#Regarder C'est la vie
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moonsworndandelion · 2 months ago
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"Faut regardez devant vous!"
VIEUX CROUTON T'ES A 5M OUI JE LIS EN MARCHANT MAIS QU'EST-CE QUE TU M'EMMERDE
OCCUPE TOI DE TON CUL JME SERAIS PRIS UN POTEAU QUE ÇA AURAIT ÉTÉ MON PROBLÈME MAIS PLUS DE DIX ANS QUE JE FAIS ÇA ET ÇA M'EST JAMAIS ARRIVÉ
JT'AURAIS FONCÉ DEDAND JE DIS PAS MAIS T'ÉTAIS A 5 METRES
J'AVAIS MEME PAS BESOIN DE LEVER LA TÊTE POUR T'ESQUIVER
ALOTS TON TON PATERNALISTE DE "C'est-ce qui arrive quand on regarde pas où on va" TU PEUX TE LE CARRER BIEN AU FOND DU CUL
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mlm-blues · 1 year ago
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breaking down to the worst song ever
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le--fruitcake · 4 months ago
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Lilac, lollipop, tiger!
D'aww, thank you!! I should probably post more, but I believe in quality over quantity!
That's so sweet! I'd like to think we're already friends! I don't ask just anyone for music recommendations, you know :3
I can't help but wonder precisely what "dumb but gracious" means in this context... Are my puns awful, but well thought-out? Is it the sounds I make when startled, followed by my quick recovery like nothing happened? I don't suppose you've seen my physical humor, so that can't be it... I'm really glad you find me funny in any case!! I try my best.
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pourlemeilleur · 7 months ago
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plus le temps avance, et plus je me demande si Morgane n'est pas une âme soeur, si on a déjà été amie dans une autre vie... C'est une de mes plus belles Amitiés. C'est tellement un bonheur d'être juste moi-même, de rigoler sans cesse avec elle, de la voir sourire pour moi quand je lui raconte des choses, et puis l'entendre pleurer quand elle est triste pour moi, et puis répondre à ses questions que d'autres ne m'auraient jamais posé. C'est même plus une "simple" relation, c'est la famille, elle fait partie de ma famille. C'est tous les rôles d'une personne en un seul coeur... Y a vraiment une connexion entre nous, y a ce truc qui me fait comprendre que ça ne se terminera jamais. C'est fou de se dire que tout ça part d'un message tumblr...
merci Internet.
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kohakuhibiki · 1 year ago
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Des fois être dans police c'est comme vouloir être animatrice de talk shows d'après midi, mais finalement t'es dans police. Comme y'a du monde mal placé partout. Les gens y rushent. Donnez leur un break.
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lisaalmeida · 1 month ago
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J'ai appris que tu ne peux demander à personne de te le dire, parce que ce dont tu as besoin, tu ne peux le trouver qu'en toi, dans ton coeur.
J'ai appris que mendier l'amour de quelqu'un qui ne t'aime pas est mal, c'est une offense à ta dignité, et contribue à augmenter le vide que tu ressens à l'intérieur. J'ai appris que t'aimer toi-même est la seule chance de comprendre les autres, et que si tu ne t'aimes pas, tu ne peux vraiment aimer personne d'autre.
J'ai appris que si tu n'es pas heureux, si tu n'es pas vraiment heureux, tu ne peux pas allumer le sourire de personne. Et que si tu arrêtes de la suivre, le bonheur, elle arrête de te trouver. Parce que c'est toi, c'est toi ton bonheur.
J'ai appris que les choses vraiment importantes dans la vie ont toujours à voir avec nos rêves. Et que nos rêves sont toujours liés à l'amour.
J'ai appris qu'il y a des couchers de soleil merveilleux, ils ne sont pas tous Certains te couper le souffle, pour la magie qu'ils dégagent. Mais le coucher de soleil qui bat tout le monde est celui que tu regardes tout en tenant la main de la personne que tu aimes. Et j'ai appris que parfois la vie nous apprend que cette main, celle à serrer fort et ne jamais quitter, c'est ta propre main... et toi, toi... ne la quitte jamais !
#ilmioamoreperte. ❤
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ekadouble · 6 months ago
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Here is his story / Voici son histoire : 1: Ryan était un homme sportif et son corps le montrait. Il faisait du sport tous les jours et cela depuis son adolescence. Mais un jour, après avoir gagner une grande course de marathon, il décida de fêter cela en mangeant la bouffe qu'il s'interdisait mais qu'il aimait tant, la malbouffe. Il se mit dans une tenue confortable et commença son festin. /Ryan was an athletic man and his body showed it. He was doing sports every day since he was a teenager. But one day, after winning a big marathon race, he decides to celebrate by eating the food he forbade but loved so much, junk food. He changed into comfortable clothing and began his feast.
2: Cependant, le lendemain, il se sentit quelque peu plus paresseux et décida de prendre du repos et de ne pas faire du sport ce jour-là. C'est ce qu'il continua de faire les deux semaines suivantes. Il perdit de sa masse musculaire et devint plus gras ; mais il ne s'en rendait pas compte. Il préférait se prélasser devant la télé, et critiquer les différents sportifs sur leur niveau qui était selon lui déplorable. / However, the next day he felt somewhat lazier and decided to take some rest and not exercise that day. This is what he continued to do for the next two weeks. And he became softer ; but he didn't realize his body changed. He preferred to relax in front of the TV, and criticize the various athletes on their level which was, according to him, deplorable.
3: Cela faisait cinq mois qu'il avait pris sa "pause". Et il avait continué de grossir. Il continuait à dévorer une quantité toujours plus importante de malbouffe ; il passait ses journées sur son canapé à se prélasser dans son corps désormais bien gras, à regarder la télé et à jouer à des jeux vidéos. Pour lui, sa vie était devenu paradis. Et quand le matin, il se levait et qu'il passait devant le miroir dans le couloir de sa maison ; et qu'il constatait ce ventre bien gras qui tremblait à chacun de ses pas, ces poignées d'amour, ces jambes plus potelées et ses fesses plus énormes que jamais et qui dévoilaient, avec grâce, toute leur grasse splendeur lorsqu'il s'abaissait. Il se rendit compte que tout cela était sien et il caressait alors son corps graisseux et se disait qu'il était devenu plus beau gosse que jamais. / It had been five months since he took some “rest”. And he continued to gain weight. He continued to devour an ever-increasing amount of junk food; he spent his days on his couch lounging in his now chubby body, watching TV and playing video games. For him, his life had become paradise. And when, in the morning, he got up and walked past the mirror in the hallway of his house; and that he noticed this very fat belly which trembled with each of his steps, these love handles, these legs chubbier and his buttocks more enormous than ever and which revealed all their fatty splendor when he was lowering. He realized that it was all his and he then caressed his fat body and said to himself that he had become more handsome than ever.
