#Les pépins-peints 4
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(via https://www.youtube.com/watch?v=qRdvX60srbc)
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Œufs de Pâques à gogo !
Le lapin de Pâques est de retour et veut partager son amour des œufs peints avec toi ! Au cours de ses voyages, il a vu certains des plus beaux œufs du monde entier ! Il organise une compétition d'Œufs de Pâques à gogo pour voir comment nous peignons nos œufs à la ferme !
Si tu as atteint le niveau 12 ou plus, tu verras s'afficher un message t'invitant à l'événement Œufs de Pâques à gogo ! Tu devras forcer la fermeture du jeu pour voir la mise à jour, c'est-à-dire le retirer de la mémoire de ton appareil mobile. Tu devras peut-être même redémarrer ton appareil.
Pour commencer, localise le coin pique-nique de Pâques situé derrière l'avion d'Eddie. Tu verras 3 commandes à la fois. Gagne des points en récoltant les cultures ou en fabriquant les objets requis. Chaque objet qui apparaît au tableau a un décompte différent, ce qui te laisse le temps de tous les obtenir.
Astuce : consulte régulièrement l'étal de la ferme pour voir si tes amis vendent les objets dont tu as besoin.
L'événement Œufs de Pâques à gogo se déroulera du 12 avril au 23 avril, te laissant un total de 12 jours pour te mesurer aux autres joueurs pour une place en haut du classement et terminer les quêtes des Œufs de Pâques à gogo.
Boosts : carottes en or et en argent
Tu peux augmenter le nombre de points de style de 50 % en échange de pièces ou de 100 % en échange de clés. Une fois un boost activé, un décompte s'affiche durant lequel tu ne peux pas acheter d'autres boosts. Les boosts durent une heure et tu ne peux en sélectionner qu'un seul à la fois (les prix peuvent changer en fonction de ton niveau).
Classement :
L'onglet Classement affiche le classement dans lequel tu te trouves. Toutes les personnes que tu connais ne seront pas forcément dans le même classement. L'onglet Classement t'indiquera dans quelle catégorie tu te trouves actuellement (Or, Argent ou Bronze). Tu peux également comparer ta place avec celle de tes amis. Pour plus d'équité, les joueurs seront affichés dans des classements en fonction de leur niveau.
Récompenses :
Les 5 meilleurs joueurs de chaque étape recevront le mastiff, un ouvrier agricole permanent exclusif. Les joueurs dans la section Argent recevront des timbres d'or, des cadenas, des clés et un badge Lapin de pièces. Quant à ceux de la section Bronze, ils obtiendront des timbres d'argent, des cadenas, des gants dorés et un badge Lapin de pièces. Ceux qui ne seront dans aucune section obtiendront du glaçage orange et des moules à bonbons lors de la première étape et 1 000 pièces lors de la seconde étape.
La seconde étape te donne une autre chance de gagner le mastiff. Si tu as gagné le mastiff lors de la première étape, la seconde l'améliorera en un mastiff-lapin.
Remarque : tu ne pourras remporter qu'une seule récompense, pas les trois. C'est ta position dans le classement le dernier jour de l'événement qui détermine ta récompense.
Centre d'intérêt temporaire : Poste de décoration
En face du coin pique-nique de Pâques se trouve le poste de décoration. Tu peux envoyer jusqu'à 4 ouvriers agricoles pour obtenir des objets de l'événement comme des moules à bonbons, du glaçage orange, etc.
Nouveaux objets nécessaires et où les trouver :
On en trouveau poste de décoration, à la clairière de Grand-mère et auprès des vaches et des poules primées
On en trouve au poste de décoration, à la mine Pleinsoleil et auprès des cochons, des rennes et des moutons primés
On en trouve au poste de décoration, à la mare de Papi, à la crique, au moulin aux colverts et auprès des chevaux et des chèvres primés
Astuce : les objets fabriqués avec ces ingrédients rapporteront plus de points de style. Fais le plein de ces objets pour te propulser tout en haut du classement.
Ouvriers agricoles temporaires : Pépin le lapin et le lapin de Pâques
Tu peux recruter le lapin de Pâques et/ou Pépin le lapin pour te donner un coup de main pendant l'événement Œufs de Pâques à gogo. Ils te permettront de trouver les objets rares de l'événement dont tu as besoin et quitteront ta ferme à la fin de l'événement.
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Peint medievale cours donné par une meuf
Partiel- commentaire d'œuvre en novembre
Introduction
476 - début de MA, chute de l'empire romaine. Romulus Augustul - empereur de la partie occidentale, il est battu par un chef Germain Odoacre. Odoacre renvoie à Byzance les insignes impériaux. Les germains se composaient de diff groupes, ils se répartissent en 6 prinicpales « nations » : Alamans, Burgondes, Francs, Vandales, Ostrogoths et Wisigoths. Ils progressent vers l'ouest et sud en IIIe, ils vont progresser plus à partir de VIe. A partir de Ve Occident est morcelé, mais pas désintégré.
L'église va réussir à préserver l'idée d'unité du monde, et substituer à un contenu politique qui a disparu une signification éclectique.
L'oikoumène - communauté fondée sur l'unité politico culturelle du monde gréco-romane. Cette communauté va progressivement se diluer. Une conception nouvelle - unité du peuple chrétien qui remplace oikoumène, qui se rassemble autour St Pierre.
Dès les années 60 Pierre et Paul ont organisé la communauté ecclésiale romaine. Dioceses adopte le découpage des cités et provinces. Rome devient la capitale du pontif.
Le mécénat des papes remplace celui des empereurs. A Rome on conserve les reliques de Paul et Pierre , c'est un lieu de pèlerinage le plus important des chrétiens, Jérusalem est trop loin. Rome demeure le centre de la chrétienté.
L'Italie va suicitueur des convoitises. Pendant des siècles Italie est enjeu de tensions et de luttes.
I .
Italie du Haut MA est gothique, byzantine, lombarde et franque. Avec Odoacre le centre va se déplacer vers le nord (Ravenne). Odoacre est arien - hérétique. Au IVs Arius christianise les gens en leur explication que christ n'est pas le dieu, mais un simple homme. Il est contre le principe trinitaire. => rivalité spirituelle entre les populations barbares. Ravenne est proche de l'Adriatque, point de départ pour des conquêtes (raison strategique). Rome reste le centre de chrétienté. Odoacre va conserver l'ordre impérial, distribue les terres italiennes à ses soldats. Très vite il est menacé par des autres barbares . Il lutte en 488 - 493 contre les ostrogoths (roi Theodoric). Teodoric va s'entourer par des philosophes romaines. On note à Ravenne une renaissance de la culture romaine, extrêmement ponctuelle. Theodoric restera arien qui sera un facteur déterminante que son peuple ne se défuse pas.
Theodoric disparaît en 526, ce que va ouvrir les sévères querelles de succession. La fille de Teodoric Amalasonthe est écarté du pouvoir par son cousin. Elle en appelle à empereur de Byzance Justinien qui reve de recréer l'unité romaine. Il envoie Belisaire à un conquête de 533-534. Belisaire débarque en Sicile, puis il prend Rome, puis Ravenne. Les Goths vont réagir et déclencher la guerre gothique (553). Ce sont les byzantins qui gagnent. Italie devient une préfecture gouvernée par Constantinople.
15 ans après il y a une ��vasion barbare sur Italie, ce sont des lombards, qui viennent depuis IV s de Scandinavie jusqu'au région de Danube d'abord. Ils sont été reconnus comme des fédérés auxiliaires.
En 568 les lombardes pénètrent en Italie, en passant par les alpes, décendent à Rome. Vont occuper le territoire qui comprend la plate de Pio, la Cambrie, la Pulgie, la Toscane, la Campagnie.
Entre 712 et 714 ils essayent d'occuper le sud pour étendre leur royaume, mais ils arrivent pas. Ravenne reste byzantine. Un exarchat - souscription administrative avec un représentant d'empereur à l'étranger.
Entre la fin du VI et milieu VIII s Italie est divisée en 2 mondes diff: la Lombardie (ont fait régresser le pays) et Italie byzantine (riche et instruit).
Un processus amalgame qui va se mètre en place. En 751, le roi lombarde Astaulf occupe exarchat de Ravenne et marche sur Rome. Le pape ��tienne II prend peur, alors il se tourne vers les Francs qui sont dirigés par Pépin le Bref. Ce dernier lance une expédition franque, c'est une série de longues luttes entre Francs et Lombards.
773-4 Charlemagne prend la tête d'un campagne destinée à faire tomber Didier. Charlemagne prend le titre de roi des Lombards en 774. A partir de cette date l'Italie est carolingienne. Il va se retrouver assiégé par les renvoies de Pape car il veut récupérer une partie de terres occupées par Charlemagne. Archevêque de Ravenne refuse de passer sous l'autorité spirituelle de Pape.
776 Charlemagne déjoue un complot qui implique le duc de Spolette, le duc de Benevant, fils de Didier et des byzantins.
781 - fait sacré son fils Pépin le roi d'Italie. L'affirmation de souveraineté élargie. Ce royaume c'est la Lombardie, la Toscane, le duché de Spolette, le duché de Benevant. Le reste ce sont des états pontificaux. On trouve des territoires byzantins: la Vénétie, Istrie, la Campagnie, la Calabre, la Sicile et Sardaigne. Byzantie se retrouve dans les guerres de succession.
Venise a un site portuaire avec une qualité défensive, elle va hériter le port de Ravenne. => va monter commercialement et économiquement.
