#Les produits de consommation
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basilepesso · 1 year ago
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Oui, y a des trucs comme ça... Depuis mon retour en France forcé  après 9 ans avec de rares passages en France je découvre les nouvelles marques apparues, les excellentes, les moyennes, les très moyennes...c'est intéressant et j'ai justement découvert ce truc du bouchon accroché...avant-hier ! Une des choses que je constate est la prolifération des marques aux visuels incroyablement médiocres, alors que les designers graphiques de haut niveau sont maintenant légion  et que le design de produit a des décennies derrière lui. Une des tendances inamovibles est la photo truquée, qui fait systématiquement passer du chocolat pâle pour du chocolat au marron onctueux. Mais ceci est mondial. Basile Pesso, 22 juin 2 023 (Fb) avec photos des nouvelles bouteilles à bouchon accroché
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microsoftlicensesworld · 7 months ago
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Les dangers de l'industrie laitière : Impact sur la santé humaine et environnementale
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Les dangers de l'industrie laitière sont un sujet d'une importance croissante dans le monde contemporain. Les gens consomment des produits laitiers à un rythme sans cesse croissant, mais il est essentiel de comprendre les implications de cette industrie sur notre santé humaine et notre environnement. Les dangers de l'industrie laitière ne sont pas seulement limités à la santé individuelle, mais ils ont également un impact dévastateur sur l'écosystème dans son ensemble.
Dans notre société moderne, l'industrie laitière est omniprésente. Des produits laitiers tels que le lait, le fromage, le yaourt et le beurre sont consommés quotidiennement par des millions de personnes à travers le monde. Cependant, ce que beaucoup ne réalisent pas, ce sont les dangers cachés associés à cette industrie.
Tout d'abord, examinons les dangers de l'industrie laitière pour la santé humaine. De nombreuses études ont montré un lien entre la consommation de produits laitiers et divers problèmes de santé, notamment l'obésité, les maladies cardiaques, le diabète de type 2 et même certains cancers. Les produits laitiers contiennent souvent des niveaux élevés de graisses saturées et de cholestérol, ce qui peut contribuer à des problèmes de santé graves. De plus, les produits laitiers peuvent être une source de contamination bactérienne, ce qui peut entraîner des maladies d'origine alimentaire.
En ce qui concerne l'impact environnemental, les dangers de l'industrie laitière sont tout aussi préoccupants. La production laitière nécessite d'immenses quantités de ressources naturelles, notamment de l'eau et de la terre arable. De plus, l'élevage de vaches laitières est une source majeure de gaz à effet de serre, contribuant ainsi au changement climatique. L'industrie laitière est également associée à la déforestation, à la pollution de l'eau et à la perte de biodiversité.
Malgré ces dangers, l'industrie laitière continue de prospérer, alimentée par une demande mondiale croissante de produits laitiers. Cependant, il est impératif que nous prenions des mesures pour atténuer les effets néfastes de cette industrie sur notre santé et notre environnement. Cela pourrait impliquer une réduction de la consommation de produits laitiers, ainsi que des changements dans la manière dont ces produits sont produits et distribués.
En conclusion, les dangers de l'industrie laitière sont réels et méritent notre attention. Nous devons reconnaître les implications de notre consommation de produits laitiers et prendre des mesures pour réduire les effets néfastes sur notre santé et notre planète. En prenant des décisions éclairées et en soutenant des pratiques agricoles durables, nous pouvons contribuer à créer un avenir plus sain et plus durable pour tous.
https://enkling.com/read-blog/32918_les-risques-pour-la-sante-de-la-viande-et-des.html
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lerefugedeluza · 6 days ago
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Nouvelle vidéo !
Nous vivons dans un monde où tout est à vendre : des produits inutiles à des rêves qui ne sont même pas les nôtres, tout en passant par nos propres données personnelles. Chaque jour, des milliers de publicités envahissent nos écrans, nos rues, nos pensées. Elles transforment la moindre interaction en opportunité marketing et nous donnent parfois l’impression d’être nous-mêmes un produit mis sur le marché (sans jamais fixer aucun prix ni toucher le moindre centime). Mais au-delà du simple agacement, quelles sont les conséquences de cette surenchère ? Pollution visuelle, mentale, écologique... La publicité crée des désirs impossibles à satisfaire, nous pousse à consommer toujours plus, et nous juge sur ce que nous possédons. Dans cette vidéo, je vous emmène dans une exploration ironique et critique de l’univers publicitaire, de ses contradictions et ses dérives. C’est un sujet sérieux, mais j’ai tout de même essayer de le traiter avec légèreté et humour, en espérant que ma petite vidéo sans prétention (et peuplée de mille problèmes de luminosité) vous fera réfléchir et sourire ! Si cette vidéo vous a plu, n’oubliez pas de liker, commenter, et partager : c’est le meilleur moyen de soutenir mon travail et de m’encourager à continuer ! + n'hésitez pas à participer à mon petit concours sur Instagram
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exhaled-spirals · 1 year ago
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« Imaginez les remarques que pourrait faire un observateur. . . de notre espèce, . . . comment elle se transforme, comment elle se consume depuis un siècle environ. Il aurait grand sujet de se divertir à nos dépens en constatant le curieux retournement de nos efforts inventifs contre nous-mêmes. Tandis que nous croyons nous soumettre les forces et les choses, il n'est pas un seul de ces attentats savants contre la nature qui, par voie directe ou indirecte, ne nous soumette, au contraire, un peu plus à elle et ne fasse de nous des esclaves de notre puissance, des êtres d'autant plus incomplets qu'ils sont mieux équipés.
. . . Et ne parlons pas des odeurs, des bruits que vous endurez, des trépidations, des courants de toute fréquence, des nourritures synthétiques, que sais-je ! Et quant à l'intellect, mes amis, quant à la sensibilité. . . on vous soumet l'esprit à une merveilleuse quantité de nouvelles incohérentes par vingt-quatre heures ; vos sens doivent absorber, sans un jour de repos, autant de musique, de peinture, de drogues, de boissons bizarres, de spectacles, de déplacements, de brusques changements d'altitude, de température, d'anxiété politique et économique. . . que toute l'humanité ensemble, au cours de trois siècles, en pouvait absorber jadis !. . . Cependant que la politique aligne nos multitudes, leur fait donner la main ou dresser le poing, les fait marcher au pas, voter, haïr ou aimer ou mourir en cadence, indistinctement, statistiquement.
