#Moumoutte
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Mon jeu du moment: Fire emblem Engage, le 17ème de la série :)
Dans celui-ci on peut retrouver un système de fusion avec des emblèmes représentées par les anciens personnages de la série. Celles-ci sont contenues dans des anneaux que vous devrez retrouver pour triompher du dragon déchu, Sombron.
Je vous présente la version Française :)
Genre: Tactical RPG au tour par tour.
Date de sortie: 20 janvier 2023
Développeur: Intelligent Systems
Éditeur: Nintendo
Plate-forme: Switch
Langue: Voix en japonais ou anglais, Sous titré Français. Interface en Français.
Prix: A partir de 44,99 €
Liste de tous les personnages Ici et des cadeaux ici (sur le site millenium)
Avis perso: un super jeu dans son genre :) Les personnages haut en couleur sont vraiment bien réalisés (mise à part le perso fille principal je trouve), les décors ont chacun leur effets, on a de bonnes musiques, la trame de l'histoire et le système d'emblèmes est bien foutu. Je regrette cependant qu'il n'y ai que le personnage principal qui puisse développer une affinités S avec un personnage jouable du jeu, et pas les autres. Mes perso préféré sont Pannette (une berseker qui défonce tout) Yunaka (j'esquive et jte tue facile, c'est top moumoutte!) et Pandreo (en mage et heal) si je devais faire mon top 3. Après y'a Merrin (cavalier lupin), Timerra (la lancière) et son frère Fogado (l'archer qui tire loin) qui sont pas mal dans leur Genre :)
Aperçu du jeu:
youtube
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Une pépiiiiite👜 Hello les girls!!! J'espère que vous avez passer un bon week-end? Je vous présente ma petite pépiiite que j'ai reçus ce week-end qui viens de chez @sweetycloset_ en ce moment j'ai une passion pour les choses en moumoute alors quand j'ai vue ce petit sac à main j'ai craqué il a une bonne taille pour pas mettre trop de bazard, mais a une bonne taille pour le portefeuille, les papiers de voiture et quelque petite chose essentielle d'une femme. Bon je savais pas quel photo choisir alors dite moi la quel vous préfèrez? #sacamain #shopping #shoppingaddict #moumoutte #weekend #lifestyle (à Angers, France) https://www.instagram.com/p/Cnur7tBNmC3/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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However whenever someone sneezes on moumoutte there's a foul.
Seriously
Gfdi
Hernández is just, so troublesome -
Sure he scored, but I thought he gave a penalty and judging by his position, you'd never guess he's supposed to defend and be on Varane's line -
Of course each time Morocco comes close Lloris, they come through the gap left by Hernandez -
Watching him play just makes me rage.
#wc 2022#Moumoutte damn it#Granted he's good today#Hopefully!#We need as many people as we can to counter hernandez lol
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Tel mère tel fille 😍 . Q'est que j'adore trouver des petites choses coup de coeur pour moi et ma princess ..... cette fois si des pull jaune moumoutte ihihih 😘 . Maman @stradivarius . Bebe @kiabi_official . #merefille #lookmerefille #lookdujour #shoppingday #shopping #pull #stradivarius #kiabifrance #enjoylife #babyandme #love #style #clothesph
#lookdujour#shoppingday#love#clothesph#merefille#kiabifrance#enjoylife#babyandme#pull#style#shopping#stradivarius#lookmerefille
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Pendant que dans l’indifférence générale notre planète tire comme elle peut la sonnette d’alarme, pendant que Jacques le coiffeur s’en allait rejoindre les étoiles, pendant que nous sommes tous Charlie, pendant que le Musée d’Orsay innove en se mettant à l’art 2.0 et pendant que le conflit sur les retraites et le mal-être social en général continue d’agiter notre petit pays …
Et bien pendant ce temps là … Oui pendant ce temps là, le week-end dernier j’usais mes semelles dans le building principal de l’Autotron à Rosmalen pour le Winterfest.
