#Michel Ange Louis Jeune
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La PNH assure une écoute attentive aux préoccupations des Artibonitiens
Face à l’inquiétude croissante des Artibonitiens concernant la direction de Paul Ménard à la direction départementale de l’Artibonite de la Police, le Commissaire Divisionnaire Michel Ange Louis Jeune, Porte-parole de la Police Nationale d’Haïti (PNH), a tenu à rassurer la population. Lors d’une récente déclaration, le Commissaire Jeune a souligné que la PNH est pleinement attentive aux…
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Another mass breakout from a Haitian prison leaves eleven prisoners dead
At least eleven prisoners have died during a new escape from a Haitian prison, the third since March, this time occurring early last Friday in the city of San Marcos, north of the capital, Port-au-Prince. The spokesman for the Haitian National Police, Michel-Ange Louis-Jeune, explained to the American newspaper ‘Miami Herald’ that the escape began at around 02.00 in the morning on Friday, when…
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Michel-Ange Louis Jeune Revient comme Porte-Parole de la PNH
Le Commissaire Divisionnaire Michel-Ange Louis Jeune a repris ses fonctions de porte-parole de la Police Nationale d’Haïti (PNH) ce vendredi 5 juillet 2024, succédant au Commissaire Principal Garry Desrosiers. Michel-Ange Louis Jeune, qui avait déjà occupé ce poste en novembre 2018 en remplacement du Commissaire Divisionnaire Frantz Leurbours, prend à nouveau la relève après que Garry Desrosiers…
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Haiti’s President Launches PetroCaribe Investigation - Voice of America
Haiti’s President Launches PetroCaribe Investigation – Voice of America
Several audits have been done, with the results either failing to provide clear answers as to where the PetroCaribe funds went, or showing that much of the revenue has been mismanaged, including being spent on construction projects that were not completed.
Meanwhile, National Police spokesman Michel-Ange Louis-Jeune spoke with reporters about the toll of the protests on civilians and law…
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MICHEL ANGE LOUIS JEUNE AP BAY PLAN PNH LA POU FEN ANE 2019 LA Subscribe, suscriptor, Abonné or ПОДПИСКА ПОЖАЛУЙСТА: https://www.youtube.com/channel/UC7LIb0sEMtav6p0ezMOi76Q?view_as=subscriber&pbjreload=10
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Quand tu bois l’eau du poisson...d’avril !
Avant de faire l’activité du mercredi, j’espère que tu n’as pas oublié d’écrire la date du jour !!!! Mercredi .... 1e avril :)
Eh oui, cette activité était un poisson d’avril ... et ce sont surtout tes parents qui ont été pris hihihi ! Tu as encore tout le temps de découvrir ces écrivains au cours de ta scolarité (avais-tu quand même reconnu La Fontaine et Jules Verne ?). Voici la solution :
Confiné, il racontait ce qu’il ferait, une fois libre, d’ici un mois, dans ces eaux-là. Ce moment semble si dur à surmonter… mais les mots, lierre de la pensée, permettent de s’évader un moment, de laisser fuir ces maux passants.
Près de la fontaine, dont les flots bercent l’oreille distraite, des oiseaux volent, terre, herbe et racines semblent endormis. Les oiseaux sont là, souverains, beaux, jeunes encore. Une tribu goguenarde qui boit l’eau et la bénédiction du soleil qui couvre leur air novice. Le rabot de l’air ne les épuise pas : ils n’en font cas, mus par la douceur du jour. Mus, c’est le mot, mais sans mouvement : ils se posent l’arbre vert ne bouge presque pas. Du mât naturel, ils regardent au loin, plus ou moins anges, peu ou prou statues.
Braves bêtes, la becquée te les rends grands où est le bec aujourd’hui ?
Le héros poursuit son chemin rêvé. Les ronces ardentes frôlent ses pieds. Il avance, doucement, cherchant une aide, blonde, brune, rousse, au hasard. Il a beau voir toute cette splendeur, il ne s’y trompe pas. Il a beau marcher par l’esprit, il ne bouge en réalité pas. C’est la force des poètes : se promener sans mouvement, sans grands efforts. Voir la vie en beau malgré tout, malgré les épreuves.
L’esprit est une gare : y passent mille idées qui s’enfuient et nous entrainent.
Toujours l’art a gonflé cette voile humaine, cette force : tenir bon, jusqu’au prochain voyage.
Emile ZOLA - Marguerite DURAS - MOLIERE - Guy de MAUPASSANT - Jean de LA FONTAINE - Gustave FLAUBERT - VOLTAIRE - Jean RACINE - Arthur RIMBAUD - Victor HUGO - Nicolas BOILEAU - Louise LABE - Annie ERNAUX - Charles BAUDELAIRE - Albert CAMUS - Alfred de MUSSET - Jules VERNE - Alexandre DUMAS - Marcel PROUST - Samuel BECKETT - Michel HOUELLEBECQ - Pierre de RONSARD - DANTE - Jean-Jacques ROUSSEAU - Simone de BEAUVOIR - Pierre-Augustin Caron de BEAUMARCHAIS - Edgar Allan POE - George SAND - Boris VIAN - Romain GARY - Louis ARAGON
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IL PLEUVAIT DES OISEAUX en tête des nominations du Gala Québec Cinéma 2020
En direct du salon de Guillaume Lambert, les nominations du Gala Québec Cinéma (qui ne fera pas l’objet d’un rassemblement télévisuel cette année, confinement oblige) ont été dévoilées cet après-midi.
En cette année dominée par les réalisatrices, 6 des meilleurs films sont réalisés par des femmes et 3 femmes sont en lice pour l’Iris de la Meilleure réalisation.
On parle bien sûr d’Antigone de Sophie Deraspe (Meilleur film, Meilleure réalisation, Meilleur scénario), La femme de mon frère de Monia Chokri (Meilleur film, Meilleure réalisation), Kuessipan de Myriam Verreault (Meilleur film, Meilleure réalisation, Meilleur scénario), Jeune Juliette d’Anne Émond (Meilleur film, Meilleur scénario), Il pleuvait des oiseaux et Louise Archambault (Meilleur film, Meilleur scénario, et 13 nominations au total, le record cette année), et du plus inattendu Fabuleuses de Mélanie Charbonneau (Meilleur film).
Ces films réalisés par des femmes sont rejoints dans les catégories de pointe par les « films de gars » Mafia Inc de Podz (Meilleur film), Sympathie pour le diable de Guillaume de Fontenay (Meilleure réalisation, Meilleur scénario), et Le vingtième siècle de Matthew Rankin (Meilleur premier film, Meilleure réalisation).
Un grand oublié : Xavier Dolan, qui a lancé deux longs métrages l’an dernier. On ne s’attendait pas à un couronnement du mal-aimé The Death and Life of John F. Donovan, mais l’excellent Matthias & Maxime aurait mérité plus d’honneurs. Il est quand même en nomination dans les catégories Meilleure interprétation féminine dans un rôle de soutien (Micheline Bernard), Meilleure interprétation masculine dans un rôle de soutien (Pier-Luc Funk), Meilleure direction de la photographie (André Turpin), Meilleur montage (Xavier Dolan), Meilleure musique originale (Jean-Michel Blais) et Meilleur maquillage (Erik Gosselin, Edwina Voda).
