#Les produits de consommation
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basilepesso · 2 years ago
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Oui, y a des trucs comme ça... Depuis mon retour en France forcé  aprÚs 9 ans avec de rares passages en France je découvre les nouvelles marques apparues, les excellentes, les moyennes, les trÚs moyennes...c'est intéressant et j'ai justement découvert ce truc du bouchon accroché...avant-hier ! Une des choses que je constate est la prolifération des marques aux visuels incroyablement médiocres, alors que les designers graphiques de haut niveau sont maintenant légion  et que le design de produit a des décennies derriÚre lui. Une des tendances inamovibles est la photo truquée, qui fait systématiquement passer du chocolat pùle pour du chocolat au marron onctueux. Mais ceci est mondial. Basile Pesso, 22 juin 2 023 (Fb) avec photos des nouvelles bouteilles à bouchon accroché
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microsoftlicensesworld · 9 months ago
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Les dangers de l'industrie laitiÚre : Impact sur la santé humaine et environnementale
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Les dangers de l'industrie laitiÚre sont un sujet d'une importance croissante dans le monde contemporain. Les gens consomment des produits laitiers à un rythme sans cesse croissant, mais il est essentiel de comprendre les implications de cette industrie sur notre santé humaine et notre environnement. Les dangers de l'industrie laitiÚre ne sont pas seulement limités à la santé individuelle, mais ils ont également un impact dévastateur sur l'écosystÚme dans son ensemble.
Dans notre société moderne, l'industrie laitiÚre est omniprésente. Des produits laitiers tels que le lait, le fromage, le yaourt et le beurre sont consommés quotidiennement par des millions de personnes à travers le monde. Cependant, ce que beaucoup ne réalisent pas, ce sont les dangers cachés associés à cette industrie.
Tout d'abord, examinons les dangers de l'industrie laitiĂšre pour la santĂ© humaine. De nombreuses Ă©tudes ont montrĂ© un lien entre la consommation de produits laitiers et divers problĂšmes de santĂ©, notamment l'obĂ©sitĂ©, les maladies cardiaques, le diabĂšte de type 2 et mĂȘme certains cancers. Les produits laitiers contiennent souvent des niveaux Ă©levĂ©s de graisses saturĂ©es et de cholestĂ©rol, ce qui peut contribuer Ă  des problĂšmes de santĂ© graves. De plus, les produits laitiers peuvent ĂȘtre une source de contamination bactĂ©rienne, ce qui peut entraĂźner des maladies d'origine alimentaire.
En ce qui concerne l'impact environnemental, les dangers de l'industrie laitiÚre sont tout aussi préoccupants. La production laitiÚre nécessite d'immenses quantités de ressources naturelles, notamment de l'eau et de la terre arable. De plus, l'élevage de vaches laitiÚres est une source majeure de gaz à effet de serre, contribuant ainsi au changement climatique. L'industrie laitiÚre est également associée à la déforestation, à la pollution de l'eau et à la perte de biodiversité.
Malgré ces dangers, l'industrie laitiÚre continue de prospérer, alimentée par une demande mondiale croissante de produits laitiers. Cependant, il est impératif que nous prenions des mesures pour atténuer les effets néfastes de cette industrie sur notre santé et notre environnement. Cela pourrait impliquer une réduction de la consommation de produits laitiers, ainsi que des changements dans la maniÚre dont ces produits sont produits et distribués.
En conclusion, les dangers de l'industrie laitiÚre sont réels et méritent notre attention. Nous devons reconnaßtre les implications de notre consommation de produits laitiers et prendre des mesures pour réduire les effets néfastes sur notre santé et notre planÚte. En prenant des décisions éclairées et en soutenant des pratiques agricoles durables, nous pouvons contribuer à créer un avenir plus sain et plus durable pour tous.
https://enkling.com/read-blog/32918_les-risques-pour-la-sante-de-la-viande-et-des.html
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exhaled-spirals · 1 year ago
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« Imaginez les remarques que pourrait faire un observateur. . . de notre espĂšce, . . . comment elle se transforme, comment elle se consume depuis un siĂšcle environ. Il aurait grand sujet de se divertir Ă  nos dĂ©pens en constatant le curieux retournement de nos efforts inventifs contre nous-mĂȘmes. Tandis que nous croyons nous soumettre les forces et les choses, il n'est pas un seul de ces attentats savants contre la nature qui, par voie directe ou indirecte, ne nous soumette, au contraire, un peu plus Ă  elle et ne fasse de nous des esclaves de notre puissance, des ĂȘtres d'autant plus incomplets qu'ils sont mieux Ă©quipĂ©s.
. . . Et ne parlons pas des odeurs, des bruits que vous endurez, des trépidations, des courants de toute fréquence, des nourritures synthétiques, que sais-je ! Et quant à l'intellect, mes amis, quant à la sensibilité. . . on vous soumet l'esprit à une merveilleuse quantité de nouvelles incohérentes par vingt-quatre heures ; vos sens doivent absorber, sans un jour de repos, autant de musique, de peinture, de drogues, de boissons bizarres, de spectacles, de déplacements, de brusques changements d'altitude, de température, d'anxiété politique et économique. . . que toute l'humanité ensemble, au cours de trois siÚcles, en pouvait absorber jadis !. . . Cependant que la politique aligne nos multitudes, leur fait donner la main ou dresser le poing, les fait marcher au pas, voter, haïr ou aimer ou mourir en cadence, indistinctement, statistiquement.
La machine Ă©conomique est, au fond, une exagĂ©ration, une amplification colossale de l'organisme. . . et nous pouvons suspecter. . . qu'il se produira, dans l'Ăąge qui vient, une dĂ©pression des valeurs intellectuelles, un abaissement, une dĂ©cadence comparables Ă  ceux qui se sont produits Ă  la fin de l'antiquitĂ© ; la culture Ă  peu prĂšs abandonnĂ©e, les Ɠuvres devenues incomprĂ©hensibles ou dĂ©truites. . . toutes choses malheureusement trĂšs possibles [si] les moyens de possession et de jouissance, l'incohĂ©rence imposĂ©e par la frĂ©quence et la facilitĂ© des impressions, la vulgarisation immĂ©diate et l'application aux productions, aux Ă©valuations et Ă  la consommation, des fruits de l'esprit, de mĂ©thodes industrielles, finissent par altĂ©rer les vertus intellectuelles les plus Ă©levĂ©es et les plus importantes : l'attention, la puissance mĂ©ditative et critique, et ce qu'on peut nommer la pensĂ©e de grand style. . .
