#Marie-José Mondzain
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aschenblumen · 1 year ago
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Entrevista a Marie-José Mondzain realizada por Andrea Soto Calderón, y publicada por la revista de cine LaFuga en su Dossier Cine clásico (edición 27, primavera de 2023).
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rire-papillonde · 1 day ago
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merci
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mindinganother · 2 months ago
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Marie-José Mondzain, 'L'image entre provenance et destination', Penser l'image, ed. Emmanuel Alloa, Les presses du réel, 2019, p. 56
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lanuitlennuie · 1 year ago
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« Le premier roman de Kafka, écrit en 1913 et resté inachevé, L'Amérique dite encore L'Oublié, entre en complète résonance avec La Colonie pénitentiaire. Kafka n'est jamais allé en Amérique mais a pris attentivement connaissance des récits et des témoignages qui décrivaient le Nouveau Monde. Contrairement à la nouvelle, il n'y scénarise pas la colonisation et l'esclavage en inventant un monstre mécanique et carnivore. C'est le monde du théâtre lui-même qui devient l'image du monde nouveau et c'est d'une toute autre façon que la machine spectaculaire va dévorer ses serviteurs en comblant leurs appétits.
Ce théâtre n'a pas construit une scène où l'on verrait des acteurs jouant les uns le rôle des asservis, les autres celui des dominateurs. Ce n'est pas une écriture brechtienne où se jouent dialectiquement les ombres et les clartés au cœur des rapports de pouvoir. Kafka ne décrit ni la scène ni les acteurs, non plus que la fable qui pourrait s'y représenter. C'est la représentation d'un théâtre, d'un théâtre sans représentation mais dont toute l'énergie est centrée sur le recrutement non pas des acteurs mais des machinistes. Ce sont les coulisses du spectacle, la machinerie invisible qui livrent le secret du sous-sol du théâtre du monde » Marie-Josée Mondzain, K comme Kolonie. Kafka et la décolonisation de l'imaginaire.
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fundgruber · 3 years ago
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In this sense, the archive is nothing but the indelible and legible trace of the already-read, already-seen and recognized. It is precisely this readability, in visual matters, that is problematic and even fallacious, because what is called the reading of an image has nothing to do with the experience of reading.  The image retains against all comers an “unreadability” that is historically determined precisely because its supposed readability is itself historically determined. The image exceeds its present readability because it naturally has an infinite potential readability, proportionate to the infinity of possible questions to which it could respond. This is not to say that the written archive is not susceptible to infinite interpretations, but its actual material, namely language, puts up a semantic resistance despite everything that is not the case for images.
Marie-José Mondzain: Images Without an Owner: For an Ethics of Use. In:  Sylvie Lindeperg and Ania Szczepanska (Eds.): Who Owns the Images. 2021.  p. 111
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eucanthos · 4 years ago
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Léon Cogniet   (1794 - 1880)
Les Drapeaux, 1830. Huile sur toile. Musée des Beaux-Arts, Orléans Photo: François Lauginie [oil sketch for Scenes of July 1830]
Self-portrait, 1818. Oil on canvas. Collection Musée des Beaux-Arts d'Orléans
Gilles Caron   (1939 - 1970)
Anticatholic protests, August 1969. Londonderry, Northern Ireland © Gilles Caron / Fondation Gilles Caron / Gamma Rapho
-Exhibition: ‘Soulèvements / Uprisings’ at Jeu de Paume, Paris October 2016 - January 2017. Curator: Georges Didi-Huberman, philosopher and art historian
“Body, mind and soul are uplifted by the divine energy of desire” Marie-José Mondzain, “To those who sail the sea…” catalogue of the exhibition Uprisings
“To make the world rise up we need gestures, desires, and depths” Georges Didi-Huberman, “By the desires (Fragments on What Makes Us Rise Up)” catalogue of the exhibition Uprisings
July Revolution: “In three days in July 1830, barricades were formed throughout France and street fighting raged as the public pushed back against the government's attempts to stifle free speech. The fighting, which reached its bloody climax on the third day (represented by the bloody, torn flag on the furthest right) served as inspiration for the fighting at the barricades in Victor Hugo's Les Miserables.” -Reddit, AckbarsAttache
A transition of power from the House of Bourbon to its cadet branch, the House of Orléans, and the substitution of the principle of popular sovereignty for hereditary right. Supporters of the Bourbon would be called Legitimists, the others Orleanists.
