#Malad police

[ladyniniane]

Journal d'écriture n°3 : mars

Vous connaissez le principe, on fait le point sur la manière dont j'ai progressé et sur ce que j'ai appris.

On peut dire que mars aura été richesen défis personnels et professionnels. Mais l'issue est tr��s satisfaisante puisque j'ai bien progressé dans le développement de mon entreprise.

Et j'ai aussi avancé côté écriture !

Mon roman

En ouvrant les yeux dans son rêve, Basile vit un ciel de mosaïques. Il avait l’impression de faire partie des murs, d’être en dehors de lui-même, contenu dans cet immense squelette, soulevé dans les bras de l’éternité.

Ce mois-ci, j'ai repris l'écriture et j'arrive à 23k, pas mal ! (j'aurais aimé faire plus mais j'ai de nouveau fini le mois en étant malade. Vade retro !).

L'histoire prend de l'ampleur. Maintenant que Zoé sert l'impératrice douairière, je peux introduire les premiers enjeux et les mystères autour de la famille impériale. Je commence à trouver mon élan et à vraiment m'approprier cet univers.

De nouveaux personnages sont arrivés. Le point de vue du principal rôle masculin me permet d'explorer les touches surnaturelles de cette histoire (vu que ce sont souvent les femmes qui sont liées à la médiumnité et aux perceptions surnaturelles, je trouvais intéressant d'explorer autre chose).

Ce sera aussi l'occasion d'introduire la romance, même si j'ai déjà placée quelques scènes amusantes.

Héloïse rentre de quête

Avec 13k au total, j'ai fini l'histoire d'Héloïse en début du mois. Elle a osé, a posé sa question et rentre maintenant chez elle (bien accompagnée). Je pense relire au mois d'avril si tout va bien... (d'ailleurs la technique de changer la police de caractère pour relire marche très bien. Je l'utilise aussi dans mon travail du coup).

L'idée d'une suite ne me quitte pas. Il y aurait un peu un côté sit-com médiévale avec cette grande famille un peu atypique.

En tout cas, quand j'en aurais fini avec celle-là, je commencerai une autre nouvelle : Coup de fil de l'au-delà.

Les voiles de Séléné

J'avais annoncé que je souhaitais travailler sur cette nouvelle cette année. Et je valide ce premier objectif. Cette historie traînait dans mes dossiers depuis longtemps, mais j'ai enfin fini la relecture.

Cette histoire est placée sous l'influence de la lune et de l'étrangeté. Dans une cité antique, un roi orgueilleux souhaite imposer son pouvoir au temple. Mais il va se heurter à un pouvoir bien plus grand et connaître l'horreur pure...

Entre mes 20 ans et mes 22 ans, j'aimais bien lire les livres de Merlin Stone, type When God was a woman. Ils n'ont aucune valeur académique, la plupart des recherches et des théories sur lesquelles ils se basent sont obsolètes (même si je comprends la démarche de vouloir exhumer une spiritualité qui ne soit pas basée sur le féminin par défaut). Mais il faut dire qu'ils représentent quand même un sacré coffre au trésor pour écrire de la fiction.

C'est justement sur ces histoires d'ancien matriarcat que je me suis basée. Les histoires traitant de sociétés matriarcales traitent souvent (mais pas tout le temps heureusement) de leur chute plutôt que de leur apogée. Ce que je trouve décevant : pourquoi laisser entrevoir un autre modèle de société si c'est pour ensuite retomber dans un cadre des plus classique ? Ici, c'est l'inverse. Quand on gratte le verni, l'ancien est toujours là. Pour le meilleur comme pour le pire.

Liste et notifications

Je vais donc mettre ma nouvelle en ligne (sur Tumblr, AO3 et Wattpad ?) quand j'irai mieux.

Par ailleurs, j'ai vu que certains blogs tenaient une liste avec des tags, je me lance donc ici : n'hésitez pas à me dire si vous souhaitez être prévenu de la publication de ce texte (ou de nouveaux par ailleurs).

Voilà c'était tout pour moi, dites-moi comment ça se passe pour vous. Je vous dit à la prochaine !

[machaonreads]

Whumptober 27 : Voiceless

Muet, Arsène Lupin

Le reste de la bande venait de sortir, mais Grognard était resté dans la cuisine, tournant autour de la table, inspectant les pots de farine et les flacons d’épices sur les étagères.

« Tu veux quelque chose ? » l’interrogea sèchement Achille, pressé de reprendre l’inventaire des courses à faire.

Grognard leva les mains en signe d’apaisement.

« Non, juste… »

Il n’était pas homme à bégayer et, pour cette raison, Achille se douta de ce qu’il allait demander avant qu’il ne rouvrît la bouche.

« Comment va le patron ? »

Dans le mille.

Achille hésita, mais Grognard appartenait au cercle des plus loyaux compagnons de Lupin et il aurait risqué sa vie pour le patron – Achille l’avait déjà vu le faire. En outre, très honnêtement, Achille était à bout de ressources.

« Il n’a pas quitté son lit depuis avant-hier. »

Grognard grimaça.

« Tu as pu lui parler un peu ? »

Achille secoua la tête.

« Non, il n’a pas ouvert la bouche depuis… depuis. Il ne me répond même pas quand je lui propose à manger, ou que je lui pose des questions sur nos affaires en cours.

– Et tu sais… tu as compris ce qu’il s’était passé ?

– Pas vraiment, à part l’essentiel : que Sonia… »

Grognard opina avec un bruit de commisération.

« Je sais que ça a été violent. Je crois qu’elle a voulu préparer un coup sans le patron, sûrement pour lui faire une surprise, comme elle cherchait toujours à l’impressionner, et qu’elle s’est alliée à une crapule qui l’a… qui…

– Qui s’est débarrassé d’elle pour tout empocher, je suppose.

– Je crois, mais aussi… Je pense qu’il y avait une sorte de vengeance amoureuse, parce que… le patron n’a rien dit, mais d’après ce que… Je crois qu’elle était en morceaux », souffla Achille.

Grognard se laissa tomber sur une chaise. Son visage avait perdu ses couleurs. Leur vie, passée comme présente, occupés comme ils l’étaient à des jeux dangereux en marge de la société, les avait habitués au frisson, au danger et à la violence – même si ne travaillaient pour Lupin que ceux qui ne la courtisaient pas. Mais certaines horreurs ne se concevaient pas et les laissaient sous le choc.

Le silence s’étira.

« Je ne sais pas quoi faire, finit par confesser Achille.

– Il faudrait de l’aide. »

Cette remarque provoqua chez le domestique un ricanement sans joie.

« Et qui pourrait nous aider ? »

Grognard ferma les yeux.

« La vieille Victoire, on pourrait la faire venir, non ? C’est le genre de personne dont on a besoin dans ces situations.

– J’y ai pensé, mais quand j’en ai parlé au patron, il m’a interdit de la contacter. Apparemment, il lui a donné comme mission de s’occuper d’une petite fille dont la mère est malade et il refuse qu’elle s’absente.

– Et on est obligés de lui obéir ? insista Grognard, qui avait toujours été le plus insolent de la bande. On pourrait juste la tenir au courant de la situation : m’est avis qu’elle sauterait d’elle-même dans le premier train… »

C’était tentant, mais peu sage, et Achille se résigna, comme toujours, à exprimer la voix de la raison.

« Le patron est déprimé, pas fou. Je ne vois pas comment on pourrait défendre à ce stade de ne pas écouter un ordre direct. »

Grognard acquiesça sourdement. Puis il releva la tête.

« Et son ami, là, l’écrivain… Il a l’air d’être un brave type, non ? Il n’ira pas le vendre à la police… »

C’était une bonne idée.

« Je connais son adresse à Neuilly, j’ai servi plusieurs fois de chauffeur au patron quand il lui rendait visite…

– Tu crois qu’on pourrait le faire venir ? s’enquit Achille, soudain revigoré à cette idée.