4: Les semaines et les mois passèrent, et il n'en finissait de s'engraisser, il dut même refaire sa garde-robes pour l'adapter à sa nouvelle grosseur. Il devenait pour lui de plus en plus pénible de se déplacer ; même changer de position sur le canapé et prendre sa sainte nourriture sur la table lui semblaient pénibles. Pourtant, il aimait tout de même cela, sentir son gras rouler et toucher les autres partir de son corps l'exciter. Il aimait par ailleurs jouer avec son ventre et ses pectoraux semblables désormais à des seins, sentir son gras se mouvoir sur lui était d'une véritable extase. Il admirait son ventre, ses poignées d'amour, ses bras et ses jambes devenir toujours plus gras alors qu'il se goinfrait. Certains soirs, il s'endormait sur son canapé, gras comme un porc et entouré d'emballages de pizzas ; le matin lorsqu'il se réveillait, son ventre débordant de ses vêtements, il ne pensait qu'à une chose, manger. Alors, il caressait son corps bien en forme, se demandant s'il voulait vraiment ; mais l'appel de la faim et du gras finissait toujours par l'emporter, et il devenait toujours plus gros. Et d'autres soirs encore, alors qu'il dormait, c'était l'appel d'une fringale nocturne qui le réveillait ; ainsi il se levait, et marcher faisant bouger son corps de toute sa grosseur vers le frigo, et il prit tout ce qu'il trouvait ; pots XXL de nutella, donuts, beignet, gâteau à la crème, caramel ou encore au chocolat rien ne lui résistait. Il devenait encore plus gros que jamais, son gras débordait de partout et ses vêtement devenaient trop serrés à nouveau. Il se sentait perdre le contrôle. / The weeks and months passed, and he continued to gain weight, he even had to redo his wardrobe to adapt it to his new size. It was becoming more and more difficult for him to move around; even changing positions on the sofa and taking his holy food from the table seemed painful to him. Yet he still loved it, feeling his fat rolling and touching others from his body excited him. He also loved playing with his stomach and his pectorals, which were now like breasts; feeling his fat moving on him was truly ecstatic. He admired his belly, his love handles, his arms and legs growing ever fatter as he stuffed himself. Some evenings, he fell asleep on his couch, as fat as a pig and surrounded by pizza wrappers; In the morning when he woke up, his stomach overflowing with his clothes, he only thought of one thing, eating. So he stroked her fit body, wondering if he really wanted to; but the call of hunger and fat always won out in the end, and he always got fatter. And still other evenings, while he was sleeping, it was the call of a nocturnal craving that woke him up; so he got up, and walked, moving his whole body towards the fridge, and he took everything he found; XXL pots of nutella, donuts, donuts, cream cake, caramel or even chocolate nothing could resist him. He was getting even bigger than ever, his fat was overflowing everywhere and his clothes were becoming too tight again. He felt himself losing control.
5: Plus de neufs mois avaient passé depuis son changement de vie. Il rigolait en pensant que son bébé ne devrait plus tarder. Thanksgiving, et le mois de décembre étaient passés et cela se remarqué sur son corps toujours plus gras. Lors des fêtes, il avait ignorer tous les commentaires désobligeants que ses proches lui eussent faites sur son nouveau physique ; il s'en contrefichait, il se sentait bien dans son corps c'était ce qui comptait le plus. Il savait qu'il pouvait avoir des complications de santé, mais il préférait s'y croire immuniser, et se concentrer sur le buffet. Maintenant, les soirs il n'allait plus se coucher dans son lit, il préfère le canapé, cela lui demandait moins d'effort. Maintenant, lorsqu'il devait se lever c'était pour aller chercher la nourriture qu'il venait de commander. Ce qu'il mangeait au début de son nouveau régime en une journée, est maintenant ce qu'il consomme en un repas, l'un de ses neuf repas de la journée. Toujours plus énorme, il sentait ses vêtements le serrer de nouveau, mais il avait la flemme d'en commander de nouveaux. Ce n'est que quand ses joggings se déchirèrent laissant apparent l'énormité de ses jambes et que ses hauts trop petits et trop moulants, laissaient visible son ventre si gras et rond qu'il rivaliserait avec la grosseur des plus gros sumos ; qu'il décida finalement à se commander de nouveaux vêtements en même que cinq gâteaux à cinq étages. / More than nine months had passed since his change of life. He laughed, thinking that his baby shouldn't be long. Thanksgiving and December had passed and it was noticeable on his ever fatter body. During the parties, he had ignored all the derogatory comments that those close to him had made to him about his new physique; he didn't care, he felt good in his body that was what mattered the most. He knew he could have health complications, but he preferred to believe he was immune to them, and concentrate on the buffet. Now, in the evenings he no longer goes to bed in his bed, he prefers the sofa, it required less effort. Now, when he had to get up it was to go get the food he had just ordered. What he ate at the start of his new diet in a day is now what he consumes in a meal, one of his nine meals a day. Ever more enormous, he felt his clothes tightening again, but he was too lazy to order new ones. It was only when his jogging pants were torn, revealing the enormity of his legs and his tops, which were too small and too tight, left visible his belly, so fat and round that it would rival the size of the largest sumo wrestlers; that he finally decided to order new clothes as well as five five-tier cakes.
6: Ryan était vraiment obèse, il ne savait s'il voulait en venir là. Tout lui semblait plus compliquer et il ne savait plus trop s'il aimait son corps qui était devenu vraiment énorme. Ce qu'il savait néanmoins, ce qu'il n'arriverait pas à faire machine arrière, il n'en aurait pas la force. Il se condamnait ainsi à devnir toujours plus gros, et à se goinfrer, mais ça il aimait se goinfrer. / Ryan was really obese, he didn't know if he wanted to come to that. Everything seemed more complicated to him and he no longer really knew if he liked his body which had become truly enormous. What he knew, however, was that he would not be able to turn back, he would not have the strength. He thus condemned himself to becoming ever fatter, and to stuffing himself, but he liked to stuff himself.
