#Les jours où je n'existe pas
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Les jours où je n'existe pas, Jean-Charles Fitoussi, 2002
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je suis à ça d'arrêter le rp, sérieux je pense que c'est plus pour moi il y a 5 jours je poste une recherche de lien, en pré-lien, un truc cute parce que la personne avec qui j'avais prévu un lien love a quitté le monde du rp il y a un mois et demi, oui j'ai mis un mois et demi à me relancer à la recherche d'un lien love je vois déjà pas où est le problème mais visiblement, s'en est un déjà j'ai refusé 3 demande de plans c*ls depuis, deux par mp, ça m'avait saoulé parce que mon perso, quand on va lire sa fiche, c'est pas son genre, mais ok j'ai rien dis nouveau mp ce matin, un membre qui fait beaucoup de smut mais à qui j'ai pas encore beaucoup parlé et le début des échanges est super, ça commence bien super génial je suis content.e comme je l'ai précisé dans mon pré-lien, /et sur ma fiche!!/, mon perso est pas du tout quelqu'un qui va coucher dès le premier soir, non loin de là, il faut qu'il ressente quelque chose pour sa partenaire au début, dans nos échanges, on me dit comprendre, qu'il n'y a pas de souci, mais mp après mp je vois quand même qu'on tente de me convaincre d'un plan c*l qui devient plus que ça, ou qu'il y ait au moins une nuit de partagée entre les deux avant même qu'ils aient échangé leurs numéros je continue de refuser, je commence même à être réticent.e et gentil.le comme tout je dis que c'est peut-être pas idéal un lien entre nos perso comme on est pas d'accord sur les bases, base précisé dans ma fiche, base précisé dans le pré-lien résumé du prochain mp : je suis une personne prude, qui devrait sortir de chez moi pour découvrir le monde parce que l'amour rose bonbon ça n'existe plus, d'abord les plans c*ls pour voir si on est compatible, après les sentiments, mais comme je suis très certainement une -vieille fille-, pour employer le terme poli - je peux pas m'empêcher de jouer un personnage coincé qui sait pas vivre sa life je sais pas, je dois m'inquiéter que cette personne pense que l'amour ça se trouve d'abord en passant à l'acte physique ou seulement être en colère parce que ça se permet de parler comme ça à quelqu'un ? TU viens me trouver avec un lien qui ressemble pas au lien que je cherchais, TU viens m'ennuyer, TU viens me faire perdre mon temps et c'est moi qui la.e méchant.e prude qui veut pas faire vivre son personnage, non mais je crois rêver vraiment j'en peux plus et vu ma dernière expérience avec un staff je sais même pas si j'ai le courage d'aller leur en parler
#forum rp#forum rpg#forum francophone#cdg forums rpg#je pense je vais arrêter le rpg et rester sur le gaming#le monde gaming c'est ultra toxique mais LOL ça l'est devenu moins que le monde du rpg on va où
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Hey! How are you?
I saw that you were open for requests on BSD. Could you write something with Verlaine, or with Dazai? I was thinking of something like, the reader wants to throw a surprise party so they are keeping it a secret from Verlaine/Dazai. How would they react? Would they find out about the surprise, and if yes, would they pretend they didn't know, to let the reader happy? I don't know if it makes that much sense...
Also, another thing, I saw that you speak french so could I ask you to write it in french? It's just cuz I'll have to do a french exam, but sometimes I distract myself from the studies and read fanfics 😅. This way, if you can write it in french I can both read about BSD and train my french.
I'm sorry if it's stupid or doesn't make sense, you're free to ignore this if you'd like, but I would appreciate it if you wouldn't.
Have a nice day 🥰
A/N : Hi, thanks for the request ! Of course I can do it in French, it'll be helpful for both you and I tbh 😅 ! Sorry if I took time to publish as well, I am also held at gunpoint by the exams 😭. I'll write for Verlaine first if it doesn't bother you, then for Dazai in another post if you don't mind ! Anyways, hope you'll like it !
P.O.V : You throw a surprise party for him (Verlaine's part)(in French)
~Verlaine~
Remettons les choses dans leur contexte : Tu n'étais pas un haut gradé dans la Mafia Portuaire, mais tu en es quand même un membre puissant et précieux. C'est pourquoi tu as été affecté par Mori lui-même à superviser la surveillance de ceux que la Mafia gardait captifs, emprisonnés. Et c'est là que tu le rencontres : Paul Verlaine, emprisonné aux tréfonds de la Mafia après un gros incident avec Chuuya que tu n'arrivais toujours pas à comprendre malgré le nombre de fois que ce dernier t'a raconté.
Mais étrangement, quelque chose t'attirait sans cesse vers lui. Plus tu l'observais, plus tu te rendais compte qu'il était vraiment déprimé, comme si tout cet incident l'avait privé de toute joie de vivre. Il te faisait de la peine. À force de l'observer, il finit par te remarquer et parla.
"C'est mal élevé de fixer les gens comme ça", dit-il d'un air sec mais quelque peu humoristique. Son commentaire te surprena et tu te mis à rougir de honte.
"Désolé !! C'est pas ça mais... vous sembliez triste c'est tout...", tu répondis en essayant de fuir son regard. Il te regarda, confus.
"Je vous imaginais beaucoup moins sensible que ça pour quelqu'un qui a l'air si haut placé..."
"Je suis peut-être privilégié ici mais ça ne veut pas dire que je suis un monstre non plus.", tu lui répondis sérieusement. Tu ne sais pas pourquoi, mais t'avais l'impression que ta sincérité l'avait touché. Bon, c'est sûrement une fausse impression...
Après quelques minutes de silence il disa d'une voix douce.
"Ma tristesse se voyait tant que ça ?", tu hochas la tête et t'approchas de sa cellule pour lui faire face.
"Je... je ne peux pas faire partir la tristesse. Mais si ça vous soulage, même si c'est un peu bizarre que ce soit à moi que vous vous confiez, faites-le.", dis-tu comme si vous étiez de vieux amis. À cause de ça, Paul ne pouvait s'empêcher de penser que tu lui rappelais Rimbaud. C'est peut-être pour ça que, étonnement, il se confie à toi.
Et plus les jours, les semaines et les lois passèrent, il te parlait de ce qui l'accablait et le rendait triste. Et ces petites séances de psy se transformaient peu à peu en des discussions normales où vous parliez de tout et de rien, comme des amis. Ça vous rapprochait grandement. Vous aviez commencé à vous tutoyer. Mais vous sentiez tout les deux qu'il y avait une tension en plus. Étonnement, c'est Paul qui a fait le premier pas. Et c'est comme ça que, malgré les barreaux, vous aviez commencé à vous donner des surnoms affectifs et à vous tenir la main et carresser le visage. Vous rêviez que ces barreaux n'existent plus et d'enfin pouvoir vous sentir, l'un contre l'autre complètement.