A la mort de Charlemagne en 814, son fils Louis le Pieux lui succède. En 817 il partage le domaine entre ses fils et Italie revient à son fils Lotaire, puis son fils Louis qui régna la péninsule.
Cet émiettement féodal qui se met en place.
II. Italie féodale : des communes et des seigneuries de Xe - XIVe s
3 pouvoirs vont s'affronter : l'empire, la papauté et les ségnieuries féodales. Le roi d'Italie - l'empereur. Sainte Empire Roman Germanique à partir de Xe s. Les italiens jouent aucun rôle à l'accession du pouvoir. La charge archichancelier est dérivé a duc de Cologne. Des principautés independantes se forment, plus de seigneuries.
Au XII et XIII s la carte politique d l'Italie se simplifie et se complique en même temps. Elle se simplifie : dans le nord le royaume d'Italie et la république de Venise, qui est indépendante. Dans le sud: le êtats de l'église et le royaume de Naples et de 2 Siciles (Sicile et Sardaigne). Ce royaume de Sicile était constitué pendant la conquête des normands - les descendants des vikings qui ont déferlés sur Occident en XI s. Les normands prennent l'Angleterre en 1066. On envoie les cadets pour se mettre au service des puissants dans le sud d'Italie. Au XII s on se retrouve avec des normands - seigneurs d'Italie, ils vont gouverner 3 principautés. Ils ont une reconnaissance légitime. La principauté de Capou, le duché de Pouille, et le comté de Sicile.
En 1127 Roger Guiscard devient roi tout en restant le vasal de l'église et l s'installe à Ravenne.
A la fin de XII s par le jeu des succès on , le royaume de Naples et 2 Sicile les revient au empereur germanique. La famille de Hohenstaufen. Le Pape commence à être inquiet de rester coincé entre 2 Hohenstaufens. Alors au XIII s Pape appelle au Louis IX qui en noir son frère Charles d'Anjoux qui débarque en Sicile pour prendre pouvoir de royaume d'Italie du sud.
Les êtats de l'église se sont formés à partir de Rome. Il s'appuie sur donation de Constantin. Les êtats de l'église se sont agrandis.
On a une multiplication des villes independantes. Les filles s'enrichissent, elle sont peuples. Elles fructifient le volume de leurs affaires.
....
Au XII s Frédéric Barbe Rousse décidé de se positionner en tant que l'arbitre entre les villes. Il devint le chef des partisans de la puissance impériale - gibelins. Certaines villes sont de côté d'empire, d'autres sont conte - les Guelfes. => apparitions de 2 camps : Gibelilns et Guelfes. Guelfes vont s'allier avec le Pape qui est coincé. Les rivalités de ville en ville se multiplient tout au long du MA. On se retrouve en nord avec des évolutions des êtats de l'église : république de Florence, Venise, le duché de Mialn, de Savoie, royaume de Naples et 2 Siciles.
Les premières peintures médiévales
Italie a vu florir les certain nombre pictural, notamment dans le contexte funéraire. Seule témoignage de décoration des tombes - il y avait une tradition de peindre ces espaces.
& - tombe dite des léopards, nécropole de Monterozzi
Nécropole de VI s, a révélé des tombes creuses dans la roches. Parmi 6000, 200 sont peintes. Ces tombes sont des chambres funéraires.
Ces tombes étrusques ( caractéristique - réalisme ) prouvent des échanges avec la Grande Grèce. ( des comptoirs otoctones ?).
C'est en Italie de sud qu'est conservé le seul exemple connu de peinture proprement grecque.
& - tombe dite du plongeur, musée archeolohique de Paestum, Ve av.
Une couvercle avec de jeu de kobatos représente sur les parois. Au plafond, au dessus de défunt - le plongeur: il plonge dans la vie d'au-delà.
Cette tradition picturale, les romains vont l'héritier. Ils vont avoir une activité picturale qui touche toutes les catégories de population.chaque maison comportait de peinture. Dans l'espace culturel elle est également omniprésente. Cette peinture connaît grâce au Vésuve en 79av. Cette peintres est avec le traitement de la perspective selon Vitruve. On a parfois des figures; les peintures majoritérement à caractère mythologique. On a aussi des petites figures, réalisées par petites touches. Dans le monde Romain il n'y pas que peinture qui apporte des couleurs, amis aussi la mosaïque ( des sols, parement, pavement ). Association des sols en mosaïque et des murs peints qui fonctionnent ensemble. => sert d'exemple au MA. Cette mosaïque est souvent très réaliste et très colorée.
Les premiers peintures chrétiennes
& - maison chrétienne de Doura Europos, Syrie, ≈230.
Seul exemple connu de titulus : paroisse primitive. Dans la maison - une piscine (grande cuve) destiné aux catéchumènes. On a des peintures dans les 2 grandes pièces, l'iconographie montre qu'on a avoir avec les culture chrétienne. ( & guérison de paralytique; & Christ marchant sur l'eau).
=> la preuve que des chrétiens avaient la peinture figurative historiée.
A Rome on a eu des nombreaux tituli. Qui sont disparu après 313 parce qu'ils étaient transformes en églises. En revanche, un contexte très riche, c'est le contexte funéraire. Les romains enterrèrent les morts à l'extérieur de la ville : pomoerium. Les loculi pour des citoyens modestes où on déposait les corps ou des cendres. Les cubicula : pour les familles (gens). Ils étaient peintes. (& rois mages et vierge dans les catacombes de Priscilla). Des arcosolia pour des riches, ou décor peint figuré est extrêmement important.
Avec les premières peintures on a pas toujours certitude qu'on a avoir avec la peinture chrétienne. Pour en dire, il faut qu'il existe d'autres éléments autour pour certifier l'iconographie chrétienne. (& Bon pasteur).
& - cimetière majeure, Rome
Un contexte chrétien, car on a le chrisme. Une femme représentée en prière (orante) avec un enfant. Probablement il s'agit d'une femme chrétienne. La vierge est toujours présente dans les thèmes : adoration des mages = thèmes liés à la vie de son fils.
On représente pas que la vierge, on représente les défunts, d'orants dans les jardins assez sombres (jardin = paradis). On nome chacun des saints, pour pouvoir être identifiés comme chrétien au moment de jugement dernier.
Scène de repas ne sont pas entièrement réservées aux chrétiens. Les romains avaient habitude d'organiser in situ des agapes funéraires. Ces repas sont souvent représentés dans les décors funéraires. Les premières peintures chrétiennes sont peintes par des romains => les thèmes qui passent du monde païen au monde chrétien. Quand on a des représentations à caractère purement évangélique, on est sur d'être dans les monde chrétien. (& sacrifice d'Isaac, Daniel dans la fosse aux lions, catacombes des saints Pierre et Marcellius). On a un certain nombre des représentations d'épisodes de vie de Christ, évocation de ces miracles.
Après 313 (édit de tolérance de Milan, on va construire des églises), c'est la Rome où on à l'évolution de la production picturale. À l'autorité constantienne que l'on doit les fondations des premiers églises.
& - St Jean de Latran, la cathédrale de Rome construit par Consantin.
L'édifice actuel date de XVIIIs. St Jean Latran dévient le siège épiscopale de Rome. Il fait construire sur des résidences impériales. Cet édifice était accompagné de baptistère, le tout premier qui sort de domus ecclésia. Le baptistère est consacré en 324 par Sylvestre I. Le pape en personne baptisait des catéchumènes dans cet édifice. Ce baptistère a disparu et a été relancé par un édifice construit en 432 qui existe en partie mnt. Celui d'origine était une simple chambre alimentée par une source naturelle. Ce baptistère conserve que 2 mosaïques anciennes, une de Ve s uniquement ornementale, et une autre du VI s qui présente Christ accompagné par des saints et anges. On a rien de la décoration d'origine.
& - St Pierre, la basilique construite par Constantin.
Une structure oblongue avec un spina au milieu : cirque. (Cirque de Piazza Navonna) , une autre structure - nécropole à côté du cirque. Consantin fait construire un édifice de très grande ampleur pour abriter la tombe de St Pierre. C'est pour la première fois qu'on a un plan de forme de croix (transept). A intérieur il y a avait un édicule installé au dessous de tombe de Pierre. A l'epoque de basilique de Consantin on y construit un autel majeur. Il y a un mausolée de Julii avec une mosaïque qui représente Christ en Dieu-soleil. Il reste rien de décoration picturale d'origine. Mnt on pense qu'il n'y avait peut-être pas de décoration à St Pierre et à St Jean de Latran.
Il existe quand même des œuvres de l'epoque de Constantin dans un contexte funéraire. Et le seule édifice qui conserve des décorations c'est & - un mausolée de Ste Consatnce. Ce n'est pas un édifice public, c'est un édifice impérial. Ça a devenu une eglise de 1254. On y accédait par des flancs d'une basilique de Ste-Agnes hors les murs. C'est une basilque-cimitiere qui a été érigé entre 332-350 par la fille de Consantin Constantine. C'est un édifice de 3 nefs, précédé par atrium. En l'intérieur on a une pièce fermée dont on s'explique pas le destination. On a une basilique honorienne qui a été construite en VII s sous pape Honorius I. Ste Consatnce qui a été érigé dans les traditions des mausolées romaines, afin de recevoir le corps de la fille et sœur de Consantin, qui présente une structure comparable à celle de Panthéon. Les sarcophage était dans un niche central. Les colonnes sont surmontes des capitaux composites quoi proviennent des édifices antérieurs. Une coupole qui n'a pas conserve des décorations, en revanche à l'intérieur on a des mosaïques. Un décor qui alterne les éléments ornamentales avec des éléments figurés. On a des éléments transposées dans une vision doucement christianisée. (& les rinceaux - les vignes => sang du Christ) on a des corps profanes, la vigne est un sous texte qui couvrir la voûte; des enfants qui ramassent les raisins, le transportent et qui le jettent sous les pieds -> transforment en vin. Le sujet est profane, mais le sens est chrétien (Jean XV 1-17, Christ se présente en étant la vigne). Constantine choisit une décoration antique, mais le sujet qui fait référence au christianisme. Exemple de syncrétisme.