Du côté des interprètes, je suis soulagé que mon long métrage québécois préféré depuis longtemps, Le rire de Martin Laroche, ait été au moins reconnu pour les brillantes performances de Léane Labrèche-Dor (Premier rôle féminin) et Micheline Lanctôt (Rôle de soutien féminin).
Il faut aussi souligner les deux nominations comme acteur de Robin Aubert, pour Jeune Juliette (Premier rôle masculin) et Merci pour tout (Rôle de soutien masculin).
Et une pensée pour Andrée Lachapelle, qui nous a quittés récemment, nommée comme Meilleure actrice pour Il pleuvait des oiseaux.
Parlant d’Il pleuvait des oiseaux , félicitations à Will Driving West, un de mes groupes préférés, parmi les finalistes de la catégorie Meilleure musique originale.
Aussi, je suis très heureux pour l’extraordinaire Je finirai en prison d’Alexandre Dostie, en nomination pour l’Iris du meilleur court métrage.
LISTE COMPLÈTE DES NOMINATIONS
MEILLEUR FILM
Antigone - ACPAV - Marc Daigle
Fabuleuses - GO Films - Nicole Robert
La femme de mon frère - Metafilms - Sylvain Corbeil, Nancy Grant
Il pleuvait des oiseaux - Les Films Outsiders - Ginette Petit
Jeune Juliette - Metafilms - Sylvain Corbeil
Kuessipan - Max Films Média - Félize Frappier
Mafia Inc - Attraction Images - Antonello Cozzolino | Caramel Films - Valérie D'Auteuil, André Rouleau
MEILLEUR PREMIER FILM
Mad Dog Labine - Jonathan Beaulieu-Cyr, Renaud Lessard - 1er scénario de Jonathan Beaulieu-Cyr, Renaud Lessard
Sympathie pour le diable - Guillaume de Fontenay - 1er scénario de Guillaume de Fontenay, Guillaume Vigneault
Le vingtième siècle - Matthew Rankin - 1er scénario de Matthew Rankin
MEILLEURE RÉALISATION
Monia Chokri - La femme de mon frère
Guillaume de Fontenay - Sympathie pour le diable
Sophie Deraspe - Antigone
Matthew Rankin - Le vingtième siècle
Myriam Verreault - Kuessipan
MEILLEUR SCÉNARIO
Louise Archambault - Il pleuvait des oiseaux
Jean Barbe, Guillaume de Fontenay, Guillaume Vigneault - Sympathie pour le diable
Sophie Deraspe - Antigone
Anne Émond - Jeune Juliette
Naomi Fontaine, Myriam Verreault - Kuessipan
MEILLEURE INTERPRÉTATION FÉMININE | PREMIER RÔLE
Anne-Élisabeth Bossé (Sophia) - La femme de mon frère
Anne Dorval (Isabelle Brodeur) - 14 jours 12 nuits
Léane Labrèche-Dor (Valérie) - Le rire
Andrée Lachapelle (Gertrude | Marie-Desneige) - Il pleuvait des oiseaux
Noémie O'Farrell (Laurie) - Fabuleuses
MEILLEURE INTERPRÉTATION MASCULINE | PREMIER RÔLE
Robin Aubert (Bernard) - Jeune Juliette
Marc-André Grondin (Vincent «Vince »Gamache) - Mafia Inc
Patrick Hivon (Karim) - La femme de mon frère
Niels Schneider (Paul Marchand) - Sympathie pour le diable
Gilbert Sicotte (Charlie) - Il pleuvait des oiseaux
MEILLEURE INTERPRÉTATION FÉMININE | RÔLE DE SOUTIEN
Micheline Bernard (Francine) - Matthias & Maxime
Juliette Gosselin (Clara Diamond) - Fabuleuses
Micheline Lanctôt (Jeanne) - Le rire
Eve Landry (Rafaëlle [Raf]) - Il pleuvait des oiseaux
Geneviève Schmidt (France Gauthier) - Menteur
MEILLEURE INTERPRÉTATION MASCULINE | RÔLE DE SOUTIEN
Robin Aubert (Réjean) - Merci pour tout
Sergio Castellitto (Francesco « Franck » Paternò) - Mafia Inc
Pier-Luc Funk (Rivette) - Matthias & Maxime
Sasson Gabai (Hichem) - La femme de mon frère
Rémy Girard (Tom) - Il pleuvait des oiseaux
RÉVÉLATION DE L'ANNÉE
Catherine Chabot (Chloé Therrien) - Menteur
Sharon Fontaine-Ishpatao (Mikuan Vollant [16-21ans]) - Kuessipan
Alexane Jamieson (Juliette) - Jeune Juliette
Nahéma Ricci (Antigone) - Antigone
Lilou Roy-Lanouette (Yanna) - Jouliks
MEILLEURE DISTRIBUTION DES RÔLES
Jacinthe Beaudet, Tobie Fraser, Geneviève Hébert, Myriam Verreault - Kuessipan
Nathalie Boutrie (Casting NB) - Jeune Juliette
Nathalie Boutrie (Casting NB) | Francis Cantin, Bruno Rosato (Casting Cantin Rosato) - Mafia Inc
Sophie Deraspe, Isabelle Couture | Pierre Pageau, Daniel Poisson (Gros Plan) - Antigone
Karel Quinn (Casting Karel Quinn) | Lucie Robitaille (Casting Lucie Robitaille) - Il pleuvait des oiseaux
MEILLEURE DIRECTION ARTISTIQUE
Éric Barbeau - La femme de mon frère
Dany Boivin - Le vingtième siècle
Marie-Claude Gosselin, Jean Lebourdais - Il pleuvait des oiseaux
Sylvain Lemaitre - Jeune Juliette
David Pelletier - Mafia Inc
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE
Yves Bélanger - 14 jours 12 nuits
Nicolas Canniccioni - Kuessipan
Josée Deshaies - La femme de mon frère
Mathieu Laverdière - Il pleuvait des oiseaux
André Turpin - Matthias & Maxime
MEILLEUR SON
Claude Beaugrand, Michel B. Bordeleau, Bernard Gariépy Strobl, Claude La Haye, Raymond Legault - The Song of Names
Sylvain Bellemare, Jocelyn Caron, Bernard Gariépy Strobl - Sympathie pour le diable
Serge Boivin, Olivier Calvert, Samuel Gagnon-Thibodeau - Ville Neuve
Luc Boudrias, Sylvain Brassard, Jean Camden - Mafia Inc
Bernard Gariépy Strobl, Sacha Ratcliffe, Lynne Trépanier - Le vingtième siècle
MEILLEUR MONTAGE
Geoffrey Boulangé, Sophie Deraspe - Antigone
Monia Chokri, Justine Gauthier - La femme de mon frère
Xavier Dolan - Matthias & Maxime
Myriam Poirier - 14 jours 12 nuits
Matthew Rankin - Le vingtième siècle
MEILLEURS EFFETS VISUELS
Alchimie 24 - Alain Lachance, Jean-Pierre Riverin - The Song of Names
Mikros - Véronique Dessard, Philippe Frère - The Hummingbird Project
Oblique FX - Benoit Brière, Louis-Philippe Clavet, Kinga Sabela - Sympathie pour le diable
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE
Andréa Bélanger, David Ratté (Will Driving West) - Il pleuvait des oiseaux
Jean-Michel Blais - Matthias & Maxime
Jean Massicotte, Jad Orphée Chami - Antigone
Howard Shore - The Song of Names
Peter Venne - Le vingtième siècle
MEILLEURS COSTUMES
Valérie Lévesque - Mafia Inc
Ginette Magny - Jouliks
