#N’y voyez aucune malice.
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Kaamelott, Livre III, Feue la poule de Guethenoc
#i love them your honor#roparzh est trop savage#KT L03E36#kaamelott#série#roparzh#guethenoc#gilles graveleau#serge papagalli#N’y voyez aucune malice.
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/!\ If you still play a game from Beemoov and you want to know how Beemoov is REALLY in the Reality, you should translate this. I will not speak in english because I’m french, Beemoov is a french compagny in the north of France, and I’m just piss-off of that fake dollhouse. :D 💗💥
🌺🐝░ ~Malice in Bee'tch'moov-land~ ░🖤💀
Sugariel était inscrite sur le jeu Eldarya de l’entreprise Beemoov depuis le 17 Décembre 2014. 6 ans d’ancienneté au sein de cette entreprise en temps que Cliente TRES fidèle jusqu’à maintenant. Et plus maintenant, donc.
Ce n’était pas facile pour Sugariel de s’amuser sur Eldarya, car justement elle y était pour s’amuser, se faire des jolies tenues roses, s’exprimer de façon délirante sur le forum, et surtout gérer le Fan Club DU personnage détesté au début, Alajéa, dont la vie et l’intérêt ne tenaient qu’à un fil, mais qui comme par magie est devenue Appréciable à tel point que son Fan Club a été élu Meilleur Fan Club en 2016, mais ça on se demande comment...
Sugariel ce n’était pas n’importe qui vu que, apparemment, elle a été élue Miss Faemous parmi d’autres Miss Faemous, en jenesaisplusquelleannée.
Comme dit, Sugariel était une Cliente TRES fidèle. Oui car Sugariel lors des Events, elle avait pas le temps de lire, elle achetait directement, parce que les designs du jeu Eldarya lui plaisaient à la folie ! ...même lors du dernier Event qu’elle a fait, celui de la St Valentin 2020, même en ayant été bannie injustement, jetée comme une moins-que-rien par tout le monde DONT, surtout, Beemoov eux même qui a ses yeux n’avait pas tout à jeter, elle continuait de banquer ! Donner son argent pour féliciter les designers, ça elle l’a toujours dis partout. Mais ça, dans la “Ruche des Abeilles” ils s’en foutent royalement :D .!.
Quel était le problème qui a fait que Sugariel se fasse bannir à vie d’Eldarya - au bout de 6 ans d’ancienneté - sans jamais avoir eu aucun problème avant cela ? ...Naaan je vous rassure vais pas redire ce que vous savez déjà :’D !
Comme dit Sugariel c’est LA Cliente Fidèle. C’est la Cliente Fidèle qui a voulu soutenir financièrement et énergiquement une microscopique entreprise parce qu’elle y a vu du potentiel et que cela méritait donc d’être récompensé à ses yeux. Sugariel c’est LA Cliente Fidèle qui connait les ficelles du métiers, qui était là pour jouer mais aussi pour rémunérer les personnes qui travaillent derrière. Sugariel c’est aussi LA Cliente, Balance, qui déteste l’injustice, donc si elle te dit qu’elle n’est pas en tord mais que tu la sanctionnes sans vouloir l’écouter, tu peux être sûr à 100% qu’elle va te faire pleurer, car tu l’as prise pour une conne et maintenant tu fais l’étonné parce qu’elle a révélé au Monde Entier sa vraie Identité en se rendant en personne à Bee’tch’moov-land le Jeudi 12 Mars 2020 ainsi que le Vendredi 13 Mars 2020. Comme annoncé en fait !
...Oui je sais, “oh mon dieu, mais Sugariel ne ressemble pas du tout à son tas de pixels tout rose, rousse aux yeux verts, quel étonnement !” ...maintenant que vous pouvez mettre un visage sur la vraie Sugariel, normalement même sans avoir un Bac on peut comprendre pourquoi la personne derrière doit se battre 3 fois plus qu’une personne normale qui a des problèmes incomparables.
Bref, et donc Bee’tch’moov-land c’est quoi en vrai ?
Alors. Franchement... que vous me croyez ou non, ça je m’en balek car tout est facilement vérifiable, mais en fait... Bee’tch’moov-land c’est si pathétique qu’une simple description est suffisante à les humilier, du coup même pas besoin d’être méchant alors que je pourrais l’être ! Il faut le voir pour le croire !
Donc, sans surprises vous savez surement que Bee’tch’moov-land se trouve en France. A Nantes. Dans le Nord de la France. Je viens de Marseille. Dans le Sud de la France. Je me suis donc déplacé en personne - jusqu’au bout de la France - pour aller voir clairement à quoi j’avais affaire depuis des années.
~C’est important à retenir car comprenez que si je peux faire ça (comme je l’ai annoncé en fait :D) je peux et je VAIS faire Beaucoup Mieux~
Jeudi 12 Mars 2020 :
...Étymologiquement, Jeudi, ça veut dire “Jour de Jupiter”, Jupiter aka Zeus, Roi des Dieux, autrement dit, Jeudi c’est le Jour du Pouvoir, Détermination, Motivation, bref. En soit c’est plus le Jour suivant qui m’intéressait. ;D
Armé de mon Courage de Princesse Disney - dont même les fans de Game of Thrones n’ont pas les couilles de faire mieux alors que pourtant c’est sensé être teeeellement plus mature (et je vais y revenir :D) - grâce à Google Map je me rend jusqu’à Bee’tch’moov-land tel un Petit Chaperon Rouge, seul, avec ma pochette rose transparente remplie d’Amûûûr, vers 9H et quelques.
Chose encore plus surprenante que le fait que Bee’tch’moov-land se trouve à Nantes, “la Ruche” se trouve aussi dans un quartier fort sympathique, mais qui n’a pas beaucoup d’envergure... après avoir dépassé un bâtiment qui était très certainement une résidence, une fois devant Bee’tch’moov-land je pensais m’être trompé, je pensais que Bee’tch’moov-land c’était la résidence juste avant... bah non, il y avait bien écrit “Beemoov” sur le mur d’une petite maison de poupées comprenant un étage et un rez de chaussé... qui n’a rien à voir :D !
Quelle est la différence entre une Boulangerie et Bee’tch’moov-land ?
D’un coté vous avez une petite entreprise, et de l’autre vous avez une microscopique entreprise ! Une Boulangerie est une petite entreprise. Quant on entre dans une Boulangerie, vous avez toujours un espace spécialement pour que le Client puisse circuler et regarder autour de lui divers produits issus de l’entreprise, ici, une Boulangerie, histoire que le Client se fasse une BELLE idée de l’entreprise, ici, une Boulangerie, qui est une petite mais bonne entreprise !
Et de l’autre vous avez donc une microscopique entreprise. Dans les deux cas ça fait des années qu’ils sont sur le Marché ! Mais l’un est plus admirable que l’autre, et l’autre est juste pathétique. Étonnement croyez le ou non mais c’est la petite entreprise qui vend du pain et dont il n’y a surement pas plus de 3 employés qui est la Meilleure Entreprise, en comparant, en personne.
...Au Rez-de-Chaussé nous avons donc une entreprise qui n’a rien à voir, un truc de danse à ce que j’ai compris, PUIS, en montant des escaliers nous atterrissons donc... dans un joli coin d’Accueil avec une secrétaire prête à nous entendre autour de divers articles de Beemoov en présentation :D ?
Bien évidemment - QUE NON :D ! ...il y a une petite porte vitrée au bout de l’escalier, histoire de faire du “lèche vitrine”, et une fois rentré... je... hum...
...En fait c’est tellement malaisant à décrire que comme dit il n’y a pas besoin d’être méchant pour le coup. Quand je suis rentré je vois donc directement : L’Espace de Travail des Employés ! Les ordinateurs qui servent à tout ce que vous voyez sur les jeux de Beemoov. Mes yeux défilent de droite à gauche, des couleurs m’attirent, je vois LE Ezarel en carton, ainsi qu’un petit canapé mauve à coté du quel se trouve une fenêtre, et une peluche de Poulpatata. Rien d’autre. Enfin si, un mur en face des ordinateurs avec écrit “Beemoov” en grand. C’est vraiment mignon à regarder hein... Mais je ne pensais juste pas trouver mignon Bee’tch’moov-land en fait. Je ne m’attendais pas à grand chose mais je m’attendais à quelque chose quand même.
J’avais déjà repéré une personne sur un ordinateur ainsi qu’une autre juste avant d’entrer à qui j’ai demandé où se trouvait l’Accueil de Beemoov - non existant :D - et puis finalement c’est l'une des nombreux Country Managers qui vient vers moi ! (ça en jet comme statut hein !) ...comment je sais ça ? S’est-elle présenté ? J’en sais rien, je ne m’en souviens plus, mais disons que “avant de jouer j’analyse toujours le terrain, et ses extensions” pour avoir déjà un petit Profil... (nan mais ça va, ça tout le monde le fait logiquement... n’est-ce pas ?) *clin d’oeil à @TwinkerBelle & @TwinkerBeau* ...Force Rose, héhé ;D !
