#Lech Ordon

[innervoiceartblog]

(via A Paradise Called Dziedzinka - Przekrój Magazine)

Simona Kossak, a zoologist, and the well-known photographer and author of many animal albums, Lech Wilczek

“Hidden in the heart of the forest, six kilometres from the town of Białowieża, is a nature reserve. It is now covered in fresh thick snow. They call this place Dziedzinka; sitting on a lovely clearing is a forest lodge with a barn next to a sprawling tree, along with roughly carved chair-like objects and a round table made of oak, at which one eats all meals during the warm season, accompanied by candlelight coming from an ancient candelabra. Running out from the inner hedge is Żabka (‘Froggy’), a sow playing the role of the domesticated ‘dangerous dog’. Lazily strolling out to welcome guests is Hepunia, a donkey seeking affection. A giant yet calm dog bolts out; it’s Troll, whose mum was a Boxer and whose dad was a German shepherd, and who is a creature of great beauty, intelligence and tenderness of heart. Before I even make it to the porch, Korasek the crow first pecks at my leg around my ankle and then proceeds to steal a pen from my pocket; fortunately, he is open to bribes and returns it in exchange for an egg. Greeting me in the door are my hosts, Simona Kossak, a zoologist, and the well-known photographer and author of many animal albums, Lech Wilczek....”

Simona Kossak:

Biologist, Professor of Forestry Science. A legendary defender of the flora and fauna in the Białowieża Forest and champion of a more in-depth awareness of nature. Daughter, granddaughter and great-granddaughter of the famous Kossak family. Resident at Dziedzinka, from where she would commute to her job at the Mammal Research Institute of the Polish Academy of Sciences and the Forest Research Institute in Białowieża, first on a Komar motorbike, then in a small Fiat. She was born in 1943 and died in 2007.

Lech Wilczek:

Photographer and naturalist. Author of books and picture albums about a tawny owl and a raccoon, a jackdaw and cats, mushrooms, Syrian hamsters, aquarium fish, a crow and badgers, the Białowieża Forest, of course, and many others. He was born in 1930 and has been a resident of Dziedzinka since 1971.

Translated from the Polish by Mark Ordon

[tyranes]