Pour être honnête, votre rapprochement n'était pas très discret et Chuuya et Mori ont finit par être au courant. Tu avais clairement peur pour ta vie, mais à ta grande surprise, Chuuya te disa rien et Mori accepta même votre relation, à condition que tes sentiments ne contrôlent pas la qualité de ton travail. Et c'est là que tu proposas l'idée d'une fête surprise pour Paul, tellement tu étais content. Tu te rendas tout de suite compte que tu étais peut-être aller trop loin avec cette demande mais encore une fois, Mori accepta de libérer Paul de sa cellule !
Tu ne tenais plus en place ! Tu te mis directement à faire les préparatifs pour que la fête soit la meilleure qui soit, c'est que mérite ton bien-aimé après tout. Malheureusement, le temps que tu prenais pour préparer la fête empiétait sur le rendez-vous quotidien que tu avais avec Paul et il se sentait malheureux.
Tu avais enfin fini. Tu te rendas vite à sa cellule et voyait qu'il était pas aussi heureux de te voir et tu savais pourquoi.
"Chéri, je suis désolé vraiment...", il te faisait la sourde oreille.
"Mais je te jure que ça valait le coup !", tu pris tes clés et ouvrit sa cellule. Le retentissement des clés le fit rapidement relever sa tête, tout confus. Tu lui tendis la main.
"Viens, j'ai quelque chose pour toi !", dis-tu avec un énorme sourire et un peu de rougeur sur tes joues.
Avec des yeux écarquillés de confusion, il hésita quelques secondes avant de prendre ta main. Ça faisait bizarre de vous voir enfin sans quelque chose entre vous, vous aviez envie de vous enlacer pendant des heures, mais tu étais trop pressé de lui montrer sa surprise que tu te mis à courir toujours avec ta main serrée contre la sienne, ce qui lui prit de court car il allait t'entourer de ses bras.
"Est-ce que... est-ce qu'on a le droit de filer en douce comme ça ??", dit-il un peu inquiet de se faire prendre en flagrant délit.
"Oh chut ! Tais-toi et suis-moi ! Tu sais que je le ferais pas si je n'en avais pas le droit !", il réfléchit et hocha la tête en accord avec ce que tu dis. Après ce qui semblaient être des minutes interminables, vous arriviez enfin à une porte.
"Prêt ?!", tu lui demandas avec empressement.
"Je ne sais pas... je pense que oui, peu importe ce que c'est..", dit-il en retour. Tu ouvris donc la porte et tout le monde cria "Surprise !!". Il a eu peur au début et allait utiliser son pouvoir quand il vit une banderole où il était écrit "En l'honneur de Paul" avec un cœur un peu mal fait, malgré tout tes efforts. Il arrivait pas à en croire ses yeux, il avait du mal à former ses mots et te regarda et se perdit dans tes yeux.
"Alors ?", tu demandas, un peu effrayé de sa réponse.
"C'est... c'est vraiment pour moi ?", dit-il la voix tremblante, sentant des larmes se former dans ses yeux contre son gré.
Tu pris son visage entre tes mains et l'embrassa tendrement, pour la première fois, sur ses lèvres. Elles étaient si douces. Ce qui se passait en ce moment semblait irréel pour le manipulateur de gravité. Tu séparas tes lèvres des siennes et le regarda droit dans les yeux.
"Eh ouais... ce n'est pas un rêve mon amour."
Il t'enlaça très fort et te disa :
"Je t'aime.."
"Moi aussi, Paul. Je t'aime.."
Et c'est à ce moment que cette fête surprise symbolisa le départ d'une nouvelle vie pour Verlaine.
A/N : Finallyyy the end 😭. For a first fic, I am pretty happy with how it turned out even though I felt like I quite rushed things towards the end. Hope it is not too long and the buildup until the party isn't too slow for you too. And if I also hope this story will make you understand how French works a little bit more ! And for the others reading this, don't hesitate to translate it :). Next will be the same prompt but with Dazai !
#bsd#bungou stray dogs#bsd x male reader#bsd x reader#bsd paul verlaine#paul verlaine#bsd paul verlaine x male reader#self insert#x male reader#one shot
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l'amour ouf - (brouillon d'état nuage)
ce soir là, c'est comme un magma de sentiment qui cédait en moi. c'était comme découvrir que le père Noël n'existait pas, que la petite souris ne passait jamais. ce soir-là, c'était comme si je découvrais la vérité sur l'amour, ou plutôt de celui qui n'est jamais arrivé à moi. peut-être que je l'ai manqué, peut-être que quelqu'un l'a pris en lui depuis toujours, peut-être qu'il est enfermé dans une boîte à double tour, peut-être qu'il faut être plus intelligente que moi pour pouvoir l'ouvrir. c'est une énigme brisante, qui éclabousse les larmes sur les pages blanches, pourquoi je ne suis jamais celle qu'on choisit ? celle qu'on aime avec volonté de tout son cœur. dis la vie, pourquoi je ne suis pas celle dont on tombe amoureux ? peut-être que cet amour est bloqué dans une vie antérieure avec un homme qui n'autorise personne à m'aimer plus que lui. finalement, c'est comme si chaque conte de fée ne m'était pas destiné. mon corps était orné de l'amour sur chacun de mes membres, mais il n'avait jamais croisé mon chemin. j'étais une amoureuse de l'amour, une amoureuse de l'espoir et j'étais destinée à une vie où l'on ne me choisirait pas, où je serais juste bien, mais pas suffisante, où on ne tomberait pas amoureux de moi, j'étais celle qu'on laisserait dans un coin, celle qui s'habituerait a une vie fade et sans saveur. que c'est déchirant, la vie d'adulte, quand toutes les merveilles qu'on me racontait enfant n'existe plus. que c'est épuisant, la vie d'adulte, quand les âmes-sœurs n'existent qu'au temps de mes parents. que c'est déprimant, la vie d'adulte, quand celle-ci devient toute tracé sans palpitation et sans émotion, que c'est triste d'être malheureux et de ne plus croire en quelque chose qui nous maintenait en vie. que c'est bouleversant d'écrire sur l'amour depuis mes quatorze ans, d'y croire chaque jour comme une lueur d'espoir, de le sentir possible autour de moi sans jamais le rencontré. ma vie depuis le début ne vivait qu'autour de l'amour, de l'état amoureux, des âmes-sœurs, des âmes de plusieurs vies, du coup de foudre de mes parents, de tous les films bouleversants, des livres, de textes hurlant ses théories, ses définitions propres à chacun, de ses insomnies, de la boule dans mon ventre. que c'est humiliant, d'avoir été une âme transparente dans ce monde qu'est l'amour. que ce serait tragique, de mourir, sans avoir goûté au fait qu'on ait été amoureux de nous. courir après l'amour ne m'a rien apporté d'autres que de l'espoir et de la perte de temps. l'espoir n'apporte que le néant. être juste bien ce n'est jamais suffisant.
