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24 mai 1670 : Louis XIV crée l’Hôtel des Invalides par ordonnance royale ➽ http://bit.ly/Hotel-Invalides Destiné à recevoir des soldats blessés, estropiés de la guerre ou vieillis dans le service qui jusque-là trop souvent s’adonnaient au vagabondage, l’Hôtel des Invalides est créé par Louis XIV, la construction de l’édifice étant confiée à l’architecte Libéral Bruant entre 1671 et 1676
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Hôtel National des Invalides (Los Inválidos)
Paris, Francia.
Arquitectos: Libéral Bruant y Jules Hardouin-Mansart Construcción: 1671 Inauguración: 1687
El Hôtel National des Invalides es un complejo monumental situado en el distrito 7 de París, Francia. Fue construido en el siglo XVII por orden del rey Luis XIV para albergar a los veteranos de guerra y soldados heridos, así como para servir como centro de atención médica y hospital.
El complejo incluye varios edificios, siendo la iglesia de Saint-Louis-des-Invalides el más destacado. Fue diseñada por el arquitecto francés Jules Hardouin-Mansart y es considerada una obra maestra del barroco francés. En su interior, se encuentra la tumba de Napoleón Bonaparte. Incluye varios museos, como el Museo del Ejército, que cuenta con una amplia colección de armas, uniformes y objetos militares desde la Edad Media hasta la Segunda Guerra Mundial, y el Museo de la Orden de la Liberación, que presenta la historia de la resistencia francesa durante la Segunda Guerra Mundial.
En resumen, el Hôtel National des Invalides es un importante monumento histórico y cultural de París, que combina una impresionante arquitectura barroca con una fascinante colección de objetos militares y una conexión directa con la historia de Francia, representada en la tumba de Napoleón Bonaparte.
MAPA + FICHA
Camila Villalba | Historia de la Arquitectura II | Prof. Rebeca Tineo
@lonuevodenuevo
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The Cour d'Honneur at Les Invalides, Paris, designed by Libéral Bruant and built between 1670 and 1676. Location of the Musée de l'Armée.
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Les Invalides
À la fin du XVIIème siècle, fut édifié sur la plaine de Grenelle, proche du lieu-dit du "Gros Caillou" (alors une zone champêtre en dehors de Paris), l'Hôtel des Invalides, vaste ensemble monumental occupant une superficie de 13 hectares.
Voulu en 1670 par le roi Louis XIV, afin d'accueillir les soldats de son armée retraités ou estropiés, ce complexe fut conçu par l'architecte Libéral Bruant, s'inspirant du palais-monastère royal de l'Escurial, à Madrid: une cour d'honneur centrale (menant à une vaste "église aux soldats"), desservant plusieurs casernes, infirmeries et ateliers, organisés autour de quatre cours secondaires. À la fois hôpital et hospice, cette institution commença à accueillir ses premiers pensionnaires dès 1674, ses travaux colossaux ayant pu être menés à bien très rapidement grâce à l'intercession du marquis de Louvois, alors secrétaire d'État français de la Guerre. Devenus musée depuis, les combles de sa cour nord-est accueillent dès 1777 les plans-reliefs militaires de cités et places-fortes, transférés du Louvre. Ceux-ci servirent notamment à la poliorcétique, à savoir l'art du siège militaire. Également siège du gouvernement militaire de Paris, l'Hôtel des Invalides se fera piller par les premiers émeutiers du 14 juillet 1789, réquisitionnant au passage près de 32000 fusils et 27 canons, avant de se diriger vers la prison de la Bastille... Après une réutilisation politique avisée sous le Premier Empire (nous y reviendrons), l'institution des Invalides poursuivit sa vocation d'asile militaire tout au long du XIXème siècle, les soldats se faisant cependant de moins en moins nombreux à y loger. Les parties désaffectées des casernes furent ainsi réattribuées sous la IIIème République, accueillant le musée d'artillerie en 1872, puis le musée historique des armées en 1896, fusionnant en 1905 afin de former le Musée de l'Armée. Conservant des artefacts archéologiques militaires courant de la Préhistoire à l'époque contemporaine, ce monumental musée, le cinquième de France par sa fréquentation (environ 1,2 million de visiteurs par an, sauf ces deux dernières années...), abrite