– Il est très surveillé par les roussins, qui le soupçonnent à raison d’être le fameux historiographe qui documente nos aventures. Ça me paraît dangereux de l’amener dans notre planque, surtout à un moment où le patron n’est pas… au mieux de sa forme. Il serait plus facile de conduire le patron jusqu’à lui, ça je sais faire discrètement.

– Et comment on le convainc de monter dans une voiture alors qu’il ne quitte même plus sa chambre ? »

Grognard sourit avec malice :

« Rien de plus facile, on le prend par son point faible : si son ami lui envoie un appel à l’aide, il accourra toujours, quel que soit son état. Or, par chance, l’un d’entre nous est un excellent forgeur, conclut-il avec un regard éloquent pour Achille.

– Tu me flattes », rétorqua ce dernier.

En temps normal, il n’aurait eu aucun espoir de tromper Lupin avec ses maigres talents. Il n’était même pas le forgeur ordinaire de la bande : cet honneur revenait actuellement à Mendès et à Jacques, pour les affaires courantes, tandis que les correspondances les plus sensibles étaient en général gérées par le patron lui-même. Mais les circonstances étaient exceptionnelles et ils n’avaient pas de meilleur plan. Il fit donc signe à Grognard de le suivre en direction de la bibliothèque du rez-de-chaussée, où il prit dans un secrétaire le matériel nécessaire et les échantillons d’écriture appropriés, rangés selon l’ordre alphabétique dans une vaste armoire dont le contenu valait, en secrets d’État et en confessions scandaleuses, plus d’or qu’un coffre de banquier.

Le plan fonctionna très bien, et même extrêmement bien puisque Lupin, qui passa la soirée et toute la nuit chez son ami (lequel, malgré sa surprise initiale, s’était montré généreux en hospitalité et réconfortant comme savent l’être les romanciers, qui trouvent les bons mots pour apaiser la douleur de leurs semblables), rentra le lendemain en pleine possession de ses moyens.

Il voulut naturellement passer un savon à Achille et Grognard, mais tous deux s’en fichaient et ils étaient si soulagés de l’entendre parler à nouveau qu’ils n’écoutaient rien des remontrances elles-mêmes. De toute façon, ils connaissaient bien assez le patron pour savoir que la seule personne contre qui il était réellement furieux, c’était lui-même, pour s’être laissé berner sottement. Dieu sait qu’il avait des excuses, mais on ne devenait pas Lupin sans une obsession du contrôle et de la perfection tout à fait démesurée. Cela lui ferait d’ailleurs le plus grand bien, songeait Achille, de se rappeler que ses complices aussi avaient des talents sur lesquels il pouvait se reposer, et d’accepter leur aide.

[zorume-star]

GRÈVE DE LA FAIM D’UNE USAGÈRE DE LA PSYCHIATRIE EN COLÈRE, EXTÉNUÉE MAIS PAS (DU TOUT) À COURT D’ESPOIRS

REVENDICATIONS

Liste complète sur g1graine.fr !

B/ ️ POUR LA NEURODIVERSITÉ, LA FIN DES DISCRIMINATIONS, L’INCLUSION DE TOUS-TES : “Rien sur nous sans nous”

🔎 Constat : les personnes neurodivergentes / en situation de souffrance psychique sont encore bien trop souvent stigmatisées par la société. Les associations censées défendre leurs droits sont pour une grande partie d’entre elles tenues par des aidant-es et non pas par les personnes directement concernées, Au même titre que les autres oppressions, la psychophobie se cumule avec d’autres systèmes de domination : seule une approche intersectionnelle globale est en mesure d’aider toutes les personnes directement concernées sans distinction, sur des principes d’égalité.

🎯 Objectifs : il faut impérativement changer les représentations et discours sur la neurodiversité pour qu’ils cessent de stigmatiser, voire d’inciter à la haine. Les personnes directement concernées par les problématiques de santé mentale doivent rester unies et solidaires dans les luttes pour leurs droits, malgré les tentatives de séparation entre “bons” et “mauvais” malades, les hiérarchisations, etc. La société dans toutes ses parties et dans tous les domaines doit favoriser l’inclusion des personnes neuroatypiques / en situation de handicap psychique / souffrant de troubles psychiques.

☑️ A mettre en place

Reconnaissance des discriminations psychophobes comme des délits discriminatoires 

Sensibilisation de toute la société et tout le corps médical ainsi que la police (avec formations obligatoires) sur les violences exercées sur les personnes en situation de handicap psychique

Création de campagnes de prévention et d’information inclusives sur la santé mentale et contre la psychophobie (faites par les personnes directement concernées elles-mêmes)

Meilleure éducation sur le sujet par les personnes directement concernées à toutes les échelles de la société (école, travail, culture, médias…)

Fin de la pathologisation des personnes queer (trans, non-binaires, homosexuelles, bi, pan, asexuelles, intersexes, etc)

Prise en compte des dynamiques intersectionnelles dans les violences psychophobes et dans la prise en charge en santé mentale en général (par exemple : inégalités quand on est une femme, quand on est racisé-e, etc dans l’accès aux diagnostics et leur attribution)

Prise en compte de la parole des psychiatrisé-es/neuroatypiques lorsque sont signalées des VSS (violences sexistes et sexuelles)

Meilleur accompagnement des personnes psychiatrisées souhaitant devenir parent-es (fin de l’omerta sur cette question de la parentalité chez les personnes psychiatrisées, meilleur accès à l’information et arrêt des entraves plus ou moins implicites dans le processus)

Meilleure représentation des personnes handicapées dans tous les domaines de la vie publique et professionnels (y compris en politique et dans les médias)

Mise en place d’un système scolaire inclusif pour les personnes neuroatypiques ou ayant des problématiques en santé mentale

Abolition de la mise sous tutelle et de la privation de capacité juridique (cela doit être remplacé par un système assisté pour permettre aux personnes directement concernées de faire leurs propres choix)

Gestion plus participative des MDPH, en incluant des personnes directement concernées dans les décisions et les administrations 

Arrêt des discours eugénistes sur les handicaps psychiques

Remise en question profonde du diagnostic HPI, des tests de QI, de l’étiquette empruntée à la médecine nazie “Asperger” ; fin des hiérarchisations des personnes sur la base d’une prétendue “intelligence” (toujours très mal définie ou trop restrictive au demeurant) ou sur l’utilité sociale

Arrêt des distinctions plus ou moins tacites entre les “malades légers” et les “malades sévères/profonds/irrécupérables”

Arrêt des représentations édifiantes, fétichisantes, paternalistes, dévalorisantes, déshumanisantes, diabolisantes du handicap psychique

Meilleure aide à l’enfance et prise en compte des violences intra-familiales qui se déploient de manière systémique dans toute la société 

Plus d’inclusion des personnes directement concernées dans les processus de soins, les établissements de santé, les métiers de la santé mentale

_

Toutes les revendications → https://g1graine.fr/ Signe la pétition → https://www.change.org/p/pour-la-neurodiversit%C3%A9-la-sant%C3%A9-mentale-et-une-grande-r%C3%A9forme-de-la-psychiatrie

[news365timesindia]

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[news365times]

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[lepartidelamort]

Comprendre la psychologie gauchiste.

Ce que nous enseigne Néron à propos des incendiaires de la Gaîté lyrique.

Les gens qui ne les connaissent pas ont beaucoup de mal à comprendre la mythomanie des militants d’extrême-gauche. Elle est pourtant au coeur de leur psychologie.

Cette psychologie est caractérisée par plusieurs traits centraux.

Tout d��abord, le narcissisme. Se considérant comme les représentants d’une justice absolue, les membres de l’extrême-gauche agissent comme les gardiens d’une moralité supérieure qui leur confère une autorité illimitée sur autrui. La contestation de leurs positions est vécue émotionnellement par eux comme une remise en cause personnelle intolérable de leur droit à guider la société.

