#Premier Giuseppe

[stylestream]

Maddie Ziegler | Dundas Resort 2023 dress • Giuseppe Zanotti mules | Bullet Train Los Angeles Premiere | 2022

[sophs-style]

Farnoush Hamidian (wearing Georges Hobeika) at the 76th Cannes Film Festival closing ceremony and premiere of "Elemental" on Saturday (27th May 2023) in Cannes, France.

[infinitelytheheartexpands]

verdi pastiche operas at la monnaie de munt?

[primepaginequotidiani]

PRIMA PAGINA La Repubblica di Oggi martedì, 17 settembre 2024

[rachelzeglerstyle]

"Die Tribute Von Panem - The Ballad Of Songbirds & Snakes" Premiere In Berlin || November 5th, 2023.

Rachel Zegler wore the Alexander McQueen ‘Ghost Orchid Evening Dress’ ($9,800) and a pair of Giuseppe Zanotti ‘Bebe Platforms’ ($597).

She wore jewelry from Chopard including earrings, a bracelet and a ring (N/A) as well as the Ali Weiss Jewelry ‘Pave Diamond Snake Ring’ ($450) and carried the Alexander McQueen ‘Skull Four Ring Crystal-Embellished Clutch Bag’ ($3,590).

[taylorswiftstyle]

Eras Tour Film premiere | Los Angeles, CA | October 11, 2023

Oscar de la Renta 'Cutout Floral Gown' - $11,990.00 $5,995.00

In my predictions post for this premiere on the TSS Patreon I selected a different dress by Oscar de la Renta (a longtime favourite designer of Taylors) and noted that my ideal styling with said gown would be a "red lip and pinned faux bob with tons of bangles and chandelier diamond earrings ... for an old Hollywood glam feel."

Needless to say, I support and love this outing.

It's dramatic and ladylike while also honouring and extending the #1989Blue precedent she set during the final stages of the U.S. 2023 leg of the Eras Tour. Dressing to a colour palette is a perfect connector and reminder to bridge both the event at hand of the concert tour movie and her most pressing upcoming record with 1989 (Taylor's Version) set to release on October 27.

All in, this is a beautiful gown and perhaps one of her best appearances ever. The elegant styling (dainty rings and eye-popping matching diamond tennis necklace and bracelet) were the perfect choices. And maybe I'm just jealous that Taylor is someone who can pull off blue eyeshadow (any other brown eyed girls who were told that blue makeup would make your eyes pop and subsequently did not look like Taylor Swift when you tried a powder blue shadow look? anyone? just me?).

Designer Fernando Garcia also noted during the Resort 2023 collection's presentation that "cut-outs have become a go-to for our customer". The ones on this gown feel like an organic nod to the spliced crop tops that were signature to the original 1989 fashion run in 2014. But here, they're more organic and integrated into the design - a natural part of fully blossoming some might say. And if you missed the subtle cut-out nod, there's always the faux bob that might double take you into believing you were back in 2014/15 and also nods to the messy, slightly undone style seen on the 1989 TV cover.

As backstory, it should surprise no one that this particular collection happened to debut on June 13, 2022 at (where else) the New York Botanical Garden.

Worn with: Cartier necklace + Anabela Chan bracelets, Cartier studs + Cathy Waterman + Akillis + Anabela Chan rings, and Giuseppe Zanotti heels

[fashion-boots]

Anna Kendrick wearing vintage Gucci with thigh-high Giuseppe Zanotti boots. ‘Pitch Perfect 3’ Premiere 2017

[justforbooks]

Icône du cinéma français, Alain Delon s’est éteint ce dimanche 18 août, à 88 ans. De sa révélation sur le grand écran au début des années 1960 à son César du meilleur acteur, retour sur sa carrière en sept films emblématiques qui ont campé son style.

Il était l’un des acteurs qui a enregistré le plus d’entrées en France, totalisant plus de 136 millions de spectateurs avec l’ensemble des films qui l’ont mis en scène. Alain Delon est mort ce dimanche 18 août 2024, à l’âge de 88 ans, ont annoncé ses enfants. La star du grand écran a marqué le cinéma français de son empreinte avec 90 longs-métrages, qui ont façonné sa réputation de légende et son style caractéristique. En voici sept particulièrement marquants.