La machine économique est, au fond, une exagération, une amplification colossale de l'organisme. . . et nous pouvons suspecter. . . qu'il se produira, dans l'âge qui vient, une dépression des valeurs intellectuelles, un abaissement, une décadence comparables à ceux qui se sont produits à la fin de l'antiquité ; la culture à peu près abandonnée, les œuvres devenues incompréhensibles ou détruites. . . toutes choses malheureusement très possibles [si] les moyens de possession et de jouissance, l'incohérence imposée par la fréquence et la facilité des impressions, la vulgarisation immédiate et l'application aux productions, aux évaluations et à la consommation, des fruits de l'esprit, de méthodes industrielles, finissent par altérer les vertus intellectuelles les plus élevées et les plus importantes : l'attention, la puissance méditative et critique, et ce qu'on peut nommer la pensée de grand style. . .
Nous vivons sous le régime perpétuel de la perturbation de nos intelligences. L'intensité, la nouveauté, dans notre époque, sont devenues des qualités, ce qui est un symptôme assez remarquable. Je ne puis croire que ce système soit excellent pour la culture. Sa première conséquence sera de rendre ou inintelligibles ou insupportables toutes les oeuvres du passé qui ont été composées dans les conditions toutes contraires et qui exigent des esprits tout différemment formés. »
— Paul Valéry, "Notre destin et les lettres", conférence donnée le 17 février 1937
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valerielemercier · 5 months ago
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" Il arrive qu'un journal illustré, entrouvert il y a des années, laisse en nous des traces aussi profondes qu'un grand livre ou qu'une rencontre mémorable. À l'époque où Life était l'hebdomadaire américain par excellence, dans un numéro tourné probablement par une main négligente ( toujours ce qu'on s'attendait à voir : la guerre du Vietnam ou celle de Corée, mêlée à des vedettes de cinéma, du sport, ou de la politique du moment ), je tombai sur la dernière page, réservée d'ordinaire à la "photographie de la semaine", sans référence  aux événements d'actualité, élue seulement pour ce que l'image présentait  d'exceptionnel, de beau ou de saisissant. Cette fois, c'était, en pleine page, un instantané de femme vue de dos. Une dame quelconque, un peu épaisse, sans doute située entre la quarantaine et la soixantaine, un manteau de voyage qu'on devinait beige, souliers de ville à talons mi-haut, petit chapeau sûrement acheté dans un grand magasin, sac volumineux, serré sous le bras avec ce geste possessif qu'ont souvent les femmes un peu mûres, et qui contenait à n'en pas douter le porte-monnaie, quelques billets de banque, l'assurance-santé, le portrait des enfants ou des petits-enfants, peut-être un de ces petits carrés de papier de soie imprégnés de produit chimique qui donnent à l'Américain en voyage l'impression de s'être lavé les mains. Une rombière américaine telle qu'on les rencontre, innombrables, dans les magasins de souvenirs et les restaurants convenablement bien côtés. Celle-ci était debout devant une mer calme ; une vaguelette léchait le sable à quelques mètres de ses souliers. Cette photographie prise sans doute au cours d'un petit voyage en Californie, par un mari ou un fils un peu en retrait sur la plage, avait eu les honneurs de la semaine parce que, l'instant qui suivit le déclic, une énorme lame de fond emporta la femme, le chapeau du grand magasin, le manteau, le sac, les papiers d'identité avec les portraits des enfants ou des petits-enfants, en fait, toute une vie. Ce qui avait été une forme, une forme reconnaissable, chérie peut-être, ou détestée, ou l'objet pour les siens d'une tranquille indifférence, tricotant ou jouant ou jouant au bridge, aimant la glace aux framboises, en parfaite santé ou atteinte de varices ou peut-être d'un cancer au sein, et jusqu'aux accessoires et au tout-fait de la société de consommation, s'était d'un seul coup amalgamé à la mer informe. Mrs Smith ( si c'était son nom ), ou Jones, ou Hopkins, avait disparu dans le primordial et l'illimité. J'ai repensé plusieurs fois à elle. J'y pense encore. À l'heure qu'il est, je suis peut-être la seule personne sur la terre à me souvenir qu'elle a été. " M. Yourcenar
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codumofr · 2 months ago
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Le Bento ou Ô-Bento est un repas traditionnel au Japon consommé dans une boîte. Le trait le plus caractéristique de ce repas traditionnel est la “Bento Banko” qui est la boîte contenante en soit, le repas. Ce nom pourrait être grossièrement traduit par “Gamelles”. En elle-même, la boîte n’est apparue que durant l’époque Azuchi-Momoyama, s’étalant de 1568 à 1600. Cette période, courte, est dominée par une école d’art du nom de Kano (Kano-Ha) fondée par Kano Masanobu, Peintre en chef du Shogunat Ashigaka. Laïque et professionnelle, cette école d’art perdura jusqu'au vingtième siècle où l’atelier devenu intenable déclina et disparut progressivement. Ainsi, le repas est traditionnellement consommé durant la période de l’Hanami où les Cerisiers du Japon perdent leurs feuilles ou bien durant une cérémonie du thé. Ce n’est qu’avec la récente popularité de la cuisine Japonaise et ainsi, l’extension de cette dernière dans le monde entier que le mot “Bento” est devenu le terme quasi-universel pour désigner les repas à emporter Japonais. Nous retrouvons la consommation de telle préparation, mais avec un nom de boîte différent durant l’ère Heian, période particulièrement riche en termes de culture et d’art, s’étalant de 794 à 1185. Ainsi, lors de l’Osechi Ryori, repas du Nouvel An Japonais, le repas est dans une boîte du nom de “Jubako”. Se composant à l’origine d’un plat mijoté avec du Saké ou de la Sauce Soja du nom “Nimono” accompagné de Légumes, Fruits de Mers, Poissons ou bien de Tofu. Au fil du temps et de l’évolution de la société, une variété plus grande plats ont été développée pour l’Osechi Ryori et donc, les “Boîtes Jubako” se sont aussi développées. Nous pouvons ainsi retrouver : l’Ichi-no-Ju composé de mets se mariant avec une consommation de Saké ; le Ni-no-Ju composé de plats dit “Yakimono” et “Sunomono”, respectivement signifiant de la nourriture cuite à la grille et de la nourriture marinée ; le San-no-Ju qui est un repas avec des produits provenant de la Mer ou de la Montagne ; le Yo-no-Ju composé de plats mijotés et le Go-no-Ju qui est une boîte laissé vide, symbolisant ainsi le besoin de bonheur qui devrait prendre place dans la boîte et donc le besoin de ce dernier.