Patricia McNeil - La femme de mon frère
Patricia McNeil - Le vingtième siècle
Caroline Poirier - Il pleuvait des oiseaux
MEILLEUR MAQUILLAGE
Jeanne Lafond - Jouliks
Léonie Lévesque-Robert - Fabuleuses
Marlène Rouleau - Mafia Inc
Adriana Verbert - Le vingtième siècle
Erik Gosselin, Edwina Voda - Matthias & Maxime
MEILLEURE COIFFURE
Michelle Côté - The Song of Names
Stéphanie Deflandre - Mafia Inc
Nermin Grbic - Le vingtième siècle
Daniel Jacob - Fabuleuses
Martin Lapointe - Il pleuvait des oiseaux
MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE
Alexandre le fou - Pedro Pires | Pedro Pires
Mad Dog & The Butcher - Les derniers vilains - Thomas Rinfret | Divertissement Breakout - Vito Balenzano, Bruno Rosato | Vélocité International - Valérie Bissonnette
Soleils noirs - Julien Elie | Cinéma Belmopán - Julien Elie
Xalko - Hind Benchekroun, Sami Mermer | Les films de la tortue - Hind Benchekroun | Sami Mermer
Ziva Postec. La monteuse derrière le film Shoah - Catherine Hébert | Les Films Camera Oscura - Christine Falco
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE | FILM DOCUMENTAIRE
Dominic Dorval, Vincent Masse, Thomas Rinfret, Richard Tremblay - Mad Dog & The Butcher - Les derniers vilains
Sami Mermer - Xalko
François Messier-Rheault, Ernesto Pardo - Soleils noirs
Pedro Pires - Alexandre le fou
Pedro Ruiz - Sur les toits Havane
MEILLEUR MONTAGE | FILM DOCUMENTAIRE
Benoit Côté, Thomas Rinfret - Mad Dog & The Butcher - Les derniers vilains
Sylvia De Angelis, Sophie Leblond, Pedro Pires - Alexandre le fou
Aube Foglia - Soleils noirs
Annie Jean - Ziva Postec. La monteuse derrière le film Shoah
Natalie Lamoureux - Une femme, ma mère
MEILLEUR SON | FILM DOCUMENTAIRE
Wolfgang Beck, Mustafa Bölükbasi, Kerem Çakir, Huseyin Can Erol, Sonat Hançer, Eric Lebœuf, Bruno Pucella, Ibrahim Tarhan, Yener Yalçin, Tolga Yelekçi - Échos d'Istanbul
Luc Boudrias, Patrice LeBlanc - Une femme, ma mère
Sylvain Brassard, Benoit Leduc, Gaël Poisson Lemay - Alexandre le fou
Shelley Craig, Marie-Pierre Grenier, Luc Léger, Geoffrey Mitchell - La fin des terres
René Portillo - Sur les toits Havane
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | FICTION
Je finirai en prison - Alexandre Dostie | Art & Essai - Hany Ouichou
Jojo - Guillaume Laurin | Couronne Nord - Fanny Forest, Julie Groleau, Guillaume Laurin
Juste moi et toi - Sandrine Brodeur-Desrosiers | Les Films Camera Oscura - Johannie Deschambault
SDR - Alexa-Jeanne Dubé | À Deux - Emili Mercier
Une bombe au cœur - Rémi St-Michel | Christal Films Productions - Christian Larouche | Panache Films - Sébastien Létourneau
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | ANIMATION
Le cortège - Pascal Blanchet, Rodolphe Saint-Gelais | Office national du film du Canada - Julie Roy
Le mal du siècle - Catherine Lepage | Office national du film du Canada - Marc Bertrand
Organic - Steven Woloshen | Steven Woloshen
Physique de la tristesse - Theodore Ushev | Office national du film du Canada - Marc Bertrand
Les vêtements - Caroline Blais | Caroline Blais
FILM S'ÉTANT LE PLUS ILLUSTRÉ À L'EXTÉRIEUR DU QUÉBEC
Antigone - Sophie Deraspe | ACPAV - Marc Daigle | Maison 4:3
La femme de mon frère - Monia Chokri | Metafilms - Sylvain Corbeil, Nancy Grant | Les Films Séville
Genèse - Philippe Lesage | Unité centrale - Galilé Marion-Gauvin | FunFilm Distribution
Kuessipan - Myriam Verreault | Max Films Média - Félize Frappier | Filmoption International
Répertoire des villes disparues - Denis Côté | Couzin Films - Ziad Touma | Maison 4:3
PRIX DU PUBLIC
La femme de mon frère - Monia Chokri | Les Films Séville | Metafilms - Sylvain Corbeil, Nancy Grant
Il pleuvait des oiseaux - Louise Archambault | MK2 | Mile End | Les Films Outsiders - Ginette Petit
Mafia Inc - Daniel Grou (Podz) | Les Films Séville | Attraction Images - Antonello Cozzolino | Caramel Films - Valérie D'Auteuil, André Rouleau
Menteur - Émile Gaudreault | Les Films Séville | Les Films du Lac - Émile Gaudreault | Cinémaginaire - Denise Robert
Merci pour tout - Louise Archambault | Les Films Séville | Amalga - André Dupuy
IRIS HOMMAGE
Alanis Obomsawin
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17-637 Laisser faire Dieu https://soundcloud.com/jlgaillard/laisser-faire-dieu Laisser faire Dieu À Florence, plusieurs sculpteurs taillaient en vain un immense bloc de marbre. Frappé à coups de ciseaux et de marteaux, il n’avait plus aucune forme jusqu’à ce que l’on fasse appel à Michel-Ange pour qu’il en tire quelque chose de beau. Il fit construire une cabane autour du bloc de marbre et travailla pendant dix-huit mois à l’abri des curieux. Enfin, il invita ses concitoyens à venir voir son œuvre. De la masse informe, maltraitée par les autres sculpteurs, émergeait la statue du jeune David, le berger-roi d’Israël, qui est maintenant l’une des gloires de Florence. Sur le plan spirituel, le Christ peut s’emparer des vies que le péché a saccagées et les transformer à son image. Voulez-vous le laisser faire son œuvre en vous ? Mes enfants pour qui j’éprouve de nouveau les douleurs de l’enfantement, jusqu’à ce que Christ soit formé en vous, Galates 4 : 19. #faire #dieu #faire #MichelAnge #berger #roi #david #marbre #bloc #trasformer #image Jean-Louis Gaillard www.365histoires.com www.jlgaillard.fr https://www.instagram.com/p/CfWhzxEM9M9/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Territoriales 2021 : "Campà Megliu in Corsica-Vivre Mieux en Corse"
Les candidates et candidats de la liste présentée par le PCF (Photo du Haut Ajaccio photo du bas Bastia)
Présentation originale en 2 lieux différents pour tenir compte des mesures sanitaires mais avec une liste de 63 noms. La première à ce jour.