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watisthisifnotthat · 1 month ago
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Lilith in the 2nd House. Lilith in Taurus.
Everybody should read about this Earth placement. Literally relates to us all. Long post 💕📫
- Quickest shoutout in the post, tagged -
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@nayatarot777 is one of the top posts for Lilith in the 2ndH/Taurus. For good reason. They're one of the only posts that actually condense the experience outside of perceptions based on materialism instead of comfort.
Instead of shallowness, there's an authentic view of stability. Growth, development and prosperity instead of exploitation.
This placement manifests itself pretty early in life and prevails it's affects rather and furthermore. The fundaments of the house of Taurus unfold from harvest, spring and the employment of sustainability.
In a world where the nutrition of a person requires health and well-being, to prevail in the BALANCE of these priorities can be resisted against to the point of antagonisation depending on one's own personal coodinance for health and well-being.
Based on environmental climates, economical climates and the means of cultivation this is where we see what the Lilith in 2nd/Taurus projects and is projected against.
Down to puberty and how a women's body develops. The relationship with family and outsiders placing boundaries on their expression of DRESSING due to sexist expectations for modesty and conservatism. Or their modernity and freedom of external expression used against them to EXPECT sexuality or promiscuity.
The presence and accumulations of projections, expectations and frustrations can lead to internalisation if other placements or factors of upbringing didn't sustain a healthy sense of authentic self-esteem. They can be influenced to place themselves within their own discomfort for a limiting and dysfunctional sense of safety and inclusion.
Perhaps not realising they are enabling the conditioning of somebody else's low regard of that person's own worth, self-care and self-love within themselves as the Lilith in 2nd/Taurus. Herein, they are projecting against themselves.
This placement embodies the natural process for all beings to live and thrive with ease and betterment. Chaos and negativity always arrive, yet the native person's inclination for grounding and self-fulfillment aren't broadly recognised as a formulation for endurance. With this placement, the native finds themselves as the springboard for the inequity of socioeconomic factors.
It is a touchy subject, a sensitive topic in which effects everybody. Yet when a native's own self belief aligns with their prospects and goals, a peacefulness and self-confidence will arise for who they are, helping them facilitate what they want to be and who they will be helping without intrusive and confining ideas for their OWN LIFE.
Taurus is an Earth Sign, ruled by the planet of all types love and money Venus. The 2nd house is our space, environment and materialsss. With respect, the native must cultivate these ideas without shame and with encouragement for themselves and to others. To question other people's shame for appointing such limitation to the society around us.
There is no greed in fulfilling yourself. There is no conflict in maintaining well-being, health and care. Why shouldn't we enjoy the fruits of our planet AND contribute back to our surroundings THRU our investments. We all make markets move, let us not create strife for basic needs, evolutionary pursuits of our sustenance and indulge harmonically.
To each their own! C'EST LA VIE. In whatever way, to be oppositional in the matters of this placement does not matter. Comme-ci, comme-ca! Let live and let go, be respectful. Love, love, love yourself. ❤️
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coovieilledentelle · 26 days ago
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"Une femme n'aimera jamais son ombre, elle aimera son soleil.
Elle aimera celui qui lui donnera de la lumière, qui la réchauffera si elle en a besoin.
Celui qui lui fera regarder le ciel, jamais celui qui la forcera à baisser la tête, car une femme, le soleil, elle le porte en elle.
C'est une de ces choses qu’il ne faut pas ignorer.
Le soleil, c'est la vie. Une femme le sait.
Une femme a besoin de vivre.
Une femme regarde la lune la nuit, parce qu'il y a la lumière du soleil en elle. Parce que la lune lui ressemble.
Et la lune, seulement la lune, peut comprendre une femme..."
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willcmsv · 4 months ago
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
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The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au début de l’année et aviez été associé à plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire évoluer votre relation au fur et à mesure. Cependant, après avoir été moqué lorsque tu as avoué des sentiments à un garçon, tu as décidé de les garder pour toi et de ne plus faire transparaître des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais découvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hésitez pas à me recommander des idées de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le début de l’année, Alain et toi vous échangez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dépendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empêches de déraper et tu le défends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces dernières semaines, Joseph ne peut s’empêcher de vous taquiner en rappelant comment vous êtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela était un jeu. Mais Joseph était comme ça. Tout était drôle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres à la maison les week-ends, tu as le droit à l'interrogatoire privé de ton frère Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu étais et resteras toujours sa petite sœur qu'il doit chérir et protéger. Il a arrêté de te voir grandir à l'âge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde où tu déposas ton pied à l'intérieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelé plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu étais assez grande pour avoir un copain, mais il était têtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent…" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
Après ton échange avec ton frère, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'écriture de l'expéditeur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empêcher de sourire à chacune de ses lettres, à chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu réfléchissais à ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se présentaient à toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-être perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-être un grand mot.
Le lundi matin, après avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tôt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans même te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, même si ce n'était pas réjouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutôt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"Même si le lycée ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me présenter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une révérence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complètement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lèvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grâce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses à son sujet et des choses qui pourraient t’intéresser-" Joseph s’arrêta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph…" Alain lança un coup d’œil confus à Joseph. "On peut déjà se préparer à aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embête, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu déclares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journée, tu ne pouvais t’empêcher de jeter de nombreux coups d’œil à Alain qui paraissait tellement concentré sur le cours. Tu étais aussi concentrée sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard était maintenant tourné vers toi.
Ses yeux bleus étaient encrés sur toi. Il ne bougea même pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez près l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mètres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher côte à côte. Il ne put s’empêcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph était-il toujours obligé d’être avec toi alors qu’il rêvait seulement d’être à sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science à terminer, un travail qui t’obligeait à travailler pendant une durée indéfinie avec lui. Tu te réjouissais déjà d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutôt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a…" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intéresse pas." Tu t’empressas de répondre.