On a 2 petites absidioles de 2 cotées de niche principale, qui conservent 2 mosaïques. C'est une illustration de thème chrétien. Ce sont Traditio Legis ( Christ en l'air - scène imaginée, inventée par l'église, St Pierre et St Paul a ses côtés; le parchemin qui symbolise le pouvoir) et Traditio Clavium (Christ remettant les clés à St Pierre/ pe Moise). On a un complément de cette décoration de la voûte, un complément assez fort. ->Ce sont des œuvres les plus anciennes.
Ils s'inspirent des basiliques civiles qui etait pourvues des décors.
& - Ste Marie Majeure, Ve
Édifice qui correspond à un changement, c'est la première grande édifice à être fondée par le pape et pas par l'empereur.
L'édification de cette eglise marque un changement d'abord dans la personnalité (c'est le pape Sixte III (432-440)qui se charge de la constrcution).
1741-47 - la reconstruction
Dès sa création eglise etait dédiée à la vierge. On conserve 3 nefs à l'intérieur. La structure est classique de construction basilicale. Fuga conserve la construction, il l'a réhabille. Il a conservé en dessous des entablements des mosaïques, et les mosaïques au dessus de l'arc triomphal. 2 ensembles de mosaïques de styles différents. Sur les murs nord les mosaïques consacrées à genèse. On a des tableaux dans le cadre général. On donne la classe aux encadrement, on encadre chaque scene. En face, sur le mur sud on a des épisodes de exode. Sur l'arc triomphal : sauveur et son avènement et son royauté.
Ces tableaux ont 2 registres de lecture.
& - le passage du Jourdain, 440
Mosaïque traditionnelle romaine.
& - Josue envoyant deux espions
Les paysages qui sont présents régulièrement.
& - l'histoire de Moïse
2 scènes superposées.
Les mosaïques de l'arc triomphal présentes les scènes évangéliques liées à l'enfance de Christ. Hetimasie : thème de trône vide. Pierre et Paul de côtés. Sur le trône - la croix. (Croix glorieuse). Le trône qui attend le Christ quand il reviendra. C'est un thème des temps derniers. Les scènes de l'enfance qui entourent le scene de trône. Dans presque toutes ces scènes la vierge est présente entourée des anges.
C'est le consile d'Ephese de 431 au cours duquel fut proclamé le dogme de maternité divine de Marie.
Inscription : "Sixte évêque agit pour le peuple de Dieu." Elle implique que cette eglise, ces mosaïques ont été faites pour le peuple. Cette inscription peut nous renseigner sur la dimension pédagogique.
La peinture murale de l’epoque chrétienne
Dans eglise de Ste Marie Maggiore on est convaincu de la prèsence de 2 ensembles de mosaïques. La peinture de l'exécution plus rapide, elle est plus économique, elle a été choisi pour couvrir les vastes espaces. On réserverait la mosaïque aux certains espaces sacrés. Prosbytarium: partie de l'édifice où lequel seul le clergé a le droit d'accéder. La mosaïque est une technique coûteuse. Les teselles sont souvent en pâte de verre, parfois dorées, parfois en pierre et en brique. Cette technique est longue, elle a une valeur de perpétuité qui fonctionne avec la perpétuité liturgique. Elle a une forte valeur emblématique.
On s'inscrit dans la continuité, le passage de la peinture antique à la peinture médiévale sans rupture. Il se créée de nouveaux cadres spirituels. Au cours de 5-6 s, s'affirme la primauté de siège Romain. Une autorité spirituelle et politique croisante qui va être associer au prestige de l'Urbs. Rome est un lieu de pèlerinage. Les premieres plus anciennes peintures sont conservées à Rome.
On a peu des éléments à notre disposition , et il y a trop peu d'œuvres, pour qu'on puisse faire une synthèse précis. On a un déficit des sources. On dispose des compositions peintes fragmentées, voir superposées. Grâce au parrainage du pape qu'on les dispose.
Les artistes, les maîtres d'ouvrage n'ont eu que l'embrayage du choix. Il y a des artistes étrangers et locaux. En 636 Rome se rétrouve rattaché à l'empire byzantine.
On a un tournant byzantin a partîr de 6e s. On a des artistes constantinopolitains, et Rome de 6 au 8 va être en creusée de peinture romaine et byzantine. On se rétrouve face au syncrétisme artistique entre les artistes byzantins qui ce confrontent aux compétences des artistes locaux. On a une variété stylistique.
Les premiers exemples on trouve dans les catacombes. Ils étaient mieux conservées que les lieux de culte. Après 313, les certains espaces ont pu être transformés en lieux de culte. Ce sont en qq sorte les premières reliques. Ces lieux sont moins exposés à l'extérieur.
Des certains espaces sont pourvues des peintures.
& - Catacombe de Commodille
Ces catacombes ont été retrouvés en 1903. Elles doivent leur nom à certaine Commodille. Félix, Adaucte, Nemesius et Mérita. Félix etait un prêtre qui a été accompagné par Adaucte à la mort. Ils ont été martyrisés au 4e s et c'est sous pontificat de Sirice (384-399) qui fait aménager dans les catacombes une petite basilique souterraine, mettant au centre le tombeau de St Felix. Cette basilique est organisée à partir de cubiculum d'origine. On conserve de diff peintures de diff époques. & - St Luc représenté encadré sur un pilier, 7e s. St Luc est représenté pour la 1re fois avec un sac duquel dépassent les instruments du chirurgie.
& - image en buste du christ, pas encore pourvu de crucifère. C'est la plus vielle image de Christ barbu qui nous est parvenue, accompagnée de Alpha et Oméga. Une peinture avec une touche dynamique, libre.
& - representaion au dessus d'un arcosolium. On a représente à la fin de 4e s la Traditio Clavium : Chrsit remet la clé à St Pierre. De l'autre côté St Paul qui porte dans ses mains les rouleaux symbolisant que le Christ l’a désigné le défendeur de la doctrine de la foi. Cette composition s'inscrit davantage dans la sphère d'influence byzantine, notamment avec les peintures de cul-de-four de St-Vital de Ravenne.
C'est encore plus marqué dans la scene de 6e s. On rétrouve le principe de la scene encadrée. On peut parler de tableau systématique.
& - une des plus anciennes images de Christ et sa mère. Vierge à l'enfant trônante frontale, encadrée par Felix et Adaucte qui présente une Turtura qui est la maîtresse d'ouvrage de cette peinture. Il s'agit d'un ex-voto.
Une édifice romaine qui est un conservatoire des peintures de 6,7 et 8. C'est Santa Maria Antiqua.
& - Santa Maria Antiqua
C'est pas une eglise traditionnelle, elle est etablie dans 5ème siècle, dans un espace profane. On est dans un contexte civil. Une eglise faite à partîr des éléments d'architecture qui existent déjà. Elle est mentionnée comme etant un siège de diaconie : établissement de bienfaisance. On s'est servi d'un bâtiment existant déjà. La fonction de diaconie justifie la structure . Cette eglise et des peintures qui ont été mises à jour en XXs. Une structure inhabituelle, avec des successions des espaces. ¿Pourquoi cette eglise est la seule à avoir conserver des peintures de 6-8s. ? Parce qu'elle est très vite abandonnée, au 9e s on a transféré sa paroisse dans une seule eglise construite sur forum. Au 9e siècle il y avait un tremblement de terre, et la grande partie de l'église s'est effondrée.
La composition très structurée avec un tableau central : emblémata. Une des plus anciennes composition se trouve dans l'abside.
& - Paimpseste.
On peint sur un enduit, alors on peut superposer des couches.
Paimpseste : thème qui concerne le parchemin. La création est longue, alors la production très coûteuse. Paimpseste qui est attribuée à un parchemin réutilisé. Ici on a trois couches de peintures. On a perdu la partie basse de la peinture. Un ensemble avec 3 couches superposées visibles, en stratigraphie on voit qu'il avait des fragments de marbre qui pouvait couvrir le mur.
La 1re couche : vierge à l'enfant, une de plus ancienne compositions de Ste Marie Antique. Vierge était accompagnée d'un ange lui offrant la couronne. Cette image est proche dans sa présentation (peinture très épaisse , presque sculpturale) aux mosaïques de St-Vital de Ravenne (mosaïque de l'imperatrice Théodora).
2e : visage probablement de la vierge , probablement scene de l'Annonciation avec l'archange à côté. Visage de la vierge est plus souple, travaillée différemment. L'influence byzantine est au service de savoir faire.
3e : Annonciation. A l'époque à Rome il avait pas des reliques de la vierge.
Cette peinture marque une rupture, un nouveau courant pictural. Peinture très douce, naturaliste. Au 7e s on est près à la peinture locale, c'est le 1ere renaissance, influence de la peinture antique. On a parlé de renouveau de l'hellénisme.
& - solomon et ses fils
Touche vive, les contours byzantins sont disparus, c'est les couleurs qui font la composition. On commence à avoir les représentions sur le fond des bandes colorés -> médiéval. Ce qui conte c'est la signification de l'image. Des 7e s on s'intéresse ala peinture antique.