"Campà Megliu in Corsica-Vivre Mieux en Corse", nous faisons le choix d’intituler ainsi la liste de la gauche sociale et écologiste, à partir de cette phrase que l’on entend souvent dans la rue : « un si pò piu campà, on n’en peut plus ».
C’est une protestation qui nous parle, qui parle aux Corses !
Ecouter cette parole qui vient du peuple, c’est pour nous la meilleure façon d’aborder cette élection et de la relayer sur le terrain politique, le lieu où elle doit trouver un écho et des éléments concrets de réponse.
Ce mot d’ordre « Campà megliu in Corsica, Vivre mieux en Corse », est d’une actualité brûlante. Aggravées par la crise sanitaire, les inégalités explosent, en Corse comme ailleurs ! La pauvreté s’étend. Les responsables publics sont interpellés.
Faute d’orientations clairement inscrites dans les besoins populaires, la déception et la résignation risquent d’éloigner les citoyens des urnes ou de dévoyer leurs colères légitimes vers des impasses politiques.
Nous voulons offrir des perspectives de résistances et de luttes à toutes celles et à tous ceux qui souffrent, qui en ont assez des querelles politiciennes et du matraquage idéologique en lieu et place de la justice sociale et de l’efficacité économique. Ouvrir une perspective de changement social et écologique, c’est le sens de notre engagement de communistes, de citoyen-ne-s de sensibilités de gauche et écologistes, de militants syndicaux et associatifs, et de simples citoyens de gauche.
Notre liste s’appuie sur de jeunes candidates et candidats pour qui c’est souvent le premier engagement public à l’échelle du territoire insulaire, aux cotés d’autres plus anciens. Elle exprime le renouvellement. Elle est riche de personnalités diverses, actives dans le domaine syndical ou associatif, et pleinement inscrites dans les batailles de notre temps, sociales, écologistes, culturelles, antiracistes, féministes porteuses d’espoir.
Elle rassemble parce qu’elle ressemble aux Corses qui aspirent à une juste répartition sociale des richesses produites, à accéder aux créations culturelles et exigent une ambition politique à la hauteur des enjeux environnementaux de préservation des ressources naturelles et de la planète.
Elle rassemble parce qu’elle ressemble aux combats démocratiques et progressistes ceux d’une gauche qui résiste à l’ultra libéralisme.
Candidates et candidats sur cette liste, communistes ou non, elles et ils, comme leurs engagements quotidiens le montrent, proposent d’agir avec celles et ceux qui veulent "Vivre mieux en Corse-Campà megliu in Corsica".
Cette force politique utile à gauche et au peuple doit être présente à l’Assemblée de Corse.
Bastia Ajaccio le 02 05 2021
Site internet : michelstefani2021.com/michelstefani2021.corsica
Liste "Campà megliu in Corsica-Vivre mieux en Corse"
1 STEFANI Michel Ancien Conseiller Assemblée de Corse et président des Chemins de Fer (SAN MARTINO)
2 AMZIANE Anissa-Flore Directrice adjointe association environnement (AJACCIO)
3 ALARIS Nicolas Directeur camping social Conseiller municipal de SARTENE
4 OLIVESI Josépha Conseillère Principale d’Education (BASTIA MOCA CROCE)
5 PERRAUDIN Julien Postier Syndicaliste Conseiller municipal de BARBAGGIO
6 SORO Catherine Secrétaire ancienne attachée de groupe Assemblée de Corse (CARGESE)
7 MUSELLI-COLONNA Pierre-Ange Privé d’emploi (AJACCIO)
8 CONTRUCCI Marie-Jo Cadre de santé militante associative (FURIANI)
9 ROSSI Pascal Enseignant militant associatif (LINGUIZZETTA)
10 SOGNO Emilie Auto-entrepreneuse esthéticienne (CUTTOLI-CORTICCHIATO)
11 LEROY Marc-Antoine Assistant d’éducation (ALATA)
12 MEDAILLE Karine Employée Syndicaliste (VENZOLASCA)
13 MARIANI Emmanuel Infirmier hospitalier BASTIA
14 MONDOLONI Jeanine Ancienne directrice d’école Conseillère municipale de SARTENE
15 SANTAMARIA Mickaël Agent CCAS Syndicaliste (AJACCIO)
16 VIGNAROLI Annonciade Retraitée enseignement (VALLECALLE HAUT NEBBIU)
17 FAZZINI Maxime Agent EDF Ancien élu Assemblée de Corse des jeunes (FURIANI)
18 TARQUINY Sophie Chirurgienne-dentiste (PIETROSELLA CALENZANA)
19 TRAMONI Michel Maire de BILIA
20 MAZEAU Sandrine Aide à domicile Syndicaliste (BASTIA)
21 BERNARD Nicolas Ouvrier manufacture Syndicaliste (MOROSAGLIA)
22 LOVIGHI Catherine Cadre Activités Sociales de l’Energie (SARTENE)
23 BASTELICA Etienne Conseiller municipal d’AJACCIO Ancien Président de groupe Assemblée de Corse
24 MASON Séverine Infirmière hospitalière Syndicaliste (BASTIA)
25 BARTOLI Auguste Docker Syndicaliste (BIGUGLIA)
26 BIANCARELLI Viviane Educatrice spécialisée Ancienne conseillère Assemblée de Corse (PORTOVECCHIO)
27 FERRANDINI Jean-François Agent EDF Syndicaliste Conseiller municipal de PETRETO-BICCHISANO
28 LUCIANI Marina Agent territoriale Ancienne conseillère municipale de BASTIA
29 USAI Gilbert Professeur de musique (BASTIA)
30 AGOSTINI Hélène Directrice de camping social (PORTO-VECCHIO)
31 CHIOCCA Laurent Artisan forestier (TASSO)
32 PRUVOT-ROL Sonia Enseignante Militante associative environnement biodiversité Ancienne conseillère Assemblée de Corse (SISCO)
33 BONFANTI Joseph Postier Syndicaliste (BASTIA)
34 FIORI Marie-Pierre Agent hospitalier Syndicaliste (AJACCIO-CALACUCCIA)
35 JOURDAN-MURACCIOLE Antoine Ouvrier menuisier (AJACCIO)
36 MINICUCCI Manon Préparatrice en pharmacie (SISCO)
37 PENCIOLELLI Jean-Marc Conseiller Principal d’Education (CORTE)
38 RASORI Marina Animatrice socioculturelle (SARROLA-CARCOPINO)
39 MURRONI Baptiste Coach sportif (ALATA)
40 MORACCHINI Marie-Ange (TALASANI) Cadre commerciale SNCM ancienne conseillère municipale BASTIA
41 TOMEI Louis Agent territorial Syndicaliste (BASTIA)
42 BARTOLI Françoise agent fonction publique territoriale militante associative (BASTELICACCIA)
43 MATTEI Jean-Marie Agent de la Poste Syndicaliste (AJACCIO-Plaine de CUTTOLI)
44 DEVOTI Toussainte Ancienne adjointe au Maire de BASTIA militante associative
45 GUGLIELMACCI Dominique Retraité SNCM (CALVI)
46 MERCURI Angèle retraitée fonction publique territoriale (AJACCIO)
47 BIONDI Jean-Michel Syndicaliste (AJACCIO-LETIA-VENACO)
48 FILIPPI Valérie Infirmière (ROGLIANO)
49 GIL Jean-Jacques Intermittent du spectacle (BASTIA)
50 PIMENOFF Natacha Ancienne conseillère municipale d’AJACCIO Ancienne Vice-présidente de la CAPA
51 AMIDEI Jean Louis Infirmier libéral Ancien adjoint au maire d’AJACCIO
52 POMMEPUY Eve Employée (BASTIA)
53 DELAVALLE Pierre-Jean Militant associatif Président association RUTONE (AJACCIO-GHISONI)
54 PASQUA Christiane Cadre Education Nationale (CAURO- AJACCIO)
