#Míkis Theodorákis
Explore tagged Tumblr posts
Text
(Dans la série séquence archi-connue dont on ne se lasse pas, je choisis « Zorba le grec »)
youtube
10 notes
·
View notes
Text
جماليات الخريف:
الخريف فصل القراءة الشبيه بوجبة شهية دافئة، رائحته أجدها قوية بين أوراق الكتب، بذهول أشاهد خطواته، بدافع الرغبة في التخلص من الكسل الصيفي، واستئناف النظر إلى السماء العالية، سماء الشعر.
الخريف احتفاء بالألوان بدل الأضواء، إنه يشبه طقس مارتن هيدغر Martin Heidegger كل صباح؛ قراءة الصحيفة، ومحاولة فهم الزمن في أفقه الفيمينولوجي. الخريف إعلان عن عودة الإنسان إلى المكان بدل الإقامة الفوضوية في المتخيل الرقمي، وتمظهرا للهوية الإنسانية بعد ان فقدت جدواها بفعل المكر الإيدولوجي.
لا إميل إلى الرأي القائل إن الصيف من نصيب عشاق الكسل والملذات. العاطفيون يختارون الربيع، والشتاء فصل عشاق الحروب الداخلية، الخريف - في تقديري- فصل واقعي يجسد الاكتمال الأنطلوجي، وربما لهذا السبب نجد اجمل المباريات الكروية في هذا الفصل(على سبيل المثال المقابلة المرتقبة بشغف بين مانشستر يونايتد ضد وست هام يونايتد).
في الخريف نصبح اقل سنا ونحلم ببدايات جديدة، كما لو كان مرآة لإرادة الذات. يمنحني هذا التأويل فرصة لأخوض سباقا، لا أتنافس فيه مع أي شخص، اركض لوحدي كي افوز، على ماكنت عليه.
ينبغي نسيان عبارة" إنه الخريف" الحاملة لأوصاف سلبية، لا تلتفت إلى جماليات الخريف بوصفه نهاية الجلبة، وفرحة الأرض بإستعادة الهواء النقي، والرياح الصافية. الأرض تستعيد نظافتها بعد رحيل مدمري الحياة، في الطرقات ينمو العشب، فرحا بتوقف خطى الكثل البشرية الصلبة. في الخريف قدمت أسطورة الجاز "إيلا فيتزجيرالد Ella Fitzgerald" اجمل اغانيها عبر مقاماتها الصوتية الشبيهة برياح فرجينيا، في الخريف اسعدنا الموسيقار اليوناني ميكيس ثيودوراكيس Míkis Theodorákis، برائعته" رقصة زوربا" المأخودة عن التحفة السردية" زوربا اليوناني" للمعلم نيكوس كازانتزاكيس، ليتحول العمل الفني الموسيقي إلى هوية يونانية ببصمات إنسانية رفيعة، لكن للأسف لا احد يتذكر ذلك، ونكتفي بالقول: إنه الخريف.
5 notes
·
View notes
Video
youtube
Hommage à Míkis Theodorákis - Culture Prime
Míkis Theodorákis est un compositeur et homme politique grec né le 29 juillet 1925 sur l’île de Chios en Grèce et mort le 2 septembre 2021 à Athènes.
Il est particulièrement connu pour ses chansons (Sto Perigiali, Kaïmos, Une hirondelle…) et ses musiques de film (Électre, Zorba le Grec, Z, Serpico).
Sur le plan politique, il s'est distingué par son combat contre les dictatures. Membre de la résistance pendant l'occupation nazie, il est emprisonné et torturé par des agents du gouvernement au cours de la guerre civile grecque (1946-1949) en raison de son engagement au Parti communiste de Grèce (KKE)1. Il tient un rôle de porte-parole de l'opposition à la dictature des colonels de 1967 à 1974, ce qui lui vaut d’être arrêté. Il milite à gauche, notamment avec le KKE, jusqu'à la fin des années 1980,
3 notes
·
View notes
Text
Mort du compositeur Míkis Theodorákis, l’adieu grec
https://www.liberation.fr/international/europe/mort-du-compositeur-mikis-theodorakis-ladieu-grec-20210902_2725SB6H5BBKRMYUXDG4T26ZA4/
2 notes
·
View notes
Text
Sto Periyali To Kryfo (The Hidden Shore) Míkis Theodorákis
Sto Periyali To Kryfo (The Hidden Shore) Míkis Theodorákis
Sto Periyali To Kryfo (The Hidden Shore) Míkis Theodorákis En périphérie Στο περιγιάλιÀ Hidden Seashore At Hidden Seashore A la périphérie la colombe cachée et blanche Στο περιγιάλι το κρυφό κι άσπρο σαν περιστέριAu bord de la mer caché (ou secret) et de la colombe blanche At the hidden (or secret) seashore and white dove nous avions soif à midi, mais l’eau était douce διψάσαμε…
View On WordPress
0 notes
Text
La gauche et les gilets jaunes à Nantes : quand tout devient possible ici et maintenant
Inutile de gonfler les chiffres : nous étions quatre-vingts. À l’initiative de partis politiques de gauche : Europe écologie les Verts, Génération·s, le Parti communiste français, les ancien·ne·s socialistes parti·e·s à la Gauche démocratique et sociale ou à Nos cause communes... et en présence de nombreux·ses militant·e·s politiques : France insoumise, Nouveau parti anticapitaliste et associatif·ves : ATTAC, Droit au logement... Nous étions quatre-vingts, au Café Flesselles, à Nantes, à débattre du mouvement Gilets jaunes, avec des Gilets jaunes.