Nous vivons sous le régime perpétuel de la perturbation de nos intelligences. L'intensité, la nouveauté, dans notre époque, sont devenues des qualités, ce qui est un symptÎme assez remarquable. Je ne puis croire que ce systÚme soit excellent pour la culture. Sa premiÚre conséquence sera de rendre ou inintelligibles ou insupportables toutes les oeuvres du passé qui ont été composées dans les conditions toutes contraires et qui exigent des esprits tout différemment formés. »
— Paul ValĂ©ry, "Notre destin et les lettres", confĂ©rence donnĂ©e le 17 fĂ©vrier 1937
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valerielemercier · 7 months ago
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" Il arrive qu'un journal illustrĂ©, entrouvert il y a des annĂ©es, laisse en nous des traces aussi profondes qu'un grand livre ou qu'une rencontre mĂ©morable. À l'Ă©poque oĂč Life était l'hebdomadaire amĂ©ricain par excellence, dans un numĂ©ro tournĂ© probablement par une main nĂ©gligente ( toujours ce qu'on s'attendait Ă  voir : la guerre du Vietnam ou celle de CorĂ©e, mĂȘlĂ©e Ă  des vedettes de cinĂ©ma, du sport, ou de la politique du moment ), je tombai sur la derniĂšre page, rĂ©servĂ©e d'ordinaire Ă  la "photographie de la semaine", sans rĂ©fĂ©rence  aux Ă©vĂ©nements d'actualitĂ©, Ă©lue seulement pour ce que l'image prĂ©sentait  d'exceptionnel, de beau ou de saisissant. Cette fois, c'Ă©tait, en pleine page, un instantanĂ© de femme vue de dos. Une dame quelconque, un peu Ă©paisse, sans doute situĂ©e entre la quarantaine et la soixantaine, un manteau de voyage qu'on devinait beige, souliers de ville Ă  talons mi-haut, petit chapeau sĂ»rement achetĂ© dans un grand magasin, sac volumineux, serrĂ© sous le bras avec ce geste possessif qu'ont souvent les femmes un peu mĂ»res, et qui contenait Ă  n'en pas douter le porte-monnaie, quelques billets de banque, l'assurance-santĂ©, le portrait des enfants ou des petits-enfants, peut-ĂȘtre un de ces petits carrĂ©s de papier de soie imprĂ©gnĂ©s de produit chimique qui donnent Ă  l'AmĂ©ricain en voyage l'impression de s'ĂȘtre lavĂ© les mains. Une rombiĂšre amĂ©ricaine telle qu'on les rencontre, innombrables, dans les magasins de souvenirs et les restaurants convenablement bien cĂŽtĂ©s. Celle-ci Ă©tait debout devant une mer calme ; une vaguelette lĂ©chait le sable Ă  quelques mĂštres de ses souliers. Cette photographie prise sans doute au cours d'un petit voyage en Californie, par un mari ou un fils un peu en retrait sur la plage, avait eu les honneurs de la semaine parce que, l'instant qui suivit le dĂ©clic, une Ă©norme lame de fond emporta la femme, le chapeau du grand magasin, le manteau, le sac, les papiers d'identitĂ© avec les portraits des enfants ou des petits-enfants, en fait, toute une vie. Ce qui avait Ă©tĂ© une forme, une forme reconnaissable, chĂ©rie peut-ĂȘtre, ou dĂ©testĂ©e, ou l'objet pour les siens d'une tranquille indiffĂ©rence, tricotant ou jouant ou jouant au bridge, aimant la glace aux framboises, en parfaite santĂ© ou atteinte de varices ou peut-ĂȘtre d'un cancer au sein, et jusqu'aux accessoires et au tout-fait de la sociĂ©tĂ© de consommation, s'Ă©tait d'un seul coup amalgamĂ© Ă  la mer informe. Mrs Smith ( si c'Ă©tait son nom ), ou Jones, ou Hopkins, avait disparu dans le primordial et l'illimitĂ©. J'ai repensĂ© plusieurs fois Ă  elle. J'y pense encore. À l'heure qu'il est, je suis peut-ĂȘtre la seule personne sur la terre Ă  me souvenir qu'elle a Ă©tĂ©. " M. Yourcenar
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codumofr · 4 months ago
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Le Bento ou Ô-Bento est un repas traditionnel au Japon consommĂ© dans une boĂźte. Le trait le plus caractĂ©ristique de ce repas traditionnel est la “Bento Banko” qui est la boĂźte contenante en soit, le repas. Ce nom pourrait ĂȘtre grossiĂšrement traduit par “Gamelles”. En elle-mĂȘme, la boĂźte n’est apparue que durant l’époque Azuchi-Momoyama, s’étalant de 1568 Ă  1600. Cette pĂ©riode, courte, est dominĂ©e par une Ă©cole d’art du nom de Kano (Kano-Ha) fondĂ©e par Kano Masanobu, Peintre en chef du Shogunat Ashigaka. LaĂŻque et professionnelle, cette Ă©cole d’art perdura jusqu'au vingtiĂšme siĂšcle oĂč l’atelier devenu intenable dĂ©clina et disparut progressivement. Ainsi, le repas est traditionnellement consommĂ© durant la pĂ©riode de l’Hanami oĂč les Cerisiers du Japon perdent leurs feuilles ou bien durant une cĂ©rĂ©monie du thĂ©. Ce n’est qu’avec la rĂ©cente popularitĂ© de la cuisine Japonaise et ainsi, l’extension de cette derniĂšre dans le monde entier que le mot “Bento” est devenu le terme quasi-universel pour dĂ©signer les repas Ă  emporter Japonais. Nous retrouvons la consommation de telle prĂ©paration, mais avec un nom de boĂźte diffĂ©rent durant l’ùre Heian, pĂ©riode particuliĂšrement riche en termes de culture et d’art, s’étalant de 794 Ă  1185. Ainsi, lors de l’Osechi Ryori, repas du Nouvel An Japonais, le repas est dans une boĂźte du nom de “Jubako”. Se composant Ă  l’origine d’un plat mijotĂ© avec du SakĂ© ou de la Sauce Soja du nom “Nimono” accompagnĂ© de LĂ©gumes, Fruits de Mers, Poissons ou bien de Tofu. Au fil du temps et de l’évolution de la sociĂ©tĂ©, une variĂ©tĂ© plus grande plats ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©e pour l’Osechi Ryori et donc, les “BoĂźtes Jubako” se sont aussi dĂ©veloppĂ©es. Nous pouvons ainsi retrouver : l’Ichi-no-Ju composĂ© de mets se mariant avec une consommation de SakĂ© ; le Ni-no-Ju composĂ© de plats dit “Yakimono” et “Sunomono”, respectivement signifiant de la nourriture cuite Ă  la grille et de la nourriture marinĂ©e ; le San-no-Ju qui est un repas avec des produits provenant de la Mer ou de la Montagne ; le Yo-no-Ju composĂ© de plats mijotĂ©s et le Go-no-Ju qui est une boĂźte laissĂ© vide, symbolisant ainsi le besoin de bonheur qui devrait prendre place dans la boĂźte et donc le besoin de ce dernier.
Ce n’est qu’au dĂ©but du huitiĂšme siĂšcle qu’un livre d’histoire compile diffĂ©rentes notes oĂč sont dĂ©crits des gens transportant du “Hoshi”, riz cuit Ă  la vapeur et sĂ©chĂ© dans le but d’ĂȘtre utilisĂ© comme repas portable lors de voyages plus ou moins longs. Les Japonais ne prenaient que deux repas par jour jusqu’à la fin du dix-septiĂšme siĂšcle et les deux repas Ă©taient un simple petit-dĂ©jeuner et un dĂźner. Ce n’est qu’au milieu de l’Époque Edo s’étalant de 1600 Ă  1868 que les trois repas par jour se gĂ©nĂ©ralisent grĂące Ă  l’introduction des lampes Ă  huile et de leur lumiĂšre au niveau du dĂ©but du dix-huitiĂšme siĂšcle. Ainsi, la durĂ©e d’éveil et d’activitĂ© des travailleurs s’étalant, ils devinrent quasiment nĂ©cessaires d'apporter un repas du soir pour pouvoir tenir la cadence. Les agriculteurs de cette Ă©poque remplissaient d’aliments tels que du Riz d’Orge ou des Prunes SalĂ©es des rĂ©cipients en bois courbĂ© du nom de “Menpa” et les emportaient avec eux au travail. Excellents pour absorber l'humiditĂ© et assurer la ventilation, ces rĂ©cipients permettaient donc de conserver les repas frais et dĂ©licieux mĂȘme lorsqu’ils avaient refroidi. Toutefois, pour les travaux de plus grosse nĂ©cessitĂ©, un “Oke” qui est un grand seau de bois traditionnel Ă©tait rempli de boulettes de riz et d’un plat d’accompagnement du nom “d’Okazu” et servait donc pour un repas collectif. Pour les pĂȘcheurs, le travail en mer Ă©tant moins facile Ă  terme de nourriture, ils apportent une quantitĂ© de riz mesurais dans une unitĂ© correspondante Ă  une tasse japonaise d’environ 180 millilitres de riz, cette unitĂ© est le “Go” et ils en apportent en mer 7 go de Riz. Une quantitĂ© d'environ 1260 millilitres de Riz. Ce riz Ă©tait entreposĂ© dans une boĂźte Ă  deux Ă©tages fabriquĂ©e en CyprĂšs Japonais du nom de “Funabento” et l’accompagnement (Okazu) est dans ce cas du poisson pĂ©chĂ© par le pĂ©cheur lui-mĂȘme. Le Funabento n'avait pas qu’une utilisation de transport de repas, mais pouvait aussi servir de bouĂ©e de sauvetage pour les pĂȘcheurs tombĂ©s Ă  l’eau, de seau lorsqu’il est nĂ©cessaire d'Ă©coper le bateau lors de fuite d’eau. Pour finir, le rĂŽle du “Bento” n’avait pas qu’une dimension pratique et fournisseur d’énergie aux travailleurs. On peut le retrouver utilisĂ© dans l’agrĂ©ment d’occasions spĂ©ciales d’elle que le Hanami (Coutume traditionnelle japonaise d'apprĂ©cier la beautĂ© des fleurs.) et Ă©tĂ© Ă  l’époque rĂ©servĂ© aux nobles et aux samouraĂŻs. Ce n’est qu’au milieu de l’époque Edo (1603 Ă  1867) que la pratique se dĂ©veloppera et atteindra les couches populaires. À cette Ă©poque, le repas classique du Bento Ă©tait des Onigiris en Ă©tant enroulĂ©e dans des feuilles de bambou et ce n’est que pendant l’ùre Taisho, qu’une Ă©volution significative sera faite. Les BoĂźtes d’Aluminium de par leurs apparences argentĂ©es et de sa facilitĂ© de nettoyage devient un symbole de luxe.
