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#Nasim Adabi
gregor-samsung · 4 years
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لِرد‎ [A Man of Integrity] (Mohammad Rasoulof - 2017)
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festival-de-cannes · 7 years
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Nasim Adabi and Soudabeh Beizaee attend the "Lerd (Un Homme Integre)" photocall during the 70th annual Cannes Film Festival on May 19, 2017.
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whileiamdying · 5 years
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Cannes 2017 : « Un homme intègre », quand les digues morales cèdent en Iran
Mohammad Rasoulof dresse une charge kafkaïenne contre la corruption du pouvoir.
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Reza Akhlaghirad et Soudabeh Beizaee dans le film iranien de Mohammad Rasoulof, « Un homme intègre » (« Lerd »). ARP SÉLECTION
Par Isabelle Regnier Publié le 20 mai 2017 à 11h28 Mis à jour le 12 avril 2018 à 14h29
Un certain regard
« Je préférerais ne pas », répétait inlassablement le scribe Bartleby, dans la nouvelle éponyme d’Herman Melville. Cette stratégie de la fuite, dans laquelle Gilles Deleuze ou Toni Negri voient une manière de combattre l’Etat à distance, c’est celle qu’a adoptée Reza (Reza Akhlaghirad), homme intègre qui a renoncé à la vie à Téhéran et à la carrière que lui promettaient ses études pour s’installer dans une bourgade reculée et vivre harmonieusement dans une ferme avec sa femme, directrice d’école de son état, et son fils, et se convertir à l’élevage de poissons rouges. Le jour où la « compagnie », organe sans visage où se confondent le pouvoir de l’argent et tout le pouvoir politique de la région, décide de s’approprier son terrain, cette attitude trouve sa limite.
Nouvelle charge de Mohammad Rasoulof contre la corruption et la violence du pouvoir iranien, Un homme intègre est présenté dans la section Un certain regard, devenue terre d’accueil de ses films depuis sa condamnation en 2010 à six ans de prison (peine réduite en appel à un an, qu’il n’a pas purgée mais qu’il reste menacé de devoir exécuter à tout instant). De fait, des points communs le relient à Au revoir (2011) et aux Manuscrits ne brûlent pas (2013) — l’opposition caractéristique entre la froidure des extérieurs et la chaleur des foyers, havres d’amour et d’harmonie irrémédiablement voués à être ravagés par la violence politique, n’étant pas la moindre.
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Pris au piège
Le film installe d’emblée une situation de crise. Harcelé par la police qui lui réclame un document administratif, Reza cherche en même temps une solution pour s’acquitter d’une dette dont les pénalités s’accumulent, voulant à la fois éviter de vendre son terrain et de prendre part au système de corruption. Autant rêver d’une planète où les hommes seraient tous frères et se promèneraient nus à dos de licorne.
Comme les poissons rouges dans l’eau stagnante de son étang, le pisciculteur est pris au piège d’un système de corruption généralisée dont toute la communauté est complice. Chaque fois qu’il pense avoir trouvé une issue à sa situation, il voit s’abattre sur lui un nouveau cataclysme, plus ravageur encore. Et lorsque sa femme, plus réceptive au principe de réalité, décide de prendre les choses en main, elles empirent. L’épouse espère faire plier le potentat local, sorte de délégué général de la « compagnie », en faisant pression sur sa fille, une des plus brillantes élèves du lycée.Le film mute alors, abandonnant son enveloppe de fable sociale kafkaïenne tendance Cristian Mungiu pour celle d’un thriller mafieux aux allures de cauchemar éveillé dont la tension condense des visions incandescentes, plastiquement splendides. La violence que le vieux potentat fait régner fait écho à celle que déploie cette petite société dans son ensemble, qui exclut tout ce qui ne rentre pas dans le rang. A commencer par les non-musulmans, qui n’ont droit ni à l’éducation, ni même, lorsqu’ils sont morts, à recevoir une sépulture.