Le thème retenu « Gilets jaunes : un mouvement prévisible mais inattendue » a été rapidement présenté. Il s’agissait de rendre compte de la surprise quant à la forme de ce mouvement. Mobilisation par le biais des réseaux sociaux, occupation de ronds-points, manif les samedis. Tout en rappelant que, comme militant·e·s, nous n’étions ni surpris·e·s, ni m��content·e·s que les gens se soulèvent contre ce qui est tout bonnement l’accroissement des inégalités et des injustices dans notre pays.
Hervé Guéry, économiste à Compas (voir l’excellent site Internet http://www.comparateurterritoires.fr qui rend compte des inégalités par commune, par département, par région) nous a rappelé quelques vérités. En 1990, 38 % des ouvrier·e·s vivant à Nantes étaient propriétaires. Ils·elles ne sont plus que 10 % aujourd’hui. Si on retire les 25 % de salarié·e·s les moins riches et les 25 % les plus riches, et que l’on regarde les 50 % restant, le panel de revenus s’étend de 1 000 à 2 000€. Pourtant, quand on nous parle des politiques mises en œuvre pour les classes moyennes, on évoque des personnes aux revenus compris entre 3 000€ et 4 000€... les politiques dites « en faveur des classes moyennes » sont donc une supercherie ! Et puis, les riches passent leur temps à ruminer, affirmant « oui mais on paie pour » car ils participent davantage à l’impôt. Hervé Guéry prend deux exemples de secteurs hypers subventionnés (sans le remettre en cause !) : la culture, la scolarité. Certes, les riches paient plus d’impôts mais ils·elles nous coûtent plus chers. Ils·elles profitent des événements culturels, sans commune mesure avec les pauvres. Et que dire des scolarités longues... Le décor était posé.
La soirée permit à toutes et tous de s’exprimer. Et, c’est ce qui motive ce billet. Une fois encore, j’ai l’impression que le mouvement Gilets jaunes, avant même d’être un mouvement de contestations et de revendications (très majoritairement légitimes !), est un mouvement d’existence, d’estime de soi. Un mouvement qui permet de dire « je », puis à longueur de discussions de dire « nous », de prendre la parole, de décider nous-mêmes (ça vous rappelle quelque chose ?)[1].
Être Gilets jaunes, c’est exister. C’est causer. Comparer un bulletin de paie, s’indigner de ses conditions de vie. Ne pas les taire, ne plus avoir honte.
Et jeudi soir, avant de m’endormir, j’ai pensé à ce moment-clé où des sociologues ont relaté l’exact inverse : la dissolution de ces liens. Le moment où les travailleurs·ses se sont tu·e·s.
Vous n’êtes pas obligé·e·s d’acheter La misère du monde, ni de lire ses 1 500 pages. Cependant, j’imagine qu’il est possible de l’emprunter ou de le feuilleter dans n’importe quelle bibliothèque, médiathèque et de vous rendre directement au chapitre Le vieil ouvrier et la nouvelle usine, entretien de Michel Pialoux avec un ouvrier spécialisé communiste.
L’ouvrier y évoque la méfiance qui s’installe, au sein de l’entreprise, dans les années 1980 entre les ouvriers eux-mêmes. D’un côté, les vieux, syndiqués, conscientisés, qui partagent tout, qui revendiquent ensemble, qui pensent collectivement. De l’autre, les nouveaux recrutés, l’arrivée des intérimaires, des statuts particuliers, des négociations individuelles. Ça se regarde de travers, ça ne se comprend pas. Ça divise un monde aux intérêts pourtant communs. Et, au bout du bout, ça fait gagner des points au patronat.
Ce dont a peur le patronat, c’est de cela. Que nous nous causions, entre salarié·e·s. Que les salarié·e·s causent avec leurs représentant·e·s du personnel, qu’ils renouent avec les organisations syndicales. Ce qui inquiète le pouvoir, c’est que nous trouvions ensemble les moyens de ne plus avoir honte, de ne plus culpabiliser de nos propres difficultés. De dire que NON, le sens de l’effort, ne permet pas, seul, de s’en sortir, de réussir. Que l’on trouve des réponses politiques qui aboutissent à partager mieux les richesses produites dans notre pays.
Causer, de soi ; des fins de mois difficiles ; des insupportables conditions de vie de certaines femmes qui portent seules et à bout de bras leur famille dite « monoparentale » ; des produits les moins chers choisis dans les supermarchés -tout en bas des rayons ou tout en haut- parce qu’on ne dispose pas d’un pognon de dingue ; du manque de tout, d’argent, d’ami·e·s, de loisirs, de temps, qui restreint, qui oppresse, qui obsède... et se dire qu’on se ressemble et qu’on n’est pas fautifs·ves.
Peut-être est-on en train de reprendre la discussion là où d’autres l’avaient laissé, avec l’avènement du libéralisme, du chacun·e pour soi ? Cette soirée fut vivifiante, pleine d’espoir. Cet espoir que, demain, enfin nous libérions nos vies des chaînes de l’argent.
[1] France socialiste, hymne de Míkis Theodorákis, composé en 1977
0 notes