#Rhapsody de réalités
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LE «LOGOS» DIVIN
RHAPSODIE DE RÉALITÉS LE «LOGOS» DIVIN. Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu et La Parole était Dieu (Jean 1:1). LE «LOGOS» DIVIN *SEND US YOUR PRAYER REQUEST* La « Parole» dans notre verset d’ouverture cidessus est le grec « Logos». Il décrit la Parole de Dieu qui nous est présentée comme Ses opinions, Ses pensées, Ses idées, Ses doctrines, Ses traités, Ses récits, Sa…
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attention roman ci-dessous
1) Julien: l’idée que des hordes de gamines trouvent ce maxi branleur à leur goût me désespère, où va le monde franchement
2) Anisha: je ne sais pas l’encadrer non plus mais elle est un cas d’étude intéressant
avec sa petite voix fragile et son ahurissement permanent, elle se comporte comme une enfant de 8 ans, ce qui me met viscéralement mal à l’aise
d’ailleurs elle a des mimiques et remarques de personnage de dessin animé, comme les enfants qui copient tout ce qu’ils voient à la télé
alors on pourrait croire qu’elle passe juste ses journées à regarder Naruto et qu’elle a oublié d’évoluer
mais le truc c’est que se comporter comme une fillette est un mécanisme de défense, qui incite les autres à ne pas la traiter comme une adulte, sachant que c’est dur-dur d’être adulte
à quel point ce mécanisme (manipulateur) est-il conscientisé et intentionnel dans son fonctionnement?
elle me donne l’impression d’être normale quand elle est sur scène, puis de remettre un masque d’enfant timbrée dès qu’elle en sort, donc où est son authenticité?
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3) Michael Goldman: ah intéressant que tu vois la similarité avec Jean-Jacques parce que je pense que sa vibe NJ est effectivement palpable
je demandais ton avis parce que moi je le vois INTJ depuis le début, et je me disais que ça ne doit pas être une opinion partagée, vu que son capital sympathie auprès du public et l’archétype du méchant INTJ sont incompatibles
quand je l’ai vu au dernier débrief du prime, alors qu’il faisait des remarques directes/“dures” mais pertinentes, contrairement à Laure qui ne sert à rien, je me suis dit que quelqu’un d’autre allait peut-être envisager TJ pour lui
ce qu’il a dit de la prestation de Léa sur Hot Stuff, comme quoi c’était parfait qu’elle rigole au lieu de jouer la femme fatale, vu que ça correspond à sa personnalité et sa “singularité”, c’était une remarque 1000% correcte, j’ai pensé exactement pareil
—
4) autres saisons recommandées: la saison 1 c’était du grand n’importe quoi, tout le monde était médiocre à part Olivia Ruiz
la Star Ac a été lancée dans la foulée de Loft Story, c’était le début de la télé réalité, et le casting était clairement axé sur cette dimension, d’où la présence de l’inoubliable Jean-Pascal qui se ferait cancelled en une seconde aujourd’hui
je pense que la saison 2 reste la plus culte pour beaucoup de monde, même si le niveau des élèves restait catastrophique
la production tentait désespérément de monter Nolwenn contre Emma alors qu’elles s’entendaient bien et que ça les saoulait qu’on les manipule ainsi
Nolwenn était aussi en drama avec Houcine et le fameux George Alain pour des raisons jamais élucidées (j’ai toujours pensé qu’elle les avait ~friendzonés~ et que la pilule était mal passée chez ces messieurs)
et je ne sais pas si quelqu’un d’autre s’en rappelle, mais la presse people prétendait à l’époque que Nolwenn avait carrément une liaison avec le répétiteur Matthieu Gonet dans le chateau (il a toujours nié mais ma chère mère y croyait)
que de potins, que de souvenirs!
j’ai trouvé la saison 3 sympa aussi, même si je n’ai jamais compris la victoire d’Elodie, qui chantait faux et chialait h24
TF1 la vendait comme une écervelée dévergondée (de façon misogyne bien sûr), donc je pense qu’ils étaient aussi surpris qu’elle gagne au final
le grand moment cette année-là c’est quand Pierre a choisi de ~quitter l’aventure~ en plein prime, après avoir chanté Bohemian Rhapsody, “je m’en vais comme un prince”, entré dans la légende
la saison 4 était courue d’avance, tout le monde savait que Grégory gagnerait dès le premier prime, ce qui me gavait parce que n’aimais pas sa personnalité, mais rip quand même
saisons 5-6-7: je regardais moins, très peu de souvenirs (années où j’ai dû me mettre à bosser un minimum après l’école donc il fallait choisir entre regarder la quotidienne ou réussir le test de math)
saisons 8 etc: rien vu du tout
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Jésus était plus qu'un homme, plus qu'unz prophète et plus qu'un Rabbin; Il était la Vérité de Dieu—Dieu dans la chair. Qu'est-ce que la vérité? La vérité est la réalité, la réalité absolue. Tout autre chose disparaît mais la Vérité de Dieu demeure en nous et sera avec nous pour toujours (2 Jean 1:2). En savoir plus dans cette Rhapsodie. Que Dieu te bénisse
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La Vénus d'argent - Héléna Klotz
Ange déchu
Dans un vibrant éclat de néons, au cœur des tunnels nocturnes reliant la banlieue à La Défense, Victor Seguin façonne les contours évanescents de La Vénus d'argent, métaphore cinématographique de la célèbre icône rollsienne, la Spirit of Ecstasy. Notre vénus à nous, Jeanne, est incarnée par l'effervescente Claire Pommet. Elle émerge tel un astre errant, chevauchant un modeste scooter, l'allure libre. Comme Takeshi dans le tunnel hong-kongais de Fallen Angels, elle recherche sa liberté, avec une ambition différente : celle de filer vers les hautes sphères du monde financier parisien.
Très tristement, et comme un obscur clin d'oeil au titre de Kar-wai, ce grandiose départ à l'esthétique splendide, s'échoue dès la quatrième coupe du film. Fallen Angel. Cette fracture qui surgit est symptomatique du film entier : de belles idées qui s'effritent sous des choix narratifs superficiels. Jeanne, qui doit se rendre à un entretien d'embauche, brise dans un geste énigmatique les vitrines d'une bijouterie pour s'approprier un modeste costume, une action incongrue face à l'évidence d'une alternative plus plausible. Cette dissonance, telle une rhapsodie absurde, s'étend au-delà, questionnant la crédibilité de chaque acte qui s'égrène à l'écran. La toile du récit se déchire ainsi davantage chaque fois que le scénario tente maladroitement d'ériger son arc, se révélant dans un manège nauséabond d'incohérences toutes de plus en plus flagrantes.
Cela aurait pu en être tout autrement : le premier geste incompressible de Jeanne aurait presque su s'évaporer lorsqu'on comprend qu'elle vient du monde d'en-dessous, issue d'une modeste famille logée dans une caserne de gendarmes. Les fulgurances électriques de la finance d'un côté, avec ses chiffres interminables, ses hauts-lieux de rencontres et ses dérives de richesse ; les péripéties terre-à-terre de la gendarmerie de l'autre, avec ses immeubles presque désuets, son monde clos, ses difficultés, bref, sa réalité crue. Et Pomme, incarnant un insouciant mais habile personnage, totalement irréel et donc cinématographique à souhait, prêt à en découdre. Tout semblait là réuni pour sculpter une bâtisse authentique et habile.