une abondante collection d'armures médiévales et de la Renaissance, d'armes blanches et à feu de l'époque moderne, des guerres révolutionnaires et de l'Empire... Auxquelles s'adjoignent, au fil des conflits, de nombreuses pièces de la guerre franco-prussienne de 1870/71, ainsi que des deux guerres mondiales. On peut notamment y voir un des "taxis de la Marne", ces fameux taxis parisiens réquisitionnés par le général Gallieni, gouverneur militaire de Paris durant la Première Guerre Mondiale. Partis des Invalides les 6 & 7 septembre 1914, ces taxis permirent d'acheminer une brigade d'infanterie sur le site de la première bataille de la Marne. Visible plus loin dans le parcours chronologique, un des chars de la 2ème D.B. du général Leclerc, ayant participé aux combats pour la libération de Paris, dont un âpre fut mené ici le 25 août 1944. En 1918, deux infirmières de l'institution nationale des Invalides y créèrent le "Bleuet de France", en soutien moral et financier aux victimes militaires de la Grande Guerre, embryon de l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre, administré ici depuis 1934. Les souterrains de communication des Invalides abritent sous l'Occupation (de 1942 à la Libération) un réseau de résistance ayant permis à de nombreux pilotes de reconnaissance alliés de s'abriter avant d'être exfiltrés. C'est afin de commémorer la mémoire de la Résistance française que fut inauguré en 1970 un nouveau musée, de l'Ordre de la Libération, à l'instigation de Charles de Gaulle, fondateur de cet ordre en 1940. Un lieu dédié à sa mémoire fut finalement créé ici en sous-sol en 2008. Cet "historial" Charles-de-Gaulle présente, en un espace multimédia de 2500m2, la vie et l'œuvre du général libérateur puis président de la République.
En parlant des présidents, ceux-ci sont officiellement intronisés, depuis de Gaulle, par une cérémonie de revue aux Invalides (le président de la République assumant également le rôle de chef des armées), les canons de bronze surplombant les douves (trophées pris aux Ottomans au XVIIème siècle, aux Autrichiens le siècle suivant, puis aux Chinois) tirant alors 21 salves à blanc, détonations d'investiture... Dirigées vers l'Élysée, les bouches de ces canons rappellent symboliquement que le pouvoir véritable revient au peuple, qui pourrait à tout moment s'insurger contre le pouvoir exécutif (comme ce fut souvent le cas depuis la Révolution française). Cette symbolique fut notamment reprise lors des manifestations des gilets jaunes...
Si nous empruntons l'Axe républicain partant de l'Elysée, traversant les Champs-Elysées, passant entre les Petit et Grand Palais, traversant la Seine sur le Pont Alexandre-III, nous arrivons sur une large esplanade herbeuse (inconstructible depuis l'Exposition universelle de 1900, où de nombreux pavillons des nations furent érigés temporairement), dévolu officieusement aux rassemblements festifs, surplombant une vaste gare RER souterraine (de la ligne C, ayant remplacé en partie la ligne de chemin de fer des Moulineaux) ainsi qu'un pôle d'échanges du métropolitain. Parvis précédant donc les Invalides, lieu entré dans l'inconscient collectif comme lieu d'hommages nationaux, de la Vème République à ses "héros", militaires ou populaires, morts pour la nation ou malgré elle, aux soldats tués lors de missions de maintien de la paix à l'étranger, aux victimes d'attentats (comme ceux, tragiques, du 13 novembre 2015), ainsi qu'aux personnalités, politiques ou médiatiques, ayant permis au blason français de briller toujours un peu plus, par tous les biais possibles: du Commandant Cousteau à Jacques Chirac, de Jacques Chaban-Delmas à Simone Veil, de Jean d'Ormesson à Charles Aznavour... Ou encore à Jean-Paul Belmondo, l'an dernier, dont l'une de ses fameuses cascades eut pour écrin cette cour d'honneur des Invalides, dans l'épilogue du film Le Guignolo. Cette même cour qui vit la conclusion d'un autre succès cinématographique français, Les Aventures de Rabbi Jacob, mettant en scène les tribulations d'un autre monument français, Louis de Funès. Ce même de Funès qui y reçut la Légion d'honneur en 1973. En effet, c'est en l'Hôtel national des Invalides que les récipiendaires de la Légion d'honneur y reçoivent la fameuse décoration, et ce depuis un certain Napoléon Bonaparte...
