#Richard Grandpierre
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triforcevillains · 1 year ago
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Martyrs (2008) Ein kleines Mädchen wird von den französischen Behörden aufgegriffen - lethargisch, halbnackt und verwundet streift sie durch die Straßen Frankreichs. Sie erfahren, dass sie eben ihren Peinigern entkommen ist, die sie über Jahre hinweg gefangen gehalten und gefoltert haben. Auch in dem Waisenheim, in dem sie untergebracht wird, entkommt sie ihrem Trauma in Form eines entstalteten Dämons nicht.
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Der Dämon verfolgt sie bis ins Erwachsenenalter. Dem Wahnsinn verfallen findet sie ihre ehemaligen Peiniger aus, die ein friedliches und ungestörtes Familienleben in einem schönen Haus führen. Mit einer Schrotflinte bewaffnet löscht sie jedes einzelne der vier Familienmitglieder aus. Mit den blutigen Überresten ihrer Opfer beschmutzt ruft sie ihre Freundin an, die ihr anschließend beim Entfernen der Leichen hilft. Ihnen ist jedoch nicht bewusst, dass die Tat nicht unbeobachtet geblieben ist und die Peiniger zurückschlagen. (10/10)
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dekster184-blog · 7 years ago
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DANTE 01
Dante 01 is a 2008 science fiction film 
Directed by French director Marc Caro
Produced by Richard Grandpierre
Starring Lambert Wilson, Dominique Pinon
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elcinelateleymickyandonie · 4 years ago
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Jacques Marin.
Filmografía
Cine
Años 1940-1950
1946 : Le Beau voyage de Louis Cuny - Un mauvais garçon
1948 : L'assassin est à l'écoute de Raoul André - le barman
1950 : Dieu a besoin des hommes de Jean Delannoy
1950 : Le Mystérieux colonel Barclay, cortometraje de Jacques Vilfrid
1951 : Seul dans Paris : de Hervé Bromberger un homme du village
1952 : Jeux interdits de René Clément - Georges Dollé
1952 : Nous sommes tous des assassins de André Cayatte
1953 : Quitte ou double de Robert Vernay - Lucien
1953 : Un jour comme les autres, cortometraje de Georges Rouquier - Pierrot
1954 : Faites-moi confiance de Gilles Grangier - Bob
1954 : Avant le déluge de André Cayatte - L'ouvrier à bicyclette
1954 : J'y suis... j'y reste de Maurice Labro
1954 : Papa, maman, la bonne et moi de Jean-Paul Le Chanois - Le voisin
1955 : Si Paris nous était conté de Sacha Guitry - Un gardien de prison
1955 : Papa, maman, ma femme et moi de Jean-Paul Le Chanois - Le garagiste
1955 : Ça va barder de John Berry
1955 : Sur le banc de Robert Vernay - Le policier qui court après La Hurlette et Carmen
1955 : Le Dossier noir de André Cayatte - Un policier
1955 : Les Évadés de Jean-Paul Le Chanois - Un prisonnier
1955 : French Cancan de Jean Renoir - Un homme dans la file d'attente
1955 : La Rue des bouches peintes de Robert Vernay - Le commissaire
1955 : Les Hommes en blanc de Ralph Habib
1955 : Gas-oil de Gilles Grangier - Le gendarme
1955 : L'Amant de lady Chatterley de Marc Allégret - Un homme du pub
1956 : Des gens sans importance de Henri Verneuil - Le routier qui fesse Clotilde
1956 : Marie-Antoinette de Jean Delannoy - Un crieur de journaux
1956 : Mon curé chez les pauvres d’Henri Diamant-Berger
1956 : Ces sacrées vacances de Robert Vernay - L'automobiliste
1956 : Le Sang à la tête de Gilles Grangier - L'agent de police
1956 : Paris, Palace Hôtel de Henri Verneuil - Le livreur de fleurs
1956 : La Traversée de Paris de Claude Autant-Lara Le patron du restaurant
1956 : Cette sacrée gamine de Michel Boisrond - Un gendarme
1956 : Reproduction interdite de Gilles Grangier
1957 : Le rouge est mis de Gilles Grangier - Un flic de garde
1957 : A Paris tous les deux - (Paris holiday) de Gerd Oswald.