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Je me posais des questions cette nuit sur le bruit, ou plus précisément sur les bruits et ce qu'on en fait, dans notre cerveau et dans notre cœur. Je me suis réveillée avec le bruit de la chatière et d'un couvercle de Pringles frotté sur le sol par mon chat. Et quand je dis "mon chat" je ne parle pas de Nougat, qui est surtout à l'homme, ni d'Oreo qui est surtout à l'ado, ni de Muffin, qui n'appartient qu'à lui-même. Ils sont tous les trois incapables d'ouvrir une chatière, si bien que j'ai dû mettre du collant pour la maintenir ouverte, et ils sont pragmatiques au point de ne jouer qu'avec des jouets de chats, et certainement pas avec des couvercles de Pringles. Non, j'ai rêvé de ces bruits et ça m'a réveillée, j'ai rêvé de ces bruits propres à Félix et à sa petite routine de nuit, qui était d'aller dans sa litière, puis trouver un couvercle de Pringles, jouer deux minutes avec et venir le déposer près de moi, avant de se lover contre mon ventre pour se rendormir, et ronronner à en faire vibrer le matelas, les murs et mon monde tout entier.
Maintenant j'ai trois chats qui se bastonnent aux pires heures, quand ça ne sert plus à rien d'essayer de se rendormir. L'ambiance est différente.
Bref il y a comme ça des bruits qui n'existent plus qu'à l'intérieur de nous. Ça m'a fait penser à "Réparer les vivants", le livre que j'ai lu récemment et dont je n'ai pas encore su parler, quand la mère de l'adolescent décédé téléphone au père et que sa voix a le timbre de quelqu'un pour qui le monde ne s'est pas encore effondré, comme s'il était dans le passé, comme une faille temporelle entre deux personnes, comme si la temporalité était tordue.
J'ai pensé aux bruits qui n'existent plus. La bouilloire qui siffle et le son étouffé par les quelques portes qui séparaient ma chambre de la cuisine. La tasse de café posée sur la table au petit matin par mon père qui se levait tôt pour voir le jardin s'éveiller. Les anneaux en bois des rideaux qui frottent sur la tringle pour laisser rentrer un peu de lumière du matin. La pompe du thermos lorsqu'il se ressert un café. Le filet d'eau qui éclabousse l'évier lorsqu'il rince sa tasse. La chaudière qui s'allume, l'eau qui passe dans les tuyaux des radiateurs un peu après. Le coq du voisin, ce coq là, à ce moment-là. Il me manque.
Je me demande s'il y a des bruits d'aujourd'hui qui vont me manquer. Ceux de l'ado, très certainement, car je suis à ce moment où je compte avec un peu d'appréhension les années comme des bonus avant qu'il quitte la maison.
Peut-être qu'un jour je serai vieille et hospitalisée, avec la mémoire qui laisse tout filer, et que rien ne me manquera, parce que je ne m'en souviendrai plus et en fait ça me terrorise encore plus.
Ça rend le manque très doux, doux comme un souvenir.
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Portails Interunivers :
Vous ne vous êtes jamais demandé comment les personnages faisaient pour passer d'un univers alternatif à un autre ?
Selon les histoires, les comics et les headcanons, la possibilité d'accès aux AU's est très relative. Il n'y a pas de créateur du Multivers d'Undertale, donc pas de canon vis à vis des liens que l'on fait entre les univers. Il a été observé une pluralité de chemins, premièrement à travers des moyens spécifiques et précis :
Par les portes de l'Oméga Timeline (assez limitée dans la mesure où on ne peut pas circuler ailleurs que dans son univers si l'on n'a pas d'abord été invité (je crois, c'est pas très clair, détrompez-moi si vous êtes sûrs de quelque chose)),
Par le biais de machines scientifiques, programmées par Gaster la plupart du temps, comme dans Chancetale avec les plans repris par Ace et Alphys,
Par des personnages qui ont la capacité de créer des portails où de se téléporter naturellement comme Dream ou Nightmare.
Secondement, les chemins... Sans explication notable. Dans certaines histoires, les personnages peuvent voyager d'AU en AU sans questionnement, sans règle, sans précision, on sait juste que c'est possible, genre comme on prend un bus. Passages secrets, téléportations, etc, on peut imaginer ce qu'on veut que ce ne sera jamais mentionné. Franchement, je n'accepte qu'avec des One-Shot ou des histoires délirantes sans enjeu, parce que... Essayer de trouver une logique à tout est mon hobby, va falloir vous y habituer \(☆▽☆)/
Mais les plus intéressants de cette problématique sont les personnages qui peuvent directement ouvrir des portails/se téléporter comme Ace, Color, Error ou Fresh, dans le cadre où c'est considéré comme un pouvoir spécial. Il en existe plein d'autres, mais ce sont eux que je connais le plus. Ça pose beaucoup de questionnements, surtout Ace qui obtient cette capacité du jour au lendemain alors que son créateur est quand même très réfléchi à propos de la cohérence. La seule solution en correspondance avec son pouvoir de briser le quatrième mur serait qu'il passe de case en case pour sauter d'un AU à un autre. Seulement ce n'est pas ce qu'il fait, il se téléporte ou créé un portail. Comment ? Pourquoi ? Pourquoi d'un coup ?
J'ai réfléchi, réfléchi, puis j'ai trouvé une corrélation entre ces personnages qui pourraient se révéler être une causalité.
Ce sont tous des Outer-Characters. C'est-à-dire des personnages extérieurs à la réalité, sans AU, sans monde auquel fusionner leurs codes.
L'univers de Ace a été détruit par Error et n'existe plus dorénavant.
Color a été effacé de sa réalité, comme Gaster, son code s'est donc détaché.
Error a été littéralement expulsé dans l'Anti-void et s'est transformé en créature de glitchs (on en reparle plus tard).
Fresh est un parasite sans univers maternel, on sait pas trop d'où il sort mais en tout cas comme il n'existe pas officiellement d'Underfresh, il n'appartient à aucun univers.
Tels des électrons libres passants d'un courant à un autre, exilés entre les blocs qui façonnent les univers, ne possédant plus de point fixe, ils bénéficieraient donc d'une liberté de mouvement que les autres n'ont pas. Hors de l'espace, et pour certains (Core!Frisk, Gaster), carrément hors du temps.
Bon, ils ont un rapport assez étroit avec le Multivers, leurs codes ne sont pas "collés" à des blocs, et ça leur permet de zigzaguer entre les AU's . Mais comment ?