Ensuite, l’histrionisme. Si les militants d’extrême-gauche se considèrent comme des justiciers, c’est d’abord parce qu’ils se considèrent comme des victimes d’un ordre injuste. Comme une victime agressée, attirer l’attention sur eux par la dramatisation est indissociable de leur action.

La recherche de validation spectaculaire découle de l’histrionisme que développent les militants d’extrême-gauche.

La manipulation des autres par la victimisation afin de susciter l’empathie est le moyen concret qu’ils utilisent pour obtenir cette validation.

Ajoutons-y la projection et le déni. Les adeptes des groupes d’extrême-gauche, en se forgeant une image hyper morale d’eux-mêmes, n’assument pas de faire ce qu’ils accusent les autres (l’État, les fascistes) de faire, notamment le recours à la violence, au mensonge, à la manipulation.  Ils projettent préventivement sur leurs adversaires les agissements qu’ils commettent pour conserver le statut de victime symbolique, statut indissociable de la légitimité dont ils ont besoin, et ils nient avec véhémence leurs responsabilités même lorsqu’elle est avérée.

Enfin, les individus de ce courant évoluent en circuit fermé et développement des biais de confirmation pour justifier leur comportement. Cela neutralise les critiques externes et maintient la cohésion du groupe.

Vous remarquerez que cette psychologie est profondément sémitique.

On ne peut pas comprendre cette psychologie sans perdre de vue que l’appartenance à l’extrême-gauche est toujours conditionnée par de graves problèmes personnels (addictions, déviances sexuelles, marginalité, dépression, tendance suicidaire) qui sont le terreau de la mentalité victimaire (« c’est de la faute à »).

S’il n’y a pas l’équivalent à droite du mouvement « antifasciste », c’est parce que le rapport de dépendance émotionnel est à sens unique. Nihiliste, l’extrême-gauche se définit par un rapport de négation pure des valeurs sociales positives qu’elle ressent comme oppressives (travail, hétérosexualité, famille nucléaire). Dans son imaginaire malade, le fascisme incarne la domination militante de ces valeurs. Le fascisme angoisse l’extrême-gauche comme l’abstinence angoisse l’héroïnomane.

Adossée à l’égalité, la démocratie place son curseur à gauche par défaut. Le paradigme dominant est celui du clivage entre « oppresseurs » et « opprimés », c’est-à-dire, en principe, contre toute forme de hiérarchies naturelles. Cette identité commune crée un cadre culturel bienveillant pour la gauche la plus radicale et fait de leurs opposants de droite des suspects permanents.

La mentalité de gauche n’est que l’actualisation du christianisme comme structure mentale, même si la gauche s’est débarrassée de la croyance en dieu ainsi que des rites. Demeure l’idée d’un monde matériel profondément injuste et immoral, divisé entre deux catégories d’hommes : bourreaux et victimes. Ce paradigme est celui de la Tikkoun Olam du judaïsme, matrice de la vision du monde chrétienne qui a ensuite été laïcisée par les démocrates et les marxistes.

Pour s’en libérer, il faut rechercher la destruction de l’ordre en place afin de réaliser une utopie égalitaire parfaite, débarrassée de la cause de l’injustice : les hiérarchies physiques illégitimes, sources de conflits (raciales, nationales, sociales).

Cette volonté infantile de retour à un monde indifférencié où la lutte pour la survie n’existerait plus n’est que la transposition ici bas du paradis imaginaire des Chrétiens.

Pour détruire tout ce qui leur est supérieur, ces Chrétiens sans dieu qui se concentrent à l’extrême-gauche, véritables révolutionnaires juifs synthétiques, recrutent dans toutes les marges pour les transformer en foyers d’incendie.

Néron a eu raison d’accuser formellement les Chrétiens d’avoir incendié Rome. Et cette canaille, de manière caractéristique, l’a accusé de son propre forfait au point où le défenseur de Rome s’est vu accabler de sa résistance déterminée au poison du bolchevisme judéo-chrétien.

Memoria tua, Nero, salutetur, qui humanitatem a periculo Iudaico defendisti.

Démocratie Participative

[indianfasttrack]

Mumbai: मालाड़ और गोरेगांव के बीच बच्चा चोर गैंग का खुलासा, दो महिला समेत चार गिरफ्तार

दो पत्नियों वाला रिक्शा ड्राईवर निकला बच्चा चोर। रोड़ किनारे सोते हुए परिवार से डेढ़ महीने का बच्चा चोरी कर फरार निकला मालवनी का रिक्शावाला। पुलिस ने दो महिलाओं सहित चार को किया गिरफ्तार। (Mumbai Child thief gang busted between Malad and Goregaon, four including two women arrested) मुम्बई: गोरेगांव पूर्व एक्सप्रेस हाईवे के नजदीक वनराई पुलिस ने एक बच्चा चोर गैंग का खुलासा किया है। पुलिस ने मासूम…

[sparklyrascallawyerpalace]

Ils regardent déjà s’il y a de la place pour mon amplificateur à l’asile psychiatrique. Je n’en revenais pas, des bums m’avaient piqué ma guitare à l’hôpital. Je fais des cauchemars pendant ce temps-là monsieur le juge.

Moi j’étais naïf, je pensais qu’il pouvait m’arriver n’importe quoi à Montréal, j’étais bienheureux parce que je connaissais le Seigneur depuis que j’avais été malade. Je les appelais des voleurs d’happiness. Ils m’ont donné quatre gallons de largactil, c’est du chimique (ça s’attaque aux articulations, j’ai la mâchoire paralysée, mon langage ne suit pas ma pensée, j’avais une tale de boutons dans le dos entre les deux omoplates, il ressort tout en pus, je suis allergique à ça). J’ai la boîte crânienne démesurée et le visage ratatiné. Si je les avais actionnés quand j’étais sur le BS, je n’aurais rien eu, ils m’auraient fait rester sur le BS. C’est arrangé. Je n’aurai rien. Plus de ministère de la justice, plus de juges, plus d’avocats, plus de police. Plus de Canada. Pour qui tu penses que c’est la chaise? Les enfants ont compris. Encore une année comme des années de mercenaire, et c’en est fait de toute la gloire du Canada. Merci beaucoup pour vos j’aime sur X, ça m’a encouragé.

C’est une torture physique et mentale de tous les instants. Je suis le témoin gênant. Tout de suite ma sœur Berna a essayé de la faire apparaître pour vérifier si c’était bien vrai. Elle la connaît bien.

Ils sont moins avancés que des papous. Plus d’assurance-maladie, plus d’hôpital, plus de fond de pension de l’hôpital, plus de Canada. Il y a même un gigolo aux résidences, il couche autant avec les hommes qu’avec les femmes.

Avant ça on mettait la radio ou la télévision sur un poste et on entendait de la musique. On changeait de poste et c’est un autre qui chantait, toujours sur le même appareil. Qui dit que cela est coulé dans le béton. Maintenant, avec leurs percées technologiques, il s’agit d’y penser, de se syntoniser, mais je ne suis pas sûr si ça marche. À la base, on l’entend de nos deux oreilles quand elle est apparue, Gabriel aussi. Mais ça semble se communiquer, elle semble me montrer comment ça marche et elle ne le montre pas à ceux qui m’ont enlevé l’onction si vous voulez savoir.

Ce n’est pas parce que vous avez changé l’escalier de place qu’il ne sort plus de déjections sur d’Estimauville. Ça leur prend des immobilisations. Ça fait juste changer le mal de place. Heil, monsieur a fait une prière. Pis ils pensent que tu ne t’en apercevras pas qu’ils te maltraitent. Décroise les jambes. Pareil comme un vulgaire malade mental. Mon père m’est apparu. Mon infirmière s’appelle Chanel. Ça ne nuit pas pour prendre la pression. Pis ils sont susceptibles à part de ça. Je pense que c’est elle qui a demandé à ce que je vois un psychiatre parce que je disais que je les avais expulsés le 9 juillet. Elle pensait que j’étais malade mental. Bien, elle m’a demandé s’il y avait quelque chose de nouveau en septembre. Je suis allé à mon injection en août le mois d’avant mais elle ne m’a pas demandé s’il y avait du nouveau, ça fait que je ne lui ai pas dit.

