#Mme d'Aulnoy
Explore tagged Tumblr posts
wolfsnape · 7 months ago
Text
Je tiens à dire que ça fait des semaines que je me dis que mon sujet de recherche de master ne servirait pas à grand chose dans ma vie et LÀ une pote me dit que les combats des femmes à l'époque moderne est à l'Agreg et une AUTRE me propose de faire un atelier sur Paris sur les contes et l'invisibilisation des autrices DONT MME D'AULNOY
Je suis SI CONTENTE 😭😭😭😭❤️
16 notes · View notes
pimpantes · 4 years ago
Photo
Tumblr media
L’Oiseau Bleu, Mme d’Aulnoy, illustrations  Lola Anglada,   éditions  Hachette 1912/1930
The Blue Bird by Mme d’Aulnoy, illustration by Lola  Anglada  
19 notes · View notes
from-books-with-love · 7 years ago
Quote
[…] que craignez-vous ? — Que vous ne m'aimiez pas assez.
Mme d’Aulnoy, Gracieuse et Percinet.
35 notes · View notes
thewhitehairedwitchgirl · 3 years ago
Text
So I've been reading fairy tales and apparently the concept of "it's okay to be attracted to this barely pubescent girl because she's actually 200 years old and magic!" was not invented by creepy anime
5 notes · View notes
unlouveteauprofdoc · 8 years ago
Text
Tumblr media
Quand je considère que 4 pages de rédaction c’est une victoire.
2 notes · View notes
measuredoutinyears · 3 years ago
Note
13, 16, 19 💕
thank you!! 🥰
13. What's your love language?
acts of service :))
16. What's something not-deep you're scared of?
i wish i could be original but, spiders
19. Do you have any books you've loved recently?
oh so last week i read some fairytales from the 18th century by Mme d'Aulnoy and there's one that i keep thinking about. it's called "Belle Belle ou le chevalier fortuné" and it was really, really cool. basically it's about that girl who's better than her sisters and she becomes a knight to save her family. the whole tale plays with variations around repeated patterns and it's a nice read.
2 notes · View notes
wolfieartsandwrites · 5 years ago
Text
[PROJET] Conte de fées - La Princesse fantôme
Ceux qui me connaissent savent que j'ai deux passions dans la vie, les contes de fées, et les femmes. La preuve en est, j'ai écrit deux mémoires sur le sujet. L'un sur l'écriture de contes de fées par les femmes et l'autre sur les amours entre femmes dans les contes de fées du XVIIe siècle.
Avant de me lancer dans ce projet d'étude, j'ai réfléchit à cette question qu'on s'est sans doute tous posé : qu'est-ce qui a façonné la personne que je suis aujourd'hui ? Les livres, sans hésitation. Mais plus encore, quels ouvrages ont défini ma personnalité et m'ont donné, à mon tour, envie d'écrire, en particulier des récits imaginaires et merveilleux ? Les contes de fées. Comme beaucoup d'enfants avant moi, j'ai grandi avec les contes de fées, majoritairement Perrault et Grimm. Ils ont modélisé mes peurs, mes angoisses, mon courage, ma soif d'aventure et mes idéaux.
Mais les femmes dans tout ça ?
Très vite, je me suis rendue compte qu'à part Mlle Le Prince de Beaumont (qui a écrit La Belle et la Bête, mais on ne se souvient que du Disney et pas du tout de son livre) elles n'apparaissaient nulle part. Néant. Silence radio, comme si elles n'avaient jamais été là. Et pourtant ! Ce n'est pas Charles Perrault qui a écrit le premier conte de fées, ce ne sont pas les frères Grimm qui ont inventé des histoires à n'en plus dormir le soir. Ce sont les femmes, aux veillées, dans les villages, mais aussi dans les salons et les cercles littéraires de la haute société. Mais on les a oubliées, effacées,  bien qu'elles aient publié les plus grands best-sellers de leur temps (je pense à Mme d'Aulnoy ou Mlle de La Force).
Et ça m'a mise en colère.
Parce qu'encore une fois, j'ai eu l'impression qu'on nous arrachait ce que nous, les femmes, avions créé, porté, loin du snobisme masculin, pour un public restreint et de plus en plus populaire. Parce que les hommes, ils le considéraient comme bas ce genre, pas du tout à la hauteur de l'Académie française, du théâtre ou de la poésie lyrique. Mais puisqu'il était écrit par des femmes, et pire que ça, apprécié, il était nécessaire qu'ils se créent une place d'importance dans l'écriture, jusqu'à en évincer les créatrices elles-mêmes.