1957 : Les femmes sont marrantes de André Hunebelle - Le taxi
1957 : Les Vendanges (The Vintage) de Jeffrey Hayden
1957 : Le Coin tranquille de Robert Vernay
1957 : Porte des Lilas de René Clair - L'inspecteur qui enquête sur le vol chez l'épicier
1957 : Une Parisienne de Michel Boisrond - Le motard
1957 : Montparnasse 19 de Jacques Becker - Le patron du café
1958 : Les Misérables de Jean-Paul Le Chanois : Le messager (dans la première époque)
1958 : La Tour, prends garde ! de Georges Lampin
1958 : Le Désordre et la Nuit de Gilles Grangier - Le garçon de café bavard
1958 : En cas de malheur de Claude Autant-Lara - Le réceptionniste du Trianon-Hôtel
1958 : Les Racines du ciel (Roots of Heaven) de John Huston - Cerisot
1958 : Le Miroir à deux faces de André Cayatte - Un professeur
1958 : Le Temps des œufs durs de Norbert Carbonnaux - Le pêcheur
1958 : Trois jours à vivre de Gilles Grangier : le gendarme
1958 : Les Tricheurs de Marcel Carné - Monsieur Félix
1958 : Madame et son auto de Robert Vernay - Monsieur Rouille
1958 : Le Joueur de Claude Autant-Lara
1959 : Archimède le clochard de Gilles Grangier - Mimile, un habitué du café
1959 : Rue des prairies de Denys de La Patellière - Monsieur Mauduis
1959 : Maigret et l'affaire Saint-Fiacre de Jean Delannoy - Albert, le chauffeur de la comtesse
1959 : Guinguette de Jean Delannoy - Albert
1959 : Drôles de phénomènes de Robert Vernay - L'inspecteur
1959 : Croquemitoufle ou Les Femmes des autres de Claude Barma - Le contrôleur
1959 : La Bête à l'affût de Pierre Chenal - Le contrôleur routier
1959 : Match contre la mort de Claude Bernard-Aubert.
Año 1960
1960 : Les Vieux de la vieille de Gilles Grangier - Le brigadier de gendarmerie dont la chaîne de vélo a sauté
1960 : La Française et l'Amour, sketch Le Mariage de René Clair - Le contrôleur
1960 : Drame dans un miroir (Crack in the Mirror) de Richard Fleischer - Le gardien
1960 : Pantalaska de Paul Paviot - Monsieur Tropman
1960 : Monsieur Suzuki de Robert Vernay
1960 : Vers l'extase de René Wheeler - Le boucher
1960 : Au cœur de la ville de Pierre Gautherin
1961 : Le Président de Henri Verneuil - Gaston, le chauffeur de car.