Mais il a fallu réduire toute l'ambition de cette fondation à néant, en érigeant sans cesse Jeanne au milieu d'événements impossibles, comme cette scène où, fraîchement diplômée de l'ESCP, et tandis que, stagiaire, elle sert du café dans un moyen fond d'investissement, elle façonne subitement un algorithme complexe d'un simple effleurement de doigt. Une symphonie improbable dans l'orchestration des possibles, s'éloignant des rythmes réalistes de la finance. On pourrait défendre que filmer les chiffres n'a jamais été chose simple : beaucoup se sont égarés en chemin. Mais dans Margin Call, une fiction pourtant, le jeune ingénieur financier qu'incarne Zachary Quinto, au parcours brillant, prend presque une nuit entière à reprendre les analyses de son chef pour remettre en cause un modèle financier complexe. Jeanne, La Vénus d'argent, modestement diplômée, trace un algorithme de trading automatisé performant en l'espace de quelques heures.
Bien loin est alors reléguée la promesse initiale, qui s'effiloche à toute vitesse dans les plis d'un scénario fragile, égaré dans les dédales de l'irréalité. C'est d'autant plus triste que l'art cinématographique demeure remarquable de bout en bout : la symétrie des architectures, les faces filmées bord-cadre, et l'opposition flagrante entre artifices grandiose des couleurs du côté du monde de la finance, contre réalisme terne du côté de la caserne de gendarmes, sont tout autant d'atouts perpétués par un montage lui-aussi correct. Pour faire un film, premièrement, une bonne histoire, deuxièmement, une bonne histoire, troisièmement, une bonne histoire. Jamais la citation de Clouzot n'a semble-t-il aussi bien été illustrée.
Il faut dire que les veines tentatives d'à-côté sont aussi bâclées. Jeanne, trop immaculée dans son aisance, s'égare dans les méandres d'une réalité qu'elle peine à appréhender. Son éclat brille, mais ses failles se révèlent comme autant de constellations voilées, notamment lors de son inconfortable tentative de séduction d'une riche héritière pour lever des fonds, éclairant les fractures de son essence. Elle affirme à son boss être non genrée, comme les chiffres, et condamne dans des péripéties inutiles son ex-compagnon pour l'avoir forcée à l'acte. Plus tard, le film la fait revenir à ses côtés. Par quelle utilité ? À quoi diable sert ce personnage, sinon à donner à Jeanne la possibilité de trouver un nouveau regard, alors que le sien est autrement plus pertinent, plus complexe, et plus subtil ?
L'invraisemblance contamine même jusqu'aux décors mêmes, pourtant somptueux dans leurs états. Les opulents lieux filmés, comme la suite du Shangri-la, ne trouvent pas l'écho justifié dans les nuances évoquées, soulevant des interrogations sur la justesse de la représentation : si le n+1 de Jeanne semble être le grand patron des lieux, la réalité le foudroierait en poisson dans une moyenne marre, et il est peu probable qu'un tel homme puisse se loger en permanence dans une suite à 20 000 euros la nuit. Mais qu'importe, car La Vénus d'argent semble parfois vouloir s'incarner en illusionniste, vendeuse de Longines alors qu'elle pourrait simplement faire comme tout le monde : continuer à passer des entretiens.
C'est ainsi que la plume d'Helena Klotz, accompagnée de ses scénaristes égarés, se perd dans les méandres de l'incompréhension du monde de la finance, tachant la pureté du sujet par des éclats d'approximations. Cette lacune, comme une note dissonante, trouble l'harmonie de cette production, tandis que le cinéma français, dans un bal hésitant entre conscience et inertie, semble buter sur des thématiques maladroitement abordées, entre relations lacunaires et identités en quête de clarté. Critique ou soutien au monde frénétique du capital, le plus incroyable est qu'on ne sait pas où se situer, car le film se veut neutre de jugement. Il préfère initier des idées sans les approfondir, c'est bien plus confortable.
Un dernier espoir émerge néanmoins de cette mer d'inconstances : l'apparition éclairée de Mathieu Amalric en banquier d'affaires offre un contrepoint salvateur. Un éclair de lucidité, parmi les tumultes d'une narration défaillante, résonnant comme une poignée d'espoir dans ce panorama éclaté. La force indéniable de la caméra, capturant des entretiens d'embauche d'une surréaliste vérité, émerge comme un îlot de réalisme dans ce flot d'incohérences, suscitant une ambiguïté troublante, reflétant, peut-être, les tourments de ce monde financier impitoyable.
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Partie 2
40. What’s your favourite disney movie?
Si je triche un peu je dirais "L'étrange Noël de monsieur Jack", pour la petite histoire Disney a remis son nom dessus quand le film a eu un élan de popularité grâce aux locations de VHS, mais si je veux rester classique je dirais "Le roi lion".
45. Name a movie that made you cry uncontrollably?
"Intouchables". Je suis allé voir ce film le jour où ma mère m'a annoncé son cancer, j'ai pleuré de rire avec toute la salle durant le film et j'ai tout simplement craqué à la fin du film en attendant "Una mattina" de Ludivico Einaudi, premièrement parce que cette musique m'a pris aux tripes et deuxièmement, inconsciemment, parce que la fin du film me ramenait à la réalité. Aujourd'hui quand je le regarde je retombe dans la même émotion.
50. Horror or psychological?
Psychologique et trouver le twist avant les protagonistes.
55. Favourite Oscar speech?
Je n'écoute pas vraiment les speech des Oscars, je suis plutôt les résultats. Alors je dirais celui de Joaquim Phoenix et son discours militant mais sincèrement j'en connais peu d'autres.
60. A movie you hated but everyone else loves?
"Moulin Rouge".
65. Do you like to re-watch movies you’ve seen before?
Oui mais pas en boucle. Quand j'aime un film j'apprécie de le revoir mais je laisse un délai entre chaque visionnage, parfois plusieurs années.
70. Why is your favourite movie, your favourite movie?
Une histoire douce, mêlant réalisme et fantastique, dévoilant tout le jeu de Jim Carrey, avec des musiques justes et des images (calibration, focus, lumière...) incroyables. Le thème de ce film est d'ailleurs la musique que nous avons mis à notre mariage.
75. An Indoor movie theatre or outside drive-in?
Le confort d'une salle de cinéma.
80. An overrated movie?
"A star is born".
85. Fantasy movies to normal life movies?
Films fantastiques.
90. Tell us about a movie that made you feel all the feels?
"Interstellar".
95. Can you think of a movie where one scene had ruined the whole thing?
Oh oui! Un exemple? "The Hobbit" et sa scène de chant interminable.
100. A block-buster movie that deserved all of the hype & more?
"Bohemian Rhapsody" ne serait-ce que pour le concert "Live Aid".