Ce même Napoléon Ier, figure des Invalides, est représenté ici (première photo), statufié en point d'orgue de la cour d'honneur, avec son fameux bicorne, la main gauche passée entre les pans de sa redingote grise, la main droite tenant une lunette télescopique (ces trois "icônes" de l'empereur étant exposées au Musée de l'Armée, avec son fidèle cheval Vizir), devant des boulets de canons, rappelant sa vocation d'artilleur. Cette statue en elle-même a une histoire intéressante. Surmontant la colonne Vendôme en 1833, elle fut déposée en 1867, sous le Second Empire, son neveu Napoléon III lui préférant une nouvelle représentation glorifiante, d'un Napoléon en tenue d'empereur romain, auréolé des lauriers de la victoire... Cette statue "à l'uniforme des grenadiers", bien plus représentative, fut alors installée au carrefour de Courbevoie, au bout de l'axe monumental de l'ouest parisien (courant du Louvre à l'actuel quartier de La Défense). À l'issue de la guerre de 1870, les prussiens songeant, après le siège et la capitulation de la capitale, à traîner cette statue impériale derrière un char, sur les pavés de Paris, quelques fervents défenseurs bonapartistes la déboulonnèrent de son socle, la couvrirent, puis la juchèrent sur une barge voguant sur la Seine. Tombée à l'eau lors d'une manœuvre accidentelle (?), elle ne fut repêchée qu'en 1876, puis abritée dans les réserves des Invalides, avant d'être restaurée dans les ateliers des soldats invalides et placée en son arcade perspective en 1911. Le carrefour de Courbevoie accueille, quant à lui, depuis 1883, une statue de La Défense de Paris, ayant donné son nom au quartier... Napoléon et les Invalides, toute une histoire ! Il y fonda en effet l'ordre de la Légion d'honneur le 15 juillet 1804, procédant à la première remise de médailles en la chapelle aux soldats, sous le chœur de l'église dite alors "du dôme".
Achevée en 1709 par l'architecte royal Jules-Hardouin Mansart (près de trente ans après la pose de sa première pierre !), cette église monumentale complète les Invalides, point d'orgue de ce complexe. Cette église, dédiée à Saint-Louis, édifiée sur un plan carré incluant une croix grecque, à la façade présentant une juxtaposition de trois ordres, est surmontée d'un dôme, d'une conception architecturale unique à l'époque : deux caissons formant deux coupoles superposées, entourées d'un tambour inspiré par la basilique Saint-Pierre de Rome, sur lequel repose un dôme aux panneaux extérieurs de plomb doré à la feuille d'or (restaurés cinq fois par le passé, la dernière campagne de réchampissage ayant eu lieu en 1989); lequel dôme étant lui-même surmonté d'un lanternon aux quatre figures de vertus (également d'or), pointant vers les quatre points cardinaux, surélevé d'un obélisque couronné d'une croix catholique portant son altitude à 107 mètres au-dessus du sol, ayant fait de cette église le plus haut édifice de Paris 180 années durant, avant l'érection de la Tour Eiffel en 1889. C'est sous ce dôme, donc, que Napoléon Ier délivra ses premières médailles de la Légion d'honneur. Il fit également de ce choeur une nécropole militaire, nouveau panthéon post-révolutionnaire dédié à la gloire militaire passée, au croisement de la ferveur religieuse et du prestige guerrier, en y transférant le cercueil de Turenne, aux faits d'armes glorieux sous le règne du Roi-Soleil, le coeur du maréchal Vauban, aux fortifications devenues proverbiales, le coeur de La Tour d'Auvergne, héros des guerres de la Révolution, ainsi que les dépouilles du général Marceau et de Rouget de Lisle, l'auteur de La Marseillaise. Dans sa nef, il fait suspendre les drapeaux des nations défaites par la France (auxquels viendront s'ajouter, bien plus tard, les étendards "bleu-blanc-rouge", de part et d'autre de l'autel, faisant de Saint-Louis-des-Invalides le seul établissement religieux arborant des drapeaux nationaux). De