1961 : Le cave se rebiffe de Gilles Grangier - L'inspecteur Larpin, de la police mondaine
1961 : Le Général ennemi (The Ennemy General) de George Sherman - Marceau
1961 : Le Grand Risque (The Big Gamble) de Richard Fleischer - L'employé de l'hôtel
1961 : Arrêtez les tambours de Georges Lautner - L'épicier
1961 : Le Monocle noir de Georges Lautner - Trochu
1961 : La Pendule à Salomon de Vicky Ivernel
1962 : Le Gentleman d'Epsom de Gilles Grangier - Raoul, le boucher turfiste
1962 : Gigot, le clochard de Belleville (Gigot) de Gene Kelly - Jean
1962 : Le Couteau dans la plaie de Anatole Litvak - Le commissaire
1962 : La Belle des îles (Tiara Tahiti) de Ted Kotcheff - Desmoulins
1962 : Portrait-robot de Paul Paviot
1963 : Charade de Stanley Donen - L'inspecteur Édouard Grandpierre
1963 : Le Glaive et la Balance de André Cayatte - Un gendarme
1963 : Méfiez-vous, mesdames de André Hunebelle
1963 : Le Poulet, cortometraje de Claude Berri
1964 : Le Train de John Frankenheimer y Bernard Farrel - Jacques, le chef de gare de Rive-Reine
1964 : La Vie conjugale (version Françoise) d’André Cayatte
1964 : Vacances pour Yvette (Vacaciones para Yvette) de José-Maria Forque
1965 : Fantômas se déchaîne de André Hunebelle - L'agent de police ferroviaire
1965 : Humour noir, sketch La Bestiole de Claude Autant-Lara
1965 : Les Bons Vivants, sketch La Fermeture de Gilles Grangier - L'acquéreur du mobilier de la maison close
1966 : Comment voler un million de dollars (How to steal a million) de William Wyler - Le gardien-chef du musée
1966 : Paris au mois d'août de Pierre Granier-Deferre - Bouvreuil
1966 : Les Centurions (Lost Command) de Mark Robson - Le maire coléreux à qui on prend son hélicoptère
1966 : Le Plus Vieux Métier du monde, sketch Aujourd'hui de Claude Autant-Lara - L'agent de police
1966 : La Vingt-cinquième Heure de Henri Verneuil - Le soldat chez Dubrosco
1968 : La Motocyclette (The Girl on a Motorcycle) de Jack Cardiff - Le pompiste
1968 : L'Homme à la Buick de Gilles Grangier - Un déménageur
1969 : La Nuit du lendemain (The Night of the Following Day) de Hubert Cornfield y Richard Boone - Le patron du café
1969 : La Fiancée du pirate de Nel.
Año 1970
1970 : Hello, Goodbye (Hello Goodbye) de Jean Negulesco
1970 : Darling Lili (Darling Lili) de Blake Edwards - Le major Duval
1971 : Mourir d'aimer de André Cayatte - Le correspondant
1971 : Le drapeau noir flotte sur la marmite de Michel Audiard - Antoine Simonet, chef de train S.N.C.F
1971 : Jo de Jean Girault - Andrieux, un policier chercheur
1971 : Le Cinéma de papa de Claude Berri - L'acteur jouant le chef de gare
1971 : Le Petit Matin de Jean-Gabriel Albicocco - La Bouhère
1973 : Shaft contre les trafiquants d'hommes (Shaft in Africa) de John Guillermin - L'inspecteur Cusset
1973 : Mais où est donc passée la septième compagnie ? de Robert Lamoureux - L'épicier français collaborateur
1974 : L'Île sur le toit du monde (Island at the Top of the World) de Robert Stevenson - Le capitaine Brieux
1974 : Les murs ont des oreilles de Jean Girault - Lucas
1974 : Vos gueules, les mouettes ! de Robert Dhéry - Le porte-bannière
1974 : Les "S" pions (S.P.Y.S) d’Irvin Kershner - Lafayette
1974 : Impossible... pas français de Robert Lamoureux - Dussautoy
1975 : Bons baisers de Hong Kong d’Yvan Chiffre - Le gradé de la police
1975 : Opération Lady Marlène de Robert Lamoureux - Le bistrot
1975 : Flic Story de Jacques Deray - Le patron de l'auberge de Saint-Rémy
1975 : Catherine et compagnie de Michel Boisrond - Le patron de l'agence de location de voitures
1976 : Marathon Man (Marathon Man) de John Schlesinger - Leclerc
1976 : L'Année sainte de Jean Girault - Moreau, le gardien de prison
1976 : Le Jour de gloire de Jacques Besnard - Le patron du bistrot
1977 : Le mille-pattes fait des claquettes de Jean Girault - L'inspecteur de police
1977 : La Coccinelle à Monte-Carlo (Herbie Goes to Monte-Carlo) de Vincent McEveety - L'inspecteur Bouchet
1978 : L'Horoscope de Jean Girault - J.L. Beauché
1978 : La Grande cuisine (Who Is Killing the Great Chefs of Europe?) de Ted Kotcheff - Masseret
1978 : Général... nous voilà ! de Jacques Besnard - Mac Goland
1979 : Grandison d’Achim Kurz.