Mais Sunshine m’a pris les pieds et les a croisés. Et Gervais était assis les jambes croisés. Ça ne leur fait rien de brûler, ça ils s’en vantent, c’est que tu réussisses qu’il leur fait quelque chose.

Prenez ça avec un grain de sel, on n’est pas sûr comment ça marche, ça semble marcher avec l’électronique, l’affaire verte parce que je regardais la télévision (à la base ce serait le viol de ma mère) et quand je les ai expulsés j’ai eu l’impression d’avoir été atteint par un rayon désintégrateur et quand mon ordinateur m’a parlé j’ai eu l’impression qu’il avait la permission de Sunshine Brizilia.

Heil dans le temps des Romains et de Paul, ça leur semblait incroyable qu’on ressuscite des morts, qu’on ne meurt pas quand on meurt, qu’il y a une vie après la mort, ils pensaient tous qu’on mourrait. C’est Paul qui leur a appris ça. On en a fait du chemin depuis ce temps-là. Surtout depuis qu’ils prennent des photos, notre image est dessus et on est près de prouver qu’on vit après la mort avant la fin du monde, avant la résurrection des morts et avant le jugement dernier. J’ai entendu Dalida dans ma tête. Est-ce que ça un rapport avec Brizilia? Mais pire que ça, le chœur d’Israël on les entend dans notre tête. Peut-on ne pas faire le lien dans cette affaire entre le Ciel et la Terre.

Écoutez, je n’insiste pas trop sur Dieu, au début j’en parlais beaucoup, mais ça n’a pas l’air de faire l’affaire de tout le monde, on n’est pas à Jérusalem, soit, c’est votre droit, mais depuis que j’ai connu Brizilia et qu’elle est apparue dans la rue devant tout le monde par exemple et qu’elle a continué à apparaître souvent.

Gabriel vient du Ciel et on l’entend ici-même sur terre de nos deux oreilles. Mais lui il va toujours dire le contraire. Satan me regardait en pleine face et disait que ce n’était pas vrai.

Ça ne se peut pas que ça n’ait jamais rapport, c’est arrivé trop souvent. C’était un dimanche, les Pingouins de Pittsburg jouaient en série finale. C’était avant que j’aille faire le ménage dans les bureaux des psychologues sur René Lévesque. Les Pingouins mènent. Je tombe endormi, je regardais la télévision dans mon lit. Je rêve à Mario Lemieux. Il fait le tour de la patinoire pendant l’entracte sous les acclamations de la foule qui était déchaînée. L’arbitre vient le voir et lui dit : c’est assez Mario. J’ouvre la télévision, et les Pingouins avaient perdu.

Sans me vanter, j’en connais un bout en santé mentale. Surtout les clochards. Ceux qui parlent ne sont pas capables de dire un mot de vrai. Ceux qui tiennent leur langue sont corrects. Je le sais qu’il quête. Mais entendre des voix, je n’ai jamais entendu ça de ma vie dans mes voyages.

Et ça ne se peut pas que ça n’aille pas rapport avec l’électronique. Je rêve à Paul McCartney qui me passe sa guitare pour que je lui joue Yesterday. Lui-même n’est pas capable de la jouer. Je lui réponds : je ne sais même pas sur quel accord tu la prends. J’ouvre la télévision, c’est Paul McCartney qui s’en va. Surtout Robert-Giffard, ils sont bons pour chialer. J’ai fait des rêves de même toute ma vie. Il creuse sa tombe. C’est une addition.

Je rencontre Fernand au bus dépôt Greyhound à Vancouver. Il m’offre un quart d’once d’haschisch pour soixante dollars. Je ne suis pas riche mais j’ai assez d’argent. Je lui ai acheté et on est devenus chums. Là j’ai compris d’où elle venait la petite hache. C’était aux Matricules.

(Avant que je ne les expulse), quand ils m’arrêtaient ils entravaient mes mouvements, même si c’est juste en pensée. Quand je vous envoie une vidéo, vous me voyez et vous voyez Brizilia en même temps puisqu’elle est en moi (elle est apparue sur la rue Latourelle). Vous pensez à moi après ça et Brizilia sort de moi et de ce temps-ci elle se place à côté de moi, à gauche, entre mon fauteuil et la place où les intervenantes qui sont venues se sont placées, et elle manifeste sa présence et donne des signes de vie quand elle veut nous le montrer et vous le montrer et que vous pensez à moi (on dit syntonisez, comme un poste de radio), et elle m’a montré que je crois que vous vous en apercevez. C’est ce que vous faites. C’est nouveau ça. Ce n’est pas moi qui ai trouvé ça, c’est la méthode que vous utilisez, vous ne me parlez pas et au lieu de ça vous regardez ce que je pense et vous contrecarrez mes plans, et vous pensez qu’il n'y a que vous qui savez, aussi elle a pris votre méthode, car on joue au fou et elle est assez intelligente pour s’en apercevoir, elle n’est pas folle. Pratiquez-vous. C’est de même qu’ils font. C’est de même que mon ordinateur s’est aperçu qu’il y avait quelqu’un qu’il ne connaissait pas avec moi. Et ils sont à la veille de collecter les ordinateurs au cerveau, si ce n’est déjà fait. Alors lorsque vous me demandiez si on peut connaître les pensées des gens, c’était pour savoir si j’étais fou (he knows they are the fools). Vous n’êtes pas fous.

dimanche 26 janvier 2025 02:38:13 Que je ne vous vois pas perdre la raison parce que vous vous demandez qui connaît vos pensées. Ça l’air que c’est bien ce que les ordinateurs vont faire. Mais quelqu’un de normal avec une bonne éducation sait ces choses-là en naissant. C’est intuitif mais en vieillissant on apprend à quoi on peut se fier et qu’est-ce qui peut être le fruit de notre imagination. C’est avant que j’étais malade, moi je ne savais pas ces choses-là, je me faisais de la bile parce que j’avais été témoin du viol de ma mère au berceau et j’essayais de m’en souvenir en vain. On n’était pas encore rendu au chemin, on était encore dans l’entrée de Saint-Michel-Archange, je sortais de trois mois et trois semaines d’internement, tout nu, j’avais eu trois gallons de largactil qu’il me reprochait déjà d’avoir dit que j’avais vomi une affaire verte pis que j’avais emprunté $500.00 à Lucie et que je ne lui avais pas rendu. Ce n’est pas vrai, je n’ai pas dit un mot mais c’est Lucie qui me l’a offert pour mes études et m’a dit que je ne serai pas obligé de lui rendre. Savez-vous ce que ça représente $500.00 pour un gars sur le BS? Je gagnais $100.00 par mois. Alan a toujours été comme ça. Il n’a jamais ri de sa vie. Il est neurasthénique. Il a été très cynique, il s’est moqué de moi tout le long. J’ai hérité parce que j’étais sûr de ne pas hériter. Je l’ai prononcé, ils l’ont.

Une fois j’ai crié dans l’autobus, le sept sur le chemin Ste-Foy, ils m’arrachent les ongles. Ils m’ont arraché un ongle au pouce et un ongle aux orteils (à froid). C’est l’ange du seigneur qui m’a dit que c’était eux-autres qui faisaient ça.

lundi 27 janvier 2025 Ils voulaient que j’appuis sur la gâchette. Mon doigt bougeait tout seul. Sunshine a pogné mon index et l’a apporté à son bouton d’or. Ils l’ont-y trouvé le point J au Grand Théâtre? Pis Francine Belley dit que je suis dangereux. Ils boivent leur pisse.