Ce n’est qu’au début du huitième siècle qu’un livre d’histoire compile différentes notes où sont décrits des gens transportant du “Hoshi”, riz cuit à la vapeur et séché dans le but d’être utilisé comme repas portable lors de voyages plus ou moins longs. Les Japonais ne prenaient que deux repas par jour jusqu’à la fin du dix-septième siècle et les deux repas étaient un simple petit-déjeuner et un dîner. Ce n’est qu’au milieu de l’Époque Edo s’étalant de 1600 à 1868 que les trois repas par jour se généralisent grâce à l’introduction des lampes à huile et de leur lumière au niveau du début du dix-huitième siècle. Ainsi, la durée d’éveil et d’activité des travailleurs s’étalant, ils devinrent quasiment nécessaires d'apporter un repas du soir pour pouvoir tenir la cadence. Les agriculteurs de cette époque remplissaient d’aliments tels que du Riz d’Orge ou des Prunes Salées des récipients en bois courbé du nom de “Menpa” et les emportaient avec eux au travail. Excellents pour absorber l'humidité et assurer la ventilation, ces récipients permettaient donc de conserver les repas frais et délicieux même lorsqu’ils avaient refroidi. Toutefois, pour les travaux de plus grosse nécessité, un “Oke” qui est un grand seau de bois traditionnel était rempli de boulettes de riz et d’un plat d’accompagnement du nom “d’Okazu” et servait donc pour un repas collectif. Pour les pêcheurs, le travail en mer étant moins facile à terme de nourriture, ils apportent une quantité de riz mesurais dans une unité correspondante à une tasse japonaise d’environ 180 millilitres de riz, cette unité est le “Go” et ils en apportent en mer 7 go de Riz. Une quantité d'environ 1260 millilitres de Riz. Ce riz était entreposé dans une boîte à deux étages fabriquée en Cyprès Japonais du nom de “Funabento” et l’accompagnement (Okazu) est dans ce cas du poisson péché par le pécheur lui-même. Le Funabento n'avait pas qu’une utilisation de transport de repas, mais pouvait aussi servir de bouée de sauvetage pour les pêcheurs tombés à l’eau, de seau lorsqu’il est nécessaire d'écoper le bateau lors de fuite d’eau. Pour finir, le rôle du “Bento” n’avait pas qu’une dimension pratique et fournisseur d’énergie aux travailleurs. On peut le retrouver utilisé dans l’agrément d’occasions spéciales d’elle que le Hanami (Coutume traditionnelle japonaise d'apprécier la beauté des fleurs.) et été à l’époque réservé aux nobles et aux samouraïs. Ce n’est qu’au milieu de l’époque Edo (1603 à 1867) que la pratique se développera et atteindra les couches populaires. À cette époque, le repas classique du Bento était des Onigiris en étant enroulée dans des feuilles de bambou et ce n’est que pendant l’ère Taisho, qu’une évolution significative sera faite. Les Boîtes d’Aluminium de par leurs apparences argentées et de sa facilité de nettoyage devient un symbole de luxe.
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peekaboorpg · 2 months ago
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Écrire un personnage avec un trouble mental
Dans le but de déstigmatiser les maladies mentales telles qu'elles sont communément décrites en RPG, voici une série de guides qui introduisent les différents troubles & les stéréotypes associés à éviter.
Troubles anxieux
Troubles de l'humeur
Troubles du comportement
Troubles de la personnalité
Troubles psychotiques
Trouble cognitifs
Troubles du développement
Troubles du comportement
Addictions
L'addiction est un trouble défini par une dépendance à une substance ou à une activité. La personne addict consomme de manière répétée un produit ou pratique de manière excessive une activité, jusqu'à perdre le contrôle de sa consommation et modifier son équilibre émotionnel. La consommation est poussée par la recherche de plaisir, mais la dopamine libérée est de moins en moins importante, aussi la personne se retrouve-t-elle dans un état émotionnel négatif qu'elle ne peut dépasser qu'en consommant de plus en plus. Dès lors, il devient difficile de se réguler ou de s'empêcher de consommer.
Les addictions ont de nombreuses conséquences sur la vie personnelle, selon la substance ou l'activité en question. Il y a notamment un risque accru d’isolement, de marginalisation, et des conséquences sur le caractère ou l'humeur.
Il existe des traitements de substitution qui aident au sevrage de différentes substances psychoactives, et des médicaments addictolytiques. Mais il est aussi indispensable d'avoir un accompagnement psychosocial et de faire une psychothérapie.
En savoir plus :
Addictions : du plaisir à la dépendance, Inserm
La dépendance à l’alcool, Santé sur le net
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from-derry · 10 months ago
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Voici enfin la tant attendue annexe de la vie quotidienne. C’est en réalité la première partie de l’annexe concernant Derry et de ce fait l’une des plus importantes. Elle pose vraiment les bases du lore.
Quelques petites précisions importantes avant d’entamer votre lecture :
- c’est un premier jet ! Compte tenu du nombres de questions qui trouvent leur réponse dans cette annexe, nous la publions maintenant.
- Elle sera sujette à changements, réorganisation, ajouts jusqu’à l’ouverture du forum.
Vie quotidienne
La vie à Derry est résolument tournée vers la survie de la communauté. On organise le quotidien autour de tâches utiles, voire essentielles au bon fonctionnement général. Il est attendu que tout le monde participe à l’effort collectif.
Technologie :
L’eau courante et l'électricité sont présentes à Derry, sans que personne n’en connaisse l’origine. 
Il n’existe aucun moyen de communiquer avec le reste du monde. Internet, le réseau téléphonique, la radio, rien ne semble fonctionner à Derry. Parfois, si on joue avec les stations de radios, il peut vous sembler entendre des voix ou de la musique, mais c’est bien souvent très fugace. 
A l’intérieur de Derry, les communications par talkie-walkies fonctionnent, pour peu d’avoir du matériel fonctionnel. Chaque leader de groupe de la communauté en possède un qui permet de communiquer entre la ville et la maison en cas d’urgence. 
Il arrive que certains objets électroniques s’animent seuls sans que personne n’y touche. Les lumières s’allument aussi parfois seules... ou s’éteignent. Les habitants ont pris l’habitude de l’ignorer. 