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RHAPSODIE DES RÉALITÉS: VIVEZ DANS LA VÉRITÉ (11/12/2020)
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En rafale : De Queen au Outlaw King
Bohemian Rhapsody (2018, Bryan Singer)
[ Peut-être faut-il être fan de Queen et fasciné par le rock des années 1970, mais j'ai absolument adoré ce biopic. Au-delà des inévitables raccourcis et clichés, il y l'histoire touchante de Freddie Mercury (flamboyant Rami Malek) et de jouissives scènes en studio et sur scène. Le tout culmine avec le set de Queen à Live Aid, une de mes séquences préférées de l'année, qui m'a ému aux larmes. ]
Sorry to Bother You (2018, Boots Riley)
[ Satire mordante et militante du capitalisme et de comment un Afro-Américain (Lakeith Stanfield) doit s'effacer (le changement de voix) ou s'abaisser (le rap!) pour avancer dans un milieu blanc, ce premier long métrage de Boots Riley est étonnant, énergique et éclaté. Un peu comme un film de Spike Jonze, mais au dernier acte, à partir du party d'Arnie Hammer, c'est encore plus dément! ]
Quincy (2018, Alan Hicks & Rashida Jones)
[ Quincy Jones a joué/arrangé/réalisé pour tout le monde, de Count Basie à Ray Charles, Frank Sinatra et Michael Jackson, en plus de composer des musiques de films, et de produire pour le cinéma et la télé. Ce documentaire s'attarde aussi à la vie personnelle de Q, sa famille, ses mariages, ses enfants, ses problèmes de santé, son travail humanitaire, et de façon plus générale, son rôle historique dans l'évolution de la place des Afro-Américains au fil des décennies. ]
Eight Grade (2018, Bo Burnham)
[ La culture YouTube m'ennuie, mais ce premier long métrage de Bo Burnham est parvenu à m'intéresser à la vie d'une ado qui y est plongée. Parce que tout semble crédible, que la réalisation est dynamique, et surtout, qu'Elsie Fisher incarne parfaitement tout l'inconfort qu'on ressent quand on n'est pas un cool kid. Gucci. ]
Game Night (2018, John Francis Daley & Jonathan M. Goldstein)
[ Version comique de The Game, ce film se distingue non seulement par ses nombreux gags réussis, mais aussi par sa réalisation proprement Fincheresque. C'est drôle, mais de plus, les scènes de suspense ou d'action fonctionnent vraiment. ]
The Greatest Showman (2017, Michael Gracey)
[ Ce film sur P.T. Barnum (l'irrésistible Hugh Jackman) est une fantaisie sirupeuse qui n'a pas grand-chose à voir avec la réalité, soit. C'est aussi une production somptueuse avec plein de chansons pop anachroniques, mais accrocheuses, et même si les ficelles sont grosses, j'ai eu les yeux humides par moments. ]
Outlaw King (2018, David Mackenzie)
[ Suite indirecte de Braveheart, ce film sur Robert the Bruce (Chris Pine) est assez épique (champs, chevaux, châteaux), mais avec moins de ferveur et de brutalité que le film de Mel Gibson, à part quelques moments. Surtout, le récit est mollement mené, sans qu'on s'attache aux personnages. ]
#bohemian rhapsody#sorry to bother you#quincy#eight grade#game night#the greatest showman#outlaw king
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L'UNIVERS SURRÉALISTE DU PHOTOGRAPHE RODNEY SMITH (1947-2016) https://vincentdelaplageculturejai.blogspot.com/2022/06/lunivers-surrealiste-du-photographe.html "Dans le monde enchanté de Smith, l'équilibre produit la beauté, le rire et la danse fantaisiste main dans la main, et les choses ne sont pas toujours ce qu'elles semblent être. Les photographies offrent un mélange parfait de rêverie et de réalité." jonathan stuhlman, écrivain d'art et conservateur POURQUOI J'AIME LE TRAVAIL DE RODNEY SMITH ? Rodney Smith était un photographe de premier plan dont le travail fantaisiste invitait à être comparé à celui du peintre surréaliste René Magritte. Longtemps acclamé pour ses images emblématiques en noir et blanc qui combinent portrait et paysage, Smith a créé des mondes enchantés pleins de contradictions subtiles et de surprises. N'utilisant que du film et de la lumière, ses images oniriques non retouchées sont d'une qualité égale à l'artisanat et à la beauté physique de ses tirages. M. Smith était un homme profondément soucieux de partager sa vision du monde avec humour, grâce et optimisme. UNE MUSIQUE D'UN BONHEUR CONTAGIEUX Gershwin : Rhapsody in Blue (cuivres et piano) https://youtu.be/ngwKBzBJwU4 George Gershwin Compositeur et pianiste américain (Brooklyn 1898 – Los Angeles 1937) George Gershwin, autodidacte, est le compositeur majeur de "la musique de genre" des années 1920 : sa popularité est due à la rencontre unique entre le jazz, le klezmer ou encore la musique afro-américaine, et l'écriture savante des modèles européens.#culturejaiflash https://www.instagram.com/p/Ce5pTToNzVs/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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LE «LOGOS» DIVIN
RHAPSODIE DE RÉALITÉS LE «LOGOS» DIVIN Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu et La Parole était Dieu (Jean 1:1). -SEE VIDEOS- La « Parole» dans notre verset d’ouverture cidessus est le grec « Logos». Il décrit la Parole de Dieu qui nous est présentée comme Ses opinions, Ses pensées, Ses idées, Ses doctrines, Ses traités, Ses récits, Sa sagesse, Sa connaissance, Ses plans…
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Bohemian Rhapsody
de Bryan Singer
Tout le monde connait Queen, peu importe l’âge, certains connaissent en profondeur et d’autre juste en surface, et c’est la ou Bryan Singer (X-Men 1, 2, Days of Futur Past, Apocalypse) à décidé de faire son bio pic, entre les deux, pour qu’aussi bien les anciens (ou connaisseurs) et les jeunes (ou non adeptes) y trouvent leur compte. Et le film fonctionne parfaitement en tant que divertissement, plutôt qu’entant que Biopic. Le scénario reprend dans les largeurs la vie de Freddy Mercury et en second temps le groupe Queen, le film. ne s’éloigne pas trop de la réalité mais certains petits détails par ci par la ne sont pas exacts. Ce qui n’est pas un problème en fonction de la façon dont l’on aborde le visionnaire, en tant que Biopic on peut trouver le film peu précis et survolant, en tant que divertissement très efficace, super rythmé et par moment émouvant. la réalisation de Bryan Singer est super efficace et ne prend que très peu de risque, ce qui n’est pas un problème tant le ton du film sert le côté rythmé plus qu’autre chose. Le casting est excellent et passé quelques minutes de film le mimétisme de Rami Malik emporte l’adhésion, aussi bien pour les autres membres du groupes et les quelques seconds rôles peu important mais bien exécutés. Le point culminant du film reste les moments musicaux qui sont vraiment très plaisant et ou la réalisation et le son sont parfaitement bien orchestrés. Certaines petites scènes de la vie privée de Freddy Mercury sont excellentes et touchantes, dommage qu’elles ne soient pas en plus grand nombre, mais le film encore une fois ne s’attarde pas trop sur cela et reste de manière plus général sur l’évolution du groupe entre sa création et le concert Live Aid en 1985. A noter que la version IMAX est vraiment très bonne pour le son, et le concert final donne l’impression d’y être.
Bohemian Rhapsody de Bryan Singer est un excellent divertissant, de grande qualité technique visuelle et sonore et surtout de jeu d’acteur, Rami Malik est excellent dans son rôle de Freddy Mercury. Du côté Biopic le film est beaucoup moins précis, il prend l’histoire du groupe Queen dans les largeurs et modifie volontairement certains détails historique. Dans l’ensemble le film s’adresse à tout le monde et est très rythmé et divertissant. A voir!
#bohemian#rhapsody#queen#freddy#mercury#rami#malik#bryan#singer#film#movie#review#critique#cinema#theatre#imax
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RHAPSODIE DES RÉALITÉS
Mardi, 19 Septembre
UN EXCELLENT CARACTÈRE
Pasteur Chris
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La moralité permet de voyager sans encombre; une mauvaise vie est une vie difficile. Le bon caractère est la meilleure assurance; les escrocs se font piéger dans leur désir de péché (Proverbes 11:5-6 MSG).
Dans Genèse 49, la Bible nous donne un aperçu des dernières paroles de Jacob à ses fils. En s'adressant à son premier-né, Ruben, Jacob reconnaît l'immense potentiel qu'il possède. Il le décrit comme son premier-né, sa puissance, le début de sa force et de sa vigueur viriles, et souligne que son droit d'aînesse lui confère la prééminence en matière de dignité et de puissance.
Cependant, Jacob souligne le défaut de caractère de Ruben et la façon dont il a tout détruit: «Impétueux comme les eaux, tu n’auras pas la prééminence! Car tu es monté sur la couche de ton père, Tu as souillé ma couche en y montant.» (Genèse 49:4).