Años 1980 - 1990
1981 : Ach du lieber Harry de Jean Girault - Un haut dignitaire
1982 : Te marre pas .. c'est pour rire ! de Jacques Besnard - Albert, le chauff.
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leblogdemarinaetjeanmarie · 2 years ago
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SAMEDI 22 OCTOBRE 2022 (Billet 1 / 3)
« LE NOUVEAU JOUET » (1h 52min)
Un film de James Huth, avec Jamel Debbouze, Daniel Auteuil, Simon Faliu…
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Quarante-six ans après « Le Jouet »… « Le Nouveau Jouet » arrive sur les écrans. Chic ! Il est aussi drôle et loufoque que sa version originale, tout en étant encore plus drôle, tendre et plus émouvant
Thème
Homme marié heureux dans sa cité de banlieue, mais chômeur criblé de dettes, Sami (Jamel Debbouze) se fait engager comme gardien de nuit dans un grand magasin. Le hasard fait que Philippe Etienne, le propriétaire de ce magasin et par ailleurs l’homme le plus riche de France (Daniel Auteuil), le fait rouvrir un soir après sa fermeture, pour que son petit garçon, Alexandre, inconsolable depuis la mort de sa maman, puisse y choisir tranquillement, pour son anniversaire, le cadeau de ses rêves. Alexandre (Simon Faliu) jette son dévolu sur… Sami, au grand dam de son entourage qui tente, en vain, de lui expliquer qu’une personne de chair et d’os ne peut être traitée comme un vulgaire hochet.
Avec quand même, à la clef, l’assurance d’une belle rémunération, Sami est emballé, comme un paquet, et emmené chez Alexandre. Quand un homme devient le jouet d’un enfant devenu tyrannique pour tenter d’oublier un insondable chagrin… D’une tragédie personnelle (celle d’un homme devenu esclave) vont naître du rire et de la loufoquerie.
Points forts
L’idée d’un remake du « Jouet » est venue d’un artiste qui sait ce que comédie veut dire, un homme tornade qui a fait, fait et fera encore se plier de rire des salles entières (cinémas et théâtres), dans des rôles très différents… On a nommé : Jamel Debbouze ! Fan du film de Francis Veber, l’humoriste porte depuis longtemps le projet d’une nouvelle adaptation de ce petit bijou d’humour né du drame d’un homme réduit à l’état de marionnette. Par déférence, il va voir Francis Veber, puis Pierre Richard pour demander à ce dernier la permission de lui succéder dans le personnage du jouet. Leur accord en poche, Jamel décide de se lancer dans l’adaptation. Mais quand il apprend que les droits du film appartiennent désormais aux Américains, il va trouver le producteur Richard Grandpierre pour négocier le rachat des droits, tout en lui laissant entendre que si le film arrive à se faire, il recomposerait bien avec Daniel Auteuil le tandem formé par Pierre Richard et Michel Bouquet dans le film de Veber. De fil en aiguille, le projet arrive chez James Huth. Le nouveau scénario va s’écrire à six mains, celles du cinéaste et de ses deux acteurs principaux. Il sera sur « mesures » pour ces deux derniers.
S’ils sont voisins à Paris et se croisent souvent, Jamel Debbouze et Daniel Auteuil n’avaient encore jamais joué ensemble. Mais ils s’admirent et se respectent. La distribution de leur rôle dans le film est parfaite. A Jamel celui du jouet (Sami), qui se prête aux pitreries et aux extravagances, à Daniel, celui du patron « empêché d’expression dans ses sentiments », et qui éprouve, avoue-t-il un vrai plaisir à jouer des personnages désagréables. A l’écran, le duo de ces deux-là fonctionne à merveille.
Réalisateur de comédies, James Huth est à son affaire. Rythme, tonalité, enchaînement des gags, espaces laissés à l’émotion, il a tout bon. Chaque scène de son film respire le plaisir et l’amusement qu’il a eus à la tourner. « Le Nouveau jouet » est un « feel-good movie » qui n’usurpe pas une seconde son identité.