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peekaboorpg · 4 months ago
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Écrire un personnage avec un trouble mental
Dans le but de déstigmatiser les maladies mentales telles qu'elles sont communément décrites en RPG, voici une série de guides qui introduisent les différents troubles & les stéréotypes associés à éviter.
Troubles anxieux
Troubles de l'humeur
Troubles du comportement
Troubles de la personnalité
Troubles psychotiques
Trouble cognitifs
Troubles du développement
Troubles du comportement
Addictions
L'addiction est un trouble dĂ©fini par une dĂ©pendance Ă  une substance ou Ă  une activitĂ©. La personne addict consomme de maniĂšre rĂ©pĂ©tĂ©e un produit ou pratique de maniĂšre excessive une activitĂ©, jusqu'Ă  perdre le contrĂŽle de sa consommation et modifier son Ă©quilibre Ă©motionnel. La consommation est poussĂ©e par la recherche de plaisir, mais la dopamine libĂ©rĂ©e est de moins en moins importante, aussi la personne se retrouve-t-elle dans un Ă©tat Ă©motionnel nĂ©gatif qu'elle ne peut dĂ©passer qu'en consommant de plus en plus. DĂšs lors, il devient difficile de se rĂ©guler ou de s'empĂȘcher de consommer.
Les addictions ont de nombreuses consĂ©quences sur la vie personnelle, selon la substance ou l'activitĂ© en question. Il y a notamment un risque accru d’isolement, de marginalisation, et des consĂ©quences sur le caractĂšre ou l'humeur.
Il existe des traitements de substitution qui aident au sevrage de différentes substances psychoactives, et des médicaments addictolytiques. Mais il est aussi indispensable d'avoir un accompagnement psychosocial et de faire une psychothérapie.
En savoir plus :
Addictions : du plaisir à la dépendance, Inserm
La dĂ©pendance Ă  l’alcool, SantĂ© sur le net
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from-derry · 11 months ago
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Voici enfin la tant attendue annexe de la vie quotidienne. C’est en rĂ©alitĂ© la premiĂšre partie de l’annexe concernant Derry et de ce fait l’une des plus importantes. Elle pose vraiment les bases du lore.
Quelques petites prĂ©cisions importantes avant d’entamer votre lecture :
- c’est un premier jet ! Compte tenu du nombres de questions qui trouvent leur rĂ©ponse dans cette annexe, nous la publions maintenant.
- Elle sera sujette Ă  changements, rĂ©organisation, ajouts jusqu’à l’ouverture du forum.
Vie quotidienne
La vie Ă  Derry est rĂ©solument tournĂ©e vers la survie de la communautĂ©. On organise le quotidien autour de tĂąches utiles, voire essentielles au bon fonctionnement gĂ©nĂ©ral. Il est attendu que tout le monde participe Ă  l’effort collectif.
Technologie :
L’eau courante et l'Ă©lectricitĂ© sont prĂ©sentes Ă  Derry, sans que personne n’en connaisse l’origine. 
Il n’existe aucun moyen de communiquer avec le reste du monde. Internet, le rĂ©seau tĂ©lĂ©phonique, la radio, rien ne semble fonctionner Ă  Derry. Parfois, si on joue avec les stations de radios, il peut vous sembler entendre des voix ou de la musique, mais c’est bien souvent trĂšs fugace. 
A l’intĂ©rieur de Derry, les communications par talkie-walkies fonctionnent, pour peu d’avoir du matĂ©riel fonctionnel. Chaque leader de groupe de la communautĂ© en possĂšde un qui permet de communiquer entre la ville et la maison en cas d’urgence. 
Il arrive que certains objets Ă©lectroniques s’animent seuls sans que personne n’y touche. Les lumiĂšres s’allument aussi parfois seules... ou s’éteignent. Les habitants ont pris l’habitude de l’ignorer. 
À Derry, l’utilisation des appareils Ă©lectriques modernes est assez alĂ©atoire. Parfois cela fonctionne, parfois pas du tout, sans qu’aucune logique ne se dĂ©marque. Il n’est pas toujours possible de recharger ces derniers. 
Nourriture et repas : 
Les habitants de Derry vivent en autonomie complĂšte et ne peuvent consommer que ce qu’ils trouvent ou produisent. Les Ă©pices se font rares, de mĂȘme que les sucreries, le cafĂ© ou tous vivres de la sorte. Les habitants produisent par contre de l’alcool artisanal, pas toujours trĂšs bon, mais efficace. Il est fait souvent Ă  partir de pomme de terre ou de maĂŻs. On y distille aussi de l’excellente eau de vie Ă  partir de la production de fruits. 
Au centre bourg, les repas sont traditionnellement servis au diner et il est de coutume d’aller manger le matin afin de partager avec le reste de la communautĂ©. En journĂ©e, le diner est ouvert Ă  tout le monde pour un cafĂ© ou une collation. Il est possible, pour les habitant·es du centre bourg de venir le soir prendre Ă  manger Ă  emporter pour celles et ceux qui ne cuisinent pas. 
A la maison commune, les repas sont pris en commun et prĂ©parĂ©s Ă  tour de rĂŽle par les rĂ©sident·es selon un calendrier prĂ©-Ă©tabli. Il n’est pas obligĂ© de manger ensemble, mais les repas sont souvent partagĂ©s entre la cuisine, la salle Ă  manger et le salon en fonction des conversations. 
Locomotion :
S’il y a des voitures Ă  Derry, on ne trouve pas d’essence autre que celui provenant des vĂ©hicules Ă©chouĂ©s dans la ville. On s’y dĂ©place principalement Ă  pied ou Ă  vĂ©lo. Les vĂ©hicules fonctionnels sont rĂ©servĂ©s aux urgences. 
Santé et hygiÚne :
L’accĂšs aux mĂ©dicaments est aussi strictement rĂ©gulĂ©. Ces derniers sont une denrĂ©e particuliĂšrement rare. Il arrive parfois Ă  un habitant chanceux de dĂ©couvrir au hasard de ses promenades une trousse de secours. Pour la majoritĂ© des soins, il faut compter sur le savoir collectif qui se transmet au fil des gĂ©nĂ©rations et de la formation des nouveaux soignants. Les produits d’hygiĂšne et de soin sont principalement produits par les herboristes. 
Saison et rythme de vie :
La vie de Derry est principalement dictĂ©e par les saisons et l’heure Ă  laquelle le soleil tombe. Ainsi, la pĂ©riode hivernale est plus morne que l’étĂ©. Les sociabilitĂ©s se font et se dĂ©font au fur et Ă  mesure des saisons. 
Le temps d’activitĂ© ne s’organise pas en horaire de bureau, mais en fonction des besoins ou de la demande. Certains rĂŽles sont plus demandeurs que d’autres. A quelques exceptions comme le travail d'Ă©levage, il est rare qu’on occupe toute la journĂ©e son poste, c’est plus souvent en demi journĂ©e qu’on s'organise. 
Moeurs générales :
Derry vit coupĂ©e du monde et de son Ă©volution gĂ©nĂ©rale. L’arrivĂ©e de nouveaux habitants dans la ville donne toujours la mesure du temps qui est passĂ©, plus que n’importe quelle technologie devenue obsolĂšte. On peut Ă©valuer le temps vĂ©cu Ă  Derry Ă  la mentalitĂ© de chacun·e. 