Ainsi, malgré les promesses et les bénédictions associées au fait d'être le premier-né, et les éloges du fait d’être la force de Jacob, le plus fier et le plus fort de tous ses fils, Ruben n'atteindra pas la grandeur qu'il aurait pu atteindre.
Votre caractère en tant que personne est très important. Peu importe les prophéties qui ont pu être prononcées sur votre vie et qui les ont données. Votre caractère peut ruiner la prophétie et, en fin de compte, votre vie, tout comme le caractère de Ruben a ruiné sa vie.
Le désir de Dieu est que les prophéties prononcées sur votre vie s'accomplissent. Il veut que sa bonne parole à votre égard s'accomplisse comme Il l'a dit. Votre rôle est de reconnaître Sa seigneurie et de vous comporter correctement, en marchant dans Sa justice.
Combien il est important de marcher en conformité avec la volonté de Dieu, dans sa lumière fidèlement, et d'avoir un excellent caractère. Vous pouvez maintenant mieux comprendre l'importance de la prière de l'Esprit à travers Paul dans Ephésiens 3:16, pour que vous soyez fortifiés avec excellence par le Saint-Esprit dans votre homme intérieur. Alléluia!
PRIÈRE
Cher Père, je suis aligné sur ta volonté et je marche fidèlement dans ta lumière. Je reconnais l'importance du caractère et d'une vie droite, selon ta Parole. Merci pour la sagesse d'apprendre des exemples de l'Écriture et de faire des choix qui t'honorent, au nom de Jésus. Amen.
ÉTUDE APPROFONDIE
Proverbes 11:5-6; Proverbes 20:11; Romain 12:2 NIV
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LECTURE DE LA BIBLE EN 1 AN:
Galates 3:26-4:1-20 & Esaïe 1-2
LECTURE DE LA BIBLE EN 2 ANS
Luc 23:34-43 & 2 Samuel 11-12
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Esmeralda. 02
flash-back du jour qu’il faut oublier.
c’est fini mademoiselle Flores, je suis désolé. les mots coincés sous la langue a contrario des larmes qui roulent sur ses joues bien meurtries, par les coups, par les coups, de l’incessante et furieuse vie. elle est seule. s e u l e. solitude comblée par le manque de lui. ses traits anonymes l’éclairent dans ce sombre tunnel où elle s’est endormie. paradoxe cruel d’un hiver brûlant, réveillant réalité cauchemar enfouie sous la crasse de l’incessante et furieuse vie.
poupée s’écroule au cœur du monde. là où les rêves s’inventent à deux. là où vivre est simple comme battement de cil. là où Faucheuse n’a pas eu raison d’eux. bonheur se noie dans la liqueur de ses ténèbres, de ses chagrins, de cette peine grise entre parenthèse, se sectionne les cordes vocales pour ne plus jamais en conter les récits cruels. il était sa joie, owen. son rire au lèvres. son amour céleste. foutu paradis sur terre maintenant, six pieds sous terre. fast and furious a raclé gomme et gueule sur l’asphalte brûlant. il était son phare mais il s’est effondré comme un château de sable emporté par la marée.
il n’y a aucun silence à l’intérieur d’esmeralda. furie des émois, névroses à fleur de peau. géhenne nommée pourquoi tu n’es plus là ? poupée s’écroule sur le linoléum. la peau du crâne martelée de pensées en cris tranchant, éventrant tout. les souffles ont la voix de fantômes, dans son cœur. raz-de-marée l’emporte sur les rivages d’un temps assassiné. les sons d’abord, puis les images qui explosent comme lave expurgée du cratère de l’amour. l’amour comme dans les comédies romantiques, avec des larmes et des rires à n'en plus finir. le fantasme utopique de l'âme sœur, celle avec qui on se dit pour la vie. pour la vie ? quelle connerie. voilà ce qu’elle crie tandis qu’elle sent les corps qui se pressent autour d’elle, qui l’enlacent, l’encerclent. proximité qui porte le cœur au bord des lèvres. il n’y a que lui qui a le droit de la toucher. lui et son regard noir sucré. noir café au lait. regard éteint désormais, comme ce coeur inanimé dans cette poitrine qu’elle a mille fois embrassé.
pourquoi vivre désormais ? et comment ? machinerie inconnue du corps qui résiste quand myocarde lui-même, ne bat plus. poupée en verre se brise en mille morceaux sur réel en falaises escarpées. en rochers qui lacèrent et qui griffent. elle aimerait saigner, esmé. bienvenue à l’intérieur de l’encéphale, attention au scandale. poids lourd écrase ses os, et brise ses vertèbres. le monde tangue. jour et nuit. poupée vomit. vomit ce monde qui n’a plus de raison d’être. putain, c’est vraiment le soleil qui se lève ? on lui a volé le sien mais l’usurpateur écorche le ciel en deuil, se fait violente rhapsodie aux yeux d’esmé fracturés de sang et de suie. comment ose-t-il briller alors que dans son coeur il fera désormais toujours n u i t ?
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Melody VR acquiert Napster pour combiner le streaming audio et la réalité virtuelle
Melody VR acquiert Napster pour combiner le streaming audio et la réalité virtuelle
MelodyVR fait l’acquisition de Napster pour combiner le streaming musical et la réalité virtuelle de musique live.
Rhapsody International, qui opère sous le nom de Napster, est actuellement détenue à 84% par RealNetworks, une société cotée au Nasdaq. L’acquisition de 70 millions de dollars permettra la création d’une plateforme musicale qui offrira à la fois des performances immersives en…
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Le mot de Diderot n°34 juillet 2020
C’est le dernier mot de Diderot avant la trêve estivale.
La librairie fermera ses portes le samedi 25 juillet et les rouvrira le mardi 18 août.
Pendant l’été vous avez toujours la possibilité de participer à notre campagne de dons qui ne se terminera qu’au début du mois de septembre.
Une fois encore nous n’avons que peu d’initiatives à vous signaler car la reprogrammation de nombreuses rencontres est encore difficile à organiser.
Nous serons néanmoins présents à la traditionnelle fête des Ayres qui se tiendra le 23 août. En septembre nous reprendrons le cycle des apéros littéraires au prolé le 3ème samedi de chaque mois à 11h00.
Nous travaillons avec nos partenaires habituels à concocter de belles surprises à la rentrée dont nous vous reparlerons en temps voulu.
Enfin, nous vous offrons une dernière nouvelle du concours Nîmes Noir 2020
Nous vous souhaitons de passer un bel été.
La sélection du mois
ROMAN – Le pays des autres – Leila SLIMANI - éditions Gallimard – 368 pages – 20 €
Mathilde, jeune alsacienne, rencontre en 1944 Amine Bel Hadj, lieutenant marocain «engagé» (de force) sur le front de l’Est, dans le corps des Spahi. Ils vont se marier et elle va le suivre au Maroc où ils vont s’installer à Meknès sur les terres acquises par le père d’Amine, des terres ingrates qu’ils vont avoir toutes les peines du monde à fructifier. Les illusions d’Amine qui croyait avoir hérité de terres comparables à la Californie et celles de Mathilde qui se rêvait en Karen Blixen vont rapidement se fracasser contre la dure réalité de ce pays, protectorat français au bord de l’explosion indépendantiste. La description de la vie quotidienne dans ces années 50 , des hiérarchies insoutenables, de la condition des femmes et de la montée de l’aspiration nationaliste jusqu’à l’embrasement de 1956, constitue la toile de fond de ce premier volet d’une trilogie «Le Pays des autres». Leîla Slimani va faire intervenir de nombreux personnages dans la ville européenne, dans la médina, dans le bled aride, sans jamais prendre parti, mettant simplement en évidence leurs contradictions et leur complexité. Et une fois de plus ce sont les personnages féminins auxquels on va s’attacher particulièrement: Mathilde bien sûr, sa fille Aïcha, sa jeune belle-sœur Selma, sa belle-mère Mouilala, vivants témoignages de la triste condition des femmes qu’elles ne vont malheureusement pas remettre en cause.