par l'implication de l'empereur dans l'évolution de cette église, il semblait naturel pour le roi des français Louis-Philippe Ier (et dernier) de transférer le corps de Napoléon Bonaparte en l'église Saint-Louis-des-Invalides (depuis la si distante île de Sainte-Hélène où il succomba près de 20 ans auparavant), en une vaste opération, dite du "retour des cendres", en 1840, s'attirant ainsi la sympathie des bonapartistes. Une crypte circulaire non couverte fut alors excavée sous la marqueterie de marbre tapissant le sol du chœur sous le dôme, afin d'y installer le tombeau du défunt empereur, créé par l'architecte Louis Visconti, en quartzite rouge reposant sur un socle de granit vert, au sein duquel s'imbrique une succession de cinq sarcophages, à la manière des pharaons de l'Égypte ancienne, si chère à Napoléon. L'y rejoignit son "Aiglon" (son fils unique), dans une urne cinéraire, cent ans plus tard, sur la proposition d'un certain... Adolf Hitler. De nombreux généraux des deux guerres mondiales ont depuis été inhumés sous le dôme des Invalides, comme Foch, Lyautey, Juin, Leclerc de Hautecloque... Séparant le chœur de la nef depuis 1873, une haute verrière dissocie définitivement la nécropole militaire de l'église dédiée aux soldats, devenue cathédrale du diocèse aux armées françaises en 1986.
La grille royale, au portail marquant l'entrée principale des visiteurs des Invalides, fut restaurée par des ferronniers d'art en 2019, retrouvant son éclatant bleu roi, ainsi que ses dorures rehaussant le blason sommital de l'Ancien Régime, aux trois fleurs de lys encadrées par les colliers de l'ordre de Saint-Michel, surmontée de la couronne du Royaume de France, symbolisant la fondation d'origine des Invalides par le Roi-Soleil.
350 ans d'histoire de France résumés ici...
Crédits : ALM’s
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Nouveau son et lumière aux Invalides : LUTECE
Nouveau son et lumière aux Invalides : LUTECE
Depuis 2012, La Nuit aux Invalides a accueilli plus de 400 000 spectateurs du monde entier ! Elle revient cet été dans une cour d’honneur entièrement rénovée pour mettre à l’honneur Lutèce !
Lutèce, c’est LE show de l’été à Paris, un spectacle unique par son histoire, par sa grandeur, avec une technologie de pointe! Vous allez traverser 3000 ans d’histoires dans ce lieu hors du temps, des…
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Another Night at the Opera
19/09/2019: We left just after ten to walk to Musée de l'Armée, Invalides. The national military museum of France located at Les Invalides not far from the Eiffel Tower. Jo put the address into her phone and off we went, down Rue Saint-André des Arts, Rue de Buci and right into Boulevard Saint-Germain. From there it was into some back streets until after over a half hours walk, we ended up leaving Rue de Grenelle and into Place des Invalides.
The Hôtel National des Invalides not only houses the Musée de l'Armée but also hosts many of the French Republic's ceremonies. The Église Saint-Louis des Invalides, the veteran's chapel was built upon the Hôtel's completion and the royal chapel was built shortly after that, the dome being Paris' tallest structure until the Eiffel Tower was erected. Napoleon turned the building into a pantheon of military glories around 1800 and was buried there some years after his death, being exhumed from his grave on Saint Helena under the instruction of King Louis Phillipe.
Construction of the actual complex, initially called Cité des Invalides, commenced in 1670 after the Sun King, Louis XIV, aware that his soldiers were the primary guardians of France's greatness, decided to erect a building for those who had served in Europe's greatest army. Acting as a hospice, barracks, hospital and factory, the Hôtel was opened four years later, accommodating over four thousand boarders including aged and unwell soldiers.