Talisman :
Il est de coutume d’accrocher prĂšs de l’entrĂ©e principale un talisman. Celui-ci est gravĂ© dans le bois, la pierre ou dans un bout de poterie. On y reproduit des symboles dont personne ne connaĂźt le sens exact. La croyance est qu’il empĂȘchent les crĂ©atures de passer par l’entrĂ©e protĂ©gĂ©e. On ignore s’ils ont un vĂ©ritable effet. Personne Ă  Derry ne sait qui a trouvĂ© ou inventĂ© les talismans, mais ils sont en place depuis toujours, semble-t-il. Personne ne s’est risquĂ© Ă  sortir avec un talisman autour du cou la nuit pour s’assurer qu’ils Ă©taient rĂ©ellement efficaces. Difficiles Ă  reproduire, ils s'abĂźment rapidement, se brisent assez souvent lorsqu’on fait cuire la poterie et trouver des pierres suffisamment grosses et non friables pour les graver est souvent compliquĂ©. Ils sont donc rares et considĂ©rĂ©s comme prĂ©cieux. 
Sanctions :
Il n’existe pas de lois Ă  proprement parler Ă  Derry, outre la convention du partage des biens. Les shĂ©rifs des annĂ©es passĂ©es ont nĂ©anmoins instaurĂ© deux sanctions. 
Construite devant l’ancienne poste, il y a une boite oĂč l’on enferme les habitants durant une nuit pour les punir d’un petit dĂ©lit. Ceux-ci sont laissĂ©s Ă  l’apprĂ©ciation du shĂ©rif en place. De mĂ©moire actuelle, la boite n’a pas Ă©tĂ© utilisĂ©e. Les crimes (comme le meurtre) sont punis par le bannissement - cela Ă©quivaut Ă  une peine de mort puisque sans talisman, personne ne survit longtemps dans les bois entourant Derry.  
Cachettes :
Dans les rares cas oĂč l’on se retrouve dehors Ă  la nuit tombĂ©e, il existe quelques cachettes connues des habitants. D’un confort rudimentaire, elles ne sont Ă  investir qu’en cas d’extrĂȘme urgence et ne garantissent pas une aussi bonne protection que les habitations.  
Confort de vie :
De nombreux objets du quotidien en dehors de Derry manquent ou se font rares. Le plus souvent, c’est le systĂšme dĂ©brouille qui prime. On recycle beaucoup, on reprise Ă©normĂ©ment et on tire les machines jusqu'Ă  ce qu'elles rendent l'Ăąme.
Armement :
Les armes Ă  feu sont interdites Ă  Derry, du moins en principe. Il y en a quelques unes Ă  dispositions chez le ShĂ©rif et sous contrĂŽle d’Isidro Ă  la maison commune, mais il est admis que sauf raisons particuliĂšres il n’est pas autorisĂ© d’en possĂ©der. Bien sĂ»r, il est toujours possible de contourner la rĂšgle et d’en dissimuler mais si on dĂ©couvre la vĂ©ritĂ©, gare aux consĂ©quences. 
Relations centre-bourg / maison commune :
Les relations entre la maison commune et le Centre-bourg sont dans l’ensemble plutĂŽt bonnes. L’ouverture de la maison commune a laissĂ© nĂ©anmoins des traces dans la mĂ©moire de Derry que l’on peut retrouver aujourd’hui. Les habitant·es de la maison commune ont tendance Ă  rester ensemble, si bien que lorsqu’ils descendent en ville dans les lieux communs, on peut ressentir une sorte de rĂ©serve mĂątinĂ©e de mĂ©fiance. Les habitant·es du Centre-bourg ont toujours l’impression artificielle qu’on vient piquer dans leur garde-manger. C’est notamment grĂące au chassĂ©-croisĂ© des activitĂ©s dans les diffĂ©rentes communautĂ©s que l’ambiance reste agrĂ©able malgrĂ© tout.
Éducation :  
La ville compte trĂšs peu d'enfants, l'Ă©cole ne possĂšde donc qu'une classe unique. On y apprend Ă  lire, Ă©crire, compter ainsi que les connaissances pratiques pour survivre au quotidien Ă  Derry, comme faire son savon, planter des graines, raccommoder ses vĂȘtements, etc. 
Animaux :
On trouve quelques animaux à Derry et plusieurs cas de figure. Certains sont arrivés avec leur propriétaire dans la ville. Certains apparaissent de façon inconnue. Il est possible de les attraper et de tenter de les domestiquer. Le bétail est assez limité : quelques vaches, quelques chÚvres, quelques cochons, quelques poules. 
 Concernant le gibier, on trouve principalement de petits animaux sauvages : lapins, oiseaux, liĂšvre, faisan, etc. Le grand gibier existe mais se fait plus rare. Il faut souvent s’enfoncer loin dans les bois pour le dĂ©busquer et cela n’est pas sans risque. 
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transparentgentlemenmarker · 1 year ago
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Produites dans l'usine chinoise de Shanghai, les Tesla Model 3 dédiées à l'Europe voyagent donc en bateau, et le coût est trÚs élevé ! La voiture est un bien de consommation comme un autre. Il faut donc la produire, puis la livrer au client. Bref prochaine connerie à suivre
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alfaromeofrance · 3 days ago
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Alfa Romeo 6 : La berline oubliée, mais pas sans mérite
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Parmi les voitures les plus mĂ©connues d’Alfa Romeo, l’Alfa 6 occupe une place Ă  part. LancĂ©e en 1979 aprĂšs une gestation difficile, cette grande berline ambitieuse n’a jamais rĂ©ellement trouvĂ© son public. Pourtant, derriĂšre son Ă©chec commercial se cache une voiture intrigante, aujourd’hui apprĂ©ciĂ©e comme un classique discret.
Une genÚse mouvementée
Conçue dĂšs la fin des annĂ©es 1960, l’Alfa 6 Ă©tait censĂ©e incarner le haut de gamme de la marque pour concurrencer des modĂšles comme la BMW SĂ©rie 5 ou la Mercedes Classe E. Initialement prĂ©vue pour un lancement en 1973, son dĂ©veloppement a Ă©tĂ© retardĂ© au profit de l’Alfetta, une berline plus compacte et commercialement plus urgente. RĂ©sultat : l’Alfa 6 n’a vu le jour qu’en 1979, en plein cƓur de la deuxiĂšme crise pĂ©troliĂšre, un contexte Ă©conomique peu favorable aux grandes berlines gourmandes en carburant.
Un design discret et pragmatique
L’esthĂ©tique de l’Alfa 6 reflĂšte les prĂ©occupations de l’époque en Italie, marquĂ©e par des troubles politiques et des enlĂšvements ciblant les Ă©lites. Alfa Romeo a optĂ© pour un design volontairement sobre, presque austĂšre, afin de ne pas attirer l’attention. Si cette approche se voulait rassurante, elle a Ă©galement contribuĂ© Ă  rendre la voiture peu dĂ©sirable sur un marchĂ© oĂč le prestige visuel Ă©tait un argument de vente clĂ©.
Sous le capot : un V6 inoubliable
Le principal atout de l’Alfa 6 rĂ©side dans son moteur V6 de 2,5 litres en aluminium, dĂ©veloppant 156 ch. Ce bloc, rĂ©putĂ© pour sa sonoritĂ© mĂ©lodieuse et sa souplesse, offrait des performances honorables pour l’époque, avec un 0 Ă  100 km/h abattu en 9 secondes et une vitesse de pointe de 185 km/h. Si les premiĂšres versions Ă©taient Ă©quipĂ©es d’un systĂšme de carburateurs complexe et difficile Ă  rĂ©gler, une mise Ă  jour en 1982 a introduit l’injection Ă©lectronique, amĂ©liorant Ă  la fois la fiabilitĂ© et la consommation.
Un chùssis solide, mais une conception dépassée
Partageant sa plateforme avec l’Alfetta, l’Alfa 6 bĂ©nĂ©ficiait d’une architecture de suspension sophistiquĂ©e pour l’époque : double triangulation Ă  l’avant et essieu De Dion Ă  l’arriĂšre. Elle se distinguait par une direction prĂ©cise et une tenue de route agile, rivalisant avec des concurrentes allemandes. Cependant, l’absence de la transmission transaxle de l’Alfetta limitait son Ă©quilibre et son raffinement global.