L'histoire de ce couple franco-marocain, inspirée de la vie des grands-parents de l'autrice, est l'occasion de se plonger dans une vaste fresque historique, celle de la décolonisation du Maroc. Parallèlement, Leîla Slimani va observer toutes les complexités et les ambiguïtés de la relation d'assujettissement des locaux aux colons étrangers, mais aussi des femmes, ici doublement colonisées, à travers le joug français et celui des hommes, avec leurs aspirations et leurs désirs entravés, leurs joies et leurs peines, tout cela décrit sans aucun manichéisme. On est entraîné par des phrases souvent courtes et des images évocatrices, qui nous plongent dans l'atmosphère des lieux, du temps, et des gens. C’est un merveilleux et magnifique roman!
ROMAN – Rhapsodie des oubliés – Sofia Aouine - Editions de la Martinière – 208 pages – 18 €
On est dans le 18ème arrondissement, pas à Montmartre en haut, mais en bas, dans la rue Léon, entre les stations Barbès, Château Rouge et Marcadet, ce qu’on appelle aussi le quartier de la Goutte-d’Or.« Ma rue raconte l'histoire du monde avec une odeur de poubelles. Elle s'appelle rue Léon, un nom de bon Français avec que des métèques et des visages bruns dedans ». C’est Abad, treize ans, dont les parents sont venus du Liban, qui raconte le quotidien de ce quartier, une vie d’ado avec tous les problèmes d’ado (alcool, drogue, sexe, violence...) aggravés par les conditions misérables de cette population.
C’est un premier roman percutant, écrit dans une langue explosive, un roman noir influencé par le hip-hop et la soul music (on trouvera d’ailleurs une «play list» à la fin du livre).En choisissant comme narrateur Abad, qui est aussi le personnage principal, Sofia Aouine, reporter radio de profession, nous fait entrer sans transition dans le vif du sujet en nous faisant partager ses pensées, ses sentiments, ses émois, ses révoltes. Sans tomber dans la caricature, rien ne nous sera épargné des confrontations de Abad avec de multiples personnages aux surnoms pittoresques qu’ils soient de sinistres exploiteurs de la détresse des gens de ce quartier ou heureusement des personnes attachantes qui se trouvent être, une fois de plus, des femmes puissantes qui, chacune à sa manière, vont apporter un peu d’espoir à Abad. Ainsi Batman, jeune femme en hijab, dont il tombera éperdument amoureux, Gervaise, jeune congolaise obligée à se prostituer dans l’espoir de retrouver sa petite fille Nana restée au Congo , la vieille voisine Odette qui va suppléer une famille défaillante, la psychologue Ethel Futterman surnommée «la dame de l’ouvrir dedans», avec au passage des clins d’œil à Zola pour certains personnages et au Doinel des «400 coups» de Truffaut pour la ressemblance avec Abad. Un premier roman beau et fort pour l’évocation d’un quartier haut en couleurs, roman couronné du «Prix de Flore 2019».
ROMAN – La commode aux tiroirs – Olivia RUIZ - Editions Jean Claude LATTES – 208 pages – 19,90 €
Une jeune femme hérite d'une commode aux dix tiroirs qui a nourri les fantasmes de son enfance. C'était interdiction de l'ouvrir pour les enfants ! Avec sa fille Nina, elle ouvre avec émotion les tiroirs et nous fait revivre la vie de Rita son Abuela (grand-mère) et dévoile les secrets qui ont scellé le destin de quatre générations de « femmes indomptables » Rita, Leoner, Carmen, Madrina vont nous faire traverser avec passion, amour, dureté ces temps-là et la vie. Elles iront toujours de l'avant !
Avec les hommes, Rafael l'amour de la vie de Rita, mort dans des conditions atroces en retournant en Espagne pour renverser Franco. Mais aussi Adré, Maisel, des hommes de cette époque.
La commode et Rita « réveillent un bout de vie ».
Nous connaissons la compositrice, l'interprète. Nous découvrons l'auteure pour un premier roman.
Ce livre nous parle de l'exil, de combats de femmes, d'amour, de tristesse. Au fil des pages nous sommes en Espagne, Toulouse, Narbonne...
Elle porte l'Espagne et nous percevons que ce livre est en elle depuis longtemps. Nous partageons le silence familial de la terrible histoire espagnole, que le franquisme a imposé durant plusieurs décennies à ce peuple. L'écriture libère et Olivia Ruiz fait référence à Boris Cyrulnik qui dans ses ouvrages travaille « la mécanique de reconstruction psychologique ». D'une nouvelle, elle en fait un roman profond sur l'histoire de femmes qui combattent pour leur liberté.
Un magnifique roman, d'une grande sensibilité. Ne passez à côté de ce livre !
JEUNESSE
La belle équipée, Sophie Vissière, Hélium, 17,90€
Au centre de vacances, une sortie en canoë est prévue mais pas pour Marthe, Charlie et Adama qui en sont privés. Ils ont été surpris en pleine bataille de boulette de pain!!!
Triste de ne pas pouvoir y participer les trois enfants s'ennuient. Mais très vite des idées pour s'occuper apparaissent. Débordant d'imagination ils décident de construire un bateau pour prendre le large et réfléchissent à quoi il pourrait ressembler. Ils établissent la liste des objets nécessaires à la construction du bateau et chacun part à leur recherche, d'abord à trois, puis à deux ou tout seul... Mais ensemble c'est mieux. Ce bel album aux illustrions entièrement réalisées au pochoir, épurées et poétique nous montre chaque étapes des enfants dans leur recherche et la construction et nous renvoie au dernier chapitre "ensemble c'est mieux". Marthe, Charlie et Adama sont prêts pour l'aventure!
Une véritable ode au partage, à l'amitié et à l'imagination qui permet d'accomplir de belles choses. Voici une belle équipée que nous offre Sophie Vissière pour cet été!!!
Le grand voyage d'une Hirondelle : journal d'un oiseau migrateur, Pavel Kvartalnov ; ill. Olga, Ptashnik, Rue du monde, 18€
Pendant l'été les hirondelles sont là, avec nous en Europe. C'est le cas de la narratrice qui a vu le jour un 26 mai en Irlande avec ses frères et sœurs. A partir de là, l'hirondelle va nous expliquer dans un journal de bord comment elle est naît, comment et pourquoi elle s'envole vers d'autres horizons. C'est le récit de sa migration qu'elle nous conte, les paysages qu'elle traverse et voit du ciel, la traversée de la mer, la route pour l'Afrique, les autres oiseaux qu'elle rencontre jusqu'à l'endroit où elle et sa famille passeront l'hiver. Et le printemps d'après refaire le voyage pour revenir en Europe mais pas forcément dans le pays de sa naissance !
Rue du monde nous offre une nouvelle fois un magnifique album – documentaire – carnet de voyage, signé par un ornithologue. Les illustrations sont tendres et poétique, nous invitant à faire le voyage avec l'hirondelle qui à travers son observation de la nature nous documente sur l'utilité des plumes. C'est aussi un album sur la différence et le vivre ensemble à travers les diverses espèces d'oiseaux rencontrés qui comme l'hirondelle peuvent migrer où bien rester sur place !
Sans nul doute un album à mettre dans toutes les mains, petites ou grandes !
