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wheelsofwhisky · 5 years ago
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Top 10 Whisky Selling Brands INDIA | 2020 List | Hindi Reviews
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daruapp-blog · 6 years ago
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A SWEET AND SPICYOL’ FRIENDAfter the production of sugar from sugarcane, there was a lot of waste left. A few years after, Christopher Columbus planted the first sugarcane plant in Caribbean island; it was the British during their colonialism in the 16th century, found another use of the leftover molasses. They took it back to Britain, fermented and distilled it into 'Rum'.
INDIAN CONNECTION
When the British officials were posted in India, they used to get their hard stuff rationed such as Scotch whisky and Wine, but instead of it getting from England, they wanted to locally distilled and started distilling. After merging hands few times, Mohan Meakin Ltd was the producer of the iconic rum brand from India, 'Old Monk’, since 1954.
COLOUR SAYS A LOT! 
People basically assumes that Rum is categorized into two i.e. light and dark but they are also categories as light bodied or white rum, gold rum, aged rum, overproof rum, flavored rum, Rhum Agricola, Cachaça. Some of the rums are aged in the oak barrels, which deepen the color and aroma profile of it. The longer the rum stays in the barrel the darker the color it will, usually, it is the dark rum which has the deepest color by keeping it in the barrel for a long period undergone heavy charring while white rums are sometimes filtered after aging, in order to get the clear color of it.
DO YOU KNOW THEM? 
White Tiger Rum may be the latest addition to the rum family of India but there is a lot to explore in the IMFL (Indian Made Foreign Liquor) category, brands such as Old Monk, Mc Dowell’s No 1, Hercules, Contessa, Celebrations, Old Port, Jolly Rogers, Amrut’s Classic XXX still have a stronghold, whereas in the premium and super-premium brands such as Havana Club, Bacardi, Captain Morgan, Ron Zacapa, Malibu are just few names. Rum usually has an ABV (Alcohol By Volume) of 35-50%. Rest and refresh.  What will be your choice today, a Mojito maybe or Piña Colada or something like Dark ‘N’ Storm, or maybe a whole bottle of your favorite brand? Well, now you can choose from the wide varieties. And the best part you don’t have to get your shoes on when you can definitely get it home delivered.  Make us your No .1 choice and download darudelivery app available on Google Play store and IOS app store or click to www.darudelivery.com, Available in Bangalore, India. www.darudelivery.com #daru #darudelivery #delivery #rum #indianrum #imfl #oldmonk #herculesxxx #havanaclub #bacardi
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ieatmovies · 7 years ago
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AMERICAN SATAN (2017) Les rock-movies sérieux se font rares depuis longtemps: depuis l’excellent -et comique- TENACIOUS D AND THE PICK OF DESTINY (2006), on n’a pas eu grand-chose à se mettre sous la dent, et ce n’est pas Tom Cruise et son ROCK OF AGES (2012) qui dira le contraire. Le rock et le cinéma, une histoire d’amour jalonnée par des œuvres telles que le vieux EASY RIDER (1969), l’ancien SPINAL TAP (1984) ou encore les trop gentillets WAYNE’S WORLD (1992-1993): et NON, KISS CONTRE LES FANTÔMES (1978) n’a pas sa place ici -pas encore-: par contre, on a eu droit au réussi DEATHGASM (2015), plus axé black-metal que simplement rock. Mais quel est donc cet AMERICAN SATAN, réalisé par le fondateur du label Sumerian Records, Ash Avildsen? Fils-à-papa de talent, le monsieur nous offre avec AMERICAN SATAN un voyage au cœur de la musique, disons-le, plutôt costaud: il suffit de regarder d’abord le casting de folie réuni pour ce projet: Andy Biersack, premier rôle et chanteur du groupe -pas terrible- Black Veil Brides, Booboo Stewart -qui sort enfin de son personnage miteux de TWILIGHT (2008-2012), Ben Bruce -guitariste du groupe Asking Alexandria et ayant déjà joué pour Avildsen dans son précédent long-métrage, et... attendez, ça arrive: John Bradley -le Samwell Tarly de GAME OF THRONES (2011-201?), l’énorme Mark Boone Junior -un vétéran du