Bref, et donc la Country Manager vient vers moi, me demande la raison de ma venue, je dis donc que je tiens à parler à un Représentant de Beemoov suite à plusieurs problèmes que j’ai rencontré sur le jeu Eldarya, en tant que Sugariel, puis, adorable comme elle était (et je dis ça sincèrement) elle me fait donc patienter le temps qu’elle aille au fond de la petite pièce, à droite, et donc pendant ce temps, moi je m’assis sur le canapé mauve qui semblait destiné à faire patienter les Clients “logiquement”, à noté que mon cul était rose ce jour là. Yep, histoire de rester fidèle à moi même. Bref, et donc, pendant ce temps d’attente - beaucoup trop long - j’ai eu le temps de faire plein de choses. :D
Je ne pensais pas que j’étais arrivé si tôt que ça... il était 9H00 et quelques... il y avait DU monde, mais il n’y avait pas TOUT le monde. Mais je suis arrivé à la bonne heure vu que j’ai pu voir défiler devant moi une multitude de monde ! Dont deux Super Stars ! (oui oui oui toi-même-tu-sais !)
Je ne vais révéler aucun prénom par Respect, mais LA personne qui m’a surtout marqué parmi toutes les autres qui ont surement des rôles très importants, c’était la “Direction de Création” du jeu Le Secret d’Henri ! Oui. Je n’ai jamais joué à ce jeu, car naaan un Amour Sucré bis, c’est pas mon truc, je préférais bestfriender avec Alajéa sur Eldarya perso, mais cette femme est clairement un Maillon Fort de Beemoov ! Elle est arrivée hyper souriante, c’était un sourire chaleureux, plein d’énergie et de motivation, ça se voyait qu’elle était contente d’être là contrairement à TOUT le reste ! ...enfin, disons que “peut-être” les autres étaient contents d’être là, mais sur elle ça se voyait beaucoup plus. Et en plus elle avait un pull rose ! Un bon signe. Forcément. D’autres personnes viennent, etc etc etc, des gens dont j’avais déjà vu la tête, aussi, etc, PUIS :
Ma chère Country Manager revient avec une copine ! Une femme assez classe sans être trop classe, vous voyez le genre, elle avait le look de la bosseuse qui est là pour bosser sans se négliger parce qu’elle sait où elle est ! Absolument. Un joli accent d’ailleurs, mais je n’ai pas retenu sa Qualification... elle me donne en tout cas un papier jaune avec écrit dessus l’adresse mail du Support.
Je me dis que c’est une farce. Je viens en personne, de Marseille jusqu’à Nantes POUR voir, non pas la personne chargée du Support MAIS une Personne assez compétente pour m’entendre et m’aider, en face à face, et on me tend un petit papier jaune avec l’adresse mail du Support. Really ?
Ne prenant pas en compte ce petit papier jaune, je demande donc à avoir un rendez-vous, sachant que la Country Manager m’a justement demandé si j’avais un rendez-vous, mais apparemment ce n’est pas possible de prendre rendez-vous :D ! Et vous allez savoir pourquoi au jour suivant !... en même temps~
D’autres personnes rentrent, etc etc, un nombre de personnes incalculablement trop grand à mon sens par rapport à la “ruche” ET... je vois... une personne... au début je n’y crois pas, car elle était vraiment discrète, je ne l’ai même pas entendu parler ni même regarder ce qui se passait autour d’elle, elle semblait... là, mais pas là, juste là pour être là, dans sa démarche, son attitude, peut-être était-elle malade... mais elle ne m’a pas du tout fait la même impression que “Henrine” alors que pourtant elles ont le même statut, “Direction de Création” ET que c’était supposée être LA Super Star de Beemoov, oui, c’était : ChinoMiko. LA Chinomiko, en chair, en os, et avec une doudoune !
J’étais sur le petit canapé mauve, à l’entrée, à même pas un mètre de la porte vitrée, deux Représentantes de Beemoov en face de moi, me parlant sans parler, puis mon attention se tourne sur ChinoMiko, que je vois en moins d’une minute passer devant moi. J’étais absolument pas venu pour la voir, et je ne pensais absolument pas la voir, mais ça fait quand même quelque chose de voir des “Super Stars” en face. Réellement. A ce moment je me suis senti Gagnant.
Parce que oui, à ce moment j’étais bien, loin de chez moi, à Nantes, assis sur un canapé mauve DE Bee’tch’moov-land, voyant en chair et en os “Henriette”, ChinoMiko et surement plein de Designers que je tenais à récompenser financièrement depuis des années même si tout le monde s’en fiche.
Bref. Cette conversation avec deux Représentantes de Beemoov ne menait à rien du tout, je suis donc parti en disant évidemment que je reviendrai.
Vendredi 13 Mars 2020 :
...Étymologiquement, Vendredi veut dire “Jour de Vénus”, c’est le jour de ma Déesse Préférée, celle de l’Amûûûr et de la Beauté 8′) ! ...MAIS ! Pas que ! Croyez le ou non, mais j’avais prévu de ne pas venir en Mars finalement suite à mon Piratage et ça me convenait très bien, car ça me permettait de combler toujours plus mes dossiers sur Beemoov déjà tellement plein à craquer :D ! ...SAUF QUE ! Quand j’ai entendu à la radio qu’il y avait un Vendredi 13, cette fameuse semaine de Mars, je me suis définitivement décidé à venir !
Quant un Vendredi 13 tombe en Mars ce n’est pas n’importe quoi, vu que Mars + Venus = Cupidon. (oui j’adore la Mythologie, c’est pas un scoop..)
“Mdrrr mais wtf c’est une illuminée lol !” ...ouais bah en attendant mon personnage fictif préféré est tout en rose et ne vit que pour l’Amour donc.... Ta gueule ? Merci :D .!.
...Superstitieux ou pas, respectez ou non mes croyances farfelues assumées, mais j’y ai vu l’occasion parfaite de “sauver mon valuret” ! Un jour de Chance.
~Et la preuve encore et toujours que le Destin est mon Meilleur Ami~
Mon Valuret était mon meilleur familier sur Eldarya vu qu’il était incroyablement chanceux, il m’a rapporté un tas de choses exceptionnelles dont LA Makoto ! ...entre autres. Bref, la meilleure chose de ce jeu entier. Je savais que ce ne serait pas gagné d’avance, mais j’avais envie, ce jour là, de faire un Dernier Hommage envers mon Valuret, mon Précieux Familier en pixels mais que j’aimais quand même Réellement plus que beaucoup de choses sur ce jeu.
...oh ça me fait penser ! La dernière question que j’ai demandé aux deux Représentantes - incompétentes - de Beemoov avant de partir le jour précédent c’était justement s’il leur restait des peluches de valurets... une question innocente d’un Client qui a fait tout ce chemin au moins pour repartir avec un Vrai Valuret histoire de bien symboliser “le sauvetage de mon valuret” ...mais la réponse était intéressante :
“On en a plus, mais on aimerait bien que ça revienne...”
....Alors je sais pas vous, mais personnellement j’adore les doubles sens, c’est à dire que par exemple quand tu dis quelque chose de gentil à quelqu’un, si la personne est intelligente elle va comprendre que c’est gentil ET peut être y voir un double sens provocateur, mais COMME elle est intelligente elle ne va pas comploter contre toi ! Ou alors, elle est tristement débile et ne va croire qu’une seule chose. *clin d’oeil à ma chère @GrandMéchantLoup*
...et donc personnellement je trouve que cette réponse révèle beaucoup de choses économiquement parlant. Je suis désolé de devoir le dire mais vous aviez une “Poule aux oeufs d’or” en face de vous les enfants. Me laisser repartir sans rien est extrêmement triste pour vous. Nope, je ne suis pas vraiment venu pour acheter une peluche de valuret, même si j’aurai bien aimé, mais j’avais annoncé à @Blobby, un Administrateur - Salarié - d’Eldarya (que j’aurai aimé croisé d’ailleurs ! ...et si ça se trouve je l’ai vu sans le savoir !) que j’aurai pu racheter le jeu. Car le jeu Eldarya a du potentiel que j’ai tenu à récompenser financièrement et que je pouvais faire plus. (ma venue était la preuve non ?)