« Christine » (1958) : sa rencontre avec Romy Schneider Alain Delon n’a que 23 ans et a fait ses premiers pas au cinéma un an plus tôt, dans Quand la femme s’en mêle d’Yves Allégret, lorsque l’actrice allemande Romy Schneider le choisit sur photo pour tourner avec elle dans Christine, de Pierre-Gaspard Huit. Il y incarne le lieutenant Franz Lobheiner, amant d’une riche baronne autrichienne dont il veut rompre, qui tombe follement amoureux de la charmante Christine Weiring, jouée par la jeune star du cinéma qui n’a alors que 20 ans. La première rencontre entre les deux acteurs, à la descente de l’avion, deux mois plus tôt, n’était pourtant pas des plus concluantes. La barrière de la langue les sépare et le duo ne s’entend absolument pas. Ils finiront pourtant par tomber amoureux et former un couple connu comme « les plus beaux fiancés d’Europe ».

« Plein soleil » (1960) : la révélation d’un « jeune premier » Deux ans plus tard, Alain Delon est choisi par le réalisateur René Clément pour jouer dans une adaptation du roman Monsieur Ripley, de Patricia Highsmith. Alors qu’il devait jouer le deuxième rôle masculin, il parvient à convaincre l’équipe de réalisation qu’il serait plus adapté dans le costume du personnage principal, Tom Ripley, qui colle plus à son caractère un peu « voyou ». Avec ce rôle, Alain Delon se révèle sur le grand écran et pose les jalons de ce qui deviendra son style, charismatique et un peu rebelle. « Personne ne savait qui j’étais. Le film qui a fait le tour du monde, a été la base de ma carrière », avait d’ailleurs reconnu l’acteur.

« Le Guépard » (1963) : la palme d’or à Cannes Alain Delon y incarne Tancrède Falconeri, le neveu du prince Fabrice de Salina (Burt Lancaster) qui se lie d’amour avec une bourgeoise, Angelica Sedara (Claudia Cardinale), dans une Italie du milieu du XIXe siècle marquée par le déclin de l’aristocratie traditionnelle. Adapté du roman éponyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, cette fresque obtient la Palme d’or au Festival de Cannes en 1963 et devient un succès commercial et critique dès sa sortie. Alain Delon, au sommet de son élégance (moustache fine et raie sur le côté), y est l’incarnation de la noblesse. Le couple qu’il forme avec Claudia Cardinale entre dans l’histoire du cinéma. Le film comporte notamment une scène de bal devenue iconique, qui marque la victoire de la bourgeoisie sur la noblesse et où les trajectoires du trio principal trouvent leur aboutissement.

« Le Samouraï » (1967) : la consécration du « genre » Delon Cette première collaboration avec Jean-Pierre Melville donne l’un des chefs-d’œuvre de la filmographie de Delon, qui incarne le tueur solitaire Jef Costello. Fantomatique, inexpressif (son personnage n’a quasiment aucune réplique), obsédé par la maîtrise, avec son regard bleu froid, son imper et son chapeau : ce personnage est à la base du mythe Delon. L’esthétique de ce polar glacial influencera nombre d’autres cinéastes, dont John Woo ou Quentin Tarantino. La collaboration Delon-Melville accouchera d’un autre chef-d’œuvre, Le Cercle rouge (1970, avec Bourvil), avant Un flic (1972).

« La Piscine » (1969) : les retrouvailles avec Romy Schneider Mi-drame, mi-polar, ce film de Jacques Deray marque les retrouvailles entre Alain Delon et Romy Schneider, avec qui il a formé un couple mythique du cinéma français. Il n’y aura pas de retour de flamme entre eux mais la carrière de l’actrice allemande, alors en demi-teinte, redécolle. Plus de 3 millions de spectateurs plongent dans la piscine au-dessus de Saint-Tropez, fréquentée par le couple mais aussi par Maurice Ronet et Jane Birkin. Delon dira plus tard : « Ce film, je ne peux plus le regarder. Trop douloureux de revoir Romy et Maurice (morts en 1982 et 1983, N.D.L.R) rire aux éclats. »