cinéma que vous avez forcément croisé quelque part-, Denise Richards -qui a perdu de sa superbe depuis STARSHIP TROOPERS (1997) tout comme Patrick Muldoon qui répond présent à l’appel (!); en effet la pauvre actrice-milf croule sous une tonne de fond de teint et présente une tête effrayante de “chirurgie esthétique sur le déclin”-, l’immense Malcolm Mc Dowell, Bill Duke (PREDATOR, 1984) et le musculeux Bill Goldberg. Y’a aussi la pornstar Tori BlackWaow, ça en fait du beau monde, mais ça parle de QUOI, AMERICAN SATAN? D’un jeune groupe de rock dont la moitié des membres sont anglais et l’autre américains, qui lâchent tout pour tenter leur chance, direction Sunset Strip: légitime sans trop rentrer dans le détail technique de la musique, AMERICAN SATAN nous présente une galerie de personnages certes un peu clichés, mais chacun avec son histoire, ces jeunes rebelles devant se confronter à la dure réalité qui contraste avec leurs espoirs de garage-band. Forcément, le film suit principalement le chemin emprunté par Johnny Faust, leader du rock-band et centre d’AMERICAN SATAN: induisant son public en erreur, on comprend vite que le long-métrage au départ amusant va se transformer en tragédie. Et nous sommes comblés. Avildsen n’oublie pas les connaisseurs et emmène le spectateur en tournée en passant par les inévitables lieux légendaires du rock, à commencer par le Whisky A Go Go de L.A. ou le mythique bar Rainbow, repère de R.I.P. Lemmy Kilmister (Motörhead): du boulot de merde à la première démo refilée par chance à un manager qui passait par là, les membres du groupe vont apprendre par leur propre expérience la dure vie de musicien, entre siestes dans un van pourri et bagarres mettant en péril leurs concerts. Sans se vouloir pur divertissement ou leçon de morale, AMERICAN SATAN pue la vérité, et c’est sous une pluie de références et d’anecdotes qu’on devine que cette fiction s’inspire de faits réels, qui seront même cités pendant le film: des groupes tels que Mötley Crue, Iron Maiden, et Metallica ont toujours eu des histoires folles, et il en sera de même avec le groupe de Johnny Faust. N’oubliez pas la phrase d’ouverture d’AMERICAN SATAN, ce “would you?” tentateur qui promet monts et merveilles, car le film est indissociable de ce concept: approchés à plusieurs reprises par deux individus -Malcolm Mc Dowell et Bill Dukes étant la caution “fantastique” du long-métrage, l’un tout en exubérance et l’autre en force tranquille-, le groupe va devoir choisir les opportunités, bonnes ou mauvaises, qui seront forcément à traiter avec d’irrémédiables conséquences. Gag ou fait divers qui tourne mal... Ces choix ne seront hélas pas toujours pertinents -enfin, si, scénaristiquement parlant- pour les protagonistes, contrairement à la bande-son d’AMERICAN SATAN composée par Jonathan Davis, chanteur de Korn: une autre réussite, qui assoit ses dons de compositeur initiés avec le mauvais QUEEN OF THE DAMNED (2002) dont seul le soundtrack restait dans les mémoires. Très bien réalisé -excepté un faux raccord visible dès le premier visionnage mais plus que pardonnable-, AMERICAN SATAN va au bout de son propos, décryptant avec pertinence un monde idéalisé par les masses: on n’est pas dans la tragédie pure comme REQUIEM FOR A DREAM -heureusement- mais les mauvais détours sont montrés sans censure: “sex, drugs & rock’n’roll” serait un leitmotiv adapté pour noter cette review, mais non, malgré ce côté “Marilyn-ostalgique-Manson que l’on ressent. Titre éponyme de l’album en question, AMERICAN SATAN nous remémore également le “révérend” période HOLY WOOD (2000), ainsi que le massacre de Columbine: les membres de The Relentless (le groupe) devront aussi affronter les médias peu scrupuleux, les manipulations en tous genres, et la justice, comme beaucoup on dû le faire avant eux; j’ai mentionné Marilyn Manson, mais on pourrait évoquer Dee Snider (Twisted Sister) par exemple. C’est donc blindé de références qu’AMERICAN SATAN et son drapeau américain où le pentacle remplace les étoiles frappe juste, de son concept à sa réalisation en passant par la musique: très probant, le tout fait mouche, car fait par des gens du métier et des passionnés. Roadies, traîtres, managers, producteurs, tour-bus, overdoses, dépression, alcoolisme, rêve