55 ZEDDA Louis Agent territorial (SARTENE)
56 DEVICHI Gisèle Retraitée enseignement (CARDO)
57 RIOLACCI Francis Ancien adjoint au Maire de BASTIA
58 POLI Marthe Agent hospitalier EHPAD de GUAGNO Ancienne conseillère municipale d’AJACCIO
59 LUCIANI Paul Antoine Ancien 1er Adjoint d’AJACCIO Ancien Président de groupe à l’Assemblée de Corse
60 BERTRAND Nicole Retraitée MGEN (PIETRANERA)
61 VITTORI Dominique Retraité INRA 1er Adjoint de VESCOVATO
62 LUCCHINI Viviane (MONACCIA D’AULLENE)
63 BUCCHINI Dominique ancien Président de l’Assemblée de Corse (SARTENE)
Présentée par le Parti communiste français
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Haïti : Une vague d'enlèvements en juillet malgré les efforts de sécurité
Au moins quatorze (14) cas de kidnapping ont été enregistrés en Haïti entre le 1er et le 26 juillet, selon les déclarations de Michel-Ange Louis Jeune, porte-parole de la Police Nationale d’Haïti (PNH). Ces chiffres alarmants soulignent une situation sécuritaire qui reste préoccupante, malgré les récents changements à la tête de la PNH et le renforcement des forces de police par des officiers…
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GÉRICAULT À CHEVAL Passionné de cheval depuis sa plus tendre enfance, Géricault découvre également très jeune l’univers du dessin. Son premier autoportrait date de 1808, alors qu’il n’a que 17 ans. Il est alors encouragé par son oncle à s’engager dans une carrière d’artiste. « Le mouvement, l’âme, l’œil du cheval, sa robe, le brillant de ses reflets, voilà ce qu’il a rendu comme personne. » (Eugène Delacroix au sujet du travail de Géricault) En proie à un amour malheureux et scandaleux avec sa tante, Géricault s’engage dans la garde royale de Louis XVIII, lors de la Première Restauration monarchique que connaît le pays. Il accompagne le roi à Gand lors du retour éphémère de Napoléon. Après avoir échoué au concours du prix de Rome, Géricault part tout de même en 1816 pour l’Italie. Michel-Ange et ses accents maniéristes le fascinent... UNE MUSIQUE D'UN BONHEUR CONTAGIEUX Malcolm Arnold - Brass Quintet No. 1 Op. 73 https://youtu.be/ZLaIxHPbgjo ... Dans le roman, "La Semaine Sainte", Aragon met en scène la semaine du 19 au 26 mars 1815, où Napoléon revint de l'île d'Elbe, poussant Louis XVIII et les princes à un nouvel exil. Au cours de cette débâcle nous allons suivre de nombreux personnages, des monarchistes et d'anciennes figures de l'Empire rallié à Louis XVIII, mais aussi le peintre Théodore Géricault qui restera notre personnage principal... #culturejaiflash https://www.instagram.com/p/CJjfwcql-B0/?igshid=1fitncea2nrkb
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Death and injuries reported in Haiti anti-corruption protests | Miami Herald
Death and injuries reported in Haiti anti-corruption protests | Miami Herald
Haitian National Police spokesman Michel-Ange Louis-Jeune said at least two people were killed during the tension-filled day and several others were wounded by gunshots including five people in Cap-Haitien, the country’s second largest city. The wounded were taken by police to a local hospital.
Early in the day, a Port-au-Prince police officer was injured when a rock was thrown and hit his head…
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VENDREDI 30 OCTOBRE 2020 – (Billet 2 / 4)
« ADN » (1h 30)
Un film de Maïwenn, avec Maïwenn, Fanny Ardent, Louis Garrel…
C’était le dernier film que nous voulions voir avant le deuxième confinement. Nous avons donc choisi hier la séance de 15 heures dans notre cinéma préféré, le Pathé Beaugrenelle.
Et dès les premières scènes nous sommes rentrés dans cette histoire, avons ADORE l’interprétation de TOUS les comédiens et SURTOUT, la caméra (l’oeil / le regard) de la réalisatrice Maïwen filmant tous ses personnages, leur laissant totalement la bride sur le cou mais grâce à un casting irréprochable, par moment, on se serait cru dans un vrai documentaire plutôt que dans un film tellement tout le monde était juste… juste à sa place !
On rit, on pleure, on rit, on pleure… On adhère complètement aux personnages. On y croit !
C’est un film avec de (tout) petits défauts mais aussi avec d’immenses qualités. La critique de « La Croix » (ci-dessous) reflète exactement notre point de vue.
Dès la fin de la projection, sans aucune hésitation, nous lui avons donné tous les deux ♥♥♥♥ mais, comme pour “Michel-Ange”, nous ne pouvons malheureusement pas vous le conseiller, fermeture de tous les cinémas oblige.
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« ADN », une émouvante quête des origines
« J’aimerais que les spectateurs se demandent : Qu’est-ce que mes parents m’ont transmis et qu’ai-je envie de transmettre à mon tour ? explique la réalisatrice. Comment l’histoire de nos origines rejaillit dans notre vie au quotidien ? Qu’est-ce que veut dire être d’origine de tel ou tel pays ? Ça passe par quoi ? la connaissance de l’Histoire, la pratique de la langue ? C’est tout ça que j’ai voulu questionner dans le film. »
Neige, mère divorcée de trois enfants, traverse un véritable tsunami familial et émotionnel après la mort d’Émir, son grand-père algérien de 93 ans dont elle était très proche. Non seulement parce que cet ancien militant communiste, qui a combattu aux côtés du FLN, constituait la colonne vertébrale d’une famille passablement dysfonctionnelle. Mais aussi parce que sa disparition conduit la jeune femme à s’interroger sur la part qui survit en elle de cet homme admiré et de son histoire.
Submergée par le chagrin, en butte à l’hostilité de son entourage, elle se lance dans une quête identitaire libératrice qui la conduira à se réconcilier avec elle-même et à fouler pour la première fois le sol de l’Algérie.
Comme toujours avec Maïwenn, qui laisse une grande part à l’improvisation dans sa direction d’acteurs, les scènes les plus réussies sont chorales. Lorsque la famille est réunie pour célébrer l’anniversaire d’Émir dans sa maison de retraite, juste avant sa mort, puis lors des obsèques, quand ressurgissent entre ses membres tous les non-dits et les tensions passés.
Chacun y joue parfaitement sa partition, depuis Fanny Ardant en mère théâtrale et toxique, à Dylan Robert, jeune cousin rappeur un peu paumé, en passant par Alain Françon, le père absent et castrateur, ou encore Louis Garrel, toujours excellent, dans le rôle de l’ancien compagnon réconfortant qui enchaîne les blagues pour tenter de détendre l’atmosphère.