12 - Le petit voisin

Le reste de la semaine est long, très long. La faim revient rapidement et je m'enferme pour ne pas avoir à croiser de gens. Le vendredi et le samedi soir se passent à peu près bien, je passe deux jours enfermé chez moi, le dimanche, j'arrive à la fin de mes provisions. Je suis obligé de sortir pour passer à l'épicerie d'à coté. Le caissier me regarde d'un drole d'air et je l'engueule presque en lui disant ne ne pas me regarder comme ça, au risque de se faire défoncer la gueule. Il m'a simplement demandé si j'avais de la monnaie et j'ai envie de lui écraser la tete contre son comptoir. J'ai vraiment quelque chose qui cloche, mais sur le coup, je m'en fout complètement. En sortant je claque la porte et je sens le verre vibrer derriere moi. Je rentre en furie et me gobe la boite de gateaux que je viens d'acheter. Petit à petit mon appartement redevient un taudis, et regulierement je me dis qu'il faudrait que je range mais que je n'ai pas la force pour le faire. J'essaye de pousser à me doucher et de me raser mais après ce passage dehors je laisse tomber, je n'ai plus gout a rien et je ne pense qu'a Azan et a ses fils, mes freres, qui n'ont aucun soucis de dependance, eux. C'est le lundi soir que la sonnette retentit. Je fais le mort mais la télé est audible à travers la porte. Ça insiste, mais au moins ce n'est pas Stephane, voyant que ça insiste toujours je finis par me lever et j'entrouvre la porte. C'est le voisin, le petit Thomas. Presque instantanément, ma bite se dresse dans mon boxer. "Tu veux quoi?" demande-je de façon un peu aggressive. Le gamin est tout gené par le ton et rougit. "Je euh. J'ai oublié mes clés et mon coloc ne rentre pas avant minuit. J'ai nul part ou aller pas loin. Je me demandais si vous accepteriez que je reste chez vous pour la soiree…" Il a le regard baissé et tout dans sa posture exprime la faiblesse. Je m'aprete à refermer la porte pour l'envoyer chier mais quelque chose dans son attitude me fait sourire. Et la trique dans mon boxer a besoin d'etre soulagée. Je le regarde de haut avec un sourire sadique et je grogne. "C'est un peu le bordel donc fais pas gaffe, mais oui, ce soir tu reste avec moi." Il me sourit doucement, son odeur de petit etudiant propre sur lui me titille les narines comme à chaque fois, et me donne juste envie d'en faire un sac a foutre comme Azan l'a fait avec moi. Je resiste à la tentation de lui mettre une main au cul et le fait entrer. A peine dans l'entrée, je le vois froncer le nez à l'odeur de sueur, d'alcool et de foutre qui reigne dans mon appartement. "Si l'odeur te derange tu peux toujours retourner dehors." Je le vois hesiter et finalement, il s'avance dans l'appartement. "Je ne resterais pas longtemps, je ne veux pas vous deranger c'est juste pour depanner. Merci beaucoup." Je lui souris, il me plait bien, tout docile et gentil, ça sera du gateau de le mettre à genoux. Mais je ne vais pas y aller comme un bourrin, je veut le faire mijoter un peu. Je sens déjà que la situation le trouble. Je me dirige vers la cuisine et reviens avec deux bieres, et lui ordonne plus que je ne lui propose de s'assoir. J'allume la télé pour faire un peu d'animation et je m'assois à coté de lui, assez proche pour qu'il puisse sentir mon odeur de mâle pas lavé depuis trois jours, je le sens géné mais il ne s'écarte pas. Il regarde fixement la télé pour ne pas croiser mon regard. J'engage la conversation en restant proche de lui, petit a petit je le sens baisser sa garde sous mon influence, rapidement j'apprend qu'il n'a pas de petite copine ni de famille proche dans les environs, qu'avec son collocataire la cohabitation est difficile et qu'il a du mal à payer le loyer. Ma main finit par se poser sur sa cuisse et remonte doucement le long de sa jambe. Encore une fois il est géné mais il ne proteste pas, il ne protestera plus face a moi désormais. En baissant les yeux sur ma main il remarque le dragon sur mon avant bras. "Il est joli…" sa voix est devenue presque trainante, mon influence s'etend et il ne peut pas lutter. "C'est ton maitre." repond-je d'une voix douce. "Tu dois lui obeir et le servir sans hésiter, si il te demande de lui lecher les pieds tu le feras, si il te demande de l'embrasser tu le feras. Et si il te demande de lui offrir ton cul..." "Je le ferais…" me coupe-t-il completement hypnotisé par le tatouage désormais. Je retire mon bras de sa cuisse et le passe autour de ses epaules. "C'est bien, tu seras mon petit chien et je me viderais les couilles sur ta gueule regulierement, tu aimerais?" Doucement il hoche la tête. "Oui… je veux vous faire plaisir." Je lui caresse doucement les cheveux et le force a se pencher en avant. "Alors met toi a mes pieds comme un bon chien et viens me lecher les couilles." Ma bite est tellement raide que j'ai l'impression qu'ellle va exploser. Doucement il glisse du canapé et se met entre mes cuisses, il deboutonne mon pantalon et se laisse totalement submerger par l'odeur de ma bite. Dans son pantalon aussi il y'a une jolie bosse mais je me retiens. J'ai soif mais je ne dois pas le brusquer trop tout de suite. Sans hesiter il baisse mon pantalon et mon boxer pour venir poser son nez sur mes couilles et renifler avant avant de lecher doucement. On sent qu'il n'est pas habitué mais il est volontaire. Si jamais on m'avait dit il y'a trois semaine que je finirais avec mon petit voisin entre les cuisses à me lecher les couilles, jamais je n'y aurais cru. La reflexion que je m'etais faite au debut de la semaine sur le bien fondé des humain a totalement disparu de mon esprit et à ce moment là, je ne pense qu'a une chose, a l'esclave servile que j'ai entre les jambes. Il est totalement docile et ecoute le moindre de mes ordre déguisé en conseil. L'espace d'un instant je me revois aux pieds d'Azan, avec la ceinture en cuir autour du cou à lui obéir aveuglément. Le petit est bien obeissant et je le laisse me lecher les couilles pendant que je regarde la télé pour me mettre à l'aise. Je le laisse là un bon moment en le guidant de temps en temps sois vers mes pieds soit sur mon torse. Je fais bien attention a ce qu'il ne touche pas mon gland avec sa bouche. La soirée se passe tranquillement et je finis par me vider sur son visage alors que lui aussi se vide au sol. Il leche comme je lui ordone et il a l'air de beaucoup aimer ça. Pour le reste de la soirée, je le laisse a mes pieds, c'est sa place et il le sait, il aime ça. A la télé il y'a une serie policiere qui ne m'interesse pas mais la situation me plait tellement que je ne cherche pas a changer de chaine. C'est vers minuit qu'on entend du brui dans le couloir. Thomas ne bouge pas. C'est moi qui lui donne un petit coup de pied. "Ton coloc vient de rentrer." Il ne reagit pas. "Tu peux rentrer chez toi." Il me regarde un peu perdu. "Mais je n'en ai pas envie…" Je le regarde severement. "Tu penses vraiment que je vais te garder avec moi à vie?" mon ricannement est sec et mechant. "Non, tu me serviras quand j'en ai envie. Et ensuite tu retourneras à ta petite vie de merde" Son regard s'embue de larmes et je le regarde toujours en souriant sadiquement. "Mais j'ai bien compris le message, tu reviendras régulièrement prendre mon foutre sur la figure. En attendant si tu moufte un seul mot de ce qui s'est passé ce soir à qui que ce soit je te retrouve et je te fais bouffer tes couilles, et je ne parle pas au figuré, tu m'as bien compris sac à viande?" De peur, il hoche la tête mais je sais qu'il a compris. Il se leve et s'essuie le visage, la moitié de mon jus a seché mais il en essuie la majorité. Il se rhabille rapidement et revient me lecher les couilles une derniere fois. "Merci maitre, à bientot, venez me chercher quand vous voulez recommencer. Je ne pensais pas que j'aimerais ça mais… avec vous c'est… woaw." Je lui sourit et claque des doigts en lui montrant la porte. Je n'ai rien besoin d'ajouter pour qu'il se casse et me laisse tranquille. En partant je mate bien son cul toujours aussi moulé dans son pantalon. Après quelques minutes à regarder la télé, je vais me coucher en me branlant une derniere fois et je m'endors rapidement avec la faim qui me tenaille toujours le ventre. Mais au moins je sais que demain, je trouve Azan a nouveau.

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The Full Wielka podrГіz Bolka i Lolka Movie

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Actors:

Lech Ordon Andrzej Zaorski Wieslaw Michnikowski Zdzislaw Lesniak Ewa Zlotowska Jerzy Tkaczyk Kazimierz Brusikiewicz Jan Kociniak Danuta Mancewicz Tomasz Zaliwski

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