À l’intĂ©rieur, l’Alfa 6 offrait une ambiance Ă©lĂ©gante mais Ă©troite, hĂ©ritage de sa base technique. Les matĂ©riaux utilisĂ©s Ă©taient de bonne facture, en particulier pour une berline italienne des annĂ©es 1980, souvent critiquĂ©es pour leur finition mĂ©diocre.
Une carriÚre commerciale désastreuse
MalgrĂ© ses qualitĂ©s dynamiques et son moteur remarquable, l’Alfa 6 n’a jamais rencontrĂ© le succĂšs. Les ventes ont Ă©tĂ© plombĂ©es par son positionnement maladroit, son style dĂ©modĂ© et son retard de lancement. Sur les 12 070 exemplaires produits entre 1979 et 1986, seulement 134 ont Ă©tĂ© vendus au Royaume-Uni, un marchĂ© pourtant prometteur pour ce type de vĂ©hicule.
Un classique à redécouvrir
Aujourd’hui, l’Alfa 6 est davantage considĂ©rĂ©e comme une curiositĂ© de collection qu’une berline de prestige oubliĂ©e. Son moteur V6, toujours aussi raffinĂ©, et son chĂąssis bien conçu en font une voiture agrĂ©able Ă  conduire, tandis que son faible nombre d’exemplaires produits lui confĂšre une certaine raretĂ©. Avec son allure discrĂšte, elle sĂ©duit les amateurs d’Alfa Romeo Ă  la recherche d’un modĂšle atypique et accessible.
Fiche technique de l'Alfa 6 (1980-1986)
Moteur : V6 2,5 litres, injection
Puissance max : 158 ch Ă  5600 tr/min
Couple max : 212 Nm Ă  4000 tr/min
Transmission : Propulsion, boĂźte automatique ZF 3 rapports
Performances : 0-100 km/h en 9 secondes, Vmax 185 km/h
Poids : 1470 kg
Production totale : 12 070 exemplaires
L’Alfa 6 reste une piĂšce singuliĂšre dans l’histoire de la marque, une voiture qui incarne Ă  la fois l’ambition et les dĂ©fis auxquels Alfa Romeo a dĂ» faire face Ă  une Ă©poque troublĂ©e.
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ekman · 1 year ago
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“Mais vous, ces histoires de paysans... que pensez-vous que cela puisse donner, hein ?” m’interroge le dirigeant d’une boĂźte de carrure mondiale, dans l’échange “off” que nous nous accordons. Je souris. Ça oui alors, qu’est-ce que ça va bien pouvoir donner, ce dernier carrĂ© de mohicans qui bloque des routes pour rappeler Ă  tout un pays qu’ils est entrain de crever, pour de bon ? “MĂ©fiez-vous”, lui dis-je. “Pas sĂ»r que les Français se laissent berner cette fois. Quoi qu’on en dise, ils sont attachĂ©s Ă  leur vieille terre.” Je dis cela sans grande conviction ; je n’y crois plus trop. MĂȘme si je sais que les Français, produits d’une nation de cultivateurs, d’éleveurs, de maraĂźchers et de pĂȘcheurs sont profondĂ©ment attachĂ©s Ă  leurs paysages, Ă  leurs cheptels et Ă  leurs vignes, aux plaines ponctuĂ©es de bois propices au gibier, aux vallons striĂ©s de murets multisĂ©culaires, aux champs tenus en terre par un bocage gĂ©nĂ©reux, aux cĂŽtes de granit dentellisĂ©es par les vents et le sel... malgrĂ© tout cela, que puis-je espĂ©rer de ce peuple abĂątardi par les mĂ©langes incertains, dĂ©cĂ©rĂ©brĂ© par la consommation, enlaidi par le bĂ©ton, les parkings, les zones commerciales ? Ce pays mourant tenu Ă  l’écart de son destin par un État corrompu, vendu Ă  une oligarchie obscĂšne, comploteuse et dissimulĂ©e, ce peuple toujours plus anesthĂ©siĂ© par les arguties d’agitĂ©s tĂ©lĂ©visĂ©s et les fessiers nĂ©groĂŻdes de putes photogĂ©niques ? MinĂ© par les crĂ©dits Cetelem sur vingt ans, soufflĂ© comme un popcorn Euro Disney, baisĂ© par une pile Ă  roues badgĂ©e Renault ? Que puis-je raisonnablement espĂ©rer ? Une prĂ©fecture qui crame accidentellement ? Un CRS rendu cul-de-jatte par un tracteur ? Toujours plus d’OQTF pourfendeurs mortels de barrages familiaux ? HonnĂȘtement, je ne sais pas ce que je puis attendre, cher Monsieur, puisque j’ignore ce qui surgira ou s’endormira dans l’esprit de mes compatriotes. Je crains l’apathie totale, l’anesthĂ©sie gĂ©nĂ©rale, la mort sans nom. Mais je suis prĂȘt et j’espĂšre encore, toujours.
J.-M. M.
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christian-dubuis-santini · 7 months ago
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Plus-value marxienne, surmoi freudien, objet a lacanien: trois concepts pour comprendre la faillite de la raison discursive, dont le discours analytique révÚle le mécanisme logique: plus tu fais de profit plus tu veux en faire, plus tu obéis au surmoi plus tu es coupable, plus tu bois de Coca plus tu as soif...
Le "plus de jouir" lacanien — concept indispensable Ă  la saisie des impasses et paradoxes du parlĂȘtre que nous sommes — est directement tirĂ© de la plus-value marxienne.
Pour "illustrer" l'impossibilitĂ© du "riche" Ă  payer, un retour Ă  l'original n'est peut-ĂȘtre pas superflu, et voici donc la logique (hegelienne!) que Marx dĂ©ploie pour dĂ©crire le processus de la "consommation":
"En convertissant une partie de son capital en force de travail, le capitaliste valorise son capital global. Il fait d’une pierre deux coups. Il ne profite pas seulement de ce qu’il reçoit de l’ouvrier, mais aussi de ce qu’il lui donne.
Le capital aliĂ©nĂ© dans l’échange contre de la force de travail est transformĂ© en moyens de subsistance dont la consommation sert Ă  reproduire les muscles, les nerfs, les os, le cerveau des ouvriers qu’il a dĂ©jĂ  et Ă  engendrer de nouveaux ouvriers.
À l’intĂ©rieur mĂȘme des limites de ce qui est absolument nĂ©cessaire, la consommation individuelle de la classe ouvriĂšre est donc la retransformation des moyens de subsistance que le capital a aliĂ©nĂ©s contre de la force de travail, en une force de travail que le capital peut rĂ©exploiter.
Elle est production et reproduction du moyen de production le plus indispensable au capitaliste, l’ouvrier lui-mĂȘme."
(Le Capital, 1867, Livre I, QuatriĂšme Ă©dition allemande, Puf, 1993, p. 642.)
Ce qui n'est pas sans éclairer d'une lumiÚre singuliÚre la fameuse déclaration de Patrick Le Lay (alors PDG de TF1) de la logique sous-jacente des médias:
"Il y a beaucoup de façons de parler de la tĂ©lĂ©vision. Mais dans une perspective ”business”, soyons rĂ©aliste : Ă  la base, le mĂ©tier de TF1, c’est d’aider Coca-Cola, par exemple, Ă  vendre son produit (...).
Or pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du tĂ©lĂ©spectateur soit disponible. Nos Ă©missions ont pour vocation de le rendre disponible : c’est-Ă -dire de le divertir, de le dĂ©tendre pour le prĂ©parer entre deux messages. Ce que nous vendons Ă  Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible (...).
Rien n’est plus difficile que d’obtenir cette disponibilitĂ©. C’est lĂ  que se trouve le changement permanent. Il faut chercher en permanence les programmes qui marchent, suivre les modes, surfer sur les tendances, dans un contexte oĂč l’information s’accĂ©lĂšre, se multiplie et se banalise."
Plus-value marxienne, surmoi freudien, objet a lacanien: voilĂ  donc les trois notions paradoxales qui permettent d’aborder le rĂ©el dans son rapport au symbolique, et qui permettent de comprendre pourquoi l’idĂ©al de l’échange Ă©quilibrĂ© reste vouĂ© Ă  l’imaginaire, les prĂ©tentions rationnelles Ă©tant toujours ravagĂ©es par une logique de l'excĂšs qui les ruine - plus tu bois de Coca plus tu as soif, plus tu obĂ©is au surmoi plus tu es coupable (plus il t’en coĂ»tera), plus tu fais de profit plus tu veux en faire...