Pourquoi je dis que c’est extrêmement triste pour eux de m’avoir laissé partir ET sans rien ? (enfin à part ce morceau de papier jaune avec l’adresse du Support dessus - supposé travaillé ici-même - et donc, complètement inutile. x’)
Parce que c’est simple en fait : En réalité je faisais du Repérage. Il fallait que je me déplace en personne pour voir si cette Entreprise - qui est en fait une microscopique entreprise - en valait la peine. D’être sauvée, ou l’inverse. :3
Le jour suivant, je m’en balek, j’ai pas de rendez-vous et je ne suis pas venu à Nantes pour qu’on me donne un bout de papier jaune m’incitant à recontacter LE Support, via x moyen informatif, car “apparemment” la personne chargée du Support n’était pas là NI Jeudi NI Vendredi ET préfère se cacher derrière un écran car “apparemment” on ne peut PAS prendre de rendez-vous à Bee’tch’moov-land :D ...mais non non non, je ne m’en prend pas à elle !
Vous savez pourquoi ? Parce que justement c’est tellement pathétique de se décharger d’une RESPONSABILITÉ en disant “Ah non mais la personne chargée de ça n’est pas là donc NOUS ne pouvons pas vous aider ! Ce n’est pas notre travail, vous comprenez :D ?” quelle blague. Anecdote :
Un jour j’étais avec une amie à Disneyland. (et comme vous le voyez, jusqu’au bout je n’arrêterai pas de parler de Disney, tout simplement car l’Entreprise Disney est quasiment imbattable, et un exemple plus qu’Excellent !)
En fait nous n’étions pas vraiment dans le parc, mais dans le Restaurant de l’Hotel Sequoia Lodge. Il était 19H je crois. Le Parc était donc fermé... bref, comme nous voulions voir la Parade de nuit mais que nous ne savions pas trop l’heure, on demande donc à un SERVEUR du RESTAURANT de DISNEYLAND s’il sait quelque chose là dessus. Et vous savez quoi ? Il ne nous a pas répondu. Il nous a répondu BRILLAMMENT ! En nous expliquant bien les horaires du parc, de la parade, de ceci, de cela, les détails en veux-tu en voilà, c’était une réponse de luxe sur un truc qui ne concernait PAS son Travail, et pourtant il connaissait son ENTREPRISE du bout des doigts ! ...donc à un moment :
Soit on est professionnel, soit on ne l’est pas du tout.
Je ne sais pas si vous avez remarqué mais je n’ai toujours pas dis ce qui s’est passé Vendredi 13 Mars 2020 ! ...normal il n’y a rien eux de mieux les concernant ! Au contraire, c’était pire. Pas pire dans le sans Pire, mais pire dans le sens complémentaire concernant leur non professionnalisme aggravé.
Je m’y suis rendu. C’est encore une Country Manager qui m’a reçu. Je lui ai dis “Je suis de retour. J’ai oublié de vous donnez ça en fait.” (ma pochette avec les preuves contre plein de Modérateurs de Beemoov :D), elle s’en va donc, au fond de la pièce, à droite, et revient avec une charmante petite dame !
Elle avait l’air vraiment très sociale honnêtement ~cette autre personne dont je n’ai pas retenu la Qualification~ ...mais pas assez sociale pour m’aider !
Apparemment, à Bee’tch’moov-land, ils ont retenu surtout que je me suis fait piraté. Et “donc” la PRIORITÉ était de récupérer mon compte “parce que” je ne sais plus quoi. En soit mon compte je m’en fout un peu.
Que je reste ou non sur Eldarya, oui non, si rien ne change, moi ma Gardienne ne met plus les pieds sur le Forum si je vois que des individus malfaisants comme @Cendrillon sont toujours dans la Modération sachant ce qu’ILS racontent derrière le dos des CLIENTS de leur Entreprise.
Mais ça, ils s’en fichent complètement ! A une puissance incroyable :D !
J’ai répété 150 fois que je suis venu, pour dénoncer les agissements de certains Modérateurs... mais “le plus important est de sauver mon compte”.
Vous savez, je n’avais clairement pas l’intention de redire ce que j’avais déjà dis sur Tumblr ME concernant en face à face aux Représentants de Beemoov.
Dans ma pochette il y avait les screens des Modérateurs et leurs potes qui s’amusent à se moquer de plein de Joueuses d’Amour Sucré ET Eldarya sur Discord, parce qu’ils ont rien de mieux à faire de leur vie pathétique.
Dans ma pochette il n’y avait RIEN - ME - concernant !
Moi je suis venu à Bee’tch’moov-land en porte parole en fait.
Parce que pas tout le monde a des couilles, (et comme vous avez vu, j’en ai belles et biens ! Parce que je ne dis pas quelque chose sans savoir ce que je dis et ça il fallait le retenir :D) il y a toujours des victimes qui restent dans l’Ombre, et clairement, ces victimes des Modérateurs incompétents n’auraient JAMAIS fait ce que moi j’ai fais. Au final leurs victimes s’accumulaient toujours plus jusqu’à ce que moi même je sois victime de la Connerie de @Cendrillon qui a cru que son statut de “Princesse Discount” allait la sauver, ainsi que ses potes.
...Eh bien bravo @Cendrillon & Compagnie ! Sois rassurée ! Je pense que tu vas rester une “Princesse Discount” de Bee’tch’moov-land, toi, ainsi que les autres Connasses dans ton genre (yes Bee’tch je le pense toujours autant !) tout simplement parce que, à Bee’tch’moov-land PERSONNE ne semble au courant de ce qui se passe sur le Forum d’Eldarya :D !
Ah nan mais attendez ! Le plus drôle c’est que, quand j’ai cité un Administrateur, autrement dit quelqu’un de SALARIÉ...vous savez ce que la petite dame ainsi que @Poulpakéké (qui s’est joint à nous entre temps) m’ont répondu ?
“Hein ? Qui ? Je ne vois pas qui c’est... Moi non plus !... Nous avons trop de modérateurs vous comprenez...”
:’) ...ce à quoi j’ai répondu que je ne parlais plus de Modérateurs là, je parlais d’ADMINISTRATEUR. Y’en a pas 50 que je sache, bref.
Une Entreprise qui ne connait pas les pseudonymes de ses SALARIÉS est une Entreprise n’a pas de raison d’être, et ça, c’est la Conclusion.
L’une des Conclusions en réalité, car ne même pas vouloir lire les preuves CONTRE leurs Modérateurs REPRÉSENTANT BEEMOOV, c’est grave.
Non seulement ils n’ont pas voulu lire les preuves ni m’écouter (car j’ai dû forcer la conversation qui “tournait en rond” *clin d’oeil à @Poulpakéké* vu qu’ils me répétaient uniquement “SUPPORT SUPPORT SUPPORT”) mais ils ne voulaient pas non plus garder ma pochette, rose, achetée exprès pour eux, comportant 22 pages de preuves... (OUI ! 22 pages ! Parce que Synder et compagnie sont incroyablement bavards !) ...donc je suis venu en mode “Petit Chaperon Rouge”, seul, loin de chez moi, vulnérable, avec des “bonnes choses dans mon panier” qui auraient pu faire une bonne action Réelle après mon départ pour plein de joueuses, clientes de LEUR Entreprise. Mais du coup je suis parti en mode “Cendrillon” en laissant ma “pantoufle de verre” dans l’escalier. Pantoufle, aka, pochette remplie de preuves que je me doute qu’ils n’ont même pas dénié lire et qui a fini à la poubelle hein, on va pas s’attendre à un miracle hein ;D ! ...mais soit. Il y a quelque chose qu’ils ne savaient pas :
Ce jour là, j’avais prévu de leur donner ma pochette, “chose faite”, mais aussi de leur donner une Dernière Chance, la Chance Ultime de me prouver qu’ils en valent la peine...et également continuer mon repérage~ Conclusion :
Beemoov n’en vaut pas la peine. Clairement pas.
C’est pas du tout une incitation à la haine hein, vous pouvez continuer à jouer à leurs jeux tranquillement le temps que ça dure. Mais ne ça durera pas. Pas juste grâce à mes “pouvoirs magiques” mais pour trop de choses hyper révélatrices. Tenez j’en ai une bonne par exemple :
Savez vous pourquoi ils ne prennent pas les rendez-vous à Beemoov ?
“Nous sommes une petite structure, nous n’avons pas l’espace nécessaire pour accueillir les Clients !” :D
...j’ai fais une jolie métaphore filée concernant les Sirènes, et ça se résumait comme ça : A partir du moment qu’une Sirène a sorti la tête hors de l’eau, quoi qu’elle dise, son cerveau ne lui répète qu’une chose : Manger !