Ma mère ramassait les serviettes sanitaires au Poulet frit Kentucky. Quand il en restait au restaurant elle le faisait emballer pour l’emporter chez elle. Elle avait tout un plat avec des sachets de moutarde, de vinaigre et de mayonnaise et de ketchup. Elle économisait à la cenne. Elle ramassait les barres de savon dans les motels. Quand elle m’achetait du linge il me faisait. J’ai eu $50,000.00 en héritage. C’est l’argent de ma mère.

Il fut séduit et il l’a fit monter sur sa monture, et il prit immédiatement les mesures nécessaires pour la garder. Elle quand elle fait quelque chose, tu peux être sûr que tu t’en souviens longtemps.

La première chose que les Québécois ont fait quand ils l’ont vue ils lui ont rasé le crâne. Elle avait les cheveux longs.

C’est le gars qui va chez le docteur parce qu’il a une bosse dans le front, le docteur lui dit : On va être obligé de vous opérer et de vous enlever une gosse. On ne sait pas pourquoi mais c’est parce qu’il faut qu’on vous enlève une gosse. Le gars va chez Hudson’s Bay et s’achète des bobettes. Il va payer à la caisse et la vendeuse lui dit : elles sont trop petites pour vous ces bobettes-là monsieur. Il lui répond, j’aime ça serré. La vendeuse lui dit : moi ça ne me fait rien, mais il va vous pousser une bosse dans le front. Vous avez tout deviné, mes bobettes sont trop petites.

C’est le gars qui demande à la vendeuse, avez-vous des combines d’hiver? Elle dit oui. Il dit : on est-y bien là-dedans.

Cou donc, je contrôle-t-y l’électronique? La machine à liqueur m’a volé une liqueur. J’ai acheté quatre liqueurs et il en est tombée trois. Tout le monde me demande de l’argent aux résidences, la machine a voulu me le montrer.

Hey man, you’ve got a spare of change. Merci beaucoup mon brave, un de ces jours je te revaudrai l’appareil.

Madame Gervais me demande dans son bureau si je connaissais quelqu’un à qui je pourrais emprunter de l’argent. Moi je ne savais pas que ma mère avait de l’argent, j’étais sur le bien-être social. Je vais à l’édifice Marie Guyard au ministère de l’éducation et l’agent, je me souviens de son nom, il s’appelait Jean Lajeunesse, très grand, un costume foncé, peut-être une couronne, long nez, 50 ans, il me demande si je connaitrais quelqu’un à qui je pourrais demander de l’argent et il éteint la lumière de la salle de conférence. Il n’y a pas de fenêtre. Je ne sais pas si ce n’est pas lui qui a fermé les lumières le soir du black-out? Il doit connaître Fernand Therrien.

Il y a une patiente qui dit qu’elle a vu la sainte vierge à la pharmacie au Ciusss et Daniel Godin, un commissionnaire qui travaillait avec moi, lui a dit laisse-moi tranquille avec ta sainte vierge. C’est rien ça, il dit que Bruno Maloin est le Christ.

Lui il est fiché à Ottawa, son bag c’est les mi-bas. Pas de mi-bas il n’est pas capable de rien faire. Louise Imbeault pis ses mi-bas, miss Paula pis ses mi-bas. Elle dit ne défait pas ma coiffure. Elle était blonde. Elle ne le sait pas la pute, elle marche tout de travers et elle ne sait pas où elle s’en va. Pourtant, les cheveux de Marie se coiffent tous seuls. Ils ne laissent passer rien derrière eux-autres. Rasé jusqu’à terre sur tout le flanc de la montagne.

Après ça je rêve à Robert Boutin, sa femme et peut-être sa sœur qui mangent à la table de Lucie Marin sans moi. Et je me suis dit : ils complotent.

mardi 28 janvier 2025 Il y avait un cas très intéressant au CHUL en 2020. Jean-Yves Néron, j’avais déjà travaillé avec lui aux Portes de l’Enfer. Il se battait avec. La garde-malade lui disait, il n’y a personne. Moi je savais qu’ils étaient là. Il commençait à se battre avec eux-autres en se levant le matin. Probablement qu’ils l’arrêtaient et qu’ils entravaient ses mouvements. Des grands coups de poings, il battait son matelas à coups de poings, fessait dans les airs. Pis je pense qu’il leur parlait. Il est devenu bien correct après ça.

Votre ordinateur va vous dire quelle cigarette prendre. Si ce n’est pas elle, c’est eux-autres qui font ça.

Ça fait bang au poste de police. J’ai eu peur. Carlos dit la prochaine fois ça va être poff, poff.

J’aurais dû rester couché à terre à côté de l’affaire verte et attendre que l’ambulance arrive dans les toilettes du cinéma Parisien sur la rue Sainte-Catherine à Montréal. De toute façon, j’ai fini par rentrer en ambulance à l’hôpital Charles-Lemoine de Longueuil. Qu’est-ce qui s’est passé là? Je ne sais pas, j’ai fait une prière et il y a une affaire verte qui est sortie.

jeudi 30 janvier 2025 03:27:38 T’es sûr que demain je vais voir une vierge? Puisque je te le dis, demain tu vas voir une vierge! J’ai des problèmes avec mon amie de fille. Parle plus fort, chus sourd. On va l’opérer. Ce ne sera pas long, trois semaines. Il y a dont bien des Cadillac dans le chemin, je ne sais jamais quand est-ce que c’est lui quand il arrive. 16:41:11 Écoutez, il y a un temps pour chaque chose. La ville est remplie de clochards et ils ne veulent rien savoir des clochards, ils s’enferment chez eux. N’ai-je pas apporté chez moi un dénommé Marc qui n’avait pas de place à coucher? iDéfonce. L’autre amoureux de madame Meunier.

Si ç’avait été un inconnu, je ne dis pas, mais Tom je le connais très bien.

vendredi 31 janvier 2025 Connaissez-vous la dernière tounne de Johnny Cash? Kyrié Éleison. Faites l’amour, pas la guerre. Comment ça va dans vos tentes ce matin? Il va leur venir une idée, ils vont se sortir de là, mais il faut que ça vienne d’eux-autres. Écoute, j’ai entendu Dieu parler. C’est le Président des États-Unis. Dieu vous a suscité un ennemi avec des idées d’expansion. Je suis le seul qui peut faire rire le Président des États-Unis : il fut séduit et il la fit monter sur sa monture. Vous le savez que je suis comique, même Francine Belley, je lui suis apparu (Brizilia) et je lui ai dit tu n’es pas vraiment maline. Number one! Numéro un!