& - crucifixion, milieu 8e
Christ habillé avec une structure extrêmement minimaliste.
On a des représentations des pères de l'église et des saints. Des certaines portent les cartouches avec des inscriptions en grec, certains rapportent sur le consile de Latran de 649. On a aussi des scènes de martyre.
& - Christ entre 2 saints, milieu 8e
On s'interroge sur l'existence des peintures sur panneaux. Les romains s'inspirent des panneaux grecs. Il s'y s une tradition antique de panneau sur panneau. On a perdu la plupart des traces. Il reste une.
& - icône de Jean VII, Santa Maria in Trastevere
Permet d'éclairer L'importance de la vierge, elle est omniprésente, qui peut s'expliquer par l'absence des reliques de vierge.
Pape qui règne 2 années, à une grande activité de maître d'ouvrage. Il a doté grand nombre d'églises des icônes (Lyber pontificalis). C'est un constantipolitain proche de pouvoir impérial du côté oriental. Il y a série des papes qui sont pas romains.
On peur supposer que cette œuvre était exposée à Santa Maria Antiqua. Cest une icône acheiropoiete. On considère que certains nombre des icônes réalisées par le pouvoir divin. Elle présente vierge à l'enfant avec des anges. Il y avait une inscription sur le cadre d'origine qui racontait l'image, elle explique qu'il faut voir la stupeur des anges à la vue de la vierge présentante enfant. C'est très inhabituel que l'inscription aide à comprendre l'œuvre. Pe Jean VII était représenté en bas. Cette icône fait référence à tout ce qu'on a pu perdre.
Cette icône est byzantine par forme et l'esprit.
En dehors de Rome, on a un exemple d'Eglise Santa Maria di Castelseprio. On est pas sur la datation. On est hors de contexte romain. Cette église conserve 15e de scènes qui composent un cycle christique. On à des peintures marquées par la peinture antique.
Une représentation de Chrsit en buste, et sur l'abside principale - série des petites scènes peintes sans organisation narrative, on a pas de cadre. Ce sont des scènettes brossées, avec une touche très légère. On a & - l'adoration des mages : touche très dynamique, les tonalités douces (très usées), jeu de transparence mise en perceptive. & - La présentation au temple, la représentation de songe de Joseph. Aucune source textuelle, trace historique. Pour certains ces peintures font partie de renouveau de VII e (SM Antiqua), on est très proche stylistiquement, sauf que pour certains elles peuvent pas être les peinture de renouveau, car c'est attaché qu'à Rome, et ici c'est un endroit très éloigné. Pour d'autres, André Grabar et M.Durliat, c'est "la source de l'un des courants les plus séduisants de la peinture carolingienne." Toute la culture carolingienne cherche à faire More romano : plus romain, que les romains. Donc ces peintures y appartiennent et s'inspirent de la peinture romaine. La peinture carolingienne se caractérise par la diversité stylistique, c'est aussi le retour a l'antique. Ils comparent ces peintures avec Psautier dit d'Utrecht avec cette touche spontanée et traitement spatial. Et 3e théorie, c'est Weismann qui pense que cet ensemble est " l'expression de renouveau de l'art antique qu'on connaît à Constantinople au Xe s." Ce sont des artistes qui viennent de Constantinople pour peindre.
Le MA a toujours puisé dans le substrat antique.
Ravenne
On s'intéresse au production paléochrétienne. Entre en histoire en début de Ve s. Empereur Honorius qui décide d'y établir sa résidence. Son choix est lié à la sécurité. Ravenne avait ouverture sur la mer Adriatique, mais un accès un peu protège, car elle était entourée des terres humides qui formaient des canaux qui formaient la défense. Honorius commence les travaux, il a pris la construction d'église à 5 nefs, qui a été détruite après. A sa mort en 423, sa sœur Galla Placidia, s'installe à Ravenne. Elle va épouser le roi des Visigoths. Puis elle épouse Constance qui est général d’Honorius. A la mort de Constance, il Gala Placidia va en l'exilé à Constantinople fait par son frère. Après 2 ans et a la mort de son frère elle retourne. Elle a un fils et une fille, elle devient régente de son fils Valentine III. Elle s'installe à Ravenne, car son frère y a fait une capitale. Elle va être a l'origine de la création des certains édifices. Elle va faire édifier une basilique a 3 nefs dédiée à St Jean Évangéliste.
& - Eglise de St-Jean Évangéliste, Ve s
Une édifice en brique, très sobre. l'intérieur est tout aussi sobre que l'extérieur. On conserve aucune décoration intérieure. Mais on conserve à proximité de l'église une chapelle, un oratoire, qu'on appelle mausolée, car il conserve certains nombres dès sarcophages, mais ce n'est pas une mausolée. C'est très austère à l'extérieur, un édifice en crois grec, on a au centre - une élévation. C'est une édifice réalisée aussi en brique, d'une grande sobriété. A l'intérieur, la totalité des parois est couvert des mosaïques, on a juste une plainte en calcaire. L'ensemble date de 2e quart de Ve s, après 423. Une création "pré-byzantine". Ces mosaïques sont pas byzantines.
C'est le contraste voulu qui bouleverse le plus. On prépare le chrétien psychologiquement, et puis à l'entrée le contraste choque le spectateur. La référence à l'antiquité est présente. Les rosaces stylisées qui font penser au décor des arcs de triomphe. Puis les motifs des jeux visuels, qui sont très bien maîtrisés.
C'est la profusion de mosaïque qui couvre tout l'espace de l'église qui est nouvelle.
On a aussi de l'iconographie. Sur la calotte de la coupole : la croix glorieuse au centre des centaines des étoiles, et aux angles - les symboles des évangélistes.
Sur les tympans au-dessus des arcs - des représentations 2 par 2, encadrant une fenêtre, les apôtres. Fermeture de fenêtre - albâtre qui a un effet de translucidité. Denis l'Aréopagite écrit : "La lumière est Dieu". La lumière qui passe à travers est très particulière, très douce. Les figures des apôtres sont tournées vers la fenêtre et vers la croix. En dessous - la représentation de 2 colombes s'abreuvant sur la même coupe.
En face de l'entrée : un tympan avec la représentation de St patron de l'oratoire - St Laurent (martyrisé en 210 à Rome). Il est représenté avec l'objet de son martyre - la grille. Il porte une croix dorée sur son épaule, qui évoque le triomphe de martyre. Le livre qu'il tient pe est le livre de Vie, ouvert au moment de l'apocalypse. Sous la baie - la représentation de l'objet de son martyre. A côté - une armoire ouverte dans laquelle sont exposés les 4 évangiles.
Au revers de l'entrée : la représentation de bon pasteur. Iconographie qui puise dans le mode post-antique.
=>Une polychromie jubilatoire, avec un art chrétien qui exulte.
A partir de ces mosaïques il y a une rupture nette dans la conception de la représentation. On cherche à créer un climat spirituelle, c'est qui compte - c'est l'effet que l'image produit, ce qu'elle signifie. L'image vraie est désormais celle qui permet de percevoir le monde spirituel.
Le chrétien voit par le Christ, et on essaie de concrétiser ça dans les œuvres. On rejeté certaines valeurs matérielles en bénéfice des valeur spirituelles.
On cherche à dématérialiser les choses, à exprimer les sens spirituels. On essaie de recréer qqch de divin.
Qq années plus tard, vers 450, on a une autre édifice - & - baptistère néonien dit des orthodoxes (orthodoxe - respect strictement de la doctrine). On l'appelle comme ça pour différencier d'un baptistère arien. Un édifice de plan octogonal, scandé par des petites exèdres. On reprend les schémas d'oratoire de Galla Placidia. Au centre - cuve baptismale. A l'époque carolingienne on commence à baptiser de la naissance. Un décor avec des éléments ornementaux inspirés de l'antique. Le pavement à l'antique devient le parement ici. On a des représentations des saints, des catéchumènes. Des figures masculines, sans des attributs, qu'on pense d'être les chrétiens. Le baptême est fondamental à cette époque. On rentre dans l'eau pêcheur, on meurt, et on ressurecte.
Autour - des chapiteaux de stuc sur des colonnes en marbre. En partie haute on a aussi des stucs, avec 16 personnages (probablement d'AT). Sur la coupole, on a représentation du collège apostolique. Sur la partie basse de la coupole, on a une alternance de mosaïques représentant un autel et un trône (parfois avec la croix) - trône vide de l'hetimasie . Sur la coupole - des apôtres portant la couronne des élus. Au centre - St Jean Baptiste.
Un ensemble de mosaïque qui s'inscrive dans l'ensemble de Galla Plastidia. On y retrouve des traits propres à l'antiquité au service de nouveau message, avec le renouvellement des modes d'expression de l'antiquité. On assiste à la formation de l'esthétique formelle, radieuse. On assiste à des évolutions par rapport à l'époque antique. Cet art "pré-byzantin" on peut considérer comme la prolongation de l'art constantinien.
En IV Ravenne est sous les Hérules avec Odoacre; puis Ostrogoths avec Théodoric (490-526). C'est un roi barbare, romanophile. Il développe une cour avec des autours romains (Apollinaire, Cassiodore) qui vont faire de Ravenne une période culturelle et artistique. Théodoric est arien.
Les barbares à Ravenne sont les seuls qui peuvent porter les armes. Théodoric est un grand bâtisseur.
& - Baptistère des Ariens, ≈ 495
Un édifice comparable à baptistère néonien. Un édifice de plan centré, plan traditionnel depuis St Jean Latran. Au centre - le cuve baptismale. Un édifice en brique, qui est très couramment utilisé. Manifestation de pérennité des matériaux et techniques. Briques allongées.