À Derry, l’utilisation des appareils électriques modernes est assez aléatoire. Parfois cela fonctionne, parfois pas du tout, sans qu’aucune logique ne se démarque. Il n’est pas toujours possible de recharger ces derniers. 
Nourriture et repas : 
Les habitants de Derry vivent en autonomie complète et ne peuvent consommer que ce qu’ils trouvent ou produisent. Les épices se font rares, de même que les sucreries, le café ou tous vivres de la sorte. Les habitants produisent par contre de l’alcool artisanal, pas toujours très bon, mais efficace. Il est fait souvent à partir de pomme de terre ou de maïs. On y distille aussi de l’excellente eau de vie à partir de la production de fruits. 
Au centre bourg, les repas sont traditionnellement servis au diner et il est de coutume d’aller manger le matin afin de partager avec le reste de la communauté. En journée, le diner est ouvert à tout le monde pour un café ou une collation. Il est possible, pour les habitant·es du centre bourg de venir le soir prendre à manger à emporter pour celles et ceux qui ne cuisinent pas. 
A la maison commune, les repas sont pris en commun et préparés à tour de rôle par les résident·es selon un calendrier pré-établi. Il n’est pas obligé de manger ensemble, mais les repas sont souvent partagés entre la cuisine, la salle à manger et le salon en fonction des conversations. 
Locomotion :
S’il y a des voitures à Derry, on ne trouve pas d’essence autre que celui provenant des véhicules échoués dans la ville. On s’y déplace principalement à pied ou à vélo. Les véhicules fonctionnels sont réservés aux urgences. 
Santé et hygiène :
L’accès aux médicaments est aussi strictement régulé. Ces derniers sont une denrée particulièrement rare. Il arrive parfois à un habitant chanceux de découvrir au hasard de ses promenades une trousse de secours. Pour la majorité des soins, il faut compter sur le savoir collectif qui se transmet au fil des générations et de la formation des nouveaux soignants. Les produits d’hygiène et de soin sont principalement produits par les herboristes. 
Saison et rythme de vie :
La vie de Derry est principalement dictée par les saisons et l’heure à laquelle le soleil tombe. Ainsi, la période hivernale est plus morne que l’été. Les sociabilités se font et se défont au fur et à mesure des saisons. 
Le temps d’activité ne s’organise pas en horaire de bureau, mais en fonction des besoins ou de la demande. Certains rôles sont plus demandeurs que d’autres. A quelques exceptions comme le travail d'élevage, il est rare qu’on occupe toute la journée son poste, c’est plus souvent en demi journée qu’on s'organise. 
Moeurs générales :
Derry vit coupée du monde et de son évolution générale. L’arrivée de nouveaux habitants dans la ville donne toujours la mesure du temps qui est passé, plus que n’importe quelle technologie devenue obsolète. On peut évaluer le temps vécu à Derry à la mentalité de chacun·e. 
Talisman :
Il est de coutume d’accrocher près de l’entrée principale un talisman. Celui-ci est gravé dans le bois, la pierre ou dans un bout de poterie. On y reproduit des symboles dont personne ne connaît le sens exact. La croyance est qu’il empêchent les créatures de passer par l’entrée protégée. On ignore s’ils ont un véritable effet. Personne à Derry ne sait qui a trouvé ou inventé les talismans, mais ils sont en place depuis toujours, semble-t-il. Personne ne s’est risqué à sortir avec un talisman autour du cou la nuit pour s’assurer qu’ils étaient réellement efficaces. Difficiles à reproduire, ils s'abîment rapidement, se brisent assez souvent lorsqu’on fait cuire la poterie et trouver des pierres suffisamment grosses et non friables pour les graver est souvent compliqué. Ils sont donc rares et considérés comme précieux. 
Sanctions :
Il n’existe pas de lois à proprement parler à Derry, outre la convention du partage des biens. Les shérifs des années passées ont néanmoins instauré deux sanctions. 
Construite devant l’ancienne poste, il y a une boite où l’on enferme les habitants durant une nuit pour les punir d’un petit délit. Ceux-ci sont laissés à l’appréciation du shérif en place. De mémoire actuelle, la boite n’a pas été utilisée. Les crimes (comme le meurtre) sont punis par le bannissement - cela équivaut à une peine de mort puisque sans talisman, personne ne survit longtemps dans les bois entourant Derry.  
Cachettes :
Dans les rares cas où l’on se retrouve dehors à la nuit tombée, il existe quelques cachettes connues des habitants. D’un confort rudimentaire, elles ne sont à investir qu’en cas d’extrême urgence et ne garantissent pas une aussi bonne protection que les habitations.  
Confort de vie :
De nombreux objets du quotidien en dehors de Derry manquent ou se font rares. Le plus souvent, c’est le système débrouille qui prime. On recycle beaucoup, on reprise énormément et on tire les machines jusqu'à ce qu'elles rendent l'âme.
Armement :
Les armes à feu sont interdites à Derry, du moins en principe. Il y en a quelques unes à dispositions chez le Shérif et sous contrôle d’Isidro à la maison commune, mais il est admis que sauf raisons particulières il n’est pas autorisé d’en posséder. Bien sûr, il est toujours possible de contourner la règle et d’en dissimuler mais si on découvre la vérité, gare aux conséquences. 
Relations centre-bourg / maison commune :
Les relations entre la maison commune et le Centre-bourg sont dans l’ensemble plut��t bonnes. L’ouverture de la maison commune a laissé néanmoins des traces dans la mémoire de Derry que l’on peut retrouver aujourd’hui. Les habitant·es de la maison commune ont tendance à rester ensemble, si bien que lorsqu’ils descendent en ville dans les lieux communs, on peut ressentir une sorte de réserve mâtinée de méfiance. Les habitant·es du Centre-bourg ont toujours l’impression artificielle qu’on vient piquer dans leur garde-manger. C’est notamment grâce au chassé-croisé des activités dans les différentes communautés que l’ambiance reste agréable malgré tout.
Éducation :  
La ville compte très peu d'enfants, l'école ne possède donc qu'une classe unique. On y apprend à lire, écrire, compter ainsi que les connaissances pratiques pour survivre au quotidien à Derry, comme faire son savon, planter des graines, raccommoder ses vêtements, etc. 
Animaux :
On trouve quelques animaux à Derry et plusieurs cas de figure. Certains sont arrivés avec leur propriétaire dans la ville. Certains apparaissent de façon inconnue. Il est possible de les attraper et de tenter de les domestiquer. Le bétail est assez limité : quelques vaches, quelques chèvres, quelques cochons, quelques poules. 