La collection TotemKili, Rue du Monde, 7,80€
Souvent publiés en format album quelques années auparavant, cette collection propose des courtes histoires aux enfants qui commencent à lire tout seuls (6-9ans). Un lien entre l'album et le roman. A la fin de chaque ouvrage on trouve « l'atelier des infos » avec des informations et des commentaires sur la thématique de l'histoire.
Dans On lit trop dans ce pays de Daniel Picouly et Pef aux illustrations, le dossier éclaire sur le thème du livre (l'imprimerie, les bibliothèques, le pouvoir de lire, l'illettrisme, le bonheur de lire...).
Donc en plus d'avoir une belle histoire, c'est aussi un lien avec le savoir.
Déjà 8 titres parus en 2019, cette année TotemKili reviens cette année avec 6 nouveaux titres :
On lit Trop dans ce pays, Daniel Piccouly et PeF
Machin Truc-Chouette, Hubert Ben Kemoun et Véronique Joffre
Scoop !, Gianni Rodari et Pef
Le courage de Nao, Michel Piquemal et Zaü
Ben et le loup, Raphaelle Frier et Loren Larnicol
Le jour où j'ai habité dans la jungle, Alain Serres et Anna Griot
De plus pour la 17ième année Rue du Monde participe à « l'été des bouquins solidaires », une opération qui doit permettre d'offrir un livre à des milliers d'enfants "oubliés des vacances" via le Secours populaire français (SPF). En achetant un de ces 6 titres, vous permettrez aux enfants « Oubliés des vacances » d'avoir un livre. En raison de la situation sanitaire, le SPF a dû renoncer cette année à organiser sa traditionnelle "Journée des oubliés des vacances" au bord de la mer qui est habituellement l'occasion de remettre des livres aux enfants. A la place, il y aura des centaines de "Journées Bonheurs" organisées à travers le pays (avec visites culturelles, spectacles, journées avec des sportifs, grands jeux...).
Bel été et belles lectures aux petits et aux grands !
Nouvelle
Vive le foot
Jérôme VARRAUT
Dimanche 15 juillet 2018
Mais quel con je suis ! Je l’avais dit depuis des mois à tous mes potes, le 15 juillet sera un jour mémorable. Oui, mais je ne pensais pas que ce serait à ce point-là. Et surtout ce qui est encore plus con c’est que moi je m’en souviendrai pas car je vais mourir dans pas longtemps. Mais putain qu’est-ce que j’ai mal. J’ai rien compris et je comprends toujours pas, faut dire aussi que je souffre tellement que ça m’aide pas à y voir clair.
Je sais qu’il était un peu avant seize heures. J’ai fait une sieste après manger ce midi car je savais que la fête allait durer après le match. J’avais rendez-vous avec les copains pour voir le match dans le jardin du Prolé. On va gagner c’est sûr, c’est pas les croates qui vont nous gâcher la fête.
On a sonné à ma porte, j’ai pensé que c’était un copain qui venait me chercher, alors j’ai ouvert sans me méfier. J’aurai dû. J’ai pris un pain dans la gueule, d’une violence inouïe et je me suis retrouvé KO. Quand je suis revenu à moi, j’étais attaché sur une chaise et y’avait ce type bizarre qui me regardait en se marrant. Je le connais pas ce con, qu’est-ce qu’il me veut et qu’est-ce qu’il fout chez moi ? D’une voix douce il m’a expliqué qu’il ne me connaissait pas, qu’il ne m’avait jamais vu avant que j’ouvre la porte et qu’il n’a rien contre moi, mais que c’est pas de sa faute si j’habite aussi près du Prolé.
Tu sais que la cour va être pleine et qu’ils vont crier, parler fort, gueuler comme des veaux ces imbéciles qu’il m’a dit. Et il a ajouté alors tu pourras gueuler autant que tu veux, personne ne t’entendra et si on t’entend on croira que t’es un putain de bon supporter.
Là il a commencé à m’inquiéter et j’avais pas tort. D’abord il m’a expliqué que c’était pas un coup de poing que j’avais reçu dans la tronche, mais un coup de marteau de trois kilos qui m’avait atteint à la tempe.
Tu risques d’avoir mal à la tête, mais ça va pas durer parce qu’après tu auras encore plus mal ailleurs. La bande de scotch qu’il m’a collé sur la bouche m’empêchait de parler, mais je devais avoir un regard très expressif car il m’a dit « Bon écoute bien je vais tout t’expliquer, je sais que tu le répéteras pas. » Je suis pas trouillard, mais là quand même je commençais à avoir les foies. La baston en général ça me déplait pas et je tiens bien ma place. Au stade quand on se castagne avec les supporters des autres, je suis pas ridicule, mais là il m’a eu par surprise. A la loyale il avait aucune chance, je l’aurai étalé tranquillement cet avorton. Mais son putain de coup de marteau m’a cueilli à froid et j’ai pas pu réagir. Je viens seulement de m’apercevoir qu’il a allumé la télé et qu’il a mis le son très fort. Si j’arrive bien à lire sur l’écran on est à la vingtième minute et on mène déjà 1-0. C’est bon ça, mais ça veut dire que j’ai été dans le coltar pendant une vingtaine de minutes, tu m’étonnes que j’ai mal.
Ensuite il m’a dit qu’il allait me faire une fleur et qu’il allait tout me raconter, comme ça je mourrai moins bête qu’il a ajouté. Finalement j’aurai préféré qu’il me raconte rien parce que pour le coup il m’a fait fouetter. J’ai compris que j’allai en chier pendant un bon moment et qu’il n’y aurait pas d’issue autre que la mort.
Sa femme a été violée par son patron, depuis elle est complètement renfermée sur elle-même, elle ne sort plus de chez elle, elle ne parle presque plus. Elle refuse qu’on la regarde et encore moins qu’on la touche et lui ça le rend fou. Elle n’a pas voulu qu’on la prenne en charge dans un service spécialisé et personne ne peut l’y obliger. Elle a porté plainte, mais elle n’a jamais pu prouver que c’était un viol. Toutes les nanas qui ont bossé pour lui ont dit que c’était un sacré séducteur, qu’il avait couché avec toutes, mais qu’il n’avait jamais usé de violence ni de menaces. Y’en a même une ou deux qui ont reconnu qu’il avait essayé avec elles, qu’elles avaient refusé et que c’était pas allé plus loin. Son avocat a été bon sur le coup et le juge a dit qu’il n’y avait aucune preuve et que le bénéfice du doute devait profiter à l’accusé. Alors il a été remis en liberté ce salaud. Elle ne s’est jamais remise de ça et le jugement a fini de la détruire complètement. En plus, elle a fait l’erreur de lui envoyer un texto juste après le viol en disant seulement « maintenant tu vas payer ». C’était pas malin et l’avocat en a profité pour dire qu’elle essayait peut être de le faire chanter. C’est après le texto qu’elle a porté plainte. Depuis elle ne tient qu’avec des médicaments qui l’abrutissent complètement. Elle passe ses journées à dormir et à pleurer. « Je suis le seul à la croire, je sais qu’elle ne ment pas, mais elle a subi le viol et elle est détruite alors que la salaud de pourri qui a fait ça se balade en ville. »
A la fin de son histoire il m’a dit que c’était le patron qu’il voulait buter, mais qu’il voulait pas aller en taule pour ça. « Alors j’ai eu l’idée du sérial killer, je vais descendre trois ou quatre gars comme toi, de la même manière et lui ce sera le cinquième. Les flics ne penseront pas à un règlement de compte, ils le rangeront dans la catégorie des victimes du serial killer. » Alors comme il faut bien commencer, c’est sur moi que c’est tombé, parce que j’habite à côté du jardin du Prolé et parce que c’est la finale de la coupe du monde et qu’il va y avoir du bruit. Il a précisé, tu te rends compte, la Belgique aurait gagné il ne te serait rien arrivé. Et il a ajouté : « et pourtant t’étais content hein abruti de footeux. » Non mais quelle merde, comment c’est possible ça, j’y crois pas.