Il manque une partie de décor. Pe on avait le décor de peinture qui complétait le décor de mosaïque. On laisse jamais la pierre apparente.
La coupole et ses mosaïques sont semblables aux mosaïques de Baptistère des orthodoxes. Iconographie est pareille, mais le traitement est différent.
Au centre de médaillon - le baptistère de Christ., avec le colombe de St esprit et allégorie de Jourdain. Autour de médaillon on retrouve la procession des apôtres disposés entre les palmiers. Les apôtres cachent leur main et ils portent une couronne des Élus.
Autre élément - le trône : hetimasie. C'est le premier élément qu'on voit en entrant. De part et d'autre on a localisé des apôtres qui portent pas les couronnes : St Pierre avec la clé et St Paul avec un parchemin.
L'iconographie est troublante. On insiste sur la dimension divine de Christ. Ca nous conforte qu'ils sont pas juste inspirés de Baptistère néonien. On a une évolution. En comparant les apôtres de 2 Baptistères, pour les arien : une figure bcp plus sombre, hiératique, plus de raideur, mouvement moins naturel; pour l'autre : travail avec plus de mouvement.
& - chapelle de L'Archevêché
Évêque Pierre II (499-519)
Chapelle privative. Les mosaïques sur abside. On note une évolution nette. On retrouve la croix entourée des étoiles, mais c'est bcp plus statique, sobre.
Sur la voûte d'arêtes - omniprésence de doré. On évoque la grandeur divin a travers le chrisme, porté par 4 anges.
Sur les arcs - série des représentation dans les médaillons : saints et saintes. Christ est jeune et imberbe.
Le règne de Théodoric est considéré comme une sorte de renaissance.
& - st-Apollinaire-le-Neuf, ≈ 495
Eglise palatine de Théodoric. Ne présente plus comme à l'époque. Le XVI s a modifié toute la lecture de terminaison orientale.
Un édifice qui illustre les difficultés qui peuvent avoir de déterminer les campagnes de décoration.
1.Arrivée des Byzantins avec Justilien.
C'est Théodoric qui fait réaliser l'église et la partie de décor de mosaïque. Elles étaient après complétées. Justilien charge évêque Agnellus (557-571) de reconvertir église au culte catholique. On modifie et ajoute les mosaïques.
Les mosaïque essentiellement au vaisseau central, sur les fenêtres hautes. Sur le mur sud : litanie des saints (succession), tous dans la même position. Entre les fenêtres hautes - succession des personnages différents - pères de l'église et docteurs de la loi. Tout en haut - des motifs des conques, des panneaux qui évoquent la vie du Christ (12 de chaque côté). De côté nord : litanie des saintes.
=> les mosaïques réalisées à partir 557. Une plastique particulière, plus de hiératisme, les matériaux différents.
La litanie des saints, les saints regardent tous vers l'est, vers l'abside. La litanie des saintes c'est la même chose, à partir 557. Elles se dirigent vers l'abside. Elles ont toutes la couronne des Élus.
A la fin de composition des saints on trouve St Martin. Or Agnellus place édifice sous la tutélaire de St Martin, c'est lui qui guide la litanie. St Martin porte la couronne des Élus, il les guide vers le Christ trônant, accompagné de 4 anges, et qui accueille les saints qui viennent lui rendre hommage dans le Jérusalem céleste. De l'autre côté, les saintes sont guidées par les rois Mages. Ils les guident vers la vierge à l'enfant qui accueille les saintes encadrées par des anges.
Cette iconographie permet nous affirmer que cette partie a été faite après 557.
Les panneaux appartiennent au décor de Théodoric. & - évocation de jugement dernier avec des brebis . & - scène de la pêche miraculeuse. & - le portement de croix : format plus petit. & - la résurrection du Christ : la physique distincte de mosaïque postérieure.
Les mosaïques disposées au revers de façade : des éléments d'architecture. D'un côté : succession des bâtiments avec des inscriptions qui évoquent Ravenne et Classis (port de Ravenne). De côté nord : représentation avec inscription Palatium, des arcades de part et d'autre avec des rideaux. On remarque des traces des mains et des têtes. A priori, suite à la conversion de l'église, on a retravaillé les mosaïques de revers, on a fait disparaître des figures disposées sous chacune des arcades par des rideaux. On a voulu représenter le palais de Théodoric, ces personnages devaient être les nobles de palais. On pense que c'est l'évêque qui chargeait de changement de décoration qui a fait remplacer les personnages et le roi.
Justilien va se faire représenté à St vital. Or que avant on a jamais fait ça, alors on peut penser qu'il aurait eu idée de se représenter en tant que souverain a partir de mosaïque de l'époque de Théodoric. Justilien et Agnellus ont repensé et modifié le décor en le respectant.
& - St-Vital, 521-532
Un édifice de plan centré. On a pendant longtemps attribué l'édifice a Justilien. Les documents relatives au financement de construction de St vital, plus la partie de décor, ont rendu à Théodoric le maîtrise de l'ouvrage. On a représentation d'un évêque sous le règne de Théodoric; l'analyse archéologique prouve que l'édifice s'inscrit dans les édifices de martyrium romain (& - St constance) et architecture romaine. On a une tradition en Occident de martyrium de plan centré. Ces éléments nous ramènent pas à Byzance, mais à Rome. A Byzance il y a 2 constructions en même temps: St Sophie de Constantinople et St Serge de Bacchus. Ces édifices procèdent pas de la même façon.
Par contre, les mosaïques ont été rajoutées par Justilien sur un support déjà bâti.
Évêque Ecclesius (521-532), c'est un élément clé, car il est nommé, et sa présence nous permet d'attribuer le maître d'ouvrage à Théodoric.
Une structure cohérente : 2 octogones à l'extérieur et à l'intérieur, avec une grande abside précédée de travée droite. Et c'est là où sont conservées les mosaïques de fin de Ve et milieu VI. Sur la coupole aujourd'hui c'est un décor complètement baroque.
St vital est considéré comme St patron de Ravenne et été martyrisé en Ie s.
C'est un martyrium : édifice destiné à mettre en valeur le tombeau.
L'abside principale avec la mosaïque sur 2 côtés : un avec Justilien, autre avec Théodora. On trouve Ecclesius - maître d'ouvrage, il tient dans ses mains une représentation de St vital, il est introduit par un ange au Christ. A sa droite autre ange introduit St vital a qui Christ remit une couronne des Élus.
Les chapiteaux très ornés.
De part et d'autre : sacrifice de Christ.
La mosaïque de la voûte : agneau de sacrifice, dans un médaillon porté par 4 �� anges. Sur les côtés : des représentations des apôtres. Christ dans un médaillon entouré des poissons.
Dans les lunettes : sacrifice d'Abel et Melchisédech. De l'autre côté : Abraham accueillant des anges et sacrifiant Isaac.
Sur le panneau de côté de l'entrée de côté nord : Justilien avec sa cour, des hommes d'église, des laïcs; la présence de chrisme. On note une expressivité de chacun des personnages, ils sont tous très individualisés. Justilien tient un plat en or, vraisemblablement une évocation de patène : plat qui reçoit des hosties. En face de lui : son épouse, Théodora accompagnée des femmes. Elle est représentée croulante sous les perles. Elle tient un calice. Ces 2 panneaux encadrent l'autel majeur. On a attribué aux roi et reine des objets importants. => On évoque le sacrifice.
Sacrifice de Christ qu'on commémore lors de l'eucharistie avec le rite de Transsubstantiation (le fait que le pain devient le corps, et le vin - le sang = complètement catholique).
Iconographie impériale : Justilien a pu être inspiré de Théodoric, il montre sa contribution directe au rite de transsubstantiation.
& - st-Apollinaire-in-Classe (à Classis), ≈ 550
Période entre Théodoric et Justilien.
Edifice qui conserve les mosaïques dans on abside. Elles sont à situer après Théodoric et avant Justilien. Les maîtres d'ouvrage ecclésiastiques construisent un décor plus sobre.
La dernière œuvre des ostrogoths.
Sur le cul-de-four : la croix eu centre, la représentation d'Elie et Moïse (grâce aux inscriptions), avec décor extrêmement naturaliste. Sous la croix : le personnage principal - St Apollinaire - c'est le 1er évêque de Ravenne. Il est considéré somme un des 1rs disciples de St Pierre. C'est a lui que St Pierre a demandé d'organiser Ravenne.
Les brebis alignés sont 12, symbolisent le collège apostolique. St Apollinaire est représenté comme pasteur qui réunit des brebis. C'est lui qui diffuse la parole de Christ. Une composition très sombre et épurée.
Les arts de la couleur dans l'Italie carolingienne
Après les byzantins, arrivent les lombards. Les carolingiens occuperont une bonne partie d'Italie. Les carolingiens vont pérenniser l'usage des mosaïques. Après époque carolingienne le mosaïque de parement est finie.
À Rome, on a des ateliers, savoirs faire.
& - Ste-Praxede, 817-824
Décor est daté. Après la mort de Charlemagne, Italie sous l'empire carolingienne. Les carolingiens en Italie s'inscrivent dans la tradition de décorer les absides avec de la mosaïque, et les murs de la nef avec de la peinture murale. De cette dernière il nous reste pas grande chose. D'après les relevés de peinture, on avait des scènes de martyre.
Dans cette église on a une petite chapelle : St-Xénon, ouverte sur la nef de côté nord. Elle est intégralement décorée de mosaïque. C'est un édifice a reliques.