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microsoftlicensesworld · 9 months ago
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Les Avantages du VĂ©ganisme pour la SantĂ© : Comment une Alimentation Sans Produits Animaux Peut AmĂ©liorer Votre Bien-ĂȘtre
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Le vĂ©ganisme est bien plus qu'un simple rĂ©gime alimentaire; c'est un mode de vie qui exclut l'utilisation de tout produit d'origine animale, y compris la viande, les produits laitiers, les Ɠufs et mĂȘme le miel. Les avantages du vĂ©ganisme pour la santĂ© sont nombreux et bien documentĂ©s, et adopter ce mode de vie peut avoir un impact significatif sur votre bien-ĂȘtre gĂ©nĂ©ral.
Une alimentation végétalienne est naturellement riche en fibres, en antioxydants et en nutriments essentiels tels que les vitamines C et E, ainsi que le magnésium et le potassium. Ces éléments nutritifs sont connus pour leur capacité à renforcer le systÚme immunitaire, à favoriser une peau saine et à réduire le risque de maladies cardiovasculaires et de certains types de cancer.
En évitant les produits d'origine animale, vous réduisez également votre consommation de graisses saturées et de cholestérol, ce qui peut aider à prévenir les maladies cardiaques et à abaisser votre taux de cholestérol sanguin. De plus, les régimes végétaliens ont été associés à une meilleure gestion du poids et à un risque réduit d'obésité, ce qui peut avoir des avantages considérables pour la santé à long terme.
Les avantages du vĂ©ganisme pour la santĂ© ne se limitent pas seulement aux aspects physiques, mais s'Ă©tendent Ă©galement Ă  la santĂ© mentale. De nombreuses personnes qui adoptent un mode de vie vĂ©gĂ©talien rapportent une amĂ©lioration de leur bien-ĂȘtre Ă©motionnel, une plus grande clartĂ© mentale et une augmentation de l'Ă©nergie. En outre, la compassion envers les animaux et l'environnement qui sous-tend le vĂ©ganisme peut contribuer Ă  un sentiment de satisfaction personnelle et Ă  un Ă©tat d'esprit positif.
L'une des préoccupations courantes concernant le véganisme est la possibilité de carences nutritionnelles, en particulier en ce qui concerne les protéines, le calcium et la vitamine B12. Cependant, avec une planification appropriée et une alimentation variée, il est tout à fait possible d'obtenir tous les nutriments nécessaires à partir d'une alimentation végétalienne équilibrée. De plus, de nos jours, il existe de nombreuses alternatives végétales aux produits d'origine animale, ce qui rend plus facile que jamais de suivre un régime végétalien tout en maintenant une alimentation nutritive et délicieuse.
En conclusion, les avantages du vĂ©ganisme pour la santĂ© sont multiples et variĂ©s. Adopter une alimentation sans produits animaux peut non seulement amĂ©liorer votre santĂ© physique en rĂ©duisant le risque de maladies chroniques, mais aussi favoriser un bien-ĂȘtre Ă©motionnel et mental optimal. En embrassant le vĂ©ganisme, vous contribuez Ă©galement Ă  la protection des animaux et de l'environnement, ce qui ajoute une dimension supplĂ©mentaire de gratification personnelle Ă  ce mode de vie Ă©thique et durable.
https://www.quora.com/profile/Tonu-55/D%C3%A9forestation-et-industrie-de-la-viande-Les-liens-souvent-ignor%C3%A9s-La-d%C3%A9forestation-et-lindustrie-de-la-viande-http
https://tannda.net/read-blog/60098_demystifier-le-mythe-des-proteines-explorer-les-differentes-sources-et-beins-nut.html
https://www.adlocalpages.com/pro/20240502184910
https://network-66643.mn.co/posts/56000332
https://www.osogbo.com/pro/20240502125339
https://www.addonface.com/read-blog/57284_les-bienfaits-pour-la-sante-et-la-durabilite-du-regime-vegetalien-un-avenir-meil.html
https://geoamor.com/read-blog/16182_analyse-des-couts-environnementaux-de-l-039-industrie-de-la-viande-impact-sur-la.html
https://mighty-men.mn.co/posts/56000479
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lepartidelamort · 3 months ago
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La Pologne russophobe bat un nouveau record de dénatalité.
Les Polonaises sont désormais les femmes les moins utiles d'Europe avec les Espagnoles.
Via @BirthGauge : le taux de natalitĂ© (TFR) pour la Pologne en 2024 pourrait ĂȘtre le plus bas de toute l’Europe (ex aequo avec l’Espagne) Ă  1,12.
C’est le pire rĂ©sultat de notre histoire moderne.
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Aux cÎtés des généraux, les femmes polonaises sont bien décidées à détruire leur pays et le régime démocratique polonais les soutient dans leur entreprise.
ThĂ©oriquement, l’avortement est trĂšs restreint en Pologne, mais en pratique, comme en France dans les annĂ©es 1960, les avortements sauvages sont lĂ©gions. Les estimations varient entre 80,000 et 200,000 infanticides par an, en toute impunitĂ©.
The Guardian :
On sait qu’au moins 34 000 femmes en Pologne ont eu recours Ă  des avortements illĂ©gaux ou à l’étranger depuis que le pays a introduit une interdiction quasi totale des interruptions de grossesse il y a un an. L’AWB a dĂ©clarĂ© que ses chiffres n’étaient probablement qu’un aperçu du nombre rĂ©el de Polonaises ayant eu recours Ă  des avortements illĂ©gaux ou pratiquĂ©s Ă  l’étranger au cours de l’annĂ©e Ă©coulĂ©e. Les ONG ont estimĂ© que 80 Ă  200 000 femmes par an ont eu recours Ă  des avortements illĂ©gaux en vertu des anciennes lois polonaises sur l’avortement, qui restreignaient encore fortement les conditions dans lesquelles les femmes pouvaient demander une interruption de grossesse.
Ces femmes blanches sont prĂȘtes Ă  tout pour tuer leurs enfants.
Elles vont mĂȘme jusqu’à organiser des voyages Ă  l’étranger si besoin.
Face Ă  cette rĂ©alitĂ©, aucune mesure n’est prise par le rĂ©gime bourgeois polonais pour discipliner ces traĂźnĂ©es, si ce n’est d’importer toujours plus de migrants du tiers-monde pour satisfaire la finance juive et le patronat catholique.
Des scĂšnes ordinaires de la vie parisienne se multiplient dans les villes polonaises.
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Ce systĂšme capitaliste n’est pas viable. C’est lui qui a produit le fĂ©minisme d’état pour salarier les femmes et en faire un dĂ©bouchĂ© de consommation au lieu d’en faire des mĂšres. C’est aussi lui qui importe le tiers-monde pour son sacro-saint PIB.
Il n’y aura pas de miracle dĂ©mographique sans rĂ©volution patriarcale.
Ces créatures actuelles ne retourneront pas au foyer sans révolution patriarcale.
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DĂ©mocratie Participative
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camisoledadparis · 3 months ago
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saga: Soumission & Domination 298
Gwen -2, recrutement Escorts hétéros
Gwen fait du bon taf avec mes clientes. C'est mĂȘme au point que mes autres Escorts font " fade " quand ils passent aprĂšs lui. Il faut dire que mes jeunes sont plutĂŽt des homos Ă  tendance bi que des hĂ©tĂ©ros avec la mĂȘme tendance ! Si je veux garder ma clientĂšle fĂ©minine et ĂȘtre en mesure d'Ă©tendre ce secteur, il va falloir que je recrute. J'en parle Ă  PH qui est d'accord avec moi. J'en discute aussi avec Gwen et StĂ©phane. Je leur demande si, parmi leurs collĂšgues il n'y aurait pas des mecs intĂ©ressĂ©s pour gagner 4 SMIC par mois Ă  raison d'une soirĂ©e par semaine. Si StĂ©phane rĂ©flĂ©chit, Gwen nous dit en connaitre une bonne demi douzaine que le salaire miteux d'interne condamne au minimum vital. Il pousse du coude StĂ©phane et lui dit que ce serait peut ĂȘtre le moment de se lancer lui aussi. Notre StĂ©phane passe pivoine ! Et comme il s'empĂȘtre dans des arguments fallacieux, je tranche le dĂ©bat et disant Ă  Gwen que son pote apprĂ©ciait plutĂŽt le petit cul de notre Maxou et de pas le faire chier avec ça. Il revient tout de suite Ă  la liste des collĂšgues qui serait probablement prĂȘt Ă  taffer pour moi. Avant qu'il ne les approche, je prends la liste de noms et l'envoie pour enquĂȘte rapide Ă  mon contact ex RG.