Et je suis du genre à adorer tirer les vers du nez, plus on croit ne rien me dire, plus je parle histoire de TE faire parler, car moi au final ce que je dis ce sont des choses que j’ai déjà dis se traduisant donc par un joli Chant de Sirène pendant qu’en fait je fais tout autre chose, comme analyser ce que je vois, entend et comprend. Faire du repérage quoi.
Je vous l’ai dis : je voulais voir en face à face à QUOI j’avais affaire :D !
Et j’ai même un petit secret qui peut être utile : A force de faire du lèche-vitrine ET en ayant travaillé dans la Vente dans divers enseignes différentes mais au système assez similaire concernant le Facing, justement, ben j’ai développé ma vision et mon attention. Je vois très loin, et j’enregistre ce que je vois, puis je repasse pour voir si les choses ont changé ou pas. Vous voulez un exemple ?
A coté du canapé mauve de Bee’tch’moov-land, se trouve une peluche de Poulpatata se trouvant prêt d’une fenêtre. Un bout de cette même peluche est donc visible depuis le passage piéton en face de Bee’tch’moov-land.
Tout ça pour dire que si je retiens des tout petits détails comme ça, je retiens les plus important. En soit je ne dis pas ça pour faire peur, je préfère toujours prévenir, comme ça ça évite que les gens fassent les étonnés x’) !
“Mais en fait je t’avais prevenu, d’où tu fais l’étonnée ?”
Bah oui, j’ai dis que j’irai à Bee’tch’moov-land, donc j’y suis aller.
Eh oui les gars ! C’est “la Princesse Disney” qui est aller à Bee’tch’moov-land, pendant que les fans de Game of Thrones préfèrent rester cacher derrière un écran et se croire tellement supérieurs alors que clairement non :’3 !
On ne me prend jamais au sérieux quand je le dis mais pourtant vous constatez bien que les Princesses - de l’Entreprise - Disney, s’en balek. Si elles veulent aller quelque part, elles y vont, Coronavirus ou pas ! ...Ils font ça aussi dans Game of Thrones à part baiser et tuer des gens ? Nan mais je veux dire... avec une personnalité “de bisounours” qui n’a pas l’air sérieuse et pourtant... :D ?!!
Crachez sur mes principes, faites moi passer pour tout et n’importe quoi, moi je cesserai jamais d’aimer ce que j’aime et être qui je suis pour le cul de personne. J’ai rien à envier et je le fais savoir, que ça plaise ou non.
...Du coup c’est la Fin de Screen Queen ! Merci d’avoir regardé cette série. :D
J’ai toujours pas versé une seule larme perso, mais ma Conclusion Personnelle, qui me rend fier, en tant que Créateur de Sugariel, c’est que j’ai compris que la Réelle Fin d’Eldarya, c’est véritablement : Le Retour à la Réalité.
Et ouais, nan désolé, je ne suis pas Ariana Grande dans la vraie vie, je sais qu’on aurait pu croire parce que quand on s’exprime avec des gifs d’un même personnage psychologiquement on met un visage à la personne qui les utilise, tout comme, psychologiquement on croit que dans la Réalité un personnage en pixels ressemble FORCÉMENT à son créateur (n’est-ce pas @LeGrandMéchantLoup ? Tmtc !) ...vous devriez retenir ça car cela éviterait des déceptions et des étonnements, tout comme l’image que j’avais de Bee’tch’moov-land en fait :3 !
Je pensais que depuis le temps c’était une Entreprise digne de ce nom, digne de son énoooorme fanbase internationale, française, anglaise, espagnole, avec un petit peu de russe et j’en passe... quel choc de voir que c’est en fait une microscopique entreprise remplie de personnes incompétentes.
Je ne suis pas déçu, vu que j’étais déjà déçu, et je ne m’attendais vraiment pas à grand chose, disons plutôt que je voulais en avoir le coeur net, et c’est fait ! Je suis quasiment comblé de mon aventure sur Eldarya. Tout ce qu’il manque pour conclure définitivement et réellement c’est...
Le Kraken.
Hum hum. Laissons Corona’ faire la fête encore un peu, et ensuite ce sera au tour du Kraken. Personnellement j’adore les Tribunaux ! ...qui veut venir ? Alleeez quoi ce sera la Fête du $iècle ! Je pense que je remettrai mon ~Noir à Lèvres~ ce jour là car ça me rend plus Bavard que je le suis déjà :D ! J’ai aussi un pantalon noir et blanc pour un coté “Martyre” ça sera hyper stylé ! ...ou alors un costard ? Ça sera méga classe ça ! L’unicolore est devenu Tendance en plus je ne sais pas si vous avez vu ! Alala j’hésite... bon on verra hein ! J’ai hâte. :D
FIN. Et encore Merci à toutes mes Totally $pies :’)
💜💗🖤💙💚🖤💙💞💕💝💖
Quand il s’agit de Respect, moi je vais jusqu’au bout. Yes Bee’tch :
💥💥💥💥💥💥💥💥💥💥💥💥
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Pass the happy along! 💛 When you get this reply with 5 things that make you happy and send this to the last 10 people in your notifications 😘
ce qui me rend heureuse c est:
1) ne pas participer à des chaînes
2)ne pas participer à des chaînes en anglais
3)comme le 1
4) comme le 2
5) comme le 1,2,3 et 4
N’y voyez aucune malice.
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NUIT DE L’ENFER
J’ai avalé une fameuse gorgée de poison. – Trois fois béni soit le conseil qui m’est arrivé ! – Les entrailles me brûlent. La violence du venin tord mes membres, me rend difforme, me terrasse. Je meurs de soif, j’étouffe, je ne puis crier. C’est l’enfer, l’éternelle peine ! Voyez comme le feu se relève ! Je brûle comme il faut. Va, démon !
J’avais entrevu la conversion au bien et au bonheur, le salut. Puis-je décrire la vision, l’air de l’enfer ne soufre pas les hymnes ! C’était des millions de créatures charmantes, un suave concert spirituel, la force et la paix, les nobles ambitions, que sais-je ?
Les nobles ambitions !
Et c’est encore la vie ! – Si la damnation est éternelle ! Un homme qui veut se mutiler est bien damné, n’est-ce pas ? Je me crois en enfer, donc j’y suis. C’est l’exécution du catéchisme. Je suis esclave de mon baptême. Parents, vous avez fait mon malheur et vous avez fait le vôtre. Pauvre innocent ! – L’enfer ne peut attaquer les païens. – C’est la vie encore ! Plus tard, les délices de la damnation seront plus profondes. Un crime, vite, que je tombe au néant, de par la loi humaine.
Tais-toi, mais tais-toi !… C’est la honte, le reproche, ici : Satan qui dit que le feu est ignoble, que ma colère est affreusement sotte. – Assez !… Des erreurs qu’on me souffle, magies, parfums, faux, musiques puériles. – Et dire que je tiens la vérité, que je vois la justice : j’ai un jugement sain et arrêté, je suis prêt pour la perfection… Orgueil. – La peau de ma tête se dessèche. Pitié ! Seigneur, j’ai peur. J’ai soif, si soif ! Ah ! l’enfance, l’herbe, la pluie, le lac sur les pierres, le clair de lune quand le clocher sonnait douze… le diable est au clocher, à cette heure. Marie ! Sainte-Vierge !… – Horreur de ma bêtise.
Là-bas, ne sont-ce pas des âmes honnêtes, qui me veulent du bien… Venez… J’ai un oreiller sur la bouche, elles ne m’entendent pas, ce sont des fantômes. Puis, jamais personne ne pense à autrui. Qu’on n’approche pas. Je sens le roussi, c’est certain.
Les hallucinations sont innombrables. C’est bien ce que j’ai toujours eu : plus de foi en l’histoire, l’oubli des principes. Je m’en tairai : poëtes et visionnaires seraient jaloux. Je suis mille fois le plus riche, soyons avare comme la mer.
Ah ça ! l’horloge de la vie s’est arrêtée tout à l’heure. Je ne suis plus au monde. – La théologie est sérieuse, l’enfer est certainement en bas – et le ciel en haut. – Extase, cauchemar, sommeil dans un nid de flammes.
Que de malices dans l’attention dans la campagne… Satan, Ferdinand, court avec les graines sauvages… Jésus marche sur les ronces purpurines, sans les courber… Jésus marchait sur les eaux irritées. La lanterne nous le montra debout, blanc et des tresses brunes, au flanc d’une vague d’émeraude…
Je vais éveiller tous les mystères : mystères religieux ou naturels, mort, naissance, avenir, passé, cosmogonie, néant. Je suis maître en fantasmagories.
Écoutez !…
J’ai tous les talents ! – Il n’y a personne ici et il y a quelqu’un : je ne voudrais pas répandre mon trésor. – Veut-on des chants nègres, des danses de houris ? Veut-on que je disparaisse, que je plonge à la recherche de l’anneau ? Veut-on ? Je ferai de l’or, des remèdes.