Et bien en considérant le fait que les AU's sont eux-mêmes liés entre eux. Le Multivers d'Undertale est une toile. Les Timelines qui finissent par se détacher pour devenir des AU's à part entière (Aftertale, Dusttale, Horrortale), des concepts qui se ressemblent (Underswap, Storyshift), et même les plus éloignés, TOUS sont reliés les uns aux autres. Et c'est par ce point de vue que je propose la théorie des brèches :
Il existe dans notre monde des hypothèses comme quoi des failles de la réalité existeraient et laisseraient parfois entrer des choses bizarres... Des créatures extraordinaires, des malédictions... Et les lieux mystiques et intenses en concentration de bizarrerie comme le Triangle des Bermudes seraient des lieux de ce genre. Abracadabrantesque pour notre monde, mais dans celui de la fiction, pourquoi pas ? Après tout quelle histoire est parfaite ? Quel Lore n'a pas son couac ? Quel jeu n'a aucun bug ? Ces anomalies, ces petites erreurs que nous faisons sans corriger des paradoxes formeraient ainsi des failles qu'il serait possible d'exploiter et d'ouvrir. Les Outer-Character, de part leur nature d'électron libre et leur conscience de la Toile, seraient plus sensibles à ces failles et seraient plus à même de les repérer et de les exploiter. En revanche, non seulement ces failles ne se trouvent pas partout, mais en plus certaines sont des anomalies au-delà de notre perception de la réalité, elles auraient leur propre place dans l'espace-temps. Ce qui veut dire qu'elles pourraient être présentes durant un certain laps de temps puis disparaître, ou n'être disponible qu'à un endroit précis une certaine heure un certain jour... On peut également imaginer que des univers sont plus "fermés" et inaccessibles que d'autres ? (J'accorde personnellement ça aux Multivers/AU's, genre un AU qui regroupe les personnages principaux du Multivers comme Vampireverse, Empireverse, Minuscultale etc.) Comme ça, on veut inventer des histoires où les protagonistes se confrontent à des contraintes de temps et d'espace qui les empêchent de s'enfuir à tout bout de champ !
Excuses scénaristiques offertes par la maison, ne me remerciez pas (☞◖■ᴥ■◗)☞✨✨ !
C'est assez gros et ça implique beaucoup de choses... Voyons voir...
Donc, cela voudrait-il dire que par exemple tous les habitants de l'Oméga Timeline dont les AU's ont été détruits par Error auraient la possibilité d'ouvrir des brèches comme ils le veulent ?
Ben euh... Oui, techniquement. Mais on peut imaginer des centaines de raisons pour laquelle ils ne le feraient pas. Ouvrir une brèche demande de l'entraînement et de l'expérience, c'est risqué, dangereux, ça amène à des erreurs de parcours, de coordonnées, ou bien tout simplement ils ne sont pas au courant qu'ils peuvent le faire. Ce n'est pas parce que tu as techniquement la capacité humaine de faire des saltos arrières que tu sais forcément en faire.
Et Geno, c'est un Outer-Character ? Mmmh... Techniquement il est coincé dans l'écran de Sauvegarde, ce qui ne veut pas dire qu'il a été expulsé de son AU. Plus de sa Timeline, mais ça n'en fait pas un Outer-Character non plus.
Ink, c'est assez intéressant, il y a plusieurs possibilités. Son AU existe techniquement, il est juste incomplet et oublié de tous. Cependant, il pourrait être un Outer-Character dû au fait qu'il s'y est effacé quand il a déchiré son âme (étant l'essence de son être une âme pourrait aussi être le lien d'un individu à son univers, pourquoi pas ?), ou bien, étant donné qu'il semble plutôt ouvrir des portails spéciaux et qu'il se téléporte aussi dans l'encre, parce que ça fait partie de ses pouvoirs acquis des Créateur via la "peinture magique" (certaines versions veulent qu'il ne peut pas ouvrir de portail sans son pinceau). Personnellement je préfère ça, car si on adhère à la théorie qu'il a finalement encore une âme mais qu'elle est détachée de son corps, ça réglerait le paradoxe.
À moins qu'il soit pleinement un Outer-Character parce qu'Error aurait détruit son AU il y a longtemps, c'est tout à fait possible aussi.
En ce qui concerne les personnages qui voyagent habituellement entre les AU's comme le Facteur ou le Sans de UnderEat, ou même parfois Death, il y a deux hypothèses : soient ils ont tout simplement appris à ouvrir des brèches même sans être des Outer-Character (car je pense que c'est possible, il faut juste être très doué, très sensible et très déterminé), soit ils détiennent cette capacité car c'est le principe même de leur existence. Le Facteur et UnderEat!Sans ont été créés POUR créer des liens entre les AU's (je ne sais même pas si le Facteur a son propre univers en fait), tandis que Death... Et bien ça dépend car je n'ai jamais réussi à comprendre si son influence de la grande Faucheuse était juste propre à son AU ou si cela s'étendait sur tout le Multivers. S'il n'est propre qu'à son AU, techniquement il ne devrait pas avoir ce privilège. Mais si les dieux de Reapertale, autant lui que Toriel, Papyrus, Gaster ou Asgore, s'occupent du Multivers entier, alors c'est logique qu'ils puissent tous voyager entre les AU's comme bon leur semble.
Et les autres ? Et bien, selon moi ils ne sont juste pas capables d'ouvrir des brèches, et les personnages comme Sans, Red ou Blue ne devraient pas en détenir la capacité. Encore moins ceux qui n'ont aucune connaissance des univers. Parce que si n'importe qui pouvait le faire ce serait quand même un gros, gros bordel. Même, scénaristiquement, ce serait un peu chiant si tout le monde pouvait aller où il voulait quand il voulait et s'enfuir pareillement. Mais pour le coup c'est juste mon interprétation des choses.
Mais ce n'est pas fini ! Qu'est-ce qui fait encore que c'est comme ça ? Extrapolons un peu. Peut-on, dans le Multivers d'Undertale, relier cette histoire de brèches et de liens à quelque chose qu'on connait ? Existe-t-il une dimension où tous les AU's se rejoignent en un même centre ? Une dimension pour être le Noyau ?
Et oui !
Je parle bien sûr de la Doodlesph– l'Anti-Void.
Qu'est-ce que l'Anti-Void ? On a jamais eu de définition exacte. On sait par le comic de CrayonQueen que c'est un néant blanc un peu mysterieux dans lequel s'est retrouvé Geno quand une expérience de Détermination a mal tourné. Il a été baptisé l'Anti-Void parce qu'il est blanc et pas noir comme le Void.... Mais c'est tout. Et c'est pas cool parce que des néants blancs, y'en a un peu à foison. La plupart du temps, ce sont des AU's vides dont il ne reste plus rien, Chancetale, par exemple. Des AU's vides, mais pas détruits cependant, car dans Undertale pendant la route Génocide, on sait qu'après l'effacement du monde il ne reste plus rien, c'est le Void. Noir, froid, silencieux. Le Void est les ténèbres qui compose les étoiles du ciel.
On en déduit que ces AU's vide tout blanc, ce serait plutôt quand le CONTENU de l'AU est vide, mais pas l'AU lui-même, comme X-tale ou ___tale (c'est contradictoire avec Chancetale qui est détruit de chez détruit, cependant c'est normal d'avoir quelques contradictions quand on parle d'un monde créé par des centaines de personnes différentes). Ce qui est sûr, c'est que l'Anti-Void ne fait pas partie de cette catégorie. Ce n'est pas une coquille vide. C'est autre chose. Ça se voit dans ce qu'il fait à ses locataires, en les transformant littéralement en glitchs amnésiques et détraqués. Cela se voit dans les brèches qu'ouvre Error, donnant sur ses souvenirs anciens. Cela se voit quand on sait que c'est un moyen, au bout d'un certain temps, d'entendre la voix des Créateurs.