Ce n'est qu'aprĂšs avoir lu leurs dossiers que j'autorise Gwen Ă  contacter certains. J'en Ă©carte deux qui ont une consommation rĂ©guliĂšre, bien que faible, de shit. Les seuls produits que j'autorise sont : le gel, les poppers (pas tous), et la crĂ©atine pour la partie dĂ©veloppement physique. Les quelques fumeurs ont Ă©tĂ© priĂ©s d'arrĂȘter. Il n'y a que dans les films que l'haleine de chacal que ça donne est romantique.
Je reçois les trois premiers de ma liste. Ils sont tous plus ĂągĂ©s que ma bande d'Escorts " homo " et tapent plutĂŽt les 25-27ans que les 19-22. Physiquement ils ne sont pas trop mal foutus, sans ĂȘtre aussi sportifs que les autres. Manque de temps ! Deux blonds peu poilus et un brun au torse bien couvert (enfin une ligne remontante du pubis et rejoignant des pecs un peu couverts, avec bien sur le corolaire, bras et jambes velues. Si les deux blonds ne font pas de difficultĂ©s Ă  passer Ă  l'Ă©pilation (c'est vrai que ça ne les changent pas beaucoup), je dois user d'arguments avec le brun. Il a l'impression de perdre sa virilitĂ© si on lui retire le surplus de poils disgracieux. Les couilles rasĂ©es, il comprend que c'est plus agrĂ©able de ne pas se prendre des poils entre les dents. Je profite de cette remarque pour lui demander s'il prĂ©fĂšre les meufs avec un tablier de sapeur et le cul plein de poils ou celles qui s'entretiennent et rasent leurs chattes. Il convient que c'est effectivement plus agrĂ©able de baiser une meuf bien entretenue. Il ajoute aussitĂŽt que pour les hommes c'est pas pareil. Je fini par lui poser le marchĂ© : soit il accepte de se faire Ă©piler et il va gagner dans les 4 000 nets/ mois soit il garde ses poils et ses capacitĂ© financiĂšres rĂ©duites.
Je crois que c'Ă©tait lĂ  le seul argument capable de lui faire accepter la chose !
Vu le travail Ă  effectuer, je l'envoi chez une esthĂ©ticienne avec pour instruction de ne revenir qu'avec un tapis ras entre le dessus de sa bite et son nombril. Tout le reste doit disparaitre et j'insiste bien lĂ -dessus. Je tĂ©lĂ©phone mĂȘme devant lui au cabinet pour donner les instructions. Je le revois deux jours plus tard. C'est parfait. En plus je m'aperçois que ses pecs sont bien Ă©pais, tout comme ses bras et ses jambes oĂč les muscles deviennent visibles. Quand je le fais tourner devant le psychĂ©, il doit bien en convenir. Sa bite, dĂ©jĂ  consĂ©quente : 20 x 6, circoncise, parait un tiers plus longue qu'enfouie dans les poils hirsutes.
Pour le test sexuel, j'ai l'idĂ©e de rĂ©utiliser la mĂšre de Jean. Ça la changera des dĂ©pucelages de lycĂ©ens ! Pour l'aspect pratique, je loue une chambre dans un hĂŽtel Ă  carte et y convoque mes nouveaux Escorts. Ils ont renĂąclĂ© quand je leur ai dit que je serais prĂ©sent lors de la rencontre. Le brun me certifiant qu'il aurait mĂȘme du mal Ă  baiser devant moi. Sachant qu'il avait participĂ© Ă  des partouzes, je lui faisais part que je connaissais ce dĂ©tail et que j'Ă©tais sĂ»r qu'il saurait honorer la dame.
Le jour prĂ©vu, Ammed me conduit pour rejoindre mon initiatrice et nous installe Ă  l'hĂŽtel. Je tĂ©lĂ©phone Ă  mes Escorts le n° de la chambre et le premier blond  (Blond 1) arrive. Il ne fait pas de maniĂšre. Il se dĂ©shabille et rejoint la meuf dĂ©jĂ  nue sur le lit. Il commence par bien l'exciter. LĂ©chage de seins et mordillements des tĂ©tons alors que je vois ses doigts s'enfoncer dans la chatte. Je note qu'il bande dĂ©jĂ . Il ne met pas longtemps Ă  trouver comment la faire jouir et il joue entre le clito et ses 4 doigts enfoncĂ©s dans le vagin pour faire durer ce premier orgasme. TrĂšs " clinique ", je commente sa technique et lui demande mĂȘme comment il rĂ©alise ce tour de force. Avec Emma on y arrive mais on s'y met Ă  trois avec PH et Ernesto !
Il m'explique qu'il joue sur la capacitĂ© qu'a le vagin de se dilater fortement. LĂ  il n'avait enfoncĂ© que 4 doigts mais me dit que sur ce type d'organe, trĂšs " ouvert " il pourrait facilement enfoncer sa main entiĂšre. Et de le faire aussitĂŽt devant moi, dĂ©clenchant une derniĂšre secousse violente qui tĂ©tanise le corps de ma testeuse. Il se retire et me dit que le seul inconvĂ©nient c'est que, dilatĂ© comme cela, le vagin met un peu de temps Ă  retrouver ses " marques " et du coup il va " flotter " quand il va la baiser. Je lui dis de passer par l'arriĂšre. Il me dit qu'en levrette ce sera pareil avant de rĂ©aliser que je lui disais de l'enculer. Il passe aussitĂŽt Ă  l'exĂ©cution. A 4 pattes les seins Ă©crasĂ©s sur les draps, elle cambre les reins et mon Escort l'encule aprĂšs s'ĂȘtre enkpotĂ© la bite. Il y va hard mais m'explique qu'il s'Ă©tait rendu compte Ă  la vue de son anus qu'elle avait l'habitude de cette pratique. D'ailleurs il avait rĂ©ussi Ă  lui mettre ses 19cm sans problĂšmes. Je demande Ă  la mĂšre de Jean qui me dit que c'Ă©tait bon de se faire mettre par un vrai mĂąle. Je le laisse faire. Il a le coup de rein impĂ©rieux et long. Il aime profiter de sa longueur de bite pour faire sentir tous les centimĂštres. Il ressort rĂ©guliĂšrement complĂštement du cul sodomisĂ© avant d'y retourner jusqu'aux couilles.
Il la baise plus hard. Les mains accrochées aux hanches larges de la mÚre de Jean, il lui défonce la rondelle. A chaque fin de pénétration, les chairs se collent et les hanches de Blond 1 claquent sur les grosses fesses de la meuf. Puis, conscient qu'il est là pour donner du plaisir à madame, il se penche, la redresse sur ses avants bras et passe ses bras dessous pour lui pincer les tétons. Effet immédiat garanti. Elle hùlette et ne tarde pas à jouir de nouveau. Blond 1, coincé dans son cul explose à son tour et avec trois furieux coups de rein, rempli sa kpote.
Au débriefing, la mÚre de Jean nous dira avoir apprécié sa façon de lui pilonner le fond de son vagin et aussi la façon qu'il a eu de la faire jouir la premiÚre fois rien qu'avec ses doigts.
Le temps que mon " banc de test " se refasse une beauté, je fais venir Brun 1 (mon futur Escort brun bien épilé).
Quand il arrive elle est de nouveau, nue et allongĂ©e sur le lit. Il a moins de gueule que la derniĂšre fois oĂč nous nous sommes rencontrĂ©s. Il se prĂ©sente, et de dĂ©shabille un peu gauchement (je note ça dans un coin de mon cerveau). Il Ă©vite de me regarder mais je sens bien que mon regard le trouble.