Fiez-vous donc à moi, la foi soulage, guide, guérit. Tous, venez, – même les petits enfants, – que je vous console, qu’on répande pour vous son cœur, – le cœur merveilleux ! – Pauvres hommes, travailleurs ! Je ne demande pas de prières ; avec votre confiance seulement, je serai heureux.
– Et pensons à moi. Ceci me fait peu regretter le monde. J’ai de la chance de ne pas souffrir plus. Ma vie ne fut que folies douces, c’est regrettable.
Bah ! faisons toutes les grimaces imaginables.
Décidément, nous sommes hors du monde. Plus aucun son. Mon tact a disparu. Ah ! mon château, ma Saxe, mon bois de saules. Les soirs, les matins, les nuits, les jours… Suis-je las !
Je devrais avoir mon enfer pour la colère, mon enfer pour l’orgueil, – et l’enfer de la caresse ; un concert d’enfers.
Je meurs de lassitude. C’est le tombeau, je m’en vais aux vers, horreur de l’horreur ! Satan, farceur, tu veux me dissoudre, avec tes charmes. Je réclame. Je réclame ! un coup de fourche, une goutte de feu.
Ah ! remonter à la vie ! Jeter les yeux sur nos difformités. Et ce poison, ce baiser mille fois maudit ! Ma faiblesse, la cruauté du monde ! Mon Dieu, pitié, cachez-moi, je me tiens trop mal ! – Je suis caché et je ne le suis pas.
C’est le feu qui se relève avec son damné.
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DESCRIPTION :
Comme déjà dit, ce poème de Rimbaud semble d’être triste et qu’il est déprimé. Le dessin du tentateur de Tenniel présente un vieil homme qui pense au suicide, avec le diable juste au côté pour lui aider. Ce dessin est pertinent à cette série de poèmes. Rimbaud, déprimé et sans espoir, écrivait de la mort et de l’enfer, et les scénarios imaginaires où il meurt. Avec le diable qui accompagne, la poésie de Rimbaud présent ses rapports difficiles avec lui et la mort.
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Crédit photo :
The Tempter (Le tentateur)
Sir John Tenniel, 1886. Dessin. The Metropolitan Museum of Art
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Crédit texte :
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Text
Une journée au château de plaisir.
Ecrit par Eugène Leblanc
Bernadette, Christian, Corine, Ludwig-Octave, Muriel et Sylvie sont six ami.e.s en vacances dans une maison. Iels y prennent tellement de plaisir qu'on se croit au château de Plaisir (78370).
Ceci est un teleplay, un scénario de sitcom qui narre une de leures nombreuses aventures pleines de plaisir.
Régalez-vous.
1 INT. MATIN CUISINE
Christian, Sylvie, Muriel dégustent sensuellement leur petit-déjeuner à base de tartines et de LION.
Christian
Putain je suis vieux. Je pensais pas arriver à ce jour, je vais commencer à avoir des sacrés responsabilités. Aujourd'hui j'ai mon bac, et demain ce sera quoi, un enfant ?
Sylvie
C'est clair ! Surtout toi !
Christian
Pourquoi moi?
Sylvie
Je te signale que t'as soufflé sur les toilettes pour les déboucher, donc toi avec un enfant...
Christian
Mais non, je soufflais sur un insecte. Et même, qu'est-ce que t'en sais? Je suis déjà responsable et je fais très bien la cuisine, comme le guacamole. Je suis un vrai petit chef! Mais j'arrive pas à croire que le bac c'est déjà fini.
Muriel
Alors que Monsieur Bacalegumm disait qu'on allait pas l'avoir.
Sylvie
Ouais mais il était bizarre.
Muriel
C'est vrai, une fois il était venu en cours en slip et c'était comme si qu'il avait pas de zizi, on était perdues.
Sylvie
Corine pourrait te le dire. Ah d'ailleurs, la voilà.
Corine arrive.
Corine
Tu parles, il a failli finir à poil... Devant des jeunes en plus...
Christian Se mettre à poil devant des jeunes c'est souvent craignos. Sauf si c'est des enfants. Ça doit être si libérant de se mettre à nu devant une école primaire. Je suis sûr que tu peux te mettre nu devant une école primaire et aucun enfant ne te jugera. On a beaucoup à apprendre d'eux, nous les adultes...
Corine Toi, alors...
2 INT. MATIN Chambre de Bernadette
Bernadette est réveillée par des cris étranges venant du grenier adjacent à sa chambre. Elle s'aventure dans le grenier. ZOOM sur un bébé blond et bien habillé, qui gueule comme une poissonnière de Ménilmontant.
Bernadette, choquée
Bah! Mais qu’est-ce que c’est que ça? Alors donc ? Hein ?
Elle brandit le bébé par les pieds.
3 INT. MATIN Cuisine
Bernadette présente le bébé par les pieds à Corine, Christian, Sylvie et Muriel.
Bernadette
Regardez ce que j’ai trouvé les copains!
Muriel
Ololo dis donc!
Sylvie
Ah ouais.
Corine
Ahah c’est un bébé!
Christian
Oui! Ah bah… C’est cocasse…
Corine
Qu’est-ce qu’on peut bien en faire, alors?
Bernadette
On peut lui demander de faire un guacamole?
Christian
Non, mais il faut d’abord le nommer. Pourquoi pas Lionel?
Sylvie
Mais t’es niguedouille ou quoi? Faut d’abord trouver son genre avant de trouver son nom!
Muriel
Je pense que c’est un peu tôt pour lui imposer un rôle, non?
Sylvie
Oui, on peut au moins déterminer son sexe.
Christian
Mais oui!
Christian sort un tableau sur lequel un pénis et une vulve sont dessinés.
Christian
Vous voyez, si le bébé a ceci (pointe le pénis) c’est un zizi! Si le bébé a ça (pointe la vulve), c’est une zezette. Eh ouais. Mais en attendant, il faut bien s’en occuper.
Ludwig-Octave entre.
Ludwig-Octave
Ah ouais on a un bébé? Trop délire!
4 INT. JOUR Salle de bain
Christian brosse les dents du bébé avec passion.
Christian
Dis “Aaaaaah” !
Le bébé ne dit pas “Aaaaaah”.
5 INT. JOUR Chambre de Christian.
Christian éduque le bébé, assis sur son lit. Il lui lit « Le Mythe de Sisyphe » .
Christian
Il n’y a qu’un problème philosophique vraiment sérieux: c’est le suicide. Juger que la vie vaut ou ne vaut pas la peine d’être vécue, c’est répondre à la question fondamentale de la philosophie.
Christian écoute « Wati House » avec le bébé, sous le regard consterné de Bernadette, en arrière-plan.
Christian lui lit “Les rivages et marais du monde”
Christian
Le crocodile dans les marécages. Tu sais qu'il peut tuer des petits enfants, tout comme toi. Et après il les mange, les digère, et ça devient du caca. C'est pour ça que l'eau est marron. Tu vois le crocodile?
Il pointe du doigt une image de Hippopotame.
Christian (cont’d)
Il s’appelle “Hippopotame”!
C’était vraiment très intéressant.
6 INT. JOUR SALON
Sylvie et Muriel sont en face du bébé.
Muriel
Bon alors, Nous on aimerais bien savoir ce qu’il se passe chez toi. Tout Particulièrement au niveau de par-là.
Muriel pointe du doigt l’entrecuisse du bébé.
Sylvie
Surtout que si on sait pas, on saura pas quoi faire de toi. Au BAC j’ai eu 17,5/20 en Éducation Physique et Sportive, mais j’ai pas fait d’Education de petit gamin qui chiale.
Le bébé ne donne aucun signe de vie. Ludwig-Octave passe derrière lui avec un couteau.
Muriel
Bon, déjà t’es qui? T’es quoi? Comment? Hein? Peut-on séparer l’homme de l’artiste? Allez? Tu fais quoi? Quand tu vas te réveiller, hein? Tu peux nous parler?
Sylvie
Comment tu fais pour faire pipi? T’as un Eurostar ou un Eurotunnel?
Sylvie (cont’d)
Sinon on peut lui donner à boire et on voit ce que ça fait?
Sylvie va prendre un verre d’eau.
Muriel
Allez, c’est parti. Mon kiki.
Elles renversent le verre d’eau sur la gueule de con du bébé.
Sylvie
Tu fais pipi?
Muriel
Eh beh, j’ai l’impression qu’il est tout mouillé…
7 EXT. JOUR TERRASSE
Elles font sécher le bébé.
Muriel
Bon, on fait quoi maintenant?
Corine débarque.