« Borsalino » (1970) : son duo iconique avec Belmondo C’est encore grâce à Jacques Deray qu’Alain Delon connaît un vrai succès populaire avec Borsalino, où il forme un tandem iconique avec Jean-Paul Belmondo. Le film, histoire de deux jeunes voyous qui tentent de devenir les caïds de la pègre marseillaise, marque le point d’orgue du duo entre Delon et son rival, mais aussi ami. « Heureusement qu’il était là. Ni l’un ni l’autre n’aurait fait la même carrière sans l’autre. Il y avait une compétition mais aussi une sorte de stimulation entre nous. Ça m’aurait vraiment emmerdé qu’il ne soit pas là. Qu’est-ce que j’aurais foutu sans lui pendant cinquante ans ? » Le succès est au rendez-vous : le long métrage enregistre plus de 4,7 millions d’entrées et une suite, Borsalino and Co, sort au cinéma quatre ans plus tard.

« Notre histoire » (1984) : son seul César du meilleur acteur Malgré son immense carrière, Alain Delon n’a décroché qu’une seule fois le César du meilleur acteur obtenu en 1985 pour son rôle dans Notre histoire, de Bertrand Blier, sorti l’année précédente. Cette comédie dramatique, parfois absurde, parle de solitude et d’amour, autour de la rencontre dans un train, entre Robert, la quarantaine fatiguée, et une jeune femme désabusée, incarnée par Nathalie Baye. Le public ne suivra pas, mais la critique a majoritairement aimé ce film dans lequel Delon a pris des risques pour camper un personnage fragile, un ivrogne, bien loin de celui qu’il interprétait dans le Samouraï.

Alain Delon, qui avait commencé sa carrière à la fin des années 1950, était l’un des derniers monstres sacrés du cinéma français.

Né le 8 novembre 1935 à Sceaux (Hauts-de-Seine), Alain Delon fait ses débuts sur le grand écran à la fin des années 1950, dans Quand la femme s’en mêle, d’Yves Allégret.

Ces premiers pas au cinéma, il les doit à un « scout » qui les repère, lui et son charisme, lors d’un casting sauvage réalisé en marge du Festival de Cannes, à une époque où le jeune Alain Delon enchaîne les petits boulots. Quelques mois plus tôt, il était revenu d’Indochine, où il a servi dans la Marine, avant d’être renvoyé pour avoir, selon la légende, « emprunté » une jeep pour aller faire la fête. Un beau gosse un rien rebelle. Tout Delon est là, déjà.

Ce personnage de voyou magnifique, auquel sa nature semble le prédestiner, Alain Delon va l’étrenner, le perfectionner durant une bonne partie de sa carrière.

Très rapidement, on le verra ainsi incarner un tueur à gages dans Le Samouraï (1967), dans l’une de ses nombreuses collaborations avec Jean-Pierre Melville. Puis, dans Borsalino (1970), où il partage l’affiche avec son meilleur ennemi, Jean-Paul Belmondo, il prend les traits d’un éminent membre de la pègre marseillaise.

Toujours en 1970, dans Le Cercle rouge, il joue un autre bandit de classe, traqué par un Bourvil à contre-emploi. Mais, plus tard, les Français le verront passer de l’autre côté de l’insigne, dans Parole de flic ou Pour la peau d’un flic, film qu’il produira, comme une trentaine d’autres.

La rubrique des faits divers, celui qui ne cachera jamais ses attaches à droite la côtoiera également dans le civil. À la fin des années 1960, alors qu’il est au faîte de sa gloire, il sera ainsi entendu dans le cadre de la médiatique affaire Markovic, du nom de son ancien homme à tout faire yougoslave, retrouvé assassiné. La procédure, dans laquelle un ami d’Alain Delon, François Marcantoni, était le principal suspect, avait débouché sur un non-lieu pour preuves insuffisantes. Elle aura néanmoins perturbé le tournage du Clan des Siciliens, dans lequel il partage l’affiche Jean Gabin et Lino Ventura. Rien que ça.