Il attaque le morceau. Sa technique est rodĂ©e. Il joue bien avec les seins, ses doigts pincent bien les tĂ©tons, fort mĂȘme ! Mais la mĂšre de Jean en a vu d'autre et ça les lui fait bander. Quand il pratique  pareil sur le clito, elle en dĂ©colle ses fesses du lit. Il en profite alors pour enfoncer trois doigts dans sa chatte.
Puis il se positionne en 69 et je le vois bouffer la chatte. Elle en profite pour engouffrer sa bite qui ne bande que mollement. Je vois que, mĂȘme avec sa science du sexe pourtant bien Ă©prouvĂ©e, elle peine Ă  lui donner sa raideur maximale. Elle y arrive dĂšs qu'elle lui rentre deux doigts dans son cul. Je le vois se kpoter alors trĂšs vite et s'enfoncer dans son vagin. Je le trouve un peu trop rapide dans son limage de chatte, comme l'impression d'en finir vite. J'interviens et lui rappelle qu'il est en service commandĂ©, qu'il doit en donner pour l'argent de la cliente. Ça le fait dĂ©bander direct ! Sensible mon beau brun ! La mĂšre de Jean ne s'embarrasse pas de dĂ©tail et lui remet aussitĂŽt deux doigts dans l'oignon ce qui refait le mĂȘme effet, en l'occurrence il rebande direct.
Louche tout ça !!
Il ne se tient bien raide que tant qu'il se fait chatouiller le trou par les doigts de la meuf. Par contre, Ă  l'enculage pas de soucis. Sa bite de 20x6 reste bien dure et finalement donne satisfaction.
Au débriefe, ma testeuse lui envoi carrément que pour un Pd, il s'était pas si mal débrouillé que ça. Il devient tout rouge alors qu'elle continue en me disant que ses doigts étaient rentrés dans son cul comme dans du beurre et qu'il n'avait bandé à mort que lorsqu'il l'avait enculée.
Je me tourne alors vers lui et lui demande depuis combien de temps il se connaissait ce penchant et pourquoi il ne m'en avait pas parlé.
AprÚs une vaine tentative de dénégation, il accepte de me parler alors que la mÚre de Jean est dans la salle de douche. Il me dit que depuis sa puberté il se sait attiré par les mecs mais que dans son milieu, c'est inacceptable. Il s'est donc forcé à baiser des meufs pour pas attirer l'attention et que ce n'est que dans l'intimité de son studio qu'il ose se faire réellement plaisir à l'aide de godes conséquents. Quand je lui dis qu'il m'avait été conseillé comme étant un bon baiseur de meufs lors des partouzes, il sourit et me répond que c'est de voir les bites et les culs des autres mecs participants qui maintient sa bandaison.
Je lui propose alors d'intĂ©grer mon programme mais avec des clients plutĂŽt que des clientes. Je le vois hĂ©siter. Je le rassure et lui dis que cela peut se faire de façon Ă  ce que personne ne soit au courant. Il n'a pas l'air convaincu. Je l'assure que s'il le veut je peux mĂȘme dire Ă  Gwen et StĂ©phane qu'il est recrutĂ© pour mes clientes. Car comme c'est eux qui m'ont dirigĂ© vers lui, ils risquent de demander. J'ajoute que je ne l'obligerai pas Ă  assister aux divers entrainements physiques de mon Ă©quipe d'Escorts homo. Cette derniĂšre prĂ©cision emporte le morceau. Je lui demande de passer dans la soirĂ©e au Blockhaus pour en discuter.
Le passage du troisiÚme nouvel Escort (Blond2) est sans surprise. Il réussit le test sans émotions particuliÚres.
Le soir mĂȘme, Brun 1 passe me voir. Je le reçois au 4Ăšme, j'ai la flemme de me faire descendre au premier ! PH est Ă  son cours de danse et j'ai demandĂ© Ă  mes deux beurs de nous laisser seuls.
Devant une biĂšre, je le fais parler. Je ne sais si c'est la dĂ©co franchement " homo " de notre sĂ©jour ou la possibilitĂ© d'ĂȘtre Ă©coutĂ© sans risque, mais une fois lancĂ©, il me dĂ©balle tout. Enfin,  tout est un bien grand mot pour me raconter ses frustrations devant les corps de copains de sport, ses dĂ©chainements sur les meufs lors des quelques touzes auxquelles il avait participĂ© et les intromissions rĂ©pĂ©tĂ©es et jouissives de godes dans son anus. Sans en avoir l'air, je lui demande la taille des engins, pour info. Je suis quand mĂȘme Ă©tonnĂ© quand il me sort qu'ayant commencĂ© avec un gode de 16x3, il Ă©tait passĂ© quelques semaines plus tard Ă  la copie du sexe d'un acteur porno connu pour ses attributs plus que gĂ©nĂ©reux (25x 5,5 Ă  7). AprĂšs un sifflement Ă©logieux, je lui demandais quand mĂȘme s'il s'enfonçait ce dernier entiĂšrement dans le cul. RĂ©ponse : aprĂšs quelques essais et beaucoup de vaseline, il avait rĂ©ussi Ă  coller les couilles en plastiques contre les bords de sa rondelle. Je lui dis alors qu'il me rassure. Comme j'ai principalement des clients homo mais actifs, j'aurais Ă©tĂ© un peu en peine de l'utiliser s'il n'avait Ă©tĂ© qu'actif.
C'est de lui-mĂȘme que vient la proposition d'effectuer un essai avec un homme. Comme il est puceau dans ce type de relation, il me dit craindre de ne pas assurer et surtout de ne pas savoir s'y prendre. C'est tout gĂȘnĂ© qu'il me demande si je n'aurais pas quelqu'un Ă  lui prĂ©senter pour sa premiĂšre fois. J'ai failli Ă©clater de rire. Mais son air embarrassĂ© m'a retenu.
Je suis prĂȘt Ă  chercher qui pourrait me rendre ce service quand je pense qu'en tant que " vierge ", il pourrait se faire un max de blĂ© pour sa premiĂšre prestation.
Je lui explique de quoi il retourne : la mise aux enchĂšres, parmi une sĂ©lection de mes clients, de sa premiĂšre fois. J'ajoute que cela pourrait lui rapporter un bon paquet de fric et lui prĂ©cise les montants auxquels, jusqu'Ă  prĂ©sent, mes clients s'Ă©tait arrachĂ© les premiĂšres prestations de mes Escorts pourtant loin d'ĂȘtre vierges. Il n'en revient pas qu'un mec puisse offrir autant pour se faire un mec.
Un peu fier, je lui dis que ce n'est pas " un mec " mais un Escort de chez moi !
Je le rassure en indiquant que ma sélection écarterait les mecs un trop bien monté, les brutaux et les trips spéciaux. Je connais bien mes clients et sais ceux qui sauront prendre soin d'un puceau.
Il renonce à son idée de " s'entrainer " avant sur du " matériel " vivant.
Il accepte de faire quelques photos supplémentaires pour l'opération. Je demande à Ammed de les faire avec le mur blanc du salon comme fond.
Il repart avec l'assurance que je l'appellerai bientĂŽt.
Jardinier
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sandraa-mvr26 · 2 months ago
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𝐂𝐞 đ€đąđ­ đ©đžđźđ­ đœđĄđšđ§đ đžđ« 𝐭𝐚 𝐯𝐱𝐞 đŸ€âœšđŸ”„
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aurevoirmonty · 2 months ago
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« Le trait distinctif de l’amĂ©ricanisme est que l’attaque contre la qualitĂ© et la personnalitĂ© ne s’accomplit pas par la coercition brutale d’une dictature marxiste et par la prise en charge de l’État, mais se produit presque spontanĂ©ment, au moyen d’une civilisation qui ne reconnaĂźt pas d’idĂ©aux supĂ©rieurs Ă  la richesse, Ă  la consommation, au profit et Ă  une croissance Ă©conomique effrĂ©nĂ©e — une exagĂ©ration et une rĂ©duction Ă  l’absurde de ce que l’Europe elle-mĂȘme a choisi. Ce sont les mĂȘmes motivations qui ont engendrĂ© cela lĂ -bas ou sont en train de le faire. Des deux cĂŽtĂ©s, nous voyons le mĂȘme primitivisme, le mĂȘme rĂ©ductionnisme mĂ©canique et la mĂȘme brutalitĂ©. »
Julius Evola
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