Corine
Sinon vous mettez plus d’eau? Avec ça, iel sera obligé.e de parler !
Corine ramène un vase d’eau. Il y a au moins 2 vessies (une vessie a une capacité d’environ 500 mL) d’eau là-dedans. Sylvie place le bébé dans un récipient où on met les fruits. Elle le donne à Sylvie et Muriel, qui le versent sur le bébé.
Sylvie
ALLEZ PARLE !
Corine
TU VEUX CREVER C’EST ÇA ?
Muriel
PRENDS DE L’EAU !
Après avoir vidé le vase, Sylvie et Muriel s’en vont déçues.
Sylvie
Ça marche pas…
Corine regarde le bébé avec malice.
8 EXT. JOUR DEVANT LA POUBELLE
Alors qu’Bernadette jette un paquet de Kinder Pingui à la poubelle, elle aperçoit le bébé dans la poubelle. ZOOM sur le bébé blond et bien habillé, qui gueule comme une poissonnière de Ménilmontant.
Bernadette (choquée)
Bah! Mais qu’est-ce que c’est que ça? Alors donc ? Hein ?
Elle brandit le bébé par les pieds.
9 INT. JOUR SALON
Bernadette présente le bébé par les pieds à Corine, Christian, Sylvie et Muriel.
Bernadette
Regardez ce que j’ai trouvé dans la poubelle les copains!
Muriel
Encore? C’est la tuile!
Sylvie
Ah ouais.
Corine, imitant le cheval
Hihihihihi.
Christian
Oh non! Oh bah non… Alors ça! D’abord ça, et après ça! Ça fait beaucoup là, non? Pas au bébé… C’est embarrassant… J'apprécie moyennement ce qui se passe… C’est con, surtout pour le bébé, je lui ai pas encore appris les différents types de poubelle en plus! Aïe.
Bernadette
Mais c’est qui le minable qui a bien pu faire ça?
Christian
J’en sais rien moi! Mais une chose est sûre, le bébé a été retrouvé jeté dans la poubelle, et quelqu’un est responsable! Puisque quelqu’un lui veut du mal, on verra qui s’occupe bien du bébé. Vous allez tous cuisiner pour le bébé, et à la fin on verra qui c’est qui est méchant.
Ludwig-Octave passe derrière avec une clé anglaise.
Ludwig-Octave
Ah ouais, quelqu’un a jeté le bébé à la poubelle? C’est craignos.
10 INT. JOUR CUISINE
Chacun est devant une assiette. Christian inspecte les assiettes une-par-une.
Christian, à Sylvie.
C’est quoi ça?
Sylvie
Des pâtes délicieuses.
Christian, à Muriel.
C’est quoi ça?
Muriel
Ce sont deux Kinder pingui.
Christian, à Bernadette.
C’est quoi ça?
Bernadette
Du guacamole.
Christian, à Corine.
Miam. Mais qu’est-ce que tu nous as fait Corine? Ça me semble louche.
Corine
Mais non, c’est juste une spécialité bretonne.
Ludwig-Octave passe par là.
Ludwig-Octave
T’en es sûre?
Corine
Bien sûr, tu peux même goûter.
Ludwig-Octave
Pourquoi pas. Après tout, ça doit faire au moins douze jours depuis que je n’ai pas mangé.
Ludwig-Octave prends une bouchée. Il se met à vomir et à cracher du sang partout, sur l’assiette, sur la table, sur la fenêtre et sur ses ami.e.s. C’est pas joli à voir. J’aurais pas aimé être là. Ludwig-Octave s’effondre.
Tout le monde
Oh non, pas Ludwig-Octave !
Christian
Alors Corine? Ta recette pour le bébé n’est qu’une ruse pour s’en débarrasser, une fois de plus! Mais pourquoi?
Corine
C’est vrai, vous avez trouvé. Vous êtes vraiment très perspicace. Si j’ai voulu me débarrasser du bébé, c’est parce qu’avec lui, j’avais peur que mon parc d’attraction perde des visiteurs! Voilà, vous savez tout maintenant.
Sylvie
Allez, c’en est trop. À la cave!
11 INT. JOUR CAVE
Le groupe jette Corine à la cave. Bernadette frappe Corine avec son pied. Christian frappe Corine avec son pied. Sylvie frappe Corine avec son pied. Muriel frappe Corine avec son pied.
Sylvie
Et j’espère que tu auras appris ta leçon!
Christian
Ouais!
Muriel
Carrément, ouais!
12 EXT. JOUR JARDIN
Les quatre enterrent Ludwig-Octave.
Christian
Ça fait rire les oiseaux Ça fait chanter les abeilles Ça chasse les nuages Et fait briller le soleil
Sylvie
Ça fait rire les oiseaux Et danser les écureuils Ça rajoute des couleurs Aux couleurs de l'arc-en-ciel
Muriel
Une chanson d'amour C'est comme un looping en avion: Ça fait battre le cœur Des filles et des garçons
Bernadette
Ça fait rire les oiseaux Oh, oh, oh, rire les oiseaux Ça fait rire les oiseaux Oh, oh, oh, rire les oiseaux
Christian
C’est fini, fin de parcours.
Bernadette
Mais là on est tous plein de sang et de vomi, faudrait peut-être se laver, non?
Sylvie
Allez, à la douche.
13 INT. JOUR SALON
Bernadette, Christian, Sylvie et Muriel sont propres et mangent des kinder pingui pour le goûter.
Muriel
Avec tout ça, on sait toujours pas le sexe du bébé…
Sylvie
On a tout essayé: on lui a demandé de nous dire.
Christian
Si seulement il y avait un moyen de savoir le sexe sans prélever l’ADN sur ses cheveux pour dresser un caryotype et ainsi observer si iel possède un chromosome X et un chromosome Y ou deux chromosomes X, ou encore de lui faire un prélèvement d’hormones.
Muriel
Il semblerait bien qu’on est dos au mur, les copains…
Bernadette
On regarde son sexe.
Christian
Et l’anus?
Bernadette
Bah non, on regarde le sexe comme ça on sait.
Sylvie
Mais oui! Il suffit d’observer son sexe.
Muriel
Vous me permettez de le faire? J’aimerais bien le déshabiller, le petit minot.
Sylvie, lui donnant le bébé.
Si ça te fais plaisir.
Muriel
Merci. Et ça me FAIT plaisir.
Voilà qu’avec toute la douceur et la sensualité qui la caractérisent, Muriel déshabille le bébé.
Sylvie
Wow, je suis… épatée.
Christian
Jamais je n’avais vu une telle maîtrise de dévêtement d’enfant.
Toute la pièce se concentre sur le désapage du bébé. Quand, soudain, Muriel posa les vêtements, et constata l’organe qui s’y trouva.
Muriel
Zizi.
Sylvie
Oui, zizi. Je dirais même plus: zigounette.
Christian
C’est un Chihuahua, une Banane, un pompon, une Tour de garde, le Phare d'Alexandrie, un château d'eau, Zlatan Ibrahimovic, un arrosoir, une grue, Fabien Barthez- (interrompu)
Muriel
Paul-Didier! On peut l’appeler Paul-Didier!
Sylvie
C’est super chouette Paul-Didier! Et en plus ça marche aussi au féminin: Paule avec un e et Didière avec un e.
Muriel
Ah c���est vrai. Donc ça servait à rien, tout ce qu’on a fait? C’est malin…
Sylvie
Mais maintenant on sait comment déshabiller un enfant.
Muriel
En fait, quel que soit son sexe, ça revenait au même. Je pense que finalement, on a tous appris une leçon.
Ludwig-Octave, plein de terre et avec une machette.
Ah le bébé c’était un garçon? Eh bah dis donc…
Chacun passe devant la caméra pour expliquer ce qu’iel a appris.
Muriel
J’ai appris qu’en dépit des séparations qu’un individu peut ressentir dans une société, l’individu n’est déterminé.e que par ses propres décisions, et non la biologie, et donc qu’assigner un sexe à quelqu’un est limitant.
Sylvie
J’ai appris que pour déshabiller un enfant il suffit de pincer le haut délicatement, d’enlever les bras des manches et de descendre les vêtements. Le tout avec douceur et respect de l’autre.
Christian
J’ai appris qu’il vient un moment dans la vie de chacun dans lequel il faut prendre ses responsabilités et les accepter, afin de devenir un adulte libre.
Bernadette
J’ai appris à faire du guacamole. Christian en a fait cinq fois en quatre jours.
Corine
J’ai appris que c’était pas bien d’être méchant.