Puis, au tournant des années 2023 et 2024, il sera l’objet d’une brouille entre ses enfants, Anouckha, Alain-Fabien et Anthony, sur fond d’héritage et de présence d’une « dame de compagnie », Hiromi Rollin. La découverte, quelques semaines plus tard, des dizaines d’armes que possède l’acteur dans sa résidence de Douchy (Loiret), finira d’alimenter une chronique qui aura quelque peu terni l’image de l’acteur.

Mais, entre-temps, Alain Delon aura peaufiné son autre facette, celle du séducteur à la gueule d’ange. Celle-ci crève l’écran dès 1960, dans Plein Soleil de René Clément et dans Rocco et ses frères, où Delon donne la réplique à Claudia Cardinale, sous les ordres de l’un de ses mentors, Luchino Visconti.

Ce séducteur patenté, les spectateurs le retrouveront régulièrement par la suite. Dans Le Guépard (1963), film-fleuve issu de l’œuvre de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, par exemple. Mais aussi, et peut-être surtout, dans La Piscine (1970), film sensuel dans lequel Delon donne la réplique à Romy Schneider, son ex-compagne.

Plus que ceux qu’il forma avec Nathalie Delon, Mireille Darc ou, un temps, avec Dalida, le couple mythique qu’Alain Delon forma avec l’interprète de Sissi, contribuera à le faire entrer dans la légende du cinéma français, celle à laquelle, diront ses détracteurs, il était si conscient d’appartenir. Difficile toutefois, en regardant dans le rétroviseur, de le contredire sur ce point.

Daily inspiration. Discover more photos at Just for Books…?

[lamaisongaga]

LADY GAGA WEARS DIOR COUTURE & PHILIP TREACY TO "JOKER: FOLIE À DEUX" MOVIE SCREENING

It's a big day! Lady Gaga stepped out for the premiere of her new film, "Joker: Folie à Deux", at the 2024 Venice Film Festival held at the Sala Grande in Venice, Italy. 

Styling done by Tom Eerebout and Sandra Amador. Hair by Frederic Aspiras and glam by Sarah Tanno-Stewart.

Lady Gaga stole the spotlight at the first premiere, wearing a custom jaw-dropping Dior Haute Couture by Maria Grazia Chiuri look that definitely left tongues wagging all around the world.

This piece, which took over 850 hours to create, features a plush black velvet criss-cross back corset and a 3D curvilinear ballgown skirt with wire reinforcement and tulle!

She truly brought the crème de la crème of fashion with her to Venice.

Arrived hours prior to her appearance, Gaga wore the iconic Philip Treacy Fall/Winter 2001 lace wing headpiece which was personally worn by the iconic Isabella "Izzie" Blow herself!

Both her white-gold and diamond starfish statement earrings...

...and Star Urchin necklace with Imperial topaz, marquise diamonds of over 8 carats and 896 round brilliant diamonds of 22 total carats, are from the 2023 Blue Book collection titled "Out of the Blue".

Previously also worn at the Oscars last year, she opted for the "Victoria" collection diamond cluster bracelet.

She also added her custom Giuseppe Zanotti black satin platform boots with square toe!

For the screening, Lady Gaga changed into a custom Dior Haute Couture black silk taffeta high-low ballgown with overcrossed bustier reminiscing vintage 1950s CD gowns, and a custom Stephen Jones mini felt beret fascinator with veil.

For the after party, she added a custom Dior asymmetrical boxy wool coat in black.

[bluehome91]

Teatro di San Carlo

The Teatro di San Carlo is one of the oldest opera houses in Italy. Completed in 1737 in the city of Naples, the opera house is still one of the premier opera venues in Europe. Its construction was a testament to Naples' history as one of the key spots for the development of opera as we know it, hosting performances from famous composers like Gioachino Rossini and Giuseppe Verdi. The Naples opera house is also renowned for its architecture and design, reflecting the Neoclassical style popular during the 18th century. A rebuild and modern adjustments were made after a fire in the early 19th century gutted the San Carlo structure

Opera is one of Europe's most important artistic traditions. It is also a fun way for people to reconnect with the past. Of course, if you're hoping to participate in one of Western civilization's oldest still-active musical art forms, what better place to do it than in Europe's oldest still-active theater?