Alain lança un coup d’œil à son cahier sans dire un mot, comme si ta réponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mâchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixèrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lèvres avant de remonter à tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dévoilait tellement plus.
Tes battements de cœur s’accélèrent et tes lèvres te démangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cœur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lâcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de manière espiègle comme s'il avait fait ça exprès. Et tu étais sûre que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frôlant légèrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu déclares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intéressée ?" Un sourire narquois apparut sur les lèvres de Joseph.
***
L'après-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici à cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légèrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lèvres se pincèrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi… Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximité entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cœur et de sentir son regard sur toi pendant que tu désinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à côté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frôler légèrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lèvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il était devenu de plus en plus compliqué pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois où tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, après la fin des cours, Alain t’avait invité pour faire un tour en ville. Au début, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gênantes, et l’ambiance était presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier…"
Alain tourna sa tête, presque étonné que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il répondit brièvement.
Tu te mordais les lèvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir à t'embêter, je le remarque très bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrêter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrête, ou je vais m’en occuper moi-même."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empêcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser légèrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-être que la situation dégénère ou se finisse autrement que prévu, soit tu prenais ton courage à deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de désir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois… pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois…" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et à mesure que vous avancez, jusqu'à ce que vos mains se frôlèrent à plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisèrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrêta soudainement, ce qui mena à ton arrêt à toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levèrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une réponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers tes lèvres. Cependant, cette fois-ci, il ne détourna pas le regard. Malgré l’hésitation, il posa enfin ses lèvres sur les tiennes et tu répondis immédiatement au baiser. Ses lèvres douces s’appuyèrent contre les tiennes et bougeaient à la même allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardèrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensé faire ça ici… mais c’est même mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les émotions et atteins à nouveau ses lèvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en même temps que ses lèvres s’enfoncèrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accélérer doucement.
Tu sentis ses lèvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lèvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir était que du côté d'Alain, des tonnes d'émotions et de sensations envahissaient également son corps et faisait palpiter son cœur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
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faeriekit · 1 month ago
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Regarding health and hybrids: I have so many questions!! This is amazing! Like, will JL dark ever play a role in this? Or would that be to easy? Since Constantine and co could maybe understand ghostspeak or at least clock Danny as undead? What about Jason? Does Danny have a secondary protection obsession, and will that make it impossible to stay out of heroing for good? He's already friends with young justice. Or, if not, could we have an epilog we're the whole JL shows up to Danny's collage graduation, with Diana as his legal guardian? All of them happy crying, look at our son, the normal one, this is the greatest day! He doesn't need to breathe NASA, what are you waiting for!
I'm glad you have questions!!
At this exact moment, there's no reason for the JLD to specifically get called in on Danny's case; when it comes to resource allocation, every "Superhero" probably has a pretty tight schedule. They do all the heavy lifting and have specialized skills to tackle specific world-ending threats and can't be overworked, and are probably constantly healing/calling in for professional or private time/turning evil/etc, which means that their time for addressing non-critical issues is super limited. With no obvious supernatural component to the recovery of an 'alien' teenager, the focus is going to be getting time in with other extraterrestrial personnel, rather than magical/supernatural. Danny's not a critical issue. He's not murdering anyone and he's not a security risk. He's just a teenager, who needs help. They can absolutely help with that.
What this means though is Diana, basically, is doing extra overtime on top of two jobs. This only works because she is immortal. Damn, ma'am.
...And, of course, JLD presence or lack thereof may change as more details come out, of course. 👀 But! At the moment, there's no reason to doubt that this kid is anything but a more standard half-human who needs help.
Jason is currently doing crime on earth! He's got no reason to run into Danny at the moment, haha, considering that he's hanging out on the Watchtower and can't move, but like I said, if details end up changing... 👀
I decided against making Danny have an official "obsession" other than space, purely because Danny doesn't have an interest in protection: he's literally just traumatized. That's a normal human brain function. Danny's obsession with Space is based on who he was as a living person, with his spirit of exploration being part of the reason he died; as a ghost, willpower and motivation come from who he was, not who he is, and Danny's combat-related trauma is very, very recent, and very situationally dependent. You know. 'Cause his parents blew open a door between worlds in his basement that lets people who hurt him through. (Womp womp.)
I have a plan for the future ending of the fic!! 😉 You'll have to wait until we get there, though...this was originally going to be an eight-chapter sort of fic and now it's somehow the most complicated thing I'm currently publishing lol. Whoopsie. C'est la vie. Depending on how his long-term hand recovery goes, Danny's going to limited in some ways more than others...but hey, who knows what that'll do to his future job prospects? Not me! They keep making ergonomic and low-mobility tech equipment like keyboards and mouses that boggle my mind design-wise, so who knows how that would play out in the future, and in the high-tech space of DC...!
...But that's neither here nor there, haha! Thank you for taking an interest in the fic, and I hope this answered the most burning questions you've got!
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sloubs · 2 months ago
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hier soir en rentrant chez moi j'ai vu sur mon rideau une araignée de la taille de ma MAIN, d'habitude j'ai pas peur des araignées mais là vraiment c'était impossible pour moi de la toucher, et impossible de rester dormir dans la même pièce que ce monstre
et comme il était 21h30, j'ai eu beau appeler ma mère elle allait pas faire le déplacement juste pour une araignée aussi balèze soit-elle, donc mon seul recours était le suivant : mon voisin de palier
j'suis allée toquer chez lui en panique, j'me suis même pas présentée ni rien juste je lui ai demandé s'il avait peur des araignées, il m'a répondu "pas du tout 😎" et il est venu m'aider à la dégager, il l'a chopé à la main avec juste un bout de sopalin et zou à la poubelle
et là c'est pas ce soir je rentre chez moi, en bas de l'immeuble j'entends le générique de kaamelott à FOND ? j'entends la voix d'astier et perceval résonner dans l'allée, je lève la tête. ça venait de chez lui. non seulement le mec m'a sauvé la vie mais en plus il regarde kaamelott.....j'crois que j'ai trouvé mon âme sœur les gars
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mrsines · 19 days ago
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C’est à moi.
