#Manon Briand
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onenakedfarmer · 2 years ago
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COSMOS Jennifer Alleyn Manon Briand Marie-Julie Dallaire Arto Paragamian André Turpin, Denis Villeneuve Canada, 1996
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viral9ja · 29 days ago
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Tous toqués! (2024) – French
A chef is enlisted to help a young girl win a culinary competition. VIDEO INFORMATION Filename: -Tous.Toques.2024.540p.x265.AAC.[viral9ja.com ].mkv Filesize: -276 MB Duration: 01:53:44 Imdb: https://www.imdb.com/title/tt26412832 Title: Tous toqués! Year: 2024 Type: Movie Country: Canada Language: French Director: Manon Briand Genre: Comedy Stars: Julie Le Breton, Edouard Baer, Christina Hauser,…
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Chaos and Desire dir. Manon Briand (2002)
A seismologist returns to her hometown of Baie-Comeau, Quebec to investigate a mysterious interruption in the tidal flow on the St. Lawrence River
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high-fructose-lesbianism · 2 years ago
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lostgoonie1980 · 2 years ago
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246. Cosmos (Cosmos, 1996), dir. Jennifer Alleyn, Manon Briand, Marie-Julie Dallaire, Arto Paragamian, André Turpin & Denis Villeneuve
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demoura · 4 years ago
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MARCHA NA PRAIA GRANDE , UM VELUDO DE LEGUMES AO ALMOÇO E MANON DE MASSENET /OLIVIER PY DEPOIS DA SESTA : terça feira ,depois de uma marcha na Praia Grande foi tempo para amena conversa com os meus amigos Ferro que quiseram prolongar o banquete da véspera oferecendo-me um tupperware com a sopa “veludo de legumes “ arte da Drª juíza . Foi o meu almoço .Depois da sesta foi um streaming onde Patricia Petibon cintilou como a sedutora Manon Lescaut na ópera de Jules Massenet e dirigida por Olivier Py . Sou como Pierre Boulez um admirador da música de Massenet e também do polémico encenador .
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Em fevereiro de 2016, a nova produção de Manon reuniu pela segunda vez a soprano Patricia Petibon e o diretor Olivier Py no palco do Grand Théâtre de Genève - após a famosa Lulu em 2010.
Está não é uma das obras mais conseguidas de Olivier Py . A abertura tem a sua marca com bailarinas de seios nus e calções de lantejoulas montando homens desvestidos com fatos convencionais Olivier Py exagera no burlesco que por vezes se transforma em grotesco e a produção torna-se por vezes esquizoide . Mas a música de Massenet e a actuação da ruiva soprano Petibon que além da qualidade de voz tem uma presença em palco magnética e exibe grande souplesse no manejo do corpo em cenas mais cruas .
Ao lado de Petibon (Manon), Bernard Richter (Chevalier des Grieux) e Pierre Doyen (Lescaut) cantam sob a batuta de Marko Letonja. Ópera cômica em cinco atos sobre um libreto de Henri Meilhac baseado no romance de Abbé Prévost, L'Histoire du chevalier Des Grieux e Manon Lescaut. Apresentada pela primeira vez na Opéra Comique em 1884. pela primeira vez na Opéra Comique
Dirigido por Olivier Py
Direção musical Marko Letonja With
Patricia Petibon (Manon Lescaut)
Bernard Richter (O Cavaleiro do Grieux)
Pierre Doyen (Lescaut)
Omar Garido (O hoteleiro)
Bálint Szabó (O Conde de Grieux)
Seraina Perrenoud (Javotte)
Mary Feminear (carrinho de passeio)
Marina Viotti (Roseta)
Rodolphe Briand (Gillot de Morfontaine)
Marc Mazuir (Monsieur de Brétigny) Coro do Grand Théâtre
Diretor do coro Alan Woodbridge
Orquestra da Suíça Francófona
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cinetfo-blog · 12 years ago
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TIFF, jour 8 : Travestis et technophobes
On est fatigué; on a constamment faim; mais on poursuit! Voici ce qu'on a vu défiler sur les écrans du TIFF en ce huitième jour du festival:
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LAURENCE ANYWAYS
Laurence et Fred (Melvil Poupaud et Suzanne Clément) forment un couple idéal : passionnés, dynamiques, follement amoureux l’un de l’autre. Leur relation est somme toute une aventure, celle dont rêvent les rêveurs. Mais tout ne va pas chez Laurence : il rêve depuis son enfance de devenir femme (surprise, Fred!); à entendre la nouvelle, Fred décide de rester à ses côtés. (Surprise, spectateur!)