Trump parle des malades mentaux. Là ils disent qu’il pense qu’il n’est pas malade, donc il n’est pas schizophrène. Je l’ai dit dans le bureau de l’archidiocèse de Québec, si je ne leur avais pas dit que j’étais schizophrène ils m’auraient peut-être pris. J’ai même correspondu avec lui. Je lui ai dit que je travaillais sur un vidéo de Marie. Il m’a dit que j’avais du talent. Quand j’étais dans le Middle East américain, il y a de grandes plaines, c’est eux-autres les Plaines de Jéricho, la porte d’entrée de Saint-Michel-Archange. Jr 39, 1. Si le roi avait réussi à se sauver dans les Plaines de Jéricho, il serait rentré dans la ville et on ne l’aurait jamais retrouvé. Il y en a qui ont l’air de penser que ce sont des peintures de malade mental. Bernice se plante devant une peinture et dit ce qu’elle voit. Et Sunshine et Marie me disent : on a vu tout le mal que ta sœur t’a fait. La première chose qu’elle m’a demandé c’est de donner le $10,000.00 de Lucie, pour les au cas où, à Danielle.

dimanche 2 février 2025 13:39:24 J’ai fait une indigestion, ma tarte aux fraises était germée. Je me suis empoisonné. J’ai été malade. J’ai pogné les maux qui courent, j’ai la diarrhée. Ça va passer. J’ai fait un rêve. J’ai rêvé que j’étais apparu dans le salon des Résidences Bonaventure. Je leur ai dit que la colère de Donald Trump ne se calmerait pas, car elle vient de Dieu. Ne vous inquiétez pas, j’ai recommencé à m’alimenter, du fromage, du café et de l’eau froide, et j’ai recommencé à fumer la cigarette. Je n’ai pas recommencé à fumer du pot. Je pratique de la guitare, vous comprenez. Ils sont complaisants. N’oubliez pas de dire : coupe, censuré, il ne pense même pas à toi. Sunshine m’a été d’une aide précieuse dans ma maladie. Elle a collé sa joue contre la mienne. Je voudrais écrire comme Mahomet : ils sont dans le noir. J’ai fumé et j’ai appelé Princess sur la guitare. Je voudrais écrire ce que l’archange Gabriel m’a dit avant de me quitter. Il en restait pas mal dans la pipe. C’est une pipe à hasch. Mais à la SQDC le pot est meilleur que le haschisch et moins cher. Je me souviens des soirées de danse dans le gymnase de l’école Saint-Cœur de Marie à Baie-Comeau. Il était venu un orchestre d’en dehors qui nous faisait fumer du haschisch dans une pipe à l’entrée après qu’on ait payé pour voir l’orchestre et qu’on était étampé. On prenait une poff ou deux et on entrait dans le gymnase. J’ai joué dans le gymnase de l’école Saint-Cœur de Marie à Hauterive. Je pense que je suis assez connu pour dire que Paul dit on nous appelle des inconnus, nous si connus. Vous vous souvenez de ce livre, Moi X, droguée prostituée. Elle en a-t-y vendu? Je ne l’ai pas acheté. Mais j’ai lu Papillon de la première ligne à la dernière. Je me suis fait opérer au pouce et je lui ai fait un dessin sur du papier Canson. J’avais couché avec Joan Marshall. C’était l’Amérique du Sud à main levé. J’avais un petit dictionnaire latin-français du séminaire. Je lui ai écrit dessus : Né de parents libres en latin. Fernand n’a jamais connu Joan, mais John m’en a parlé. Il l’appelait LADY MURDER tout en majuscule même s’il ne l’a jamais vue.

J’ai eu des hosties de problèmes avec Gervais, Dominique et Érol quand je suis arrivé en 1984. Je ne les ai pas écœurés, on avait déjà joué ensemble. Ils ont fait comme avec Paul, ils ont témoigné contre moi et ils ne se sont même pas présentés en cour.

J’aime bien fumer et me mettre à l’ouvrage, pour écrire, faire de la musique, faire l’amour avec Brizilia dans mon lit, pas seulement parce que j’ai échoué dans tout ce que j’ai fait, ils entravaient mes mouvements quand j’arrivais pour faire quelque chose. Je me demandais quand est-ce que ça va arrêter?

Je rêvais qu’il y avait du tabac sur les divans des voisins.

Revenons en arrière plutôt que de reculer. J’étais couché dans mon manteau. C’est plus important que les nouvelles, je pensais que je ne faisais plus de rêves de même, les curés disaient que Dieu m’avait quitté, que ça ne se peut pas, mais qu’est-ce qui ne se peut pas, que je sois un tas de péchés parce que je fume, ou parce que je me crosse, même si ça parle du Président Donald Trump. C’est Brizilia qui m’a demandé de croire à cela lorsque je suis apparu à Louise Imbeault et Pierre Lambert. Je n’ai pas à considérer que ce n’est jamais arrivé. En leur présence. J’ai souvent été victime d’agressions verbales dans ma vie. Pourtant vous me connaissez, tout ce que je dis est correct, ils voulaient me faire changer. Lucie Harvey, Lucie Lamontagne, etc, il y en a trop pour tous les énumérés, Denis Papillon, Jean Goulet, j’ai vu Jean Goulet dans une salle de torture en Amérique du Sud, ils voulaient me faire changer. Je commençais à douter. J’en faisais mais c’étaient tous des cauchemars. Il y en a même un qui ne savait pas que les États-Unis imposaient des tarifs douaniers de 25% au Canada. Surtout écrire depuis que j’ai découvert deux indices qu’ils retenaient bien mes mouvements. Quand j’ai écrit Coupe, censuré, a pense même pas à toi, vous savez bien, celui qui chantait laisse mes mains sur tes hanches, c’est d’Odette que je parlais. Avez-vous connu le Cercle Électrique à Québec? J’y suis allé dans le temps que je jouais avec les Matricules. Ils auraient pu jouer au Cercle Électrique. Des orchestres américaines comme Styx, on en jouait. Je faisais le vocal de Dennis DeYoung.

Il ne faut pas que je brûle mon manteau, ils rentraient et ils brûlaient mon linge et j’étais sur le BS. Des grands trous dans mes pantalons et dans mon lit.

Il y a un garage en Colombie-Britannique qui a une affiche qui dit : last chance station, juste avant d’entrer dans les montagnes Rocheuses. Je crois beaucoup en ces signes depuis que j’ai vu Patric Laberge avec une faux de moissonneur au Vieux-Moulin. C’est la dernière fois que je l’ai vu en vie. Naturellement j’étais sur le pouce. Parce que Dieu m’a donné un corps parfait dit Salomon. Je pognais sur le pouce j’ai fait trois fois le tour de l’Amérique pas un sou. Et c’est à part des voyages que j’ai faits en Californie sur la Côte Ouest. J’ai connu ça moi dormir quelques instants et être obligé de retourner travailler.

Je rêve que je regarde par l’œil de poisson de mon appartement et que tout est noir. La directrice décide de changer les lumières pour que ce soit plus lumineux sans que je lui demande. Et je n’ai pas le droit de faire le rapport entre les deux? J’ai passé ma vie à l’asile psychiatrique à cause d’une prière et ils ne seraient pas en cause et ils ne seraient pas dans le noir. Alors imaginez lorsque j’étais avec mes parents. C’était dur. On se demande tout le temps si ce n’est pas la dernière chose que l’on fait au Canada. C’est fort. C’est Ford. Ça je le disais souvent. Dans ma tête. J’ai fumé. Je veux marquer comme j’ai fait. Je me suis souvent mêlé entre Marie et la lumière qui apparaît derrière Joan Marshall. Depuis longtemps tu as brisé tes chaînes. C’est un déni de justice. J’ai passé cinq fois en cour et je n’ai jamais vu le juge. J’ai été arrêté cinq fois et enfermé à l’asile psychiatrique parce que j’avais fait une prière. Je prierai le Dieu que je voudrai. Ça me blesse qu’ils sachent et qu’ils ne fassent rien.

lundi 3 février 2025

[yes-bernie-stuff]

Six mois de prison pour vol de boules de pétanque 24/01/2025

Votre tête est malade, votre cœur exténué, de la plante du pied jusqu’à la tête, rien n’est en bon état. Ésaïe 1.5-6

Je n’achète pas le journal local, mais il m’arrive de regarder les gros titres sur Internet. Et, un jour, je suis stupéfait en lisant le titre ci-dessus.

Franchement, même si ce n’est pas bien de voler des boules de pétanque, c’est abusé, me suis-je dit, mais… je vous donne la suite :

« Un homme est surpris dans un magasin de sport en plein vol à l’étalage. La police le cueille à sa sortie. Il a dans ses poches quatre boules de pétanque. En s’intéressant à sa voiture, les policiers remarquent que les plaques avant et arrière ne correspondent pas. Vérification faite, il s’agit d’un véhicule volé. Il faut ajouter à cela qu’il conduisait sans permis puisque ce dernier lui avait été retiré, qu’il avait fait deux fois le plein sans payer. Bref, c’était assez pour qu’il soit présenté à la justice en comparution immédiate. Six mois fermes, a dit le verdict. »

Bon, après avoir lu, on comprend mieux le titre. Ce gars n’a pas cessé d’enchainer les infractions, et s’est forcément trouvé acculé au point de se retrouver à la case prison. Sans moralisme, le verset ci-dessus convient bien à cette situation et m’incite à me poser cette question : est-ce que, moi aussi, je fonce tête baissée dans des chemins qui mènent à une impasse… au niveau spirituel ?