Les mosaïques de l'abside s'organisent en 3 temps. Le 1er arc avec représentation de Jérusalem céleste : Christ, anges, apôtres, anges qui accueillent les élus. Ils ont tous la main recouverte et portent une couronne des Élus. En bas - répétition des fleurettes; en haut - des nuages. Des élus - tous les classes.
De l'autre côté : on a en plus 2 figures : St Pierre et St Paul. On note la gamme chromatique : on a une variété chromatique. On a des figures bcp plus figés, raides. Ici c'est pas un hiératisme volontaire, la c'est une raideur plus graphique et plastique. On répète les mêmes fleures et nuages.
On perd en monumentalité, H:≈40cm.
=>le plus grand ensemble de mosaïque de parement. Illustration directe de pérennisation.
?Pérennise une tradition interrompue de mosaïque de parement, issu de l'épique carolingienne.
More romano fait référence à l'antiquité romaine.
Les murs de la nef ont été recouverts de peinture, de qu'elles ne reste quasiment rien. Mais on dispose des relevés de 19 s.
On a recours à la hiérarchisation de décor et sa organisation narrative.
2e arc :
La représentation de l'agneau sur un trône, des évangélistes. Sur le côté - 24 vieillards - évocation de l'apocalypse. Ils chantent la gloire du Dieu de la fin des temps. C'est "stéréotypé", répétition des motifs. La lecture des mosaïques précédentes. Un changement dans la palette - un peu plus rude (doré extrêmement fort). Sur le cul-de-four on trouve image de Chrsit, fils de Dieu. La main de Dieu portant la couronne des Élus sur sa tête, la figure est suspendue dans les airs. La figure plus grande que les autres. Chrsit qui marche sur des eaux de Jourdain. Dessous, on retrouve l'agneau - symbole de sacrifice de Christ, pour rappeler qu'au moment de l'apocalypse il peut revenir pour instaurer le royaume. Agneau sur un petit piédestal et de chaque côté 6 brebis, allégorie de collège apostolique. Les perso qui entourent le Christ - St Pierre et St Paul, ils attrapent chacun une sainte pas épaule : Ste Pudencienne avec Ste Praxede. Elles sont présentées au Chrsit, elle se comportent au instar des autres élus. Sur le côté - un diacre, qui porte une petite architecture - St Xénon. Et de l'autre côté - Pascal I avec un nimbe carré (était vivant au moment quil a été choisi saint). De part et d'autre - des palmiers, dont celui à côté de Pascal I, porte un phénix, qui est un symbole de la résurrection. Ces 2 arbres symbolisent la nouvelle (avec phénix) et ancienne alliance.
C'est à Rome qui Pierre et Paul ont organisé l'institution ecclésiale - c'est pour ça qu'ils sont représentés 2 fois.
Des peinturées monumentales sur 3 registres histories. Au 19 s on a relevé certains éléments, on avait des histoires géographiques : vie terrestre des martyrs.
A l'époque carolingienne on réfléchie à l'organisation des églises pour mettre des reliques en valeur. À Rome on dispose de très nombreux reliques des martyrs.
A la proximité - une chapelle St-Xenon, qui ouvre sur le côté nord de l'église. Pascal I est toujours le maître d'ouvrage de chapelle et des mosaïques. On a moins impression de stéréotype. On a une profusion d'or importante, on représente le Christ à la fin des temps. Sur une voûte on retrouve Paul et Pierre qui présentent les trône vide. On note la maîtrise de l'espace architectural. En face - 2 perso : la Vierge et St Jean Baptite qui font écho au jugement dernier. Sur des autres médaillons : l'image de l'agneau pascal. En dessous : Théodora, maman de Pascal I, pour qui il a fait érigé cette chapelle. Elle accompagnée de Vierge, Ste Pudencienne et Ste Praxede.
On a des mosaïques à St Santa Maria Domica, où Pascal I est représenté avec le nimbe carré.
Ces mosaïques illustrent ce goût pour des techniques et des supports issues de l'antiquité On se limite pas à l'usage de mosaïque et peinture murale, on renoue une tradition romaine - associer le stuc et la peinture monumentale. Cette tradition, l'écart lignes étaient pas les premiers a la revivre. En Italie, le stuc (baptistère à Ravenne), on rétrouve dans l'église Santa Maria in Vale.
& - Santa Maria in Valle, 780-800
Edifice composé d'une nef, qui ouvre sur une chœur de chevet plat, délimité par des colonnes de réemploi. A une connotation emblématique. Pour Charlemagne, c'est de se réapproprier à cette tradition romaine.
Le décor a été en partie modifie. L'essentiel est conserve sur le mur du fond. On a des traces. De la peinture monumentale sur des écoinçons. Des figures de ≈1m60, il ne subsiste que 6 éléments. Stuc - plâtre avec le poudre de marbre. Ces figures qui étaient peintes. Les carolingiens maintiennent cette tradition. Ces figures sont très blanches, elles sont des saintes, elles portent une croix, une couronne, elles sont couronnées. Des vêtements sont différenciés. Elles sont nimbées. Une d'elles est tournée vers la fenêtre - Vierge. Ca rappelle la litanie des saintes d'apollinaire. On trouve des éléments qui font le référence au Christ, avec 2 grands arcs au-dessus de l'autel majeur. On a un décor qui présente les vignes.
On a une pérennisation, conservation de la tradition romaine.
& - St-Benoit de Mailles, fin VIIIe
Conserve un des ensembles des peintures carolingiennes. L'édifice relativement modeste avec un chœur a chevet plat qui est décoré de stuc. On a 3 fenêtres entre qu'elles des colonnes en stuc. Ça crée des fausses arcades pour rythmer le mur plat. Certains des éléments sont conservés in situ. On note la présence de polychromie. Certains chapiteaux sont dans le musée à proximité. On a impression que la tète s'accroche au rinceau, on trouve le motif des corbeilles. On a la même composition que dans civildallé. Il a y a une hiérarchisation des thèmes, organisation narrative. On a 3 niveau de représentation : Christ, en dessous - représentation de 2 saints en position frontale : St Grégoire et St Étienne - le premier diacre à avoir été martyrisé. Ils évoquent l'église. En 3e niveau : figure qui dispose d'un nimbé carré - on sait pas qui c'est. Il porte une épée, il est comme protecteur, c'est un guerrier vêtu à la mode carolingienne. Ça peut être un protecteur de l'Eglise. De l'autre côté - un homme d'église. Il est doté d'un nimbé carré, il porte une miniature de l'église qu'il va offrir au Chrsit. On sait rien de ces personnages, pe des frères, pe des vraies portraits.
=> C'est une représentation de l'organisation de la structure de la société carolingienne.
Sur des murs il su site qq fragments de scènes, organisés dans les cadres. Scènes de la vie de St Grégoire et des scènes de martyres.
Ces peintures qui présentent des visages avec des gros yeux. Quand on compare ces éléments, on trouve la même figure dans & - l'évangéliaire de Godelscalc (781-783). La parenté est d'une telle évidence, qu'on peut dater les peintures de St-Benoit de Mailles. Godelscalc est un nom de scribe. C'est un ouvrage qui a été réalisé à la demande du roi Charlemagne et de son épouse. Ils le commandent pour fêter le baptême de leur fils. C'est impressionnant de savoir qu'on à des artistes qui oeuvrent sur des supports si différents comme le parchemin et le mur. On pouvait avoir à faire à des cahiers de modèle qui circulent. Ce problème de formation des artistes se pose. Est-ce qu'on a faire a le même peintre?
Peintures murales romanes
Exemples signifiants de circulations transpyrénéennes : l'influence de la peinture italienne
En XI s, la circulation entre Italie et Espagne.
Pour la période romaine, l'Italie est toujours la terre d'accueil, mais aussi la terre d'exportation. On à faire à des circulations entre Italie et Catalogne. On va voir que ces itinérance des hommes, pas forcement des artistes, parfois des maîtres d'ouvrage, et des savoir faire. "L'art roman et la Méditerranée" - exposition qui montrait l'importance de ces itinérantes, liens économiques entre Pise et Barcelone. On s'intéresse à la production picturale espagnole, et on se rend compte qu'on a une concentration de décors peints dans la zone : Ariège, Barcelone. Les œuvres réalisées entre 1080-1140. Des œuvres qui présentent des affinités stylistiques flagrantes. Concentration dans le vallée de Nogdera Pallaresa.
Dans les années 30 les espagnols déposaient de manière régulière des peintures murales dans les musées (ex: MNAC).
& - St Pere del Burgal,
Comtesse Lucia De Pallars, épouse de roi Artau I - a commandé l'ouvrage.
Les peintures de St Clément et Santa Maria de Taul qui sont extrêmement importantes grâce à ses inscriptions peintes (1123). Évoque Ramon, évêque de Barbastro - prieur de St Sernin. Il est le maître d'ouvrage des peintures de St Clément de Taul.
Associé a un ensemble, St Quirzé de Pedret, est ensemble de peinture le plus abouti, pour uns il a l'origine des autres décors, pour l'autres ou l'aboutissement. Les peintures de 2 absidioles sont dans MNAC. Ces peintures de cet ensemble isolé, dans la petite église, sont le sujet qui monopolise le plus l'intérêt des historiens de l'art. L'historiographie l'explique que le maître de Pedret est arrivé pour réaliser cet ensemble, il a réalisé une tellement en que ca complètement bouleversée le concept de tout art espagnol. Il vient d'Italie. A partir de son œuvre, on a quantités de représentations des autres artistes. C'est le point d'arrivée, c'est l'ensemble le plus abouti. On a aussi des ensembles qu'y appartiennent en France. Autre historien le considère comme le premier ensemble italien. ?est-ce que ça peut être le cahier de modèle?