Le film n’est pas exempt de défauts, notamment dans une dernière partie – le retour en Algérie – malheureusement moins aboutie. Mais la réalisatrice avec ses excès, son « à peu près », le sentiment qu’elle donne de toujours expérimenter, a une manière bien à elle de capter la vérité de ses personnages. Et parvient à se maintenir tout au long du film sur une ligne de crête fragile, oscillant entre le rire et les larmes.
Un rire libérateur lorsqu’il s’agit d’affronter l’absurdité des démarches imposées par l’organisation des obsèques – comme cette scène d’anthologie sur le choix du cercueil – et des larmes de désespoir face au vide de la perte, qui provoque chez son héroïne une profonde dépression. Sur un scénario ténu, entourée d’une troupe de comédiens formidables, Maïwenn réussit une nouvelle fois à nous faire chavirer avec cette drôle et émouvante quête de soi.
(Source : « lacroix.fr »)
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Testament (Rodin) - Auguste Rodin - 1911 JEUNES GENS QUI VOULEZ ÊTRE LES OFFICIANTS DE LA BEAUTÉ, PEUT-ÊTRE VOUS PLAIRA-T-IL DE TROUVER ICI LE RÉSUMÉ D’UNE LONGUE EXPÉRIENCE. Aimez dévotement les maîtres qui vous précédèrent. Inclinez-vous devant Phidias et devant Michel-Ange. Admirez la divine sérénité de l’un, la farouche angoisse de l’autre. L’admiration est un vin généreux pour les nobles esprits. Gardez-vous cependant d’imiter vos aînés. Respectueux de la tradition, sachez discerner ce qu’elle renferme d’éternellement fécond : l’amour de la Nature et la sincérité. Ce sont les deux fortes passions des génies. Tous ont adoré la Nature et jamais ils n’ont menti. Ainsi la tradition vous tend la clé grâce à laquelle vous vous évaderez la routine. C’est la tradition elle-même qui vous recommande d’interroger sans cesse la réalité et qui vous défend de vous soumettre aveuglément à aucun maître. Que la Nature soit votre unique déesse. Ayez en elle une foi absolue. Soyez certains qu’elle n’est jamais laide et bornez votre ambition à lui être fidèles. Tout est beau pour l’artiste, car en tout être et en toute chose, son regard pénétrant découvre le caractère, c’est-à-dire la vérité intérieure qui transparaît sous la forme. Et cette vérité, c’est la beauté même. Étudiez religieusement : vous ne pourrez manquer de trouver la beauté, parce que vous rencontrerez la vérité. Travaillez avec acharnement. Vous, statuaires, fortifiez en vous le sens de la profondeur. L’esprit se familiarise difficilement avec cette notion. Il ne se représente distinctement que des surfaces. Imaginer des formes en épaisseur lui est malaisé. C’est là pourtant votre tâche. Avant tout, établissez nettement les grands plans des figures que vous sculptez. Accentuez vigoureusement l’orientation que vous donnez à chaque partie du corps, à la tête, aux épaules, au bassin, aux jambes. L’art réclame de la décision. C’est par la fuite bien accusée des lignes, que vous plongez dans l’espace et que vous vous emparez de la profondeur. Quand vos plans sont arrêtés, tout est trouvé. Votre statue vit déjà. Les détails naissent et ils se disposent ensuite d’eux-mêmes. Lorsque vous modelez, ne pensez jamais en surface, mais en relief. Que votre esprit conçoive toute superficie comme l’extrémité d’un volume qui la pousse par-derrière. Figurez-vous les formes comme pointées vers vous. Toute vie surgit d’un centre, puis elle germe et s’épanouit du dedans au dehors. De même, dans la belle sculpture, on devine toujours une puissante impulsion intérieure. C’est le secret de l’art antique. Vous, peintres, observez de même la réalité en profondeur. Regardez, par exemple, un portrait peint par Raphaël. Quand ce maître représente un personnage de face, il fait fuir obliquement la poitrine et c’est ainsi qu’il donne l’illusion de la troisième dimension. Tous les grands peintres sondent l’espace. C’est dans la notion d’épaisseur que réside leur force. Souvenez-vous de ceci : il n’y a pas de traits, il n’y a que des volumes. Quand vous dessinez, ne vous préoccupez jamais du contour, mais du relief. C’est le relief qui régit le contour. Exercez-vous sans relâche. Il faut vous rompre au métier. L’art n’est que sentiment. Mais sans la science des volumes, des proportions, des couleurs, sans l’adresse de la main, le sentiment le plus vif est paralysé. Que deviendrait le plus grand po��te dans un pays étranger dont il ignorerait la langue ? Dans la nouvelle génération d’artistes, il y a nombre de poètes qui, malheureusement, refusent d’apprendre à parler. Aussi ne font-ils que balbutier. De la patience ! Ne comptez pas sur l’inspiration. Elle n’existe pas. Les seules qualités de l’artiste sont sagesse, attention, sincérité, volonté. Accomplissez votre besogne comme d’honnêtes ouvriers. Soyez vrais, jeunes gens. Mais cela ne signifie pas : soyez platement exacts. Il y a une basse exactitude : celle de la photographie et du moulage. L’art ne commence qu’avec la vérité intérieure. Que toutes vos formes, toutes vos couleurs traduisent des sentiments. L’artiste qui se contente du trompe-l’œil et qui reproduit servilement des détails sans valeur ne sera jamais un maître. Si vous avez visité quelque campo santo d’Italie, sans doute avez-vous remarqué avec quelle puérilité les artistes chargés de décorer les tombeaux s’attachent à copier, dans leurs statues, des broderies, des dentelles, des nattes de cheveux. Ils sont peut-être exacts. Ils ne sont pas vrais, puisqu’ils ne s’adressent pas à l’âme. Presque tous nos sculpteurs rappellent ceux des cimetières italiens. Dans les monuments de nos places publiques, on ne distingue que redingotes, tables, guéridons, chaises, machines, ballons, télégraphes. Point de vérité intérieure, donc point d’art. Ayez horreur de cette friperie. Soyez profondément, farouchement véridiques. N’hésitez jamais à exprimer ce que vous sentez, même quand vous vous trouvez en opposition avec les idées reçues. Peut-être ne serez-vous pas compris tout d’abord. Mais votre isolement sera de courte durée. Des amis viendront bientôt à vous : car ce qui est profondément vrai pour un homme l’est pour tous. Pourtant pas de grimaces, pas de contorsions pour attirer le public. De la simplicité, de la naïveté ! Les plus beaux sujets se trouvent devant vous : ce sont ceux que vous connaissez le mieux. Mon très cher et très grand Eugène Carrière, qui