 Concernant le gibier, on trouve principalement de petits animaux sauvages : lapins, oiseaux, lièvre, faisan, etc. Le grand gibier existe mais se fait plus rare. Il faut souvent s’enfoncer loin dans les bois pour le débusquer et cela n’est pas sans risque. 
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transparentgentlemenmarker · 10 months ago
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Produites dans l'usine chinoise de Shanghai, les Tesla Model 3 dédiées à l'Europe voyagent donc en bateau, et le coût est très élevé ! La voiture est un bien de consommation comme un autre. Il faut donc la produire, puis la livrer au client. Bref prochaine connerie à suivre
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ekman · 10 months ago
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“Mais vous, ces histoires de paysans... que pensez-vous que cela puisse donner, hein ?” m’interroge le dirigeant d’une boîte de carrure mondiale, dans l’échange “off” que nous nous accordons. Je souris. Ça oui alors, qu’est-ce que ça va bien pouvoir donner, ce dernier carré de mohicans qui bloque des routes pour rappeler à tout un pays qu’ils est entrain de crever, pour de bon ? “Méfiez-vous”, lui dis-je. “Pas sûr que les Français se laissent berner cette fois. Quoi qu’on en dise, ils sont attachés à leur vieille terre.” Je dis cela sans grande conviction ; je n’y crois plus trop. Même si je sais que les Français, produits d’une nation de cultivateurs, d’éleveurs, de maraîchers et de pêcheurs sont profondément attachés à leurs paysages, à leurs cheptels et à leurs vignes, aux plaines ponctuées de bois propices au gibier, aux vallons striés de murets multiséculaires, aux champs tenus en terre par un bocage généreux, aux côtes de granit dentellisées par les vents et le sel... malgré tout cela, que puis-je espérer de ce peuple abâtardi par les mélanges incertains, décérébré par la consommation, enlaidi par le béton, les parkings, les zones commerciales ? Ce pays mourant tenu à l’écart de son destin par un État corrompu, vendu à une oligarchie obscène, comploteuse et dissimulée, ce peuple toujours plus anesthésié par les arguties d’agités télévisés et les fessiers négroïdes de putes photogéniques ? Miné par les crédits Cetelem sur vingt ans, soufflé comme un popcorn Euro Disney, baisé par une pile à roues badgée Renault ? Que puis-je raisonnablement espérer ? Une préfecture qui crame accidentellement ? Un CRS rendu cul-de-jatte par un tracteur ? Toujours plus d’OQTF pourfendeurs mortels de barrages familiaux ? Honnêtement, je ne sais pas ce que je puis attendre, cher Monsieur, puisque j’ignore ce qui surgira ou s’endormira dans l’esprit de mes compatriotes. Je crains l’apathie totale, l’anesthésie générale, la mort sans nom. Mais je suis prêt et j’espère encore, toujours.
J.-M. M.
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christian-dubuis-santini · 5 months ago
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Plus-value marxienne, surmoi freudien, objet a lacanien: trois concepts pour comprendre la faillite de la raison discursive, dont le discours analytique révèle le mécanisme logique: plus tu fais de profit plus tu veux en faire, plus tu obéis au surmoi plus tu es coupable, plus tu bois de Coca plus tu as soif...
Le "plus de jouir" lacanien — concept indispensable à la saisie des impasses et paradoxes du parlêtre que nous sommes — est directement tiré de la plus-value marxienne.
Pour "illustrer" l'impossibilité du "riche" à payer, un retour à l'original n'est peut-être pas superflu, et voici donc la logique (hegelienne!) que Marx déploie pour décrire le processus de la "consommation":
"En convertissant une partie de son capital en force de travail, le capitaliste valorise son capital global. Il fait d’une pierre deux coups. Il ne profite pas seulement de ce qu’il reçoit de l’ouvrier, mais aussi de ce qu’il lui donne.
Le capital aliéné dans l’échange contre de la force de travail est transformé en moyens de subsistance dont la consommation sert à reproduire les muscles, les nerfs, les os, le cerveau des ouvriers qu’il a déjà et à engendrer de nouveaux ouvriers.
À l’intérieur même des limites de ce qui est absolument nécessaire, la consommation individuelle de la classe ouvrière est donc la retransformation des moyens de subsistance que le capital a aliénés contre de la force de travail, en une force de travail que le capital peut réexploiter.
Elle est production et reproduction du moyen de production le plus indispensable au capitaliste, l’ouvrier lui-même."
(Le Capital, 1867, Livre I, Quatrième édition allemande, Puf, 1993, p. 642.)
Ce qui n'est pas sans éclairer d'une lumière singulière la fameuse déclaration de Patrick Le Lay (alors PDG de TF1) de la logique sous-jacente des médias:
"Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective ”business”, soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c’est d’aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit (...).
Or pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c’est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible (...).
Rien n’est plus difficile que d’obtenir cette disponibilité. C’est là que se trouve le changement permanent. Il faut chercher en permanence les programmes qui marchent, suivre les modes, surfer sur les tendances, dans un contexte où l’information s’accélère, se multiplie et se banalise."
Plus-value marxienne, surmoi freudien, objet a lacanien: voilà donc les trois notions paradoxales qui permettent d’aborder le réel dans son rapport au symbolique, et qui permettent de comprendre pourquoi l’idéal de l’échange équilibré reste voué à l’imaginaire, les prétentions rationnelles étant toujours ravagées par une logique de l'excès qui les ruine - plus tu bois de Coca plus tu as soif, plus tu obéis au surmoi plus tu es coupable (plus il t’en coûtera), plus tu fais de profit plus tu veux en faire...
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microsoftlicensesworld · 7 months ago
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Les Avantages du Véganisme pour la Santé : Comment une Alimentation Sans Produits Animaux Peut Améliorer Votre Bien-être
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Le véganisme est bien plus qu'un simple régime alimentaire; c'est un mode de vie qui exclut l'utilisation de tout produit d'origine animale, y compris la viande, les produits laitiers, les œufs et même le miel. Les avantages du véganisme pour la santé sont nombreux et bien documentés, et adopter ce mode de vie peut avoir un impact significatif sur votre bien-être général.
Une alimentation végétalienne est naturellement riche en fibres, en antioxydants et en nutriments essentiels tels que les vitamines C et E, ainsi que le magnésium et le potassium. Ces éléments nutritifs sont connus pour leur capacité à renforcer le système immunitaire, à favoriser une peau saine et à réduire le risque de maladies cardiovasculaires et de certains types de cancer.