& - Saint Quirzé de Pedret, Catalogne
& - San Vincenzo Galliano, Lombardie
La ligne de nez, le tracé des yeux, de la bouche, le traitement des rehauts blancs. => c'est le même procédé artistique.
Galliano se trouve au nord ouest de Milan. C'est édifice conserve des fragments des peintures, qui sont bien datées. On a identifié le maître d'ouvrage - Henbert d'Intimiano (1007).
Il y a aussi des parentés d'utilisation des détails qu'on rétrouve dans les certains ensembles catalans, comme dans les italiens.
& - peintures de cathédrale d'Aoste - impression de phylactère, est en réalité d'effet de profondeur.
& - Saint-Lizier - toute une ligne des perso en buste, sous an arc. On a voulu de représenter sorte de modillon.
Ce lien entre Italie et les peintures pyrénéennes ne se fait pas uniquement par des parentés stylistiques évidantes. Même façon de peindre, mais aussi l'usage de même motifs ornementaux (modillon en fausse perspective).
& - St Pere de Burgal
Des cartouches rectangulaires avec une couronne, qui est un des motifs picturaux les plus fréquents en Lombardie - couronne lombarde Monza. On la retrouve dans l'abside principale.
& - St Serni de Baiasca, Catalogne
Une des rares églises qui conserve son décor un situ. On trouve dans le décor peint le collège apostolique, sauf que est associé au collège St Ambroise de Milan. En Lombardie c'est le saint le plus important. A Catalogne il prend place très importante.
& - St Quirze de Pedret
Site qui est isolé, modeste, mais qui présent un décor peint surprenant que point de vue qualitatif, amis aussi iconographique. On a aucun trace de maître d'ouvrage.
L'iconographie
Dans absidiole méridionale, une iconographie rare, assistant les vierges folles et sages avec la vierge à l'enfant. Parabole faisant référence au jugement dernier. À eux sont associé Matthieu, et la personnification d'église, qui fait écho à représentation de vierge à l'enfant. -> un programme iconographique tout à fait original.
Dans l'assiduité nord - collège apostolique avec St Pierre = illustration de primauté romaine. Une volonté de mettre en avant une organisation ecclésiale.
& - Sta Maria d'Aneu
Les mêmes procédés picturaux.
& - St Pere d'Ager, même atelier que St Lizier, exactement la même composition des figures, la mem mise en place.
La datation de Pedret est controversé. Catalans - de fin de XI, autres - début de XII, pour lui les peintures de Lizier sont réalisées avant.
?Pedret est au début, au centre ou comme un aboutissement.
Le rayonnement extraordinaire de ce courant pictural roman dont les sources trouvent origine en Italie du nord. Toutes ces peintures sont des témoignages de sous genre d'italo-byzantin, qui va développer tout au long de XI, au début de XII. On a une vrai parenté stylistique. Toutes les peintures il faut les considérer comme appartenant à un substrat commun avec un terreau d'intérêt commun.
& - St Clément de Taul, c'est plus géométrique, mais il y a une parenté.
& - Vals et & - Ourjout
& - Pedret et & - ND de Vals, les peintures de Vals sont traités avec moins de richesse. La restauration de 2008-2009, a révélé des peintures.
& - St Pere de Ager - les coiffures avec des franges; les doigts démesurés. C'est ce qu'on trouve à Vals, le même processus, mais le résultat différent.
Toutes ces peintures pyrénéennes sont liés à la production lombarde, mais aussi on a d'autres références. & - Beatus de Gerone, 975 et & - Beatus de Silos, fin XI. On insiste sur ces grandes mains.
& - Ourjout
Les peintures ont été retrouvées sous le retable baroque. Ensemble avec une abside avec le collège apostolique ; au dessus - une frise représentant certains éléments de zodiaque. Une tète, Leo, scorpion, balance. La tête - c'est le premier signe représente - le début de l'année, Mars - mois de la fête de l'Annonciation. & - palais ducal de Venise, Marcus Corantor - le vent de Mars. C'est une allégorie de mois de Mars. & - Marcus Cornator, St Michel de Pavie.
Le scorpionis qui ressemble pas à cet animal. & - traité de médecine italienne, XI. Zodiaque au centre. Au MA on accorde une très grande importance au zodiaque et on applique la mélotésie, selon laquelle ont soumis chacune partie du corps à un signe de zodiaque. On a une représentation d'un animal, signe de poisson, très proche de Scorpionis.
Cancer qui est représenté par un crabe, qui ressemble. Le peintre d'Ourjout a emmêlé des pinceaux. Il a peint des lettres, il savait pas écrire.
& - Sta Maria de Taull - même traitement des personnages.
& - devant d'autel d'Ix - les mêmes procédés picturaux sur des mobiliers.
On a une circulation on sait pas dans quel sens, mais une parenté évidante.
De Byzance à Cluny : l'Italie terre d'influence à l'époque romane
En ensemble qui est un témoignage, qui permet de comprendre la circulation des influences à l’epoque Romane.
& - Saint Angelo in formis, ≈30km de Naples
Arc de Diane - temple de Diane, présent sur le promontoire. C'est un édifice qui présente toutes les caractéristiques de l'architecture romane de XI s. En France a l'époque, on est obsédé par la voûte, en Italie, il sont obsédé par l'architecture paléo chrétienne.
Un édifice a 3 nefs, ouvre directement sur la nef, on utilise les chapiteaux antiques de réemploi. En avant - un porche couvert, un campanile à côté. Edifice conserve la quasi totalité de son décor. C'est une nef sous charpente. On conserve des peintures dans l'abside principale. La façade avec des peintures qui fait ref à l'architecture paléo chrétienne.
Historique : édifice bien documenté, la 1re mention - Xe s, l'évêque Pierre I de Capoue concède l'église de San Michele Archangelo "ad Arcum Dianae" aux moins du Mont-Cassin - une abbaye bénédictine, entre Rome et Naples. C'est un des hauts lieux spirituels, fondé au VI s, par Saint Benoît de Nursie qui a rédige la règle bénédictine. L'évêque de Capoue concède l'église.
2e mention- 1065 : l'édifice se trouve la circonscription de Prince de Capoue. C'est le compte qui intervient. L'édifice est cède au prince normand Richard I de Capoue, comme d'Avers qui en offre la jouissance a Desiderius, abbé du Mont-Cassin en 1072.
Au-dessus de porte une inscription gravée : «Tu parviendras au ciel si tu te connais toi-meme comme Didier qui, rempli de l'esprit saint et exécutant accord, Fonda pour Dieu cette maison, afin d'en retirer le fruit qui ne connaît pas la fin".
La representation doté d'un nimbé carré, vivant lors la réalisation des peintures - & - l'abbé Desiderius offrant eglise aux archanges. Ces peintures sont datées précisément : (1072-1082).
Les peintures à l'extérieur:
Au-dessus de St Michel : représentation de Vierge en orante sans une gloire circulaire, portée par 2 anges. Elle, comme St Michel, sont byzantins. Ce sont des peintures qui seraient postérieurs : sous vierge - couche antérieure d'époque romane.
L'abside:
Est consacrée d'une façon traditionnelle, sur le cul-de-four - vision parousiaque, Chrsit en majesté. Ces peintures ont été restaurée dans les années 50. En dessous - St Michel (à qui est dédié eglise). Un Chrsit trônant, sur un trône très travaillé. St Michel très byzantin dans ces vêtements, très riches. Dans l'ensemble on a parfois des accents évidents que l'art byzantin.
Le cul-de-four de l'abside méridionale : vierge à l'enfant avec des éléments relevants de la peinture byzantine.
Associe à cette vi vison parousiaque , on trouvait dans les collatéraux des scenes de AT. La grande majorité de nef central, on a 3 registres : très narratif. Lecture consacrée à la vie du Chrsit avec nombreuses scenes relatives à la période ministère de Chrsit. Des scenes encadrées, relativement lisibles, on note un soucis constant d'identification des personnages. On a un goût pour les petits détails, pas byzantin, occidental. C'est un atelier italien.
& - Jésus et la femme adultère: scène sur des bandes parallèles -> occidental. D'une scène à l'autre on retrouve de mêmes figures. & - la dernière cène. & - l'arrestation du Christ. & - la Crucifixion sur 3 registres pour le mettre en valeur. & - la mise au tombeau. Au revers du mur occidental - le jugement dernier.
Jugement dernier traditionnel dans sa iconographe, thème toujours représenté en registre (bien marqués ici), organisés avec au centre - Chrsit juge. (Bandes colorés, et scenes anecdotiques - occidental).
Lecture par la partie supérieure : anges Buccinateurs (qui soufflent dans les trompes) pour réveiller les petits morts qui sont dans leurs tombeaux, qui sortent - occidental. Mélange des références plastiques et stylistiques d'inspiration occidentale.
Au centre - Chrsit dans une mandorle, second registre avec des anges; puis le collège apostolique au-dessous - 3 anges qui tiennent des phylactères avec des sentences. => traditionnel. Dimension pédagogique, avec une volonté d'identification des individus.
En-dessous de la porte la représentation des enfers, et à droite - Jérusalem céleste.
La localisation de jugement dernier au revers de mur occidental - traditionnel. Le plus ancien - St Jean de Mustair. C'est traditionnel par rapport a la narration. Il revient pour juger. C'est aussi là que se trouve la porte d'entrée, et c'est la 1ère chose que le visiteur voit. => volonté pédagogique.