Vendredi dernier, je rejoignais donc la Hollande par la route pour le premier pit stop de l’année. Après quelques tracas une fois arrivé sur place et un tour de passe passe pour ne pas me retrouver complétement en face des toilettes, je dépliais ma tonnelle dans le “Main Hall”. Finalement j’ai fini par l’avoir ma place au RDC de l’Autotron, bien que je n’avais absolument pas imaginer l’obtenir de cette façon. Le Samedi aux aurores, motivé comme jamais, j’accrochais guirlande lumineuse et spots façon galerie d’art, suspendait quelques photos en tirages uniques, déballait quelques pommeaux de mon cru puis traquait le moindre défaut en attendant les premiers visiteurs. Plus de 10 000 personnes plus tard, ces deux journées bien remplies et menées tambour battant passeront à la vitesse de l’éclair et me rappelleront à mon bon souvenir que je n’ai plus vingt ans, mais bientôt quarante… Mais ca y est, si j’avais encore un doute la nouvelle année est belle et bien entamée et le premier arrêt est déjà derrière moi.
Lundi, retour à la réalité, la compta, les factures, l’atelier à ranger afin de préparer le prochain arrêt au stand qui s’avère être plus qu’ énorme. Ce n’est plus un secret et quelques proches du Workshop, ainsi que les plus fouineurs d’entre vous, sont déjà au courant… “The Rascals Cats” sera présent Hall 1 Allée A au prochain salon Rétromobile qui se tiendra du 5 au 9 Février prochain à la porte de Versailles. Malheureusement je n’aurais pas mon stand complet, y être présent s’avère être fort onéreux et je partage donc l’espace afin d’adoucir la facture. Quand je vous rabâche sur les réseaux sociaux que pour 2020 j’ai décidé de “Bring The Rascals Cats to the next level” ( que nous pourrions traduire par … faire accéder The Rascals Cats au niveau supérieur), je ne me fout pas de vous. Certains trouveront ma présence à cet évènement international totalement prétentieuse, et je vous en remercie d’avance, tandis que d’autres féliciteront le courage et la prise de risques d’une telle participation (quelqu’un que j’apprécie traduirait ca assez brutalement par un “No Balls No Glory” des plus efficaces), je vous en remercie aussi… Mais voilà, ayant régler l’intégralité de ma participation à l’heure où je rédige ces quelques lignes, c’est désormais acté, je serais présent et peu importe ce que vous en pensez…
Bien que j’apprécie les autos classiques et les réalisations de haut vol, j’aime aussi les paillettes, la moumoutte, le custom, le cal-look, le hot-rodding traditionnel et moult excentricités mécaniques, comme je n’oublie pas le milieu et les copains qui m’ont fait grandir et qui font que “The Rascals Cats” existe aujourd’hui encore plus qu’hier, vous me retrouverez ensuite sur la sublime moquette du Hall expo de Valence le 1er Mars en compagnie de Seb de la sellerie Nasht; puis sur la mezzanine de l’Autotron à Rosmalen les 4 et 5 Avril prochains pour le Flatland Motorama… La suite n’est pas encore actée mais s’avère plus classique mais tout aussi charmante pour ne pas perdre le rythme … Wait and See !!!
Te faire un topo rapide des premiers mois de l’année, tout en étant excité comme un garçonnet devant une boite de Scalex de t’annoncer que tu me retrouveras à Retromobile en Février prochain … Ca c’es fait !!
Et Pendant ce temps là … Pendant que dans l'indifférence générale notre planète tire comme elle peut la sonnette d'alarme, pendant que Jacques le coiffeur s'en allait rejoindre les étoiles, pendant que nous sommes tous Charlie, pendant que le Musée d'Orsay innove en se mettant à l'art 2.0 et pendant que le conflit sur les retraites et le mal-être social en général continue d'agiter notre petit pays ...
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Le mariage de Meghan et Harry ou comment voyager en classe économique sans dépérir.
