#Pic épeiche
Explore tagged Tumblr posts
macile · 2 years ago
Photo
Tumblr media
Tout en haut du cerisier...
1 note · View note
ernestinee · 6 months ago
Text
Les corneilles sont en couple pour la vie, et il y a ces deux là qui profitent chaque matin des premiers rayons de soleil, dans l'arbre du jardin à côté du mien. Ensuite ils s'organisent pour consolider leur nid, surveiller, manger etc. Ça fait une dizaine de jours que je les observe.
Cet arbre est un vrai village, il doit y avoir 3 nids de pies et 2 nids de corneilles, ainsi que des oiseaux qui chassent par ici et y font une pause, comme le geai des chênes, le pic épeiche et le pivert, qui eux préfèrent trouver leur nourriture dans le chêne et l'érable de mon jardin.
Tumblr media
24 notes · View notes
yannjo · 1 year ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Tarier pâtre, common stonechat, saxicola rubicola
Panure à moustaches, bearded reedling, panurus biarnicus
Roitelet triple bandeau, firecrest, regulus ignicapilla
Pic épeiche, great spotted woodpecker, dendrocopos major
Mésange à longue queue, long tailed tit, aegithalos caudatus
Gorgebleue à miroir, bluethroat, luscinia svecica
27 notes · View notes
Text
J13▪️ Witzenhausen - Bad Sooden-Allendorf
27,4 km [280,1]▫️+1 040 m [+5 690]▫️23 °C
Witzenhausen est la capitale, au moins régionale, des cerises (Kirsche). La preuve, ils élisent chaque année depuis 1967 la Kirschenkönigin (ce qui a quand même plus de panache que l’élection de la reine des Quetsches chez nous en Lorraine). Dans la salle du petit déjeuner, il y avait les photos de toutes les Königinnen de 1967 à 2003, avec leur robe rouge… cerise et leur toute petite couronne. À 20 jours près, on était en pleines festivités !
Et donc, après avoir connu le plaisir suave d’enfiler des chaussettes pas tout à fait sèches pour les placer dans des chaussures encore franchement mouillées, les premiers kilomètres nous conduisent à travers les fameuses cerisaies (à l’époque de la floraison, le spectacle doit être magnifique dans la vallée). Les dernières cerises font le délice des oiseaux et les très vieux cerisiers celui des pics épeiches. Deux vigoureux lièvres folâtrent sur le chemin. Puis les choses sérieuses commencent avec comme échauffement le Sulzberg (298 m), puis le Schnellerskopf (412 m) et enfin le Rosskopf (482 m) avant de redescendre dans la vallée de la Werra. Au fil des ascensions, le ciel passe progressivement de gris menaçant à gris troué de bleu pour terminer franchement bleu. Quel bonheur après ces jours de grisaille ! Et une terrasse ombragée et zwei große Bier bien méritée nous attendaient sur la place du village après cette longue et physique étape. La cerise sur le gâteau !
3 notes · View notes
gillesvalery · 9 months ago
Video
youtube
Pic épeiche
1 note · View note
stephaneohyeah · 9 months ago
Photo
Tumblr media Tumblr media
Le plastique c'est fantastique ??? Pas pour ce pic épeiche qui s'est pris dans un filet de nourrissage de graines et qui doit désormais faire avec ! #picepeiche #greatspottedwoodpecker #picopicapinos #buntspecht #grotebontespecht #picchiorossomaggiore #wildanimalsphotography #photographieamateur #photographiepassion #faunedefrance #oiseaudefrance #oiseauxphoto #canonr7wildlife #hautsdefrancenordpasdecalais #hautsdefrancephoto #approche
0 notes
avidex · 9 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Suède, 26 septembre 2022
Pic épeiche juste après avoir fait sa fête à un triste poteau.
1 note · View note
happybirday · 2 years ago
Text
Tumblr media
N° 69 18X24 cm Pic épeiche
0 notes
filinea · 2 years ago
Text
Bénévolat au Centre Ornithologique de Genthod (vendredi 3 février 2023)
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Photos : JP
Quand nous sommes arrivés au COR, les employés du centre nous ont expliqué le programme du jour. Nous avons commencé par faire le tour des volières pour vérifier l’état de santé des différents oiseaux. Ma mission spéciale était de plier les serviettes propres et de les ranger dans le placard pour qu’elles puissent être utilisées pour nettoyer ou sécher les oiseaux.
Ensuite, nous nous sommes attelés à la préparation des cages de transport pour relâcher les oiseaux guéris et en état de retourner dans la nature. Tout d’abord, on doit mettre de la paille dans le fond des cages pour éviter que les oiseaux ne glissent ou ne se blessent, mais aussi pour que ce soit plus confortable pour eux. Puis on va chercher les oiseaux qui doivent être relâchés. Pour pouvoir attraper les oiseaux, il faut mettre des gants et un tablier pour des raisons d’hygiène et de sécurité. On attrape les oiseaux directement avec les mains et on les place immédiatement dans des cages de transport individuelles pour ne pas que les oiseaux se battent entre eux comme ils sont de différentes espèces.
Ce jour-là nous avons relâché deux pigeons, une pie et un pic épeiche. Une fois que les oiseaux sont tous dans leur cage de transport, nous transférons les cages dans le véhicule du centre et nous nous rendons à la forêt de Versoix. En arrivant sur place, nous vérifions qu’il n’y a pas de corneilles qui rodent dans les environs car elles s’attaquent aux autres oiseaux. Ensuite, nous sortons les cages du véhicule et nous les posons dans un endroit calme et sécurisé. Nous ouvrons la cage et attendons de voir si l’oiseau s’envole de lui-même. S’il ne s’envole pas de lui-même, c’est à nous de le prendre dans les mains et de l’aider à prendre son envol.