En évitant les produits d'origine animale, vous réduisez également votre consommation de graisses saturées et de cholestérol, ce qui peut aider à prévenir les maladies cardiaques et à abaisser votre taux de cholestérol sanguin. De plus, les régimes végétaliens ont été associés à une meilleure gestion du poids et à un risque réduit d'obésité, ce qui peut avoir des avantages considérables pour la santé à long terme.
Les avantages du véganisme pour la santé ne se limitent pas seulement aux aspects physiques, mais s'étendent également à la santé mentale. De nombreuses personnes qui adoptent un mode de vie végétalien rapportent une amélioration de leur bien-être émotionnel, une plus grande clarté mentale et une augmentation de l'énergie. En outre, la compassion envers les animaux et l'environnement qui sous-tend le véganisme peut contribuer à un sentiment de satisfaction personnelle et à un état d'esprit positif.
L'une des préoccupations courantes concernant le véganisme est la possibilité de carences nutritionnelles, en particulier en ce qui concerne les protéines, le calcium et la vitamine B12. Cependant, avec une planification appropriée et une alimentation variée, il est tout à fait possible d'obtenir tous les nutriments nécessaires à partir d'une alimentation végétalienne équilibrée. De plus, de nos jours, il existe de nombreuses alternatives végétales aux produits d'origine animale, ce qui rend plus facile que jamais de suivre un régime végétalien tout en maintenant une alimentation nutritive et délicieuse.
En conclusion, les avantages du véganisme pour la santé sont multiples et variés. Adopter une alimentation sans produits animaux peut non seulement améliorer votre santé physique en réduisant le risque de maladies chroniques, mais aussi favoriser un bien-être émotionnel et mental optimal. En embrassant le véganisme, vous contribuez également à la protection des animaux et de l'environnement, ce qui ajoute une dimension supplémentaire de gratification personnelle à ce mode de vie éthique et durable.
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lepartidelamort · 1 month ago
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La Pologne russophobe bat un nouveau record de dénatalité.
Les Polonaises sont désormais les femmes les moins utiles d'Europe avec les Espagnoles.
Via @BirthGauge : le taux de natalité (TFR) pour la Pologne en 2024 pourrait être le plus bas de toute l’Europe (ex aequo avec l’Espagne) à 1,12.
C’est le pire résultat de notre histoire moderne.
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Aux côtés des généraux, les femmes polonaises sont bien décidées à détruire leur pays et le régime démocratique polonais les soutient dans leur entreprise.
Théoriquement, l’avortement est très restreint en Pologne, mais en pratique, comme en France dans les années 1960, les avortements sauvages sont légions. Les estimations varient entre 80,000 et 200,000 infanticides par an, en toute impunité.
The Guardian :
On sait qu’au moins 34 000 femmes en Pologne ont eu recours à des avortements illégaux ou à l’étranger depuis que le pays a introduit une interdiction quasi totale des interruptions de grossesse il y a un an. L’AWB a déclaré que ses chiffres n’étaient probablement qu’un aperçu du nombre réel de Polonaises ayant eu recours à des avortements illégaux ou pratiqués à l’étranger au cours de l’année écoulée. Les ONG ont estimé que 80 à 200 000 femmes par an ont eu recours à des avortements illégaux en vertu des anciennes lois polonaises sur l’avortement, qui restreignaient encore fortement les conditions dans lesquelles les femmes pouvaient demander une interruption de grossesse.
Ces femmes blanches sont prêtes à tout pour tuer leurs enfants.
Elles vont même jusqu’à organiser des voyages à l’étranger si besoin.
Face à cette réalité, aucune mesure n’est prise par le régime bourgeois polonais pour discipliner ces traînées, si ce n’est d’importer toujours plus de migrants du tiers-monde pour satisfaire la finance juive et le patronat catholique.
Des scènes ordinaires de la vie parisienne se multiplient dans les villes polonaises.
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Ce système capitaliste n’est pas viable. C’est lui qui a produit le féminisme d’état pour salarier les femmes et en faire un débouché de consommation au lieu d’en faire des mères. C’est aussi lui qui importe le tiers-monde pour son sacro-saint PIB.
Il n’y aura pas de miracle démographique sans révolution patriarcale.
Ces créatures actuelles ne retourneront pas au foyer sans révolution patriarcale.
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Démocratie Participative
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camisoledadparis · 2 months ago
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saga: Soumission & Domination 298
Gwen -2, recrutement Escorts hétéros
Gwen fait du bon taf avec mes clientes. C'est même au point que mes autres Escorts font " fade " quand ils passent après lui. Il faut dire que mes jeunes sont plutôt des homos à tendance bi que des hétéros avec la même tendance ! Si je veux garder ma clientèle féminine et être en mesure d'étendre ce secteur, il va falloir que je recrute. J'en parle à PH qui est d'accord avec moi. J'en discute aussi avec Gwen et Stéphane. Je leur demande si, parmi leurs collègues il n'y aurait pas des mecs intéressés pour gagner 4 SMIC par mois à raison d'une soirée par semaine. Si Stéphane réfléchit, Gwen nous dit en connaitre une bonne demi douzaine que le salaire miteux d'interne condamne au minimum vital. Il pousse du coude Stéphane et lui dit que ce serait peut être le moment de se lancer lui aussi. Notre Stéphane passe pivoine ! Et comme il s'empêtre dans des arguments fallacieux, je tranche le débat et disant à Gwen que son pote appréciait plutôt le petit cul de notre Maxou et de pas le faire chier avec ça. Il revient tout de suite à la liste des collègues qui serait probablement prêt à taffer pour moi. Avant qu'il ne les approche, je prends la liste de noms et l'envoie pour enquête rapide à mon contact ex RG.
Ce n'est qu'après avoir lu leurs dossiers que j'autorise Gwen à contacter certains. J'en écarte deux qui ont une consommation régulière, bien que faible, de shit. Les seuls produits que j'autorise sont : le gel, les poppers (pas tous), et la créatine pour la partie développement physique. Les quelques fumeurs ont été priés d'arrêter. Il n'y a que dans les films que l'haleine de chacal que ça donne est romantique.