américain, amours et amitiés, tout est là pour enflammer le récit. Produit par Andy Gould, qui fait ce qu’il avait déjà fait avec les films de Rob Zombie: photographie léchée, gros son, la qualité trône tout du long d’AMERICAN SATAN, indispensable “film rock” de la décennie, qui n’hésite pas à s’immiscer dans certains gros festivals ricains, appuyant sa cohérence générale une fois de plus. Conte cruel de la jeunesse ;-) et porte ouverte aux néophytes, AMERICAN SATAN joue la carte de la transparence, là où d’autres entretiennent de poussiéreux mythes: s’achevant sur une liste de témoignages divers tels que ceux de Carlos Santana ou d’Ozzy Osbourne, le film laisse douter quant à la présence du diable -inhérente au rock-, possédant le musicien lorsqu’il monte sur scène, ou compose. Une surprise de taille, au scandale équivalent: pas de sortie en France au cinéma, et c’est en injuste V.O.D. -presque un an après sa sortie, LA HONTE quoi- qu’AMERICAN SATAN, oeuvre-niche pour rockers et metalheads, peut se trouver. Un constat accablant pour le genre, également subi par LEATHERFACE (2017): nous défendons AMERICAN SATAN de base, et le défendrons encore plus en lui forgeant une réputation méritée. Regardez-le, parlez-en, achetez sa bande originale: ça vaut le coup, et si on veut encore des films de genre de ce calibre, il faut le soutenir à tout prix! Ce n’est pas parce que le réalisateur use des acquis de son “écurie” qu’AMERICAN SATAN est un film pour groupies prépubères à tendance metalcore, loin de là! Et on emmerde THROUGH THE NEVER (2013) en passant! Ralliez la cause, hérétiques, vous ne serez pas déçus! 666 /20
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drinksanddestinations · 8 years ago
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 As I stepped out of the airport in Mauritius and began my journey towards the main island all I could see around was long stretches of sugar cane fields with occasional sightings of a few Indian men and women who looked right out of a Bollywood movie from the 60’s. I got curious and asked around to explore their India connection and found out that during the British colonization, sugar cane farmers from the fields of north India were taken to Mauritius to work in the sugar cane fields to exploit their expertise and understanding of the crop. They never returned. While India has changed in many ways since then, the Indians in Mauritius are still keeping that connection alive.
Interestingly, India’s connection with distillation goes back to at least 1500 years. While there have been many mythological references to sugar cane as an important crop in India, the accurate history of distillation seems to be uncertain. Although, there are references to drinks such as ‘Soma’ in the images of kings and emperors courts offering evidence of a certain kind of intoxicating drink served for their entertainment, ‘Sura’- a kind of strong beer, prepared from grain (barley or rice) was popular amongst the lower class. Yet, the official records on the history of alcohol consumption in India are obscure. However, the definitive moment came during the British Raaj (rule) in India.
The British contribution – Rum, Beer, and Whisky
The British officers posted in India often longed for their favourite tipple. Besides the regular ration of Scotch whisky, wine, that they received from England, they were too keen to start brewing and distilling locally. That’s when they found a place, Kasauli, a small cantonment town in Solan district of Himachal Pradesh. Commissioned by Edward Abraham Dyer the Kasauli distillery and brewery were set up in 1855 with equipment brought from England and Scotland. Some of the original equipment including the copper pot stills is still in use in the distillery today. Later on, the brewery was moved to Solan whereas the distillery is still operational in Kasauli (the highest in the world with 2000m altitude). The company Dyer Breweries limited was later merged with Meakin Breweries Limited and now operates as Mohan Meakin Ltd., the producer of the most iconic rum brand from India, Old Monk, since 1954. Kasauli distillery, the oldest distillery in Asia is also known for its single malt brand Solan No1, the most popular Indian whisky brand until the 80’s.