Un jour, j’ai eu la chance de voyager en Première Classe. J’ai bu du champagne. On m’a offert des chaussettes en moumoutte pour ne pas prendre froid. J’ai commandé une flopée de journaux littéraires introuvables. Juste pour voir. Les hôtesses ont trouvé. Je ne les ai pas lus.
Les sièges se couchent intégralement, en Première. Les gens sont chics et sérieux. Ils écrivent avec des stylos Montblanc et remplissent des fichiers Exel.
Lors de mon voyage en Première, j’ai pris l’habitude de tirer légèrement le rideau qui me séparait de la cabine d’à côté. Alors toujours, je soupirais. Pauvres, pauvres passagers d’EconomyPremium. La classe intermédiaire. Entassés comme du bétail. N’ont droit qu’à un verre de champagne à l’apéritif. Je versais une larme, inclinais légèrement la tête en signe de compassion et replaçais délicatement le rideau avant de revenir à mes bulles, ma liqueur de poire et mon lit douillet.
Une autre fois, j’ai voyagé en EconomyPremium. C’était très bien. Très très bien. Mais ce n’était pas la Première. Ma seule consolation était de voir ces pauvres gens traverser ma cabine, dépités à l’idée de se rendre en classe Economy. Le bagne. Je leur tapotais l’épaule : « Ça ira, ne vous en faites pas, il y a pire dans la vie, croyez-moi ». Je les laissais s’en aller à leur triste sort. Quand je tirais le rideau, je voyais ces malheureuses âmes serrées les unes contre les autres, frigorifiés à cause d’une climatisation défaillante, entourés de nouveau-nés hurlants, incapables de dormir sur leur siège droit. Mon cœur se serrait en les voyant s’acharner sur leurs minuscules téléviseurs et souffler sur leurs pâtes tièdes. Ô rage ! Ô désespoir ! J’aimais leur envoyer mon énergie et ma paix. Il faut toujours partager, dans ce cas-là.
En arrivant à l’aéroport ce matin, j’attendais un miracle. Alors que mon homme s’en est allé et que je me retrouve seule face à l’immensité du monde, je dénoue mes cheveux devant le comptoir AirFrance, cache l’oreiller bleu qui pendouille le long mon sac à dos et tente de faire de mon mieux pour qu’on pense que je suis plus que moi-même. Une star de la télé ou une championne olympique.
Je rentre le ventre.
- Bonjour Madame, dis-je.
- Que puis-je faire pour vous ?
- Eh bien, je pensais… Enfin, je me demandais combien cela coûtait, un surclassement en EconomyPremium.
Je me souviens soudain qu’il me reste -1,15€ sur mon compte en banque. Fin du mois.
- Laissez-moi voir votre billet.
Je lui tends le billet chiffonné, prends la pose, aligne mes ongles vernis la veille, bats des cils.
- Vous venez pour le travail ou les vacances ?
- Je suis artiste, dis-je.
Elle lève les yeux vers moi. Je savais que je n’aurais pas dû dire ça. Trop tard. Ne jamais prononcer ce mot. Dire : écrivain, joueur de golf, pianiste, comédien, allumeur de chandelles, danseur de claquettes. Mais pas artiste.
- Vous avez la Flying Blue ? me demande-t-elle.
- La quoi ?
- Une carte qui…
Un homme s’installe à côté de moi. Il porte un attaché-case et une montre qui brille. Décontracté, il s’assure que le menu qu’il a commandé la veille va lui être servi à bord. Tout ça en murmurant. Moi, quand je murmure, les gens me demandent de parler plus fort. Même quand il s’agit de trucs intime. Bref. Pour le champagne, il veut de la Veuve Clicquot. Il ne boit rien d’autre. Je crois même qu’il prend son bain dedans.
- Pour une surclassement en EconomyPremium, c’est 270€, me dit la femme.
Je déglutis. 270€. Trois paires de chaussures. Septs robes. Un aller-retour pour les Açores. L’intégral de Proust en Pléiade.