Je reçois les trois premiers de ma liste. Ils sont tous plus âgés que ma bande d'Escorts " homo " et tapent plutôt les 25-27ans que les 19-22. Physiquement ils ne sont pas trop mal foutus, sans être aussi sportifs que les autres. Manque de temps ! Deux blonds peu poilus et un brun au torse bien couvert (enfin une ligne remontante du pubis et rejoignant des pecs un peu couverts, avec bien sur le corolaire, bras et jambes velues. Si les deux blonds ne font pas de difficultés à passer à l'épilation (c'est vrai que ça ne les changent pas beaucoup), je dois user d'arguments avec le brun. Il a l'impression de perdre sa virilité si on lui retire le surplus de poils disgracieux. Les couilles rasées, il comprend que c'est plus agréable de ne pas se prendre des poils entre les dents. Je profite de cette remarque pour lui demander s'il préfère les meufs avec un tablier de sapeur et le cul plein de poils ou celles qui s'entretiennent et rasent leurs chattes. Il convient que c'est effectivement plus agréable de baiser une meuf bien entretenue. Il ajoute aussitôt que pour les hommes c'est pas pareil. Je fini par lui poser le marché : soit il accepte de se faire épiler et il va gagner dans les 4 000 nets/ mois soit il garde ses poils et ses capacité financières réduites.
Je crois que c'était là le seul argument capable de lui faire accepter la chose !
Vu le travail à effectuer, je l'envoi chez une esthéticienne avec pour instruction de ne revenir qu'avec un tapis ras entre le dessus de sa bite et son nombril. Tout le reste doit disparaitre et j'insiste bien là-dessus. Je téléphone même devant lui au cabinet pour donner les instructions. Je le revois deux jours plus tard. C'est parfait. En plus je m'aperçois que ses pecs sont bien épais, tout comme ses bras et ses jambes où les muscles deviennent visibles. Quand je le fais tourner devant le psyché, il doit bien en convenir. Sa bite, déjà conséquente : 20 x 6, circoncise, parait un tiers plus longue qu'enfouie dans les poils hirsutes.
Pour le test sexuel, j'ai l'idée de réutiliser la mère de Jean. Ça la changera des dépucelages de lycéens ! Pour l'aspect pratique, je loue une chambre dans un hôtel à carte et y convoque mes nouveaux Escorts. Ils ont renâclé quand je leur ai dit que je serais présent lors de la rencontre. Le brun me certifiant qu'il aurait même du mal à baiser devant moi. Sachant qu'il avait participé à des partouzes, je lui faisais part que je connaissais ce détail et que j'étais sûr qu'il saurait honorer la dame.
Le jour prévu, Ammed me conduit pour rejoindre mon initiatrice et nous installe à l'hôtel. Je téléphone à mes Escorts le n° de la chambre et le premier blond  (Blond 1) arrive. Il ne fait pas de manière. Il se déshabille et rejoint la meuf déjà nue sur le lit. Il commence par bien l'exciter. Léchage de seins et mordillements des tétons alors que je vois ses doigts s'enfoncer dans la chatte. Je note qu'il bande déjà. Il ne met pas longtemps à trouver comment la faire jouir et il joue entre le clito et ses 4 doigts enfoncés dans le vagin pour faire durer ce premier orgasme. Très " clinique ", je commente sa technique et lui demande même comment il réalise ce tour de force. Avec Emma on y arrive mais on s'y met à trois avec PH et Ernesto !
Il m'explique qu'il joue sur la capacité qu'a le vagin de se dilater fortement. Là il n'avait enfoncé que 4 doigts mais me dit que sur ce type d'organe, très " ouvert " il pourrait facilement enfoncer sa main entière. Et de le faire aussitôt devant moi, déclenchant une dernière secousse violente qui tétanise le corps de ma testeuse. Il se retire et me dit que le seul inconvénient c'est que, dilaté comme cela, le vagin met un peu de temps à retrouver ses " marques " et du coup il va " flotter " quand il va la baiser. Je lui dis de passer par l'arrière. Il me dit qu'en levrette ce sera pareil avant de réaliser que je lui disais de l'enculer. Il passe aussitôt à l'exécution. A 4 pattes les seins écrasés sur les draps, elle cambre les reins et mon Escort l'encule après s'être enkpoté la bite. Il y va hard mais m'explique qu'il s'était rendu compte à la vue de son anus qu'elle avait l'habitude de cette pratique. D'ailleurs il avait réussi à lui mettre ses 19cm sans problèmes. Je demande à la mère de Jean qui me dit que c'était bon de se faire mettre par un vrai mâle. Je le laisse faire. Il a le coup de rein impérieux et long. Il aime profiter de sa longueur de bite pour faire sentir tous les centimètres. Il ressort régulièrement complètement du cul sodomisé avant d'y retourner jusqu'aux couilles.
Il la baise plus hard. Les mains accrochées aux hanches larges de la mère de Jean, il lui défonce la rondelle. A chaque fin de pénétration, les chairs se collent et les hanches de Blond 1 claquent sur les grosses fesses de la meuf. Puis, conscient qu'il est là pour donner du plaisir à madame, il se penche, la redresse sur ses avants bras et passe ses bras dessous pour lui pincer les tétons. Effet immédiat garanti. Elle hâlette et ne tarde pas à jouir de nouveau. Blond 1, coincé dans son cul explose à son tour et avec trois furieux coups de rein, rempli sa kpote.
Au débriefing, la mère de Jean nous dira avoir apprécié sa façon de lui pilonner le fond de son vagin et aussi la façon qu'il a eu de la faire jouir la première fois rien qu'avec ses doigts.
Le temps que mon " banc de test " se refasse une beauté, je fais venir Brun 1 (mon futur Escort brun bien épilé).
Quand il arrive elle est de nouveau, nue et allongée sur le lit. Il a moins de gueule que la dernière fois où nous nous sommes rencontrés. Il se présente, et de déshabille un peu gauchement (je note ça dans un coin de mon cerveau). Il évite de me regarder mais je sens bien que mon regard le trouble.
Il attaque le morceau. Sa technique est rodée. Il joue bien avec les seins, ses doigts pincent bien les tétons, fort même ! Mais la mère de Jean en a vu d'autre et ça les lui fait bander. Quand il pratique  pareil sur le clito, elle en décolle ses fesses du lit. Il en profite alors pour enfoncer trois doigts dans sa chatte.
