#Monoquini
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tvnacashovi-blog · 4 months ago
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EU SOU FAN DO MONOQUINI - ROBERTO CARLOS NO NACASHOVI PLAY
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nacashoviplay · 1 year ago
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EU SOU FAN DO MONOQUINI - ROBERTO CARLOS NO PLAY NACASHOVI
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journaljunkpage · 7 years ago
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68/18
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Juliette Gréco - D. R.
À la faveur de la commémoration des 50 ans de Mai 68, l’association Monoquini propose le cycle « Désordre », une programmation de films rares en prise avec le climat de l’époque, mêlant dans des oeuvres hybrides et déconcertantes, subversion carabinée, liberté narrative et invention formelle, critique et mise à mal des normes sociales, expérimentations collectives. Ce mois-ci, honneur à Jacques Baratier, cinéaste natif de Montpellier, dont on fête le centenaire, avec deux documentaires rares auscultant la jeunesse de Saint-Germain-des-Prés à vingt ans d’écart.
DÉSORDRE 1 : Désordre + Le Désordre a vingt ans, mardi 30 janvier, 20 h 45, Utopia. http://monoquini.net
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vauntedposh · 4 years ago
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journaljunkpage · 6 years ago
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TRASH ?
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D.R.
Dans le cadre du Mois du film documentaire et en partenariat avec les bibliothèques de Bordeaux, l’association Monoquini propose, le 15 novembre, une conférence de Maxime Lachaud & Sébastien Gayraud : « Mondo Movies, entre documenteur et chocumentaire ». À l’heure du débat sur les fake news, retour sur le genre cinématographique le plus racoleur, scandaleux et décrié qui soit : le mondo movie, protubérance sensationnaliste du documentaire. Puis, projection d’un fleuron quasi pataphysique du genre : L’Amérique interdite (This is America Part 2) de Romano Vanderbes.
« Mondo Movies, entre documenteur et chocumentaire », jeudi 15 novembre, 20 h, Utopia. Projection de L’Amérique interdite, jeudi 15 novembre, 21 h, Utopia. monoquini.net
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vauntedposh · 4 years ago
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vauntedposh · 4 years ago
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vauntedposh · 4 years ago
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vauntedposh · 4 years ago
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journaljunkpage · 8 years ago
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ONDES
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© Rasmus Jurkatam
Du 16 mai au 1er juillet, Monoquini propose Sound & The City – Interférences, une exploration de la ville invisible en quatre mouvements. Entre expositions, concerts, performances, rencontres et projections, la manifestation convie des artistes dont le travail repose sur la captation, la restitution, la manipulation, la visualisation des phénomènes électromagnétiques qui nous environnent et nous traversent littéralement. Art Kill Art, Mario de Vega, Victor Mazon, Martin Howse, Yi King OPerators, Erin Sexton, Yann Leguay, Rybn, Manuel Knapp et Christina Kubisch tenteront de rendre compte de ces phénomènes invisibles et inaudibles.
Sound & The City – Interférences, du mardi 16 mai au samedi 1er juillet., http://monoquini.net
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journaljunkpage · 8 years ago
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AUX SOMBRES HÉROS DE LA HAMMER
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Count Guillaume Gwardeath / Blood From the Mummy’s Tomb
Le vénérable studio anglais Hammer Productions a révolutionné le genre fantastique au cinéma. Hommage bordelais sur grand écran et avec affiches de collection et photographies d’exploitation à l’appui.
« Dans les années 1950, l’horreur à la sauce Hammer était l’expérience la plus terrifiante que le cinéma pouvait offrir. » Tel est l’avis définitif de Marcus Hearn, or Marcus Hearn est un expert. Spécialiste de la télévision et du cinéma britanniques, il s’exprime auréolé de son titre d’« historien officiel de la Hammer ».
Dans les années 1990, alors qu’il travaillait pour l’éditeur Marvel Comics, lui incomba la tâche d’éditer le Hammer Magazine. S’ouvrit à lui le trésor des archives de la société de production londonienne, qu’il ne cessa d’explorer et de restituer depuis. Ses ouvrages de référence, L’Antre de la Hammer et L’Art de la Hammer, sont publiés en France par une maison d’édition de Talence, Akileos.