We paid for tickets and entered into the large Cour d'honneur enclosed within. It was a magnificent area that glared under the gaze of the sun, Libéral Bruant's dormers atop of the pale facades reflecting the rays to everyone within the square. There were two notable features of this area, firstly the large collection of over seventy French bronze canons from the seventeenth, eighteenth and nineteenth centuries and the other was the interesting sundials strewn around the place, namely above Côte du Nord and the facades of the two Musée de l'Armée entrances. We then chose the eastern museum entrance to start off.
Canon lined Cour d'honneur with Musée de l'Armée on both sides, Cathédrale Saint-Louis-des-Invalides ahead and Église Du Dôme - Tombeau Napoléon Ier beyond
The first rooms were curiosity rooms and they certainly drew our attention to the pieces on display. The first room was the Vauban Room which had a dozen or more cavaliers from the Consulate to the Second Empire. They were all in the uniform of the day and all on their well and truly stuffed steeds.
The next room contained many scale models of military pieces, among them canons and canon barrels, supporting wagons designed to carry munitions and bellows mounted on wagons to support the forgers and blacksmiths. The other room contained hundreds, if not thousands of miniature toy soldiers. They ranged from thick cardboard figurines made by adults, to tin, lead and finally plastic. The final room contained musical instruments, mainly wind and percussion instruments as you would expect with military bands.
Moving to the Louis XIV to Napoleon rooms gave us an inkling of French military involvement from the Battle of Roctoi, when Louis XIII kicked the bucket and a five year old Sun King took over to the Franco-Prussian War of 1870.
Napoleon I on his Imperial Throne by Jean Auguste Dominique Ingres. Painted in 1806
The area consisted of several rooms including the from the Battle of Rocroi to the Revolution, depicting Louis XIV's policy of conquest leading to the formation of the first permanent French Army, the Revolution to the first Restoration representing the collections regarding Napoleon following the revolution with the weapons and corps that contributed to his conquests in Germany, Prussia, Austria, Spain, Russia, France and so on and from the Hundred Days War to the Franco-Prussian War.
At the end of the courtyard was the Veteran's Chapel and beyond that a rather expensive and unimpressive lunch at the canteen.
Next on the agenda was at the rear of the complex. Napoleon's tomb was held within Dôme des Invalides. Being the church where royal mass took place during the reign of Louis XIV, Napoleon I moved in during the eighteen hundreds. He was buried on Saint Helena Island in 1821 but King Louis-Phillipe moved him under the dome forty years later.
Tomb of Napoleon I
We then returned through to the main courtyard where we entered our last and possibly best exhibit. From Saint Louis to Louis XIV section displayed the weapons and armour of knights, princes and warriors from the thirteenth to the seventeenth centuries. The rooms were full of ornate suits of armour, shields, armour to protect the horses' head and chests in battle, pistols, muskets and so on. All ornate and in excellent condition.
A few suits of armour
That was it for us as time was running out. Back to the apartment to prepare for Madame Butterfly.
It was our second straight night at the opera and we were looking forward to it. Thinking that we would save time we ordered an Uber to get us to Opera Bastille but there was so much traffic that we turned a thirty minute walk into a forty five minute drive but we finally arrived, confused by the many roadwork barricades around before being dropped off safely. The footpath was full of patrons queueing to enter with not long before the start of the performance and we were getting concerned but shortly after another door opened allowing everyone to file into the foyer and to their respective seats.
Opera Bastille
Like the previous night, we had good tickets for this one as well. From the foyer a couple of flights of stairs got us to the balcony section and to a couple of great seats, only a few rows back and one tier up. Once settled in the first ten to fifteen minutes entertainment were taken up by the orchestra warming up. It was quite interesting as our seats allowed us a good view.
Watching the band get organised
First act went to plan, a wedding. American Pinkerton, on temporary assignment in Japan, plans to marry Cio-Cio-San, a young geisha with whom he is infatuated. The marriage broker organises it and the guests arrive but after two public officials declare Cio-Cio-San and Pinkerton married, her uncle storm out after they discover that she has converted to Christianity.