Puis d’un seul coup, y’a plus de bruit dans la cour, les croates viennent d’égaliser. Ça fout ses plans en l’air, si c’est le silence il va pas pouvoir continuer. Je vais peut-être rester en vie juste si la France perd. Pourvu qu’on perde, …la peur de mourir et de souffrir ça fait voir les choses autrement. Je me souviens qu’un jour j’ai dit que je voulais bien crever après avoir vu la France championne du monde. C’est complètement con comme idée. Je vois bien qu’il avait pas prévu ça, ça l’emmerde. « Bon je vais commencer à préparer tranquillement mon matériel, j’ai confiance en eux » qu’il a cru bon de dire. Je l’ai vu sortir une grosse bouteille remplie d’eau. Enfin ça m’étonnerait que ce soit de l’eau, mais ça y ressemble beaucoup. Il y a un bouchon de liège sur le goulot et un petit tuyau passe au travers, comme pour faire une perfusion. Après il est parti dans la cuisine, et il est revenu avec un seau rempli d’eau. Là je suis certain que c’est de l’eau, j’ai entendu couler le robinet. Ensuite il a sorti un cutter de sa poche et il s’est mis à découper mon pantalon et mon slip, très délicatement, j’ai pas une égratignure. Je me suis retrouvé à moitié à poil sur la chaise, juste un T shirt sur les épaules. Et puis là, une grande clameur dans le jardin, j’ai regardé la télé, un pénalty pour nous… Putain ce con il a marqué, je vous dis pas la fête chez les copains d‘en bas. Il a eu l’air satisfait, il me l’a dit, « c’est bien la première fois que je suis content de voir la France marquer, d’habitude je m’en fous royalement. »
Bon maintenant on va passer aux choses sérieuses qu’il a dit, faut battre le fer tant qu’il est chaud. Il a incliné la chaise en arrière, j’étais comme allongé et il a sorti de sa poche une petite bouteille d’essence pour briquet et il m’en a aspergé les couilles copieusement. Ensuite il m’a dit « ça risque d’ être un peu chaud » et il a craqué une allumette. Là j’ai vu le feu de développer autour de mes couilles et de ma bite. La douleur a été quasiment instantanée et je peux vous garantir que ça fait vachement mal. Pendant ce temps-là il trempait un torchon dans l’eau et arrosait mon ventre et mes cuisses pour que le feu ne s’étende pas. Mes poils étaient partis en premier et maintenant je voyais les chairs qui brulaient. Le bâillon m’interdisait de gueuler et j’étais tellement bien ligoté que je ne pouvais pas bouger. Au bout d’un moment qui m’a paru très long, il a éteint le feu en jetant le reste du seau d’eau. Ça ne brulait plus, mais la douleur ne s’est pas arrêtée pour autant, au contraire elle devenait de plus en plus violente. « Tu vois je parie que t’as plus mal à la tête » qu’il a dit. Ça sentait bien le cramé, mais pas au point d’alerter le voisinage. Je ne me suis pas évanoui et il m’en a remercié parce qu’il était pas sûr qu’on pouvait résister à ça très longtemps. « La prochaine fois j’essaierai de faire un peu plus long. T’inquiètes pas je vais m’améliorer et quand ce sera le tour de ce pourri, je serais au point et il saura ce que jouir veut dire. Lui, j’ai prévu de le faire trainer plusieurs jours. Tu vois normalement je voulais faire encore quelques petits trucs, couper un doigt, arracher des ongles, mais j’ai peur de pas avoir assez de temps aujourd’hui. Alors pour toi, je vais abréger. Non, non ne te méprends pas, tu vas mourir mais plus vite que les autres. Sois content, tu as une prime à la première. Ce ne sera pas le cas des autres. » Ensuite il a fait glisser la chaise jusqu’à mon lit et il l’a fait basculer sur les draps. J’avais le dos sur le lit et les jambes en l’air. Il a pris des sangles avec lesquelles il m’a attaché avec la chaise sur le lit. J’étais ficelé comme un rôti et je ne pouvais pas bouger du tout, même pas me faire rouler sur le côté. Il a enfilé la grosse bouteille dans une espèce de filet à patates et l’a accroché au plafond au dessus de moi, le goulot en bas. Il a bricolé pour faire ce qu’il voulait, elle n’était jamais au bon endroit. Le tuyau faisait comme un goutte à goutte. Sauf que la goutte qui tombait c’était pas de l’eau, mais un acide qu’il m’a dit. J’ai pas retenu le nom, faut dire que je commence à être dans les vapes. Quand il a réussi à bien caler tout son matériel, la goutte tombait pile poil dans mon nombril. Je ne sais pas ce que c’est comme acide, mais c’est du bon. Chaque goutte qui tombe m’inflige une brulure de plus en plus forte. Puis surtout je sais que la prochaine goutte va venir dans huit secondes exactement, j’ai eu le temps de compter. C’est insupportable, physiquement et moralement. Il m’a dit que la bouteille faisait trois litres et que normalement avant la fin du premier litre, la peau de mon ventre devrait être totalement dissoute et que ça irait beaucoup plus vite pour les intestins. La seule chose dont il fallait que je sois conscient c’est que j’allais mourir en souffrant. Il avait presque l’air désolé que ça tombe sur moi, parce que je lui semblais être un garçon sympathique et attachant. Mais aussi, pourquoi est-ce que j’aimais le foot. « Il fait beau aujourd’hui, t’aurais d�� aller à la plage. T’en aurais profité, mais comme un imbécile t’as voulu voir le match de foot ». Il a même dit que « c’est d’autant plus con que je ne sais même pas si tu aimes vraiment ça, tu n’as pratiquement pas regardé la télé et pourtant maintenant on mène 4 à 1. Autant dire que c’est plié. On est champion du monde, c’est bien hein. Tu vas fêter ça ? », a-t-il cru bon d’ajouter en rigolant. Maintenant les gouttes d’acide débordaient de mon nombril et s’écoulaient sur mon ventre, me faisant endurer l’horreur de la douleur insoutenable.
« Tu ne m’en voudras pas si je ne reste pas avec toi jusqu’à la fin du match, je n’aime pas le football. » Il a rangé le matériel dont il n’avait plus besoin, a éteint la télé et est parti en me faisant un petit clin d’œil, presque comme si on avait été complice d’une bonne farce. J’étais sur mon lit, incapable de parler, de crier, de bouger. Tout mon corps n’était plus qu’une douleur immense, ma tête, mon sexe, mon ventre se disputaient tour à tour la première place sur l’échelle de mon calvaire. Putain mais j’ai rien fait moi, je voulais juste regarder un match de foot avec des copains. J’ai rien à voir moi avec son histoire de vengeance… Putain de merde, j’ai mal, qu’est ce qui m’est arrivé, j’ai très mal. Pourquoi moi, je me sens pas bien du tout, c’est pas normal, je…..
Lundi 16 juillet 2018.
Après le grand titre sur les Champions du monde, le quotidien régional racontait la liesse dans les rues de la ville, sauf dans la rue porte de France, derrière le Prolé. Un automobiliste a fauché un homme qui sortait précipitamment d’un immeuble. L’homme tenait un lourd marteau dans les mains. Sous le choc ce marteau a été projeté en hauteur et est retombé sur la tête du malheureux qui n’a pas survécu à ses blessures.
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Rhapsodies solistes, hommages à Céline Dion et épluchures de patates.