Conjonction parfaite des forces obscures : à l’initiative des cinéphiles déviants du collectif Monoquini, une sélection d’affiches et autres documents rares sera donnée à voir à Bordeaux, des films seront bien sûr projetés, et Marcus Hearn fera à tous l’honneur de sa présence. « Quand ces passionnés nous ont proposé d’organiser une exposition d’affiches originales du studio avec la bibliothèque de Bordeaux, nous les avons suivis avec enthousiasme », se réjouit Emmanuel Bouteille des éditions Akileos, « tant leur intérêt pour le cinéma de genre est manifeste à travers la programmation des séances Lune Noire à l’Utopia ».
La Hammer a produit plus de deux cents films. Tous ne sont pas des classiques inoubliables et seule la mauvaise foi nous ferait crier au chef-d’oeuvre pour chaque paire de bobines. Mais gemmes authentiques comme instants jouissifs et transgressifs sont au rendez-vous pour qui sait ajuster son regard.
Sur des kilomètres de pellicule, la Hammer a fait ressurgir en Europe l’art du cinéma fantastique, qui était devenu une spécialité américaine dans les années 1930 et 1940. Dans la ligne artistique de la maison, deux éléments dominent : la violence et l’érotisme. Sur les affiches commandées par la Hammer à ses peintres, de généreux décolletés s’offrent aux crocs ou aux serres de toute une galerie de monstres cruels et de personnages tourmentés. Explicite et subversive, la charte graphique déchaîne ses enfers.
« Les frissons de la Hammer » - L’art de l’affiche dans le cinéma fantastique britannique, 1955-1976, du jeudi 13 avril au samedi 3 juin, Bibliothèque Mériadeck. Projection de La Comtesse Dracula (Countess Dracula) de Peter Sasdy, jeudi 20 avril, 18 h 30. Projection de Les Sévices de Dracula (Twins of Evil) de John Hough, mercredi 3 mai, 18 h 30, en présence de Nicolas Stanzick. www.bordeaux.fr
Lune noire#18 : Paranoïaque (Paranoiac), mercredi 26 avril, 20 h 45, Utopia, en présence de Marcus Hearn, historien de la Hammer. www.monoquini.net
« Et les Français découvrirent Frankenstein, Dracula & co », Nicolas Stanzick, jeudi 4 mai, 18 h, Station Ausone. www.akileos.fr www.hammerfilms.com
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journaljunkpage · 7 years ago
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DÉPRAVÉES
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Extrait des Petites Marguerites de Vera Chytilova
Dans le cadre du cycle « Désordre, échos de Mai 68 au cinéma », double programme avec Les Petites Marguerites de Vera Chytilova et Un misanthrope de Gérard Pirès. Véritable feu d’artifice cinématographique, cet ovni se présente comme un remarquable tour de force : trucages, jeux de couleurs, jaillissement ininterrompu d’images élaborées jusqu’à la préciosité, montage choc, illustrant la formidable inventivité de la Nouvelle Vague tchèque et plus généralement du cinéma des pays de l’Est en cette fin des années 1960, où l’on détecte l’influence de Godard, du cinéma expérimental américain et du pop art.
Désordre 3 : Les Petites Marguerites, mardi 13 mars, 20 h 15, Utopia. monoquini.net
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journaljunkpage · 9 years ago
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CINÉPHAGE
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Photo : D.R
Nouveau rendez-vous mensuel, à l’invitation du Bootleg, Screen Test se veut un ciné-club atypique, donnant à voir des films rares, courts ou longs, de nationalités, d’époques et de natures variées : burlesque, expérimental, animation, documentaire, fiction... autour d’une thématique particulière. Soit une salle quasi-troglodyte, une collation chromatique et une deuxième salle, baptisée fort à propos The B-side of the Bootleg. Le 26 avril, dès 20 h, un florilège de déviances avant projection en 16mm d’Inferno, chef-d’oeuvre halluciné de Dario Argento.
Screen Test#2, mardi 26 avril, 20 h, Le Bootleg. monoquini.net
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journaljunkpage · 9 years ago
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CULTE
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Le Monstre qui vient de l’espace, 1977. D. R.
Quand Monoquini et Trash Times font chauffer le projo d’Utopia, c’est pour atteindre le point de fusion de la cinéphilie et du mauvais goût. Jamais revu depuis sa sortie, il y a près de 35 ans en France, Le Monstre qui vient de l’espace se pose à la croisée de la SF rétro et du film d’exploitation décomplexé à destination des cinémas de quartier. Une session intensive de bandes-annonces sera proposée en apéritif pour préparer à l’horreur, et un sas de décontamination sera mis à disposition pour détendre à tout moment avec fanzines et rafraîchissements.
Lune noire #3, mercredi 11 novembre, 20 h 45, cinéma Utopia Saint-Siméon. www.monoquini.
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