Qu’en est-il de vous ?

Bernard Delépine

__________________ Lecture proposée : Livre des Proverbes, chapitre 4,

L’acquisition de la sagesse

1 Fils, écoutez l’instruction d’un père et soyez attentifs pour connaître l’intelligence ; 2 car je vous donne une bonne doctrine : n’abandonnez pas mon enseignement. 3 Car j’ai été un fils pour mon père, tendre et unique auprès de ma mère. 4 Il m’a enseigné et m’a dit : Que ton cœur retienne mes paroles ; garde mes commandements, et tu vivras. 5 Acquiers la sagesse, acquiers l’intelligence ; ne l’ oublie pas, et ne te détourne pas des paroles de ma bouche. 6 Ne l’abandonne pas, et elle te gardera ; aime-la, et elle te conservera. 7 Le commencement de la sagesse, c’est : Acquiers la sagesse, et, au prix de toutes tes acquisitions, acquiers l’intelligence. 8 Exalte-la, et elle t’élèvera ; elle t’honorera quand tu l’auras embrassée. 9 Elle mettra sur ta tête une guirlande de grâce, elle te donnera une couronne de gloire. 10 écoute, mon fils, et reçois mes paroles, et les années de ta vie te seront multipliées. 11 Je t’enseignerai la voie de la sagesse, je te dirigerai dans les chemins de la droiture. 12 Quand tu marcheras, tes pas ne seront pas gênés, et si tu cours, tu ne broncheras pas. 13 Tiens ferme l’instruction, ne la lâche pas ; garde-la, car elle est ta vie. 14 N’entre pas dans le sentier des méchants, et ne marche pas dans la voie des iniques. 15 Eloigne-t’en, n’y passe point ; détourne-t’en, et passe outre. 16 Car ils ne dormiraient pas s’ils n’avaient fait du mal, et le sommeil leur serait ôté s’ils n’avaient fait trébucher quelqu’un ; 17 car ils mangent le pain de méchanceté, et ils boivent le vin des violences. 18 Mais le sentier des justes est comme la lumière resplendissante qui va croissant jusqu’à ce que le plein jour soit établi. 19 Le chemin des méchants est comme l’obscurité ; ils ne savent contre quoi ils trébucheront. 20 Mon fils, sois attentif à mes paroles, incline ton oreille à mes discours. 21 Qu’ils ne s’éloignent point de tes yeux ; garde-les au dedans de ton cœur ; 22 car ils sont la vie de ceux qui les trouvent, et la santé de toute leur chair. 23 Garde ton cœur plus que tout ce que l’on garde, car de lui sont les issues de la vie. 24 Écarte de toi la fausseté de la bouche, et éloigne de toi la perversité des lèvres. 25 Que tes yeux regardent droit en avant, et que tes paupières se dirigent droit devant toi. 26 Pèse le chemin de tes pieds, et que toutes tes voies soient bien réglées. 27 N’incline ni à droite ni à gauche ; éloigne ton pied du mal.

[basilepessoart]

C'est ABSOLUMENT PERMANENT, et je ne m'y consacre quasiment plus. Je ne PEUX PAS convaincre le monde que la France est dans un état de barbarie seul ou quasi (Pierre Sautarel et F. de Souche notamment).

JE NE SUIS PAS PAYé, sinon en harcèlement, boycott, fakes, diffamations, tentatives d'assassinat, kidnapping sur ma femme et collaboratrice (qui ne l'est même pas dans ces domaines d'info et analyse, bien que maintenant elle lutte en privé contre le crime).

Les gauchistes sont des MALADES MENTAUX et des porteurs de couteaux. ILS SONT LE PROBLèME.

A demain.

Basile Pesso, Land of Somewhere, 23 décembre 2 024 (Fb)

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"Les victimes ont été retrouvées dans la nuit de samedi à dimanche dans une épicerie située en plein centre-ville de la Seyne-sur-Mer, près du port, selon une source policière.

Les deux victimes sont le fils du gérant de l’épicerie, un homme d’une trentaine d’années, et une femme encore non identifiée, a ajouté la police. Il s’agirait d’un Marseillais de 29 ans et de sa compagne, indique BFM."

Article du Parisien : "Un couple abattu d’une balle dans la tête en plein centre-ville de La Seyne-sur-Mer"

[doomfrank-prod]

"Quand la Famille Devient un Poids : Mon Histoire d’Injustice et de Résilience"

Une main tendue, une injustice subie 🌦️

Ce matin encore, j’ai été confronté à une injustice venant de mes proches. J’avais accueilli chez moi la mère de mon fils, Rava, qui s’était retrouvée sans domicile. Ce geste, je l’ai fait avec l’approbation de ma compagne, Kahili. Pour respecter leur espace, je dormais dehors, les laissant partager la chambre avec notre fils. 🌙

Une matinée pleine de désillusions 🍽️

Au réveil, j’ai proposé à Rava de prendre le petit-déjeuner ensemble, un moment que j’espérais paisible. Une fois terminé, je me suis attelé à mes travaux habituels, notamment la création de contenu pour préparer la nouvelle année. J’ai demandé à Rava de surveiller Orama, notre fils, le temps que je travaille en ligne. 💻

Hélas, un instant d’inattention a suffi : j’ai surpris ma nièce dans la cuisine, dans une posture inappropriée devant mon fils de 3 ans. Choqué et en colère, j’ai pris mon fils à part et expliqué à ma nièce, ainsi qu’à son copain, que ce genre de comportement était inacceptable, surtout dans un lieu comme la cuisine. 🍴

L’explosion familiale et ses conséquences 💥

Ce simple incident a déclenché une véritable tempête. La mère de ma nièce, ma cousine, a déformé les faits, m’accusant injustement de comportements déplacés et d’incompétence. Sans raison valable, elle a détruit mes affaires, les jetant hors de la maison, et nous a ordonné de partir.

Elle m’a reproché des choses absurdes : selon elle, mon fils aurait frappé sa fille, je ne faisais rien de mes journées, et je "profitais" de leur argent – tout cela étant faux. En réalité, je vivais dans des conditions précaires, sans jamais me plaindre malgré leurs intrusions constantes. 🏚️

Un passé marqué par le sacrifice et le rejet 💔

Cette situation n’est que la continuité d’une longue série de malheurs. J’ai dû quitter le Centre des Métiers et des Arts pour m’occuper de ma mère gravement malade. J’ai géré seule ses démarches administratives lorsqu’elle a été placée en foyer, tout en subissant du harcèlement dans mon ancienne école.

Malgré tout cela, ma grand-mère a répandu des rumeurs à mon sujet, m’accusant d’être un menteur et un ingrat. Mes parents m’ont rejeté lorsque j’ai voulu reconstruire ma vie avec une femme que j’aime. 🕊️

Une quête de résilience malgré tout 🌟

Aujourd’hui, je suis contraint de quitter la maison, de remettre de l’ordre dans ma chambre saccagée et de trouver un logement pour moi et mon fils. Bien qu’il soit désormais en sécurité avec sa mère, je ne peux m’empêcher de ressentir une immense tristesse face à cette exclusion injustifiée.