Puis il se positionne en 69 et je le vois bouffer la chatte. Elle en profite pour engouffrer sa bite qui ne bande que mollement. Je vois que, même avec sa science du sexe pourtant bien éprouvée, elle peine à lui donner sa raideur maximale. Elle y arrive dès qu'elle lui rentre deux doigts dans son cul. Je le vois se kpoter alors très vite et s'enfoncer dans son vagin. Je le trouve un peu trop rapide dans son limage de chatte, comme l'impression d'en finir vite. J'interviens et lui rappelle qu'il est en service commandé, qu'il doit en donner pour l'argent de la cliente. Ça le fait débander direct ! Sensible mon beau brun ! La mère de Jean ne s'embarrasse pas de détail et lui remet aussitôt deux doigts dans l'oignon ce qui refait le même effet, en l'occurrence il rebande direct.
Louche tout ça !!
Il ne se tient bien raide que tant qu'il se fait chatouiller le trou par les doigts de la meuf. Par contre, à l'enculage pas de soucis. Sa bite de 20x6 reste bien dure et finalement donne satisfaction.
Au débriefe, ma testeuse lui envoi carrément que pour un Pd, il s'était pas si mal débrouillé que ça. Il devient tout rouge alors qu'elle continue en me disant que ses doigts étaient rentrés dans son cul comme dans du beurre et qu'il n'avait bandé à mort que lorsqu'il l'avait enculée.
Je me tourne alors vers lui et lui demande depuis combien de temps il se connaissait ce penchant et pourquoi il ne m'en avait pas parlé.
Après une vaine tentative de dénégation, il accepte de me parler alors que la mère de Jean est dans la salle de douche. Il me dit que depuis sa puberté il se sait attiré par les mecs mais que dans son milieu, c'est inacceptable. Il s'est donc forcé à baiser des meufs pour pas attirer l'attention et que ce n'est que dans l'intimité de son studio qu'il ose se faire réellement plaisir à l'aide de godes conséquents. Quand je lui dis qu'il m'avait été conseillé comme étant un bon baiseur de meufs lors des partouzes, il sourit et me répond que c'est de voir les bites et les culs des autres mecs participants qui maintient sa bandaison.
Je lui propose alors d'intégrer mon programme mais avec des clients plutôt que des clientes. Je le vois hésiter. Je le rassure et lui dis que cela peut se faire de façon à ce que personne ne soit au courant. Il n'a pas l'air convaincu. Je l'assure que s'il le veut je peux même dire à Gwen et Stéphane qu'il est recruté pour mes clientes. Car comme c'est eux qui m'ont dirigé vers lui, ils risquent de demander. J'ajoute que je ne l'obligerai pas à assister aux divers entrainements physiques de mon équipe d'Escorts homo. Cette dernière précision emporte le morceau. Je lui demande de passer dans la soirée au Blockhaus pour en discuter.
Le passage du troisième nouvel Escort (Blond2) est sans surprise. Il réussit le test sans émotions particulières.
Le soir même, Brun 1 passe me voir. Je le reçois au 4ème, j'ai la flemme de me faire descendre au premier ! PH est à son cours de danse et j'ai demandé à mes deux beurs de nous laisser seuls.
Devant une bière, je le fais parler. Je ne sais si c'est la déco franchement " homo " de notre séjour ou la possibilité d'être écouté sans risque, mais une fois lancé, il me déballe tout. Enfin,  tout est un bien grand mot pour me raconter ses frustrations devant les corps de copains de sport, ses déchainements sur les meufs lors des quelques touzes auxquelles il avait participé et les intromissions répétées et jouissives de godes dans son anus. Sans en avoir l'air, je lui demande la taille des engins, pour info. Je suis quand même étonné quand il me sort qu'ayant commencé avec un gode de 16x3, il était passé quelques semaines plus tard à la copie du sexe d'un acteur porno connu pour ses attributs plus que généreux (25x 5,5 à 7). Après un sifflement élogieux, je lui demandais quand même s'il s'enfonçait ce dernier entièrement dans le cul. Réponse : après quelques essais et beaucoup de vaseline, il avait réussi à coller les couilles en plastiques contre les bords de sa rondelle. Je lui dis alors qu'il me rassure. Comme j'ai principalement des clients homo mais actifs, j'aurais été un peu en peine de l'utiliser s'il n'avait été qu'actif.
C'est de lui-même que vient la proposition d'effectuer un essai avec un homme. Comme il est puceau dans ce type de relation, il me dit craindre de ne pas assurer et surtout de ne pas savoir s'y prendre. C'est tout gêné qu'il me demande si je n'aurais pas quelqu'un à lui présenter pour sa première fois. J'ai failli éclater de rire. Mais son air embarrassé m'a retenu.
Je suis prêt à chercher qui pourrait me rendre ce service quand je pense qu'en tant que " vierge ", il pourrait se faire un max de blé pour sa première prestation.
Je lui explique de quoi il retourne : la mise aux enchères, parmi une sélection de mes clients, de sa première fois. J'ajoute que cela pourrait lui rapporter un bon paquet de fric et lui précise les montants auxquels, jusqu'à présent, mes clients s'était arraché les premières prestations de mes Escorts pourtant loin d'être vierges. Il n'en revient pas qu'un mec puisse offrir autant pour se faire un mec.
Un peu fier, je lui dis que ce n'est pas " un mec " mais un Escort de chez moi !
Je le rassure en indiquant que ma sélection écarterait les mecs un trop bien monté, les brutaux et les trips spéciaux. Je connais bien mes clients et sais ceux qui sauront prendre soin d'un puceau.
Il renonce à son idée de " s'entrainer " avant sur du " matériel " vivant.
Il accepte de faire quelques photos supplémentaires pour l'opération. Je demande à Ammed de les faire avec le mur blanc du salon comme fond.
Il repart avec l'assurance que je l'appellerai bientôt.
Jardinier
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aurevoirmonty · 8 days ago
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« Le trait distinctif de l’américanisme est que l’attaque contre la qualité et la personnalité ne s’accomplit pas par la coercition brutale d’une dictature marxiste et par la prise en charge de l’État, mais se produit presque spontanément, au moyen d’une civilisation qui ne reconnaît pas d’idéaux supérieurs à la richesse, à la consommation, au profit et à une croissance économique effrénée — une exagération et une réduction à l’absurde de ce que l’Europe elle-même a choisi. Ce sont les mêmes motivations qui ont engendré cela là-bas ou sont en train de le faire. Des deux côtés, nous voyons le même primitivisme, le même réductionnisme mécanique et la même brutalité. »
Julius Evola
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jloisse · 11 months ago
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