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institutdutoutmonde · 5 years ago
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Ce texte sera également mis en ligne sur le site des Éditions Les liens qui libèrent, qui a publié en 2017 un essai de Marie-José Mondzain, Confiscation. Des mots, des images et du temps. Nous en profitons pour vous rappeler la parution récente de K comme Kolonie. Kafka et la décolonisation de l'imaginaire à La Fabrique (ouvrage autour duquel nous organiserons une rencontre avec Marie-José Mondzain à l'Institut du Tout-Monde dès que possible). Enfin, nous vous rappelons le lien vers l'enregistrement de sa contribution à notre colloque de l'année dernière sur Le Discours antillais d'Édouard Glissant.
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tumblrsm · 8 years ago
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abridurif · 6 years ago
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Cendres
Si, devant toute œuvre d’art, nous sommes devant du temps, devant Notre-Dame en flammes, hier soir, nous étions devant une épaisseur de temps en train de se consumer sous nos yeux, et c’est sa part invisible, sa charpente, qui était soudain rendue visible par les flammes. Un îlot de temps, donc, une œuvre palimpseste, puisque Notre-Dame de Paris a été fondée sur un site plus ancien encore, un temple païen, un autel à Jupiter élevé par les Nautes au temps de Lutèce, un entrelacs de temps qui mêlent cultes païens et religieux. La cathédrale, à ses débuts, était intriquée dans un tissu urbain bien plus dense que celui que nous connaissons aujourd’hui, la vie y grouillait tout autour : à l’emplacement actuel du parvis, une première basilique dédiée à Saint Etienne, puis le premier hôpital des pauvres démoli en 1153-1164. L’île de la Cité abritait alors le premier quartier juif de Paris, la synagogue fût transformée en église en 1183 lors de l’expulsion des Juifs. C’est comme si l’incendie de Notre-Dame mettait au jour ces strates de temps, ces destructions successives, le noyau dur de la Cité, tandis que nous n’étions que badauds abasourdis devant le spectacle des flammes, cherchions à le cadrer dans le format réduit de l’écran de notre portable. Aussi ai-je décidé de m’y rendre à pied, tard dans la soirée, le temps de saisir au vol des bribes de phrases de celles et ceux que j’ai croisés sur mon trajet. Un type sur son vélo, près de l’Hôtel de Ville : « J’aimerais bien qu’il y ait des incendies plus souvent à Paris. » Une jeune fille à son amie : « Tu aurais été autant émue si ça avait été la Tour Eiffel qui avait brûlé? » Je me suis interdit de prendre des photographies de l’incendie en cours, au loin, mon regard était plutôt attiré par l’expression des visages des gens qui m’entouraient, les voix qui se mêlaient, les figures solitaires. Comme tout le monde, pris par l’émotion, et comme séparé, tenu à distance. En septembre dernier, c’est le palais Saint-Christophe, musée national du Brésil, qui brûlait à Rio de Janeiro : vingt millions d’objets détruits. Et cet événement s’est produit dans le contexte politique que nous savons. « L’émotion est une construction », disait Marie-José Mondzain lors d’une conférence aux Beaux-Arts de Paris, cette phrase m’est revenue hier soir. Si l’émotion est une construction, elle se nourrit aussi de chimères, de cendres, et elle produit à son tour ses propres monstres, brûle ce qu’elle chérit, dessine de mémoire, s’accorde à se désaccorder. Il y a le monde et il y a l’usage que nous en faisons, il y a « le rire de l’instant » et « la soif d’éternité ». À nos monuments de pierres répondent nos moments nus, un désir de dénuement plus fort encore, une envie de larmes. Et toutes ces vies infimes devenues cendres. « Beauté de la cendre, comme un vestige sacré du monde. Comme si l’on pouvait deviner dans la cendre la trace de chaque forme détruite. »
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suivisaisonubb2021-2022 · 3 years ago
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Série
17ème Journée : CLE 29-26 BOR
“Lorsqu'on parle de série en art, on désigne soit un ensemble ordonné d'œuvres régies par un thème, support d'un problème plastique à résoudre, soit une multiplicité de figures plus ou moins équivalentes résultant d'un jeu combinatoire ou encore d'un traitement répétitif systématique.”*
Nouvelle défaite pour l’UBB, défaite s’inscrivant dans la série de 5 matchs perdus d’affilés. Bordeaux perd donc sa place de leader, doublé par Montpellier. 
Marie-José MONDZAIN-BAUDINET parle de série dans l’art comme d’un traitement répétitif systématique. Or, c’est ce qui se produit depuis plusieurs semaines avec cette équipe de l’UBB. On constate un schéma plus ou moins systématique dans cette série de matchs perdus. Les bordelo-béglais parviennent à tenir leurs adversaires, ne sont jamais vraiment “breakés”, mais ne réussissent pas pas à décrocher la victoire, notamment à cause d’un manque d’efficacité dans les zones de marques.