nous quitta si vite, montra du génie à peindre sa femme et ses enfants. Il lui suffisait de célébrer l’amour maternel pour être sublime. Les maîtres sont ceux qui regardent avec leurs propres yeux ce que tout le monde a vu et qui savent apercevoir la beauté de ce qui est trop habituel pour les autres esprits. Les mauvais artistes chaussent toujours les lunettes d’autrui. Le grand point est d’être ému, d’aimer, d’espérer, de frémir, de vivre. Être homme avant d’être artiste ! La vraie éloquence se moque de l’éloquence, disait Pascal. Le vrai art se moque de l’art. Je reprends ici l’exemple d’Eugène Carrière. Dans les expositions, la plupart des tableaux ne sont que de la peinture : les siens semblaient, au milieu des autres, des fenêtres ouvertes sur la vie ! Accueillez les critiques justes. Vous les reconnaîtrez facilement. Ce sont celles qui vous confirmeront dans un doute dont vous êtes assiégé. Ne vous laissez pas entamer par celles que votre conscience n’admet pas. Ne redoutez pas les critiques injustes. Elles révolteront vos amis. Elles les forceront à réfléchir sur la sympathie qu’ils vous portent et ils l’afficheront plus résolument quand ils en discerneront mieux les motifs. Si votre talent est neuf, vous ne compterez d’abord que peu de partisans et vous aurez une foule d’ennemis. Ne vous découragez pas. Les premiers triompheront : car ils savent pourquoi ils vous aiment ; les autres ignorent pourquoi vous leur êtes odieux ; les premiers sont passionnés pour la vérité et lui recrutent sans cesse de nouveaux adhérents ; les autres ne témoignent d’aucun zèle durable pour leur opinion fausse ; les premiers sont tenaces, les autres tournent à tous les vents. La victoire de la vérité est certaine. Ne perdez pas votre temps à nouer des relations mondaines ou politiques. Vous verrez beaucoup de vos confrères arriver par l’intrigue aux honneurs et à la fortune : ce ne sont pas de vrais artistes. Certains d’entre eux sont cependant très intelligents et si vous entreprenez de lutter avec eux sur leur terrain, vous consumerez autant de temps qu’eux-mêmes, c’est-à-dire toute votre existence : il ne vous restera donc plus une minute pour être artiste. Aimez passionnément votre mission. Il n’en est pas de plus belle. Elle est beaucoup plus haute que le vulgaire ne le croit. L’artiste donne un grand exemple. Il adore son métier : sa plus précieuse récompense est la joie de bien faire. Actuellement, hélas ! on persuade aux ouvriers pour leur malheur de haïr leur travail et de le saboter. Le monde ne sera heureux que quand tous les hommes auront des âmes d’artistes, c’est-à-dire quand tous prendront plaisir à leur tâche. L’art est encore une magnifique leçon de sincérité. Le véritable artiste exprime toujours ce qu’il pense au risque de bousculer tous les préjugés établis. Il enseigne ainsi la franchise à ses semblables. Or, imagine-t-on quels merveilleux progrès seraient tout à coup réalisés si la véracité absolue régnait parmi les hommes ! Ah ! comme la société se déferait vite des erreurs et des laideurs qu’elle aurait avouées et avec quelle rapidité notre terre deviendrait un Paradis ! - Ce texte a été dicté par Auguste Rodin à Paul Gsell en 1911, pour être publié après sa mort. Il est reproduit dans l’Histoire générale de l'art français de André Fontainas et Louis Vauxcelles, 1922, volume 2 page 259 et suivantes.
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Le directeur du service de la circulation, le commissaire divisionnaire Carmel Fleurant est décédé, dimanche soir, dans un centre hospitalier, à Port-au-Prince. Il souffrait notamment de diabète (Porte-parole PNH, Michel Ange Louis Jeune). https://www.instagram.com/p/CA5IdcnJGEP/?igshid=y4oexhstfxrr
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Nouvelles acquisitions (Juillet 2018) Rattrapage
Lundi 02.07.18 Via internet Maxim Biller - Une requête de Bruno Schulz
Samedi 07.07.18 Boulinier Renaud Machard - Stephen Sondheim
Boulinier 2 - Librairie des Loisirs (16 bd St Michel) Pierre-Louis Basse - Gagner à en mourir
Samedi 14.07.18 Livre offert, Merci Yan ! Marcel Duhamel - Raconte pas ta vie
Boulinier Jean-Marie Gourio - La carte des vins Léo Perutz - Le Judas de Léonard Pouchkine - Journal secret (1836-1837) Guillermo Sucre - Jorge-Luis Borgès - Monographies Seghers
Trouvés par terre Bld St michel Jonathan Frazen - Freedom Arthur Conan Doyle - Sur la piste du faussaire et autres inédits de Sherlock Holmes
Samedi 21.07.18 Gibert Joseph Hermann Hesse - Rosshalde Isaac Bashevis Singer - Shosha
Boulinier John Murray - Quelques notes sur les papillons tropicaux - nouvelles Robert Benchley - Remarquable, n'est-ce pas ?
Gibert Jeune - Nouvelle Braderie, place St Michel Charles Bowden - Une histoire pas naturelle de l'Amérique - Tome 1 - Orchidée de sang Larry McMurtry - La marche du mort - Lonesome Dome : les origines Knut Hamsun - Femmes à la fontaine Knut Hamsun - Enfants de leur temps
Dimanche 22.07.18 Boulinier Marius Jacob - Ecrits vol.II V.-A. Kravchenko - J'ai choisi la liberté !
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Jean Meckert - Nous sommes tous des assassins
Mercredi 24.07.18 Via le net Isaac Bashevis Singer - Le magicien de Lublin
Jeudi 25.07.18 Via le net Michel Onfray - L'Art de jouir Nina Berberova - L'affaire Kravtchenko
Voilà un livre passionnant qui nous rappelle combien, après guerre, bon nombre d'intellectuels, souvent communistes, refusèrent d'entendre et de voir ce qui se passait en URSS, où Staline faisait de la vie de son peuple un véritable enfer.
Les faits : en 1943, Kravtchenko, un petit employé, membre d’une commission d’achats à crédit, ne supporte plus la vie en russie soviétique. Alors qu’on l’envoie aux Etats-Unis, il décide de ne pas rentrer dans son pays. De là, il écrit J’ai choisi la Liberté, un livre où il dénonce les méfaits du stalinisme. Publié en 1947, l’ouvrage a un retentissement mondial. (Reppelons que nous sommes plus de dix ans avant les révélations de Soljenitsyne.) Traduit en français, J’ai choisi le Liberté est sévèrement critiqué par le journal pro-communiste Les Lettres Françaises dirigé par Claude Morgan, et par un rédacteur en particulier, André Wurmser qui, sous un pseudonyme, traîne Kravtchenko dans la boue. Ce dernier porte plainte, et un procès s'ouvre à Paris, du 24 Janvier au 4 avril 1949.
