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Restored UK river put to test with heavy rains
On the National Trust’s Holnicote estate in Somerset, conservationists restored parts of the Aller River, creating a 7 hectare (about 17 acre) … Restored UK river put to test with heavy rains

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