Ludwig-Octave, plein de terre
J’ai appris que plus un psychologue — un psychologue prédestiné et un devineur d’âmes — se tourne vers les cas et les hommes exceptionnels, plus est grand le danger pour lui d’être étouffé par la compassion. Il a besoin de dureté et de gaieté plus qu’avec un autre homme. Car la corruption, la course à l'abîme des hommes supérieurs, des âmes d’espèce étrange, est la règle. Or il est terrible d’avoir toujours cette règle devant les yeux. Le martyre compliqué du psychologue qui a découvert cette course à l’abîme, qui découvre une fois, puis presque toujours à nouveau et dans l’histoire tout entière, cette complète « désespérance » intérieure de l’homme supérieur, cet éternel « trop tard ! » dans tous les sens, — ce martyre, dis-je, pourra, un jour, être cause que l’homme supérieur se tourne avec amertume contre sa propre destinée, et tente de se détruire — de se faire « périr » lui-même. On remarque chez presque tous les psychologue un penchant significatif et un plaisir à fréquenter des hommes vulgaires, les hommes qui vivent selon la règle : le psychologue laisse deviner par là qu’il a toujours besoin de guérir, qu’il a besoin de fuir, d’oublier, de rejeter ce que son regard et son scalpel, ce que son « métier » lui a mis sur la conscience. La crainte de sa mémoire lui est particulière. Il lui arrive souvent de se taire devant le jugement d’autrui : alors il écoute avec un visage impassible, pour entendre comment on honore, on admire, on aime, on glorifie, là où il s’est contenté de regarder. Ou bien il cache encore d’avantage son mutisme en approuvant expressément une quelconque opinion de premier plan. Peut-être le caractère paradoxal de sa situation s’approche-t-il tellement de l’épouvantable que la masse, les civilisés, les exaltés, apprendront de leur côté la haute vénération, quand lui n’a éprouvé que la grande pitié à côté du grand mépris, — la vénération pour les « grands hommes » et les bêtes prodigieuses, à cause desquels on bénit et on honore sa patrie, la terre, la dignité humaine et soi-même, proposant ces hommes comme modèle et comme système d’��ducation à la jeunesse, voulant façonner la jeunesse d’après eux… Et qui sait si jusqu’à présent, dans tous les cas importants le phénomène ne s’est pas produit : la multitude adorait un Dieu, — et le « Dieu » n’était qu’une pauvre victime ! Le succès fut toujours un grand menteur, — et l’« œuvre » elle-même est un succès ; le grand homme d’État, le conquérant, l’inventeur sont déguisés dans leurs créations jusqu’à en être méconnaissables. L’« œuvre », celle de l’artiste, du philosophe, invente d’abord celui qui l’a créée, que l’on suppose l’avoir créée ; les « grands hommes » tels qu’ils sont honorés, sont de mauvais petits poèmes faits après coup ; dans le monde des valeurs historiques règne le faux monnayage. Ces grands poètes par exemple, les Byron, les Musset, les Poë, les Léopardi, les Kleist, les Gogol (je n’ose nommer de plus grands noms, mais c’est à eux que je pense), — tels qu’ils sont, tels qu’ils doivent être, comme il semble — hommes du moment, exaltés, sensuels, enfantins, passant brusquement et sans raison de la confiance à la défiance ; avec des âmes où se cache généralement quelque fêlure ; se vengeant souvent par leurs ouvrages d’une souillure intime, cherchant souvent par leur essor à fuir une mémoire trop fidèle, souvent égarés dans la boue et s’y complaisant presque, jusqu’à ce qu’ils deviennent semblables aux feux follets qui, s’agitant autour des marécages, se déguisent en étoiles — le peuple les appelle alors idéalistes, — souvent en lutte avec un long dégoût, avec un fantôme d’incrédulité qui reparaît sans cesse, les refroidit et les réduit à avoir soif de gloire, à se repaître de la « foi en eux-mêmes » que leur jette quelques flatteurs enivrés. Quels martyrs sont ces grands artistes et en général les hommes supérieurs aux yeux de celui qui les a une fois devinés ! Il est bien compréhensible que, pour la femme — qui est clairvoyante dans le monde de la souffrance, et malheureusement aussi avide d’aider et de secourir bien au-delà de ses forces, — les grands hommes aient été une proie si facile aux explosions d’une compassion immense et dévouée qui va jusqu’au sacrifice. Mais la foule, et surtout la foule qui vénère, ne les comprend pas, et elle charge cette pitié d’interprétations indélicates et vaniteuses. Aussi la compassion se trompe-t-elle invariablement sur sa force : la femme voudrait se persuader que l’amour peut tout, — c’est là sa superstition propre. Hélas ! celui qui connaît le cœur humain devine combien pauvre, impuissant, présomptueux, inhabile, est l’amour, même le meilleur, même le plus profond, combien il détruit plus qu’il ne réconforte ! — Il est possible que, sous la fable sainte et le déguisement de la vie de Jésus, se cache un des cas les plus douloureux du martyre de la conscience de l’amour, le martyre du cœur le plus innocent et le plus avide, auquel ne suffisait aucun amour humain, du cœur qui désirait l’amour, qui voulait être aimé et rien que cela, avec dureté, avec frénésie, avec de terribles explosions contre ceux qui lui refusaient l’amour. C’est l’histoire d’un pauvre être insatisfait et insatiable dans l’amour d’un être qui dut inventer l’enfer pour y précipiter ceux qui ne voulaient pas l’aimer, — et qui, enfin éclairé sur l’amour des hommes, fut forcé d’inventer un Dieu qui fût tout amour, totalement puissance d’amour, — qui eût pitié de l’amour humain parce que cet amour est si misérable, si ignorant ! Celui qui sent ainsi, qui connaît ainsi l’amour — cherche la mort. Mais pourquoi poursuivre des choses aussi douloureuses ? En supposant qu’on n’y soit pas obligé. —
Muriel
On dirait que tout est revenu à la normale!
Tout le monde rigole. FIN.
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"LA RASADE DES SOURCES" DE L'ENFER (Musique de Hasse - "Fonti che a sorso") https://youtu.be/ciQ4UR8ldcE J’ai avalé une fameuse gorgée de poison. – Trois fois béni soit le conseil qui m’est arrivé ! – Les entrailles me brûlent. La violence du venin tord mes membres, me rend difforme, me terrasse. Je meurs de soif, j’étouffe, je ne puis crier. C’est l’enfer, l’éternelle peine ! Voyez comme le feu se relève ! Je brûle comme il faut. Va, démon !
J’avais entrevu la conversion au bien et au bonheur, le salut. Puis-je décrire la vision, l’air de l’enfer ne soufre pas les hymnes ! C’était des millions de créatures charmantes, un suave concert spirituel, la force et la paix, les nobles ambitions, que sais-je ?
Les nobles ambitions !
Et c’est encore la vie ! – Si la damnation est éternelle ! Un homme qui veut se mutiler est bien damné, n’est-ce pas ? Je me crois en enfer, donc j’y suis. C’est l’exécution du catéchisme. Je suis esclave de mon baptême. Parents, vous avez fait mon malheur et vous avez fait le vôtre. Pauvre innocent ! – L’enfer ne peut attaquer les païens. – C’est la vie encore ! Plus tard, les délices de la damnation seront plus profondes. Un crime, vite, que je tombe au néant, de par la loi humaine.
Tais-toi, mais tais-toi !… C’est la honte, le reproche, ici: Satan qui dit que le feu est ignoble, que ma colère est affreusement sotte. – Assez !… Des erreurs qu’on me souffle, magies, parfums, faux, musiques puériles. – Et dire que je tiens la vérité, que je vois la justice: j’ai un jugement sain et arrêté, je suis prêt pour la perfection… Orgueil. – La peau de ma tête se dessèche. Pitié ! Seigneur, j’ai peur. J’ai soif, si soif ! Ah ! l’enfance, l’herbe, la pluie, le lac sur les pierres, le clair de lune quand le clocher sonnait douze… le diable est au clocher, à cette heure. Marie ! Sainte-Vierge !… – Horreur de ma bêtise.
Là-bas, ne sont-ce pas des âmes honnêtes, qui me veulent du bien… Venez… J’ai un oreiller sur la bouche, elles ne m’entendent pas, ce sont des fantômes. Puis, jamais personne ne pense à autrui. Qu’on n’approche pas. Je sens le roussi, c’est certain.
Les hallucinations sont innombrables. C’est bien ce que j’ai toujours eu: plus de foi en l’histoire, l’oubli des principes. Je m’en tairai: poëtes et visionnaires seraient jaloux. Je suis mille fois le plus riche, soyons avare comme la mer.
Ah ça ! l’horloge de la vie s’est arrêtée tout à l’heure. Je ne suis plus au monde. – La théologie est sérieuse, l’enfer est certainement en bas – et le ciel en haut. – Extase, cauchemar, sommeil dans un nid de flammes.