Pour étayer les affirmations de Kravtchenko, de très nombreux russes exilés, viennent témoigner de leur vie sous Staline – ils évoquent les purges, les déportations, les camps, les exécutions sommaires... les récits s’accumulent, qui rappellent aux français, du moins à ceux qui ont de la mémoire, les temps de la Terreur. Un soupçon, même infondé, faisait de vous un opposant au régime, et pouvait vous envoyer illico dans un camp, (qu’on appelait pas encore Goulag), voire au peloton d'exécution. Des récits restent en tête, comme ceux de ces prisonniers condamnés aux travaux forcés qui, entassés dans des hangars gigantesques, étaient contraints de dormir par terre et délimitaient les contours de leur « lit » avec des allumettes. D'autres témoins racontent comment la population était dressée pour s'espionner et se dénoncer entre elle. Comment, dans une même famille, des agents pouvaient contraindre une personne à en espionner une autre, tandis que cette dernière avait pour mission de surveiller un autre membre de la famille. Lors de visites officielles (d’hommes politiques, d'écrivains, ou d'intellectuels étrangers) des personnes étaient chargés d’embellir usines et ateliers – comme les nazis le faisaient à Theresienstadt, lors des visites de la Croix Rouge. Ils disposaient des fleurs un peu partout et les ouvriers recevaient des habits neufs. Une fois la délégation (étroitement encadrée) repartie, on enlevait les fleurs, et on reprenait les beaux habits. Pour mémoire, aussi, l’histoire de cet homme condamné à 2 ans de travaux forcés, qui ignore de quoi on l’accuse, et qui n'est sauvé que grâce à l'acharnement de sa femme. Celle-ci écrit sans relâche à des gens hauts placés pour les convaincre de l’innocence de son mari. Par miracle, l'homme qui l'a fait condamner est démis de ses fonctions. Celui qui le remplace lit le dossier et se rend compte qu'il n'y a rien, en effet, à reprocher à l’accusé. Il est libéré, après deux ans d'emprisonnement. Revenu dans son village, il cherche à comprendre pourquoi on l'a arrêté. Les petits chefs du coin, agents au service de l'état, lui conseillent de la boucler : estime-toi heureux de t'en être aussi bien sorti !
Tous ces témoignages déclenchent chez les avocats des Lettres Françaises des éclats de rires, même et surtout quand on évoque les gens qui mourraient dans les files d'attente des magasins. Rien n'est vrai, selon eux. Moment d’anthologie : à la fin du procès, Claude Morgan relate son récent voyage en URSS. Son récit donne une vision idyllique de la vie des russes. Il a pu visiter librement, affirme-t-il, usines, écoles et théâtres. Dans les parades militaires : « on entend jouer des polkas et des valses, la foule est enthousiaste. » Argument imparable : « s'il existait des camps de concentration en URSS, croyez-vous que l'humeur des gens ait été aussi gaie ? » Morgan poursuit... Les étudiants ? « Ils savent tous ce qu’ils feront dans la vie. L’un d’eux veut être musicien, l’autre aviateur, ils trouvent tous du travail, car le travail est garanti à tous et le chômage n’existe pas. » Etc. etc. (A noter qu’à l’issue du procès, les juges se déclarèrent incompétents pour décider si la vie des russes décrite par Kravtchenko ou l’existence de camps dans le pays étaient vraies ou non !) Une question demeure : lors de leurs visites en URSS, les gens comme Morgan étaient-ils vraiment tenus en laisse ou bien ne voulaient-ils vraiment rien voir ? Un mélange des deux, sans doute. On peut parier que confrontés à des faits irréfutables, ils auraient préféré changer de réalité plutôt que de changer d'idées.
Un mot quand même sur Kravtchenko. Le moins qu'on puisse dire c'est que le personnage n'est pas un ange. Colérique, bagarreur... à plusieurs reprises, il se lève de son siège, furieux, et menace de venir corriger les avocats du journal ; violent, donc... son ex-femme l'accuse de l'avoir battue ; joueur insatiable... on lui reproche d'avoir volé dans les caisses de son entreprise ; et tarre liée à toutes les autres : menteur... il n’aurait pas écrit son livre seul. Je m’attarde sur ce point (peut-être dur à suivre, je vous préviens, mais c’est un des points importants de l’accusation) : Kravtchenko prétend avoir écrit J’ai choisi le Liberté en russe. Puis, il l'aurait fait traduire en anglais, du moins pour les 500 premières pages. Ensuite, pour une obscure raison, le traducteur s'étant retiré, il aurait fallu trouver un second traducteur. Entre temps, (ou en même temps, on ne sait pas), Kravtchenko se serait fait retraduire le livre en russe, du moins oralement, pour être sûr qu'il était bien traduit (!) Il aurait de plus (selon le traducteur français, cette fois) demandé à son (ou ses ?) traducteurs anglais d’effectuer une traduction mot à mot, (là aussi, on ignore pourquoi), ce qui expliquerait le ton un peu plat et documentaire du livre, détail qui lui a été reproché. Kravtchenko nous parle encore d'un second rédacteur et refuse de donner son nom, ainsi que celui du second traducteur. Pour compliquer l'affaire, Kravtchenko rechigne à présenter le manuscrit original complet, celui-ci arrivant par petits bouts lors du procès. Vous suivez ? Ces explications confuses convainquent rapidement le lecteur que le livre procède sans doute d’une écriture à plusieurs mains. L’accusation prétend que ces secondes mains appartiennent à des agents étrangers, anti communistes.
La vraisemblance voudrait que Kravtchenko ait écrit le livre en partie en russe et qu'un rédacteur américain ait remit tout ça en forme en anglais. Kravtchenko nie farouchement ce fait et affirme avoir tout écrit de a à z. Avouer qu’il a eu recours à des nègres était peut-être infâmant (on voit alors qu’on a bien changé d’époque !) plus probablement : il ne veut pas qu’on fasse de lui une sorte d’espion, et avoir menti sur un détail somme toute peu important, jète tout de même le discrédit sur tout le livre. Bref, bien que complexes, ces longues expertises sont assez passionnantes à suivre.
Ainsi, on voit paraître à la barre Vladimir Pozner (écrivain et traducteur que j’apprécie, notemment pour sa version de Crime et châtiment), qui peine à prouver que le manuscrit cacherait plusieurs rédacteurs. Sa thèse ? Les nombreuses citations d’auteurs anglais. Kravtchenko le ridiculise en citant par coeur des textes anglais et français. (Qu’est donc allé faire l’auteur du Mors au dents dans cette galère ?) Les avocats du journal, de leur côté, s’évertuent à prouver, en vain, que ces co-auteurs sont, comme Kravtchenko lui-même, des agents secrets américains, voire nazis, voire un mélange des deux.
Nina Berberova, elle, prend clairement le parti de Kravtchenko, (ce qui pourrait être gênant venant d'une journaliste, mais devant l'évidence des faits et la mauvaise foi des opposants, il semblait difficile de ne pas s'offusquer comme elle le fait parfois car, russe exilée elle aussi, elle savait que les témoins de Kravtchenko disaient vrai.)
Le livre est traduit par Irène et André Markovicz, qui apportent des précisions importantes à la compréhension, dans quelques pages de notes.
Samedi 28.07.18 Boulinier Sadegh Hedayat - La chouette aveugle Revue Europe n°626-627 - Juin-Juillet 1981 - Gaston Leroux William Saroyan - Quand même un américain, nouvelles (Trad M. Chrestien)
DOUBLON ! J’ignorais que ce recueil avait été retitré par Bourgois : Je m’appelle Aram, qui est d’ailleurs son titre original. Je l’ai donc déjà lu. Si Saroyan est inégal dans sa production, ce livre-ci est remarquable. 9 textes sur 14 sont à recommander vivement. On y trouve une de ses meilleures nouvelles : L’Indien Locomotive 38 !
Gibert Jeune - Nouvelle Braderie, place St Michel William Kotzwinkle - Mister Caspian & Herr Felix
Librairie Le Dilettante (7, place de l'Odéon) Henry Miller - Un diable au paradis Henry Miller - Le colosse de Maroussi Alfred Perlès - Mon ami, Henry Miller
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