L'Anti-Void est l'exact opposé du Void : c'est le Tout, le Lien où tout chemin se croise. Après tout, combien de personnages s'y sont déjà rendus accidentellement ? Ne parlons pas des centaines d'histoire x reader où le protagoniste se retrouve par hasard dans l'Anti-Void après je ne sais quelle péripétie 😂 et allons plutôt vers ce qui est arrivé à Geno, ou bien à la machine de Ace dont l'Anti-void a été la première destination. Rien qu'à observer comment Error a appris à utiliser les brèches... À chaque fois il passe D'ABORD par l'Anti-Void avant d'ouvrir un portail d'un AU à un autre. C'est la Gare Centrale des passages entre les dimensions. Je dirais même, c'est un passage OBLIGATOIRE. Chaque AU est en connexion avec un autre VIA l'Anti-Void. Disons juste que la plupart des gens font le raccourci instinctivement.
Mais pourquoi le Noyau serait l'Anti-Void et pas la Doodlesphère ? C'est une dimension qui semble bien mieux disposée à remplir ce rôle...
Et bien... L'un n'empêche pas l'autre.
En fait, la Doodlesphère et l'Anti-Void sont étroitement liés. J'ai remarqué qu'il y a souvent deux points de vue abordables dans le Multivers : la partie code (le Joueur, les algorithmes, glitchs et bugs, comme Error, Fatal, Glitchtale, etc.) et la partie spirituelle (la pensée, la foi, les émotions, les Créateurs, Ink, Faith, Dreamtale, etc.) Et si l'Anti-Void était le Noyau "codé" du Multivers tandis que la Doodlesphère était son Noyau spirituel ?
Car il y a la toile informatique et la toile du peintre 🤣 !
Mhrm–... Pardon :'> (cette blague marche en anglais ?)
N'est-ce toute de même pas un drôle de hasard que les deux plus grands ennemis du Multivers au passé similaire vivent dans deux habitats qui se ressemblent et se complètent ?
La toile... Assez ironique d'ailleurs que son locataire soit un squelette qui manie les fils...
Error est le SDF de la réalité par excellence, c'est dans sa thématique de personnage et dans son design, donc pas étonnant que ce soit sans doute l'être le plus apte à repérer les failles dans le Multivers. C'est caractéristique extrêmement adoptée dans les fanfics ou les comics, il peut ouvrir des fenêtres quasiment où il veut quand il veut ! (c'est pour ça que je trouve bizarre le fait que Corrompu trouve canoniquement Error inutile alors que c'est justement LE type qui peut lui ouvrir les portes vers tous les AU's qu'il veut, même les positifs) Après tout, il est resté piégé au sein même du Tout pendant un temps indéterminé. Canoniquement, au bout d'un certain moment passé dans l'Anti-Void, tout le monde peut devenir un "error" : un être ayant perdu et acquis toute sorte de codes venant de partout et nulle part à la fois, jusqu'à ce qu'il ne reste presque plus rien de ce qu'il était avant, personnalité, couleurs, souvenirs. Pas étonnant si on admet c'est l'agglomération de tous les codes du Multivers ! Au bout d'un moment, n'importe quelle chose finit par se disperser et se disloquer !
Partiellement ?
Entièrement ?
Au bout d'un moment, Error finirait-il par disparaître à force de vivre dans l'Anti-void ?
Subirait-il moins de perte de mémoire s'il arrêtait d'y aller ?
Euh... au choix. ¯\(°_o)/¯ j'aime pas trop l'idée qu'on puisse se dissoudre entièrement dans l'Anti-Void mais après tout pourquoi pas.
Attends, attends... Si les brèches ont un rapport spatio-temporel, que l'Anti-Void est le regroupement de toutes ces dimensions et qu'Error a pu créer une fenêtre vers son passé dans son comic, alors est-ce qu'Error serait en mesure de voyager dans le temps ???
Euh..............euh... (@_@;) c'est vrai que CQ a déjà mentionné l'hypothèse qu'il pouvait exister plusieurs Error en même temps, mais...euh....je...
Je sais pas (• ▽ •;)
Je sais pas...
Peut-être que non, ou du moins personne qui serait, certes détaché de l'espace, mais pas forcément détaché du temps ? Error est-il seulement conscient de ce qu'il est capable de faire ? Peut-être qu'il peut simplement regarder mais pas y entrer ?
Mais alors... Il pourrait quand même voir n'importe quel futur et passé ? Ou seulement ce qui le concerne ?
J'en.
Sais.
Foutre rien.
Je suis pas allée jusque là xD
Mais bon, c'est déjà pas mal, non ?
Si vous avez des théories, headcanons ou même que vous avez repéré des incohérences dans mes propos, n'hésitez pas à m'en faire part, c'est un Headcanon mais ce n'est pas parfait, alors j'aimerais bien le peaufiner le plus possible :3
À la revoyure !
#undertale théories#undertale au#théorie#analyse#réflexion#analyse du Lore#Multivers d'Undertale#french undertale#error sans#anti void#doodle sphere#brèches#portails interunivers
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cet été dans le train avec ma meilleure amie on parlait du flou de notre avenir et elle m'a dit un truc que je pense aussi c'est qu'on est encore dans la période de la vie où rien n'existe vraiment tout peut encore compter pour du beurre sauf que les échéances arrivent qu'on est adultes depuis un petit moment maintenant et qu'un jour la vie d'adulte va nous rattraper mais on est toujours coincées dans nos nous de quinze seize ans quand on croyait qu'il n'y avait rien après donc on a pas de plan et surtout les voies qu'on a choisi ne nous promettent pas un avenir radieux et on aimerait bien concilier nos valeurs au fait de pouvoir vivre décemment et gagner des thunes tout simplement comme ces vendus d'école de commerce mais on gagnera jamais rien et la conclusion c'était qu'on allait être pauvres toute notre vie et qu'avoir plus de valeurs que d'ambition nous faisait courir à notre perte mais j'ai bien aimé cette discussion malgré tout on regardait les champs et les vaches et on était en route pour chez mes grands-parents donc c'était sympa sur le moment et puis tout compte encore un peu pour du beurre donc ça va et au pire tant pis je serais aigrie toute ma vie
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Cette tristesse fera toujours partie de moi... Cet enfer dont je ne sors que partiellement... Épuisée par les efforts... Je perds mon temps à essayer de survivre dans un lieu anxiogène... Je dors avec une lame sous mon oreiller... Car je n'ai plus rien à perdre... Même ceux que j'aime refusent encore ma présence... Je tourne autour de ma tombe... Espérant glisser sans m'en rendre compte... Je ne suis pas en colère... Je suis juste lassée de cette existence... Pourquoi m' avoir forcé à respirer ? Alors que je suis incapable d'aimer le peu qu'on m'accorde... Je ne pleure plus... Mais au fond de moi c'est l'inondation... Je ne comprends rien... Je sers les dents... J'hurle dans ma tête... J'ai mal à l'intérieur... Ce fardeau pèse plus que mon propre corps... Je me traîne de toutes mes forces... Les mains tendues finissent par me blesser... M'abandonner... M'enfoncer encore et encore dans le rejet... L'incompréhension... Je souris pourtant mes yeux ne reflètent que l' amère réalité... Trop peu d'espoir s'accroche à ma carcasse... L'amour me hait au point de me punir par la solitude, l'isolement... Les phobies grandissent tel un monstre planqué sous mon lit... L'insécurité m'envahit même dans ma demeure... Où n'existe aucune source de chaleur... Je déteste positiver... Pourquoi me mentir alors que la vérité est devant moi? Que les conséquences sont gravées dans ma chair... Verser quelques larmes j'en rêve encore... Me réchauffer par moi même... Faire taire les mensonges... Imaginer qu'un jour je pourrais à nouveau sourire et me voir ailleurs que dans un miroir brisé... Dans un regard tendre... Me rappeler la douceur d'une autre peau contre la mienne... Briser le sort... Sans me trahir...