Donc, si une série en peinture par exemple serait régie par un thème particulier où il en découlerait plusieurs toiles, la série en sport et en particulier la série de l’UBB serait elle régie par le thème de la défaite, où il en découlerait donc plusieurs éléments. On pourrait alors imaginer une “exposition” de cette série, où à défaut d’y mettre une série d’œuvres, il y aurait tous les composants de ce qui fait les défaites des bordelais. Il y aurait alors dans ce white cube les passes manquées juste devant la ligne adverse, les mêlées écroulées, les cartons (jaunes et rouges), les en-avants, les plaquages manqués...
Le côté répétitif est également important, s’il est agréable de visiter une exposition où l’on constate une cohérence, il en est de même pour Bordeaux. Les défaites sont cohérentes, car elles sont explicables. Le Six Nations nous a enlevé nos meilleurs joueurs, et les autres sont blessés, et donc coincés à l’infirmerie. Il est donc logique que l’équipe s’en retrouve affaiblie, ce qui rends donc cette série cohérente. 
Il est aussi important dans la série que les pièces se répondent entre elles, ce qui est le cas dans le rugby. Une pièce = un fait de jeu, une faute de main entraînant une frustration, une frustration entraînant une pénalité, etc. 
* https://www.universalis.fr/encyclopedie/serie-art/
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neodramas · 3 years ago
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É vago o caso que é um caso de vagas.
Marie-José Mondzain
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you-are-my-saviour · 4 years ago
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"L'imprevedibile toccava l'irrapresentabile e fu necessario seppellire in fretta e furia i cadaveri e pronunciare il discorso del trionfo e della resurrezione."
- L'immagine che uccide, Marie-José Mondzain
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regrupo · 4 years ago
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textos lidos na primeira edição:
- Quatro objeções ao conceito de paisagem sonora, Tim Ingold
-Signs of Life: A letter from Apichatpong Weerasethakul. The Cinema of now.
-Imaginar gestos que barrem a produção pré-crise, Bruno Latour.
-A imagem que se ouve, Fernando Iazzetta.
-Manifesto Ciborgue Donna Haraway.
-Sideração, Marie José Mondzain. 
--
Porque a gente escolheu esse texto.  
Porque estamos aqui, nesta interface.
Nos virtualizando.
Com nossas visualidade e sons decodificados.
Porque estamos imersos em meios diferentes  
Porem conectados aqui.
E porque talvez alguns de nós estejam sozinhos
Sem um outro que nos conforma.  
Um momento de bastante confusão, sobre o que é realidade. (“por enquanto é sonho”)
Então se a gente confrontar o modo de percepção do som e a luz como meios do qual o Inglod fala ,  
Como estamos agindo diante dessa percepção?
Então esse texto suscitou em mim , uma tentativa de pensar  
O meio que estamos criando entres nós –  
Que se dá pelo fatiamento do sentido da visão e da audição
Como nos percebemos nele , não como o percebemos
A superfície que é conformada pela conversa.  
(a conversa nunca é um entendimento total)  
Como perecemos nosso corpo sonorizado ao falar
Não é virtual x realidade  
Mas perceber isso aqui como uma experiência tbm  
(estar inserido)
e por que não, como um ateliê.  
MP
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lanuitlennuie · 2 years ago
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Et c'est aussi dimanche de travail, B et moi chacune arrimée à notre tâche. Je relis Mondzain, quelle tête celle-là.
« Faire des images, c’est ouvrir une zone d’indétermination qui donne à tous, sans distinction, la force de transformer le monde. Partant de cette hypothèse, plutôt que d’image, je préfère parler d’opérations imageantes et de gestes imageants pour désigner les sources d’énergie qui donnent forme et lieu à une indétermination radicale. J’ai parlé de la création des formes sensibles, il s’agit donc de l’inscription de ces formes dans l’espace des corps et dans le temps de l’Histoire. »
Marie-Josée Mondzain, L'image est une affaire de zone, 2012.
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balburder · 7 years ago
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[Tradução] A censura, estúpida, sempre
[Tradução] A censura, estúpida, sempre
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Em 2005, a revista de arte contemporânea art press convidou o escritor e jornalista Bernard Joubert para dirigir uma edição especial sobre quadrinhos. Além de convocar pessoas importantes para a empreitada, entre quadrinistas, editores, pesquisadores da arte e dos quadrinhos (Évariste Blanchet, Jean-Christophe Menu, Marie José Mondzain, Thierry Smolderen…), Joubert também assina um artigo sobre…
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iannozzigiuseppe · 7 years ago
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EDB (DEHONIANE) – APPUNTAMENTI – SETTEMBRE 2017 EDB – APPUNTAMENTI – SETTEMBRE 2017 www.dehoniane.it CARPI – FESTIVAL FILOSOFIA VENERDÌ 15 SETTEMBRE ORE 16.30…
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