Que de malices dans l’attention dans la campagne… Satan, Ferdinand, court avec les graines sauvages… Jésus marche sur les ronces purpurines, sans les courber… Jésus marchait sur les eaux irritées. La lanterne nous le montra debout, blanc et des tresses brunes, au flanc d’une vague d’émeraude…
Je vais éveiller tous les mystères: mystères religieux ou naturels, mort, naissance, avenir, passé, cosmogonie, néant. Je suis maître en fantasmagories.
Écoutez !…
J’ai tous les talents ! – Il n’y a personne ici et il y a quelqu’un: je ne voudrais pas répandre mon trésor. – Veut-on des chants nègres, des danses de houris ? Veut-on que je disparaisse, que je plonge à la recherche de l’anneau ? Veut-on ? Je ferai de l’or, des remèdes.
Fiez-vous donc à moi, la foi soulage, guide, guérit. Tous, venez, – même les petits enfants, – que je vous console, qu’on répande pour vous son coeur, – le coeur merveilleux ! – Pauvres hommes, travailleurs ! Je ne demande pas de prières; avec votre confiance seulement, je serai heureux.
– Et pensons à moi. Ceci me fait peu regretter le monde. J’ai de la chance de ne pas souffrir plus. Ma vie ne fut que folies douces, c’est regrettable.
Bah ! faisons toutes les grimaces imaginables.
Décidément, nous sommes hors du monde. Plus aucun son. Mon tact a disparu. Ah ! mon château, ma Saxe, mon bois de saules. Les soirs, les matins, les nuits, les jours… Suis-je las !
Je devrais avoir mon enfer pour la colère, mon enfer pour l’orgueil, – et l’enfer de la caresse; un concert d’enfers.
Je meurs de lassitude. C’est le tombeau, je m’en vais aux vers, horreur de l’horreur ! Satan, farceur, tu veux me dissoudre, avec tes charmes. Je réclame. Je réclame ! un coup de fourche, une goutte de feu.
Ah ! remonter à la vie ! Jeter les yeux sur nos difformités. Et ce poison, ce baiser mille fois maudit ! Ma faiblesse, la cruauté du monde ! Mon dieu, pitié, cachez-moi, je me tiens trop mal ! – Je suis caché et je ne le suis pas.
C’est le feu qui se relève avec son damné.
Arthur RIMBAUD - Nuit en enfer -
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NUIT DE L’ENFER
J’ai avalé une fameuse gorgée de poison. – Trois fois béni soit le conseil qui m’est arrivé ! – Les entrailles me brûlent. La violence du venin tord mes membres, me rend difforme, me terrasse. Je meurs de soif, j’étouffe, je ne puis crier. C’est l’enfer, l’éternelle peine ! Voyez comme le feu se relève ! Je brûle comme il faut. Va, démon !
J’avais entrevu la conversion au bien et au bonheur, le salut. Puis-je décrire la vision, l’air de l’enfer ne soufre pas les hymnes ! C’était des millions de créatures charmantes, un suave concert spirituel, la force et la paix, les nobles ambitions, que sais-je ?
Les nobles ambitions !
Et c’est encore la vie ! – Si la damnation est éternelle ! Un homme qui veut se mutiler est bien damné, n’est-ce pas ? Je me crois en enfer, donc j’y suis. C’est l’exécution du catéchisme. Je suis esclave de mon baptême. Parents, vous avez fait mon malheur et vous avez fait le vôtre. Pauvre innocent ! – L’enfer ne peut attaquer les païens. – C’est la vie encore ! Plus tard, les délices de la damnation seront plus profondes. Un crime, vite, que je tombe au néant, de par la loi humaine.
Tais-toi, mais tais-toi !… C’est la honte, le reproche, ici : Satan qui dit que le feu est ignoble, que ma colère est affreusement sotte. – Assez !… Des erreurs qu’on me souffle, magies, parfums, faux, musiques puériles. – Et dire que je tiens la vérité, que je vois la justice : j’ai un jugement sain et arrêté, je suis prêt pour la perfection… Orgueil. – La peau de ma tête se dessèche. Pitié ! Seigneur, j’ai peur. J’ai soif, si soif ! Ah ! l’enfance, l’herbe, la pluie, le lac sur les pierres, le clair de lune quand le clocher sonnait douze… le diable est au clocher, à cette heure. Marie ! Sainte-Vierge !… – Horreur de ma bêtise.
Là-bas, ne sont-ce pas des âmes honnêtes, qui me veulent du bien… Venez… J’ai un oreiller sur la bouche, elles ne m’entendent pas, ce sont des fantômes. Puis, jamais personne ne pense à autrui. Qu’on n’approche pas. Je sens le roussi, c’est certain.
Les hallucinations sont innombrables. C’est bien ce que j’ai toujours eu : plus de foi en l’histoire, l’oubli des principes. Je m’en tairai : poëtes et visionnaires seraient jaloux. Je suis mille fois le plus riche, soyons avare comme la mer.
Ah ça ! l’horloge de la vie s’est arrêtée tout à l’heure. Je ne suis plus au monde. – La théologie est sérieuse, l’enfer est certainement en bas – et le ciel en haut. – Extase, cauchemar, sommeil dans un nid de flammes.
Que de malices dans l’attention dans la campagne… Satan, Ferdinand, court avec les graines sauvages… Jésus marche sur les ronces purpurines, sans les courber… Jésus marchait sur les eaux irritées. La lanterne nous le montra debout, blanc et des tresses brunes, au flanc d’une vague d’émeraude…
Je vais éveiller tous les mystères : mystères religieux ou naturels, mort, naissance, avenir, passé, cosmogonie, néant. Je suis maître en fantasmagories.
Écoutez !…
J’ai tous les talents ! – Il n’y a personne ici et il y a quelqu’un : je ne voudrais pas répandre mon trésor. – Veut-on des chants nègres, des danses de houris ? Veut-on que je disparaisse, que je plonge à la recherche de l’anneau ? Veut-on ? Je ferai de l’or, des remèdes.
Fiez-vous donc à moi, la foi soulage, guide, guérit. Tous, venez, – même les petits enfants, – que je vous console, qu’on répande pour vous son cœur, – le cœur merveilleux ! – Pauvres hommes, travailleurs ! Je ne demande pas de prières ; avec votre confiance seulement, je serai heureux.
– Et pensons à moi. Ceci me fait peu regretter le monde. J’ai de la chance de ne pas souffrir plus. Ma vie ne fut que folies douces, c’est regrettable.
Bah ! faisons toutes les grimaces imaginables.
Décidément, nous sommes hors du monde. Plus aucun son. Mon tact a disparu. Ah ! mon château, ma Saxe, mon bois de saules. Les soirs, les matins, les nuits, les jours… Suis-je las !
Je devrais avoir mon enfer pour la colère, mon enfer pour l’orgueil, – et l’enfer de la caresse ; un concert d’enfers.
Je meurs de lassitude. C’est le tombeau, je m’en vais aux vers, horreur de l’horreur ! Satan, farceur, tu veux me dissoudre, avec tes charmes. Je réclame. Je réclame ! un coup de fourche, une goutte de feu.
Ah ! remonter à la vie ! Jeter les yeux sur nos difformités. Et ce poison, ce baiser mille fois maudit ! Ma faiblesse, la cruauté du monde ! Mon Dieu, pitié, cachez-moi, je me tiens trop mal ! – Je suis caché et je ne le suis pas.
C’est le feu qui se relève avec son damné.
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DESCRIPTION :
Dans son poème Nuit de l’enfer, Rimbaud décrit une situation imaginée où il s’est tué de poison. Quand il meurt, il est emmené à l’enfer, où il est torturé encore une fois. Ce motif de la torture et de l’enfer est principal dans la collection de poèmes Une saison en enfer après la fin de son affaire avec Paul Verlaine. Rimbaud, déprimé et malicieux au monde, dénonce la religion et la piété. Il dénonce aussi sa faiblesse dans ce poème. Rimbaud a peur de mourir dans les circonstances qu’il décrit, et il déteste comment sa vie s’est passé jusqu’aux moments où il meurt ou il entre l’enfer. En conversation avec l’eau-forte de l’homme riche et Lazarus, l’homme de grandeur doit être traîné à l’enfer contre sa volonté. Pour Rimbaud, même s’il participe dans le processus (dans son imagination), il est évidemment opposé d’être là.
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Crédit photo :
The Rich Man Transported to Hell, from The Parable of the Rich Man and Lazarus (L’homme riche transporté à l’enfer, de la Parabole de l’homme riche et de Lazare)
Heinrich Aldegrever, 1554. Eau-forte. The Metropolitan Museum of Art
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