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Perdre confiance en quelqu'un c'est un moment marquant car ça n'arrive jamais sans raison. La plupart du temps, on a une temporalité vague dans une relation, mais la perte de confiance, on sait toujours la situer, on sait toujours d'où elle prend naissance, ce qui l'a insufflée et fait grandir. Le changement de regard à l'égard de l'autre va avec. Quand tu ne regardes plus la personne comme ton égal mais bien comme un fautif, comme la victime de sa propre malveillance. Quand je perds confiance, et que je suis en présence de la personne, je sens mon regard froid, glacial, impartial, comme s'il examinait arbitrairement ce qui se déroule. Je mets un affect de façade mais au fond, je la regarde comme je regarderai n'importe qui, la déception ça fait perdre cette sorte d'étiquette "exceptionnelle" que tu attribues aux autres. Bien que motivée par l'admiration, et évidemment fausse, il n'y a pas de sur homme, on ne peut pas s'empêcher de penser que ceux qu'on aime sont spéciaux. Jusqu'au jour où ils agissent de manière triviale, de la même façon que les autres, comme si on n'avait jamais rien attendu d'eux. J'y crois pas tellement moi à la reconquête de la confiance. Je crois que ça fait partie des rares choses qui, une fois brisée, ne se retrouve plus. Ça n'existe qu'une fois, après c'est seulement articifiel. On essaie juste de se faire croire que c'est passé. Moi je le sens au fond de moi qu'il y a des personnes dans ma vie qui ont perdu leur statut auprès de moi, même tout ce qui faisait qu'ils pouvaient se démarquer et me laisser croire qu'ils étaient à la hauteur. Je me rends bien compte que c'est l'extrême ce que je pense, qu'une action ne devrait pas nuire forcément à l'identité de l'autre à mes yeux, qu'on ne peut pas résumer un être qu'à ses erreurs, pourtant, le dégoût me pousse à perdre le lien avec cette confiance. C'est si précieux. Je crois que je méprise ceux qui m'ont fait perdre ça, je leur en veux de casser des choses aussi belles et aussi rares.
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PARALYSIE
Où sont mes sentiments ?
Pourquoi je ne ressens rien ?
C'est comme si j'étais paralysée
Je n'ai pas toujours rencontrer l'amour
Je n'ai pas toujours trouver qui je voulais être
Je me perds toujours vers mon avenir
Je ne sais pas si je me sens aimer
Mais je peux me regarder dans un miroir
Je me sens pas belle
J'ai rêvé un jour de ma propre mort
Que la vie serait bien plus heureuse que ma présence
Je détestais de me voir dans ce miroir
Où est le vrai Moi ?
Je ne me connais pas
Je laissais les autres me rabaisser
Car ce que je méritais
Je suis plongée dans cette dépression
En me noyant sans oxygène
Je suis paralysée par mon passé
J'ai vécue dans cette période sombre de ma vie
Où l'on faisait jamais attention à moi
C'est comme si j'étais invisible
Je ne recevais aucune affection sauf celle de ma mère
Je n'ai jamais été aimé par mon père
Je n'ai reçu aucune affection de sa part
J'étais déjà paralysée depuis l'enfance
On dit que le premier amour vient du père
Et si notre premier amour parental était considéré comme notre première rupture ?
Oh papa, regarde ce que tu as fait
Tu m'as rejeté comme de la merde
Pourquoi tu veux revenir ?
Tu as brisé mon coeur et ce n'est pas toi qui va le guérir
Je ne fais plus partie de ta vie depuis des années
C'est de ta faute que je n'ai pas de sentiments
Car tu ne m'as jamais aimé
Arrête de dire que je suis ta fille
Car tu n'existe plus dans ma vie
Je suis dans cette paralysie depuis le jour où tu m'as laissé seule avec maman
Je suis fière d'avoir le visage de maman que le tien
Je commence à prendre un nouveau chemin
Cette paralysie je veux la faire disparaître
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Le genre des mots...
On finit par s'habituer à tout, au fond. Et peut être même plus facilement aux mauvaises choses qu'aux bonnes. Je pensais à ça l'autre jour, devant ma télévision –que je regarde très rarement, dégoûté de ce qui s'y raconte, même s'il m'arrive parfois, depuis que mes soirées sont solitaires hélas, de commettre ce péché contre le bon goût-- en écoutant une discussion sans intérêt (je veux dire : normale, quoi, habituelle !) sur ''le genre''. Ce vocable pourtant ancien et clairement défini, s'est ratatiné dans l'esprit de la plupart des gens à une digression emmerdante sur le changement de sexe... ce qui est faux, bien sûr, comme tout le discours officiel.
Avant l'actuel plongeon vers la folie qui prétend servir de néo-référence à nos contemporains, il existait deux genres, en français : le masculin et le féminin. Contrairement à beaucoup d'autres langages, il n'existe pas de neutre, ou plus exactement, le genre ''neutre'' a disparu à l'usage, les mots jusque là neutres se déclinant selon le genre masculin (le plus souvent) ou le genre féminin, ce qui a servi de faux argument aux guerrières du féminisme pathologique pour oser affirmer une prétendue ''main mise du patriarcat'', triomphant mais pas moins criminel pour autant, sur l'histoire, les mœurs, la société et que sais-je encore.