À la demande de @sayresse17 j’espère que ça va le faire 👀
23« Est-ce ma chemise ? »
Lilia X reader
Reader était une jeune orpheline de 25 ans, marquée par des années de vie en famille d'accueil. Elle avait toujours rêvé d'une vie stable, mais chaque nouvelle maison ne faisait qu'accentuer son sentiment d'instabilité. Aujourd'hui, elle avait décidé de fuir ses parents adoptifs, ne supportant plus leur indifférence.
Elle avait trouvé un petit travail dans la boutique de Lilia, Lilia avait tout de suite remarqué la douceur et la détermination de Reader. Avec le temps, un lien s'était tissé entre elles, si bien que Lilia avait proposé à Reader de s'installer dans sa chambre d’amie.
Cela faisait maintenant quelques mois que les deux femmes cohabitaient. Leur quotidien était rythmé par des rires, des discussions autour d'un café, et des soirées passées à lire ensemble. Reader se sentait enfin chez elle, entourée de chaleur et de compréhension. Pourtant, au fil des jours, un sentiment troublant commençait à s'installer en elle. Plus elle passait de temps avec Lilia, plus elle réalisait qu'elle l'aimait d'une manière qu'elle ne pouvait pas contrôler.
Reader se surprenait à la regarder plus longtemps, à apprécier chaque geste, chaque sourire de Lilia. Elle se sentait coupable de ces pensées, consciente que ce lien affectif pouvait être dangereux. "Je ne devrais pas ressentir ça," se répétait-elle en silence, mais son cœur avait déjà pris le dessus sur sa raison. Les moments passés ensemble, les éclats de rire partagés, tout cela la rapprochait d'une affection qu'elle n'avait jamais connue auparavant.
Reader avait enfin terminé de faire le ménage dans la maison, un sentiment de satisfaction l'envahissant. Elle se dirigea vers la salle de bain, impatiente de se plonger dans une bonne douche bien chaude. L'eau chaude coula sur sa peau, apaisant toutes les tensions accumulées de la journée. Elle ferma les yeux, profitant de chaque goutte, laissant la vapeur envelopper la pièce.
Après un moment de pur bonheur, Reader sortit de la baignoire, se sentant rafraîchie et revigorée. Elle s'enroula dans une serviette douce, absorbant l'humidité de sa peau. Une fois sèche, elle se mit à chercher ses vêtements, le cœur léger. Elle commença à enfiler son pantalon, soudain, un frisson de surprise la parcourut
. "Oh non, j'ai oublié de prendre un haut !" s'exclama-t-elle, réalisant qu'elle était restée là, à moitié vêtue, sans rien pour couvrir son buste.
Reader se sentit soudainement prise au dépourvu. Elle ne pouvait pas sortir ainsi, et la panique s'installa un instant. Ses yeux parcoururent la salle de bain, cherchant désespérément une solution. C'est alors qu'elle aperçut une chemise de Lilia accrochée au porte-manteau. "C'est mieux que rien", se dit-elle en l'enfilant rapidement, se sentant un peu plus à l'aise.
Elle attacha rapidement ses cheveux en un chignon désordonné, essayant de donner une impression de calme avant de sortir de la salle de bain. En marchant dans le couloir, elle espérait que personne ne la croiserait. Malheureusement, au moment où elle tournait le coin, Lilia apparut, surprise de la voir ainsi vêtue.
Reader se figea, le cœur battant. La gêne l'envahit, et elle ne savait pas quoi dire. Ses joues prirent une teinte rosée alors qu'elle cherchait des mots, mais rien ne venait. Elle se contenta de sourire timidement, espérant que Lilia ne poserait pas trop de questions sur sa tenue improvisée.
Lilia se tenait dans l'embrasure de la porte, un sourire malicieux sur le visage.
"Est-ce ma chemise ?" demanda-t-elle, un coin de sa bouche se relevant en un sourire espiègle, ses yeux pétillants de curiosité.
Reader, encore un peu gênée par la situation, baissa les yeux sur la chemise ample qui flottait autour d'elle.
"Eh bien, je… je l'ai empruntée sans vraiment demander," commença Reader, sa voix hésitante trahissant son embarras. Elle se gratta la nuque, cherchant les mots justes. "Je n'avais rien d'autre à mettre, et je me suis dit que ça pourrait faire l'affaire le temps que j’aille chercher quelque chose dans mon placard.."
Lilia, cependant, ne semblait pas se soucier de l'explication. Ses yeux parcouraient le corps de Reader avec une admiration inattendue. Elle se rapprocha lentement, ses pas légers sur le sol.
"Tu sais," dit-elle, son regard ancré dans celui de Reader, "je trouve que ça te va vraiment bien."
Reader sentit son cœur s'emballer sous le compliment, ses joues s'empourprant légèrement. "Tu penses vraiment ?" demanda-t-elle, surprise mais flattée.
"Absolument," affirma Lilia, un sourire sincère illuminant son visage. "Garde-la, elle te va bien. Tu devrais porter des chemises comme ça plus souvent."
Reader, touchée par la gentillesse de son amie, ne put s'empêcher de sourire. "Merci, Lilia. Je vais réfléchir à ta suggestion," répondit-elle, se sentant à la fois gênée et heureuse.
Lilia lui fit un clin d'œil complice avant de s'éloigner, laissant Reader avec une nouvelle confiance, réalisant que même les moments les plus embarrassants peuvent se transformer en compliments inattendus.
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1vidapoeticando · 2 months ago
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Eu sei... que muitos estão triste nesse momento, mas tudo na nossa vida tem um motivo e um propósito, se tem uma coisa que eu aprendi é não reclamar de mais nada e agradecer a Deus por minha vida e a oportunidade de estar aqui nesse mundo, não estamos aqui do nada, estamos aqui pra sermos instrumentos de Deus, e viver a vida da melhor forma possível, ajudando sempre a quem pudermos, críticas, sempre vai ter, sempre vão falar de nós, falatório não paga nossas contas, não devemos viver com o intuito de agradar ninguém, só a Deus e a nós mesmos, olhar com bons olhos foi oque Jesus nos ensinou, essa lição sempre carregarei na minha vida, eu sei de onde Deus me tirou e já sei o quanto devo ser grata a Deus por tudo e por pessoas especiais na minha vida, e agradeço sempre, muitos não sabem oque passamos, só sabem julgar e criticar, deixa pra lá, e vamos é viver a cada dia mais e melhor e agradar a Deus e ser feliz 😊 isso incomoda muita gente...