After the extremely long break, an announcement was made that the set was jammed and they couldn't move it. The rest of the show was performed in concert mode rather than opera. They just stood there an sang. Not much else they could do. Some people got up and left, we stayed and duly fell asleep. The night ended up being okay but nothing special. After the conclusion we headed back to the apartment on foot, looking for a café or bar but everything was closed or closing.
Looking at Pont de la Tournelle from Pont de Sully. The shadows of Notre Dame in the background
That was it. Tomorrow the graveyard.
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Libéral Bruant & Jules Hardouin-Mansart - Hôtel des Invalides, Paris [3500x2763] [OC] via /r/ArchitecturePorn https://www.reddit.com/r/ArchitecturePorn/comments/7v5s56/lib%C3%A9ral_bruant_jules_hardouinmansart_h%C3%B4tel_des/?utm_source=ifttt
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Libéral Bruant & Jules Hardouin-Mansart - Hôtel des Invalides, Paris [3500x2763] [OC]
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Libéral Bruant & Jules Hardouin-Mansart - Hôtel des Invalides, Paris [3500x2763] [OC]
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Our neighbour... Les Invalides. Louis XIV initiated the project by an order dated 24 November 1670, as a home and hospital for aged and unwell soldiers: the name is a shortened form of hôpital des invalides. The architect of Les Invalides was Libéral Bruant. #desinvalides #paris #histoire #thorpoflondon #france #britishbrand #textiles #screenprint #bernardthorp #madeinengland #architecture
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24 mai 1670 : Louis XIV crée l’Hôtel des Invalides par ordonnance royale ➽ https://bit.ly/2Lfc0hR Destiné à recevoir des soldats blessés, estropiés de la guerre ou vieillis dans le service qui jusque-là trop souvent s’adonnaient au vagabondage, l’Hôtel des Invalides est créé par Louis XIV, la construction de l’édifice étant confiée à l’architecte Libéral Bruant entre 1671 et 1676
#CeJourLà#24Mai#Hôtel#Invalides#ordonnance#royale#roi#LouisXIV#monument#édifice#architecte#Bruant#Mansart#soldats#pensionnaires#guerre#musée#armée#histoire#france#history#passé#past#français#french#news#événement#newsfromthepast
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“A walk about Paris will provide lessons in history, beauty, and in the point of Life.”
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24 mai 1670 : Louis XIV crée l’Hôtel des Invalides par ordonnance royale ► https://j.mp/2Lfc0hR Destiné à recevoir des soldats blessés, estropiés de la guerre ou vieillis dans le service qui jusque-là trop souvent s’adonnaient au vagabondage, l’Hôtel des Invalides est créé par Louis XIV, la construction de l’édifice étant confiée à l’architecte Libéral Bruant entre 1671 et 1676
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LA NUIT AUX INVALIDES, un superbe spectacle signé Bruno Seillier, dans la cour d'honneur des Invalides à Paris
LA NUIT AUX INVALIDES, un superbe spectacle signé Bruno Seillier, dans la cour d’honneur des Invalides à Paris
Pour la sixième année, Bruno Seillier a conçu un nouveau spectacle : 1918, La Naissance d’Un Monde Nouveau, et c’est dans la cour d’honneur des Invalides!
Ce spectacle, conçu par Bruno Seillier, se déroule 4 soirs par semaine, tous les publics peuvent en profiter durant 45 minutes, à la nuit tombée, avec des touristes étrangers et français autant que Franciliens, en famille ou entre amis. Le…
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24 mai 1670 : Louis XIV crée l’Hôtel des Invalides par ordonnance royale ► http://j.mp/2Lfc0hR Destiné à recevoir des soldats blessés, estropiés de la guerre ou vieillis dans le service qui jusque-là trop souvent s’adonnaient au vagabondage, l’Hôtel des Invalides est créé par Louis XIV, la construction de l’édifice étant confiée à l’architecte Libéral Bruant entre 1671 et 1676
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