There was also a man named Gordon Shaw who owned the Assam Frontier Tea Company. He appointed Charles William Wallace and got into the liquor business in 1886. Later when British were leaving India in late 40’s beside successfully running the Indian Made Foreign Liquor (IMFL) business Shaw Wallace had also diversified its business to many other fields. In 2005 United Breweries Group, the company owned by Vijay Mallya’s father acquired Shaw Wallace, and the rest is history. The whiskies, Royal Challenge and Director’s Special from Shaw Wallace’s IMFL portfolio later became a part of the United Spirits Limited.
Sugar Cane production and Distillation process and Use of molasses as bio-fuel
The distilleries in India are linked to the country’s sugar cane production. They have also been modified in the last few years to have a high-quality standard of producing ethanol, with a volume capacity of above 1.5 billion liters per year. In states such as Maharashtra and Uttar Pradesh, sugar factories make the molasses for industrial alcohol. After the Second World War, there was a surplus of molasses as the by-product of sugar production in India. A joint committee of representatives from states producing sugar cane such as UP and Bihar later resolved this problem by advising to produce industrial alcohol, ethanol to mixed with petrol as motor fuel. Biofuel production from grains may be allowed in other parts of the world but India, it has mainly been sourced from molasses. However, off late grain-based ethanol has been produced by a number of distilleries in the country.
Distillers in India producing Rum and Whisky (IMFL)
The domestic liquor industry recently saw a big shift with Diageo’s acquisition of India’s number one spirits company United Spirits Limited. Besides USL, the other major domestic players are Radico Khaitan, Allied Blender’s and Distillers, Tilak Nagar Industries, Khoday’s, Amrut Distilleries, John Distilleries, Simbhaoli Sugars, Empee Distilleries, Jagatjit Industries, Mohan Meakin Ltd., I brands and the new entrant Wild Tiger Beverages etc. Interestingly, almost all IMFL rum and whisky brands are made from molasses.
The bulk of the spirits consumption is still domestic whisky, rum, vodka and brandy. The liquor industry in India is estimated to be around Rs41, 000 crores.  Since the existing alcohol labelling laws still have some grey areas, not just Indian whisky but also rum is put under the law as just ‘neutral spirit’ allowing it to be any ethyl alcohol of agricultural origin, in this case, distilled from molasses.
While all over the world rum is defined as an alcoholic drink from fermented sugar cane juice or molasses with certain described taste, smell and flavour profiles of rum, the Indian laws still allows natural extracts, artificial flavours, colours etc. not always referring to the age of the rum. Only a handful of rum producers such as Amrut Distilleries and Wild Tiger Beverages have brands that go through some minimum oak aging.
Out of the total liquor market in India, around 93% is still controlled by spirits (Imported plus IMFL) out of which only 16% is the rum market.
Rum Brands in India 
In the IMFL segment, brands such as Contessa, Celebrations, Old Monk, Mc Dowells No 1, Old Port, Jolly Rogers, Hercules, Amrut’s Classic XXX still have a stronghold whereas in the premium category, brands such as Two Indies natural Rum with no artificial flavours, blended with matured Rum made from Indian Jaggery and Wild Tiger Rum which is aged in American Oak casks are set to change the trend. In the premium and super premium rum category, Bacardi, Captain Morgan, Havana Club, Ron Zacapa, El Dorado and Malibu have a significant presence too.
While rising income levels and aspirations of the young consumers is pushing for the premiumisation of alcohol in the country, it will be interesting to see an upgrade in the rum market where more and more companies decide to use the aromatic blends of natural cane juice spirit and molasses spirit instead of artificial flavours.
(This article was originally featured in the french magazine Rumporter  on 29/03/2017)
A BRIEF HISTORY OF RUM IN INDIA  As I stepped out of the airport in Mauritius and began my journey towards the main island all I could see around was long stretches of sugar cane fields with occasional sightings of a few Indian men and women who looked right out of a Bollywood movie from the 60’s.
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wheelsofwhisky · 5 years ago
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Mc Dowell's No 1 Whisky Unboxing | Taste Reviews Hindi | USL Diageoa Gro...
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