En faisant céder les digues morales de son personnage principal qui ne peut plus continuer à se réfugier, pour s’extraire du monde, dans la chaleur des sources d’eau chaude qu’abrite une grotte voisine, et se résout, pour sauver sa peau, sa famille et son honneur, à employer les armes de l’ennemi, cette violence imprègne le film d’un pessimisme ravageur. En ce jour d’élection présidentielle en Iran, sa résonance est particulièrement funeste.
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Film iranien de Mohammad Rasoulof avec Reza Akhlaghirad, Soudabeh Beizaee, Nasim Adabi (1 h 57). Sortie en salles prochainement. Sur le Web : www.arpselection.com/category/tous-nos-films/drame/un-homme-integre-406.html
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nasimfun18 · 6 years
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بیوگرافی نسیم ادبی و همسرش + زندگی شخصی و تصاویر آن ها
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mrlylerouse · 7 years
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Official Trailer for Corruption Drama 'A Man of Integrity' Made in Iran
"You wanted me to fight?" The Match Factory has released a new official trailer for an Iranian drama titled A Man of Integrity, which first premiered at the Cannes Film Festival before going on to play at a bunch of other festivals this year. The film is about a humble, hard-working man who runs a goldfish farm on his property in a small Iranian town. He tries to keep his life and his business legitimate and clean, until the corruption surrounding him begins to put pressure on his livelihood. This trailer reveals a lot of the story, so watch out, but it's a very hard sell otherwise. The film stars Reza Akhlaghirad, Soudabeh Beizaee, and Nasim Adabi. I saw this film in Cannes and it's damn good, but also super depressing. It's a sad story of an honest man just trying to be good in an endlessly corrupt world. It's still worth it to watch a film from Iran. ›››
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fparvaneh · 7 years
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Director Mohammad Rasoulof (center left) and cast members Soudabeh Beizaee (left), Nasim Adabi and Mohammad Akhlaghirad at this year’s Cannes Film Festival photocall for his film “Lerd” (A Man of Integrity) in competition for the category “Un Certain Regard.” Photograph: REUTERS/Stephane Mahe. . Read our feature story on our website (link in our main profile page) or type: www.kayhan.london/en in your web browser. . . #MohammadRasoulof #amanofintegrity #cannesfilmfestival #iranianfilmmaker #iraniancinema #iranianmovies #kayhanlife #kayhanlondon (at London, United Kingdom)
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bbottone · 7 years
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2017 #Cannes: Director Kaouther Ben Hania, Ghanem Zrelli and Mariam Al Ferjani attend 'Alaka Kaf Ifrit (La Belle Et La Meute)' Photocall during the 70th annual Cannes Film Festival at Palais des Festivals on May 19, 2017 in Cannes, France. (Photo by Stephane Cardinale - Corbis/Corbis via Getty Images); Billy Moore, Joe Cole and director Jean-Stéphane Sauvaire attend the 'A Prayer Before Dawn' photocall during the 70th annual Cannes Film Festival at Palais des Festivals on May 19, 2017 in Cannes, France. (Photo by Stephane Cardinale - Corbis/Corbis via Getty Images); Nasim Adabi and Soudabeh Beizaee attend 'Lerd (Un Homme Integre)' Photocall during the 70th annual Cannes Film Festival at Palais des Festivals on May 19, 2017 in Cannes, France. (Photo by Andreas Rentz/Getty Images) #HollywoodCiak #CannesFilmFestival #AlakaKafIfrit #LaBelleEtLaMeute #KaoutherBenHania #GhanemZrelli #MariamAlFerjani #APrayerBeforeDawn #BillyMoore #JoeCole #JeanStéphaneSauvaire #Lerd #UnHommeIntegre #NasimAdabi #SoudabehBeizaee #fashion #Cannes2017 #Cannes70 #photocall #redcarpet #France #festival #followme @festivaldecannes
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gregor-samsung · 4 years
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لِرد‎ [A Man of Integrity] (Mohammad Rasoulof - 2017)
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whileiamdying · 5 years
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Cannes 2017 : pour Mohammad Rasoulof, « l’ère Rohani n’a pas encore commencé »
Les séjours sur la Croisette du réalisateur iranien ne se ressemblent jamais.