Lo sé... que muchos están tristes en estos momentos, pero todo en nuestras vidas tiene un por qué y un propósito, si hay algo que he aprendido es a no quejarme más de nada y agradecer a Dios por mi vida y la oportunidad. estar aquí En este mundo, no estamos aquí de la nada, estamos aquí para ser instrumentos de Dios, y vivir la vida de la mejor manera posible, ayudando siempre a quien podamos, críticas, siempre las habrá, siempre las habrá. hablar de nosotros, hablar no paga nuestras cuentas, no debemos vivir con la intención de agradar a nadie, solo a Dios y a nosotros mismos, mirar con buenos ojos es lo que Jesús nos enseñó, esta lección la llevaré siempre en mi vida, Se de donde me sacó Dios y ya sé lo mucho que debo ser. Estoy agradecida con Dios por todo y por las personas especiales en mi vida, y siempre estoy agradecida, muchos no saben por lo que hemos pasado. solo saben juzgar y criticar, dejenlo pasar, y vivamos cada dia mas y mejor y agrademos a Dios y seamos felices 😊 esto molesta a mucha gente....
I know... that many are sad right now, but everything in our lives has a reason and a purpose, if there's one thing I've learned, it's not to complain about anything anymore and to thank God for my life and the opportunity to be here In this world, we are not here out of nowhere, we are here to be instruments of God, and live life in the best possible way, always helping whoever we can, criticism, there will always be, there will always be talk about us, talk doesn't pay our bills, We shouldn't live with the intention of pleasing anyone, just God and ourselves, looking with good eyes is what Jesus taught us, this lesson I will always carry in my life, I know where God took me from and I already know how much I should be I'm grateful to God for everything and for special people in my life, and I'm always grateful, many don't know what we've been through, they only know how to judge and criticize, let it go, and let's live more and better every day and please God and be happy 😊 this bothers a lot of people.....
Je sais... que beaucoup sont tristes en ce moment, mais tout dans nos vies a une raison et un but, s'il y a une chose que j'ai apprise, c'est de ne plus me plaindre de rien et de remercier Dieu pour ma vie et l'opportunité. être ici Dans ce monde, nous ne sommes pas là de nulle part, nous sommes là pour être des instruments de Dieu et vivre la vie de la meilleure façon possible, en aidant toujours qui nous pouvons, la critique, il y en aura toujours, il y aura toujours parler de nous, parler ne paie pas nos factures, nous ne devrions pas vivre avec l'intention de plaire à qui que ce soit, juste à Dieu et à nous-mêmes, regarder avec de bons yeux est ce que Jésus nous a enseigné, cette leçon que je porterai toujours dans ma vie, je Je sais d'où Dieu m'a pris et je sais déjà à quel point je devrais l'être. Je suis reconnaissant envers Dieu pour tout et pour les personnes spéciales dans ma vie, et je suis toujours reconnaissant, beaucoup ne savent pas ce que nous avons vécu, ils ne savent que juger et critiquer, laisser tomber, vivre plus et mieux chaque jour et plaire à Dieu et être heureux 😊 cela dérange beaucoup de gens....
Lo so... che molti sono tristi in questo momento, ma tutto nella nostra vita ha una ragione e uno scopo, se c'è una cosa che ho imparato è a non lamentarci più di nulla e a ringraziare Dio per la mia vita e l'opportunità essere qui In questo mondo, non siamo qui dal nulla, siamo qui per essere strumenti di Dio, e vivere la vita nel miglior modo possibile, aiutando sempre chi possiamo, le critiche, ci saranno sempre, ci saranno sempre parlare di noi, parlare non ci paga le bollette, non dobbiamo vivere con l'intenzione di piacere a nessuno, solo a Dio e a noi stessi, guardare con occhi buoni è ciò che Gesù ci ha insegnato, questa lezione che porterò sempre nella mia vita, io so da dove Dio mi ha portato e so già quanto dovrei essere sono grato a Dio per tutto e per le persone speciali nella mia vita, e sono sempre grato, molti non sanno cosa abbiamo passato, sanno solo giudicare e criticare, lasciamo perdere, e viviamo ogni giorno di più e meglio e piacendo a Dio ed essere felici 😊 questo dà fastidio a molte persone....
أعلم... أن الكثيرين يشعرون بالحزن الآن، لكن كل شيء في حياتنا له سبب وهدف، إذا كان هناك شيء واحد تعلمته، فهو ألا أشتكي من أي شيء بعد الآن وأن أشكر الله على حياتي والفرصة التي أتيحت لي. أن نكون هنا في هذا العالم، لسنا هنا من العدم، نحن هنا لنكون أدوات لله، ونعيش الحياة بأفضل طريقة ممكنة، ونساعد دائمًا من نستطيع، النقد، سيكون هناك دائمًا، سيكون هناك دائمًا تحدث عنا، الكلام لا يسدد فواتيرنا، لا يجب أن نعيش بهدف إرضاء أحد، فقط الله وأنفسنا، النظر بعيون جيدة هو ما علمنا إياه يسوع، هذا الدرس الذي سأحمله دائمًا في حياتي، أنا أعرف من أين أخذني الله وأعلم بالفعل كم يجب أن أكون، أنا ممتن لله على كل شيء وللأشخاص المميزين في حياتي، وأنا ممتن دائمًا، فالكثيرون لا يعرفون ما مررنا به، يعرفون فقط كيف يحكمون وينتقدون، اترك الأمر، ولنعيش كل يوم أكثر وأفضل ونرضي الله ونسعد 😊 هذا يزعج الكثير من الناس
私は知っています...今、多くの人が悲しんでいることは知っていますが、私たちの人生にはすべて理由と目的があります。私が学んだことが一つあるとすれば、それはもう何も文句を言わないこと、そして私の人生と機会を神に感謝することですこの世界では、私たちはどこからともなくここにいるわけでは���りません、私たちは神の道具となるためにここにいます、そして可能な限り最善の方法で人生を送り、常にできる限りの人を助けます、批判、常に存在します、常に存在します私たちのことを話してください、話してもお金はかかりません、私たちは誰かを喜ばせるつもりで生きるべきではありません、ただ神と自分自身だけです、良い目で見ることはイエスが私たちに教えてくれたことです、この教訓は私が常に人生で持ち続けるでしょう、私は神が私をどこから連れて行ってくれたのか知っています、そして私がどれだけあるべきかすでに知っています 私はすべてのことと私の人生の特別な人たちに神に感謝しています、そして私はいつも感謝しています、多くの人は私たちが何を経験してきたのか知りません、彼らは判断し批判する方法しか知りません、それを手放して、毎日もっともっと良く生きて神を喜ばせて幸せになりましょう😊これは多くの人を悩ませています
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lisaalmeida · 4 months ago
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Sens-toi libre d'exprimer qui tu es vraiment. Sens-toi libre de t'affranchir du regard des autres. Sens-toi libre d'aller vers tes rêves. Sens-toi libre d'exprimer ce qui est en toi.
