#Richard Cuvillier

[genevieveetguy]

The Life of Jesus (La vie de Jésus), Bruno Dumont (1997)

[byneddiedingo]

La Vie de Jésus (Bruno Dumont, 1997) Cast: David Douche, Marjorie Cottreel, Kader Chaatouf, Sébastien Delbaare, Samuel Boidin, Steve Smagghe, Sébastien Bailleul, Geneviève Cottreel. Screenplay: Bruno Dumont. Cinematography: Philippe Van Leeuw. Production design: Frédérique Suchet. Film editing: Yves Deschamps, Guy Lecorne. Music: Richard Cuvillier. From its enigmatic title to its uncompromising lack of narrative structure, Bruno Dumont's first feature challenges a viewer's patience but ultimately, I think, rewards it. Dumont has explained (sort of) the title as a reference to Ernest Renan's 1863 book of the same name, a biography of Jesus that purges all miracles and holiness from its story. There are no miracles or holiness to be found in the life of Freddy, a young lout growing up in a small town in northern France, where his mother keeps a bar and occasionally nags him about his idleness. It's the kind of town where people spend a lot of time sitting on their front stoops or staring at the television. Freddy spends his time with his chums, riding motorbikes around the countryside, playing drums in the town band, having sex with his pretty girlfriend, and raising a caged finch that he enters in chirping contests. The finch's frantic movements in its confinement may be a kind of metaphor for the turmoil behind Freddy's usually impassive façade, which shatters only when he experiences one of the epileptic attacks that send him to therapy. Naturally, so much aimlessness gets Freddy into serious trouble, but the film ends with only a symbolic redemption as he escapes from police interrogation, rides into the country, and lies in the tall grass, staring into the sky and starting to cry. The bleakness of Dumont's vision of the life of Freddy and his cohort of fellow layabouts can be trying, and Dumont makes no attempt to leaven his story with humor. Yet I found myself drawn in by the performances of a group of nonprofessional actors, and I appreciated Dumont's references in a Criterion interview to his film as a kind of equivalent to Flemish paintings of idling peasants and burghers.

[r-ludovic-r]

PAN-CINOR   SOM BERTHIOT Sur la suggestion de son ami cinéaste Richard Cornu, Roger Cuvillier résout un problème alors délaissé par la concurrence3 : réaliser un objectif capable de remplacer à lui seul les trois objectifs des caméras à tourelle de l’époque .Partant d’un modèle à quatre lentilles — deux plan-convexe, deux plan-concave — et deux tubes coulissants, Roger Cuvillier et son équipe élaborent un prototype optiquement corrigé dont la distance focal peut varier continûment d’un facteur 3 sans déplacement du plan image . Le brevet  est déposé en janvier 1949. Il sera commercialisé sous la marque Pan Cinor,  La production durera une vingtaine d'années et dépassera les 100 000 exemplaires .Sans aucun doute le premier zoom fabriquer de façon industriel qui donne des images similaire a un objectif a focal fixe .

[elegantpersonkid]

S’appuyer sur sa jambe gauche

 Ex-socialiste ralliée à En Marche, la députée du Pas-de-Calais Brigitte Bourguignon, qui a longtemps oeuvré auprès d’associations d’insertion, demande à la majorité de s’appuyer davantage sur sa « jambe » gauche, non sans irriter dans son camp. Cette femme blonde discrète mais résolue, qui à 58 ans pilote la commission des Affaires sociales, récuse « toute volonté de fronder » et clame que son « seul objectif est de travailler à la réussite du quinquennat ». Ancienne candidate au « perchoir » face à François de Rugy et Sophie Errante, cette élue qui effectue son deuxième mandat demande en même temps à l’exécutif des « signes » plus à gauche depuis l’automne. Alors que l’opposition de gauche attaquait sur le thème Emmanuel Macron « président des riches », Brigitte Bourguignon a lancé un « cercle de réflexion » autour du « progrès social » au sein du groupe majoritaire, composé d’une trentaine de députés, dont plusieurs anciens socialistes. En décembre, cette élue, dont la circonscription est proche de Calais, a aussi appelé pour les migrants à travailler « en partenariat, et non en conflit avec le secteur associatif ». Cette semaine, elle a plaidé pour le rétablissement de l’exonération de cotisations sociales sur les heures supplémentaires, rappelant au président de la République sa promesse de campagne. Née à Boulogne-sur-Mer dans une famille ouvrière avec un père chaudronnier, Brigitte Bourguignon, « pas bardée de diplômes » selon sa formule, a d’abord travaillé au centre communal d’action sociale de la ville. « Résiliente et battante », selon un proche, elle surmonte le décès brutal de son mari en 1995, alors qu’elle est jeune mère de trois enfants. Elle crée dans le Boulonnais trois structures d’insertion sociale, dont « les paniers de la mer » en 2002, ensuite déclinées au niveau national: des personnes en voie d’insertion récupèrent le poisson invendu des criées pour le transformer et le livrer aux banques alimentaires. Le travail social reste « son ADN », assure l’élue LREM, qui préside le Haut conseil donnant des avis au gouvernement sur le sujet. A sa volonté d’incarner une « jambe » gauche dans la majorité, le président des députés LREM Richard Ferrand répond « marcher sur nos deux jambes, pas à cloche-pied ». L’initiative de cette ancienne est « folklorique », tacle un nouvel élu. « Dingue de maladresse », peste un jeune « marcheur », pour lequel « on peut peser dans la balance sans constituer un groupe et l’étaler dans la presse ». Un ténor de la majorité épingle un récent « lâchage de ses petits camarades » de la jambe gauche lors d’un vote en commission. « Elle vient de l’aile droite du PS », raille un responsable. Adhérente au Parti socialiste depuis 1989, elle était devenue en 2001 adjointe au maire de Boulogne-sur-Mer, Frédéric Cuvillier. En 2008, cette adepte de course à pied qui, à 16 ans, courait le 800 mètres à un niveau proche du national, avec un record à 2’21 », était nommée secrétaire nationale du PS au sport.  

[revolution909]

Marklion feat. Etienne Jaumet, Richard Cuvillier, Anne Sabatelli - Grande Camouflage

From "Grande Camouflage" LP (2013)

[genevieveetguy]

- You can touch me if you want. Take what I give you! - Not like that! - It's the only way you'll have me! - You think it's not important? - It's nothing! It was my gift to you! I really pity you!

L'humanité, Bruno Dumont (1999)

[byneddiedingo]

L'Humanité (Bruno Dumont, 1999)

Cast: Emmanuel Schotté, Séverine Caneele, Philippe Tullier, Ghislain Ghesquère, Ginette Allègre. Screenplay: Bruno Dumont. Cinematography: Yves Cape. Production design: Marc-Philippe Guerig. Film editing: Guy Lecorne. Music: Richard Cuvillier. Emmanuel Schotté's performance as an unlikely police detective in L'Humanité won the best actor award at Cannes. The film, about the detective's efforts to solve a case involving the rape and murder of a little girl, is full of enigmatic moments and even paranormal events that test a viewer's credulity, but it winds up exerting a kind of exasperated fascination.