Après l’insupportable Les amours imaginaires, au sérieux démesuré  et aux références évidentes, Xavier Dolan nous offre une bouffée d’air frais : une histoire d’amour atypique, somptueusement photographiée et débordant d’énergie. Laurence Anyways mérite ses 165 minutes, malgré—et peut-être à cause de—ses multiples moments d’excès. Heureusement, Dolan laisse pour la première fois le spectacle à ses comédiens : Suzanne Clément et Melvil Poupaud offrent des performances assurées, nuancées et captivantes, propulsées par un scénario aux dialogues pétillants. Laurence Anyways nous offre une vision d’un sujet immense au traitement immense, d’un esprit peut-être un peu trop naïf mais ne manquant surtout pas d’ambition.
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  LA CINQUIÈME SAISON
Dans un village belge, au fin fond des Ardennes, le printemps n’arrive plus. Les vaches ne donnent plus de lait; rien ne germine dans les champs; les poissons et les oiseaux meurent. Ainsi toute une communauté, vivant de la terre, sera soumise à la merci de la nature et au chaos de la société : fragile, cruelle et potentiellement violente.
Après leurs explorations en Mongolie (Le signe des ancêtres) et au Pérou (Altiplano), le duo de Peter Brosens et Jessica Woodworth retournent tourner dans leur arrière-cour belge pour La cinquième saison, présenté cette semaine à Toronto après un accueil très chaleureux à Venise. Un film aux saveurs du terroir : méditatif, sombre, désespérant. Brosens et Woodworth cadrent méticuleusement leur société en désintégration, se laissant planer sur la désolation de la nature et des visages. L’hiver éternel est divisé en quatre saisons aux intertitres ironiques (Hiver, Printemps, Été, Automne), chacune précédée par un chapitre d’une fable humoristique, existant en parallèle au récit principal : structure simple mais ingénieuse, qui nous permet de respirer avant d’être plongé à nouveau dans la profondeur de la chose.
Si Brosens et Woodworth signent un film aux possibilités commerciales très limitées, ils arrivent par moments à toucher à des hauteurs cinématiques remarquables. Un film aux qualités élégiaques et moroses, à son plus fort dans ses moments d’ambiguïté et d’incertitude.
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  LIVERPOOL
Émilie est amoureuse de Thomas. Thomas est amoureux d’Émilie. Les deux se côtoient dans un club de nuit « chic et branché » (oui, ça c’est du vrai dialogue) appelé Liverpool. Thomas est très techno, ce qui signifie ici qu’il est mal adapté aux relations humaines. Émilie n’est pas très techno, ce qui signifie ici qu’elle est romantique et réelle. Les deux se retrouveront imbriqués dans une histoire de conspiration et de mafia, où leurs deux personnalités unidimensionnelles devront travailler ensemble pour résoudre le mystère. Thomas va texter. Émilie va être bien gentille. Thomas va texter encore plus. Émilie sourira.
You get the picture.
La presse québécoise n’a pas été terriblement gentille avec Liverpool, premier film de Manon Briand en dix ans. Critiqué de tous les côtés pour sa naïveté, sa prémisse ordinaire et sa comédienne principale moins qu'inspirante, le film cherche toujours son public avec une certaine difficulté.
Et c’est facile de voir pourquoi. Après le très respectable La turbulence des fluides (2002), Briand propose un récit remarquablement ridicule, à base insipide et aux prétentions presque risibles. Ce n’est pas que le tout se prenne au sérieux à 100% : on assiste à assez de kitsch pour pouvoir cerner des moments où la réalisatrice comprend le jeu. Mais le reste du film nous voit assujettis à une « réflexion » sur les nouvelles technologies, explorée maladroitement, imposant une interprétation irréfléchie et réactionnaire.
Seul espoir : Charles-Alexandre Dubé convoque, dans le rôle de Thomas, tout le charme et le charisme de son être pour faire vivre sa part du récit, réussissant à s’amuser le long du chemin. Espérons pouvoir le rejoindre la prochaine fois.
Critiques de Christopher Ellis.
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2 Seconds dir. Manon Briand (1998)
After Laurie, a professional racer, is fired, she returns home to Montreal and works as a bike courier. 
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deepseahymns · 12 years ago
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Liverpool (Manon Briand, 2012)
Just watched this gem of a film today and fell in love! :) Definitely recommend!
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