Donc j'ai travaillé sur Mme d'Aulnoy. J'ai découvert certains des plus beaux écrits de la langue française. J'ai retrouvé la magie, la délicatesse, la galanterie et l'amour pur que seuls peuvent dégager les contes de fées.
La deuxième année, je me suis demandé pourquoi on ne parlait jamais des amours féminines. Pas des amours de femmes pour des hommes, non, mais des amours entre femmes. Pas d'amitié non-plus, mais vraiment de l'amour, homosexuel. Parce qu'hétérosexuel, il était accepté, établi. Homosexuel, entre hommes, il était le sujet de nombreuses thèses et le sous-texte de nombreux écrits. Mais les femmes ? Oubliées. Pourtant, des femmes qui s'aiment, il y en a toujours eu, elles ne sont pas arrivées au moment de Stonewall. Alors où était-elle ? Etait-il possible de les trouver dans ces contes, écrits par des femmes, pour des femmes, à une époque où tout était contre elles, où s'aimer différemment était tabou, et encore plus lorsqu'on était du « deuxième sexe » ?
Oui, mais encore une fois, tout n'est que détournement, figure de style, il faut deviner, lire entre les lignes, imaginer une société de femmes où l'amour n'est pur qu'entre elles.
J'ai réalisé qu'en grandissant, je n'avais lu que des contes écrits par des hommes, et que des contes toujours hétérosexuels, où la princesse finit avec le prince, parce que « c'est comme ça que les histoires sont sensées se finir », parce que l'homosexualité ne peut être qu'en sous-texte, effaçable si elle pose problème, parce que deux hommes qui s'aiment ou deux femmes qui s'aiment, et bien cela dérange. J'aurais sans doute été une personne bien différente si j'avais pu lire des contes qui m'étaient destinés écrits par des femmes et avec d'autres possibilités d'aimer. Peut-être que j'aurais eu moins peur, peut-être que j'aurais été plus sûre de moi.
Alors j'ai décidé d'écrire un conte de fées.
Je sais ce que vous allez me dire. “Mais Lucie, il y en a déjà plein, et puis plus personne ne s'intéresse aux contes de fées”. Mais moi je pense que si je peux aider une petite fille ou un petit garçon, une femme ou un homme, à se sentir mieux et à voir que le monde n'est pas que fille ou que garçon, n'est pas que filles et garçons, et bien peut-être qu'ils auront un peu moins peur, et qu'ils seront un peu plus sûrs d'eux.
Alors j'ai décidé d'écrire un conte de fées. Un conte de fées sur un amour qui transcende le temps, qui transcende la vie et la mort, un conte de fées sur deux femmes qui s'aiment.
C'est ainsi qu'est née Shana, princesse héritière d'un royaume, destinée à épouser un homme qu'elle n'aime pas. D'ailleurs, elle n'aimera aucun homme. La nuit de ses noces, elle est assassinée par son époux, qui massacre les convives. Confuse, enragée, son fantôme hante le château en quête de vengeance. Quiconque cherchera à l'atteindre périra.
Trois cents ans plus tard, le roi du royaume voisin décide d'offrir la main de sa fille aînée à celui qui réussira à ramener la preuve de l'existence de la princesse fantôme. Astrée, jeune paysanne restée au chevet de son père souffrant, décide de tenter sa chance, pour payer les médicaments. Elle devra faire face à plusieurs épreuves, dont la plus ardue, sauver la princesse.
Mon objectif est donc d'écrire le conte, maintenant que tout l'outline est prêt, puis ensuite de l'illustrer moi-même. Ce projet étant dans mes priorités de l'année, je vais dorénavant poster majoritairement sur celui-ci, que ce soit des sketchs, des illustrations complètes, des chara-designs, des petits sketchs sur les personnages, des incorrect quotes, des informations sur les différents personnages, des extraits peut-être, des posts qui m'inspirent, etc.
N'hésitez pas à me poser des questions ou à interagir, ça me ferait très plaisir ! J'espère que vous serez présent pour soutenir ce projet, que j'ai commencé il y a un peu plus de deux ans et qui me tient très à cœur.