Tu es unique et tu es libre. Ne vis pas pour correspondre à ce que les autres attendent de toi, mais vis pour honorer ce souffle de vie en toi.
Tu es venu seul dans ce monde et tu repartiras seul. Alors, la responsabilité de ton bonheur est entre tes mains. N'attends personne pour te rendre heureux. Sois la source de ton propre bonheur. Ce que les autres t'apporteront sera un plus, mais pas une condition pour que tu sois heureux. Fais rayonner la lumière que tu as en toi. Ta lumière n'éteindra pas celle des autres. Tout comme la leur n'éteindra pas la tienne. C'est comme un champ de fleurs chaque fleur à son parfum, sa couleur et sa forme. Même si elles sont toutes des fleurs, chacune est unique.
Manifeste donc ton unicité. Et donne-toi juste le droit d'exister et d'être toi-même.
Doux papillon
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asimplearchivist · 7 months ago
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𝓢𝓪𝓭 𝓔𝓷𝓭𝓲𝓷𝓰
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𝐄���𝐓𝐑𝐘 𝐕 𝐨𝐟 𝐗𝐗𝐕
[𝓪𝓼𝓲𝓶𝓹𝓵𝓮𝓪𝓻𝓬𝓱𝓲𝓿𝓲𝓼𝓽'𝓼 𝓶𝓪𝓼𝓽𝓮𝓻𝓵𝓲𝓼𝓽] [ 𝐌𝐎𝐎𝐍 𝐊𝐍𝐈𝐆𝐇𝐓 𝐌𝐀𝐒𝐓𝐄𝐑𝐏𝐎𝐒𝐓 ] AO3 | SPOTIFY | PINTEREST summary ☾ ⤏ you and jake enjoy having movie nights, but he has the habit of spoiling the endings for you. this time is different, though. pairing(s) ☽ jake lockley/reader-centric | constellations!verse word count ☾ 1.9k a/n ☽ ⤏ my fifth entry for the moon knight bingo hosted by @juneknight and @spacecowboyhotch over at @moonknight-events. I will eventually crosspost this to the main fic for constellations on ao3 when it will best fit the chronological progression of the chapters. this takes place post-chapter iii. ⤏ this one derailed from me as well. I swear these guys have minds of their own. this ended up being a lot sappier than I intended, but...c'est la vie. I love one jake lockley. ☽ MASTERPOST ☾ ☾ PREVIOUS ENTRY ⤎ ☥ ⤏ NEXT ENTRY ☽
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“I’ll never forgive you for this.”
“Come on, querida. You should’ve had some idea that this would happen.”
“No, I absolutely did not!” You lifted your face from your hands, twisting to the side with your elbows still planted on your knees in order to glare up at your smirking fellow historical drama critic. “It’s not my fault that I don’t have a sixth sense for figuring out plot lines in the first ten minutes like you do!”
“Says the writer,” he chuckled, eyes glittering. “If it makes you feel any better, Steven wasn’t expecting it, either.”
That did, actually. You and Steven had long since developed the practice of conducting ongoing commentaries and speculations on the potential plotline based on the details revealed in whatever media you’d enjoy together—be it TV shows, movies, or books (print or audio)—whereas Jake was more the type to verbalize his predictions as they came to him, disregarding any suspension of disbelief. At least Marc only remarked on the glaring inaccuracies regarding combat, weapons, or injuries that Hollywood lauded for exaggerated effect.
On one hand, it used to drive you crazy—you preferred to experience things as they unfolded and let the story tell itself, following along for the ride…but, on the other hand, the knowing gleam in Jake’s eyes, the smug tilt of his close-lipped grin, and the way he’d start to pay more attention to you instead of the film (particularly with his hands—rubbing his palm over the line of your, at times, tense shoulders, grasping the nape of your neck and stroking the pad of his thumb along your hairline and under the shell of your ear, or petting your head like one would a beloved pet—about which you could never truly complain) eroded your exasperation over time. Now you almost looked forward to it—even if you still gave him a hard time about the inevitable spoilers involved.
Tonight, it would seem, however, that he’d decided to bide his time in order to see your unprepared reaction without dropping an obvious statement that would have indicated the plot twist to you ahead of time. For once, admittedly, you would’ve appreciated the warning.
“How could they say that about her?” you bemoaned, eyes returning to the screen with prolific lamentation. “She’s literally done nothing to them—she doesn’t even want to marry him, they didn’t have to drag her reputation through the mud!”
“I don’t know what to tell you, querida,” Jake chuckled, “it was visible from miles away.”
You huffed and turned away from him, refocusing your attention on the television screen. You watched the protagonist’s subsequent emotional breakdown with trepidation, frowning as she was scorned and criticized by the people that should have been her allies and had claimed to have been her friends. The only people that believed she was innocent in the matter were her sister and, fortunately, her love interest. He arrived late the next rainy night on a raven-black horse that shivered and bellowed mist from his nostrils as the man, drenched and pensive, dismounted to greet the distressed young woman at the door of her family’s home.
“Hey,” Jake murmured, nudging your side with his elbow. “It’ll turn out fine.”