En avons-nous entendu, des sornettes, sur ce sujet qui n'en est pas un ! (NDLR : nous parlions la semaine dernière des conséquences dramatiques qu'a eu chacune des soi-disant victoires d'un féminisme-de-combat qui ne peut, répétons-le en contemplant avec désespoir leur champ de ruines qui s'étend chaque jour, que déboucher sur des catastrophes irrattrapables et, in fine, mortelles pur toute société --cf notre édito ''Quand avons-nous perdu les pédales?'', du 6 mai 2024). Bref des criminels potentiels ont réussi à faire croire qu'il était concevable de franchir le Rubicon –quoiqu'il s'agisse plutôt du Léthé ou du Styx, dans ce cas-- et de changer de sexe (eux disent ''de genre'', mais c'est ''aussi pire'' !).
Pourquoi revenir sur ce sujet qui ne peut être que controversé ? Simplement parce qu'un quotidien ''généralement bien informé'' a titré il y a peu, à propos de l'Intelligence artificielle, sur une découverte récente de cet outil qui n'a pas fini de révolutionner nos vies jusque dans les moindres détails : ''Un algorithme a réussi à distinguer le cerveau des hommes de celui des femmes'', ce qui est une brèche énorme dans le mur de bobards que les relativistes avaient érigé pour protéger leurs élucubrations de toutes les réalités. Les résultats sont sans appel : en analysant des images IRM, l'algorithme a réussi a trouver, avec moins de 10 % d'erreurs, (qui vont très vite se trouver ramenés à épsilon %) s'il s'agissait d'un homme ou d'une femme.
La conclusion par les neuroscientifiques de Stanford de plusieurs études sur ce sujet (dans plusieurs pays) ''mène à penser que l'organisation et le fonctionnement des régions cérébrales étaient dramatiquement opposées selon le sexe biologique''. On précise que ''les régions'' concernées par ces études sont le Striatum (circuit de la récompense et de la motivation), le système limbique (qui contrôle l'attention, la mémoire et la régulation des émotions) et le ''mode par défaut''(qui ''gère'', lui, la rêverie, le ''mental'' et la conscience de soi)...
On est loin des élucubrations gauchistes dont nous rigolions la semaine dernière où un groupuscule de ''Gauchos'' se met d'accord avec lui-même pour affirmer que les gens de Gauche (donc : eux, au tout premier chef) sont plus intelligents que les gens de Droite. Aujourd'hui, au contraire, on est ''dans du lourd'' : comme le démontrent le bon sens (et nos 5 sens), l'Histoire, l'expérience et la simple observation du quotidien, la femme ne sera jamais ni ne peut être l'égale de l'homme pas plus que l'homme ne pourrait être l'égal de la femme, pour la simple raison que cela revient à rechercher des égalités impossibles entre une carpe et un lièvre ou entre un couscous-merguez et une armoire normande ! Et les absurdes divagations de nos faux intellectuels en mal de suicide collectif n'y feront rien.
Dans ce monde ivre d'une intelligence qu'il croit avoir conquise à travers la seule affirmation nietzschéenne que ''Dieu est mort et c'est nous qui l'avons tué'' (fausse, en plus , comme Nietzsche l'a écrit lui-même !), l'espèce de fondamentalisme idéologique iso-religieux qui a pris la suite de ''la Foi de nos Pères'' (NB : l'homme ne pouvant vivre sans référence à ''plus grand que lui'') présente une similitude avec les attitudes des anciens ''dévots ridicules'' : ils s'attachent à une (ou des) croyance(s) envers et contre tout, ''quoi qu'il en coûte''. Dans l'idéologie progressiste, une avancée vers ''le mieux'' est un dogme nécessairement vrai, même absurde. Par exemple, il est interdit de croire que le sexe biologique des gens pourrait avoir une influence sur leur comportement, qui ne serait déterminé que par un ''genre'' peu ou pas défini, la correspondance entre genre et sexe biologique n'étant qu'une construction sociale.
Et c'est là que nous retrouvons les chercheurs de l'Université de Stanford dont nous citions les travaux au début de cet éditorial : leurs conclusions sont sans appel. Je les cite : ''Nous disposons des preuves irréfutables de l'existence de différences sexuelles reproductibles et généralisables dans l'organisation fonctionnelle du cerveau humain. Les résultats attestent le rôle crucial du sexe en tant que déterminant biologique dans l'organisation et donc le fonctionnement du cerveau humain''.
Malheureusement pour nous (je veux dire : pour toute l'humanité), dans notre Occident à bout de souffle, une pulsion mortifère, inexplicable et injustifiable mais qui a l'air durable, semble avoir volé la place de l'ancienne pulsion ''Pro Vita'' pour la sauvegarde de l'espèce, donc la procréation et –disons-le-- la Vie. A sa place, nous sommes envahis par une sorte d'iso-religion qui ne saurait en être une, le mot ''religio'' décrivant ce qui rapproche, pas ce qui déchire, sépare et tue. Une des caractéristiques de cette pathologie mortelle est un désintérêt total pour toute vérité, surtout scientifiquement démontrée : la science, de nos jours, sert à imposer des idées aussi fausses que folles (exemple : la référence permanente de Macron, pendant ''le covid'', pour imposer des séries de mesures anti-scientifiques), pas à chercher à se rapprocher de la Vérité.
L'énorme choc que devrait entraîner chez les tenants d'idéologies indémontrables (et pour cause, elles n'ont jamais été corroborées par de véritables scientifiques), ne va sans doute être invoqué par aucun des pouvoirs en place. Il faudra bien chercher, un jour, d'où peut bien venir le désir de nos fausses élites de promouvoir, à l'exclusion de tout ce qui pourrait être bon pour l'humanité, des idées qui ne peuvent que la conduire vers son malheur (nous y sommes) et vers sa perte (c'est la prochaine étape, ''sauf si''... Mais je commence à ne plus y croire !).
H-Cl.
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Sur le quai, à 19h16,
Tant de gens autour,
L'anxiété monte,
Jour ensoleillé,
Baskets blanches,
Yeux verts,
Sourire,
Ne pas sourire,
Regarder en l’air,
Un pas en avant,
Et je n'existe plus,
Je recule,
J'embarque,
Cœur lourd,
Vivre libre,
Rêves détruits,
Regards croisés,
Rosier épais,
Où descends-tu ?
Douleur,
Douceur,
Mélancolie,
Herbe menue,
Maisons qui défilent,
Souvenirs,
Brûler la magie,
Chemin tracé,
Où sont mes rêves,
Où sont nos rêves...
Bonne soirée.
#ecriture#writer#creative writing#creativity#mood#mood today#writing#writing life#quoteoftheday#french poetry#poème en prose#prose minut
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Le post date un peu mais je trouvais intéressant de le repartager ici.
Il a été écrit et dessiné par Ame (un de nos alters)
Petit rappel : un alter fictif est un alter où le cerveau s'est inspiré d'un personnage ou d'une oeuvre de fiction pour le créer.
Texte sur les images:
Manquer quelqu'un qui n'existe pas
(Content warning: parle de l'attachement et du manque d'une personne que l'on ne pourra plus revoir)
Je pense que la première chose à dire c'est que 50% de mes souvenirs sont faux, c'est simplement le cerveau qui a pris les évènements d'une oeuvre fictive pour me donner une consistance.