Love wins ♥
Tumblr media
118 notes · View notes
monannee2016etc · 6 years ago
Photo
Tumblr media
0 notes
thebowlercapfairy · 5 years ago
Text
Illustration by Elizabeth MacKinstry for Mme. La Comtesse D'Aulnoy's "The White Cat and other Old French Fairy Tales"
Tumblr media
https://weheartit.com/entry/337007828
1 note · View note
aethersea · 7 years ago
Photo
This is an excellent essay and I have only one tiny, almost irrelevant aside: While Charles Perrault was the salon writer whose works have most survived to this day, and while he was definitely a big deal in his time, one of, if not the most successful writer of the salons was Mme Catherine d’Aulnoy. She was a prolific author who wrote in several genres, including travel novels (super popular at the time) and fairy tales (even more popular at the time). Her works were read widely in France, and translated to English (and probably other European languages) almost immediately after publication.
d’Aulnoy wrote in a flowery, elegant, ostentatious style, and her stories celebrated education, intelligence, and wit in its female protagonists. In this she was very like all salon writers – even Perrault is allegedly quite feminist for his time, though he was on the more conservative side of salon culture.1 Perrault, however, did not go in for this florid, ostentatious, detailed style in fairy tales. I don’t know how many other writers of the time shared his more laconic style in their fairy tales, but I do know that critics of the time spoke loudly and often about how Perrault’s more sparse, simplistic of writing was the “true” way to write fairy tales. All this detailed, wordy, overtly intellectual stuff that the salonnnieres were writing wasn’t the “proper” style for fairy tales.
Before you ask, yes, this is absolutely about gender. It might have been about other stuff too, but it was absolutely, to a large degree, about gender.
d’Aulnoy’s work, and that of her many learned female contemporaries, faded out of the popular consciousness. Perrault’s did not. This wasn’t really coincidence. Nowadays the people who know d'Aulnoy's work are mostly fairy tale scholars or people who read Andrew Lang's Books of Fairies.
(It can be a little hard to wade through these old salon stories, sometimes, because the writing is so different from what we're used to, and the literary conventions of the time were way different from today's. A lot of the morals and assumptions are enough to make you wince, too, but tbh it’s no worse than any of Perrault’s stuff, and often much better. If you're interested, you can find a lot of d'Aulnoy's work on SurLaLune. I'm partial to "The Green Serpent," myself – I like the kingdom of magic talking pagodas that just show up with absolutely no context.)
1 I only really buy this because his time was one of increasing legal shittiness toward women – France was enacting a lot of laws to restrict women's rights and stuff. By modern standards, Charles Perrault is a horrible little man and I am filled with great rage if I read too many of his stories in a row.
Tumblr media
Forbidden Fruit (Le Fruit Défendu) by Auguste Toulmouche, 1865, illustrating how young women have always rebelled against having their access to knowledge policed.
Nineteenth-century French and British families kept a close eye on the literature allowed to pass into the hands of unmarried girls (married women were not automatically exempt, either). While Toulmouche’s painting garnered great acclaim for its aesthetic charms when it was exhibited at the Salon of 1865, a contemporary male art critic’s sour aside summed up the prevailing attitude to independent female minds:
“I do not approve of these silly girls; instead of searching forbidden pages for the knowledge that they lack, they would do better to leave tomorrow’s lover the pleasure of instructing them in the matters of which they are ignorant.” Paul Mantz quoted in Women Readers in French Painting 1870-1890 by Kathryn J. Brown.
No comment.
6K notes · View notes
wolfsnape · 3 years ago
Text
Mme d'Aulnoy à l'agrégation de lettres 2022 🥰🥰🥰🥰🥰🥰🥰🥰🥰🥰🥰
10 notes · View notes
pimpantes · 4 years ago
Photo
Tumblr media
L’Oiseau Bleu, Mme d’Aulnoy, illustrations  Lola Anglada,   éditions  Hachette 1912/1930
The Blue Bird by Mme d’Aulnoy, illustration by Lola  Anglada  
14 notes · View notes
from-books-with-love · 7 years ago
Quote
Amour, Amour, que l'on te cache difficilement ! tu parais partout, sur les lèvres d'un amant, dans ses yeux, au son de sa voix : lorsque l'on aime le silence, la conversation, la joie ou la tristesse, tout parle de ce qu'on ressent.
Mme d’Aulnoy, L’Oiseau bleu.
26 notes · View notes
pimpantes · 4 years ago
Photo
Tumblr media
L’Oiseau Bleu, Mme d’Aulnoy, illustrations  Lola Anglada,   éditions  Hachette 1912/1930
The Blue Bird by Mme d’Aulnoy, illustration by Lola  Anglada  
15 notes · View notes
pimpantes · 4 years ago
Photo
Tumblr media
L’Oiseau Bleu, Mme d’Aulnoy, illustrations  Lola Anglada,   éditions  Hachette 1912/1930
The Blue Bird by Mme d’Aulnoy, illustration by Lola  Anglada  
5 notes · View notes
pimpantes · 4 years ago
Photo
Tumblr media
L’Oiseau Bleu, Mme d’Aulnoy, illustrations  Lola Anglada,   éditions  Hachette 1912/1930
The Blue Bird by Mme d’Aulnoy, illustration by Lola  Anglada  
3 notes · View notes