The Teatro di San Carlo is an 18th century opera house that has watched over Naples, Italy for nearly 300 years. So, not only is Naples the guardian of true Italian pizza, but it's also home to one of the greatest architectural monuments to one of Italy's favorite art forms. Bravo Napoli, bravo!

[generalevannacci]

Giorgia Meloni, prima alla Camera e poi al Senato, ha accusato Giuseppe Conte di aver firmato il nuovo trattato del Mes “con il favore delle tenebre”, ovvero nascondendolo al Parlamento e agli italiani. “Ricordo – ha detto Meloni – che l’unico mandato parlamentare sulla materia del Mes, nel 2019, impegnava il governo Conte a non ratificare la modifica del trattato”. Aggiungendo poi che l’Italia ha dato con il governo Conte “il suo assenso un giorno dopo essersi dimesso, senza mandato parlamentare, senza che ne avesse il potere, senza dirlo agli italiani”. 

Al Senato, sventolando un foglio con l’autorizzazione da parte del governo Conte a firmare l’accordo, con tono alterato Meloni ha detto che “dalla storia non si esce: la propaganda si può fare ma poi rimangono i fogli a dimostrare la serietà di chi parla”.

Ma la prova della menzogna di Meloni e dell’innocenza di Conte è, paradossalmente, proprio sul foglio che la premier agita in Aula.  

“Vi ho portato un bel fax – dice Meloni ai senatori mostrando il foglio – Per il rappresentante permanente d’Italia presso l'Ue, ambasciatore Maurizio Massari.

La s.v. è autorizzata a firmare l’accordo recante modifica del trattato che istutiisce il Mes. Firmato: Luigi Di Maio’”. E quindi l’affondo della premier: “Questa firma è stata fatta un giorno dopo le dimissioni del governo Conte, quando era incaricato solamente per gli affari correnti, contro il parere del Parlamento, senza dirlo agli italiani, e con il favore delle tenebre!”.

Non è affatto così. E’ vero che Conte ha dato le dimissioni il 26 gennaio e che la riforma del Mes è stata firmata dall’Italia il giorno successivo, il 27 gennaio, ma ciò che Meloni nasconde è quando il ministro degli Esteri ha inviato il messaggio all’ambasciatore presso l’Ue.

Eppure lo si vede chiaramente, ingrandendo la foto, in testa al foglio, dove compare il numero di protocollo con la data: 2021-01-20.

Il ministro Di Maio ha cioè mandato il messaggio il 20 gennaio, alle 16:25, sei giorni prima delle dimissioni di Conte, quando il governo era nel pieno delle sue funzioni.

Ma questo Meloni non lo ha detto, appositamente per far credere che l’ordine è stato inviato il giorno della firma, il 27 gennaio, “dopo le dimissioni del governo”. 

Non è l’unica affermazione falsa della premier. Non è vero, ad esempio, che non c’è stata un’approvazione parlamentare. E’ vero che il governo Conte formalmente firmò il trattato del Mes il giorno dopo le sue dimissioni avvenute il 26 gennaio 2021: ma l’ordine è stato inviato il 20 gennaio 2021, mentre il consenso politico dell’Italia era già stato dato l’11 dicembre 2020, dopo aver ricevuto il mandato dal Parlamento il 9 dicembre. Tutto alla luce del sole, senza il favore delle tenebre.

Come dice Meloni: “La propaganda si può fare, ma poi rimangono i fogli a dimostrare la serietà di chi parla”. 

[stylestream]

Taylor Swift | Balmain gown • Giuseppe Zanotti sandals | Renaissance: A Film By Beyoncé London Premiere | 2023

[sophs-style]

sophs-style:

Sydney Sweeney (wearing Armani Privé) at the premiere of ‘Bones & All’ at the 79th Venice Film Festival on Friday (2nd September 2022) in Venice, Italy.

[infinitelytheheartexpands]

happy birthday simon boccanegra!!!