You glanced up at him, relaxing slightly. You’d been teased in the past by several people for being so emotionally invested in fictional characters and their plight—your ex included—and while you weren’t ashamed of the fact you had the ability to extend so much empathy (even in hypothetical situations), you were sensitive to what others might think. Steven didn’t mind—he was much the same as you, honestly, and that was such a relief. Marc didn’t seem to mind one way or the other, thankfully. But Jake was a notorious tease and found a lot of joy in flustering you, and you were still getting used to gauging his personality since you hadn’t known him as long as the other two—so that he wasn’t poking fun at you about this was a monumental relief.
“I know,” you breathed, sinking into his side. He coiled his arm around your shoulders in response. “He’ll save the day with his money and marry her silly. These things never have sad endings.”
Jake hummed and drummed his fingertips on your upper arm. “It’s a good thing. Wouldn’t want you to be sad, chaparrita. Might have to pay that studio a stern visit otherwise.”
You rolled your eyes, but your heart squeezed at the sentiment—as aggressive as it was. There was one thing that you had learned for certain since meeting him: Jake showed his love through protectiveness as opposed to the gentler means of the other two men. You’d never want him to hurt someone for you, necessarily (unless they deserved it, of course), but the thought that he would be willing to go up to bat for you, that he had your back no matter what, was far more reassuring than you had ever expected it to be. (Something, something, scary guard dog privileges.)
“Some movies need them, though,” you pointed out. “Sometimes that’s the whole point of the story—something out of the characters’ control happens, and they have to decide how they’ll react. Other times it’s pointless, serves no greater purpose to enhance the plot.”
“Shit happens in real life for no reason, though,” Jake pointed out, voice low as the music onscreen swelled. The love interest was embracing the weeping protagonist, having informed her that he had, in fact, solved the issue. “Sometimes there’s nothing you can do about it.”
You nodded, dropping your head onto his shoulder. “Some people are fortunate enough to have happy endings, though,” you murmured. “It’s a dangerous thing to claim, because things could always go wrong, but…” You swallowed, tucking your nose under the lapel of his shirt. “...I’m glad I met you guys. It was worth everything I’ve gone through.”
Jake stilled, falling silent. You had also learned that such intimate proclamations tended to throw him for a loop—he was not accustomed to revealing his inner emotions, since he’d repressed them (and himself) for so long. He was getting better at communicating in general, thanks to Steven’s long-suffering patience and gentle coaxing, but you could tell anything ‘mushy’ made him slightly uncomfortable. (Having noticed this, you’d asked him early on if he wanted you to slow down on giving him affection—but he’d visibly recoiled at that suggestion, more demanding than asking you not to stop. You could only really speculate since he didn’t talk about it much, but you knew that if you were in his position, even if such attention was new, you’d be famished for it. You’d decided he was just embracing his adjustment period instead of avoiding it, like Marc had tended to do at first.)
He shifted, angling his body closer to yours, and tucked the end of his nose behind the shell of your ear. “...We’re glad we met you, too, querida,” he finally murmured, his free hand slipping down to curl around the knob of your knee. He pressed his face into your neck, and you wondered if he could feel your pounding pulse against his lips. “You’ve done us a whole lot of good.”
Chest tightening, you focused resolutely on the television despite the warring urge to arm him up and press a litany of kisses all over his face and head—any affection he felt comfortable doling out was precious indeed, and you would grant him the privacy of tucking himself out of sight, even if it was under your chin. Marc struggled the most with letting himself be seen as any semblance of vulnerable—and while Jake was more inclined and apt to it, he was still learning to trust you in particular, so allow himself to lower his guard and be himself with you (while, simultaneously, discovering and determining exactly who he was).
To receive a compliment of such caliber from Jake, though, was the highest bestowment of honor anyone could receive. He was picky, you’d learned, extremely so—especially regarding people with whom he associated. He had high standards, given the fact that his top priority had always been protecting the system first and foremost. Allowing anyone with dangerous intentions close enough to potentially hurt them was simply unacceptable, and thus he kept most everyone at arm’s length. That was why he’d acted in such a way towards you when he’d been forced to intervene for Marc’s sake, leading to your first ‘official’ meeting—he never gave anyone the benefit of a doubt until they proved themselves worthy of his extremely loyal regard (and his protection).
“I’m glad,” you responded softly. “I always try my best.”
“It’s all we could ever have asked for.”
You caved, but just slightly. You tilted your head down to press a lingering kiss to the crown of his head, nestling your nose into the neatly combed curls and inhaling the complimentary scents of their shampoo and hair gel. You curled an arm around his back and rubbed your palm in a series of circles between his shoulder blades, forgoing the movie for the sensation of his breath hitching against your throat.
“Thank you,” you whispered. “For letting me have my happy ending.”
He swallowed roughly, and when his muscles went rigid you almost expected one of the others to surface—Jake had a habit of retreating when emotions got to be too much for him, which you’d never taken offense to (only had ever worried, but it wasn’t usually very long before he slipped back into the driver’s seat to reassure you by diverting the topic to let you know he was okay)—but instead of Steven’s falsetto lilt or Marc’s flat baritone emerging to notify you of the switch, Jake’s rumbling rasp vibrated your skin via his scruffy lips brushing your artery. “It’s I who should be thanking you, chaparrita, for not running for the hills when you had the chance. You’ve…been there for them when I couldn’t be. And you didn’t…you stuck around for me.” He cleared his throat quietly. “Gracias.”
“De nada,” you returned, kissing his head again and reaching up to play with the errant locks at the nape of his neck. “Eres precioso a mi.”
He let out a breathless, if slightly wet, chuckle, and snuggled in closer. You counted it precious. You counted them precious.
“Tengo hambre,” you commented after a while, sensing he might like to have an out. “¿Qué tenemos qué podemos comer?”
Jake retracted, but it was slow and borderline reluctant, if you didn’t know any better. “Let’s order something, chaparrita. I don’t feel like futzing around in the kitchen this late.”
You smiled and reached for your phone. “Sounds good to me. Asian or…?”
“Thai.” To your surprise, Jake tugged at your arms as he reclined, coaxing you to recline on top of him, your back to his chest. He wrapped you up in an unyielding, tight embrace, smothering his face into your neck once more to mumble against your ear. “Those glass noodles Marc’s gotten before are good. With the chicken.”
You tried your best to bite back your smile, but you couldn’t help the heat building beneath your cheeks. You raised your phone over your face to pull up the corresponding delivery app. “Anything for you, handsome. Anything for you.”
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