- Oh. Oui, très bien. Écoutez…
Calculons. Ma grand-mère m’a donné 100€ pour m’acheter des souvenirs mexicains ou payer un dentiste. Dans ma poche il me reste 3€…. 5€50. Moins 1,15€. Génial.
- Ce n’est que douze heures de vol, après tout, dis-je.
- Comme vous voulez.
- Non, vraiment. En fait, j’adore la classe Economy.
Je traine ma valise. L’avion a deux étages. Un pour les riches, un pour les pauvres. Comme sur le Titanic.
Jusqu’à la porte, j’imagine que quelqu’un ou quelqu’une d’en-haut, en manque de divertissement ou de compagnon de voyage, va me proposer de s’assoir à côté de lui. J’ai énormément de sujets de conversation dans mon sac. En fait, je peux parler de tout (merci maman, merci papa).
Mais rien. Pas de sauveur. Les chanceux s’en vont, sans me regarder, s’installer dans leurs loges célestes.
Un steward me prend en charge.
- Vous êtes seule ?
- Seule et désespérée.
- Suivez-moi.
Je traverse la cabine. Le plastique qui encadre les écrans tactiles a jauni. Des fauteuils sont usés. Une adolescente mâche un chewing-gum la bouche ouverte. Un garçon écoute du heavy metal, le volume de son casque poussé au maximum.
Le steward me désigne une rangée de sièges vides.
- Vous pourrez vous allonger, me dit-il.
Je n’en reviens pas. Une rangée pour moi toute seule. J’ai envie de lui offrir mes M&Ms et ma cannette de Coca Zéro. Mes seules richesses.
- Merci, dis-je.
Alors, il bat des cils et se penche vers moi :
- Ce n’est pas fini.
Oh non. Ne me draguez pas. S’il vous plait. Je déteste prendre l’avion, je n’ai aucun fantasme relatif aux ébats aériens et j’ai un homme merveilleux. S’il vous plait.
J’étends mes affaires sur les deux sièges d’à côté. Je fais une pile avec les cinq livres que je compte lire à tour de rôle pendant le vol. Je place les trucs vraiment intelligents au-dessus (Jack London, Colum McCann, Malcom Lowry) et les romans à l’eau de rose (je n’ose pas vous dire lesquels) en dessous. Je ne voudrais pas qu’on me prenne pour ce que je ne suis pas. Tout le monde a besoin de se divertir.
On me sert du mousseux chaud pour l’apéritif. Je remercie, le cœur grand ouvert. Enfin je vais pouvoir me saouler pour oublier que je traverse l’Atlantique, que je vais m’en vivre dans un pays inconnu.
J’avale mon verre cul-sec, ouvre mon ordinateur pour écrire ma première chronique. Et là, miracle.
- C’est du Tattinger, cuvée 2006. Je suis monté en Première pour vous servir un verre. Tenez. Ça reste entre nous, me fait-il avec le clin d’œil qui va avec.
Oh ! Oh ! Je n’ai pas les mots. Merci, Chevalier Servant. Merci, univers ! Quelqu’un là-haut a entendu mes prières. Marylin disait : « Peu m’importe de vivre dans un monde d’hommes si je peux y être une femme ». Daphné dit : « Peu m’importe d’être fauchée si l’on m’offre du champagne ». Voici l’instant où adviennent Harry et Meghan. L’instant où ma chronique devient sérieuse.
J’ai regardé les 5h10 du mariage princier. Oui oui, je vous promets. La rediffusion sur le site de la RTBF. Pas en faisant la vaisselle, hein. Pas en prenant mon bain ni en faisant du sport. J’ai vraiment regardé. J’ai entendu le professeur Balasse critiquer la tenue brillanto-gélatineuse de George Clooney et ça, c’était vraiment chouette.
Ce que je voulais exprimer ici, c’est mon amour envers toutes les femmes qui ne sont pas Meghan.