Malgré nos efforts, l’un des pigeons restait au sol et refusait de s’envoler. D’après l’employée du centre, il n’y avait aucune raison qui nécessitait de le ramener au centre car l’oiseau n’était pas blessé. Selon elle, le pigeon avait besoin de temps et d’un élément extérieur qui le stimule suffisamment pour qu’il s’envole (par exemple la peur d’un autre animal qui suscite son instinct de fuite). Les autres oiseaux ont pu retrouver leur liberté. Personnellement, je trouve ça beau de les voir reprendre leur envol dans leur environnement naturel, car mine de rien une volière ce n’est pas un lieu de vie idéal pour eux. Et cela signifie aussi qu’ils sont guéris et qu’ils ne sont plus en danger. 
J’ai aussi pu voir la partie intérieure du centre réservée aux oiseaux plus exotiques, notamment plusieurs variétés de perruches : perruches ondulées, perruches calopsittes, perruches Catherine aussi appelées Toui Catherine, ou encore perruches de Sparrman aussi connues sous le nom de Kakariki à front rouge. 
J’ai eu le coup de cœur pour une perruche Catherine de couleur bleue, elle venait me picorer la main à travers la cage. Cet oiseau a un handicap à l’une de ses pattes, je ne sais pas si c’est une malformation de naissance ou un accident. Son handicap m’a touchée car il m’a fait penser à la situation de ma maman qui a aussi un handicap à la jambe. Cette rencontre m’a donné envie d’adopter un oiseau pour ramener de la vie chez moi car j’adore entendre le chant des oiseaux. 
Compte-rendu coécrit par Morgane et Emmy pour l'équipe FiliBlog.
0 notes
f-dellerie-illustration · 3 years ago
Photo
Tumblr media
Illustrations de Dendrocopos major (Pic épeiche) et des indices de sa présence : rémige, noix, noisettes, forge.
7 notes · View notes
mariwanco · 4 years ago
Photo
Tumblr media
Pic épeiche
You can see more of my works on instagram : https://www.instagram.com/mar_iwanco/
Please, don’t use or copy my work without permission. Thank you.
4 notes · View notes
orpheusz · 5 years ago
Photo
Tumblr media
Pic épeiche (mâle)
5 notes · View notes
macile · 5 years ago
Photo
Tumblr media
Madame Pic épeiche
1 note · View note
Text
J5▪️Altenau - Sieber
15,0 km [106,8]▫️+390 m [+1 890]▫️19 °C
Hier soir, il pleuvait au dîner. Au petit déjeuner, il pleuvait encore. Heureusement, au partir, il ne pleuvait plus, mais il faisait quand même un peu frisquet (un petit et humide 12 degrés). Côté étape, ce n’est pas bien compliqué : on monte pendant six kilomètres puis on descend pendant neuf, avec comme direction tout droit plein sud.
Enfin, j’aurais plutôt dû écrire : on monte pendant six kilomètres au milieu des épicéas morts et des coupes sèches puis on descend pendant neuf parmi les épicéas morts car oui, c’est vraiment la cata ici. Enfin, pas pour tout le monde ! Les pics épeiches se régalent et les digitales pourpres pullulent, en bonnes pionnières des clairières acidophiles planitiaires-collinéennes, comme on dit dans les bonnes flores.
Pendant ce temps, au milieu de tout ce bois mort, j’ai trouvé moyen de choper une tique en allant faire une photo à la c.. et que vous ne verrez même pas devant une Hütte au bord du chemin qui n'avait comme seul intérêt de s’appeler Hubertus-Hütte et d’avoir ce nom écrit en bien grand au dessus de la porte. Bref, un petit kilomètre plus loin, on s’arrête pour boire un coup (le soleil est revenu) et, assis sur mon sac à dos, que sens-je ? Un truc qui dépasse sur le galbe glabre de mon mollet. Je pense à de la boue séchée mais étrangement ça ne part pas en passant la main. Je regarde et que vois-je ? Une petite tique famélique à l’abdomen tout plat et presque transparent. Ça fait longtemps qu’elle n’a rien mangé, la pauvre ! Mais mon doux attendrissement ne dure pas plus longtemps. Ni une, ni deux, je plonge dans mon sac à la recherche de mon couteau suisse qui possède, entre autres, une pince à épiler. J’entends déjà le chœur de nos lecteurs : « Non ! Non ! Pas une pince à épiler sinon la tête va rester et c’est la maladie de Lyme assurée ! ». Ouais, ouais, je sais, mais laissez-moi faire. Avec une précision d’horloger, je positionne la pince et avec une pression juste suffisante, j’extrais le petit parasite. Inspection visuelle. Oulala ! Une de ses pièces buccales est restée « et c’est la maladie de Lyme assurée !», ils me l’avaient bien dit ! Mais c’est oublier qu’en 1986, j’ai obtenu mon brevet de secouriste-charcutier. Je repars à l’assaut avec ma pince à épiler Victorinox et quelques minutes plus tard, je brandis triomphalement l’insidieux bout de tique. Non, ce n'est pas aujourd’hui que je fermerai boutique ! Puis je vide fiévreusement ma bouteille de Diaseptyl 0,5 % sur la plaie microscopique parce que si l’idée d’avoir la maladie de Lyme, ça m’use, celle d’attraper le tétanos, ça me tétanise !
4 notes · View notes
unamass · 5 years ago
Photo
Tumblr media
Pic épeiche / Dendrocopos major
photo: Pascal Maire
1 note · View note
superbnature · 6 years ago
Photo
Tumblr media
Buntspechtdame by hans24 http://ift.tt/2oWYeCX
19 notes · View notes