La totalité de décor s'inscrit dans une tradition picturale occidentale très ancienne. Le décor certes inspiré par les artistes byzantins, mais puise dans les traditions occidentales.
L'ensemble le plus important de l'Italie. C'est le seul témoignage pictural cassinéen nous parvenu (en peinture monumentale).
Mont-Cassin est le lieu auquel l'église est rattachée, c'est une abbaye fondé au Vie s par St Benoît, abbaye qui va devenir un des fards lieux spirituels. Mont-Cassin a toujours eu une infériorité par rapport à Cluny. L'abbaye a été reconstruite par Desiderius à la fin du XI, mais dans le 1er temps a été détruite par le tremblement de terre en XIIIe, elle sera reconstruite en époque gothique. Elle sera totalement rasée en XXe (bataille de Mont-Cassin). Mnt il y a une abbaye des années 50. On a qq documents de fouilles antérieurs à la destruction. On est obsédé par le retour à l'architecture paléo chrétienne (IVe). Un atrium qui n'a plus aucune fonction à la fin du Xie. Un édifice semblable à St Angelo in Formis, avec une surélévation de chevet. Les 2 sont à peu près contemporains.
Il nous reste qq pages des manuscrits :
& - St Benoît de Nursie et Totila, manuscrit cassinéen.
En comparant avec le sol de St Clément à Rome, le mobilier liturgique, le pavement d'origine sont conservées. Lorsqu'on regarde l'intérieur, on peut se projeter le décor de Mont-Cassin. Une église excrément décorée, avec dès pavement de marbre, et des peintures murales, a priori pas des mosaïques.
& - rouleaux d'exultet du Mont-Cassin
On conserve rien de la peinture monumentale. Le seule témoignage sont les peintures de St Angelo in formis. On sait que Desiderius a fait venir, on a des écrits avec l'empereur, des ateliers byzantins. On sait qu'il a commandé directement à Constantinople, les portes en bronze d'abbaye. On à des échanges avec l'évêque de Salerne. L'atelier de St Angelo in formis œuvrait aussi à Mont-Cassin. Les influences clairement byzantines sont évidentes.
Mont-Cassin va avoir une importance, parce que Desiderius au moment de la conservation de la nouvelle eglise en 1088. Hugues de Semur - abbé de Cluny, se rendu au Mont-Cassin pendant les travaux, et a été subjugué par ce qu'il a vu, par le travail des ateliers locaux. Apres la consécration il rentre chez lui. Il dispose de bcp d'argent, Cluny depuis qq années participe à Reconcista. Abbe décide de la reconstruction de l'église de Cluny en 1088. Il lance le projet le plus monumental. Cluny III a subi le sort équivalent à celui de Mont-Cassin, elle e été vendu et racheté par un particulier qui va démonter la plus grande eglise romane jamais construit pierre par pierre, et faire une carrière de pierre. On dispose d'un dessin de l'intérieur de l'église. On est assuré qu'il y avait des peintures sur le cul-de-four. Ces peintures dont on sait rien, tout ce qu'on sait c'est qu'elles ont pas probablement été réalisées par des artistes locaux. On sait que Desiderius a adressé des recommandations sur des certains artistes.
Sauf que on conserve à la proximité de Cluny un petit édifice. C'est une église qu'il commande à un soin particulier après sa mort - Berzé-la-Ville (1090-1120). Dans l'abside on conserve des peintures, contrairement à la nef, où on trouve que qq fragments. C'est le Traditio Légis , Chrsit qui remet un phylactère à St Pierre et St Paul. Des représentations des saintes dans les écoinçons. La Traditio Légis est le thème qui exprime le mieux le pouvoir d'institution ecclésial avec 2 saints auxquels Chrsit remet en personne les phylactères. Des peintures avez usées, avec un style extrêmement original. Les détails des certaines figures, notamment des saintes, ce sont des saintes dont Cluny conservait les reliques.
Dans la partie de l'abside - le martyre de St Vincent de Saragosse - patron de vignerons. Le priorat de Berze est au plein centre des vignes. St Benoît sur le pied droit. Et de l'autre côté - l'emprisonner et le martyre de Saint Blaise - patron des agriculteurs. L'iconographie rurale. En dessous - une série de saints derrière des draperies fins. Des accents byzantins extrêmement marqués.
Berze-la-ville ouvre une nouvelle axe productive, et cest lié à la prèsence d'artiste sur le chantier Cluny. On comprend le lien entre les 2.
Les comparaisons avec autres peintures clunisiennes. A Cluny on connaît les peintures qu'à travers Berze-la-Ville.
& - le lectionnaire de Cluny, début Xiie
Les terres vertes pour souligner les visages - procédé graphique byzantin, qu'on trouve pour la 1ère fois à Cluny.
& - autre exemple de lectionnaire
C'est par l'intervention de mont-Cassin et Desiderius, l'axe se retrouve à Bourgogne.
& - on a le m��me substrat, des éléments communs. Le détail de traitement anatomique de Chrsit - des traitements des abdominaux. Exactement le même processus qu'au Berze-la-ville. On a des procédés graphiques et plastiques identiques.
Si on pousse les comparaisons entre St Angelo in formis et Berze, on a des détails très proches. On a un exemple d'influence de courant italo-byzantin. Cette influence va produire un certain nombre des œuvres. L'influence de Byzance par le biais de l'Italie, on en trouve d'autres exemples.
& - Rocamadour, chapelle de st-Michel, rattaché à l'abbaye de Tulles.
Ces peintures sont considérées comme appartenant à la fin du XIIe s. En regardant de plus près, on se rend compte que la datation n'est pas du tout exacte. Les arbres ont protégées du soleil et du vent les peintures, qui explique l'état de fraîcheur. En outre, on a relevé l'utilisation de la même peinture, comme à Berze-la-ville. On a des incrustations des disques de mortiers, destinées à rehausser l'éclat de ce décor.
Le détail du pied comme si le pouce était plus long, c'est exactement la même chose qu'à Berze. On le trouve sut tous les pieds clunisiens. C'est une façon particulière de tracer les pieds que l'on trouve aussi à Rocamadour. Il y a l'utilisation de verdacchio, le tracé etc - on est dans la production clunisienne (début de XIIe). Ces peintures sont le témoignage de l'influence de la circulation des artistes et ateliers en provenance de l'Italie, qui vont œuvrer dans le chantier de Cluny II, dont on a conservé qq manuscrits.
Apres la période romane, nous allons nous intéresser à des artistes.
Cimabue et Duccio
Le Duecento italien sous l'égide du maître et de son élève
En Italie on trouve des contrats qui facilitent là datation des peintures. En France, on a pas de contrats, à cause de l'oralité.
Des artistes qui sont mêlés, que parfois on réussi pas à les différencier. Ils ont travaillé ensemble. Leur manière de peindre est extrêmement proche.
& - Madonne Rucello, Duccio, 1295, Offices
Maître et son élève? Cimabue est plus âgé, la cité d'origine distingue, Cimabue florentin et Duccio est siennois.
Cet œuvre à été commandé par Sta Maria Novella, qui a pe a été insérée dans une niche peinte à fresque.
Ce sont 2 artistes, Duccio est bien connu, en revanche de Cimabue on dispose de 2 informations surs : il était présent à Rome en 1272, et il a travaillé à Pise en 1301-02 à la réalisation de & - St Jean, mosaïque. Il manie aussi bien le pinceau que la tesselle.
L'absence de prèsence de Cimabue à considéré que c'était une invention. On à pensé que Vasari l'a inventé. Campanilisme - le patriotisme (le clocher plus grand). A priori Cimabue a bien existé. Dante cite Cimabue dans son Purgatoire, il se trouve dans le 1er cercle. Dante le compare à Giotto qu'il l'a remplacé.
Luciano Belosi - spécialiste de Cimabue. On a impression que le travail de Cimabue a été marqué de malédiction, les œuvres sont rares, très abîmées, leur identification et attribution a été longue.
& - crucfix de Santa Croce, 1988- inondations
& - La basilique d'Assise
1977 le tremblement de terre qui a détruit la grande partie des travaux de Cimabue. En dépit de cette malédiction, est une œuvre à quelle il faut d'intéresser. Peu d'artistes ont eu tant d'impact.
Duccio est 1er de grands peintres siennois. Cimabue a été le maître de Giotto, et par la même, l'initiateur des évolutions picturales les plus déterminantes de MA de l'Occident.
Cette une œuvre de rupture douce, il va rompre peu à peu avec la manière byzantine, peu à peu, mais pour la 1re fois. Des petits effets graphiques, plastiques, des détails, il va faire une fissure. Cimabue va le 1re appréhender le réel tel qu'il est, ce qui crée la rupture avec l'art byzantin. Cimabue va, avant Giotto, doucement rénover l'art médiéval.
Au niveau des visages, on introduit le réalisme plastique, par les biais d'animation. Les plis de vêtement qui vont retomber naturellement, pour épouser l'anatomie de corps. Il garde les codes et les cadres de la peinture déjà existante.
& - Crucifix de San Domentico Arezzo, 1260
Dans la forme de la composition est traditionnelle.
& - Coppo di Marcovaldo, 1256
La différence est pas flagrante : même iconographie, même disposition. Mais le Chrsit est bcp plus arqué, le sternum est bcp plus naturel, le perizonium (autour de la ceinture) et l'expression de visage. Le visage de la vierge extrêmement expressif. Le visage de Chrsit très doulereux.
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