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De gauche à droite : l’actrice Nasim Adabi, le réalisateur Mohammad Rasoulof et l’actrice Soudabeh Beizaee à Cannes, le 19 mai 2017. STEPHAN VANFLETEREN POUR « LE MONDE »
Propos recueillis par Clarisse Fabre Publié le 20 mai 2017 à 11h27 Mis à jour le 12 avril 2018 à 14h28
Du soleil. Et même un peu trop. Mohammad Rasoulof se fait une visière avec une brochure de cinéma, respire… Il est à Cannes. Parfois, il est bloqué à l’aéroport de Téhéran, privé de passeport ou d’autorisation de tournage. Ses séjours sur la Croisette ne se ressemblent jamais. Cannes 2011, Rasoulof a 39 ans : son film Au revoir est sélectionné pour Un certain regard, mais lui est absent. Quelques mois plus tôt, il a été arrêté avec le réalisateur Jafar Panahi – auteur du Cercle, Lion d’or à la Mostra de Venise – pour « actes et propagande hostiles à la République ». Sa peine de six ans d’emprisonnement a été réduite à un an et n’a pas encore été exécutée. Rasoulof est en liberté sous caution.
Cannes 2013 : Mohammad Rasoulof vient présenter son film tourné clandestinement, Les manuscrits ne brûlent pas, toujours dans la même section. Le 14 juin 2013, Hassan Rohani est élu président de la République islamique d’Iran, après huit ans de règne de Mahmoud Ahmadinejad.
A 45 ans, Rasoulof est de retour avec Un homme intègre (Un certain regard), le 19 mai, le jour même où les Iraniens élisent leur président. Hassan Rohani est donné favori… « Rohani est porteur d’espoir. Mais, pour moi, l’ère Rohani n’a pas encore commencé. Ahmadinejad a tellement ruiné le pays pendant huit ans… », explique Rasoulof en farsi, tandis que la sémiologue Asal Bagheri traduit ses propos.
Une autre version plus positive
La corruption qu’il décrit dans Un homme intègre, il l’a lui-même subie il y a une vingtaine d’années, quand il faisait des clips publicitaires pour gagner sa vie. Et la situation n’a fait qu’empirer. « J’ai eu l’idée d’un scénario : si une personne refuse d’entrer dans ce système des pots-de-vin, qu’est-ce qui lui arrive ? », précise le réalisateur, qui vit désormais entre Hambourg et Téhéran. Il obtient une autorisation de tournage pour un lieu déterminé – celui du film.
Quant au scénario… « Les autorités iraniennes m’ont fait signer un document dans lequel je m’engage à montrer un peu d’espoir dans le film ». Il réalise un premier montage avec quelques notes positives. « Je l’aimais, ce scénario… Mais, à un moment, le poids insupportable de la réalité a été plus fort ». Alors, il a assombri le tableau. « J’ai montré le film aux autorités, qui étaient fâchées. J’ai expliqué qu’il existait une version plus positive. On ne m’a pas cru. » Conclusion : « Le film n’a pas été programmé au Fajr, le festival du film de Téhéran. Et les autorités ont essayé de me convaincre de ne pas montrer le film à Cannes. » Raté.
« Quand je rentrerai à Téhéran, je montrerai le montage plus positif », promet-il. Mais même la version cannoise montre une lueur d’espoir : « A la fin, l’homme se baigne dans une grotte. Son visage et son corps font bloc avec la pierre. Il semble déshumanisé. Jusqu’au moment où il craque : ses pleurs le rendent à nouveau humain. »
Clarisse Fabre
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