Et même si je sais que techniquement toute cette mémoire je ne l'ai jamais vécue, je me souviens de chaque personnes, de mon liens avec elles, de nos moments ensemble.
Par exemple, je me souviens de l'euphorie que je ressentais en jouant du piano, alors que je n'ai jamais joué de piano.
Mais ce qui me manque le plus, c'est une personne qui m'était incroyablement chère malgré une relation tumultueuse.
Je pense à cette personne tous les jours et souvent, le manque est extrêmement fort au point de me faire pleurer.
Lorsque je vais au front, je passes mon temps à parler de lui, à regarder des fanarts et écouter des musiques qui parlent de lui.
Le plus déroutant, c'est que dans les faits je n'ai jamais rencontré cette personne. Et je ne la rencontrerai jamais. Car cette personne n'existe pas.
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" L'exil est dans la distance qui préfigure tout voyage Nous nous cherchons sous d'autres latitudes Le jour est plein d'oiseaux Dans cette lumière rare se dissipent des fragments de nuit Nous donnons lieux et dates à nos vies inaccomplies un cercle noir pour visage notre mort attend assise sur une pierre sans témoin." Amina Saïd
"L'exil est une espèce de longue insomnie." "L'exil c'est la nudité du droit." "Je mourrai peut-être dans l'exil, mais je mourrai accru." Victor Hugo
"Quand la patrie qui est la notre n'est plus à nous Perdue par le silence et par le renoncement Même la voix de la mer devient exil Et la lumière qui nous entoure est comme des barreaux." Sophia de Mello Breyner Andresen
."Il n'existe jamais de bel exil. Tout exil est une souffrance." Gilbert Sinoué
" Humilier le faible, écraser le pauvre, expulser l'exilé sans patrie, faire honte à l'homme sans défense, procure à l'auteur de ces actes une satisfaction qui sent la puanteur de la charogne qu'il héberge dans son âme." Tahar Ben Jelloun
"Notre mer qui n’es pas aux cieux et qui de ton sel embrasses les limites de ton île et du monde, que ton sel soit béni que ton fond soit béni accueille les embarcations bondées sans route sur tes vagues, les pêcheurs sortis de la nuit, et leurs filets parmi les créatures, qui retournent au matin avec leur pêche de naufragés sauvés. . Notre mer qui n’es pas aux cieux, à l’aube tu es couleur de blé au crépuscule du raisin des vendanges nous t’avons semée de noyés plus que n’importe quel âge des tempêtes. . Notre mer qui n’es pas aux cieux, tu es plus juste que la terre ferme même à soulever des murs de vagues que tu abats en tapis. Garde les vies, les visites tombées comme des feuilles sur une allée, sois leur un automne, une caresse, des bras, un baiser sur le front, de père et mère avant de partir. » Erri de Luca "Prière laïque"
"Il est à toi ce passeport pour tous les peuples, avec un drapeau arc-en-ciel, et l’emblème d’une oie migratrice qui tourne autour du globe, avec toutes les langues que tu veux, officielles ou pas, en bleu océan, rouge sang séché, ou noir charbon prêt à brûler, à toi de choisir, amène-le où tu veux, le passage est sûr et grand ouvert, le portail sorti de ses gonds, tu peux entrer et sortir sans crainte, personne ne te retient, personne ne te double dans la queue, ni te renvoie en arrière, il n’y a pas d’attente, personne ne te dit Ihre Papiere bitte, déclenchant la tachycardie avec la pâleur de son index, personne n’écarquille ni ne plisse les yeux en fonction du produit national brut par tête de la nation que tu laisses derrière toi," Antoine Cassar "Passeport"
Dessins/ illustrations de Jean Perrochaud "Sakado" PERROCHAUD S'AFFICHE
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Il faut que tu comprennes que mon bonheur n'existe que parce que tu en fais parti. Je ne peux pas simplement te regarder partir, mal, sans être à tes côtés. Ni supporter que tu choisisses pour moi ce qui doit faire mon bonheur.
Tu pointais mes traumas pour ne pas penser aux tiens et tu refuses qu'ils prennent sur mon bien être. Pourtant toi tu as été là quand j'étais au fond, je peux et je veux être là pour toi aussi. Seul on va plus vite, à deux on va plus loin. Tu n'as pas à garder tout ton mal-être pour toi, je t'aime et je veux t'aider. Je ne ferai pas le travail pour toi, mais je veux t'aider, t'épauler, être à tes côtés quand tu grandis.
J'ai bien compris, je t'ai entendu, je sais ce qu'il y a en toi. Ton besoin de te retrouver ne peut se faire que seul, sans personne qui ne prenne la place dans ta tête. Mais sache que tu n'es pas seul. Que je vais t'attendre. Tu veux que je trouve quelqu'un qui peut me donner ce que j'attends, mais toi tu peux me le donner. Pas aujourd'hui, pas demain, mais ce n'est pas grave. Je suis patiente. Patiente et amoureuse. De toi, de ce que tu étais, de ce que tu es, de ce que tu sera. Je te veux égoïste, je te veux franc, je te veux vivant. Je veux des plages et des montagnes, des champs de souvenirs et des veillées au feu de nos baisers.
Je suis triste de ce qui t'a mené à être là, je suis triste de devoir lâcher cette main le temps que tu te retrouves. Il n'y a aucune certitude que je la reprenne, aucune promesse, aucun mot, papier, étoile, dieu, qui ne puisse me jurer que l'on se retrouvera. Juste l'espoir qu'un jour tu te réveilles en pensant à mon dos contre le tien, au café que je te prépare. Être compagnon du quotidien et de nos folies. Je veux pouvoir t'épauler quand tu es fatigué, te faire rire quand tu es plein de courbatures, accueillir ta tristesse quand la vie est rude.
Je veux que tu n'ais pas à te dire à ma place ce qui est bon ou non. Je peux te laisser partir deux ans, si, au moment où tu passes la porte, tu me dises que tu reviens. Que je reçoive la certitude que tu penses à moi de temps à autre, et qu'à ton retour l'appartement soit lumineux de nos retrouvailles. Je veux partager ton affection et ton bonheur. Que l'on se promène sur la plage avant de rejoindre nos amis. Que tu sois loin des vicissitudes de ce monde. Sans doute grandir dans l'idée des martyrs m'a donné la capacité d'endurer plus que ce que certains ne pourraient, car j'ai gardé cette naïveté christique de "l'après". Après 40 jours de déluge, où l'espoir de la colombe avec sa branche, cette histoire coule dans mon esprit. Je navigue dans une coquille de noix, de courant d'air en raz de marée, espérant retrouver l'arbre au sommet duquel jirai écrire.
Dans ce jardin je creuse un trou, dans lequel je pose, maigres dons, les lettres, quelques cheveux et je murmure ton nom. Sans doute que les roseaux qui pousseront à cet endroit soupirerons ton nom aux secrets perdus.
[Août 2023, lettre non envoyée]
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