[anchesetuttinoino]

"Vota quella stronza della Meloni", il meme ironico che circola nelle chat. L'effetto Giorgia non si ferma - Secolo d'Italia (secoloditalia.it)

’effetto Meloni prosegue senza sosta. Il dopo-Caivano registra un ennesimo “colpo di scena” di questa campagna elettorale. Un’ ennesima conferma di quanto quella frase -“Presidente De Luca, sono quella stro*** della Meloni. Come sta?”- abbia bucato i social e fatto parlare e straparlare molti opinionisti. Tanto che oggi -il giorno dopo quell’incontro che tanto sta facendo rodere il fegato dei mestrini raical-chic col ditino alzato-  viene anche rilanciata. C’è un meme spiritoso e ironico che circola in rete e nelle chat dei parlamentari: “Vota quella stronza della Meloni” è la scritta che campeggia su un finto  manifesto elettorale per le Europee: con il simbolo FdI  barrato e il volto della premier. Sta facendo il giro del web.

L’effetto Meloni non si ferma: dopo il video arriva il meme virale

Dopo il boom sui social dell’incontro fatidico tra Meloni e il governatore De Luca arriva, dunque, questo meme a rilanciare la “mossa” della premier che ha sconvolto i salotti buoni dei talk show. Dimostrando che il suo comportamento ha colto nel segno. E soprattutto, fatto impazzire una sinistra politica e intellettuale che in modo ridicolo censura l’ atteggiamento “poco istituzionale” della premier. Dovevate osservare i vari Severgnini, Fittipaldi, Lella Costa, Floris, Piccolotti dare lezioni di bon ton istituzionale. Nessuno che lo avesse fatto con tanto accanimento quando ad offendere la premier per primo era stato proprio De Luca. Tanto livore dei dem e dei salotti radical-chic non lo abbiamo proprio notato all’epoca.

Il dopo-Caivano: la doppia vittoria di Meloni

Dunque, vince ancora Giorgia. Non a caso l’ istant sentiment realizzato in esclusiva per Adnkronos da Vis Factor nell’immediatezza dell’incontro Meloni- DeLuca fu già una sentenza. Nella maggioranza dei commenti a favore di Meloni – ben il 56%- sottolineavano coraggio, franchezza, presenza di spirito del presidente del Consiglio. Spirito e franchezza che manca del tutto a sinistra, che chissà quando si riprenderà da questo doppio successo della premier: avere fatto rinascere il Parco Verde di Caivano, teatro fin’ora di stupri, spaccio e criminalità; ed essere entrata contemporaneamnte negli incubi più tetri di una sinistra triste. Sempre più ostaggio della propria incapacità di ancorarsi a un sentimento popolare. Anche ora che il meme ironico “Vota quella stronza della Meloni” sta furoreggiando, le dosi di Maalox dovranno essere raddoppiate.

Un’ altra mossa comunicatica che fa impazzire la sinistra salottiera

Qualche esempio. L’editorialista del Corriere, Beppe Severnini ad Otto e mezzo ha affermato che “Meloni dovrebbe imparare il decoro verbale”. Fittipaldi urla un “Mi vergogno” a Tagadà. Lella Costa, attrice e sceneggiatrice, femminista, dal salotti di “Di martedì” afferma che la frase di Meloni a De Luca “è una forma di bullismo”. Alla faccia della solidarietà femminile… Ed Elisabetta Picoclotti di Avs ha tuonato: “Il prossimo passo che farà il presidente del Consiglio qual è? La lotta nel fango?” Zittita da un imperturbabile Italo Bocchino, direttore editoriale del Secolo d’Italia: “Ciò che ha detto Meloni è un grande esempio di comunicazione. Finalmente De Luca impietrito”. Insomma, ancora una volta la sinistra non capisce che la sfida ha avuto un solo vincitore: il premier. Anche oggi assisteremo a varie lezioni di galateo istituzionale a puntate? Un ultimo appunto merita il ridicolo furore di Giuseppe Conte, ospite di Floris. Anche l’ex premier in pochette ha stigmatizzato le parole della premier. A tacitarlo Francesco Storace: “Ma come? Sei il leader del partito del vaffa e ti scandalizzi?”…

[yahoo201027]

Day in Fandom History: July 24…

The Ice King and a band of misfit wizards take a bus for a field trip to make their own secret society where along the way, the trip cuts short due to problems with the bus. “Thanks for the Crabapples, Giuseppe!” premiered on this day, 10 Years Ago.