J’ai contacté la police et les services sociaux, mais leur aide reste limitée. Même ma travailleuse sociale refuse d’intervenir, fatiguée des conflits familiaux qui semblent sans fin. 🚔

Une réflexion sur la solitude et la reconstruction 🌱

Tout cela m’a appris une leçon importante : on ne peut pas toujours compter sur les autres pour nous soutenir. Mes amis, ma famille et même la société m’ont tourné le dos, mais je ne compte plus attendre d’aide extérieure.

Il ne me reste que ma compagne, Kahili, qui est mon pilier dans cette tempête. Grâce à elle, je garde espoir et je suis déterminé à reconstruire ma vie, loin des conflits et des rumeurs. 💪

Conclusion : un chemin vers un avenir meilleur 🌈

Cette épreuve est douloureuse, mais elle me pousse à me relever et à devenir plus fort. Je vais continuer à avancer, pour moi et pour mon fils, en gardant en tête que le bonheur ne dépend pas des autres, mais de ma propre volonté à surmonter les obstacles.

Parfois, il faut tout perdre pour se retrouver. 🌻

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[actu-juridique]

Tribunal de Pontoise : Le malentendu

https://justifiable.fr/?p=1540 https://justifiable.fr/?p=1540 Un homme est jugé par le tribunal correctionnel de Pontoise, jeudi 21 novembre, pour des violences volontaires sans interruption totale de travail contre un fonctionnaire de police. Pour lui, il y a méprise. Ce chauffeur de VTC, jamais condamné, vient clamer sa bonne foi devant les juges. Tribunal de Pontoise (Photo : ©J. Mucchielli) Cergy-Pontoise, 27 juin 2024. Les policiers de la BAC voient une Toyota noire approcher : ce véhicule correspond à un vol qu’on leur a signalé. La Toyota est stationnée en double file. Ils approchent furtivement, toquent au carreau et ouvrent la porte en criant « Police ! » L’homme au volant démarre soudainement, avance quelques secondes vers un groupe de policiers qui lui disent de s’arrêter. Le conducteur ne s’arrête pas. Les policiers évitent la voiture au dernier moment, l’un d’eux est légèrement touché, un autre tire et touche la carrosserie. La Toyota finit par stopper, bloquée par des travaux. Ismaël est appréhendé. Ismaël est chauffeur VTC. Il cherche un client depuis plusieurs minutes, mais ne parvient pas à accéder à l’endroit où il se trouve. Fichus travaux. Il se gare rapidement en « warning » pour chercher à contacter ce client, quand des hommes en noirs surgissent sans prévenir. Paniqué, il repart aussitôt en trombe. Ils ne voient pas les policiers lui demander de s’arrêter un peu plus loin, n’entend pas le tir, comme il n’a pas entendu celui qui a crié « Police ! » Ismaël est bloqué par le chantier et se fait interpeller. « Vous n’avez pas vu que vous avez percuté quelqu’un ? » Le président du tribunal a Ismaël devant lui. « Alors vous nous dites que vous n’avez pas entendu l’homme crier ‘police’ ni vu qu’il essayait d’ouvrir votre porte. Mais si personne n’essaie d’ouvrir la porte, pourquoi fuir ? — J’ai vu des gens en noir courir et j’ai pris peur. J’ai été agressé il n’y a pas longtemps. — Effectivement, je le dis pour mes assesseurs, Monsieur a été agressé dans des circonstances similaires à Aubervilliers, on a une plainte du 18 avril 2024. D’ailleurs, je ne sais pas pourquoi les policiers n’ont pas joint la plainte au dossier. — (avocat de la défense) Un groupe de jeunes armés de barres de fer se sont précipités vers son véhicule, exactement la même scène. — (président, goguenard) Sauf que cette fois-ci c’était des policiers. Que vous prenez pour un groupe d’agresseurs. Vous démarrez, vous voyez les personnes au milieu de la route ? Vous n’avez pas vu que vous avez percuté quelqu’un ? Non ? Ni les deux autres personnes devant vous qui se sont écartées au dernier moment ? — Un des fonctionnaires de police était en bermuda, comme les jeunes la dernière fois. — (Avocat) C’est dans le dossier (le bermuda) ! — Je vous assure que c’est la vérité. Je suis quelqu’un d’honnête, je travaille beaucoup pour m’occuper de ma femme malade et de ma fille. — (Avocat) C’est dans le dossier ! » « Est-ce que monsieur l’a percuté oui ou non volontairement ? » La procureure a une certitude : Un fonctionnaire de police a été touché par le véhicule de Monsieur. « Est-ce que monsieur l’a percuté oui ou non volontairement ? » Elle ne fait pas de suspense : « Ses déclarations sont cohérentes avec les faits en procédure. Les policiers sont en civil. Moi, aujourd’hui, je n’ai pas d’élément pour dire que Monsieur a vu le fonctionnaire de police. » Relaxe requise. L’avocat de la défense est soulagé, mais il tient quand même à rappeler « qu’on aurait pu se retrouver devant une juridiction autre que la vôtre si le projectile avait été tiré plus haut » (une juridiction criminelle, ndlr). Il tient aussi à souligner que, lors de sa comparution préalable, le parquet voulait le placer en détention. » En fait, dit-il, Ismaël était au mauvais endroit, au mauvais moment. « J’ai quand même le sentiment que par moment l’analyse des fonctionnaires de police est un peu rapide, et je ne suis pas surpris qu’il ait été transi de peur quand ils ont fait irruption vers sa voiture ». Relaxe plaidée. Relaxe prononcée. https://www.actu-juridique.fr/penal/tribunal-de-pontoise-le-malentendu/

[journalplanb]

Sur l'Iran

Il parlait des Dieux des arc-en-ciel 

Mohsen Shekari arrêté par la police durant les manifestation sous prétexte qu'il bloquait une rue et aurait agressé un policier, est pendu à 23 ans. Au téléphone à son père, vendeur de mouchoir à la sauvette : "Je suis condamné à mort, ne dis rien à maman”.

Benjamin Brière, ancien otage se confie. Il est arrêté par la police dans son van, il voyageait. Emmené en prison, il reste trois ans et voit défiler des condamnés à mort, il se souvient de leurs visages, avant qu'ils ne soient pendus.  Quand il est libéré, affaibli et malade, il est placé dans une chambre, seul, où il fait noir. Il n'a pas dormi de la nuit. Cela faisait trois ans qu'il dormait dans la lumière. Il ne savait plus le noir. La lumière me manquait dans le noir, j'ai été habitué à dormir dans la lumière.

[tfgadgets]

MNS worker beaten to death by mob after altercation with rickshaw driver; nine arrested

Image used for representational purpose. | Photo Credit: Getty Images Nine people were arrested for allegedly assaulting and killing a Maharashtra Navnirman Sena worker in Mumbai’s Malad East area, a police official said on Monday (October 14, 2024). On Saturday evening, Akash Maeen (27) was assaulted by a group of persons who gathered in support of an autorickshaw driver with whom he had an…

[mpchfl]

Galaxy Heights is a MHADA (Maharashtra Housing and Area Development Authority) approved and sanctioned project, being developed by MPCHFL [Maharashtra Police Co-Op Housing Federation Limited at Gaikwad Nagar, New Malwani, Malad West, Mumbai - 400 095.  

[indianfasttrack]

Mumbai- मुंबई के मालाड़ मे पकडा गया छिछोरा चोर

मुंबई के मालाड़ इलाके में एक ऐसा चोर पकड़ा गया है। जो कीमती सामान हाथ नहीं लगा तो घर की महिला का ही चुम्मा लेकर भाग जाया करता था। इस छिछोरे चोर के पकड़े जाने के बाद इलाके के लोगों ने राहत की सांस ली.. (Molester thief caught in Mumbai Malad) इस्माईल शेखमुंबई- मालाड़ इलाके में एक अजीबो गरीब चोरी की घटना सामने आई थी। इस घटना ने सभी को हैरान कर दिया, गिरफ्तार चोर एक घर में चोरी करने के लिए घुसा,…