Bonjour, je démarre ce carnet de bord sans savoir si l'on me lira. Mais je ressens le besoin de donner des petits corps tapuscrits à la détresse et au désenchantement du monde. Je sais que je peux écrire les émotions pour celles et ceux qui n'ont pas de mots. Aussi loin que je remonte j'ai toujours eu ce cœur et cette générosité débordante, pas que dans mon pantalon. Pendant que je confine, je m'efforce de réfléchir, de prendre de la distance, de romantiser sur le sens intrinsèque de mon existence à l'échelle mortelle et mondiale et mondialement mortelle et viralement mondialement mortelle. Mon existence saisie entre des temporalités existentielles impalpables que sont l'être et le néant (…) L'heure est grave à 18h14. Ah je se meurs. Je se ploie sous les raisins des raisons de la colère en colère. Je se sens les apothéoses (elles sont nombreuses, légions, furies etcétéra) de la souffrance pousser, pousser à l'intérieur de mes artères, tu sais, regardes-moi comme je le porte bien le monde en ce sein caché que tu ne sauras voir, même s'il est plat comme un œuf ce sein qui porte ce monde souffreteux et cyanosé. J'irradie virginalement avec toute mon empathie si rare, spontanée et sincèrement fidèle. Je m'offre avec la pureté de cette pelleté de mots (que je crache à vaut-l'eau va-t-en à la cruche) à la passion de cette réalité de souffrances qui souffrent.
Au secours ! S'écriait le « Moi Sage à l'index tendu » dans des psalmodies auto-érotophiles incroyablement chiantes pendant que le « Moi Imbécile » regardait son index propre. Même moi ça m'emmerde ce que je viens d'écrire, j'en suis à bout de souffle tellement cette putain d'amorce redonde. À ma décharge, je suis enfermée avec des bouquins de Sartre et irrévocablement coupée de l'ensemble des parades contra-dépressives dont je m'entourloupe habituellement. Face à la clarté limpide et aux lapalissades, je se lève et insurge cet index qui va, je vous le dis, heurter frénétiquement azertyuiop (et les autres lettres de seconde et troisième zone). Je crois qu'à la compét' du meilleur humain, je suis ravie de perdre, d'abandonner les hypothétiques valeurs augmentées qui feraient traces au-delà du commun des mortels. S'il y a bien un fait notoire, un fait ontologique qui nous préexiste à tous, un fait inconditionnel, universel (sauf peut-être pour Elton Musk et Cher), c'est qu'on va toutes et tous mourir, crever, rendre l'âme, exulter dans un dernier râle sauvage, qu'il soit bruyant ou silencieux. On dégazera les vestiges de notre animalité, on n'évitera ni les fluides pestilentiels ni la décomposition nauséabonde de cette carcasse choyée dont le destin est d'être finalement et fatalement déshabitée. On sera évidés de nos valeureuses contributions. On sera estampillés par la faucheuse. Mais voilà, plutôt que de lutter, plutôt que de gaspiller mes illusions à gratter de l'immortalité slow-cost en potentialisant les tentatives de m'empreinter dans les mémoires, de résider ad vitam æternam dans cette multitude d'autres sans visages, je réfléchis à un vaste projet. Exister.
Exister : se dresser dans cette carcasse anecdotique à l'échelle de l'histoire.
Exister : transfuge aux lignages et aux héritages.
Exister : hermétique à la vanité.
Exister : résider dans la certitude de la mortalité.
Faut dire que c'est pas simple, c'est pas comme si c'était un truc qu'on nous avait appris ou transmis, il n'y a pas de traductions, pas de tutos et pas de télé-réalités. Toutes les techniques abrutissantes et béatifiantes de développement personnel sont des bordels imaginaires qui offrent bien du grain à moudre aux obsessionnels. Maîtriser ta vie c'est pas exister. On échoue à pleines échardes dans le bricolage de la joie manufacturée. On remplit, on comble à défaut d'exister. C'est à plaindre.
Moi Sage : - Qui es-tu toi ?
Moi Sage : - À quoi ressemble ton désir ?
Moi Sage : - T'es-tu déjà posé la question ?
Moi Imbécile : - Dessine-moi un mouton au lieu de me gonfler avec tes conneries de privilégiée. Je veux des chips, du coca et une paire de Vans.
Exister : un rapport à la primauté de notre intimité, des questions abyssales, des quêtes singulières et des points d'ancrages à variables multiples, des mouvements ambivalents qui s'échauffent les uns-aux-autres.
Moi Imbécile :- Avec des nouveaux seins, si on prenait le flasque de mes cuisses, là où ça fait des cratères de gras, là où ça continue de bouger tout seul quand je me déplace et qu'on la mettait dans mes seins, je serais meilleure pour exister.
Moi Sage :- Je n'ai pas fait de squats depuis 14 jours. Je n'ai pas lu d'articles dans lundi-matin depuis 5 jours, je ne me suis plus pavanée, drapée, vautrée, fièrement dans l'étendard de mes belles valeurs depuis 163 jours. Je n'ai pas suffisamment bien travaillé à mon existence.
Moi Imbécile : - Je suis Raoult, je suis chloroquine.
Ce matin, parce que c'était ce matin, je me suis réveillée fatiguée de la fétichisation du tragique et de ce fanatisme bruyant dans lesquels nous sommes actuellement ensevelis, parce que l'ordre drastique des choses établi a été bazardé, suspendu, bien uppercuté sous l'effet d'un impérieux rappel biologique : la vie n'est pas immuable et elle pèse sacrément dans le GAME. J'ai pris le soleil avec le besoin bienveillant de caresser à rebrousse-poils mon obsessionnalité, j'ai pris le soleil avec la curieuse envie d'une évasion, ni à carrefour, ni au Mexique, j'ai pris le soleil et un magistral coup de soleil sur le front avec l'avidité d'exister. Je n'ai pas besoin d'expériences ordaliques, j'ai juste besoin de me reconnaître dans une existence où j'habiterais, d'exister confinée à l'intérieur de mon appartement mais aussi d'exister, dans quelques semaines quand j'aurais récupéré comme toi le droit de me confiner dehors, bien au chaud en terrasse avec mon coca et mes vans, d'exister dans une société très moche qui pue, qui pue beaucoup, qui pue tellement que l'odeur a asséché nos capacités olfactives.
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LA MERE DES ENFANTS PERDUS 15 heures 06. Le prof de fac, tu lui ressembles avec ta tête de b... Les universitaires vont-ils me répondre ? C’est supposé être de la science-fiction ; les enfants du maïs ; passé soixante-dix ans, tu dois passer un examen pour voir si tu es apte à vivre ; genre le truc nazi. Mais en même temps c’est son père. PURPLE BITCH PURPLE RAIN Bohemian Rhapsody il est pas si bien que ça. C’est le coup de feu. Il arrive en vélo ; il reste de la place dans la réserve ? Ouais, j’ai rattrapé le sujet. Mille nuances de gris. Je suis allé voir les Misérables et je rougie. Une femme aveugle ; de ouf ! Je te prendrai un p’tit café. Voiture qui brûle. Noircir des pages. Y a une deuxième session. Poursuite automobile. LES P’TITS TEIGNEUX NE S’RENDENT PAS Femme en feu dans un triangle rose. Joint les mains ; j’aimerais bien voir le film ; tout ce que je déteste sur le marché du travail et destrier à la place de trottinette. Je chevauche un poney fougueux et capricieux : sois indulgente : tout le monde est conscient ici des efforts que tu fournies. Tu peux dire ça à la banquière : j’suis dans le ROUGE mais j’suis très estimé. « On a créé plein d’trucs pour encaisser son prochain : des pilules roses et des coups d’pied retournés ». Goût saumon dans la cigarette. Discours néogauchiste. La crête. Réalité virtuelle ; il les a mais à un autre niveau. I.N.C.H
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