Points faibles
Vers la fin du film, quelques (rares) longueurs, qui, pour autant, ne parviennent pas à freiner l’enthousiasme du spectateur.
En deux mots...
A la veille des vacances de la Toussaint, comme elle tombe bien la sortie de ce « Nouveau Jouet » ! Car c’est le film idéal à aller voir en famille ! Les plus jeunes (à partir de 7 ans) riront de bon cœur aux mésaventures et aux facéties d’un Jamel Debbouze « survitaminé » et visiblement très inspiré. Pour leur part, les « plus grands » prendront sans doute beaucoup de plaisir à ce remake réussi d’une des comédies cultes de leur jeunesse.
Et cela, sans aucune nostalgie puisque cette nouvelle version signée James Huth a été adaptée au goût du jour et, de ce fait, est un peu plus « punchy », un peu plus « flashy » et un peu plus impertinente que l’originale, tout en restant, vis à vis d’elle, d’une scrupuleuse fidélité. Et puis, et puis, il y a la belle surprise de ce nouveau tandem Jamel Debbouze-Daniel Auteuil, qui relance le duo formé il y a quarante-six ans par Pierre Richard et Michel Bouquet, sans toutefois le faire oublier. Simplement ses ressorts comiques ne sont pas les mêmes. Drôle, très drôle parfois, tendre, extravagant, émouvant aussi.
(Source : « culture-tops.ouest-France.fr »)
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Après avoir lu la critique ci-dessus, regardez la bande-annonce… puis juste après renseignez-vous pour savoir où se joue ce film. Que vous soyez parents avec vos enfants, grands-parents avec vos petits-enfants, en couple ou célibataire… nous vous en prions : ALLEZ TOUTE AFFAIRE CESSANTE VOIR CE FILM !
JM avait vu à l’époque le premier « Jouet », qu’il avait beaucoup aimé… tellement d’ailleurs qu’il avait envisagé de ne pas voir son remake. Rappelez-vous, nous ne sommes pas allés voir le nouveau « West Side Story », nous disant que l’original était inégalable. Le risque avec « Le nouveau jouet » était là mais nous l’avons pris et… nous n’avons pas été déçus, bien au contraire !
Cela faisait très longtemps que nous n’avions pas autant ri au cinéma. Jamel Debbouze a un talent fou et il est EXCELLENTISSIME dans ce rôle !
Et puis, ne chipotons pas, TOUT NOUS A PLU dans « Le nouveau jouet ». TOUT !!!
Marina, qui n’a pourtant pas la fibre « enfants », dès le début du générique de fin a glissé à l’oreille de JM : « Je lui donne ❤️❤️❤️❤️,5 sur 5. » Et JM lui a répondu : « Moi aussi. »
C’est simple, nous nous engageons à rembourser les places de cinéma de ceux à qui le film n’aura pas plu. Chers lecteurs/abonnés, si vous avez des enfants ou des petits-enfants, profitez des vacances scolaires, ALLEZ-Y ! Les couples et les célibataires, IDEM ! Ensuite, vous nous remercierez de vous y avoir incités.
Quant aux mauvaises critiques que vous pourriez lire ici ou là, ce sont des gens racistes qui les ont écrites, ce n’est pas possible autrement.
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lecharmediscretdecannes · 9 years ago
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Claude Lorius, Luc Jaquet and Richard Grandpierre attends the ‘Le Glace Et Le Ciel’ Premiere during the 68th annual Cannes Film Festival.
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sandeepadnani · 10 years ago
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La Belle et la Bete (2014)
Director Christophe Gans brings alive on screen a delicate and deep French aesthetic, which shows us the old fairy tale in a way we have never seen before. With a fantasy back story and a strong cast, the visuals captivate, enthral and entertain.
The production values are high, the scale is grand, but human emotions and their minute nuances are captured and communicated with ease, causing one to be enchanted at the very least.
In the modern world where fairy tales have been presented in new flesh and bones, this one is the best so far.
3.5/5
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moviesseenin2016 · 11 years ago
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Movie #136 - Them
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