Je vous aime parce que vous n’avez pas épousé un prince. Parce que votre robe de mariée n’a pas coûté 450.000€. Parce que votre liberté passe avant celle du peuple anglais. Parce que vous n’êtes pas vegan. Parce que vous aimez le bon vin. Parce que vous n’avez pas de coiffeur à domicile. Parce que vous ne seriez pas tombée amoureuse de Harry s’il était coureur cycliste. Parce que votre mère n’est pas prof de yoga.
Je vous aime parce que vous êtes vous.
Ne soyez pas jalouse de Meghan. Voyez à quoi elle renonce. A quoi elle s’expose. Oui, je sais, vous aimeriez arrêter de travailler au profit de la vie de château. Oui, je sais, vous aimeriez porter de jolies robes et apparaitre dans les magazines. Mais je vous connais. Au fond de vous, vous détesteriez ça. Puis voyons les choses en face : personne n’a envie de voir sa tête imprimée sur un mug.
Mais il y a une chose pour laquelle j’envie Meghan. Une chose seule pour laquelle je la hais au plus profond.
Vous savez ce que c’est, un jet privé ? C’est la Première classe en mieux. Dans un jet, on danse sur Ray Charles. On célèbre le monde. On s’assied en tailleur sur un tapis en poils de chamois pour méditer avec Christophe André. On regarde l’intégrale des films de Chaplin sur un écran géant. On joue au badminton. Personne ne ronfle. On mange des meringues chaudes, dans un jet.
Voilà où je veux en venir. Dites-vous, cet été, au plus profond de vos détresses aériennes, que même les passagers de Première classe sont les ploucs de quelqu’un. Que même eux se rêvent en Harry et Meghan du ciel.
D’ici, l’océan se déploie, bleu, encombré de nuages. J’ai enfilé mes chaussettes de ski, mes médailles autour du cou. Le steward me sert un thé infâme. Je remercie avec les yeux. J’ai décidé d’être dans la gratitude. Y’en a qui ne le prennent même pas, l’avion.
Je pense à vous et à la vie qui se déploiera bientôt, de l’autre côté du monde, avec toute son intransigeance, sa beauté, ses paradoxes. Je serai à vos côtés dans les imprévus, les moments de doute, de bonheur et de solitude. Et vous serez avec moi.
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Michael Kors et Jimmy Choo arrêtent officiellement la vraie fourrure !
Sabrez le champagne, la Brigitte Bardot qui est en vous va avoir envie de trinquer !
Si vous êtes une fashionista affirmée et confirmée, ce n'est pas pour autant que vous assimilez goût du style et inconscience. C'est pourquoi, même si vous adorez porter votre manteau moumoutte, vous vous assurez toujours qu'aucune d'entre elle ne soit extraite d'animaux vivants. Autrement dit : à bas la vraie fourrure, laissez les animaux où ils sont !
Alors que nous vous annoncions il y a quelques mois que Gucci renonçait à la vraie fourrure , c'est au tour de Michael Kors et de Jimmy Choo de passer aux matières synthétiques pour de bon. John Idol, le directeur général de Michael Kors a confirmé que la marque ne produira plus aucun produit avec de la vraie fourrure d'ici 2018, ce qui ne manquera pas d'ouvrir un nouveau chapitre lui permettant d'utiliser du matériel innovant. Idem pour Jimmy Choo, récemment racheté par Michael Kors cette année.
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HELP 🙋🏼♂️ ! Je ne sais plus comme me saper avec cette météo ! 🌧☀️⛅️🌬🌪 Un coup beau, un coup froid, un coup pluvieux ... Alors j'ai quand même tenté le tshirt avec la veste moumoutte 😁💪🏼
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Long time no see everyone. I’m back after a long and unplanned hiatus what was really need to make it short.
I slowly started to draw ponies again (well drawing in general too but once in the blue moon during those last 2 years). Anyway i’m back and I was working on a chibi style and I did one with Starry Dreams.
You know it’s been such a long time you drew your OC if you need a reference for it... I will change a bit the design of her pet. I have an idea about his species and I will make a reference sheet about him and his kind. I need to make a complete reference sheet of Starry whenever I have the time.
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